« Josy » : La petite salope tombe de haut. Épisode 26

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy » :  La petite salope tombe de haut. Épisode 26 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope tombe de haut. Épisode 26
Après le départ de Philippe au service militaire en Afrique, pendant un an, je recevais ses cartes postales toutes les semaines, cela me faisait chaud au cœur, ce jeune garçon ne m’avait jamais oublié, il m’aimait. Pour mon équilibre sexuel, n’ayant que Jean Lou le dimanche soir, j’avais besoin de rencontrer Kamel l’électricien dont le phallus hors normes, me faisait grimper aux rideaux. En effet, ce tunisien était un amant exceptionnel. En une heure et demi, il me baisait plusieurs fois, me sodomisait et il était capable de me faire jouir pleinement, jusqu’à six, voire sept fois. Désirant revivre ces purs moments de baise intenses, je revenais le voir plus souvent. J’étais insatiable, s’apercevant qu’il avait lui aussi quelques difficultés à me satisfaire, il fit appel à son cousin.

Ahmed était du même acabit, avec un sexe moins long mais tout aussi épais. Résidant à Lyon, il n’était pas présent à chaque fois, cependant lorsque, ces deux tunisiens m’entreprenaient en me baisant par tous les trous, je criais comme une folle. Doubles pénétrations, doubles vaginales et doubles anales était devenue une habitude pour moi. C’était gigantesque, je prenais des orgasmes incroyables. Ces types faisaient de moi leur jouet, je devenais une poupée gonflable pour mon plus grand plaisir. Ce fut la raison pour laquelle, je n’avais pas refusé, à trois occasions, d’être aux prises avec eux et un de leur amis, tout aussi bien monté.

Chez Kamel, j’avais connu pour la première fois : un gang band avec toute une bande de jeunes portant des cagoules. Une bonne dizaine que je dus sucer en me faisant baiser ou sodomiser. Je n’avais jamais reçu autant de sperme sur moi ou dans ma bouche que ce soir-là. Comme je vous l’avais dit dans le précédent chapitre, aucun de ces types ne savaient qui j’étais, j’étais pour eux une véritable petite salope qui aimait tout simplement le cul. J’avais toujours pris soin de venir en taxi, vêtue de tenues bon marché, sans maquillage, portant de fausses lunettes de vue et coiffée d’une perruque, dissimulant ma queue de cheval. Malheureusement, six mois plus tard Kamel disparut de la circulation.

À la même période ma relation avec Jean-Lou s’étiolait. À 31 ans, mon chéri ne voulait toujours pas se marier, il avait déjà repoussé la date du mariage par deux fois. Jusqu’au retour de Philippe, pendant ce semestre, je trouvais des amants de passage, des parfaits inconnus, trouvés au hasard de la vie. Fin mai 79, j’avais fêté le retour de mon jeune amant prodigue, en renouvelant notre nuit passée à l’hôtel à Lyon, un an plus tôt. Ayant repris son travail comme peintre chez Alain, il passait la nuit du mercredi dans mon lit, lorsque Jean-Lou découchait. Si au départ, je ne voyais pas mon chéri ces nuits-là, au fur et à mesure du temps qui passait, celui-ci sortait d’autres soirs dans la semaine. Je pensais réellement qu’il n’appréciait guère ma liaison devenue assez sérieuse avec Philippe. Fin 1979, je ne voyais plus du tout Jean-Lou, les nuits du lundi au jeudi.

Philippe était revenu de l’armée totalement métamorphosé. Tant sur le plan mental, avec une grande confiance en lui et une belle assurance, que sur le plan physique. Avec ses cheveux courts, sa pilosité accrue et une musculature transformée, ce n’était plus le gamin que nous avions connu. Il était devenu un homme, un playboy je dirais. Avec l’absence régulière de mon chéri, je m’ennuyais toute seule dans cette grande maison. Ce fut tout naturellement que Philippe passait à la maison, je lui avais même réservé une chambre chez-moi où il venait quand il le désirait.

Un an s’était encore écoulé, je venais de fêter mes trente-ans et Jean-Lou ne désirait toujours pas se marier. J’avais donc arrêté de prendre la pilule et je faisais porter le capuchon à mon amant afin de tomber enceinte. C’était la solution que j’avais choisie afin que mon chéri se décide enfin à m’épouser. Cependant, même de cette manière, je n’y parvins pas. Fatigué soi-disant, il me faisait moins l’amour les dimanches-soir et lorsqu’il était un peu plus disposé, il préférait la sodomie. Étant un homo pur et dur, je pouvais le comprendre, seulement, je voulais porter son enfant.

