Série la cougar et le puceau : Le verger aux fruits défendus

Récit érotique écrit par Cyp-Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
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Série la cougar et le puceau :
Le verger aux fruits défendus
Elle n’aurait pas dû être là. Encore moins seule avec lui. Mais c’est Martine qui l’avait envoyée chercher des fruits mûrs au verger. Une vieille histoire de confiture, ou de tarte à la mirabelle. Lui, le fils des voisins, traînait dans les parages avec les autres jeunes du hameau. Dix-sept ans, peut-être dix-huit, pas plus. Le regard fuyant, le pas hésitant, le genre de garçon qui n’ose même pas parler si on ne l’interroge pas. Mais elle l’avait vu. Il l’avait vue.
Il y avait eu ce regard. Ce minuscule instant où ses yeux étaient restés un peu trop longtemps sur ses cuisses, juste au-dessus du genou, là où la jupe s’était légèrement retroussée pendant qu’elle s’accroupissait. Il avait rougi. Elle avait souri.
Alors, quand elle avait demandé à voix haute si quelqu’un voulait l’aider à ramasser des fruits, c’est lui qui s’était levé. Un peu trop vite. Comme un appel muet de ses reins, comme un élan qu’il ne contrôlait pas. Et elle avait compris.
Ils marchèrent tous les deux à travers le petit sentier qui serpentait jusqu’au verger. Elle en tête. Lui derrière. Et déjà, il bandait. Elle le savait. Elle le sentait. Elle le devinait dans sa respiration, dans la façon dont il ralentissait quand elle accélérait, comme s’il voulait juste rester derrière elle, juste assez près pour voir le tissu de sa robe coller à ses fesses à chaque pas.
Arrivés sous les premiers arbres, elle fit mine de chercher une branche basse. Elle leva les bras, fit craquer son dos, étira ses épaules. Il s’approcha, la regarda faire, mal à l’aise, les mains dans les poches. Elle tourna légèrement la tête, le fixa, et dit simplement :
— Tu m’aides ou tu restes planté là à me mater ?
Il rougit violemment. Mais s’approcha. Elle tendit le bras. Il se plaça derrière elle pour atteindre la branche au-dessus. Et son torse toucha son dos.
Elle ne bougea pas.
C’est lui qui recula. Paniqué.
— Excusez-moi…
Elle se retourna. Lentement. Le regarda. Il tremblait.
— T’es nerveux ?
Il hocha la tête, confus. Alors elle s’approcha. Très près. Elle pouvait sentir l’odeur de sa sueur. De sa peur. Et de son excitation brute.
— Tu veux que je te montre ?
Il ne répondit pas. Mais ses yeux criaient oui.
Elle défit un bouton de sa robe. Puis un autre. Lentement. Et encore un. Jusqu’à laisser apparaître la naissance de ses seins. Pas jeunes. Mais beaux. Pleins. Vrais. Puis elle fit glisser le tissu sur ses hanches. Et se mit à genoux dans l’herbe.
Elle posa ses mains sur ses cuisses à lui. Il tremblait. Elle sourit. Elle approcha son visage. Puis, sans prévenir, elle frotta doucement son nez contre la bosse déjà bien visible de son short.
Il étouffa un gémissement. Sa main droite se crispa.
— Tu veux que je t’aide ?
Il souffla un « oui » à peine audible.
Alors elle descendit le short. Et le vit. Raide. Gonflé. Palpitant. Elle l’entoura de ses doigts. Puis elle le regarda dans les yeux. Et le prit dans sa bouche.
Il gémit plus fort. Son bassin eut un sursaut. Mais elle le tenait fermement. Et elle le suçait lentement, avec une langue chaude, vive, glissante. Lui, les jambes fléchies, la tête renversée, se retenait de toutes ses forces. Mais c’était trop. C’était la première fois. C’était elle.
Elle le sentit venir. Elle augmenta le rythme. Elle accéléra. Et quand il jouit, ce fut brutal, désordonné, incontrôlable. Il poussa un cri rauque. Son foutre gicla dans sa gorge. Et elle l’avala. Entièrement.
Puis elle se releva. S’essuya la bouche. Et sourit.
— Voilà, mon grand. Maintenant, tu sauras comment remercier une femme.
Et elle retourna vers la maison, un panier de mirabelles dans les bras, et la bouche encore tiède d’un plaisir qu’aucune confiture ne pourrait égaler.
Mais elle n’était pas seule. Elle le sut avant même de l’entendre. Un pas dans l’herbe. Un souffle retenu. Elle s’arrêta, tourna lentement la tête. Et vit Hugo, le frère aîné. Dix-neuf ans. Plus grand. Plus nerveux. Le regard dur. Il l’avait suivie.
