« Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29
Les jours précédant mon déménagement, il faisait encore très chaud et la météo annonçait pour le 1er octobre un record de chaleur. Ayant déjà fait la veille, mes nombreuses valises pleines de fringues et mis en cartons toutes mes chaussures, afin d’être dans une tenue décontractée, j’avais gardé deux top bandeau moulant sans bretelle, un noir et un blanc, m’arrivant au nombril, un petit short en jean délavé et mes baskets. Je m’étais vêtue ainsi, sans aucune arrière-pensée, je ne m’étais pas rendu compte que j’étais aussi sexy. À 37 ? printemps, n’ayant jamais porter d’enfant et ayant toujours pris soin de moi et de ma peau, mon corps était celui d’une jeune femme d’à peine 30 ans qui ne le sera plus après mon accouchement.
Devant finir le chargement puis prendre la route au plus tôt, afin que les déménageurs puissent rentrer avant la nuit. Ce jour-là, ils sonnaient à ma porte à sept heures du matin, frais et dispo. M’étant levée et vêtue comme la veille avec mon mini short laissant voir la naissance de mes fesses, et top court et sexy, recouvrant mes seins gonflés, ayant les tétons poussant le tissu de mon petit haut, je m’étais aperçue que ces mecs devaient me prendre pour une petite salope. À 10h00 du matin, le camion était fermé prêt à partir, je devais me rendre à destination avec ma voiture. Au moment de partir, ayant très peu et mal dormi, probablement dû au stress et à mon état de femme enceinte, je ne me sentais pas très bien.
M’ayant déjà vu vomir la veille, Jean-Pierre le patron me proposa : « Écoutez ma petite dame, il serait plus sage que vous montiez avec nous dans la cabine, mes fils : Denis conduira votre auto et le petit Serge sera son passager. Ne vous inquiétez pas, ils nous suivront. » Cet homme mûr avait raison, je ne me sentais pas capable de faire la route toute seule. Je pris donc place sur la banquette avant, entre Gaétan le conducteur du poids lourd et son patron. Dès le départ, ces deux gars s’étaient présentés, ils me parlaient sans cesse. Cependant, j’avais des difficultés à suivre la conversation, je me sentais très fatiguée.
Depuis que j’avais appris ma grossesse, je n’osais plus faire l’amour avec un homme, j’appréhendais trop pour mon bébé. Je savais que c’était complètement ridicule. Ayant été élevée par un médecin, celui-ci m’avait fait, dès mon jeune âge, mon éducation sexuelle et bien plus car il m’avait fait découvrir le plaisir solitaire et était parvenu à me dépuceler. Enfin dix jours à me masturber afin de me soulager quelque peu, une belle verge bien dure, me pénétrant la fente me faisait rêver. Ce fut le cas ce jour-là car après seulement quelques kilomètres, je m’étais endormie en pensant à ce que pourraient me faire ces quatre déménageurs en arrivant.
En fait, lorsque je m’étais réveillée, j’étais toute trempée, mon string était à tordre et je ne m’étais assoupie qu’un quart d’heure lorsque le camion s’arrêta sur le bas-côté de la route : « Tu serais bien mieux à l’arrière pour dormir. » Me dit Jean-Pierre, en retirant sa main de l’intérieur de ma cuisse droite. Étant dans un état second, je n’étais même plus certaine qu’il m’ait caressée ou si j’en avais rêvé : « Vous avez raison ! Mais avant, je dois faire pipi. » Puis Jean-Pierre m’accompagna dans un bosquet à l’abri des regards et me demanda si cela me gênait qu’il se repose à l’arrière avec moi car il voulait conduire de nuit en rentrant.
Ni voyant là, aucune mauvaise intention de sa part, j’avais accepté. Ma seule préoccupation était mon manque de sommeil. À notre retour, sur le parking, Gaétan prit le volant, Jean-Pierre s’assit à l’arrière, avait tiré les trois rideaux puis me fit m’allonger. Si cette banquette était confortable pour une seule personne, pour étendre mes jambes, il me les avait faites reposer sur les siennes. Étant bien plus à l’aise qu’au départ à l’avant, très vite, je m’étais assoupie de nouveau en essayant de revivre mon songe érotique qui m’avait fait mouiller mon petit sous-vêtement. Seulement, ce n’était plus un rêve que j’étais en train de vivre, mais bien la stricte réalité.
