La Cougar et le puceau

Récit érotique écrit par Cyp-Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
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La Cougar et le puceau
Il avait cliqué sans réfléchir, presque par réflexe, poussé par ce mélange de curiosité brûlante et de solitude un peu moite que l’on ressent certains soirs quand tout le reste du monde dort. Il était tombé sur le site par hasard, entre deux recherches mal tapées, deux onglets fermés à la va-vite. Et pourtant, dès qu’il avait vu ce nom s’afficher en haut de l’écran, il avait compris que quelque chose était différent.
CougarPremièreFois.com
Pas un site porno. Pas une plateforme d’annonces désespérées. Juste une page noire, élégante, sobre, avec cette phrase en lettres dorées :
« Je ne suis pas une escorte. Je suis ta première fois. Je t’initie. Je t’apprends. Je te fais jouir quand je l’ai décidé. Tu es jeune ? Vierge ? Curieux ? Respectueux ? Alors regarde-moi. Et obéis. »
Julien avait vingt ans. Il était puceau. Et là, tout de suite, il n’avait jamais bandé aussi fort.
Il avait cliqué sur le bouton discret en bas de la page : *“Appel privé — si tu es prêt.”* Il avait vérifié que sa chambre était vide, que la porte était bien fermée, que son visage ne trahissait pas trop son excitation. Et il avait cliqué.
L’écran était noir d’abord. Puis un léger souffle se fit entendre. Et puis… elle apparut.
Elle était assise, nonchalamment, jambes croisées sur un fauteuil bas. Un chemisier entrouvert laissait entrevoir la naissance de ses seins. Une jupe noire fendue jusqu’au haut de la cuisse révélait qu’elle ne portait rien en dessous. Ses cheveux roux retombaient en cascade sur son épaule, et son regard, quand il croisa celui de Julien, n’avait rien de tendre.
— Tu es Julien ? demanda-t-elle d’une voix chaude et grave.
Il acquiesça, trop ému pour parler.
— Bien. Alors écoute-moi. Tu ne touches à rien tant que je ne l’ai pas dit. Tu restes les bras le long du corps. Tu me regardes. Et tu respires.
Il obéit. Sa queue battait déjà contre l’élastique de son short.
— Je vais te parler, Julien. Je vais me caresser devant toi. Et tu ne bougeras pas d’un millimètre tant que je ne t’aurai pas donné l’ordre. Est-ce que tu as bien compris ?
Il hocha la tête. Sa bouche était sèche.
— Dis-le-moi.
— Oui Madame.
Alors elle écarta lentement les jambes. Sans un mot de plus. Et là, sous la lumière douce de sa lampe, il vit sa chatte nue, luisante, tendue déjà comme si elle l’attendait depuis des heures.
Elle passa un doigt lentement entre ses lèvres, le fit glisser jusqu’à son bouton, puis le ramena à sa bouche qu’elle entrouvrit pour le goûter.
— Tu vois ce que tu rates quand tu touches sans permission ?
Il gémit à peine. Son sexe pulsait, tendu, gonflé, sur le point de jaillir sans qu’il n’ait même commencé.
— Maintenant, Julien, enlève ton tee-shirt. Lentement. Je veux voir ton torse, ta respiration. Laisse-moi voir si ton corps me désire autant que tes yeux.
Il obéit. Il tremblait. Et elle souriait.
— Enlève ton short maintenant. Mais garde les mains bien loin de ta queue.
Il s’exécuta. Son sexe se dressa aussitôt, large, palpitant, perlant déjà.
— Bien. C’est très bien. Maintenant… écarte un peu les jambes. Pose-toi confortablement. Et regarde-moi me caresser. Tu vas respirer avec moi. Tu vas rester là, à me regarder me doigter, jusqu’à ce que j’en ai assez.
Elle introduisit deux doigts dans sa chatte, lentement, et son souffle s’accéléra. Elle gémit légèrement, un son retenu, comme une caresse vocale.
Julien, lui, haletait. Mais il ne touchait pas. Il obéissait.
