UN CONTE INAVOUABLE — La forêt enchantée
Récit érotique écrit par Cyp-Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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UN CONTE INAVOUABLE — La forêt enchantée
Ce récit est tiré de mon tout nouveau roman : "Contes & Légendes Interdits aux enfants." À lire d'une seule main.
La nuit était tombée depuis longtemps lorsque je m’égarai dans la forêt. Je ne savais plus vraiment ce que je fuyais — une routine, une fatigue, peut-être ma propre solitude — mais mes pas m’avaient portée jusqu’à ce sentier étroit, bordé d’arbres immenses dont les branches semblaient se pencher vers moi, comme pour m’inviter à pénétrer plus loin. L’air était chargé d’un parfum étrange, mélange de sève, de fleurs nocturnes et d’une odeur âcre, animale, qui me donnait déjà le vertige.
Chaque pas résonnait comme une transgression. Le silence était épais, ponctué seulement par le bruissement des feuilles et le cri lointain d’un hibou. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, mais ce n’était pas de peur : c’était une excitation brûlante, diffuse, comme si la forêt elle-même insufflait à mon corps un désir nouveau. Mes cuisses se réchauffaient, mon ventre se contractait, et je m’aperçus, avec un frisson, que j’étais déjà humide.
Au détour d’un chêne gigantesque, je découvris une clairière baignée d’une lueur irréelle. La lune, ronde et blanche, éclairait le sol comme une torche vivante. L’herbe y brillait de rosée, et chaque feuille semblait irradier une clarté propre. Au centre se dressait un rocher, poli comme un autel, sur lequel je crus d’abord voir une silhouette mouvante.
J’avançai, hypnotisée. À mesure que je me rapprochais, mes sens s’aiguisaient. Le chant des grillons devenait mélodie, l’air vibrait de murmures incompréhensibles, et je compris que la forêt me parlait, qu’elle m’appelait à me dénuder. Sans réfléchir, je fis glisser ma robe le long de mes épaules. Le tissu glissa sur ma peau comme une caresse supplémentaire, dévoilant mes seins tendus, mes hanches tremblantes. L’air nocturne effleura ma chair, et je sentis mes tétons se durcir aussitôt.
Je posai mes pieds nus sur l’herbe fraîche, avançai vers le rocher. La pierre vibrait sous mes doigts, chaude, presque vivante. Je m’y hissai, m’allongeai sur le dos, offerte à la lune et aux ombres qui m’entouraient. Mes mains, comme guidées par une force invisible, se mirent à parcourir mon corps, caressant mes cuisses, pinçant mes tétons, glissant entre mes lèvres luisantes. Je gémis doucement, incapable de réprimer ce désir qui me consumait déjà.
Et c’est alors que je le sentis. Une présence. Un souffle chaud contre ma peau nue. Quelqu’un — ou quelque chose — se tenait près de moi. J’ouvris les yeux, et dans la clarté lunaire, je distinguai une silhouette immense, drapée d’ombre, qui m’observait en silence. Ses yeux brillaient d’un éclat surnaturel, et son sourire était celui d’un prédateur certain de sa proie.
La rencontre du prince noir
La silhouette sortit lentement de l’ombre. Il n’était ni tout à fait homme, ni tout à fait bête : une créature façonnée par la nuit, drapée d’une aura sombre qui le rendait à la fois effrayant et irrésistible. Sa peau semblait absorber la lumière de la lune, ses yeux d’un noir profond luisaient d’un éclat surnaturel, et chaque mouvement de son corps dégageait une puissance tranquille, animale, presque hypnotique.
Il s’approcha du rocher où je m’étais allongée nue, offerte. Son souffle effleura mon ventre, chaud, enivrant, chargé d’un parfum de musc qui m’enveloppa aussitôt. Ses doigts, longs et nerveux, se posèrent sur mes chevilles et remontèrent le long de mes jambes, effleurant mes cuisses avec une lenteur calculée. Là où il passait, ma peau frissonnait, comme parcourue de flammes invisibles.