— Tu crois que je t’ai pas vue ? lança-t-il, la voix à peine posée.
Elle ne répondit pas. Elle le fixa. Son regard. Sa colère. Son trouble. Il avait tout vu. Et il bandait, lui aussi. C’était écrit dans son pantalon.
Elle reposa le panier à terre.
— Tu veux ton tour ? demanda-t-elle sans bouger.
Il resta figé. Comme s’il n’attendait que ça. Comme si tout son corps hurlait « oui ».
Alors elle s’approcha. Doucement. Le regard planté dans le sien.
— Viens cueillir ton fruit, Hugo. J’en ai encore un… bien mûr.
Il s’avança. Tremblant. Mais résolu. Elle attrapa sa main, la posa sur sa hanche nue, là où la robe s’était déjà soulevée.
Il n’attendit pas. Il la plaqua contre le tronc. Bousculée, elle rit doucement. Il glissa sa main entre ses cuisses, trouva l’entrée déjà chaude, déjà humide. Elle était prête.
— Bouffe-moi, souffla-t-elle.
Et il obéit. Il tomba à genoux. Souleva la robe. Enterra sa bouche dans sa chatte encore tiède du foutre de son frère. Il lécha. Il suçait. Il s’enivrait.
Elle se cambra. Elle gémit. Elle lui offrait tout.
Quand elle jouit, elle s’agrippa aux branches au-dessus de sa tête. Son corps entier frissonna, se contracta, pulsa.
Alors il se releva. Baissa son jean. Et sans prévenir, la pénétra.
Il la prit fort, profond, brutal. Elle cria. Pas de douleur. Juste du choc. Du plaisir pur. Il lui martelait le bassin, la tenait par les hanches, et elle en redemandait.
— Plus fort, Hugo. Plus fort.
Et il obéit. Jusqu’à venir en elle dans un râle de bête. Elle sentit son foutre couler au fond d’elle, chaud, abondant, vibrant.
Ils restèrent collés quelques secondes. Essoufflés. Enlacés.
Puis elle rit. Elle l’embrassa. Et murmura :
— Vous êtes deux bons garçons. Mais moi… j’ai encore faim.
Et elle reprit son panier, s’essuya lentement les cuisses, et repartit vers la maison, les jambes un peu plus ouvertes, le sourire un peu plus large…
Mais elle n’était pas seule. Elle le sut avant même de l’entendre. Un pas dans l’herbe. Un souffle retenu. Elle s’arrêta, tourna lentement la tête. Et vit Hugo, le frère aîné. Dix-neuf ans. Plus grand. Plus nerveux. Le regard dur. Il l’avait suivie.
— Tu crois que je t’ai pas vue ? lança-t-il, la voix à peine posée.
Elle ne répondit pas. Elle le fixa. Son regard. Sa colère. Son trouble. Il avait tout vu. Et il bandait, lui aussi. C’était écrit dans son pantalon.
Elle reposa le panier à terre.
— Tu veux ton tour ? demanda-t-elle sans bouger.
Il resta figé. Comme s’il n’attendait que ça. Comme si tout son corps hurlait « oui ».
Alors elle s’approcha. Doucement. Le regard planté dans le sien.
— Viens cueillir ton fruit, Hugo. J’en ai encore un… bien mûr.
Il s’avança. Tremblant. Mais résolu. Elle attrapa sa main, la posa sur sa hanche nue, là où la robe s’était déjà soulevée.
Il n’attendit pas. Il la plaqua contre le tronc. Bousculée, elle rit doucement. Il glissa sa main entre ses cuisses, trouva l’entrée déjà chaude, déjà humide. Elle était prête.
— Goûte-moi, souffla-t-elle.
Et il obéit. Il tomba à genoux, écarta la robe, et enfouit son visage dans cette chair offerte, tiède, trempée. Sa langue glissait, fouillait, pressait. Elle haletait, les mains agrippées à l’écorce, le corps agité de frissons incontrôlables. Et lorsqu’elle jouit, ce fut en silence, la bouche ouverte sur un cri muet, son bassin plaqué contre sa bouche, le nectar ruisselant jusque sur ses joues.
Elle se pencha alors, le tira vers elle, et l’embrassa à pleine bouche, goûtant sur ses lèvres sa propre moiteur.