Sans rouvrir les yeux, je sentais les deux mains de Jean-Pierre me caressant divinement l’intérieur de mes deux cuisses jusqu’à la lisière de mon mini short. Puis de ses doigts d’expert, il commençait déjà à insinuer, entre le tissu en jean et la dentelle de mon string, son index sur mon pubis à la recherche de ma vulve qui mouillait de plus belle. Ce type de cinquante-cinq ans, m’avait laissé tout à fait indifférente au départ, sans être laid, à aucun instant j’avais eu la moindre attirance pour lui. Cependant, après m’avoir enlevé le bouton et descendu la fermeture de mon short, il était parvenu en quelques minutes à m’exciter terriblement.
Ses caresses étaient douces, sensuelles et son audace me surprenait. C’était également la situation, qui me mettait en émoi, derrière le rideau se trouvait un autre type qui allait tout entendre et s’il ne nous voyait pas, il pouvait s’imaginer ce que nous allions faire. Tout en conservant les yeux clos, en prenant appui sur mes mollets afin de soulever mon bassin, j’avais aidé Jean-Pierre à me retirer mon short et mon petit sous-vêtement qu’il fit glisser lentement le long de mes jambes. Offrant ainsi, toute mon intimité à sa vue et à sa disposition. En utilisant que sa grosse main, Jean-Pierre me faisait un bien fou.
Il avait commencé par un doigt, suivi d’un deuxième et avec trois doigts enfoncés dans ma fente, et son pouce me titillant le clitoris, il m’avait masturbée à la perfection. Néanmoins, ça ne lui suffisait pas, celui-ci voulait gouter ma cyprine qui coulait abondamment de ma fente. De ses mains, il prit mes chevilles et leva mes jambes se pencha vers mon ventre afin que son visage se retrouve prisonnier entre mes cuisses. Avec son épaisse langue humide, supplée de ses doigts, il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour me faire atteindre le nirvana. Je venais de lui inonder sa main et sa bouche de toute ma jouissance, en gémissant et en poussant de petits cris.
J’imaginais Gaétan de conducteur, il devait être en pleine érection et devait être déçu de ne pas pouvoir regarder et surtout ne pas participer. Ce fut à cet instant, que j’ouvris les yeux. Jean-Pierre la tête relevée, me fixait avec un sourire qui lui fendait le visage : « Ça t’as plu, petite cochonne, attends la suite. » Les jambes relevées et écartées, j’étais encore dans un état second, après mon orgasme. Me voyant dans cette position, prête à servir de vide couille, il avait encore pris plus d’assurance. Il baissa rapidement son pantalon, sortit sa verge, d’une taille moyenne sans plus, mais bien raide et suffisamment dure pour faire coulisser le latex.
Vu l’état d’excitation qui lui démangeait l’entrejambe, désirant me prendre au plus vite, il se retourna comme il put afin de me présenter son gland gainé devant ma chatte qui suintait encore. Cependant, je n’avais pas envie que cet homme me baise et lui dit gentiment : « Non Monsieur ! Pas par-là ! Prenez l’autre trou ! » À cet instant, j’entendis Gaétan pouffé, en se retenant de rire aux éclats. De savoir qu’un voyeur (Ou plutôt un entendeur LOL) était à quelques centimètres de nous, m’excitait d’autant plus. Pendant ce temps, Jean-Pierre, n’en attendant pas plus, me plia les genoux sur ma poitrine afin de me relever le bassin.
