En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37
En janvier 91, cela faisait trois mois que je n’avais pas de nouvelle de Thierry, pourtant je pensais toujours à lui, notamment lorsque le soir je me retrouvais seule dans mon lit. Jean-Jacques m’ayant quitté depuis, je n’avais que quelques petites relations sexuelles nécessaires à mon bien être mais surtout ma collection de pénis que j’utilisais en cas de besoin lors de mes multiples masturbations. Bien entendu, je préférais de loin une verge réelle que je pouvais toucher, caresser, branler mais aussi lécher, sucer et avaler. Il devenait de plus en plus difficile pour moi de trouver un amant dans la mesure où j’attendais toujours celui que j’aimais.

Le projet d’hôtel avait avancé, les propriétaires avaient baissé le prix mais je devais effectuer les travaux à ma charge. Tout en suivant les conseils de mon notaire, conseillé juridique et financier, je n’avais pas mis tous mes œufs dans le même panier. Nous avions créé la Société « Josy-hôtel » dont j’étais majoritaire, avec Daniel, Françoise et quelques amis investisseurs. J’avais donc investi le tiers de mon héritage et avait emprunté le reste pour l’acompte et les travaux. À cette occasion, ayant subi les avances directes du jeune banquier, j’avais accepté de déjeuner avec lui et la deuxième fois, je l’avais suivi volontiers dans une chambre d’hôtel où nous nous étions amusés pendant trois quart d’heures.

Maintenant que je redevenais une femme active avec un réel emploi du temps à l’extérieur, je devais absolument trouver une nourrice pouvant assurer les repas, un peu de ménage et surtout garder ma petite Mary qui allait sur ses trois ans. Après avoir reçu une bonne quinzaine de lettres avec CV, j’en retins six pour un entretien. Les quatre femmes d’un certain âge étaient probablement d’excellentes nourrices, cependant celles-ci n’étaient pas prête à venir garder Mary chez-moi. Il me restait que deux candidates, la première avait vingt-cinq ans, elle avait tous ses diplômes mais je m’étais aperçue que le fait que ma petite soit métissée, l’avait surprise. Mon choix se porta donc sur la seconde une fille de l’Ddass.

Celle-ci était venue se présenter avec en sa possession une excellente lettre de recommandation de son ancienne patronne chez qui elle travaillait depuis quatre ans comme baby-sitter. Karine n’avait pas encore 19 ans, une jolie blonde aux yeux vert. Le petit problème qui n’en était pas un pour moi, elle était naïve et présentait une déficience intellectuelle légère, elle avait donc quelques difficultés à exprimer ses attentes, à faire certains de ses choix, mais ne se trompait jamais en ce qui concernait les enfants qu’elle gardait. Si elle n’avait pas eu son brevet des collèges cela ne l’avait pas empêché d’obtenir son diplôme : CAP petite enfance. Je voyais bien qu’elle adorait les gosses, en à peine une heure de temps, Karine et Mary s’étaient déjà mutuellement adoptés.

N’ayant plus de domicile, Karine résidait chez-moi, je n’avais plus la chambre d’amis de disponible pour nos petites parties de fesses, néanmoins cela avait un gros avantage, la nounou était disponible 24 h sur 24 et elle adorait Mary. Je m’étais tout de suite entendue avec cette jeune fille, elle avait un physique voisin du mien à son âge et hormis la couleur de ses cheveux et de ses yeux, nous nous ressemblions beaucoup, suivant l’avis de mes voisines. Je lui avais donné toutes mes tenues qui ne m’allaient plus, vu l’augmentation de volume de ma poitrine. Hormis ma solitude, tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Avant la réouverture de l’hôtel pendant les travaux, ne pouvant gérer cet établissement moi-même, il me fallait un Directeur. Là encore j’avais besoin d’aide et la seule personne qui pouvait m’être utile dans cette tâche, était Étienne une vieille connaissance qui tenait l’hôtel de la place en face de mon immeuble. L’an passé, lorsque je l’avais rencontré, il m’avait dit qu’il vendait son affaire et m’avais laissé sa carte. À 62 ans, il était fou de moi et me l’avait fait comprendre plusieurs, il essayait toujours de me séduire. Je l’aimais bien cet homme, il était tout à fait charmant et encore bel homme pour son âge, cependant étant trop âgé pour moi, j’avais refusé ses avances.