— Tu veux jouir, Julien ?
— Oui Madame. Plus que tout.
— Alors commence à te branler. Mais très lentement. Je veux que tu restes en moi le plus longtemps possible.
Il obéit. Ses doigts se refermèrent sur sa queue tendue. Il commença à la caresser avec une lenteur presque douloureuse. Il suivait le rythme de sa voix, de ses gémissements, de sa main qui s’écrasait contre sa chatte ruisselante.
— Tu vas jouir pour moi. Pas parce que tu veux. Parce que je le veux. Parce que je l’ordonne.
Il accéléra un peu. Il sentait venir l’orgasme, cette montée irrésistible, cette pression sourde qui gonflait à l’intérieur de lui comme une vague de feu.
Et elle dit enfin :
— Maintenant, Julien. Tu peux. Donne-moi tout. Regarde-moi. Gémis pour moi.
Il hurla presque. Son sperme jaillit en longues giclées puissantes. Il tressaillit. Son corps entier convulsa sous l’ordre qu’elle venait de donner. Il s’effondra contre le dossier de la chaise, vidé, secoué, tremblant.
Et elle, de l’autre côté de l’écran, lécha ses doigts encore mouillés.
— Tu as bien travaillé, mon garçon. La prochaine fois… ce sera ta langue.
Puis l’écran devint noir.
Et Julien sut, sans l’ombre d’un doute, qu’il reviendrait. Cinq minutes plus tard, il obtenait son rendez-vous.
Il arriva avec dix minutes d’avance. Il avait pris une douche trop chaude, mis un parfum trop discret, passé trois fois les doigts dans ses cheveux pour dompter une nervosité qui ne cessait de grimper depuis qu’elle lui avait confirmé l’heure par SMS.
“Demain. 19h30. Porte entrouverte. Tu entres. Tu ne parles pas.”
C’était tout ce qu’elle avait écrit. Et c’était bien suffisant.
Julien monta les trois étages à pied, le cœur dans la gorge, le sexe déjà tendu dans son jean malgré lui. Il n’avait pas touché sa queue depuis l’appel visio. Elle le lui avait interdit. Et il avait obéi, comme un bon élève. Comme un chien docile qui n’attend plus que l’ordre d’approcher pour lécher la main — ou le sexe — de sa maîtresse.
La porte était entrouverte, en effet. Il frappa doucement, n’obtint pas de réponse, puis entra.
L’intérieur était feutré. Lampe basse. Odeur chaude de peau, de bois, de vanille. Et elle… elle l’attendait.
Assise sur le bord d’un fauteuil large, jambes croisées comme dans la vidéo, robe noire glissant le long de ses cuisses, poitrine à peine retenue par le tissu, cheveux relevés, lèvres rouges. Elle n’avait pas bougé d’un centimètre. Elle l’avait simplement attendu.
Il referma la porte derrière lui, sans bruit.
— Tu es venu, souffla-t-elle. Viens là. À genoux.
Il s’exécuta. Son regard restait fixé sur elle, sur cette ligne entre ses jambes qu’il avait contemplée par écran interposé, et qu’il allait maintenant pouvoir respirer.
Elle déplia lentement sa jambe droite. Puis la gauche. Écartée. Offerte. Nue.
— Tu voulais goûter ? Tu vas le faire maintenant. Et tu vas le faire lentement.
Il s’avança, ses paumes posées sur le tapis pour ne pas tomber tant son corps tremblait déjà. Quand son visage arriva tout près de son sexe, elle l’arrêta d’une main ferme sur le front.
— Regarde-la d’abord. Sens son odeur. Mais ne la touche pas. Pas encore.
Il obéit. Et elle, déjà humide, étala ses lèvres du bout des doigts pour l’exhiber, pour l’ouvrir devant lui comme un fruit mûr. L’odeur le saisit. Un parfum de femme, de désir, de chatte chaude et prête à être baisée. Il en perdit presque l’équilibre.