Je n’osais ni parler ni fuir. Une partie de moi savait que je devais avoir peur, mais mon corps, lui, ne réclamait qu’une chose : être possédé par cet être d’ombre et de feu. Sa bouche descendit sur mon sein, happa mon téton avec une force qui me fit gémir, puis son autre main glissa entre mes cuisses, caressant ma fente déjà gorgée de désir. Ses caresses n’avaient rien d’humain : elles semblaient deviner mes besoins avant même que je les ressente.
Lorsque sa tunique tomba enfin, je découvris ce que son corps cachait. Mon souffle se coupa. Entre ses cuisses se dressait un sexe hors du commun, monstrueux et fascinant à la fois : deux verges jumelles, jaillissant d’une même base, épaisses, veineuses, palpitantes. Elles vibraient comme animées d’une vie propre, l’une légèrement au-dessus de l’autre, prêtes à pénétrer tous mes orifices d’un seul mouvement.
Je crus d’abord rêver, mais la réalité se confirma lorsqu’il s’avança et frotta ses deux queues contre mon ventre, contre ma chatte luisante, contre mon anus déjà contracté d’anticipation. La sensation était insoutenable : deux pointes, deux promesses, deux puissances prêtes à me transpercer à la fois.
Je poussai un cri étouffé, mélange de peur et d’excitation. Lui, d’une voix rauque qui résonnait comme un sortilège, murmura :
— Tu es à moi maintenant… je vais t’ouvrir comme aucune chair n’a jamais été ouverte.
Ses mains me saisirent par la taille, me soulevèrent avec une facilité inhumaine. Je me retrouvai assise sur lui, mes jambes écartées, ses deux sexes frottant contre ma fente détrempée et mon anus tremblant. Il ne me laissa pas le temps de réfléchir : d’un seul coup de reins, brutal et magistral, il s’enfonça. Les deux verges pénétrèrent en moi, l’une emplissant ma chatte gorgée de cyprine, l’autre forçant mon anus jusqu’à s’y loger complètement.
Un cri sauvage m’échappa. La douleur fulgurante se transforma en un plaisir inouï, comme si mes entrailles elles-mêmes vibraient d’extase. Je me cambrai, mes seins pointés vers la lune, et mes ongles s’enfoncèrent dans ses épaules d’ombre. J’étais prise, entièrement, simultanément, comblée au-delà de toute imagination.
Et ce n’était que le début.
L’étreinte interdite
Possédée dans mes deux orifices à la fois, je crus que mon corps allait se fendre sous cette intrusion titanesque. Mais la douleur initiale s’effaça aussitôt, balayée par une onde de plaisir si intense que j’en perdis la voix, la bouche ouverte dans un cri muet. Sa double verge vibrait en moi comme un instrument de jouissance, cognant au plus profond de ma chatte détrempée, dilatant ma rondelle jusqu’à l’ivresse.
Ses mains m’empoignaient avec une force surhumaine, me soulevant et m’abattant sur lui à un rythme d’abord lent, puis de plus en plus frénétique. Chaque va-et-vient me faisait convulser, chaque pénétration simultanée m’arrachait des gémissements qui résonnaient dans la clairière. Mon ventre se contractait par vagues, mes seins bondissaient à chaque secousse, mes cuisses tremblaient sous la cadence infernale.
Je me cambrai, le dos collé contre son torse brûlant, et il plongea sa bouche contre ma gorge, aspirant ma peau comme pour boire mon souffle. Sa langue glissa dans mon oreille, longue, humide, inhumaine, me faisant frissonner jusque dans la moelle. Tout mon corps n’était plus qu’un tambour vibrant sous son assaut, chaque fibre tendue vers l’explosion.
La forêt entière semblait participer à cette étreinte : les arbres bruissaient comme sous un vent invisible, les fleurs exhalaient un parfum plus entêtant encore, et la lune, au-dessus de nous, brillait d’un éclat surnaturel. J’étais hors du monde, hors du temps, happée dans une jouissance mystique.
