La Cougar et le puceau — Épisode 4 : La bouche et les seins de Lara

- Par l'auteur HDS Cyp-Perruche -
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Récit libertin : La Cougar et le puceau — Épisode 4 : La bouche et les seins de Lara Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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La Cougar et le puceau — Épisode 4 : La bouche et les seins de Lara
Quand Paul s’est vidé en moi, son poids a glissé comme une couverture chaude, puis il a roulé sur le côté, le souffle court, repu comme seuls les hommes de son âge savent l’être quand on les a menés jusqu’au bout sans les brusquer. Moi, je suis restée ouverte, les cuisses encore offertes, le ventre tiède, les muscles battant à contretemps comme si mon plaisir voulait prolonger la scène au-delà de la scène, et, dans l’ombre de la porte restée entrebâillée, j’ai senti la présence, celle que j’avais invitée sans un mot — Bastien, dix-huit ans tout juste, la peau encore neuve et le regard plein de feu, tendu dans le couloir comme un fauve trop bien élevé. Je n’ai pas appelé. Je n’ai pas souri. J’ai simplement laissé la lumière raser ma peau et, d’un geste infime, j’ai écarté un peu plus les genoux pour qu’il voie la liqueur blanche couler sur mes cuisses. Je savais exactement ce que cette image ferait à sa main, plus tard, dans le noir.
Le lendemain, je l’ai croisé près de la piscine, torse nu, nerveux, essayant d’apprivoiser son propre corps qui le trahissait dès que j’apparaissais. Je portais ce maillot noir dont le bas n’est qu’un triangle insolent et le haut deux bouts de tissu qui n’essaient pas vraiment de cacher mes seins ; je suis sortie de l’eau au ralenti, l’eau dessinant des routes brillantes entre mes pointes dures, et je l’ai frôlé d’assez près pour qu’il respire mon parfum, ce mélange d’ambre et de sel qui n’appartient qu’à l’été. Il a évité mes yeux ; sa bouche a tremblé ; j’ai compris que la nuit avait été longue. Toute la journée, j’ai entretenu le feu comme on couve des braises : une bretelle que je remonte sans pudeur, un rire qui lui accroche le ventre, une main posée une seconde de trop sur son épaule quand je lui demande un verre, le string que je fais sécher à la rambarde, dégoulinant, comme une preuve.
La chaleur s’est alourdie à la tombée du soir ; Paul s’est assoupi devant un chapitre qu’il avait lui-même écrit la veille, et la villa s’est remplie d’un silence humide qu’on entend seulement dans le Sud, quand même les volets ont l’air de transpirer. J’ai descendu l’escalier pieds nus, un T-shirt trop grand qui me tombait à mi-cuisses, rien dessous, les cheveux relevés à l’arrache, le genre d’allure qui dit sans le dire « viens et mords ». J’ai ouvert le frigo, bu un long verre d’eau contre la lumière froide, et j’ai senti Bastien avant de le voir : il était dans l’embrasure du salon, figé, comme s’il avait peur que le parquet crie s’il faisait un pas.
— Tu ne dors pas, Bastien ? ai-je demandé, la voix basculant volontairement sur la dernière syllabe.
— Trop chaud, a-t-il dit. (Et j’ai entendu « trop toi » derrière « trop chaud ».)
Je me suis assise au bout du canapé, pas à côté de lui : contre lui. Sa cuisse nue sous le coton fin de mon T-shirt, sa peau qui se hérisse au contact, son odeur de garçon lavé vite, de savon et de sueur rattrapée. Ma main a glissé sur sa jambe comme si je cherchais l’accoudoir ; elle ne cherchait rien. Elle a trouvé. Toute la dureté qu’il essayait de nier s’est plaquée contre mon paume ouverte à travers le short. Je n’ai pas frotté. Je n’ai pas serré. Je l’ai tenu, à plat, comme on tient un secret qu’on va bientôt révéler.
— Tu m’as vue hier soir, ai-je soufflé si près que mes lèvres effleuraient sa tempe. Dis-moi la vérité.