Puis elle glissa lentement à genoux, défit son pantalon, sortit sa verge tendue et la prit dans sa bouche avec une douceur presque religieuse. Elle la suçait avec lenteur, avec art, l’avalant jusqu’à la gorge, ses yeux levés vers lui. Hugo gémissait, mains dans ses cheveux, luttant pour ne pas tout lâcher.
Elle se redressa enfin, le regard brûlant, la robe toujours retroussée.
— Montre-moi ce que tu vaux.
Puis elle se redressa, se retourna lentement contre le tronc, écartant légèrement les jambes, cambrant son bassin.
— Maintenant, baise-moi.
Et il s’enfonça en elle d’un seul coup, gémissant d’un souffle rauque. Elle l’accueillit d’un cri, les mains sur l’écorce, le visage levé au ciel. Il la prenait, en longues poussées profondes, la maintenant par les hanches. Elle le guidait, gémissait, se cambrait davantage.
— Plus fort, Hugo. Oui, comme ça… encore…
Il accéléra. Ses coups de reins devenaient plus puissants, plus désespérés. La sueur glissait entre leurs peaux.
Alors elle se redressa un instant, le fit s’asseoir contre une souche et grimpa sur lui, les cuisses écartées. Elle le prit en elle à nouveau, lentement, le regard dans le sien, puis se mit à onduler comme une reine. Il haletait, ses mains agrippées à ses hanches.
— Tu veux me donner tout ? murmura-t-elle.
— Oui…
— Alors écoute…
Elle s’immobilisa, se pencha vers lui, et dans un souffle :
— Je veux sentir ta langue… partout. Et puis… tu te trompes de fruit. Tu glisses ailleurs. Tu comprends ?
Il rougit, hocha la tête. Il n’en revenait pas. Mais il obéit.
Elle se tourna à nouveau, se mit à quatre pattes, l’aida de ses doigts. Et il entra, lentement, tremblant, haletant. Elle gémit d’un coup, d’un vrai cri.
— Vas-y… n’aie pas peur…
Il bougeait doucement, puis plus fort. Et elle aimait ça. Elle vibrait. Elle ondulait sous lui, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus.
Et quand il se retira au bord de l’explosion, elle se retourna, se pencha en arrière, et il gicla sur elle. Le sperme jaillit en plusieurs jets puissants, aspergeant son ventre, ses seins, sa gorge, sa bouche entrouverte. Elle en reçut chaque giclée avec un plaisir évident, étalant la chaleur blanche sur sa peau, la faisant briller dans la lumière verte du verger.
Elle rit, passa un doigt dans la semence tiède, et le porta à ses lèvres.
— Tu es un homme, maintenant. Un vrai.
Elle récupéra son panier, nue, ruisselante, et s’éloigna sans un mot, le cœur battant et la peau brillante de foutre.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
Il y avait eu ce regard. Ce minuscule instant où ses yeux étaient restés un peu trop longtemps sur ses cuisses, juste au-dessus du genou, là où la jupe s’était légèrement retroussée pendant qu’elle s’accroupissait. Il avait rougi. Elle avait souri.
Alors, quand elle avait demandé à voix haute si quelqu’un voulait l’aider à ramasser des fruits, c’est lui qui s’était levé. Un peu trop vite. Comme un appel muet de ses reins, comme un élan qu’il ne contrôlait pas. Et elle avait compris.
Ils marchèrent tous les deux à travers le petit sentier qui serpentait jusqu’au verger. Elle en tête. Lui derrière. Et déjà, il bandait. Elle le savait. Elle le sentait. Elle le devinait dans sa respiration, dans la façon dont il ralentissait quand elle accélérait, comme s’il voulait juste rester derrière elle, juste assez près pour voir le tissu de sa robe coller à ses fesses à chaque pas.
Arrivés sous les premiers arbres, elle fit mine de chercher une branche basse. Elle leva les bras, fit craquer son dos, étira ses épaules. Il s’approcha, la regarda faire, mal à l’aise, les mains dans les poches. Elle tourna légèrement la tête, le fixa, et dit simplement :
— Tu m’aides ou tu restes planté là à me mater ?
Il rougit violemment. Mais s’approcha. Elle tendit le bras. Il se plaça derrière elle pour atteindre la branche au-dessus. Et son torse toucha son dos.
Elle ne bougea pas.
C’est lui qui recula. Paniqué.
— Excusez-moi…
Elle se retourna. Lentement. Le regarda. Il tremblait.
— T’es nerveux ?
Il hocha la tête, confus. Alors elle s’approcha. Très près. Elle pouvait sentir l’odeur de sa sueur. De sa peur. Et de son excitation brute.
— Tu veux que je te montre ?
Il ne répondit pas. Mais ses yeux criaient oui.