— Maintenant, tu lèches. Tu ne suces pas. Tu n’entres pas. Tu lèches. Jusqu’à ce que je t’ouvre. Jusqu’à ce que je veuille ta langue plus profond.
Il s’appliqua. Il posa ses lèvres. Puis sa langue. D’abord timidement, puis avec plus de confiance. Il goûta, aspira, roula sa langue sur le bouton gonflé, le caressa de la pointe, le pressa de la langue entière. Elle soupira. Il frémit. Elle écarta davantage les cuisses. Il s’enfonça plus loin. Sa langue glissa, s’immisça, fouilla.
Elle posa sa main sur sa tête. Le maintint là. Elle se laissait faire. Non. Elle se laissait prendre. Et elle l’entendait gémir doucement contre sa chair, tandis qu’elle se gorgeait de sa salive, de son souffle chaud, de son désir.
Puis elle le repoussa. Son sexe luisait. Son regard brillait.
— Maintenant, déshabille-toi. Mais doucement. Je veux te voir nu, prêt, debout devant moi. Comme un homme. Plus comme un garçon.
Il retira son tee-shirt. Son pantalon. Son boxer. Il était raide. Gonflé. La verge dressée, gonflée d’un désir contenu depuis trop longtemps.
Elle se leva. Se plaça derrière lui. L’embrassa dans le cou. Lentement. Sensuellement.
— Tu veux que je t’enseigne ? Alors couche-toi sur le canapé. Et laisse-moi m’asseoir sur toi.
Et ce fut elle qui le prit.
Elle monta à califourchon, écarta les cuisses, guida sa verge en elle d’un seul geste, lent mais ferme, et l’enfourcha comme une cavalière sûre d’elle. Il haleta. Elle gémit. Puis elle se mit à onduler du bassin, doucement d’abord, puis plus fort, plus profond, jusqu’à ce que son corps tout entier le presse, l’avale, le torde de plaisir.
Elle sentait qu’il approchait. Son souffle était devenu court, irrégulier, haletant comme un galop qui perd le contrôle. Ses mains agrippaient ses hanches, son bassin cognait contre le sien, sa verge palpitait en elle, gonflée, prête à exploser. Elle le regarda dans les yeux, se pencha en avant, la bouche près de son oreille, et murmura, d’une voix basse, ferme, irrésistible :
— Tu ne jouis pas en moi.
Et d’un mouvement précis, elle se redressa, se dégagea de lui en glissant lentement, laissant sa queue jaillir d’elle, luisante, tremblante, prête à cracher.
— Regarde-moi, ordonna-t-elle.
Elle se recula à peine, écarta les pans de sa robe jusqu’à découvrir ses seins, fermes, pleins, les tétons tendus de chaleur. Elle les prit à deux mains, les serra l’un contre l’autre, et les présenta à lui comme une offrande.
— Maintenant.
Il gémit. Un râle rauque, irrépressible, presque douloureux. Et dans un spasme, sa queue jaillit.
La première giclée fusa haut, atterrissant sur la naissance de ses seins. La seconde éclata entre ses doigts, la troisième toucha son téton droit, la quatrième remonta jusqu’à son cou, éclaboussant la base de son menton. Il secoua les hanches, les reins en feu, chaque jet marquant un peu plus son corps à elle, comme s’il l’imprégnait de lui — mais sous son autorité.
Elle le regardait sans ciller. Elle souriait.
— Tu n’as jamais joui comme ça, n’est-ce pas ?
Il n’arrivait pas à parler. Son corps tremblait encore, ruisselant de plaisir, vidé dans un silence presque sacré.
Alors elle s’approcha. Elle prit son sein droit dans une main, l’offrit à sa bouche, et lui dit doucement :
— Nettoie-moi.
Et il obéit.
Il passa la langue sur son téton souillé, l’aspira avec dévotion, goûta sa propre semence tiède sur sa peau encore frémissante. Elle gémit à son tour, pas de plaisir sexuel, mais de puissance, de tendresse dompteuse.
— Tu viens d’apprendre ce qu’est le vrai plaisir, murmura-t-elle en caressant ses cheveux.