Dans la bonne position, il cracha sur ma raie et enduisit mon anus de sa salive afin de me préparer à la sodomie : « Tu veux te faire enculer ma petite cochonne, j’adore ça. » Avec le ton qu’il avait utilisé, il ne regrettait pas ma proposition. Lentement, son pénis s’enfonça petit à petit dans mon petit trou, puis une fois que ses bourses firent contact contre mes fesses, il me lima longuement, me ramonant le conduit anal d’une manière animale et régulière. Ayant glissé mon bras sous mes cuisses, ma main atteint mon pubis et mes doigts me masturbèrent énergiquement jusqu’à ma jouissance, pendant qu’il m’enculait sans vergogne, avant de se vider dans sa capote.
Une fois que Jean-Pierre fut repassé devant, je m’étais rendormie profondément pendant la dernière heure de route. N’ayant rien à la maison pour préparer à manger, nous nous étions arrêtés sur un parking, devant un snack ambulant, pour prendre une petite collation. Attablée avec le patron si nous avions parlé de l’organisation, il essayait de me mettre la main sur la cuisse. Je lui fis comprendre que je n’étais pas disposée à renouveler ce que nous avions pu vivre une heure plus tôt. Tandis que sur l’autre table, si je n’avais pas entendu, j’imaginais Gaétan parler à voix basse expliquant en détail ce que leur père venait de me faire sur la banquette arrière.
Arrivés à destination, tout était planifié, chaque type savait ce qu’il devait faire. Le camion se vidait à vue d’œil à une vitesse incroyable. Une fois déchargé entièrement, les quatre déménageurs dont Serge le plus jeune fils, ayant à peine un peu plus que dix-huit ans, firent une pause et burent une bière sortie de leur glacière. Avant de descendre à la petite superette du village, se situant à deux kilomètres en contre bas de mon domicile, afin de faire quelques courses indispensables. Denis le fils aîné du patron qui venait de fermer les portes du véhicule, se retrouvant seul avec moi, en avait profité pour me coincer dans l’entrée, en me plaquant contre le mur :
— T’es trop bandante ! Tu m’excites depuis hier.
Ce type grand et costaud désirait m’embrasser en me pelotant les seins pendant que j’essayais tant bien que mal de le repousser. Je ne voulais pas me fâcher avec ce mec de mon âge, pas trop mal physiquement et d’en d’autres circonstances, je n’aurais certainement pas été contre. Cependant, ce n’était pas le moment et lui dis gentiment. Voyant que je refusais ses avances, il me répondit : « Je sais ce que vous avez fait dans le camion. » Je fis mine de rien entendre et j’étais montée dans ma voiture.
Le fils était bien comme son père, aussi audacieux, cela m’avait une nouvelle fois bien excité. Lorsque j’étais remontée vers 18 heures, Gaétan et Jean-Pierre s’attelaient à monter le grand living, Serge déplaçait les cartons vers leur destination, dans les pièces correspondantes, pendant que Denis s’apprêtait à installer le dernier lit dans ma chambre à coucher. Ayant besoin de moi, il m’appela afin que je lui tienne les plus longues pièces puis une fois que nous avions installé le matelas sur le sommier, il me poussa dessus et se coucha sur moi, en abaissant carrément mon top qui n’était plus qu’une ceinture, laissant apparaitre ma poitrine gonflée avec ses tétons érigés.
Je vous avoue que j’avais tout fait pour le mettre dans tous ces états pendant les dix minutes précédentes et que je m’attendais à une réaction de sa part. Je me laissais donc faire, il embrassait mes seins et me tétait les mamelons, je mouillais comme une folle. Je lui retirai son pantalon et l’avais aidé à glisser son préservatif avec mes lèvres le long de sa colonne de chair bandante à souhait. Après lui avoir salivé sa queue, je me mis à genou devant le lit et me couchai le torse sur le matelas, tendant ma croupe bien en arrière, lui offrant ainsi la possibilité de me prendre : « Comme mon père, tu veux que je t’encule ? »— Oui ! sodomise-moi ! Ne discute pas tant, vas-y !