Il a avalé sa salive comme un enfant pris la main dans le pot de confiture, et j’ai senti sa queue battre contre ma main, plus fort, au rythme du cœur.
— Oui.
— Et tu t’es touché en pensant à moi.
Le silence a été une confession, et j’ai souri.
— Viens.
Je me suis levée la première, sans le regarder, lui donnant mon dos, mes jambes nues, le bas de mes fesses que le T-shirt ne retenait plus, et je me suis dirigée vers la petite salle de bain du rez-de-chaussée en laissant exprès la porte entrouverte. Il a suivi sans bruit, le short déjà tendu d’une manière indécente, la faim au visage, cette faim dont je suis la spécialiste et le remède.
Je ne lui ai pas laissé le temps de réfléchir : une fois la porte refermée, je me suis retournée, je lui ai pris le poignet, j’ai descendu son short comme on dévoile une statue qu’on a longtemps imaginée, et sa bite a bondi, épaisse, lourde, rouge de sang neuf, belle comme toutes les bites de dix-huit ans quand elles sont au garde-à-vous pour la première fois devant une femme qui sait. Je l’ai regardée une seconde, juste pour le plaisir de voir ses yeux chavirer quand je la nomme d’un regard, et je me suis agenouillée entre la machine à laver et le lavabo, sur le carrelage tiède, mon T-shirt glissant à mes côtés comme une peau inutile.
— Les mains derrière la tête, ai-je ordonné. Tu me laisses faire.
Il a obéi, raide, tremblant, et je l’ai prise à la base avec une douceur cruelle, j’ai senti le poids, la chaleur, l’odeur de sel et de savon mêlés, puis j’ai posé ma langue sur la veine, lentement, en remontant, en le regardant droit, et j’ai enfermé le gland dans ma bouche avec une lenteur de cérémonie, juste la couronne d’abord, juste le bord, pour l’entendre gémir comme un animal blessé dont on lèche la plaie pour mieux l’exciter. J’ai ajouté la paume, j’ai fait coulisser la main en contrepoint de la bouche, j’ai laissé filer un filet de salive que j’ai étalé du pouce, j’ai monté, descendu, avalé un peu plus, encore, puis tout, jusqu’à sentir sa pointe heurter ma gorge et mes yeux se mouiller de larmes qui n’étaient pas de la tristesse. Il m’a dit mon prénom comme on dit une excuse, j’ai serré plus fort sa base, j’ai creusé mes joues, j’ai aspiré, j’ai bridé mon rythme pour qu’il souffre, qu’il supplie, qu’il se torde sans pouvoir me toucher.
— Regarde-moi, ai-je soufflé en me reculant d’un centimètre, la bouche encore ouverte autour de lui.
Il a baissé les yeux ; je l’ai avalé à nouveau d’un coup, lui arrachant un juron, « putain Lara », et j’ai souri autour de sa queue, ce sourire qu’ils sentent même quand on ne le voit pas. Il craquait, c’était écrit partout : dans ses cuisses qui tremblaient, dans ses doigts qui se crispaient sur sa nuque pour se retenir d’attraper ma tête, dans son ventre qui commençait à frémir. Je l’ai gardé au bord, volontairement, avec cette science patiente que Paul croit avoir inventée et que j’exerce depuis des années : trois va-et-vient lents, deux rapides, une pause, la langue qui tournoie, la main qui tord, un baiser sur la pointe pour lui faire croire que je vais être tendre, puis la gorge à nouveau, avaler, avaler, avaler jusqu’à sentir sa plainte monter comme on sent la marée.
— À genoux c’est trop pour toi, j’ai murmuré contre sa peau, alors donne-moi ça sur mes seins.
Je me suis redressée d’un mouvement de danseuse, j’ai saisi le bas du T-shirt, je l’ai jeté au sol ; mes seins ont bondi dans la lumière jaune de la salle de bain, lourds, pleins, les tétons durs comme si c’était eux qui commandaient la suite. J’ai pris sa queue entre eux, j’ai pressé, j’ai fait coulisser ma poitrine huilée de salive autour de sa longueur, et j’ai levé le visage vers lui, la bouche entrouverte, la langue prête, tandis que mes mains encadraient mes seins pour lui fabriquer un étau vivant.
