« Josy » : La petite salope prend bien son pied mais jette l’éponge. Épisode 27
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope prend bien son pied mais jette l’éponge. Épisode 27
Au « Josy-Club », malgré les pots de vin distribués à droite et à gauche, je parvenais à engendrer du bénéfice et à mettre de côté de l’argent en espèce non déclaré. Sans toutes ces magouilles mafieuses, j’aurais gagné bien plus et cela ne m’aurait pas occasionné autant de soucis. D’après les dires du commissaire, si je fermais les yeux et que je ne disais rien, étant donné que l’argent remis aux truands était en espèce et comme je ne faisais pas tapiner les hôtesses, je ne risquais pas grand-chose. Avec un bon avocat, je pouvais me défendre, en prouvant ma bonne foi.
Si les premiers cas suspects de Sida, observés aux États-Unis, au sein de la communauté homosexuelle, au début des années 80, ce ne fut vraiment qu’à partir de 83, après la création d’associations que nous avions pris conscience de la gravité de cette maladie. Après avoir passé le test de dépistage, je fus moi-même très rassurée. J’avais appris également que Jean-Lou, n’était pas porteur du virus. À partir de là, j’avais pris conscience qu’il n’y avait pas que les gays ou les drogués qui pouvaient être atteints. Ma vie de libertinage bien remplie, changea de tout au tout, il n’était plus question de baiser sans capote.
Bien entendu, j’avais toujours ce besoin de partenaires de jeu et lorsque mes pulsions sexuelles me taraudaient les entrailles, j’aurais fait n’importe quoi afin de les assouvir. Dans ce cas, chaque fois qu’un homme me plaisait dans la salle, je devais trouver un moyen discret, au moment de la fermeture, afin de l’amener dans mon box privé entièrement clos. Avec mon savoir-faire pour mettre en érection mon partenaire, théoriquement, il ne me fallait pas longtemps pour prendre mon pied. Au petit matin, ni vu, ni connu, je renvoyais le type à son hôtel et je pouvais finir ma nuit.
Cependant, cela ne se passait pas toujours de la même façon. Un soir, la salle était bien remplie, il était minuit et demi, je venais de faire le tour des tables afin de saluer personnellement, les clients les plus fidèles. Je m’installai sur mon tabouret à l’angle du comptoir où je pouvais voir tout ce qui se passait dans la salle. Lorsque je vis arriver au club, un grand brun, costaud et élégant. Ce bel homme était tout à fait le genre de type que j’affectionnais. Dès que nos regards s’étaient croisés, il vint vers moi, pris un tabouret qu’il déplaça légèrement pour se retrouver à mes côtés.
Je portais une tenue assez classique très classe et sexy. Ainsi vêtue, il était impossible qu’il me prenne pour une hôtesse. À cet instant, je savais que je ne dormirais pas seule, je n’avais pas l’intention de le laisser repartir au petit matin, j’avais déjà une envie folle de baiser avec lui. Après s’être présenté, il m’offrit un verre que j’acceptai et fit sa commande au barman. Pensant probablement que j’étais une cliente, il rentra dans le vif du sujet dans une drague en bonne et due forme. Tout en me courtisant, Helmut avait posé sa grosse main sur mon genou, comme il était assis, empêchant les clients de me voir, je l’avais laissé faire car cela me plaisait. Cet allemand parlait très bien le français, il était de passage en ville pour signer un contrat avec un client le lendemain, avant de repartir chez-lui à Dresde.