Il accéléra encore, ses deux sexes labourant mon intimité avec une régularité démoniaque, et je sentis l’orgasme monter en moi comme une vague gigantesque. Mes cris devinrent des hurlements, mes ongles labouraient sa peau d’ombre, et quand la déflagration éclata enfin, elle fut totale. Mon corps tout entier convulsa, mes entrailles se contractèrent autour de ses deux verges, ma vision se brouilla dans une lumière blanche, et je crus mourir d’extase.
Mais lui ne s’arrêta pas. Il me maintint ouverte, soumise, continuant à me pilonner sans répit. Puis, dans un grondement bestial, il se cambra et se vida en moi. Ce n’était pas une simple éjaculation : c’était un déluge, un flot brûlant qui jaillit de lui comme une cataracte. Je sentis son sperme inonder ma chatte, remplir mon anus, jaillir hors de moi en longs filets blancs qui dégoulinaient sur mes cuisses, mon ventre, le rocher sous nous. J’avais l’impression qu’il déversait un océan entier, au moins un litre de semence poisseuse qui m’aspergeait sans fin.
J’étais trempée, maculée, le corps ruisselant de son essence. Mon ventre gonflé vibrait encore des secousses de mon orgasme, ma peau brûlait, mes jambes étaient couvertes de sperme tiède. Et lui, haletant, ses yeux noirs plantés dans les miens, me retenait toujours prisonnière de son double sexe, comme pour sceller son emprise.
À cet instant, je sus que je n’étais plus tout à fait moi-même. J’étais devenue la prêtresse de cette créature de nuit, comblée, marquée, possédée.
L’orgie fantastique
Je croyais que l’extase atteinte sous l’emprise du Prince noir serait l’apothéose. Mais ce n’était qu’une porte ouverte sur un monde plus fou encore. Alors qu’il me maintenait toujours empalée sur sa double verge, la clairière se mit à vibrer d’une lueur irréelle. Les troncs des arbres semblaient s’écarter, laissant apparaître d’autres silhouettes, mi-humaines, mi-surnaturelles, qui s’avançaient dans la clarté lunaire.
D’abord vinrent des nymphes aux corps élancés, nues, leurs chevelures ruisselant comme des cascades, leurs yeux étincelants de malice. Elles se mirent à danser autour de nous, caressant leurs propres seins, écartant leurs cuisses dans des poses obscènes, comme pour attiser ma fièvre. Bientôt, deux d’entre elles se penchèrent sur moi, leurs langues explorant mes seins, leurs doigts glissant sur ma chatte déjà pleine de sperme. Je haletai, incapable de contenir mes cris, jouissant encore de ces caresses féminines alors que le Prince continuait de me pilonner par derrière.
Puis vinrent les satyres, leurs corps trapus et musculeux, les cornes luisantes sous la lune. Leurs sexes énormes pendaient entre leurs cuisses velues, dressés comme des armes. L’un d’eux s’agenouilla à mon visage et me força à ouvrir la bouche. Sa queue rude s’imposa contre ma langue, cognant ma gorge à chaque coup de reins. Je suffoquais, les yeux pleins de larmes, mais je suçais avec une avidité nouvelle, comme si cette débauche était devenue ma nature.
Derrière lui, d’autres créatures s’attroupèrent, des succubes au regard rougeoyant, leur peau laiteuse couverte de marques brûlantes. Elles se frottaient les unes aux autres, leurs doigts trempés de cyprine qu’elles portaient à mes lèvres entre deux gorgées de sperme. Le goût mêlé de foutre et de nectar féminin me rendait folle.
Très vite, je fus engloutie par la meute. Les nymphes se chevauchaient entre elles, les satyres me prenaient tour à tour, un à la gorge, un autre au creux de mes cuisses quand le Prince se retirait pour les laisser me labourer. J’étais offerte, pénétrée de toutes parts, ma chatte, mon anus, ma bouche, jusqu’à sentir parfois trois queues en moi à la fois. Chaque orifice était gavé, ouvert, comblé jusqu’à la brûlure.
