Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ? Charly offre sa soumise à son fils (5/6)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ?  Charly offre sa soumise à son fils (5/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jenny la bourgeoise serait-elle une salope ? Charly offre sa soumise à son fils (5/6)
Pendant le premier mois, Jenny n’attendait qu’une chose le soir en rentrant du travail, s’était d’aller retrouver son maître dans la maison voisine. Non ! elle ne s’ennuyait plus des longues absences de son mari. Toutes les nuits, elle se faisait défoncer par les deux trous, elle était une suceuse de première et en redemandait toujours un peu plus, elle était devenue après trente jours, une vraie salope. Charly faisait ce qu’il voulait avec elle, il bandait, rien qu’en lui donnant des ordres, il ne lui demandait rien, il imposait sa loi. Elle ne portait plus de sous-vêtements, pourtant elle adorait cela mais son maitre ne voulait pas qu’elle en porte même à son travail.
Au bureau, personne ne la reconnaissait, elle était radieuse et toujours souriante. Elle, que ses collègues voyaient si triste auparavant, la considérant comme une femme « mal baisé » se doutaient bien qu’elle prenait son pied, elle avait trouvé un amant, se disaient-ils dans les couloirs. Ils étaient tous autour d’elle à la pause, se demandant s’ils avaient une chance de baiser avec elle. Car cette femme était bandante, de surcroit, elle avait changé son look, elle n’hésitait plus à se vêtir avec de large décolleté sans soutien-gorge et des jupes courtes, la rendant plus désirable encore.
Paul de son côté, ne se branlait plus la semaine dans son hôtel, en regardant des vidéos XXX, il gardait son jus pour se satisfaire les week-end, il avait deux femmes à contenter. D’une fois tous les quinze jours, il faisait l’amour toutes les semaines maintenant et trois fois voire quatre, du vendredi après-midi au dimanche soir.
Dès qu’il rentrait le vendredi, Jenny n’étant pas encore rentrée du travail, il allait chez Gaëlle. Ses fellations magnifiques, gorges profondes lui vidaient les bourses et le soulageait. Les soir, il allait en compagnie de Jenny la voir se faire prendre par le voisin, il les regardait faire, cela l’excitait fortement et lui faisait plaisir de la voir se soumettre devant cet homme qui la considérait comme une salope. Elle qui commandait toujours dans leur ménage, devenait sa chienne, obéissant à ses moindres caprices. Il était tellement pris par l’action, qu’il se branlait et venait se déverser sur le cul de son épouse.
Le samedi soir, il remettait cela, c’était leur soirées, Paul ne pouvait pas agir comme Charly, ce n’était pas un dominant mais dorénavant, il l’enculait et jouissait fortement de la baiser dans le trou qu’elle lui avait toujours refusé. Il se vidait une nouvelle fois sans aucune difficulté et sans prendre de cachet magique, il retrouvait sa queue de dix ans auparavant.
Le dimanche, avant de s’absenter pour une semaine, Gaëlle, lorsqu’elle était disponible, lui faisait une nouvelle fellation en remerciement de la gratuité de son appartement. Dans sa bouche si délicate, il trouvait vite de la vigueur, elle savait le faire bander. Même si l’éjaculation n’était pas trop importante, il prenait énormément de plaisir à finir de se sécher les couilles, elles avaient une semaine entière à se remplir pour le week-end suivant.
La considérant enfin prête, Charly avait prévu que Jenny allait se faire baiser par son fils, il avait prévu cela pour la toussaint, le jour des vingt-deux ans d’Arthur. Il ne lui avait pas encore annoncé, il attendait le bon moment. Lorsqu’il lui en avait parlé, Paul était présent car il voulait humilier sa soumise un peu plus et son mari par la même occasion.
Ce jour-là, comme d’habitude, Charly s’occupait avec sa bouche et ses doigts du vagin totalement glabre de Jenny lorsqu’il demanda à Paul :— Aujourd’hui, vient m’aider Paul que de rester à mater. Triture-lui les nichons, elle adore ça, ta salope de femme.
Paul était heureux comme un gosse, il se leva de sa chaise et vint debout à côté du corps de Jenny, nue et allongée qui frémissait de plaisir. Pendant qu’il malaxait les mamelles de son épouse de la main gauche et qu’avec son pouce et son index droit, il pinçait et triturait, comme le maitre avait demandé, les tétons érigés de Jenny, Charly frottait le clitoris de son pouce et fouillait la vulve grande ouverte de Jenny de ses quatre doigts gauches. Il activait le mouvement, les va et vient étaient de plus en plus rapides, Elle allait jouir, sa respiration devenait très rapide, elle allait une nouvelle fois éjaculer ses grands jets de mouille sur les draps, lorsqu’il dit :— STOP ! en retirant ses doigts.