Pourtant, je savais que si je lui téléphonais, il se rendrait disponible pour m’aider. Devrais-je coucher avec lui ? En ces temps d’abstinence, ce ne serait pas un sacrifice, je me laisserais bien tenter, s’il insistait un peu. Il était donc venu à Salon de P et inspecta toutes les archives, la comptabilité et s’était renseigné sur le marché en plein essor du tourisme. Pour lui, il ne faisait aucun doute, si je gérais convenablement mon affaire, l’hôtel serait très vite rentabilisé. Je l’avais invité à diner chez-moi, Karine avait cuisiné une ratatouille qu’il adora. Mais en fin de repas, au moment où il devait rejoindre sa chambre d’hôtel au village, il me demanda s’il pouvait rester pour continuer à discuter affaire.

Karine avait déjà couché Mary et s’apprêtait à le faire aussi. Je lui avais servi un digestif et nous avions poursuivi notre discussion sur le futur Directeur de mon établissement : « Si tu veux, envoie-moi les CV et je ferai les entretiens avec toi. » D’être assise aux côtés d’un homme dans le canapé, étant donné mon manque de sexe, j’eus quelques idées érotiques en tête et j’attendais ses avances, comme il l’avait toujours fait. Étienne était gentil et avait perdu son assurance lorsque voyant qu’il parlait toujours travail, je posai ma main sur sa cuisse en lui disant : « Tu ne crois pas que cela, nous pourrions en reparler demain ? » C’était une petite ouverture qui le mit sur la bonne voie :
« Serais-tu fatiguée Josy, ou serais-tu disposée à m’embrasser ce soir ? » Dit-il en penchant son visage vers le mien. Je ne m’étais pas fait prier, je me penchai carrément sur lui et je lui offris bien plus qu’un baiser cette nuit-là. Je n’aurais jamais imaginé qu’Étienne soit aussi doué, tant dans ses gestes que dans ses propos. En quelques mouvements, il m’avait retiré ma robe et me fit danser en sous-vêtements devant lui, tout en me caressant. Il était très doux et ses paroles étaient assez crues pourtant. Il m’avait fait mouiller en peu de temps et j’avais jouis sous ses coups de langue lorsqu’il me demanda de faire un tête bêche.

J’avais arrêté ma fellation à temps car s’il m’avait fait du bien, ma langue et mes lèvres sur sa jolie petite queue le rendait fou de joie et lorsque j’avais fini par une gorge profonde, il était prêt à exploser. Étienne était résistant, il me lima en missionnaire, puis me retourna pour me prendre par derrière, avant que je le chevauche tel une amazone, j’adorais cela, j’avais vite joui une nouvelle fois. Ainsi positionné, je montrais le pouvoir que j’avais sur les hommes. Ce fut lorsqu’il me sodomisa sauvagement en levrette que j’atteins mon troisième orgasme, cependant, il prit le temps de retiré sa capote pour m’éjaculer entre les seins.

Lors des entretiens Étienne était venu pendant toute une semaine, il logeait dans une des chambres déjà terminée de l’hôtel pendant que Karine, Mary et moi, nous nous étions installés dans le logement m’étant réservé au rez-de-chaussée d’une petite annexe, juste à côté d’une salle du restaurant. Sachant que la bonne santé de mon établissement reposait sur ses qualités de gestionnaire, de manager, de stratège et de commercial le choix de mon Directeur d’hôtel était primordial. Mon objectif était double : Je tenais à ce que mes clients soient entièrement satisfaits et que mon hôtel prospère. Mon représentant devait être capable de diriger les responsables de toutes les diverses équipes afin d’assurer des prestations au-dessus de toutes critiques.

Afin de ne pas avoir trop de grosses surprises, Étienne me conseilla de conserver le chef de réception, le chef concierge, la gouvernante, le directeur de l’hébergement, le chef de cuisine et la majorité du personnel permanent. Nous avions remplacé les plus âgés d’entre eux par des jeunes plus motivés. Le personnel restant étant des saisonniers. Pour ce poste de Directeur nous ne devions donc pas nous tromper. J’avais suivi avec grand intérêt, notre choix ne se porta sur un, mais sur une candidate : Une jeune femme célibataire sans enfant, de trente ans qui semblait posséder toutes les qualités requises et qui avait travaillé à un poste similaire pendant trois ans dans un hôtel dont le patron était un bon ami d’Étienne.

Cette lyonnaise avait obtenu son BTS : Directeur d’un hôtel de charme, elle avait encore presque ses cours en tête. Elle parlait anglais et allemand couramment et se débrouillait en espagnol. Son concurrent Francis M avait quant à lui 45 ans, avec dix années d’expérience, simplement l’hôtel où il avait pratiquement toujours travaillé n’était pas d’une très grande renommée. C’était lui aussi un bel homme, très élégant et raffiné, d’une grande intelligence il avait comme la jeune femme toutes les compétences requises pour ce poste. Ce fut la raison pour laquelle, nous ne l’avions pas écarté définitivement de la course. Je lui avais dit que je le tiendrais au courant d’ici deux semaines.