Là encore, je prenais mon pied, une douce chaleur envahissait mes entrailles. À genoux derrière-moi, ses mains accrochées à mon ventre, Denis me ramonait le conduit sans douceur mais sans brutalité. Soudain, Serge fit son apparition avec un carton à la main qu’il posa sur le sol, avant de venir vers moi, pour me caresser les seins sans même me le demander. Ce n’était que du bonheur en plus pour moi. Pendant que les doigts agiles de Denis me masturbaient en même temps qu’il me sodomisait. Je jouis en criant mon bonheur, tandis que Serge demanda à son frère avant qu’il ne remplisse sa capote :
— Denis ! Laisse-moi la place. Je veux l’enculer la salope !
Je n’avais à peine récupéré que déjà le gamin présentait, devant mon trou étoilé, sa verge gainée de latex, prête à exploser tellement elle était raide et dure. Je ne pouvais plus refuser, il allait et venait dans mon rectum tel un lapin. Ayant terminé leur tâche et en attendant mes cris de joie, Jean-Pierre et Gaétan nous rejoignirent dans la chambre où les deux frères se relayaient pour prendre mon cul. Excités par cette scène, les deux plus âgés désirant participer à cette orgie, se branlèrent avant de mettre leur capuchon.
Mon anus n’avait pas le temps de se refermer, le trou restait béant lorsque les quatre déménageurs échangeaient leur place. Pour moi, je ne pouvais plus jouir, j’étais devenue qu’une poupée se faisant enculer. Si je ne prenais plus de plaisir, je ne ressentais aucune douleur. J’aurais préféré qu’ils me prennent la chatte, mais je m’efforçais à ne pas le demander et ce n’était pas certains qu’ils acceptent. Toutefois quand ce fut Gaétan à son quatrième passage, avec sa bite plus épaisse, qui me sodomisait et que Denis me baisait la chatte avec ses doigts, que Serge me malaxait les seins et que je suçais Jean-Pierre, je jouis une énième fois.
Après un long moment, je fus prise à plusieurs reprises en double anale. Épuisée, allongée à plat ventre sur le matelas, les quatre types n’en pouvant plus se finirent en éjaculant à tour de rôle sur le visage pour le père et Gaétan, le ventre pour l’ainé, ma poitrine fut réservée au plus jeune :— Ça y est Serge te voilà dépucelé. Dit Jean-Pierre à son gamin.
Très satisfaits et soulagés, ces quatre professionnels terminèrent avec entrain ce déménagement hors du commun. Selon leurs propos, il semblerait qu’ils n’avaient jamais connu une cliente aussi coquine et vorace que moi. Tout ce petit monde était parti la queue en berne, vers 21 heures après avoir bu leur dernière bière. Une fois seule en finissant de ranger ma cuisine, je réalisais que ces quatre malabars m’avaient défoncée le cul, j’avais quelques difficultés à marcher. Pourquoi étais-je toujours ainsi ? Me demandais-je. Pourtant quelques jours tôt, je m’étais bien promise de ranger mon costume de petite salope, définitivement dans le placard.
Cette nuit-là, étant très fatiguée de ma dure journée, j’avais quand même bien dormi. Cependant, de mon réveil jusqu’à la fin de mon footing, j’avais toujours l’anus irrité. Ce ne fut qu’après la douche lorsque je m’étais enduite l’anus de crème que mes petites brûlures disparurent. Pendant la première semaine, je n’avais vraiment pas eu le temps de m’ennuyer, il avait fallu tout ranger et aménager l’intérieur. Heureusement que mon père Bebel était menuisier ébéniste, il m’avait aménagé pendant ses vacances d’été, un grand dressing dans ma chambre, des placards à l’entrée et dans les deux chambres d’amis, sans compter les jolies boiseries décoratives.
Cette maison neuve de plus de 120 m2, entièrement de plain-pied avec le garage accolé, me plaisait beaucoup. Si ma cuisine était petite, la double pièce de 36 m2 : salon, salle à manger était suffisamment grande pour recevoir une bonne vingtaine d’invités. J’avais une salle de bain avec baignoire et douche, un bureau et les chambres à coucher équipées toutes les trois d’un lit hors normes comme je les aimais. Au fond du garage, j’avais installé mon cellier. Le tout sur un terrain de 1000m2 arboré.