Après plusieurs minutes, sa main toutefois douce, s’étaient aventurée un peu plus haut sur ma cuisse où certains de ses doigts jouaient avec mon porte-jarretelles et son index frôlait le petit triangle en dentelle de mon petit string. M’ayant sentie très réceptive et n’ayant, à aucun moment, essayé de lui retirer sa main, il tenta une approche directe : « Je dois rentrer, tu viens avec moi à l’hôtel ? » Je fus dans l’obligation de lui refuser en lui disant que j’étais la patronne de cet établissement. Je lui avais moi-même répondu de la même façon : « Attends la fermeture, tu passeras la nuit avec moi. »
Je sentis qu’il était très déçu, il serait bien resté, néanmoins n’ayant dormi que deux heures la veille et devant signer son contrat à 9 heures à Lyon, il était impossible pour lui de veiller jusqu’à point d’heure. Il devait absolument dormir un peu, il s’excusa : « C’est vraiment dommage, tu me plais beaucoup Josy. » J’avais tout fait afin qu’il reste, je lui avais même masser le sexe à travers le pantalon où je m’aperçus qu’il ne m’avait pas menti. Avec un air triste, il demanda : « Désolé Josy ! Peux-tu me dire où trouver une pute pour me soulager. » Puis il se leva en me faisant un petit clin d’œil, il finit sa phrase : « Bon ! Je vais uriner avant de partir. »
Comme je lui avais répondu qu’il y avait de jolies prostituées devant son hôtel, je me posais cette question : Était-ce une invitation à le suivre aux toilettes ? Je m’étais moquée des quand-dira-t-on, je m’étais levée à mon tour et l’avais rejoint discrètement aux sanitaires. En effet, il était certain que je vienne le rejoindre, il m’attendait et m’attira dans la cabine où il baissa son pantalon dès qu’il avait fermé la porte. J’étais tellement excitée par cette situation, que je ressentais la cyprine suinter de ma fente, j’étais pressée d’en finir, je voulais qu’il me prenne comme une vraie petite salope.
Je relevai ma jupe droite jusqu’à la taille, retirai mon petit sous-vêtement et posai mes mains sur le battant de la cuvette pour me pencher en avant. Dans l’état où se trouvait Helmut, je n’avais pas eu le besoin de le sucer, il bandait déjà comme un taureau, lorsqu’il me pénétra. Sa queue épaisse à souhait me remplissait la chatte largement mouillée. Il s’activa en râlant pendant que je gémissais de plaisir. Ses coups de boutoirs à la limite de la sauvagerie étaient si intenses que j’avais joui bien avant lui, alors qu’il me ramonait toujours. Puis après quelques minutes à ce rythme, il enleva sa capote et éjacula copieusement sur mes fesses, avant de repartir en me disant : « Merci Josy. »
Ce même soir, lorsqu’Helmut était parti vers 1h30 du matin, cette petite baise, m’avait laissé le gout : « du reviens-y. » J’avais du mal à me concentrer sur mon travail, je ne pensais qu’à jouir de nouveau. J’avais même déjà retiré mon string pour le placer dans mon sac. Vers deux heures vingt, après qu’un jeune touriste m’ait offert une coupe, en me faisant des avances, ce fut moi qui l’avais invité à me suivre discrètement dans la même cabine des WC où là encore, j’avais endossé mon costume de petite salope. Ce type dont je ne me souviens même pas de son prénom, me prenait la chatte par derrière. N’obtenant pas de résultat, je lui demandai : « Allez ! change de trou ! Encule-moi ! »
Il y avait des soirs comme ça où il n’y avait rien à faire, mes pulsions revenaient à grand pas. Seulement cette fois-ci j’avais attendu la fermeture. Un homme assez âgé était venu me féliciter pour la soirée qu’il avait passée chez-moi et regrettait de résider aussi loin (Bretagne) où il n’y avait pas ce genre de club près de chez-lui. Tous les clients étaient partis, je lui offris un dernier verre au comptoir, le temps que le personnel quitte les lieux. Si nous avions parlé avec une grande courtoisie pendant un moment, dès que nous nous sommes retrouvés seuls, je lui demandai directement : « Ça vous dit de passer un moment intime avec moi ? » Quelle aubaine pour lui ! Comment pouvait-il refuser. Malgré son âge avancé, le papy m’avait fait grimper deux fois aux rideaux.
Des souvenirs comme celui-ci, j’en avais énormément à raconter, cependant toutes ses aventures d’une nuit, n’étaient pas toutes aussi bien réussies. Il m’était arrivé plusieurs fois, de ne pas parvenir à atteindre le plaisir escompté. Certains soirs où je n’étais pas entièrement satisfaite d’un, j’en prenais un deuxième. Comme je viens de l’expliquer, le maximum fut trois dans la même soirée. N’étant pas contre un trio, j’étais parvenue, par le biais d’une petite allusion bien placée, de le proposer moi-même à certains. Tout en restant fidèle à mes principes : ne jamais coucher avec des types de la région. Comme ce fus le cas en octobre 85.
Cette soirée-là, Jacques, un quadragénaire tout à fait charmant était accompagné de deux amis. Celui-ci n’avait pas cessé de me regarder, de me sourire, et de m’accoster enfin, pour m’offrir un verre, une heure avant la fermeture. Ça tombait bien, ayant eu mes règles, je n’avais pas pris mon pied depuis plusieurs jours et j’avais une faim de loup, il me fallait du sexe. Il était assez timide, je dus l’allumer un maximum afin qu’il se décide de rester boire une coupe après la fermeture. Ces deux amis insistaient pour qu’il rentre avec eux, seulement je n’en avais pas envie.