Et il sut, dans cet instant suspendu, qu’il ne pourrait plus jamais regarder un sein sans se souvenir du goût. Et comprit, ce que voulait dire jouir de sa première fois.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
CougarPremièreFois.com
Pas un site porno. Pas une plateforme d’annonces désespérées. Juste une page noire, élégante, sobre, avec cette phrase en lettres dorées :
« Je ne suis pas une escorte. Je suis ta première fois. Je t’initie. Je t’apprends. Je te fais jouir quand je l’ai décidé. Tu es jeune ? Vierge ? Curieux ? Respectueux ? Alors regarde-moi. Et obéis. »
Julien avait vingt ans. Il était puceau. Et là, tout de suite, il n’avait jamais bandé aussi fort.
Il avait cliqué sur le bouton discret en bas de la page : *“Appel privé — si tu es prêt.”* Il avait vérifié que sa chambre était vide, que la porte était bien fermée, que son visage ne trahissait pas trop son excitation. Et il avait cliqué.
L’écran était noir d’abord. Puis un léger souffle se fit entendre. Et puis… elle apparut.
Elle était assise, nonchalamment, jambes croisées sur un fauteuil bas. Un chemisier entrouvert laissait entrevoir la naissance de ses seins. Une jupe noire fendue jusqu’au haut de la cuisse révélait qu’elle ne portait rien en dessous. Ses cheveux roux retombaient en cascade sur son épaule, et son regard, quand il croisa celui de Julien, n’avait rien de tendre.
— Tu es Julien ? demanda-t-elle d’une voix chaude et grave.
Il acquiesça, trop ému pour parler.
— Bien. Alors écoute-moi. Tu ne touches à rien tant que je ne l’ai pas dit. Tu restes les bras le long du corps. Tu me regardes. Et tu respires.
Il obéit. Sa queue battait déjà contre l’élastique de son short.
— Je vais te parler, Julien. Je vais me caresser devant toi. Et tu ne bougeras pas d’un millimètre tant que je ne t’aurai pas donné l’ordre. Est-ce que tu as bien compris ?
Il hocha la tête. Sa bouche était sèche.
— Dis-le-moi.
— Oui Madame.
Alors elle écarta lentement les jambes. Sans un mot de plus. Et là, sous la lumière douce de sa lampe, il vit sa chatte nue, luisante, tendue déjà comme si elle l’attendait depuis des heures.
Elle passa un doigt lentement entre ses lèvres, le fit glisser jusqu’à son bouton, puis le ramena à sa bouche qu’elle entrouvrit pour le goûter.
— Tu vois ce que tu rates quand tu touches sans permission ?
Il gémit à peine. Son sexe pulsait, tendu, gonflé, sur le point de jaillir sans qu’il n’ait même commencé.
— Maintenant, Julien, enlève ton tee-shirt. Lentement. Je veux voir ton torse, ta respiration. Laisse-moi voir si ton corps me désire autant que tes yeux.
Il obéit. Il tremblait. Et elle souriait.
— Enlève ton short maintenant. Mais garde les mains bien loin de ta queue.
Il s’exécuta. Son sexe se dressa aussitôt, large, palpitant, perlant déjà.
— Bien. C’est très bien. Maintenant… écarte un peu les jambes. Pose-toi confortablement. Et regarde-moi me caresser. Tu vas respirer avec moi. Tu vas rester là, à me regarder me doigter, jusqu’à ce que j’en ai assez.
Elle introduisit deux doigts dans sa chatte, lentement, et son souffle s’accéléra. Elle gémit légèrement, un son retenu, comme une caresse vocale.
Julien, lui, haletait. Mais il ne touchait pas. Il obéissait.
— Tu veux jouir, Julien ?
— Oui Madame. Plus que tout.
— Alors commence à te branler. Mais très lentement. Je veux que tu restes en moi le plus longtemps possible.