— NON ! Continuez j’allais jouir…— Ferme ta gueule salope ! Écoute ce que je dis.
Jenny avait les larmes aux yeux, c’était la première fois que Charly était grossier à ce point. Paul n’était pas d’accord avec ça, mais ne dit rien, il caressa son visage et enleva les larmes qui commençaient à couler sur ses joues pendant que Charly continuait de parler :— Vendredi, c’est l’anniversaire d’Arthur, je lui offre ton trou du cul. Il n’avait jamais enculé de femme, tu seras sa première fois.
— Tu ne peux pas faire ça mon chéri. Dit en pleurant Jenny.
— Tu exagères Charly. Surenchéri Paul qui voulait intervenir.
— Toi le cocu, ce n’est pas ton problème, j’accepte ta présence c’est déjà pas mal. J’ai décidé et je ne reviens pas sur ma décision. Tu es partante ou pas ma salope ?
— Je ferai ce que tu me demanderas. Oui ! j’offrirai mon cul à ton fils. Tu seras là ?

Ce vendredi soir, Arthur était invité chez son père, il connaissait ses penchants sexuels, mais il fut surpris d’être accueilli par une soubrette pratiquement nue. En effet, Jenny était vêtu uniquement d’un chemisier transparent à dominante blanche, sans soutien-gorge. Il pouvait donc admirer sa lourde poitrine dont les larges auréoles brunes encerclaient deux tétons énormes érigés prêts à traverser le mince tissu, les recouvrant à peine. Elle portait une micro jupe noire qui ne couvrait que la moitié de ses fesses, laissant apparaitre son sexe totalement épilé qui n’avait rien pour le dissimuler. Il n’y avait que son petit tablier rouge à poids blanc qui descendait un peu plus bas sur le devant. Arthur admirait cette femme qui aurait pu largement être sa mère, mais dans cette tenue, il eut comme réaction, un début d’érection dans son boxer.
— Je suis Jenny, la soumise de ton père, installe-toi Arthur, ton père n’est encore pas arrivé, je te sers l’apéritif. Que prendras-tu ?
— Un Bourbon avec deux glaçons, s’il vous plait.
Jenny jouant le jeu jusqu’au bout, lui enleva sa veste et l’accrocha au perroquet puis le pris par la main et l’emmena jusqu’au salon et le fit assoir sur un fauteuil. Le gamin bandait de plus belle lorsqu’elle se pencha sans précaution dans le bahut attrapant la bouteille de scotch.
Arthur finissait son verre lorsqu’il reçut un MSM de son père :« Je serai en retard d’une bonne heure, amuse-toi avec Jenny » Dans le même temps, Jenny reçut elle aussi un texto : « Comme convenu, j’arrive dans 1 heure. Donne-lui ton cul. »
Jenny était au pied du mur, elle devait séduire ce jeune de 22 ans ; elle qui en avait plus du double ne savait pas trop comment faire. Elle s’installa dans le fauteuil en face de lui et commença à lui parler de son père. Elle voyait bien que le regard du jeune garçon se portait régulièrement entre son corsage ouvert à son entre jambe qu’elle laissait spécialement à la vue de son interlocuteur. Puis dans la conversation, elle glissa en se jetant à l’eau en lui demanda s’il aimait sa poitrine. N’osant répondre clairement, il acquiesça d’un signe de tête. Jenny se leva et vint s’agenouiller devant lui, elle lui prit les mains et les posa sur ses seins. Arthur commença sans timidité à lui caresser, il pencha sa tête et lui aspira un téton à travers le tissu, le mordillait, Jenny ressenti du désir, elle lui caressait les cuisses sans jamais aller plus haut que l’aine, elle n’avait pas besoin de vérifier s’il bandait, elle savait qu’il devait être en pleine érection vu la bosse qu’elle apercevait devant elle. Arthur lui enleva le chemisier tout en lui déposant de petits baiser sur ses seins. Elle le prit par le cou et l’embrassa goulument :— Bon anniversaire Arthur. Lui dit-elle. Fais de moi ce que tu veux je suis ton cadeau. Aimes-tu la sodomie Arthur ? J’adore quand ton père m’encule.
