« Josy »: une fête en l’honneur du sexe. Épisode 33

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy »:  une fête en l’honneur du sexe. Épisode 33 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy »: une fête en l’honneur du sexe. Épisode 33
La soirée de la saint Valentin passée chez Guy et Chantal n’était pas terminée pour autant, si nous savions que ce couple était libertin et faisait de l’échangisme pour le plus grand plaisir de : Joël et Christiane, Pierrot et Patricia étaient également très intéressés pour essayer à leur tour. Toutes les discussions partaient dans tous les sens mais le sujet était toujours le même : « Le sexe et le sexe toujours mais en groupe ». Gilbert qui se sentait mal à l’aise depuis qu’il avait trompé Joceline, lui avait dit gentiment : « Tu vois ma chérie, après ton accouchement, nous pourrions peut-être nous laisser tenter. Qu’en dis-tu ? » Ce n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde, aussitôt elle lui répondit : « Pourquoi pas avec ma sœur et Pierrot, s’ils veulent testés. Moi il me plait mon beau-frère et toi tu te vois avec Pat ? »

La seule personne n’ayant pas pris la parole sur le sujet et était outré des propos tenus par l’assemblée, fut François. Lorsque sa jeune épouse dit qu’elle aussi ne serait pas contre, mais qu’elle ne savait pas encore avec qui. Il éleva le ton en disant : « Je ne t’ai jamais trompé et jamais je le ferai. » Il fut terriblement convainquant, nous nous étions regardées toutes les deux avec Gisèle, en pensant à ce qu’elle avait fait avec mon demi-frère, lorsqu’il était revenu en début de mois. En effet, Gérald l’avait baisée par tous les trous comme un malade, toute la matinée dans ma chambre d’amis, avant de répartir le lendemain.

Guy fut suffisamment intelligent pour changer de conversation, puis il nous resservit un dernier verre. Il était temps d’aller au lit pour tout le monde. Françoise n’avait pas dormi à la maison cette nuit-là, elle était restée avec le couple d’hôtes, avec lesquelles elle s’était bien amusée dans leur lit. Pour ma part, j’étais heureuse de savoir que sur mes dix voisins et voisines, neuf d’entre eux, ne seraient pas contre une petite fête érotique, voire même de partage, dès que j’aurai récupéré de mon accouchement prévu dans deux mois. Il me restait encore pas mal de temps afin de l’organiser et surtout de convaincre la dixième : François. Cela je m’en occuperai personnellement, lorsque j’aurai retrouvé mon corps de jeune femme.

Pendant les sept mois et demi, passés au hameau du « Moulin à vent », j’avais tout découvert sur la vie sexuelle de tous mes voisins et voisines. Le vendredi 20 mai 1988, il était temps pour moi d’aller d’urgence à la maternité, je venais de perdre les eaux. Pierrot et Patricia m’y conduire immédiatement. Je ne vous parlerai pas de mon accouchement, mais je suis obligé de vous dire que ce fut sur cette table que la plus grosse surprise de toute ma vie me fut annoncée : « Votre petite fille est une très jolie métisse. Le papa va être le plus heureux des hommes. » En effet pour moi, la fille que j’attendais avec impatience fut conçue par Philippe, pas par un black. Je n’en connaissais qu’un : « John » le musicien noir américain.

Heureusement que je n’avais pas prévenu Philippe en lui annonçant que je portais son enfant. Lorsqu’après avoir eu des doutes lors du résultat du test urinaire, j’avais fait mes calculs. Je n’étais remontée que sur les quatre jours précédents. Cependant, avant repartir définitivement, retrouver sa fiancée à Chicago afin de se marier, John était venu spécialement me dire adieu le dimanche précédent. Lui et moi, Nous nous entendions si bien dans nos baises infernales que nous adorions nous revoir afin de remettre le couvert. Il fut et de loin, le meilleur amant que j’avais connu.

Ce jour-là, j’avais bien le souvenir qu’il avait mis des capotes, côté VIH nous étions clean cependant il savait que je ne prenais plus la pilule. Mais nous avions tellement baisé que je n’avais pas compté le nombre de préservatifs que j’avais jeté à la poubelle. Maintenant, j’étais certaine qu’il avait oublié d’en mettre une, au moins une fois et il était trop tard. En fait cela ne me dérangeait absolument pas que ce soit John, le papa. Il m’avait fait un si joli bébé, ma petite métisse était magnifique, je ne pouvais déjà plus m’en passer. Ce qui m’ennuya, fut que je sois obligée d’inscrire sur son certificat de naissance : « de père inconnu. » Ma petite franco-américaine Mary, (prévu Marie) devra un jour connaitre la vérité.