Son copain lui parla à l’oreille, je voyais bien que les deux types étaient un peu jaloux que je m’intéresse qu’à Jacques. Lorsque celui-ci pris la décision de me quitter, alors que je venais de l’inviter à me suivre dans mon box privé en disant : « Désolé, c’est moi qui conduis. » Je savais à cet instant que je devais trouver une solution à ce problème, il me fallait, coûte que coûte, les retenir. Et ce n’était surement pas en leur offrant un autre verre de champagne que j’y parviendrais. J’étais très excitée à l’idée de baiser, c’était mon dernier espoir pour cette nuit : « Et si vous veniez tous les trois, ça vous chante ? »
Nous n’étions pas allés dans le box privé. Ces trois types ne s’étaient pas faits prier, ils finirent leur coupe en vitesse et Jacques perdit sa timidité rapidement, il passa derrière moi et en me caressant les flans, m’embrassait tendrement dans le cou. Gilles le plus âgé face à moi, leva ma jupe et en regardant mes cuisses harnachées de mon éternel porte-jarretelles et mon mini string en dentelle s’exclama : « Putain Jacques ! t’as tiré un sacré numéro ! » Pendant ce temps, Jean-Marc le troisième m’avait enlevé les boutons de mon chemisier et en flattant chacun de mes seins dit à son tour : « Quels nibards elle a, cette salope ! »
J’étais fière de leur plaire, je me laissais faire, j’adorais leurs propos et leurs remarques, lorsqu’ensemble ils se mirent à me dévêtir tout en me caressant de partout. Ne portant pas de soutien-gorge, en quelques secondes, je m’étais retrouvée avec seulement : mes bas, mon porte Jarretelle et mes escarpins à talons. Jacques me demanda gentiment de me mettre à genoux puis quelques instants plus tard, ils avaient tous leur pantalon au niveau des chevilles. Ils me présentaient à tour de rôle devant mon visage, leur queue encore un peu trop molle, afin que de ma bouche, je les fasse bander.
Pendant que mes lèvres suçaient et que ma langue léchait Jacques, je branlais d’une main, Jean-Marc et Gilles de l’autre, puis vice et versa. Ma spécialité en gorge profondes, avait fini de les étonner, leurs réflexions en témoignaient, à l’unanimité, ils appréciaient énormément. Après une bonne dizaine de minutes à leur tailler une pipe comme rarement ils avaient vécu, me retrouvant à quatre pattes, Jacques qui n’en pouvait plus, fut le premier à me baiser la chatte par derrière, tandis que Gilles devant moi, continuait à se faire sucer, je branlais la belle queue de Jean-Marc.
Pendant un long moment, ils intervertirent leur place, puis, je ne me souviens plus comment ils me prenaient, j’étais ballotée, culbutée de tous les côtés comme une poupée gonflable. J’eus, pendant plus d’une heure, une bite dans chaque trou, ou une langue agile et des doigts qui me faisaient jouir. Ils me baisaient comme j’adorais, sans me laisser de répit après mes divers orgasmes. Ils m’avaient littéralement défoncée, j’étais KO lorsqu’ils étaient repartis du « Josy-Club ».
Voilà comment se passait en général mes rencontres d’un soir, je n’avais pas encore trouvé l’homme de ma vie, celui avec lequel je ferais un enfant. Je ne voulais surtout pas finir comme Françoise qui, à quarante ans passés, ne pouvait plus en avoir. Pour reparler de ma meilleure amie que je n’avais jamais cessée de voir, celle-ci m’avait toujours soutenue dans les pires moments de ma vie. En particulier en 1982 lorsque j’avais revendu mes parts du « Paradis » pour venir ici après le coup de pute que m’avait fait Jean-Lou, l’homme que j’aimais et qui avait en plus, refusé de m’engrosser.
En effet, à l’époque Françoise, qui avait créé à elle seule, « l’Éros-Club » la boite libertine et d’échangiste, n’avait pas accepté mon départ. Pour me venger, elle menaça mon ex qui m’avait dépouillé de mes biens, de partir avec sa clientèle, pour la plupart des personnes issues de ses propres connaissances. Françoise gérant également toute la partie administrative du « Paradise-Club » lui posa un ultimatum, elle continuait à régir la boite de nuit, à la seule condition qu’elle puisse racheter en son nom « l’Éros-Club » tel un fond-de-commerce.
