Rencontre nocturne

Récit érotique écrit par Cyp-Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
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Rencontre nocturne
Le bar sentait le vieux cuir, la bière tiède et le sexe en attente. Daniel entra sans saluer personne, son regard balayant la salle comme un vieux loup qui reconnaît les tanières. Il approchait des soixante-dix, mais portait sa solitude comme un cuir trop usé. Il ne venait pas pour parler.
Elle, elle était déjà là. En bord de comptoir. Une petite jupe noire fendue jusqu’à l’aine, pas de culotte. Un top transparent sans soutien-gorge. Des jambes longues, une bouche brillante, et un regard qui disait « viens ». Divine. C’est comme ça qu’on l’appelait, même si son prénom devait être bien plus banal. Elle le vit, lui fit signe et s’approcha. — Salut, papy… t’as de quoi t’payer une pipe ou tu veux juste baver sur mes nichons ? Il sourit. Elle allait droit au but. Il adorait ça. Il glissa un billet contre sa hanche nue. — J’paie d’avance. Et je bave pendant. J’ai ma voiture devant — Alors viens ! Qu’est ce que t’attends, je veux savoir si t’as encore du jus ou juste des souvenirs. Ils se dirigèrent dans les toilettes sans un mot de plus. Elle le suivit d’un pas tranquille, exagérant le déhanchement. Dans la cabine, elle écarta les cuisses. — Regarde bien, papy. C’est là que tu veux finir ou dans ma bouche ? Il posa la main entre ses jambes. Humide déjà. Elle ne portait rien. Il la caressa, lentement, puis plus fort, ses doigts trempés, le cœur cognant. Elle de son côté, sortit sa queue d’un geste sec et le branla en retour. — Putain… t’as du matos pour ton âge. Elle le branlait vite, la main ferme comme une salope experte, les couilles dans l’autre main. — Vas-y… crache-moi ça sur ma langue, vieux salaud… Il explosa. Longs jets, salés, puissants. Elle ne lâcha rien. Elle avala tout, l’œil brillant. —T’en veux encore, papy ? Ne restons pas ici…Ça fera cinquante balle de plus.
Ils quittèrent le bar sans un mot, mais tout en eux criait la suite. Divine lui prit la main sans demander, sans jouer. C’était naturel, évident, presque sale de simplicité. Daniel serra ses doigts, comme on saisit un fruit mûr, et l’emmena d’un pas tranquille jusqu’à son 4x4, garé juste en face. Il lui ouvrit la portière. Elle s’installa sans un regard, jambes croisées, minijupe remontée jusqu'à mi-cuisse. Il la rejoignit, et à peine assis, sa main glissa.
Directement sur l’intérieur de sa cuisse.
— T’es trempée salope. — Non… c’est que j’ai chaud et tes doigts m’ont fait de l'effet, et si t’insistes, je crache plus fort que vous quand je jouis.
Elle le regarda en coin, une lueur de défi dans les yeux. Il s’approcha pour l’embrasser, mais elle tourna la tête et lui offrit sa joue avec un sourire moqueur :
— Pas ici, papy. Pas au bord d’un trottoir. Trouve-moi un coin où je peux crier si tu me fais trop jouir.
— Allons chez-moi, je vis seul…
Il laissa sa main remonter lentement sur le tissu, frôlant le haut de sa cuisse sans oser encore aller plus loin. Puis il démarra. Silencieux. Bandé sous la main de sa co-pilote. Ils roulèrent cinq minutes à peine avant de s’engouffrer sur le parking désert d’un centre commercial.
N’en pouvant plus, il coupa le moteur. Il la regarda. Elle ne souriait plus.
Alors il sortit un billet de cinquante, le lui tendit sans un mot. Divine l’attrapa, le plia, le rangea dans son sac à main. Elle ne dit rien. Mais son regard… c’était celui d’une fille qui sait ce que vaut sa langue.
Daniel abaissa lentement la fermeture de son pantalon.
— Viens, regarde. T’as vu ce que tu me fais ? Tu m’as déjà durci en roulant.
Elle tourna la tête. Elle vit. Elle sourit.
— C’est qu’il est impatient, le vieux lion. Ça remonte déjà.
Il prit sa main, la guida jusqu’à son sexe dressé. Elle le saisit. Pas doucement. Elle le serra comme on teste un fruit au marché.
— Hmm… encore ferme. Mais ça sent la fin de marché quand même.
— T’es insolente, putain…
— T’as payé pour. Pas vrai ?