En effet, l’ayant contacté dès ma sortie de la maternité, son père biologique le jazzman, ce fameux pianiste black, n’étant plus en France et venant de se marier, ne désira pas reconnaitre son enfant. Bien entendu mon entourage, famille, amis et voisinage étaient déçus pour moi, néanmoins ils s’étaient déjà très attachés de ma petite princesse. Ma préoccupation n’était pas le père de mon enfant, je savais à l’avance que j’élèverais mon bébé toute seule. Je désirais avant tout retrouver mon corps svelte que j’avais vu avec horreur, s’enfler et grossir pendant toutes ces longues semaines.

J’avais pris 14 kilos pendant ma grossesse, je ne m’en sortais pas trop mal et à la sortie de la clinique, j’en avais déjà perdu 10. Après avoir discuté avec la sage-femme, elle me dit que vu ma morphologie, elle ne pensait pas que je rencontrerais de réelles difficultés pour retrouver ma ligne. Je m’étais donné que deux mois pour retrouver ma silhouette avec le sport que je m’imposais. Début juillet, je gardais encore un tout petit ventre rond, que je comptais faire disparaitre en travaillant particulièrement mes abdominaux.

Hormis les petites masturbations pas toujours hebdomadaires, après environ sept mois d’abstinence totale de véritable sexe, si cela ne m’avait pas tellement manqué, ce ne fut pas la même chanson après mon retour de couche. Le soir du 13 juillet après le feu d’artifice, dès que j’étais rentrée de la fête du village, j’eus soudainement une énorme envie de baiser avec un homme. Le problème était que je me retrouvais seule et personne à appeler en cas d’urgence. Je ne me souvenais plus comment cela pouvait être aussi douloureux lorsque l’on ne peut se satisfaire. Habituellement, une simple masturbation me suffisait pour me soulager. Cependant ce soir-là, c’était d’un homme dont j’avais besoin.

Il faut dire que d’avoir préparé la soirée que je prévoyais pour fin août, lorsque tous les voisins seraient de retour de vacances, cela m’excitait, rien que d’y penser. Mais également ce soir, en dansant avec Adrien, le gérant de la superette m’avais mise en émoi, et lorsque je lui avais demandé s’il désirait aller plus loin dans ma voiture, il refusa prétextant que sa femme était sur la piste de danse. Je me demandais maintenant s’il n’était pas impuissant : « Bandait-il vraiment ? » Avec Patricia, sa queue était bien restée en berne, m’avait-elle certifié. Je dus employer une nouvelle fois mes doigts et mes jouets afin de me faire un peu de bien, avant de m’endormir.

Le lendemain, Gisèle et François m’avaient demandé s’ils pouvaient m’accompagner lors de mon footing. Elle, plus en forme et étant bien plus entrainée, connaissant mon projet, ne nous avait pas attendu pour nous semer. Tout en courant, j’en avais profité pour parler à son mari. Je désirais savoir, s’il n’avait pas menti lors de la soirée chez Guy et Chantal. Il me confirma qu’il avait dit la vérité. Je n’avais pas pu m’empêcher de lui demander : « Imagine que tu sois seul avec une femme qui te séduise ouvertement. Que ferais-tu ? »

Après quelques secondes de réflexion, il répondit : « Je n’en sais rien… cela n’arrive qu’au cinéma. » À cet instant, je m’arrêtai de courir, lui prit la main droite et approchai mon visage à quelques centimètres du sien prêt à l’embrasser. Tenant toujours sa main, je la posai sur mon sein gauche pendant que ma main droite reposait sur sa fesse : « Nous sommes seuls là sur ce sentier. Si je t’embrasse, tu me rejettes ? » Il se plaqua à moi et me prenant au mot, voulut poser ses lèvres sur les miennes. Ma main quitta ses fesses pour se poser sur son entrejambe : « Allez François ! Retournons courir. » Gêné, il ne disait plus rien, je lui fis remarquer qu’il n’était pas insensible à mes charmes. C’était ce que je voulais savoir.

Fin août 88, pour cette fête érotique et de partage, les couples désirant tester le libertinage, s’y étaient préparés mentalement depuis près de deux mois. Toutes les personnes présentes ici étaient clean côté VIH. À cette occasion, suivant les conseils de Gisèle, j’avais spécialement fait venir mon demi-frère Gérald. Pendant toute l’après-midi dans la piscine de Pierrot, les uns et les autres se cherchaient sans savoir réellement comment pratiquer, nous étions déjà bien excités. Pour le repas du soir à la maison, les enfants et les ados étaient tous restés chez Patricia sauf les deux bébés que nous avions couché Joceline et moi dans la chambre de Mary.