— Vas-y, salis-moi, ai-je dit sans baisser les yeux. Je le veux partout.
Le premier jet a frappé ma gorge dans un bruit mouillé, brûlant comme une gifle délicieuse ; le deuxième m’a éclaboussée jusqu’au menton ; le troisième a éclaté sur ma bouche, j’ai avancé la langue par réflexe, j’ai goûté le garçon, ce goût métallique qui me renvoie à dix-huit ans quand je dévorais tout ce qui bougeait. Il a presque pleuré en s’effondrant contre le mur, les cuisses tremblantes, et moi je l’ai trait, lentement, jusqu’à la dernière goutte, que j’ai ramassée du doigt avant de la poser contre ma lèvre, pour qu’il comprenne que je suis la femme qui prend et qui fait prendre.
Il respirait comme s’il sortait de l’eau ; je l’ai laissé reprendre pied et, au lieu de m’éloigner, j’ai tourné le dos, j’ai posé mes mains à plat sur le lavabo, j’ai cambré mon bassin et j’ai écarté mes fesses avec une indécence tranquille, lui offrant ma raie comme une ligne de vie, mon cul comme une promesse, ma chatte encore luisante comme la seconde. Je l’ai senti tressaillir derrière moi, déjà en train de redresser la tête malgré l’orage qu’il venait de lâcher, et j’ai ri, bas, parce que j’adore ce son chez moi, ce rire de femme qui sait.
— Tu as goûté ma bouche, ai-je dit, la voix pleine comme une gorgée de vin, maintenant regarde bien ce que tu prendras la prochaine fois.
J’ai saisi sa main, j’ai guidé son index entre mes fesses, j’ai pressé contre mon anneau serré, j’ai laissé la pulpe masser en cercles, j’ai salivé dans ma paume, j’ai enduit son doigt et je l’ai amené à me dilater, doucement, juste le bord, juste pour la brûlure claire qui fait couiner, et j’ai posé son autre main sur ma chatte pour qu’il sente à quel point son doigt au mauvais endroit me rend meilleure au bon. Il a geint un « Lara, je… » qui était déjà une prière ; je l’ai interrompu.
— Pas ici. Pas maintenant. Dans mon lit. Quand je te dirai.
Je me suis redressée, je me suis rincée d’un jet tiède, j’ai essuyé ma peau d’un geste qui n’essayait pas d’effacer, et je me suis tournée vers lui. Il avait retrouvé mes seins avec ses yeux et sa queue tentait déjà de renaître, héroïque ; j’ai caressé sa joue comme on calme un cheval trop pressé.
— Tu vas rêver de mon cul toute la nuit, mon loup, et demain tu seras debout aux aurores comme tous les garçons de dix-huit ans qu’une femme a marqués. Tu viendras quand je t’appellerai. Tu te tairas. Tu me baiseras comme je te l’enseignerai. Et tu me remercieras la bouche pleine.
Je l’ai laissé là, ruisselant, vidé et pourtant plus vivant qu’une minute plus tôt ; j’ai remonté l’escalier, nue, sans presser le pas, certaine qu’il me regardait encore. Au seuil de la chambre, Paul dormait, la bouche ouverte, une main sur la page retournée de son roman ; je me suis couchée contre son flanc sans fermer les yeux, et dans le noir j’ai senti mon corps anticiper le prochain chapitre : la bouche de Bastien, mon cul, la cadence nouvelle d’un garçon à qui l’on apprend la bonne obscénité. Je ne dors jamais mieux que la veille d’une première fois.
Demain, il sonnera à ma porte. Demain, je le ferai rentrer sans un mot. Demain, je lui offrirai ce que les hommes oublient et que les garçons n’ont pas encore appris : l’art de me prendre là où je me donne et de me donner là où je prends. Et quand il ressortira, il ne sera plus puceau de rien. Il sera à moi.

Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).

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