Cette villa se situait à gauche en montant la petite route menant au hameau « Le moulin à vent » entre deux villas récentes et en face de trois autres propriétés neuves également. Dans l’impasse en haut de la bute, se trouvaient quatre maisons plus anciennes mais tout ce hameau était du style provençal. Nous avions une vue superbe sur les montagnes en face et sur le village en contre-bas sur la rive gauche d’un petit cours d’eau, un vrai petit paradis pour les yeux. Dans cet endroit idyllique où le soleil était présent toute l’année, ma maison étant suffisamment grande, j’avais bien l’intention d’en faire profiter toute ma famille et mes amis proches.
Je ne me considérais pas riche, pourtant j’aurais pu l’être, néanmoins avec la location des six appartements et du commerce de mon immeuble et celui de ma maison, j’avais l’équivalent d’un très bon salaire de cadre qui tombait tous les mois, cela me suffisait largement, je n’en demandais pas plus. Sans compter en cas de besoin les intérêts qui couraient sur l’argent que j’avais pu placer pendant ma période d’activité professionnelle. N’étant plus ambitieuse comme par le passé, à trente-huit ans à peine, je pouvais vivre correctement de mes rentes, c’était le principal.
Je fus ravie de l’accueil de mes voisins, j’avais fait leur connaissance pendant la première quinzaine de jours après mon aménagement. Mis à part ceux qui vivaient dans l’impasse sur la bute qui étaient tous, de jeunes retraités, l’âge des dix autres couples proches de chez-moi, allait de trente-six à quarante-huit ans. Toutes ces personnes vivaient aisément, les maris avaient de bonnes situations, quant aux épouses, toutes travaillaient hormis Patricia, ma voisine de gauche avec laquelle j’avais déjà sympathisé. En seulement deux semaines, je fus invitée à diner pratiquement tous les deux soirs et ce n’était pas fini car pour le week-end suivant, Pierrot le bout en train, le mari de Patricia et le plus âgé de la bande prévoyait déjà de nous rassembler pour fêter ma venue.
Seulement, j’avais besoin de sortir, je n’avais pas coucher avec un homme depuis les déménageurs, imaginez donc mon désir qui commençait à me chauffer les entrailles. Mon vibro-masseur fonctionnait tous les soirs à plein régime. D’autant plus que les cinq voisins et le gérant de la superette me regardaient avec envie et étaient tous, de beaux mecs, surtout Pierrot le mari de mon amie. À l’époque du « Josy-Club », je n’aurais pas hésité une seconde pour les emmener dans mon box privé. Seulement ils étaient tous mariés et je ne voulais pas avoir d’histoires avec mes voisines.
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Devant finir le chargement puis prendre la route au plus tôt, afin que les déménageurs puissent rentrer avant la nuit. Ce jour-là, ils sonnaient à ma porte à sept heures du matin, frais et dispo. M’étant levée et vêtue comme la veille avec mon mini short laissant voir la naissance de mes fesses, et top court et sexy, recouvrant mes seins gonflés, ayant les tétons poussant le tissu de mon petit haut, je m’étais aperçue que ces mecs devaient me prendre pour une petite salope. À 10h00 du matin, le camion était fermé prêt à partir, je devais me rendre à destination avec ma voiture. Au moment de partir, ayant très peu et mal dormi, probablement dû au stress et à mon état de femme enceinte, je ne me sentais pas très bien.
M’ayant déjà vu vomir la veille, Jean-Pierre le patron me proposa : « Écoutez ma petite dame, il serait plus sage que vous montiez avec nous dans la cabine, mes fils : Denis conduira votre auto et le petit Serge sera son passager. Ne vous inquiétez pas, ils nous suivront. » Cet homme mûr avait raison, je ne me sentais pas capable de faire la route toute seule. Je pris donc place sur la banquette avant, entre Gaétan le conducteur du poids lourd et son patron. Dès le départ, ces deux gars s’étaient présentés, ils me parlaient sans cesse. Cependant, j’avais des difficultés à suivre la conversation, je me sentais très fatiguée.