Il obéit. Ses doigts se refermèrent sur sa queue tendue. Il commença à la caresser avec une lenteur presque douloureuse. Il suivait le rythme de sa voix, de ses gémissements, de sa main qui s’écrasait contre sa chatte ruisselante.
— Tu vas jouir pour moi. Pas parce que tu veux. Parce que je le veux. Parce que je l’ordonne.
Il accéléra un peu. Il sentait venir l’orgasme, cette montée irrésistible, cette pression sourde qui gonflait à l’intérieur de lui comme une vague de feu.
Et elle dit enfin :
— Maintenant, Julien. Tu peux. Donne-moi tout. Regarde-moi. Gémis pour moi.
Il hurla presque. Son sperme jaillit en longues giclées puissantes. Il tressaillit. Son corps entier convulsa sous l’ordre qu’elle venait de donner. Il s’effondra contre le dossier de la chaise, vidé, secoué, tremblant.
Et elle, de l’autre côté de l’écran, lécha ses doigts encore mouillés.
— Tu as bien travaillé, mon garçon. La prochaine fois… ce sera ta langue.
Puis l’écran devint noir.
Et Julien sut, sans l’ombre d’un doute, qu’il reviendrait. Cinq minutes plus tard, il obtenait son rendez-vous.
Il arriva avec dix minutes d’avance. Il avait pris une douche trop chaude, mis un parfum trop discret, passé trois fois les doigts dans ses cheveux pour dompter une nervosité qui ne cessait de grimper depuis qu’elle lui avait confirmé l’heure par SMS.
“Demain. 19h30. Porte entrouverte. Tu entres. Tu ne parles pas.”
C’était tout ce qu’elle avait écrit. Et c’était bien suffisant.
Julien monta les trois étages à pied, le cœur dans la gorge, le sexe déjà tendu dans son jean malgré lui. Il n’avait pas touché sa queue depuis l’appel visio. Elle le lui avait interdit. Et il avait obéi, comme un bon élève. Comme un chien docile qui n’attend plus que l’ordre d’approcher pour lécher la main — ou le sexe — de sa maîtresse.
La porte était entrouverte, en effet. Il frappa doucement, n’obtint pas de réponse, puis entra.
L’intérieur était feutré. Lampe basse. Odeur chaude de peau, de bois, de vanille. Et elle… elle l’attendait.
Assise sur le bord d’un fauteuil large, jambes croisées comme dans la vidéo, robe noire glissant le long de ses cuisses, poitrine à peine retenue par le tissu, cheveux relevés, lèvres rouges. Elle n’avait pas bougé d’un centimètre. Elle l’avait simplement attendu.
Il referma la porte derrière lui, sans bruit.
— Tu es venu, souffla-t-elle. Viens là. À genoux.
Il s’exécuta. Son regard restait fixé sur elle, sur cette ligne entre ses jambes qu’il avait contemplée par écran interposé, et qu’il allait maintenant pouvoir respirer.
Elle déplia lentement sa jambe droite. Puis la gauche. Écartée. Offerte. Nue.
— Tu voulais goûter ? Tu vas le faire maintenant. Et tu vas le faire lentement.
Il s’avança, ses paumes posées sur le tapis pour ne pas tomber tant son corps tremblait déjà. Quand son visage arriva tout près de son sexe, elle l’arrêta d’une main ferme sur le front.
— Regarde-la d’abord. Sens son odeur. Mais ne la touche pas. Pas encore.
Il obéit. Et elle, déjà humide, étala ses lèvres du bout des doigts pour l’exhiber, pour l’ouvrir devant lui comme un fruit mûr. L’odeur le saisit. Un parfum de femme, de désir, de chatte chaude et prête à être baisée. Il en perdit presque l’équilibre.
— Maintenant, tu lèches. Tu ne suces pas. Tu n’entres pas. Tu lèches. Jusqu’à ce que je t’ouvre. Jusqu’à ce que je veuille ta langue plus profond.