Mes orgasmes s’enchaînaient, brutaux, incontrôlables. Je hurlais, ma voix se perdant dans le chœur de râles et de gémissements qui emplissaient la clairière. Et à chaque jouissance, de nouvelles giclées m’inondaient : sperme épais jaillissant sur mes seins, foutre brûlant éclaboussant mon visage, jets puissants gavant ma chatte et mon cul jusqu’à dégouliner le long de mes cuisses. Je n’étais plus une femme, mais un autel vivant, une coupe débordante où tous venaient se déverser.
Quand enfin le Prince me reprit, me ré-empalant de sa double verge, je crus me rompre sous la violence. Mais ce fut l’apothéose : leurs mains, leurs bouches, leurs sexes se mêlaient tous à lui, comme si la forêt entière me possédait. J’étais la proie, la reine et la putain sacrée de cette orgie surnaturelle.
L’aube du réveil
Quand mes yeux se rouvrirent, la clarté du matin filtrait déjà par les volets entrouverts. J’étais dans mon lit, les draps en désordre, trempés d’humidité, comme si j’avais nagé toute la nuit dans un océan invisible. Mon corps, lui, vibrait encore d’un souvenir si intense que j’en eus le souffle coupé. Mes cuisses collaient, mon ventre était maculé de traînées séchées, mes seins douloureux comme après des caresses trop insistantes. J’écartai lentement les jambes et découvris ma chatte gonflée, irritée, luisante encore d’une moiteur qui n’avait rien à voir avec une simple sueur nocturne.
Je portai mes doigts à mon sexe : ils ressortirent poisseux, glissants, couverts d’un fluide abondant au parfum musqué. Un frisson me parcourut. Avais-je vraiment rêvé ? Avais-je inventé de toutes pièces ce Prince noir et son sexe double, ces nymphes aux langues avides, ces satyres qui m’avaient gavée de foutre ? Ou bien avais-je réellement été transportée, l’espace d’une nuit, dans une clairière enchantée où l’on m’avait utilisée comme une offrande ?
Je m’assis au bord du lit, les jambes tremblantes. Chaque muscle me rappelait l’orgie, mes fesses me brûlaient d’avoir été ouvertes trop longtemps, ma gorge était irritée comme si elle avait vraiment englouti des sexes monstrueux. Je posai la main sur mon ventre et, à cet instant, un filet épais jaillit encore de moi, coulant entre mes cuisses comme une preuve irréfutable. Ce n’était pas une simple lubrification : c’était une semence étrangère, visqueuse, qui s’écoulait lentement, marquant ma peau d’un sceau inavouable.
Le doute me rongeait. Mon esprit rationnel murmurait que ce n’était qu’un rêve, une hallucination provoquée par le vin, la fatigue, ou peut-être par un désir trop longtemps réprimé. Mais mon corps, lui, criait l’inverse. Mon sexe battait encore comme si deux verges s’y enfonçaient en cadence. Mes lèvres gardaient le goût du foutre et du nectar mêlés. Mon dos, mes hanches, mes seins portaient l’écho d’empreintes invisibles.
Je me laissai retomber sur les draps, nue, offerte au soleil naissant, et un sourire trouble étira mes lèvres. Qu’importe que ce fût un rêve ou la réalité : je savais que jamais je n’oublierais cette nuit. J’avais été prise, ouverte, saturée, adorée comme une prêtresse et salie comme une putain. Et je sentais que quelque chose avait changé en moi : je n’étais plus une simple femme, mais une initiée, marquée à jamais par l’étreinte d’un monde qui se cachait derrière le voile des songes.
Alors que mes yeux se refermaient une dernière fois, j’entendis, au loin, comme un souffle dans les arbres. Une voix grave, rauque, que je reconnus aussitôt : — Tu es mienne désormais… et je reviendrai.
Je frissonnai, un dernier jet de cyprine jaillissant de moi, et je sombrai dans un sommeil lourd, le sourire aux lèvres, certaine qu’au-delà de la frontière des rêves, quelqu’un m’attendait encore.
