« Josy » : La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : « Josy » :  La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28
Quelle drôle de sensation, de se lever le matin, sans avoir le souci de se préparer pour aller travailler. En effet, après avoir vendu « le Josy-Club » le 31 août 1987, avant de quitter la région pour emménager en Provence, comme j’avais prévu de faire, il me restait quelques affaires à régler. Entre autres, avant de louer mon appart, se situant dans mon immeuble en centre-ville, je devais le remettre en état. Pour cela, je fis appel à Philippe bien entendu, ce jeune peintre qui m’avait toujours aimé et qui m’aimait encore, malgré qu’il se soit marié à Isabelle en 1983 et avec laquelle il avait déjà deux enfants. (Un garçon et une fille qu’il appela Josy). Moi aussi, j’avais encore des sentiments forts pour lui.

Je regrettais même de l’avoir laissé au second plan à l’époque où je vivais avec Jean-Lou qui refusait de me faire un enfant. Si j’avais su ce qui m’arriverait, je ne lui aurais jamais imposé la capote. Avec Philippe nous ne nous étions jamais quittés véritablement et si en quatre ans, il n’avait jamais trompé sa femme, j’étais l’exception qui confirmait la règle. Deux à trois fois par mois, les samedis midi, suivant notre disponibilité, mon petit lapin venait à la maison et me rejoignais dans mon lit en m’apportant mon petit déjeuner. Il adorait mes fellations, et comme l’un ne va pas l’autre, après un petit cunnilingus, nous faisions l’amour tendrement avant qu’il rejoigne sa belle petite famille.

Maintenant, je devais penser à mon bien être et pour cela, je devais devenir mère. Fini les galipettes sans capote, j’avais arrêté la pilule depuis peu de temps. Néanmoins, le plus difficile dans tout cela était de trouver le bon père. Bien sûr, j’avais tout de suite pensé à Philippe : Grand, joli garçon, courageux, travailleur, intelligent, et pour couronner le tout, fertile avec ses deux gosses. Ayant toutes les qualités requises pour le papa de mon futur enfant, c’était le candidat idéal. Pourtant, était-ce bien raisonnable ? Je ne pouvais pas lui faire un enfant dans le dos (LOL), je n’avais au départ, aucune intention de les trahir, ni lui, ni Isabelle.

Le samedi 29 août, lorsque Philippe était venu pour mettre un petit coup de neuf à mon appartement, il était venu une heure plus tôt que prévu et s’était glissé nu sous mes draps. C’était un rituel, il n’avait jamais oublié la première fellation que je lui avais faite dans les mêmes conditions. J’en avais pris l’habitude, je m’étais levée, j’avais ouvert ma porte, pris un petit café et avant de me recoucher en l’attendant, j’avais retiré ma chemise de nuit. J’étais bien, il me couvrait de petits baisers, sans oublier une seule partie de mon corps, nu offert à lui.

Après m’avoir fait jouir, dans notre position favorite qu’était le 69, allongée sur le dos, il me prit simplement en missionnaire et me fit crier de plaisir une nouvelle fois. Avec lui, nous baisions sans capote, au moment où il allait éjaculer, il me demanda : « Tu veux que je te retourne ? » En effet, souvent cela se finissait par une sodomie où il pouvait se vider dans mon rectum : « Non mon lapin vas-y continue. » Philippe ne s’était pas posé de question, il me ramona un instant et m’envoya toute sa semence. Nous étions restés un long moment l’un sur l’autre à nous embraser, j’avais encore sa verge dans mon vagin.

Lorsqu’il retira sa queue ramollie encore toute luisante et se leva, je restai couchée encore un bon quart d’heure, pendant qu’il était parti à la cuisine préparer le café. En apportant le plateau, je le regardais souriant et épanoui. Je prenais conscience de ce que j’étais en train de faire, quelque part je m’en voulais. Je venais de faire probablement une grosse erreur. Je savais bien que j’étais en pleine ovulation et pourtant, je lui avais demandé de faire jaillir son sperme à l’intérieur de ma fente afin de tomber enceinte et j’avais tout fait pour y parvenir.