N’ayant personne de confiance sous la main à qui proposer le poste, mais également ayant les mêmes compétences que mon amie, Jean-Lou, accepta le deal. Depuis Françoise venait régulièrement les lundis ou mardi au « Josy-Club » comme elle le faisait depuis plus de dix ans. Ses affaires fonctionnaient bien, elle m’avait toujours proposée de nous associer mais avec les problèmes de racket en tous genre, je n’avais jamais voulu la mêler à cela. Pourtant elle était au courant et me relançait tous les ans, elle savait que nous pourrions à nous deux faire un carton avec nos deux affaires, elle avait même un projet pour le « Josy-Club » : Faire à l’étage comme elle avait fait jadis, un club libertin en plein centre-ville.
Les années s’étaient écoulées sans que son projet ne voie le jour. En novembre 1986, après une descente de police au cabaret, j’avais pris ma décision, je vendais. Depuis que le commissaire principal était à la retraite, j’en avais assez d’être à la merci des voyous et des flics ripoux. D’autant plus que j’avais trente-six ans et demi, je devais absolument trouver un père au bébé que je désirais depuis si longtemps. Je savais très bien que ce n’était pas au « Josy-Club » que j’allais rencontrer l’homme qui m’enfanterait. Je ne voulais pas forcément vivre avec le géniteur, je voulais simplement un bel homme, intelligent et travailleur.
Lors de l’acquisition de la ferme où j’avais créé ma première affaire en 1974, mon ami Daniel le notaire que m’avait fait rencontrer Françoise, avait eu le nez fin en mettant à mon nom propre, cet achat en viager. J’avais eu une nouvelle fois de la chance. Dix ans plus tard M. Chartier décéda et fin 1985, sa pauvre épouse, âgée seulement de soixante-quinze ans, suivit son mari dans la tombe. Ce bien que je louais à « Paradis » mon ancienne société, m’appartenant pleinement désormais fut mis en vente. Jean-Lou conseiller par Michel le comptable, me payant trois loyers conséquents pour la guinguette, le restaurant et la discothèque, me le racheta à un bon prix.
Ce qui me permit de préparer mes arrières. En effet, j’avais acheté début 86, une jolie résidence en Provence dans l’arrière-pays, dans le village où j’allais régulièrement passer mes vacances. Je comptais bien après avoir vendu le « Josy-Club » y vivre avec mon enfant et pourquoi pas y finir mes jours paisiblement. Tout c’était passé très vite, Françoise ayant toujours des vues sur mon cabaret décida immédiatement de me racheter. Le temps de régler la vente de « L’Éros-Club » à la rentrée de septembre 1987, j’en avais fini avec mes affaires après 19 ans derrière un comptoir. À trente-sept ans, j’avais désormais l’esprit tranquille pour vivre de mes rentes.
Le jour de la vente du « Josy-Club » chez Daniel notre ami notaire, le cabaret étant fermé exceptionnellement, Françoise m’invita à « L’Éros-Club » pour fêter l’événement. Ça faisait plus de cinq ans que mon amie insistait afin que je passe un bon moment dans son club libertin, cependant de retourner là-bas me donnait le cafard, c’était pour cette raison que je n’y avais jamais mis les pieds. Après la visite au bar et la coupe de champagne prise avec le notaire, Françoise n’avait pas perdu de temps pour m’emmener dans une grande chambre au fond du couloir.