Elle se pencha, sans théâtralité. Pas de regard appuyé, pas de drame. Elle ouvrit simplement la bouche, et le prit. D’un coup. Profond.
Daniel s’arqua sur son siège. Son souffle se coupa net. Elle le suçait comme une pro, mais sans routine. Comme une artiste en rodage, qui veut qu’on se souvienne d’elle.
Sa langue faisait le tour. Ses lèvres se resserraient, se relâchaient. Elle garda le silence. Tout passait par la gorge. Par les bruits mouillés. Par sa main gauche qui massait ses couilles avec lenteur.
— Oh putain… Divine… continue… t’arrête pas… t’es une vraie chienne…
Elle grogna dans sa bouche. Pas pour répondre. Juste pour montrer qu’elle l’avait entendu. Il posa sa main sur sa tête. Pas pour guider. Juste pour tenir. Pour ne pas exploser trop tôt.
Mais elle accéléra. Ses mouvements devinrent plus serrés, plus bruyants, plus sales. Sa salive coulait, dégoulinait sur sa queue et le long de ses doigts. Elle le pompait comme une enragée, avec des coups de langue sous la couronne, et une aspiration si profonde qu’il en perdit la tête.
— Oh putain… continue, continue, salope… tu vas me faire jouir…
Elle ne répondit pas. Elle l’engloutit encore plus. Jusqu’à sentir sa verge frémir, pulser, gonfler contre sa langue.
Il cria presque, haletant, la main crispée dans ses cheveux :
— Là ! Putain, j’y suis ! Prends tout ! Prends-le !
Et elle le garda dans sa bouche. Elle le serra fort entre les lèvres. Et quand il éjacula, elle sentit chaque jet frapper le fond de sa gorge. Chaud. Épais. Long.
Elle ne recula pas. Elle l’avala.
Un, deux, trois spasmes. Il grogna comme un animal, le bassin agité de soubresauts incontrôlés.
Elle resta là, bouche pleine, puis l’aspira lentement jusqu’à la dernière goutte, bruyamment, sans la moindre honte. Puis elle se redressa, essuya le coin de ses lèvres avec son pouce, et le lécha, lentement, en le regardant.
— Voilà, papy. J’espère que t’as encore de quoi payer pour une troisième fois.
Il ne dit rien. Il haletait encore, trempé de sueur, les mains tremblantes.
Elle se pencha, lui embrassa la joue, et murmura dans un souffle presque tendre :
— C’était bien ? T’as eu ce que tu voulais? On va chez toi maintenant ?
Elle, elle était déjà là. En bord de comptoir. Une petite jupe noire fendue jusqu’à l’aine, pas de culotte. Un top transparent sans soutien-gorge. Des jambes longues, une bouche brillante, et un regard qui disait « viens ». Divine. C’est comme ça qu’on l’appelait, même si son prénom devait être bien plus banal. Elle le vit, lui fit signe et s’approcha. — Salut, papy… t’as de quoi t’payer une pipe ou tu veux juste baver sur mes nichons ? Il sourit. Elle allait droit au but. Il adorait ça. Il glissa un billet contre sa hanche nue. — J’paie d’avance. Et je bave pendant. J’ai ma voiture devant — Alors viens ! Qu’est ce que t’attends, je veux savoir si t’as encore du jus ou juste des souvenirs. Ils se dirigèrent dans les toilettes sans un mot de plus. Elle le suivit d’un pas tranquille, exagérant le déhanchement. Dans la cabine, elle écarta les cuisses. — Regarde bien, papy. C’est là que tu veux finir ou dans ma bouche ? Il posa la main entre ses jambes. Humide déjà. Elle ne portait rien. Il la caressa, lentement, puis plus fort, ses doigts trempés, le cœur cognant. Elle de son côté, sortit sa queue d’un geste sec et le branla en retour. — Putain… t’as du matos pour ton âge. Elle le branlait vite, la main ferme comme une salope experte, les couilles dans l’autre main. — Vas-y… crache-moi ça sur ma langue, vieux salaud… Il explosa. Longs jets, salés, puissants. Elle ne lâcha rien. Elle avala tout, l’œil brillant. —T’en veux encore, papy ? Ne restons pas ici…Ça fera cinquante balle de plus.
Ils quittèrent le bar sans un mot, mais tout en eux criait la suite. Divine lui prit la main sans demander, sans jouer. C’était naturel, évident, presque sale de simplicité. Daniel serra ses doigts, comme on saisit un fruit mûr, et l’emmena d’un pas tranquille jusqu’à son 4x4, garé juste en face. Il lui ouvrit la portière. Elle s’installa sans un regard, jambes croisées, minijupe remontée jusqu'à mi-cuisse. Il la rejoignit, et à peine assis, sa main glissa.