En effet, afin de montrer sa motivation et ses compétences, Betty m’avait demandé de me parler en aparté. Elle désirait ce poste plus que tout, elle m’avait proposé de faire une étude approfondie de la gestion de l’hôtel, durant dix jours, ce que j’avais accepté. Accompagnée d’Étienne, ils avaient évalué point par point et avaient calculé la rentabilité de mon établissement. Mon ami avait pu apprécier son Leadership, sa rigueur, son organisation. Je savais que je prenais un risque en choisissant une personne aussi jeune, cependant pour la clientèle masculine, ayant travaillé dans une branche similaire, je savais par expérience que la beauté féminine était un gros atout dans le commerce.

Physiquement, Betty me plaisait beaucoup, ce fut la raison pour laquelle, sur les deux candidats restants, ayant les mêmes aptitudes, je l’avais choisie. Elle avait le profil m’avait dit Étienne, d’une taille moyenne, svelte et élégante, avec de très jolies formes, ses cheveux bruns étaient tirés en arrière, formant un petit chignon à l’arrière de son crâne, un joli visage allongé, les yeux en amande légèrement bridés probablement une métissée eurasienne. Pendant ces dix jours sans clients, moi aussi je l’avais appréciée, elle m’était très sympathique, joviale et avenante. Cette jeune femme avec son allure déterminée, était stricte et directive avec le personnel, néanmoins, elle n’hésitait pas à sourire aux hommes comme aux femmes.

En voyant les regards admiratifs que Betty me portait, j’avais eu un doute. Toutefois, je n’étais pas parvenue à déterminer sa sexualité. Son essai n’était pas terminé, elle devait repartir à Lyon le samedi midi, pour revenir deux semaines avant l’ouverture, afin de veiller à que tout soit en place. Ce mercredi après-midi, elle demanda à me voir. Lorsque je l’avais reçu dans mon petit salon, j’étais seule. Karine venait de partir faire sa longue ballade journalière avec Mary avant de passer au jardin d’enfant. Nous avions pris le café, installées chacune face à face sur les fauteuils. Cette entrevue devait être courtoise et non pas, strictement professionnelle.

Pourtant, lorsqu’elle prit la parole après toutes ces banalités d’usage et de politesse, elle me dit d’un ton assez mélancolique : « Je désirais vous rencontrer pour deux choses. » La première, était tout d’abord pour me remercier de lui avoir fait confiance et de l’avoir choisie : « Je vous en serai reconnaissante toute sa vie. » Puis lorsque je lui demandai pourquoi elle avait voulu quitter ce bel hôtel à Lyon, je l’avais sentie un peu gênée de m’en parler. Cependant, avec toute sa détermination, le respect et la confiance qu’elle me portait, elle se jeta à l’eau.

« J'ai vécu cinq années avec Florent le fils des propriétaires. La première fois, je m’étais laissé surprendre nous avions flirté. Prise par mon travail, je n’avais pas l’occasion de sortir. Puis de fil en aiguille, nous avions couché ensemble et nous nous sommes mis en couple. Lui ne voulait pas entendre parler d’hôtellerie, au grand dam de ses parents qui m’adoraient car pour eux, j’étais la belle-fille idéale, ma vie était parfaitement tracée : La future Patronne de leur Hôtel ». Après avoir fini sa tasse de café, je lui demandai où en était sa relation intime et pourquoi elle postula à ce nouveau poste :
« Je n’étais plus amoureuse de Florent depuis deux ans et je ne sais pas si je l’ais été un jour. Seulement je pensais être dans une mauvaise passe que tout allait s’arranger avec le temps. En définitive je compris que j’avais peur de perdre ma place si je le quittais. Il menait la grande vie et très vite, notre vie sexuelle s’était peu à peu détériorée pour devenir complètement nulle. » C’est à partir de ce moment que j’avais couché avec une jeune employée qui m’a fait découvrir, une autre forme de sexualité. Quand Florent l’a su, il l’a fait mettre à la porte. J’ai pris la sage décision de répondre à votre annonce. »— Vous comprenez, je n’ai jamais eu que le travail comme famille…
Lorsque Betty avait fini son histoire, elle avait les larmes qui coulaient sur ses joues, je ne pus m’empêcher d’avoir également les larmes aux yeux, Je m’accroupis devant elle en lui prenant ses mains dans les miennes. À ce moment, j’avais eu envie de l’embrasser, cependant, je m’étais retenue de le faire. Je m’étais relevée, avais servi une nouvelle tasse de café afin qu’elle reprenne ses esprits. Je l’avais prise dans mes bras et lui fit une grosse bise sur la joue. Elle me sourit puis machinalement, je lui demande : « Quelle est la deuxième raison de cette rencontre ? » Toujours enlacées comme deux amies, là encore, après un temps d’arrêt, Betty me dit : « Je crois que je ne pourrai pas rester, ça va être trop difficile pour moi. »— Que dis-tu là, voyons. Bien sûr ! J’ai confiance en toi et ensemble nous parviendrons à faire de cet hôtel un lieu privilégié.
— Ce n’est pas ça ! Je préfère être franche et vous dire avant que vous m’embauchiez. Je suis très attirée par vous, Josiane.