Dans cette pièce à l’entrée, il y avait un petit meuble sur lequel était disposé des serviettes propres, des savonnettes et de nombreux préservatifs. Au milieu un grand matelas et contre le mur à notre droite en entrant, se trouvaient cinq étalons entièrement nus et un sixième qui venait juste de les rejoindre. En suivant Françoise dans la chambre, celle-ci m’annonça : « Voilà ma chérie ! Ces six messieurs aussi doués les uns que les autres sont ici uniquement pour t’apporter le bonheur que tu mérites. » elle commença à me les présenter un par un :
« Roland, sera le premier, regarde comme il est bien monté » Dit-elle en lui ayant pris sa verge déjà redressée, à pleine main : « Michel a les plus grosses bourses et c’est lui qui éjacule le plus. » Annonça-t-elle en lui soupesant les couilles qu’il avait en effet très grosses : « Passons à René, de loin le plus résistant. » Dit-elle en lui caressant son ventre poilu : « Gaston, n’a rien à envier aux africain, son phallus en érection est un vrai gourdin. Le suivant est Patrick, le plus jeune. Aucun commentaire, personnellement je ne l’ai pas encore testé. » Dit-elle en lui souriant puis lui faisant la bise sur les lèvres : « Et enfin, Daniel que nous ne présentons plus. »
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Si les premiers cas suspects de Sida, observés aux États-Unis, au sein de la communauté homosexuelle, au début des années 80, ce ne fut vraiment qu’à partir de 83, après la création d’associations que nous avions pris conscience de la gravité de cette maladie. Après avoir passé le test de dépistage, je fus moi-même très rassurée. J’avais appris également que Jean-Lou, n’était pas porteur du virus. À partir de là, j’avais pris conscience qu’il n’y avait pas que les gays ou les drogués qui pouvaient être atteints. Ma vie de libertinage bien remplie, changea de tout au tout, il n’était plus question de baiser sans capote.
Bien entendu, j’avais toujours ce besoin de partenaires de jeu et lorsque mes pulsions sexuelles me taraudaient les entrailles, j’aurais fait n’importe quoi afin de les assouvir. Dans ce cas, chaque fois qu’un homme me plaisait dans la salle, je devais trouver un moyen discret, au moment de la fermeture, afin de l’amener dans mon box privé entièrement clos. Avec mon savoir-faire pour mettre en érection mon partenaire, théoriquement, il ne me fallait pas longtemps pour prendre mon pied. Au petit matin, ni vu, ni connu, je renvoyais le type à son hôtel et je pouvais finir ma nuit.
Cependant, cela ne se passait pas toujours de la même façon. Un soir, la salle était bien remplie, il était minuit et demi, je venais de faire le tour des tables afin de saluer personnellement, les clients les plus fidèles. Je m’installai sur mon tabouret à l’angle du comptoir où je pouvais voir tout ce qui se passait dans la salle. Lorsque je vis arriver au club, un grand brun, costaud et élégant. Ce bel homme était tout à fait le genre de type que j’affectionnais. Dès que nos regards s’étaient croisés, il vint vers moi, pris un tabouret qu’il déplaça légèrement pour se retrouver à mes côtés.
Je portais une tenue assez classique très classe et sexy. Ainsi vêtue, il était impossible qu’il me prenne pour une hôtesse. À cet instant, je savais que je ne dormirais pas seule, je n’avais pas l’intention de le laisser repartir au petit matin, j’avais déjà une envie folle de baiser avec lui. Après s’être présenté, il m’offrit un verre que j’acceptai et fit sa commande au barman. Pensant probablement que j’étais une cliente, il rentra dans le vif du sujet dans une drague en bonne et due forme. Tout en me courtisant, Helmut avait posé sa grosse main sur mon genou, comme il était assis, empêchant les clients de me voir, je l’avais laissé faire car cela me plaisait. Cet allemand parlait très bien le français, il était de passage en ville pour signer un contrat avec un client le lendemain, avant de repartir chez-lui à Dresde.
Après plusieurs minutes, sa main toutefois douce, s’étaient aventurée un peu plus haut sur ma cuisse où certains de ses doigts jouaient avec mon porte-jarretelles et son index frôlait le petit triangle en dentelle de mon petit string. M’ayant sentie très réceptive et n’ayant, à aucun moment, essayé de lui retirer sa main, il tenta une approche directe : « Je dois rentrer, tu viens avec moi à l’hôtel ? » Je fus dans l’obligation de lui refuser en lui disant que j’étais la patronne de cet établissement. Je lui avais moi-même répondu de la même façon : « Attends la fermeture, tu passeras la nuit avec moi. »
Je sentis qu’il était très déçu, il serait bien resté, néanmoins n’ayant dormi que deux heures la veille et devant signer son contrat à 9 heures à Lyon, il était impossible pour lui de veiller jusqu’à point d’heure. Il devait absolument dormir un peu, il s’excusa : « C’est vraiment dommage, tu me plais beaucoup Josy. » J’avais tout fait afin qu’il reste, je lui avais même masser le sexe à travers le pantalon où je m’aperçus qu’il ne m’avait pas menti. Avec un air triste, il demanda : « Désolé Josy ! Peux-tu me dire où trouver une pute pour me soulager. » Puis il se leva en me faisant un petit clin d’œil, il finit sa phrase : « Bon ! Je vais uriner avant de partir. »
Comme je lui avais répondu qu’il y avait de jolies prostituées devant son hôtel, je me posais cette question : Était-ce une invitation à le suivre aux toilettes ? Je m’étais moquée des quand-dira-t-on, je m’étais levée à mon tour et l’avais rejoint discrètement aux sanitaires. En effet, il était certain que je vienne le rejoindre, il m’attendait et m’attira dans la cabine où il baissa son pantalon dès qu’il avait fermé la porte. J’étais tellement excitée par cette situation, que je ressentais la cyprine suinter de ma fente, j’étais pressée d’en finir, je voulais qu’il me prenne comme une vraie petite salope.