Elle défit un bouton de sa robe. Puis un autre. Lentement. Et encore un. Jusqu’à laisser apparaître la naissance de ses seins. Pas jeunes. Mais beaux. Pleins. Vrais. Puis elle fit glisser le tissu sur ses hanches. Et se mit à genoux dans l’herbe.
Elle posa ses mains sur ses cuisses à lui. Il tremblait. Elle sourit. Elle approcha son visage. Puis, sans prévenir, elle frotta doucement son nez contre la bosse déjà bien visible de son short.
Il étouffa un gémissement. Sa main droite se crispa.
— Tu veux que je t’aide ?
Il souffla un « oui » à peine audible.
Alors elle descendit le short. Et le vit. Raide. Gonflé. Palpitant. Elle l’entoura de ses doigts. Puis elle le regarda dans les yeux. Et le prit dans sa bouche.
Il gémit plus fort. Son bassin eut un sursaut. Mais elle le tenait fermement. Et elle le suçait lentement, avec une langue chaude, vive, glissante. Lui, les jambes fléchies, la tête renversée, se retenait de toutes ses forces. Mais c’était trop. C’était la première fois. C’était elle.
Elle le sentit venir. Elle augmenta le rythme. Elle accéléra. Et quand il jouit, ce fut brutal, désordonné, incontrôlable. Il poussa un cri rauque. Son foutre gicla dans sa gorge. Et elle l’avala. Entièrement.
Puis elle se releva. S’essuya la bouche. Et sourit.
— Voilà, mon grand. Maintenant, tu sauras comment remercier une femme.
Et elle retourna vers la maison, un panier de mirabelles dans les bras, et la bouche encore tiède d’un plaisir qu’aucune confiture ne pourrait égaler.
Mais elle n’était pas seule. Elle le sut avant même de l’entendre. Un pas dans l’herbe. Un souffle retenu. Elle s’arrêta, tourna lentement la tête. Et vit Hugo, le frère aîné. Dix-neuf ans. Plus grand. Plus nerveux. Le regard dur. Il l’avait suivie.
— Tu crois que je t’ai pas vue ? lança-t-il, la voix à peine posée.
Elle ne répondit pas. Elle le fixa. Son regard. Sa colère. Son trouble. Il avait tout vu. Et il bandait, lui aussi. C’était écrit dans son pantalon.
Elle reposa le panier à terre.
— Tu veux ton tour ? demanda-t-elle sans bouger.
Il resta figé. Comme s’il n’attendait que ça. Comme si tout son corps hurlait « oui ».
Alors elle s’approcha. Doucement. Le regard planté dans le sien.
— Viens cueillir ton fruit, Hugo. J’en ai encore un… bien mûr.
Il s’avança. Tremblant. Mais résolu. Elle attrapa sa main, la posa sur sa hanche nue, là où la robe s’était déjà soulevée.
Il n’attendit pas. Il la plaqua contre le tronc. Bousculée, elle rit doucement. Il glissa sa main entre ses cuisses, trouva l’entrée déjà chaude, déjà humide. Elle était prête.
— Bouffe-moi, souffla-t-elle.
Et il obéit. Il tomba à genoux. Souleva la robe. Enterra sa bouche dans sa chatte encore tiède du foutre de son frère. Il lécha. Il suçait. Il s’enivrait.
Elle se cambra. Elle gémit. Elle lui offrait tout.
Quand elle jouit, elle s’agrippa aux branches au-dessus de sa tête. Son corps entier frissonna, se contracta, pulsa.
Alors il se releva. Baissa son jean. Et sans prévenir, la pénétra.
Il la prit fort, profond, brutal. Elle cria. Pas de douleur. Juste du choc. Du plaisir pur. Il lui martelait le bassin, la tenait par les hanches, et elle en redemandait.
— Plus fort, Hugo. Plus fort.
Et il obéit. Jusqu’à venir en elle dans un râle de bête. Elle sentit son foutre couler au fond d’elle, chaud, abondant, vibrant.
Ils restèrent collés quelques secondes. Essoufflés. Enlacés.
Puis elle rit. Elle l’embrassa. Et murmura :
— Vous êtes deux bons garçons. Mais moi… j’ai encore faim.
Et elle reprit son panier, s’essuya lentement les cuisses, et repartit vers la maison, les jambes un peu plus ouvertes, le sourire un peu plus large…
Mais elle n’était pas seule. Elle le sut avant même de l’entendre. Un pas dans l’herbe. Un souffle retenu. Elle s’arrêta, tourna lentement la tête. Et vit Hugo, le frère aîné. Dix-neuf ans. Plus grand. Plus nerveux. Le regard dur. Il l’avait suivie.