Après une année d’attente à me faire l’amour occasionnellement, en principe le mercredi et quelques fois dans la semaine. Philippe voyant que je ne voulais pas me séparer de mon chéri, s’était enfin décidé, après plusieurs semaines, de sortir avec la fille d’un client d’Alain, qui ne cessait de lui tourner autour. Isabelle avait son âge, elle était une jolie jeune femme et bien faite ce qui ne gâchait rien. Il était venu me la présenter un soir à la discothèque en lui disant : « Josy est ma cousine, une grande sœur pour moi. » Je n’avais pas démenti, car nous nous étions mis d’accord, lorsqu’il m’avait parlé de sa petite amie en spécifiant qu’il m’aimait toujours.

Tant qu’il venait coucher avec moi, la nuit du mercredi, cela me gênait moins. En effet, j’avais tout de même accusé le coup, néanmoins, je n’avais pas refusé qu’il continue de vivre à la maison et Isabelle venait de temps en temps passer la nuit avec son amoureux. Je lui avais tout appris, Philippe avait fait d’énormes progrès au niveau du sexe, ils dormaient dans la chambre voisine de la mienne, ça m’excitait lorsque je les entendais baiser, sans que je puisse y participer, Isabelle ne parvenait pas à se retenir de crier quand elle montait 7e ciel. J’étais quelque peu jalouse.

Dans les années 1980 avec l’arrivée du disco, c’était une vraie folie. Nous avions même commencé à ouvrir les jeudi-soirs et un mercredi sur deux. En seulement trois ans, notre affaire était devenue très florissante, elle fonctionnait à merveille. J’avais ce que je désirais, mon dressing était rempli de vêtements de luxe, de nombreux sacs à main, les souliers et escarpins s’entassaient sur les étagères. Sans parler des jolis bijoux de valeur et des robes de soirée, que je portais lors des réceptions où j’étais invitée souvent avec Jean-Lou. Lorsque j’avais insisté pour qu’il me fasse un bébé, il avait tout simplement refusé.

À cette époque, il était préoccupé par une autre affaire. En effet, nous venions d’acheter un pub en ville, un bar de nuit gay, sans que je n’en sois avertie. À partir de ce moment, J’avais senti que quelque chose s’était brisé entre nous. J’avais compris que mon chéri, s’était toujours servi de moi pour cacher son homosexualité. En effet, il aimait m’avoir à son bras lors des nombreuses sorties que nous faisions en ville, jusqu’à Lyon parfois. Vernissage, mariage dans la haute société, réceptions en tous genres, soirées de bienfaisance. Tout était bon pour m’afficher à ses côtés, auprès des notables et personnalités. J’étais bien pour eux, la compagne de Jean-Lou.

Au réveillon de noël 1980, où j’avais invité dans la grande salle du restaurant, toute ma famille et mes proches amis. Françoise avec laquelle je sortais en général, une fois par mois au « Plazza », m’avait convaincue de créer à l’étage, un nouveau club libertin et échangiste. Étant elle-même de cette catégorie de personne, après un voyage à Paris où elle avait passé une soirée dans ce genre d’établissement, elle s’était aperçue que mis à part à Lyon, qui était à près de trois heures de route, il n’y avait rien de ce genre, en ville ou dans la région, hormis deux ou trois bouis-bouis.

C’était son idée, ce fut elle qui se chargea de cette affaire et à la rentrée de septembre 1981, l’« Éros Club » ouvrit ses portes avec un réel succès. Ce fut à partir de là, que j’étais devenue « Josy, la reine de la nuit. » Ne pouvant tout gérer toute seule, Je n’avais jamais oublié mes amies. Gislaine mariée au chef cuistot, s’occupait du restaurant et la guinguette, Françoise gérait le club et la boite de nuit, tandis que Jean louis passait son temps au pub, je ne le voyais pratiquement que lors des réunions de notre entreprise. Je ne voulais pas m’arrêter en si bon chemin, en 1982 lorsque le patron du « Plazza » m’annonça qu’il désirait prendre sa retraite, il me proposa de me le vendre.

Je fus tentée de l’acheter, toutefois Jean-Lou étant le conseiller juridique de l’entreprise, il essayait par tous les moyens de m’en dissuader. Pourtant, je pensais que nous en avions largement les moyens, et tenir ce cabaret que je connaissais depuis si longtemps était pour moi un rêve, une consécration à ma carrière de femme d’affaire. M’étant séparée de Jean-Lou depuis l’achat de son club gay, qui avaient occasionné toutes ses absences et après m’avoir refusée d’enfanter, je passai outre ses recommandations et avait signé le compromis de vente.