Je relevai ma jupe droite jusqu’à la taille, retirai mon petit sous-vêtement et posai mes mains sur le battant de la cuvette pour me pencher en avant. Dans l’état où se trouvait Helmut, je n’avais pas eu le besoin de le sucer, il bandait déjà comme un taureau, lorsqu’il me pénétra. Sa queue épaisse à souhait me remplissait la chatte largement mouillée. Il s’activa en râlant pendant que je gémissais de plaisir. Ses coups de boutoirs à la limite de la sauvagerie étaient si intenses que j’avais joui bien avant lui, alors qu’il me ramonait toujours. Puis après quelques minutes à ce rythme, il enleva sa capote et éjacula copieusement sur mes fesses, avant de repartir en me disant : « Merci Josy. »
Ce même soir, lorsqu’Helmut était parti vers 1h30 du matin, cette petite baise, m’avait laissé le gout : « du reviens-y. » J’avais du mal à me concentrer sur mon travail, je ne pensais qu’à jouir de nouveau. J’avais même déjà retiré mon string pour le placer dans mon sac. Vers deux heures vingt, après qu’un jeune touriste m’ait offert une coupe, en me faisant des avances, ce fut moi qui l’avais invité à me suivre discrètement dans la même cabine des WC où là encore, j’avais endossé mon costume de petite salope. Ce type dont je ne me souviens même pas de son prénom, me prenait la chatte par derrière. N’obtenant pas de résultat, je lui demandai : « Allez ! change de trou ! Encule-moi ! »
Il y avait des soirs comme ça où il n’y avait rien à faire, mes pulsions revenaient à grand pas. Seulement cette fois-ci j’avais attendu la fermeture. Un homme assez âgé était venu me féliciter pour la soirée qu’il avait passée chez-moi et regrettait de résider aussi loin (Bretagne) où il n’y avait pas ce genre de club près de chez-lui. Tous les clients étaient partis, je lui offris un dernier verre au comptoir, le temps que le personnel quitte les lieux. Si nous avions parlé avec une grande courtoisie pendant un moment, dès que nous nous sommes retrouvés seuls, je lui demandai directement : « Ça vous dit de passer un moment intime avec moi ? » Quelle aubaine pour lui ! Comment pouvait-il refuser. Malgré son âge avancé, le papy m’avait fait grimper deux fois aux rideaux.
Des souvenirs comme celui-ci, j’en avais énormément à raconter, cependant toutes ses aventures d’une nuit, n’étaient pas toutes aussi bien réussies. Il m’était arrivé plusieurs fois, de ne pas parvenir à atteindre le plaisir escompté. Certains soirs où je n’étais pas entièrement satisfaite d’un, j’en prenais un deuxième. Comme je viens de l’expliquer, le maximum fut trois dans la même soirée. N’étant pas contre un trio, j’étais parvenue, par le biais d’une petite allusion bien placée, de le proposer moi-même à certains. Tout en restant fidèle à mes principes : ne jamais coucher avec des types de la région. Comme ce fus le cas en octobre 85.
Cette soirée-là, Jacques, un quadragénaire tout à fait charmant était accompagné de deux amis. Celui-ci n’avait pas cessé de me regarder, de me sourire, et de m’accoster enfin, pour m’offrir un verre, une heure avant la fermeture. Ça tombait bien, ayant eu mes règles, je n’avais pas pris mon pied depuis plusieurs jours et j’avais une faim de loup, il me fallait du sexe. Il était assez timide, je dus l’allumer un maximum afin qu’il se décide de rester boire une coupe après la fermeture. Ces deux amis insistaient pour qu’il rentre avec eux, seulement je n’en avais pas envie.