Je me souviens encore de ses mots lorsqu’il était parti le soir après sa journée de travail, lorsque je lui avais confirmé la date de mon départ et de mon déménagement prévu le lundi 12 octobre 1987 : « Comment, je vais faire sans toi ? Tu vas vraiment me manquer. » — Rassure-toi mon lapin, nous avons jusqu’au 11. N’oublie pas de passer demain matin ?

Je désirais vraiment avoir un enfant de Philippe, j’avais trois jours pour avoir plus de chance d’être fécondée. Après l’avoir décidé à passer le dimanche matin, ayant l’excuse de finir les travaux chez-moi, nous avions encore fait l’amour le lundi-soir lorsqu’il quitta son travail. Lui n’avait pas compris mon envie soudaine de baiser ainsi avec lui. Cependant comme Isabelle n’était plus trop portée sur le sexe depuis la naissance de sa fille, je lui avais dit : « Tu sais comme je suis, c’est mon côté petite salope. Je te promets que je ne t’ennuie plus. Embrasse ta famille pour moi. »
Lorsque nous étions partis au soleil à Perpignan, après la première semaine où visites des villages pittoresques, longues excursions dans la montagne et petites randonnées en Espagne étaient notre quotidien, je n’avais pas du tout l’intention de les suivre la deuxième. Après huit jours sans avoir eu un homme pour m’apporter du plaisir, ça commençait à me démanger, d’autant plus que je ne cessais de penser à Philippe. Entre mon petit déjeuner sur la terrasse de l’hôtel, ou lors de ma longue balade sur la plage en fin de matinée, et au déjeuner pris dans une paillote vers treize-heure, je n’avais rencontré que des personnes âgées, seuls ou en couple.

Mis à part le jeune serveur qui m’avait bien plu, je n’avais rien à me mettre sous la dent. Je comptais sur mon bain de soleil sur le sable chaud et mes petites baignades de l’après-midi, pour trouver enfin un type qui me plaise enfin. Là encore, j’avais fait chou-blanc, comme je n’avais pas encore eu ces fortes pulsions sexuelles qui parfois, me faisaient choisir le premier venu, j’attendais donc cet inconnu qui pouvait éventuellement me faire rêver. À la soirée dansante accompagnée de ma mère et de son docteur, hormis les trois hommes mariés qui m’avaient gentiment invitée à danser, je n’avais pas trouvé la perle rare.

Le lendemain fut identique à la veille, partir en septembre n’était pas l’idéal pour les jeunes, la région était pleine de touristes du 3ème âge, je regrettais d’être venue. Ce ne fut que le jeudi, comme il avait plu averse, j’étais allée en centre-ville. En sortant d’une boutique, voulant traverser j’attendais sur le trottoir, quand soudain une voiture passant sur une flaque d’eau devant moi, m’aspergea copieusement. L’homme m’ayant aperçue, s’arrêta et vint s’excuser. En le voyant, je savais que ce type était le bon. Pour se faire pardonner, il m’offrit un verre au bar où nous avions fait connaissance puis me ramena à l’hôtel afin que je puisse me changer.