Ce fus lors de la réunion que j’avais expressément demandée que j’appris avec une énorme stupeur que je m’étais faite dupée. J’apprenais que si j’étais encore gérante, j’étais minoritaire avec que 25% des parts de la Sarl et que Jean-Lou bénéficiait des 75% restants. J’avais peine à le croire, mon chéri, lors de l’achat de son pub l’« Éros-Club », m’avait fait apposer ma signature sur des documents attestant la cessation d’une partie de mes parts, tout cela en toute légalité. À cette époque-là, je lui donnais toute ma confiance, je n’aurais jamais imaginé un seul instant qu’il fut capable de me faire une chose pareille. Je comprenais pourquoi, il avait refusé de se marier.

Il m’avait volé une grande partie de ce que j’avais construit. J’avais même fait la pute, pour en arriver, là où j’étais parvenue. J’étais effondrée, en colère, déçue au plus profond de mon être, je n’avais pas de mot pour définir ce que je ressentis à cet instant. Pourtant, il fallait bien me relever, heureusement, je n’étais pas ruinée, loin de là. Non seulement il me laissait le quart de la société, mais j’avais ma maison que je louais, les murs de l’ancien routier et grâce à l’argent en espèce, dissimulé au fisc, j’avais pu mettre suffisamment de côté afin d’acheter un bel immeuble en centre-ville. Une fois le petit crédit restant terminé, je pouvais bénéficier de la location du rez-de-chaussée, pour une boutique et des six appartements.

J’avais donc vendu mes parts de la Sarl « Paradis » et j’empruntai la différence afin d’acheter le « Plazza » qui devenait par la même occasion le cabaret « Josy-Club ». Désirant mettre une petite touche féminine, à mon nouvel établissement, j’avais dû réaliser quelques travaux d’amélioration. La semaine suivante après l’ouverture, lors d’un spectacle de transformiste dans mon cabaret, je fis la rencontre d’un jeune garçon qui s’y produisait avec brio. Franchement, il était tellement efféminé que j’aurais juré qu’il s’agissait d’une fille.

Selim avait à peine vingt-cinq ans, beau (belle) comme un Dieu (Déesse). Si je ne l’avais jamais vu auparavant, lui il me connaissait. Ce spectacle se prolongeant sur deux semaines, nous avions beaucoup discuté et j’avais appris que ce jeune homo était le grand amour de Jean-Lou, trois ans plus tôt. Le jeune égyptien n’était pas amoureux de mon ex, tandis que ce dernier était fou de ce beau garçon. Il aurait fait n’importe quoi pour le garder. Il l’avait couvert de cadeaux, lui donnait de l’argent, il avait même cédé au caprice du jeune transformiste en créant ce pub gay. Ce qui ne l’avait pas empêché de le quitter l’année suivante.

Néanmoins dans cette affaire, après cette arnaque, je perdis très gros. J’avais acheté le « Plazza » avec tous les avantages que cela pouvait avoir mais avec les incontinents qui étaient vendus avec. En effet, au départ je ne désirais surtout pas devenir une proxénète avec mes hôtesses, je voulais au contraire les protéger. D’autre part, je dus subir le racket pour la protection de mon établissement, mais je devais également rincer en consommations gratuites, les policiers véreux, de véritables ripoux qui fermaient les yeux aux différents trafics, moyennant une petite enveloppe en fin de mois.

J’avais du mal à l’accepté, étant toujours resté en très bons termes avec le commissaire principal, un client fidèle de l’ancien « Plazza », je lui en avais toucher deux mots. Il savait tout ce qu’il s’y passait et lui aussi fermait les yeux car ces trois malfrats faisaient partie des indics de la police. En ce qui concernait les racketeurs, il me dit à brûle pourpoint : « Que préfères-tu Josy ? Ne pas payer une somme toutefois raisonnable ou bien voir ton bar détruits toutes les semaines ? » Et pour la prostitution, il en était de même, les hôtesses me faisaient gagner bien plus d’argent en les rémunérant au pourcentage que si elles étaient salariées.

Je faisais donc avec, je m’en étais fait une raison. En avantages, n’ayant plus d’hommes à la maison, le cabaret me demandant moins de travail, je pouvais dormir une grande partie de la journée et je n’avais plus à courir les rues ou les magasins pour trouver un amant. Ils venaient eux-mêmes à moi au « Josy-Club. Il y avait comme clients de très nombreux touristes assez fortunés ou des hommes d’affaire venant de Lyon ou de Marseille qui après m’avoir payé plusieurs coupes de champagne (dont je ne buvais qu’une infime gorgée), désiraient coucher avec moi.