Cela commença à se débrider devant le barbecue. Gerald s’en occupa, en tee-shirt moulant et en short, il faisait le show avec sa musculature. Debout devant les braises retournant la viande, Gisèle s’étant proposée de l’aider, tournait autour de lui, passant sa main sur son bras, sur son épaule, sur sa cuisse et trouvait toujours le moyen de se frotter à lui. Il était évident pour tout le monde qu’elle allumait le cuistot qui avait suffisamment chaud. Le seul à ne pas s’en apercevoir était François, son mari trop occupé à faire le service en boissons fraiches et assis à mes côtés, j’essayais de détourner son attention au maximum.

En mangeant sur l’immense terrasse, je n’avais pas dressé spécialement de table, chacun s’installait là où il le voulait. Ce fut à partir de là que les petits groupes commencèrent à se former. Guy essaya de les dispatcher, il avait placé d’un côté, le couple Gilbert et Joceline et pour se joindre à eux, il choisit Pierrot et Christiane. De l’autre côté, il s’installa avec Chantal et Joël, tandis que Patricia n’ayant pas désiré rester avec son mari Pierrot, avait des vues sur Gérald. Je les avais rejoints, en demandant à Gisèle et François qui ne se doutait de rien ou faisait semblant de ne pas être au courant, de se s’assoir avec nous.

Je n’avais pas entendu les conversations des autres groupes, néanmoins en voyant leurs regards, leurs sourires, et même les petits gestes déplacés qu’ils commencèrent à se faire, je me doutais que la soirée serait chaude et nous n’avions pas la piscine. Quant à notre petit groupe, ce fut Patricia la plus directe. Très vite elle palpait les muscles de mon demi-frère en le flattant et avec quelques petites allusions, elle lui faisait comprendre qu’elle passerait bien un moment d’intimité avec lui devant son mari. Gérald aimait cela, mais si Patricia ne lui déplaisait pas, il n’avait d’yeux que pour Gisèle.

Ce fut encore Patricia qui lança les hostilités, en se levant, elle se plaça debout derrière mon demi-frère, descendant sensuellement ses mains sur les pectoraux qu’elle caressa. Elle pencha sa tête devant son visage prêt à lui faire une bise sur les lèvres après avoir demandé à son mari : « Je peux mon amour ? » Dès qu’elle eut le feu vert de Pierrot qui embrassa par la même occasion sa belle-sœur assise à côté de lui, Patricia sauta au cou de Gérald. Pendant qu’ils s’embrassaient, Gisèle mourait d’envie de se joindre à eux, je l’avais tout de suite senti, elle était jalouse depuis un bon moment. Afin de ne pas aller au-devant des ennuis, j’avais demandé à François de venir me donner un coup demain à la cuisine.

Une fois seuls à l’intérieur, je ne lui avais pas caché de ce qu’il pouvait arriver au cours de la soirée : « Tu sais François, quand nous allons les rejoindre, Gisèle sera sans doute dans les bras de Gérald avec Patricia. » Il ne m’écoutait pas, il était venu vers moi et me dit : « Ce soir, c’est toi que je veux, ça fait presqu’un an que je te désire. » Puis il m’enlaça et nous nous étions embrassés de longues minutes, passionnément. Un homme dans mes bras, ça faisait si longtemps que je n’avais plus le souvenir d’avoir tenu un amant contre moi. Je sentais sa forte érection contre mon pubis, je mouillais terriblement, la situation depuis le début de soirée était excitante.

Je n’attendis pas, je m’accroupis devant lui et lui enlevai son short. À cet instant je ne regrettais pas, il avait une verge magnifique, belle, raide et lisse : « Pourquoi, ne m’as-tu pas baisée dans les bois ? » Lui demandais-je en prenant sa queue dans la main et en levant la tête pour le regarder en face : « Je pensais que tu me testais simplement. Si j’avais su, je n’aurais pas hésité. » Puis, reprenant mes vieilles habitudes, je lui fis une fellation dont il se souviendra longtemps. Pendant plus d’un quart d’heure, je l’avais léché, sucé, aspiré, avalé en gorge profonde, tout en lui malaxant les belles couilles bien rondes et fermes, avant qu’il explose enfin dans ma bouche.

Quel délice ! Pensais-je en dégustant ce merveilleux sperme qui coulait au fond de mon gosier. Il m’attrapa par la taille et me fit m’asseoir sur la table. Délicatement, il remonta ma mini-jupe, baissa mon string le long de mes jambes et me le retira. Penchée légèrement en arrière, mes mains reposant sur la nappe, j’offrais mon intimité à la bouche de François qui prit un malin plaisir à me sucer et doigter les deux trous. Ce cunni fut magique, j’avais joui deux fois en moins de dix minutes. Son sexe étant redevenu opérationnel, il me pénétra d’un seul coup mais sans brutalité.