Christian m’avait promis de me faire découvrir un endroit idyllique à une trentaine de minutes de là où nous serions tranquilles, loin des touristes. Après une petite ballade d’un quart d’heure sur un chemin assez escarpé, nous étions arrivés sur une minuscule mais magnifique plage entourée de jolis rochers de formes et de couleurs différentes. Le soleil était revenu, il faisait à nouveau très chaud. Christian enleva sa chemise et son pantalon et m’invita à prendre un bain : « Mais je n’ai pas pris mon maillot, tu aurais dû me prévenir. » Il baissa son slip de bain, l’enleva, me le montra en le tenant dans sa main et en levant le bras, dit : « Allez Josiane ! Fais comme moi, il n’y a personne ici. »
N’étant pas pudique et désirant coucher avec lui, je m’exécutai et quelques instants plus tard, nous étions nus tous les deux, collés l’un à l’autre dans l’eau salée de la mer, nous embrassant fougueusement. Nous étions très excités, ma chatte suintait et son pénis était droit comme un I. Lorsqu’il voulut me pénétrer, j’allais accepter cette intrusion mais au dernier moment, je lui dis : « Non ! tu dois te protéger avant. » Nous nous étions donc allongés sur les serviettes éponges et comme il n’avait pas de capotes, j’en avais sorti une de mon sac : « J’ai vraiment de la chance. » Me dit-il. Sa langue s’était mise à explorer mon intimité et ses mains parcouraient mes seins gonflés dont les mamelons étaient durs et sensibles.

De mon côté, les miennes caressaient sa verge droite et dure dont le gland semblait vouloir éclater tellement il était plein de sang. N’ayant qu’un préservatif, je n’avais pas voulu le sucer afin de le conserver pour la suite. Ma chatte était bouillonnante, elle coulait toute seule, Christian se délectait de mon nectar quand soudain, en glissant un troisième doigt à l'intérieur de ma chatte en feu, et en me branlant énergiquement, j’atteins un orgasme fulgurant, qui inonda sa bouche. Mon corps était pris de spasmes, je criais sur cette plage mais personne ne m’entendit.

Ce fut le moment qu’il choisit pour enfiler le latex et son gros gland remplaça ses doigts puis joua sur ma fente, jusqu’à mon petit bouton avant de me pénétrer. Il coulissa facilement, j’étais trempée, je recommençais à gémir en écartant mes cuisses un maximum afin qu’il puisse me bourrer le plus loin possible. J’ondulais mon bassin au rythme de ses coups de reins, l’agrippant par fesses. Il accéléra la cadence, recevant au plus profond de ma chatte par intermittence, cette queue nerveuse et dure comme de la pierre. Mes cuisses tremblèrent et mon ventre se souleva sous les spasmes de ma jouissance et mes cris résonnèrent dans les rochers.

Il se retira alors, enleva la capote et vint entre mes deux seins, pour se finir avec une petite branlette espagnole puis ne tarda pas à éjaculer sur ma poitrine. J’en avais reçu partout, jusque sur mes lèvres. En panne de préservatifs, je lui dis : « Je serais bien restée à me faire défoncer la petite rondelle. Tout ça c’est de ta faute. » Nous avions pris un petit bain et il me raccompagna à l’hôtel. Étant très pressé, il se sauva en s’excusant. Désirant le revoir, le lui dit avant qu’il ne parte : « N’oublie pas les capotes demain. » Malheureusement, Christian m’avoua à cet instant qu’il était marié et qu’il rentrait sur Marseille le soir même.
Après cette aventure sans lendemain avec Christian, ça m’avait fait réfléchir, une fois n’est pas coutume. J’avais compris une chose : me méfier désormais des hommes. J’en avais plus qu’assez de vivre au jour le jour, en baisant avec des inconnus uniquement pour mon propre plaisir. Je décidai de mettre définitivement mon costume de petite salope au placard. Il était temps pour moi d’en trouver un vrai, un célibataire qui m’aime pour moi et non pas pour mon corps, afin de fonder une famille. Je me demandais s’il fallait vraiment que je quitte la région où j’avais ma famille, mes amis et toutes mes connaissances.

J’avais peur de m’ennuyer dans ce hameau isolé, perdu sur le flan de la colline où se trouvait qu’une dizaine de villas neuves pour la plus part. Devais déménager ? Là était la question. Cet endroit était magique pour des vacances d’été mais qu’en serait-il d’y vivre toute l’année ? J’appréhendais le futur, ayant travaillé très tôt, et ayant des journées bien remplie comment allais-je passer mon temps ? La dernière fois que j’étais allée à un cours de poterie, j’étais partie le soir baiser avec le formateur dont je ne me souviens plus de son prénom.