La nuit était tombée depuis longtemps lorsque je m’égarai dans la forêt. Je ne savais plus vraiment ce que je fuyais — une routine, une fatigue, peut-être ma propre solitude — mais mes pas m’avaient portée jusqu’à ce sentier étroit, bordé d’arbres immenses dont les branches semblaient se pencher vers moi, comme pour m’inviter à pénétrer plus loin. L’air était chargé d’un parfum étrange, mélange de sève, de fleurs nocturnes et d’une odeur âcre, animale, qui me donnait déjà le vertige.
Chaque pas résonnait comme une transgression. Le silence était épais, ponctué seulement par le bruissement des feuilles et le cri lointain d’un hibou. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, mais ce n’était pas de peur : c’était une excitation brûlante, diffuse, comme si la forêt elle-même insufflait à mon corps un désir nouveau. Mes cuisses se réchauffaient, mon ventre se contractait, et je m’aperçus, avec un frisson, que j’étais déjà humide.
Au détour d’un chêne gigantesque, je découvris une clairière baignée d’une lueur irréelle. La lune, ronde et blanche, éclairait le sol comme une torche vivante. L’herbe y brillait de rosée, et chaque feuille semblait irradier une clarté propre. Au centre se dressait un rocher, poli comme un autel, sur lequel je crus d’abord voir une silhouette mouvante.
J’avançai, hypnotisée. À mesure que je me rapprochais, mes sens s’aiguisaient. Le chant des grillons devenait mélodie, l’air vibrait de murmures incompréhensibles, et je compris que la forêt me parlait, qu’elle m’appelait à me dénuder. Sans réfléchir, je fis glisser ma robe le long de mes épaules. Le tissu glissa sur ma peau comme une caresse supplémentaire, dévoilant mes seins tendus, mes hanches tremblantes. L’air nocturne effleura ma chair, et je sentis mes tétons se durcir aussitôt.
Je posai mes pieds nus sur l’herbe fraîche, avançai vers le rocher. La pierre vibrait sous mes doigts, chaude, presque vivante. Je m’y hissai, m’allongeai sur le dos, offerte à la lune et aux ombres qui m’entouraient. Mes mains, comme guidées par une force invisible, se mirent à parcourir mon corps, caressant mes cuisses, pinçant mes tétons, glissant entre mes lèvres luisantes. Je gémis doucement, incapable de réprimer ce désir qui me consumait déjà.
Et c’est alors que je le sentis. Une présence. Un souffle chaud contre ma peau nue. Quelqu’un — ou quelque chose — se tenait près de moi. J’ouvris les yeux, et dans la clarté lunaire, je distinguai une silhouette immense, drapée d’ombre, qui m’observait en silence. Ses yeux brillaient d’un éclat surnaturel, et son sourire était celui d’un prédateur certain de sa proie.
La rencontre du prince noir
La silhouette sortit lentement de l’ombre. Il n’était ni tout à fait homme, ni tout à fait bête : une créature façonnée par la nuit, drapée d’une aura sombre qui le rendait à la fois effrayant et irrésistible. Sa peau semblait absorber la lumière de la lune, ses yeux d’un noir profond luisaient d’un éclat surnaturel, et chaque mouvement de son corps dégageait une puissance tranquille, animale, presque hypnotique.
Il s’approcha du rocher où je m’étais allongée nue, offerte. Son souffle effleura mon ventre, chaud, enivrant, chargé d’un parfum de musc qui m’enveloppa aussitôt. Ses doigts, longs et nerveux, se posèrent sur mes chevilles et remontèrent le long de mes jambes, effleurant mes cuisses avec une lenteur calculée. Là où il passait, ma peau frissonnait, comme parcourue de flammes invisibles.