Son copain lui parla à l’oreille, je voyais bien que les deux types étaient un peu jaloux que je m’intéresse qu’à Jacques. Lorsque celui-ci pris la décision de me quitter, alors que je venais de l’inviter à me suivre dans mon box privé en disant : « Désolé, c’est moi qui conduis. » Je savais à cet instant que je devais trouver une solution à ce problème, il me fallait, coûte que coûte, les retenir. Et ce n’était surement pas en leur offrant un autre verre de champagne que j’y parviendrais. J’étais très excitée à l’idée de baiser, c’était mon dernier espoir pour cette nuit : « Et si vous veniez tous les trois, ça vous chante ? »
Nous n’étions pas allés dans le box privé. Ces trois types ne s’étaient pas faits prier, ils finirent leur coupe en vitesse et Jacques perdit sa timidité rapidement, il passa derrière moi et en me caressant les flans, m’embrassait tendrement dans le cou. Gilles le plus âgé face à moi, leva ma jupe et en regardant mes cuisses harnachées de mon éternel porte-jarretelles et mon mini string en dentelle s’exclama : « Putain Jacques ! t’as tiré un sacré numéro ! » Pendant ce temps, Jean-Marc le troisième m’avait enlevé les boutons de mon chemisier et en flattant chacun de mes seins dit à son tour : « Quels nibards elle a, cette salope ! »
J’étais fière de leur plaire, je me laissais faire, j’adorais leurs propos et leurs remarques, lorsqu’ensemble ils se mirent à me dévêtir tout en me caressant de partout. Ne portant pas de soutien-gorge, en quelques secondes, je m’étais retrouvée avec seulement : mes bas, mon porte Jarretelle et mes escarpins à talons. Jacques me demanda gentiment de me mettre à genoux puis quelques instants plus tard, ils avaient tous leur pantalon au niveau des chevilles. Ils me présentaient à tour de rôle devant mon visage, leur queue encore un peu trop molle, afin que de ma bouche, je les fasse bander.
Pendant que mes lèvres suçaient et que ma langue léchait Jacques, je branlais d’une main, Jean-Marc et Gilles de l’autre, puis vice et versa. Ma spécialité en gorge profondes, avait fini de les étonner, leurs réflexions en témoignaient, à l’unanimité, ils appréciaient énormément. Après une bonne dizaine de minutes à leur tailler une pipe comme rarement ils avaient vécu, me retrouvant à quatre pattes, Jacques qui n’en pouvait plus, fut le premier à me baiser la chatte par derrière, tandis que Gilles devant moi, continuait à se faire sucer, je branlais la belle queue de Jean-Marc.
Pendant un long moment, ils intervertirent leur place, puis, je ne me souviens plus comment ils me prenaient, j’étais ballotée, culbutée de tous les côtés comme une poupée gonflable. J’eus, pendant plus d’une heure, une bite dans chaque trou, ou une langue agile et des doigts qui me faisaient jouir. Ils me baisaient comme j’adorais, sans me laisser de répit après mes divers orgasmes. Ils m’avaient littéralement défoncée, j’étais KO lorsqu’ils étaient repartis du « Josy-Club ».
Voilà comment se passait en général mes rencontres d’un soir, je n’avais pas encore trouvé l’homme de ma vie, celui avec lequel je ferais un enfant. Je ne voulais surtout pas finir comme Françoise qui, à quarante ans passés, ne pouvait plus en avoir. Pour reparler de ma meilleure amie que je n’avais jamais cessée de voir, celle-ci m’avait toujours soutenue dans les pires moments de ma vie. En particulier en 1982 lorsque j’avais revendu mes parts du « Paradis » pour venir ici après le coup de pute que m’avait fait Jean-Lou, l’homme que j’aimais et qui avait en plus, refusé de m’engrosser.
En effet, à l’époque Françoise, qui avait créé à elle seule, « l’Éros-Club » la boite libertine et d’échangiste, n’avait pas accepté mon départ. Pour me venger, elle menaça mon ex qui m’avait dépouillé de mes biens, de partir avec sa clientèle, pour la plupart des personnes issues de ses propres connaissances. Françoise gérant également toute la partie administrative du « Paradise-Club » lui posa un ultimatum, elle continuait à régir la boite de nuit, à la seule condition qu’elle puisse racheter en son nom « l’Éros-Club » tel un fond-de-commerce.