— Tu crois que je t’ai pas vue ? lança-t-il, la voix à peine posée.
Elle ne répondit pas. Elle le fixa. Son regard. Sa colère. Son trouble. Il avait tout vu. Et il bandait, lui aussi. C’était écrit dans son pantalon.
Elle reposa le panier à terre.
— Tu veux ton tour ? demanda-t-elle sans bouger.
Il resta figé. Comme s’il n’attendait que ça. Comme si tout son corps hurlait « oui ».
Alors elle s’approcha. Doucement. Le regard planté dans le sien.
— Viens cueillir ton fruit, Hugo. J’en ai encore un… bien mûr.
Il s’avança. Tremblant. Mais résolu. Elle attrapa sa main, la posa sur sa hanche nue, là où la robe s’était déjà soulevée.
Il n’attendit pas. Il la plaqua contre le tronc. Bousculée, elle rit doucement. Il glissa sa main entre ses cuisses, trouva l’entrée déjà chaude, déjà humide. Elle était prête.
— Goûte-moi, souffla-t-elle.
Et il obéit. Il tomba à genoux, écarta la robe, et enfouit son visage dans cette chair offerte, tiède, trempée. Sa langue glissait, fouillait, pressait. Elle haletait, les mains agrippées à l’écorce, le corps agité de frissons incontrôlables. Et lorsqu’elle jouit, ce fut en silence, la bouche ouverte sur un cri muet, son bassin plaqué contre sa bouche, le nectar ruisselant jusque sur ses joues.
Elle se pencha alors, le tira vers elle, et l’embrassa à pleine bouche, goûtant sur ses lèvres sa propre moiteur.
Puis elle glissa lentement à genoux, défit son pantalon, sortit sa verge tendue et la prit dans sa bouche avec une douceur presque religieuse. Elle la suçait avec lenteur, avec art, l’avalant jusqu’à la gorge, ses yeux levés vers lui. Hugo gémissait, mains dans ses cheveux, luttant pour ne pas tout lâcher.
Elle se redressa enfin, le regard brûlant, la robe toujours retroussée.
— Montre-moi ce que tu vaux.
Puis elle se redressa, se retourna lentement contre le tronc, écartant légèrement les jambes, cambrant son bassin.
— Maintenant, baise-moi.
Et il s’enfonça en elle d’un seul coup, gémissant d’un souffle rauque. Elle l’accueillit d’un cri, les mains sur l’écorce, le visage levé au ciel. Il la prenait, en longues poussées profondes, la maintenant par les hanches. Elle le guidait, gémissait, se cambrait davantage.
— Plus fort, Hugo. Oui, comme ça… encore…
Il accéléra. Ses coups de reins devenaient plus puissants, plus désespérés. La sueur glissait entre leurs peaux.
Alors elle se redressa un instant, le fit s’asseoir contre une souche et grimpa sur lui, les cuisses écartées. Elle le prit en elle à nouveau, lentement, le regard dans le sien, puis se mit à onduler comme une reine. Il haletait, ses mains agrippées à ses hanches.
— Tu veux me donner tout ? murmura-t-elle.
— Oui…
— Alors écoute…
Elle s’immobilisa, se pencha vers lui, et dans un souffle :
— Je veux sentir ta langue… partout. Et puis… tu te trompes de fruit. Tu glisses ailleurs. Tu comprends ?
Il rougit, hocha la tête. Il n’en revenait pas. Mais il obéit.
Elle se tourna à nouveau, se mit à quatre pattes, l’aida de ses doigts. Et il entra, lentement, tremblant, haletant. Elle gémit d’un coup, d’un vrai cri.
— Vas-y… n’aie pas peur…
Il bougeait doucement, puis plus fort. Et elle aimait ça. Elle vibrait. Elle ondulait sous lui, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus.
Et quand il se retira au bord de l’explosion, elle se retourna, se pencha en arrière, et il gicla sur elle. Le sperme jaillit en plusieurs jets puissants, aspergeant son ventre, ses seins, sa gorge, sa bouche entrouverte. Elle en reçut chaque giclée avec un plaisir évident, étalant la chaleur blanche sur sa peau, la faisant briller dans la lumière verte du verger.
Elle rit, passa un doigt dans la semence tiède, et le porta à ses lèvres.
— Tu es un homme, maintenant. Un vrai.
Elle récupéra son panier, nue, ruisselante, et s’éloigna sans un mot, le cœur battant et la peau brillante de foutre.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
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