Il s’appliqua. Il posa ses lèvres. Puis sa langue. D’abord timidement, puis avec plus de confiance. Il goûta, aspira, roula sa langue sur le bouton gonflé, le caressa de la pointe, le pressa de la langue entière. Elle soupira. Il frémit. Elle écarta davantage les cuisses. Il s’enfonça plus loin. Sa langue glissa, s’immisça, fouilla.
Elle posa sa main sur sa tête. Le maintint là. Elle se laissait faire. Non. Elle se laissait prendre. Et elle l’entendait gémir doucement contre sa chair, tandis qu’elle se gorgeait de sa salive, de son souffle chaud, de son désir.
Puis elle le repoussa. Son sexe luisait. Son regard brillait.
— Maintenant, déshabille-toi. Mais doucement. Je veux te voir nu, prêt, debout devant moi. Comme un homme. Plus comme un garçon.
Il retira son tee-shirt. Son pantalon. Son boxer. Il était raide. Gonflé. La verge dressée, gonflée d’un désir contenu depuis trop longtemps.
Elle se leva. Se plaça derrière lui. L’embrassa dans le cou. Lentement. Sensuellement.
— Tu veux que je t’enseigne ? Alors couche-toi sur le canapé. Et laisse-moi m’asseoir sur toi.
Et ce fut elle qui le prit.
Elle monta à califourchon, écarta les cuisses, guida sa verge en elle d’un seul geste, lent mais ferme, et l’enfourcha comme une cavalière sûre d’elle. Il haleta. Elle gémit. Puis elle se mit à onduler du bassin, doucement d’abord, puis plus fort, plus profond, jusqu’à ce que son corps tout entier le presse, l’avale, le torde de plaisir.
Elle sentait qu’il approchait. Son souffle était devenu court, irrégulier, haletant comme un galop qui perd le contrôle. Ses mains agrippaient ses hanches, son bassin cognait contre le sien, sa verge palpitait en elle, gonflée, prête à exploser. Elle le regarda dans les yeux, se pencha en avant, la bouche près de son oreille, et murmura, d’une voix basse, ferme, irrésistible :
— Tu ne jouis pas en moi.
Et d’un mouvement précis, elle se redressa, se dégagea de lui en glissant lentement, laissant sa queue jaillir d’elle, luisante, tremblante, prête à cracher.
— Regarde-moi, ordonna-t-elle.
Elle se recula à peine, écarta les pans de sa robe jusqu’à découvrir ses seins, fermes, pleins, les tétons tendus de chaleur. Elle les prit à deux mains, les serra l’un contre l’autre, et les présenta à lui comme une offrande.
— Maintenant.
Il gémit. Un râle rauque, irrépressible, presque douloureux. Et dans un spasme, sa queue jaillit.
La première giclée fusa haut, atterrissant sur la naissance de ses seins. La seconde éclata entre ses doigts, la troisième toucha son téton droit, la quatrième remonta jusqu’à son cou, éclaboussant la base de son menton. Il secoua les hanches, les reins en feu, chaque jet marquant un peu plus son corps à elle, comme s’il l’imprégnait de lui — mais sous son autorité.
Elle le regardait sans ciller. Elle souriait.
— Tu n’as jamais joui comme ça, n’est-ce pas ?
Il n’arrivait pas à parler. Son corps tremblait encore, ruisselant de plaisir, vidé dans un silence presque sacré.
Alors elle s’approcha. Elle prit son sein droit dans une main, l’offrit à sa bouche, et lui dit doucement :
— Nettoie-moi.
Et il obéit.
Il passa la langue sur son téton souillé, l’aspira avec dévotion, goûta sa propre semence tiède sur sa peau encore frémissante. Elle gémit à son tour, pas de plaisir sexuel, mais de puissance, de tendresse dompteuse.
— Tu viens d’apprendre ce qu’est le vrai plaisir, murmura-t-elle en caressant ses cheveux.
Et il sut, dans cet instant suspendu, qu’il ne pourrait plus jamais regarder un sein sans se souvenir du goût. Et comprit, ce que voulait dire jouir de sa première fois.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrite, originale, l'initiation érotique d'un beau et gentil puceau !
Et vivement la suite!
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