— Je pense que je rêve de cela depuis que je me masturbe.
— Tu vas vivre ton rêve en attendant ton père, tu veux ?
— Le problème c’est que je viens de baiser ma copine.
Jenny était devenue livide de honte, il s’en était aperçu et changea de conversation. Sans attendre, il la fit se mettre debout devant lui, il descendit sa jupe et dégrafa entièrement son chemisier. Nue comme seule protection le petit tablier rouge à poids blanc, elle restait immobile devant ce garçon si impressionnant de maturité, lui qui semblait si timide, qu’elle n’osait plus bouger, elle était prise entre appréhension et excitation, Oui ! elle mouillait. Il mit sa main entre ses cuisses et m’enfonça sans forcer deux doigts qu’il coulissait. Il fit de même avec son autre main, elle sentait le plaisir l’envahir mais il stoppa ses caresses. Il la fit s’approcher en se plaçant debout entre ses jambes, il prit ses deux mains l’enserrant délicatement un sein et en se penchant vers elle aspira mon téton, il malaxait sensuellement son globe et aspirait, tel un bébé qui tête sa maman pour se nourrir. Jenny était aux anges, les yeux fermés, elle avait hâte qu’il la prenne et qu’il la fasse jouir mais il changea de sein et fit la même chose. Elle venait de s’apercevoir en rouvrant les yeux que sa longue queue commençait à donner signe, d’une légère érection :— Si tu veux qu’elle redevienne opérationnelle, il va falloir que tu y mettes du tien. Qu’attends-tu ? M’ordonna-t-il.
Le même que son père, se dit-elle. Elle lui prit les couilles et les soupesais, elle lui triturait avec douceur, son pénis remontait au fur et à mesure de ses attouchements délicats. Elle prit sa hampe qu’elle ne pouvait pas entourer complétement de sa main, sa bite était trop épaisse et elle commença à l’astiquer pendant qu’il lui mordillait le téton, elle coulait littéralement, l’intérieur de ses cuisses étaient trempées de cyprine, ça n’arrêtait pas, elle avait très envie qu’il se jette sur elle et qu’il lui défonce la chatte, ses idées devenaient de plus en plus perverses, cela ne pouvait plus durer éternellement. Elle se décida de le lui dire directement :— Fais-moi l’amour, je n’en peux plus.
— Dorénavant quand tu t’adresseras à moi, tu diras « Monsieur Arthur ».
Il se leva, la fit agenouiller sur le fauteuil, la tête en avant, elle avait les fesses s’offrant à lui. Il passa sa main sur ma vulve récoltant son jus qu’il étala sur la raie de ses fesses en insistant bien sur mon petit trou qu’il pénétra d’un doigt. Après quelques mouvements circulaires, il y enfonça un deuxième, elle s’était contractée mais elle se relâcha et tout de suite après, il enfila un troisième, tout en jouant de ses doigts de droite à gauche, d’avant en arrière, tout en lui mettant son pouce dans le vagin. Elle était folle de joie et de bonheur, son plaisir montait de ses entrailles, elle explosa, dès qu’il lui défonça l’anus, en lui imposant son rythme, lui donnant de grands coups de boutoir qui la soulevaient, tellement ils étaient puissants.
— Haaa... C’est trop bon ! « Monsieur Arthur ». Ouiii...Enculez-moi plus fort...
Lui non plus ne pouvait attendre plus, il voulait conclure de belle manière en lui arrosant le visage. Il lui demanda de lui faire face mais il n’avait pu se retenir, en enlevant son préservatif, toute sa semence vint s’étaler sur mes seins et coulait à présent sur son ventre.
Ce fut ainsi que Charly découvrit les deux amants en entrant chez lui, satisfait de voir son fils s’assouvir sur sa soumise. Il s’approcha d’elle et en guise de bonjour, il lui tapa sur ses deux mamelles pendantes en disant :— Suce-moi avant le repas, j’ai eu une journée épouvantable. J’ai un cadeau pour toi. Dit-il en lui pinçant les deux tétons.
Arthur se rhabillait, quand son père lui demanda :— Alors tu l’as enculé ma salope, elle est bonne ?
— Super salope la vieille, je crois qu’elle va me plaire. Répondit Arthur pendant que Jenny s’occupait déjà du sexe de Charly.


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