Je n’osais ni parler ni fuir. Une partie de moi savait que je devais avoir peur, mais mon corps, lui, ne réclamait qu’une chose : être possédé par cet être d’ombre et de feu. Sa bouche descendit sur mon sein, happa mon téton avec une force qui me fit gémir, puis son autre main glissa entre mes cuisses, caressant ma fente déjà gorgée de désir. Ses caresses n’avaient rien d’humain : elles semblaient deviner mes besoins avant même que je les ressente.
Lorsque sa tunique tomba enfin, je découvris ce que son corps cachait. Mon souffle se coupa. Entre ses cuisses se dressait un sexe hors du commun, monstrueux et fascinant à la fois : deux verges jumelles, jaillissant d’une même base, épaisses, veineuses, palpitantes. Elles vibraient comme animées d’une vie propre, l’une légèrement au-dessus de l’autre, prêtes à pénétrer tous mes orifices d’un seul mouvement.
Je crus d’abord rêver, mais la réalité se confirma lorsqu’il s’avança et frotta ses deux queues contre mon ventre, contre ma chatte luisante, contre mon anus déjà contracté d’anticipation. La sensation était insoutenable : deux pointes, deux promesses, deux puissances prêtes à me transpercer à la fois.
Je poussai un cri étouffé, mélange de peur et d’excitation. Lui, d’une voix rauque qui résonnait comme un sortilège, murmura :
— Tu es à moi maintenant… je vais t’ouvrir comme aucune chair n’a jamais été ouverte.
Ses mains me saisirent par la taille, me soulevèrent avec une facilité inhumaine. Je me retrouvai assise sur lui, mes jambes écartées, ses deux sexes frottant contre ma fente détrempée et mon anus tremblant. Il ne me laissa pas le temps de réfléchir : d’un seul coup de reins, brutal et magistral, il s’enfonça. Les deux verges pénétrèrent en moi, l’une emplissant ma chatte gorgée de cyprine, l’autre forçant mon anus jusqu’à s’y loger complètement.
Un cri sauvage m’échappa. La douleur fulgurante se transforma en un plaisir inouï, comme si mes entrailles elles-mêmes vibraient d’extase. Je me cambrai, mes seins pointés vers la lune, et mes ongles s’enfoncèrent dans ses épaules d’ombre. J’étais prise, entièrement, simultanément, comblée au-delà de toute imagination.
Et ce n’était que le début.
L’étreinte interdite
Possédée dans mes deux orifices à la fois, je crus que mon corps allait se fendre sous cette intrusion titanesque. Mais la douleur initiale s’effaça aussitôt, balayée par une onde de plaisir si intense que j’en perdis la voix, la bouche ouverte dans un cri muet. Sa double verge vibrait en moi comme un instrument de jouissance, cognant au plus profond de ma chatte détrempée, dilatant ma rondelle jusqu’à l’ivresse.
Ses mains m’empoignaient avec une force surhumaine, me soulevant et m’abattant sur lui à un rythme d’abord lent, puis de plus en plus frénétique. Chaque va-et-vient me faisait convulser, chaque pénétration simultanée m’arrachait des gémissements qui résonnaient dans la clairière. Mon ventre se contractait par vagues, mes seins bondissaient à chaque secousse, mes cuisses tremblaient sous la cadence infernale.
Je me cambrai, le dos collé contre son torse brûlant, et il plongea sa bouche contre ma gorge, aspirant ma peau comme pour boire mon souffle. Sa langue glissa dans mon oreille, longue, humide, inhumaine, me faisant frissonner jusque dans la moelle. Tout mon corps n’était plus qu’un tambour vibrant sous son assaut, chaque fibre tendue vers l’explosion.
La forêt entière semblait participer à cette étreinte : les arbres bruissaient comme sous un vent invisible, les fleurs exhalaient un parfum plus entêtant encore, et la lune, au-dessus de nous, brillait d’un éclat surnaturel. J’étais hors du monde, hors du temps, happée dans une jouissance mystique.