En revenant de congé, j’étais très impatiente de savoir, j’attendais mes règles en espérant qu’elles n’arrivent pas. Deux, trois jours de retard, puis quatre, toutefois, mon cycle n’étant pas souvent régulier, j’attendais encore avant de me réjouir. En ayant quelques petits symptômes, comme mes seins gonflés et sensibles et quelques bouffées de chaleur, après plus d’une semaine de retard, le lundi 21 septembre, mon médecin Jean-Charles me fit faire un test urinaire. Celui-ci m’annonça avec stupeur que j’allais avoir un bébé : « Tu dois être enceinte de quatre semaines environ, qui est l’heureux élu ? »
J’avais caché ma joie et n’avais pas parlé du jeune peintre car je ne désirais pas lui dire que j’avais fait un bébé toute seule et lui répondit : « Ça ne peut-être qu’un accident. » En rentrant chez-moi, si j’avais des remords d’avoir trahi Philippe alors que je déménageais en Provence quinze jours plus tard, j’eus un gros doute. Cela faisait trois semaines et deux jours que j’avais couché avec mon petit lapin : « Me serais-je trompé dans mes calculs ? Et si ce n’était pas lui le père ? Tous mes souvenirs des jours précédents me revenaient à l’esprit. Tout d’abord, le soir au club libertin où Françoise m’avait invitée.

Sans prendre en compte Daniel qui m’avait uniquement sodomisée et n’avait éjaculé qu’une seule fois dans ma bouche. Roland, René, Gaston, Michel et Patrick les cinq étalons choisis par ma meilleure amie pour leurs performances et pour la grosseur de leur attributs sexuels, avaient-ils à un moment ou à un autre, retiré leurs capuchons quand ils m’avaient baisée pendant plus de deux heures, à tour de rôle, puis en double pénétrations voire en triple, avant de m’envoyer une averse de sperme sur mon corps et mon visage. Même si j’avais joui énormément, restant dans un état second après mes orgasmes successifs, je m’en serais rendu compte. D’autant plus que ces hommes étaient des professionnels du sexe et se protégeaient.

J’avais peine à croire qu’un d’eux puisse avoir agi de cette manière. Par contre, deux jours avant que Philippe vienne à la maison le samedi, le jeudi-soir après le diner me retrouvant seule, une forte envie de passer un moment agréable me tirailla le bas du ventre. Résidant en face d’un hôtel de la poste, renommé dans cette ville, je m’étais préparée puis j’allai au bar de cet hôtel où un vieil ami, Étienne était le Directeur. Ce soir-là, les clients n’étaient pas très nombreux et très peu me plaisaient, mise à part peut-être, l’homme assis à l’angle du comptoir, à côté du poste téléphonique public. Ce jeune quinquagénaire, propre sur lui, la tête baissée sur son verre de scotch semblait morose et triste.