Pendant ces années, j’essayais de ne plus y penser, toutefois je dois avouer que j’avais la trouille, non seulement des truands mais aussi de la justice, je n’avais aucune intention de finir mes jours en prison. Je n’avais pas gardé que de mauvais souvenirs de cette période, j’étais parvenue à bien améliorer le chiffre d’affaire en organisant régulièrement de jolis spectacles. De bons musiciens et des chanteur ou chanteuse animaient nos soirées, John et sa choriste étaient venus s’y produire mais également des acrobates, des jongleurs, des magiciens.

Bien entendu, nous avions droit tous les soirs à de nombreux et jolis stripteases. Sans oublier pour distraire les hommes, les jeunes artistes en tenues très légères qui dansaient autour des poteaux « La pole dance » qui affolaient les spectateurs qui lançaient quelques billets sur la scène. Ce qui était nouveau et qui me tenait à cœur, était la clientèle féminine qui venait depuis quelques temps bien plus nombreuses qu’auparavant. Elles aussi avaient droits de se divertir en regardant danser et se dévêtir de très beaux spécimens de vrais étalons.

Un des spectacles qui m’avait marqué et que je choisis de présenter, fut celui d’un jeune artiste italien et sa partenaire Gaby. Cette scène de sexe avait beaucoup plu aux clientes par la même occasion. Aldo était venu me rencontrer dans mon bureau un après-midi, me le présenter sur cassette VHF. C’était assez formidable et très bien réalisé, tout en jeux d’ombre très subjectifs. Les deux acteurs se présentaient sur scène, sous les projecteurs, la jeune femme en indienne portant uniquement un pagne, une belle brune, coiffée d’une longue natte, avec des formes très généreuses, avec une forte poitrine (100D) et des fesses très rebondies, et Aldo déguisé en Lucky Luc.

Pendant que l’éclairage s’estompait, nous ne pouvions voir que des ombres à présent. Ensemble, les deux acteurs allaient jouer à la perfection une scène pornographique durant plus d’une dizaine de minutes. Par le jeu d’ombres, face à son compagnon, nous devinions l’indienne dégrafant le pantalon de Lucky Luc exhibant un long sexe en pleine érection qu’elle était en train de caresser. Puis, elle s’agenouillait devant lui et commençait une longue fellation. Celui-ci maintenait la tête de la squaw, guidant tous ses mouvements, entrant et sortant son sexe de sa bouche.

Puis, Lucky Luc repoussa sa partenaire afin qu’elle se retrouve à quatre pattes, toujours de profil face aux spectateurs. Nous apercevions ses gros seins pendant comme des mamelles vers le sol et ses fesses charnues, bien tendues en arrière. Le cow-boy si célèbre, son chapeau vissé sur le crâne et la cigarette accrochée à ses lèvres, se plaça également à genoux derrière son indienne, en la maintenant fermement par les hanches. Nous avions réellement l’impression qu’il l’avait embrochée d’un seul coup.

Aldo prenait tout son temps, il entrait et ressortait sa longue queue bandante entre les cuisses de sa partenaire qui mimait son plaisir tout en gémissant. Après plusieurs minutes impudiques, de ses lents et longs va et viens derrière le cul de son indienne, Lucky Luc accéléra ses coups de reins qui devenaient assez brutaux et très sauvages. Tout en insultant sa maitresse d’un soir, il ressortit son sexe le tenant dans sa main, se branla sur elle et éjaculait de puissants et longs jets de sperme arrosant le dos et les fesses de sa jeune indienne, avant que la lumière s’éteigne, sous les applaudissements.

À la fin du visionnage de cette cassette, j’étais non seulement en émoi mais surprise de l’effet réaliste de la scène. Miss Gaby, n’avait jamais sucé le pénis d’Aldo. Quant à lui, il n’avait pas non plus pénétré la jeune femme, tout était simulé. Je dois avouer que ces jeunes acteurs m’avaient convaincue mais très excitée aussi. Nous avions signé un contrat afin qu’il se produise une fois tous les trimestres lorsqu’il venait sur Lyon, avant de repartir sur Marseille. Pourtant, une question me brûlait les lèvres, je lui posai : « Est-ce ton vrai sexe ? »— Pour cela, il faut que tu vérifies par toi-même. Me dit-il en riant. Non ! C’est un gode ceinture à l’image du mien.
— Hum ! Et pour l’éjaculation, comment fais-tu ?
— Une poire en caoutchouc accrochée à ma ceinture avec un petit tuyau fixé sur la verge en silicone. Enfin, si tu veux essayer, ma proposition tient toujours.
Vous voyez, je n’avais pas à rechercher mes amants, ils venaient tout simplement à moi.

La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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