Il accéléra encore, ses deux sexes labourant mon intimité avec une régularité démoniaque, et je sentis l’orgasme monter en moi comme une vague gigantesque. Mes cris devinrent des hurlements, mes ongles labouraient sa peau d’ombre, et quand la déflagration éclata enfin, elle fut totale. Mon corps tout entier convulsa, mes entrailles se contractèrent autour de ses deux verges, ma vision se brouilla dans une lumière blanche, et je crus mourir d’extase.
Mais lui ne s’arrêta pas. Il me maintint ouverte, soumise, continuant à me pilonner sans répit. Puis, dans un grondement bestial, il se cambra et se vida en moi. Ce n’était pas une simple éjaculation : c’était un déluge, un flot brûlant qui jaillit de lui comme une cataracte. Je sentis son sperme inonder ma chatte, remplir mon anus, jaillir hors de moi en longs filets blancs qui dégoulinaient sur mes cuisses, mon ventre, le rocher sous nous. J’avais l’impression qu’il déversait un océan entier, au moins un litre de semence poisseuse qui m’aspergeait sans fin.
J’étais trempée, maculée, le corps ruisselant de son essence. Mon ventre gonflé vibrait encore des secousses de mon orgasme, ma peau brûlait, mes jambes étaient couvertes de sperme tiède. Et lui, haletant, ses yeux noirs plantés dans les miens, me retenait toujours prisonnière de son double sexe, comme pour sceller son emprise.
À cet instant, je sus que je n’étais plus tout à fait moi-même. J’étais devenue la prêtresse de cette créature de nuit, comblée, marquée, possédée.
L’orgie fantastique
Je croyais que l’extase atteinte sous l’emprise du Prince noir serait l’apothéose. Mais ce n’était qu’une porte ouverte sur un monde plus fou encore. Alors qu’il me maintenait toujours empalée sur sa double verge, la clairière se mit à vibrer d’une lueur irréelle. Les troncs des arbres semblaient s’écarter, laissant apparaître d’autres silhouettes, mi-humaines, mi-surnaturelles, qui s’avançaient dans la clarté lunaire.
D’abord vinrent des nymphes aux corps élancés, nues, leurs chevelures ruisselant comme des cascades, leurs yeux étincelants de malice. Elles se mirent à danser autour de nous, caressant leurs propres seins, écartant leurs cuisses dans des poses obscènes, comme pour attiser ma fièvre. Bientôt, deux d’entre elles se penchèrent sur moi, leurs langues explorant mes seins, leurs doigts glissant sur ma chatte déjà pleine de sperme. Je haletai, incapable de contenir mes cris, jouissant encore de ces caresses féminines alors que le Prince continuait de me pilonner par derrière.
Puis vinrent les satyres, leurs corps trapus et musculeux, les cornes luisantes sous la lune. Leurs sexes énormes pendaient entre leurs cuisses velues, dressés comme des armes. L’un d’eux s’agenouilla à mon visage et me força à ouvrir la bouche. Sa queue rude s’imposa contre ma langue, cognant ma gorge à chaque coup de reins. Je suffoquais, les yeux pleins de larmes, mais je suçais avec une avidité nouvelle, comme si cette débauche était devenue ma nature.
Derrière lui, d’autres créatures s’attroupèrent, des succubes au regard rougeoyant, leur peau laiteuse couverte de marques brûlantes. Elles se frottaient les unes aux autres, leurs doigts trempés de cyprine qu’elles portaient à mes lèvres entre deux gorgées de sperme. Le goût mêlé de foutre et de nectar féminin me rendait folle.
Très vite, je fus engloutie par la meute. Les nymphes se chevauchaient entre elles, les satyres me prenaient tour à tour, un à la gorge, un autre au creux de mes cuisses quand le Prince se retirait pour les laisser me labourer. J’étais offerte, pénétrée de toutes parts, ma chatte, mon anus, ma bouche, jusqu’à sentir parfois trois queues en moi à la fois. Chaque orifice était gavé, ouvert, comblé jusqu’à la brûlure.