Je m’étais également mise au comptoir de façon à l’avoir presqu’en face moi. Pendant la bonne dizaine de minutes à parler avec Denis le jeune barman, que je connaissais bien, l’homme que je fixais souvent, n’avait levé les yeux sur moi que deux ou trois fois sans plus, avant de replonger son regard sur son verre de scotch. J’étais prête à partir du bar, afin de changer de terrain de chasse, lorsque s’apercevant que je m’intéressais un peu à son client, Denis me dit : « Vous le trouvez bizarre. Je l’ai entendu tout à l’heure au téléphone, il a un eu problème conjugal, il noie son chagrin. »
Ce qui me fit changer d’avis, j’enfilai mon costume de petite salope, je venais de trouver le moyen de l’approcher. Je changeai de place et pris le tabouret voisin au sien et engageai la conversation : « Vous êtes aussi triste que moi, à ce que je vois. » M’adressant à lui, ce type tourna la tête et me regarda. Je continuai donc en disant d’un air mélancolique : « Mon mari m’a quitté la semaine dernière, je n’ose pas y croire. Quel salop. » L’homme, en fronçant les sourcils, me répondit, tout étonné : « Ah bon ! Moi c’est le contraire, j’ai surpris ma femme en train de baiser avec mon meilleur pote. Ça fait deux jours que j’ai quitté la maison. »
Puis en me dévisageant son visage s’éclaira un peu et en me tendant la main : « Je m’appelle Yves, enchantée. » Après lui avoir donné mon prénom, nous avions discuté. Curieux de savoir ce qui m’était arrivé, j’avais inventé une histoire en lui disant que mon mari me frappait souvent et qu’il était parti pour une petite jeune de 20 ans, me laissant, gisant sur le sol. Je voyais que cet homme compatissait, puis il reprenait de l’entrain et lorsqu’il me donna tous les détails de ce qu’il avait vu en rentrant tôt dans son salon, cela lui avait donné un coup fouet : « Vous vous rendez compte, elle se faisait sodomiser alors qu’elle ne m’avait jamais laissé faire. Je n’avais même pas droit à une pipe. »
À cet instant, se sentant gêné des propos grivois qu’il venait de tenir, il posa sa main sur la mienne et en me souriant, s’excusa. Je lui posai à mon tour la main sur sa cuisse et lui dit tout simplement : « Ce n’est rien, mon homme m’obligea à le faire dès le premier jour. Je dois dire que j’ai très vite apprécié. » Avais-je fini par dire en glissant ma main vers l’intérieur de ses cuisses : « Voulez-vous que je vous emmène quelque part ? » Me demanda-t-il galamment : « Merci ! Mais j’habite juste en face. Voulez-vous prendre un verre à la maison ? »
Voilà comment Yves se retrouva dans mes griffes ce soir-là, il avait, pour un moment oublié sa garce d’épouse qui le trompait depuis plus de dix ans. Pendant cette petite heure, je lui avais offert, ma bouche, ma chatte et mon cul. Il le méritait, je voulais lui rendre ce service et le plaisir que sa salope de bonne femme lui avait toujours refusé. Pour en revenir à mon doute, je me souviens que même pour la fellation, je lui avais enfilé avec mes lèvres, le préservatif sur son sexe en pleine érection, et qu’il avait éjaculé dedans, quand sa bite se trouvait encore à l’intérieur de ma bouche.

Je m’étais bien rappelée aussi que sa queue était encore un peu molle lorsque je lui mis, de mes propres mains, la capote, avant qu’il me baise en levrette un long moment, avant qu’il me demande s’il pouvait m’enculer. Ce fut lorsque sa queue bien enfoncée jusqu’à la garde dans mon rectum et ses couilles frappant mon cul que j’avais pris enfin du plaisir et que je jouis. Par contre, cette fois-ci il s’était retiré et m’avait envoyé la sauce sur la raie des fesses. Récupérant de mon orgasme, je ne souvenais plus quand avait-il retiré le latex. Ayant la tête tournée vers l’oreiller, je n’en avais aucune idée.

Maintenant que j’étais certaine d’être enceinte de mon jeune peintre, je devais garder ce secret le plus longtemps possible. Il fallait donc que je quitte la ville au plus vite avant que je revoie mon petit lapin. Ayant trouvé rapidement un locataire pour la reprise de mon logement, et que celui-ci désirait obtenir les clés le plus rapidement possible, j’avais joint l’entreprise de transport et j’avais fait avancer la date, au 1er octobre. La veille de mon départ, les trois déménageurs étaient venus préparer les cartons et avaient commencé à charger le camion, ne laissant dans l’appartement que ma chambre et quelques petits meubles dont la cuisine et la salle de bain.


La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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