Directement sur l’intérieur de sa cuisse.
— T’es trempée salope. — Non… c’est que j’ai chaud et tes doigts m’ont fait de l'effet, et si t’insistes, je crache plus fort que vous quand je jouis.
Elle le regarda en coin, une lueur de défi dans les yeux. Il s’approcha pour l’embrasser, mais elle tourna la tête et lui offrit sa joue avec un sourire moqueur :
— Pas ici, papy. Pas au bord d’un trottoir. Trouve-moi un coin où je peux crier si tu me fais trop jouir.
— Allons chez-moi, je vis seul…
Il laissa sa main remonter lentement sur le tissu, frôlant le haut de sa cuisse sans oser encore aller plus loin. Puis il démarra. Silencieux. Bandé sous la main de sa co-pilote. Ils roulèrent cinq minutes à peine avant de s’engouffrer sur le parking désert d’un centre commercial.
N’en pouvant plus, il coupa le moteur. Il la regarda. Elle ne souriait plus.
Alors il sortit un billet de cinquante, le lui tendit sans un mot. Divine l’attrapa, le plia, le rangea dans son sac à main. Elle ne dit rien. Mais son regard… c’était celui d’une fille qui sait ce que vaut sa langue.
Daniel abaissa lentement la fermeture de son pantalon.
— Viens, regarde. T’as vu ce que tu me fais ? Tu m’as déjà durci en roulant.
Elle tourna la tête. Elle vit. Elle sourit.
— C’est qu’il est impatient, le vieux lion. Ça remonte déjà.
Il prit sa main, la guida jusqu’à son sexe dressé. Elle le saisit. Pas doucement. Elle le serra comme on teste un fruit au marché.
— Hmm… encore ferme. Mais ça sent la fin de marché quand même.
— T’es insolente, putain…
— T’as payé pour. Pas vrai ?
Elle se pencha, sans théâtralité. Pas de regard appuyé, pas de drame. Elle ouvrit simplement la bouche, et le prit. D’un coup. Profond.
Daniel s’arqua sur son siège. Son souffle se coupa net. Elle le suçait comme une pro, mais sans routine. Comme une artiste en rodage, qui veut qu’on se souvienne d’elle.
Sa langue faisait le tour. Ses lèvres se resserraient, se relâchaient. Elle garda le silence. Tout passait par la gorge. Par les bruits mouillés. Par sa main gauche qui massait ses couilles avec lenteur.
— Oh putain… Divine… continue… t’arrête pas… t’es une vraie chienne…
Elle grogna dans sa bouche. Pas pour répondre. Juste pour montrer qu’elle l’avait entendu. Il posa sa main sur sa tête. Pas pour guider. Juste pour tenir. Pour ne pas exploser trop tôt.
Mais elle accéléra. Ses mouvements devinrent plus serrés, plus bruyants, plus sales. Sa salive coulait, dégoulinait sur sa queue et le long de ses doigts. Elle le pompait comme une enragée, avec des coups de langue sous la couronne, et une aspiration si profonde qu’il en perdit la tête.
— Oh putain… continue, continue, salope… tu vas me faire jouir…
Elle ne répondit pas. Elle l’engloutit encore plus. Jusqu’à sentir sa verge frémir, pulser, gonfler contre sa langue.
Il cria presque, haletant, la main crispée dans ses cheveux :
— Là ! Putain, j’y suis ! Prends tout ! Prends-le !
Et elle le garda dans sa bouche. Elle le serra fort entre les lèvres. Et quand il éjacula, elle sentit chaque jet frapper le fond de sa gorge. Chaud. Épais. Long.
Elle ne recula pas. Elle l’avala.
Un, deux, trois spasmes. Il grogna comme un animal, le bassin agité de soubresauts incontrôlés.
Elle resta là, bouche pleine, puis l’aspira lentement jusqu’à la dernière goutte, bruyamment, sans la moindre honte. Puis elle se redressa, essuya le coin de ses lèvres avec son pouce, et le lécha, lentement, en le regardant.
— Voilà, papy. J’espère que t’as encore de quoi payer pour une troisième fois.
Il ne dit rien. Il haletait encore, trempé de sueur, les mains tremblantes.
Elle se pencha, lui embrassa la joue, et murmura dans un souffle presque tendre :
— C’était bien ? T’as eu ce que tu voulais? On va chez toi maintenant ?
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