Mes orgasmes s’enchaînaient, brutaux, incontrôlables. Je hurlais, ma voix se perdant dans le chœur de râles et de gémissements qui emplissaient la clairière. Et à chaque jouissance, de nouvelles giclées m’inondaient : sperme épais jaillissant sur mes seins, foutre brûlant éclaboussant mon visage, jets puissants gavant ma chatte et mon cul jusqu’à dégouliner le long de mes cuisses. Je n’étais plus une femme, mais un autel vivant, une coupe débordante où tous venaient se déverser.
Quand enfin le Prince me reprit, me ré-empalant de sa double verge, je crus me rompre sous la violence. Mais ce fut l’apothéose : leurs mains, leurs bouches, leurs sexes se mêlaient tous à lui, comme si la forêt entière me possédait. J’étais la proie, la reine et la putain sacrée de cette orgie surnaturelle.
L’aube du réveil
Quand mes yeux se rouvrirent, la clarté du matin filtrait déjà par les volets entrouverts. J’étais dans mon lit, les draps en désordre, trempés d’humidité, comme si j’avais nagé toute la nuit dans un océan invisible. Mon corps, lui, vibrait encore d’un souvenir si intense que j’en eus le souffle coupé. Mes cuisses collaient, mon ventre était maculé de traînées séchées, mes seins douloureux comme après des caresses trop insistantes. J’écartai lentement les jambes et découvris ma chatte gonflée, irritée, luisante encore d’une moiteur qui n’avait rien à voir avec une simple sueur nocturne.
Je portai mes doigts à mon sexe : ils ressortirent poisseux, glissants, couverts d’un fluide abondant au parfum musqué. Un frisson me parcourut. Avais-je vraiment rêvé ? Avais-je inventé de toutes pièces ce Prince noir et son sexe double, ces nymphes aux langues avides, ces satyres qui m’avaient gavée de foutre ? Ou bien avais-je réellement été transportée, l’espace d’une nuit, dans une clairière enchantée où l’on m’avait utilisée comme une offrande ?
Je m’assis au bord du lit, les jambes tremblantes. Chaque muscle me rappelait l’orgie, mes fesses me brûlaient d’avoir été ouvertes trop longtemps, ma gorge était irritée comme si elle avait vraiment englouti des sexes monstrueux. Je posai la main sur mon ventre et, à cet instant, un filet épais jaillit encore de moi, coulant entre mes cuisses comme une preuve irréfutable. Ce n’était pas une simple lubrification : c’était une semence étrangère, visqueuse, qui s’écoulait lentement, marquant ma peau d’un sceau inavouable.
Le doute me rongeait. Mon esprit rationnel murmurait que ce n’était qu’un rêve, une hallucination provoquée par le vin, la fatigue, ou peut-être par un désir trop longtemps réprimé. Mais mon corps, lui, criait l’inverse. Mon sexe battait encore comme si deux verges s’y enfonçaient en cadence. Mes lèvres gardaient le goût du foutre et du nectar mêlés. Mon dos, mes hanches, mes seins portaient l’écho d’empreintes invisibles.
Je me laissai retomber sur les draps, nue, offerte au soleil naissant, et un sourire trouble étira mes lèvres. Qu’importe que ce fût un rêve ou la réalité : je savais que jamais je n’oublierais cette nuit. J’avais été prise, ouverte, saturée, adorée comme une prêtresse et salie comme une putain. Et je sentais que quelque chose avait changé en moi : je n’étais plus une simple femme, mais une initiée, marquée à jamais par l’étreinte d’un monde qui se cachait derrière le voile des songes.
Alors que mes yeux se refermaient une dernière fois, j’entendis, au loin, comme un souffle dans les arbres. Une voix grave, rauque, que je reconnus aussitôt : — Tu es mienne désormais… et je reviendrai.
Je frissonnai, un dernier jet de cyprine jaillissant de moi, et je sombrai dans un sommeil lourd, le sourire aux lèvres, certaine qu’au-delà de la frontière des rêves, quelqu’un m’attendait encore.
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Les avis des lecteurs
Ce récit est tiré de mon tout nouveau roman en cours de publication : Contes & Légendes Interdits aux enfants.
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