Elle s’était resserrée un peu plus contre moi et avait posé sa tête contre mon épaule, je ne savais plus quoi dire, ni que faire. Moi aussi j’avais envie d’elle, pourtant nous n’étions ni l’une ni l’autre, des lesbiennes. Nous étions restées, enlacées ainsi pendant de longues secondes qui me semblèrent être une éternité. Puis je repris la parole en disant : « Écoute Betty, ne change rien, tu es magnifique. Tu peux compter sur moi, tu as trouvé ici ta nouvelle famille. » Ayant nos visages encore l’un près de l’autre, je lui déposai une bise sur la joue, en signe d’affection, je ne désirais pas avoir de relations intimes avec mon personnel et encore moins avec mon représentant direct.

Pourtant Betty voulait transformer ce petit signe d’amitié en un baiser passionné en posant ses lèvres sur les miennes en forçant le passage de sa langue. Gentiment je la repoussai, puis je lui passai la main sur sa joue en essuyant de mon index l’humidité de ses larmes et sachant comment je pratiquais, à l’époque, j’avais dit : « Il faut que je te trouve un homme. Le travail est ta préoccupation première mais sans le sexe pour te libérer, tu cours à la catastrophe. » Nous n’avions pu continuer notre conversation, Mary ouvrait déjà la porte d’entrée : « On en reparle demain tu veux ? » Elle me fit un large sourire, je lui avais redonner confiance et me fis oui de la tête avant de ressortir.

Dans la foulée, j’avais appelé Françoise mon amie libertine, pour lui demander si elle connaissait sur Marseille ou Aix, un gigolo pouvant venir à Salon de P pour distraire une femme d’une trentaine d’années. Je lui donnai les caractéristiques de l’homme que je désirais et d’un âge compris entre trente-huit ans et quarante-cinq ans : « Je connais un couple d’amis à Marseille, je les appelle et ils prendront contact avec toi. » En l’espace de 24 heures, j’avais trouvé ce type. Je pus donc organiser pour le vendredi soir avant son départ, un repas au restaurant où j’avais présenté à Betty, cet homme, comme étant mon cousin.

Claude était un très beau célibataire de trente-neuf ans, d’allure sportive, assez viril, avec un regard rieur, un vrai séducteur en somme. Ce n’était pas un gigolo, toutefois il travaillait dans un club libertin renommé où il était chargé de libérer les nouvelles clientes hésitantes. La chance me sourit, mais il faut dire que Betty avait fini sa période d’essai, elle n’avait donc plus la pression sur ses épaules. En l’espace d’un diner, Claude rentrait avec nous à l’hôtel où il passa la nuit avec Betty. Celle-ci au petit déjeuner le lendemain matin, me remercia et me dit qu’elle annulait son retour à Lyon :— Génial ton cousin ! Dommage qu’il ne soit pas libre. C’est ce genre de type qu’il me faut.

Lorsque Claude était venu avant de repartir, il me demanda s’il fut à la hauteur de mes attentes et rajouta : « Pour moi, ce fut un grand plaisir. Betty est une exception pour moi. Habituellement, les partenaires que je baise le plus souvent sont sans forme ou fortes voire même grosses, parfois âgées et vilaines. » Je lui avais souri de bon cœur et lui tendis son enveloppe afin de le dédommager de son déplacement et lorsqu’il regarda à l’intérieur la somme que j’y avais glissée, il me dit : « Pour ce prix, si vous avez encore besoin, vous pouvez compter sur moi, mais ne passez pas par M. & Mme J, contactez-moi directement au N° suivant. » J’avais peut-être trouvé avec Claude la vraie perle rare : — Je n’y manquerai pas ! J’aurai probablement besoin de vos services dans un futur proche.

La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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