N’ayant personne de confiance sous la main à qui proposer le poste, mais également ayant les mêmes compétences que mon amie, Jean-Lou, accepta le deal. Depuis Françoise venait régulièrement les lundis ou mardi au « Josy-Club » comme elle le faisait depuis plus de dix ans. Ses affaires fonctionnaient bien, elle m’avait toujours proposée de nous associer mais avec les problèmes de racket en tous genre, je n’avais jamais voulu la mêler à cela. Pourtant elle était au courant et me relançait tous les ans, elle savait que nous pourrions à nous deux faire un carton avec nos deux affaires, elle avait même un projet pour le « Josy-Club » : Faire à l’étage comme elle avait fait jadis, un club libertin en plein centre-ville.
Les années s’étaient écoulées sans que son projet ne voie le jour. En novembre 1986, après une descente de police au cabaret, j’avais pris ma décision, je vendais. Depuis que le commissaire principal était à la retraite, j’en avais assez d’être à la merci des voyous et des flics ripoux. D’autant plus que j’avais trente-six ans et demi, je devais absolument trouver un père au bébé que je désirais depuis si longtemps. Je savais très bien que ce n’était pas au « Josy-Club » que j’allais rencontrer l’homme qui m’enfanterait. Je ne voulais pas forcément vivre avec le géniteur, je voulais simplement un bel homme, intelligent et travailleur.
Lors de l’acquisition de la ferme où j’avais créé ma première affaire en 1974, mon ami Daniel le notaire que m’avait fait rencontrer Françoise, avait eu le nez fin en mettant à mon nom propre, cet achat en viager. J’avais eu une nouvelle fois de la chance. Dix ans plus tard M. Chartier décéda et fin 1985, sa pauvre épouse, âgée seulement de soixante-quinze ans, suivit son mari dans la tombe. Ce bien que je louais à « Paradis » mon ancienne société, m’appartenant pleinement désormais fut mis en vente. Jean-Lou conseiller par Michel le comptable, me payant trois loyers conséquents pour la guinguette, le restaurant et la discothèque, me le racheta à un bon prix.
Ce qui me permit de préparer mes arrières. En effet, j’avais acheté début 86, une jolie résidence en Provence dans l’arrière-pays, dans le village où j’allais régulièrement passer mes vacances. Je comptais bien après avoir vendu le « Josy-Club » y vivre avec mon enfant et pourquoi pas y finir mes jours paisiblement. Tout c’était passé très vite, Françoise ayant toujours des vues sur mon cabaret décida immédiatement de me racheter. Le temps de régler la vente de « L’Éros-Club » à la rentrée de septembre 1987, j’en avais fini avec mes affaires après 19 ans derrière un comptoir. À trente-sept ans, j’avais désormais l’esprit tranquille pour vivre de mes rentes.
Le jour de la vente du « Josy-Club » chez Daniel notre ami notaire, le cabaret étant fermé exceptionnellement, Françoise m’invita à « L’Éros-Club » pour fêter l’événement. Ça faisait plus de cinq ans que mon amie insistait afin que je passe un bon moment dans son club libertin, cependant de retourner là-bas me donnait le cafard, c’était pour cette raison que je n’y avais jamais mis les pieds. Après la visite au bar et la coupe de champagne prise avec le notaire, Françoise n’avait pas perdu de temps pour m’emmener dans une grande chambre au fond du couloir.
Dans cette pièce à l’entrée, il y avait un petit meuble sur lequel était disposé des serviettes propres, des savonnettes et de nombreux préservatifs. Au milieu un grand matelas et contre le mur à notre droite en entrant, se trouvaient cinq étalons entièrement nus et un sixième qui venait juste de les rejoindre. En suivant Françoise dans la chambre, celle-ci m’annonça : « Voilà ma chérie ! Ces six messieurs aussi doués les uns que les autres sont ici uniquement pour t’apporter le bonheur que tu mérites. » elle commença à me les présenter un par un :
« Roland, sera le premier, regarde comme il est bien monté » Dit-elle en lui ayant pris sa verge déjà redressée, à pleine main : « Michel a les plus grosses bourses et c’est lui qui éjacule le plus. » Annonça-t-elle en lui soupesant les couilles qu’il avait en effet très grosses : « Passons à René, de loin le plus résistant. » Dit-elle en lui caressant son ventre poilu : « Gaston, n’a rien à envier aux africain, son phallus en érection est un vrai gourdin. Le suivant est Patrick, le plus jeune. Aucun commentaire, personnellement je ne l’ai pas encore testé. » Dit-elle en lui souriant puis lui faisant la bise sur les lèvres : « Et enfin, Daniel que nous ne présentons plus. »
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