Il me baisa avec fougue et passion, ses allers et retours, s’ils étaient puissants n’étaient pas sauvages, je sentais qu’il me respectait, il ne me prenait pas pour une salope. Pour ma part, j’actionnais mon bassin, me déhanchant dans le bon sens, pour qu’il me ramone jusqu’à la garde, je désirais qu’il me remplisse le vagin. Là encore j’avais crié de bonheur, je me trémoussais sur cette table, tout mon corps tremblait de joie, mon plaisir était immense, je coulais comme une fontaine, pendant qu’il se finissait en se branlant pour éjaculer sur ma poitrine et sur mon pubis. En un peu moins d’une heure, j’étais épuisé. Nous avions bu un verre en bavardant, avant de rejoindre tous nos amis.

Lorsque nous étions revenus sur la terrasse, nous étions tombés sur Joël, et Guy en train de lécher les pieds de Chantal, assise sur une chaise. Ils étaient nus tous les deux et avaient les fesses qui rosissaient sous les coups de martinets que la dominatrice leur infligeait. Ils remontèrent leur bouche et leur langue, le long des jambes de leur Maitresse, pour finir le visage d’un sur sa fente, l’autre lui léchant la poitrine. Après leur avoir donné un dernier petit coup de fouet, elle me mit à genoux sur la chaise et ordonna à Joël de la sodomiser : « Viens ici mon soumis ! Encule-moi. ! » Pendant ce temps, Guy son sexe dans la main, ne ratait rien de la scène, tout en se masturbant en attendant son tour.

À l’opposé de la terrasse côté gauche, Pierrot, était allongé à plat dos sur une couverture, Christiane était couchée par-dessus entièrement nue lui tournant le dos. Elle avait les deux jambes repliées et écartées, maintenues en l’air par les mains de son partenaire qui lui tenait les cuisses, fichée ainsi sur son pieu de chair. Tandis que Gilbert à genoux devant eux, actionnait son bassin alternativement avec les coups de reins sauvages de Pierrot qui la sodomisait pendant que lui, remplissait sa chatte pour la plus grande joie de Christiane qui criait son bonheur en jouissant. C’était la première fois qu’elle se faisait prendre en double pénétration sans son mari, Joël.

Joceline participait bien à ce quatuor. Accroupie au départ sur le visage de Pierrot, celui-ci lui léchait, suçais et aspirait sa fente trempée, un long moment puis après l’avoir embrassé pour le remercier de lui avoir procurer du plaisir. Elle embrassa à pleine bouche Christiane tout en lui massant sa forte poitrine, avant de masser les testicules de Gilbert pendant qu’il baisait la chatte de sa voisine. Puis elle lécha la petite rondelle de son mari qui se trouvait devant elle, avant de lui enfiler un doigt. Elle s’occupait comme elle pouvait avant de se faire prendre en double à son tour.

Un peu plus loin, Patricia sur les coussins d’un transat, faisait un 69 avec Gérald se trouvant sur elle. Gisèle participait en étant agenouillée derrière son amant, lui massant énergiquement les testicules, tout en le doigtant et lui léchant son petit trou. Voyant tout ce petit monde baiser à tout va, François commençait à reprendre des forces, je m’apercevais que son sexe commençait à remonter sérieusement. Il faut dire que le spectacle était plutôt excitant et lorsqu’il avait vu le cul libre de sa petite épouse, sa verge eut un dernier sursaut d’orgueil et se redressa complètement : « Vas-y François, elle ne demande qu’à être prise. » Lui soufflais-je à l’oreille.

Comme si Gisèle m’avait entendu, sa bouche quitta le cul de Gérald, se tourna pour présenter sa croupe à son mari et lui dit : « Viens mon chéri ! Baise-moi fort, j’ai trop envie d’une queue et celle de Gérald est prise. » Pendant que mon demi-frère faisait grimper Patricia aux rideaux, en la baisant avec beaucoup de puissance, François baisait sa femme en levrette puis avait, sans la prévenir changer de trou pour finir par lui défoncer la rondelle. Elle cria la première et jouis avant que Pat prenne son pied également en se faisant elle aussi, sodomiser.

N’ayant plus de partenaire et étant rassasiée pour un petit moment, j’en avais profité pour servir le dessert car la soirée allait être longue, si ces Messieurs étaient encore capables d’assurer. Ils le furent, pour notre plus grand plaisir, à nous les femmes. J’étais très heureuse d’avoir pu réunir mes voisins, amis, dans une telle débauche d’énergie et de sexe sans tabou.

La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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