Depuis que j’avais appris ma grossesse, je n’osais plus faire l’amour avec un homme, j’appréhendais trop pour mon bébé. Je savais que c’était complètement ridicule. Ayant été élevée par un médecin, celui-ci m’avait fait, dès mon jeune âge, mon éducation sexuelle et bien plus car il m’avait fait découvrir le plaisir solitaire et était parvenu à me dépuceler. Enfin dix jours à me masturber afin de me soulager quelque peu, une belle verge bien dure, me pénétrant la fente me faisait rêver. Ce fut le cas ce jour-là car après seulement quelques kilomètres, je m’étais endormie en pensant à ce que pourraient me faire ces quatre déménageurs en arrivant.
En fait, lorsque je m’étais réveillée, j’étais toute trempée, mon string était à tordre et je ne m’étais assoupie qu’un quart d’heure lorsque le camion s’arrêta sur le bas-côté de la route : « Tu serais bien mieux à l’arrière pour dormir. » Me dit Jean-Pierre, en retirant sa main de l’intérieur de ma cuisse droite. Étant dans un état second, je n’étais même plus certaine qu’il m’ait caressée ou si j’en avais rêvé : « Vous avez raison ! Mais avant, je dois faire pipi. » Puis Jean-Pierre m’accompagna dans un bosquet à l’abri des regards et me demanda si cela me gênait qu’il se repose à l’arrière avec moi car il voulait conduire de nuit en rentrant.
Ni voyant là, aucune mauvaise intention de sa part, j’avais accepté. Ma seule préoccupation était mon manque de sommeil. À notre retour, sur le parking, Gaétan prit le volant, Jean-Pierre s’assit à l’arrière, avait tiré les trois rideaux puis me fit m’allonger. Si cette banquette était confortable pour une seule personne, pour étendre mes jambes, il me les avait faites reposer sur les siennes. Étant bien plus à l’aise qu’au départ à l’avant, très vite, je m’étais assoupie de nouveau en essayant de revivre mon songe érotique qui m’avait fait mouiller mon petit sous-vêtement. Seulement, ce n’était plus un rêve que j’étais en train de vivre, mais bien la stricte réalité.
Sans rouvrir les yeux, je sentais les deux mains de Jean-Pierre me caressant divinement l’intérieur de mes deux cuisses jusqu’à la lisière de mon mini short. Puis de ses doigts d’expert, il commençait déjà à insinuer, entre le tissu en jean et la dentelle de mon string, son index sur mon pubis à la recherche de ma vulve qui mouillait de plus belle. Ce type de cinquante-cinq ans, m’avait laissé tout à fait indifférente au départ, sans être laid, à aucun instant j’avais eu la moindre attirance pour lui. Cependant, après m’avoir enlevé le bouton et descendu la fermeture de mon short, il était parvenu en quelques minutes à m’exciter terriblement.
Ses caresses étaient douces, sensuelles et son audace me surprenait. C’était également la situation, qui me mettait en émoi, derrière le rideau se trouvait un autre type qui allait tout entendre et s’il ne nous voyait pas, il pouvait s’imaginer ce que nous allions faire. Tout en conservant les yeux clos, en prenant appui sur mes mollets afin de soulever mon bassin, j’avais aidé Jean-Pierre à me retirer mon short et mon petit sous-vêtement qu’il fit glisser lentement le long de mes jambes. Offrant ainsi, toute mon intimité à sa vue et à sa disposition. En utilisant que sa grosse main, Jean-Pierre me faisait un bien fou.
Il avait commencé par un doigt, suivi d’un deuxième et avec trois doigts enfoncés dans ma fente, et son pouce me titillant le clitoris, il m’avait masturbée à la perfection. Néanmoins, ça ne lui suffisait pas, celui-ci voulait gouter ma cyprine qui coulait abondamment de ma fente. De ses mains, il prit mes chevilles et leva mes jambes se pencha vers mon ventre afin que son visage se retrouve prisonnier entre mes cuisses. Avec son épaisse langue humide, supplée de ses doigts, il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour me faire atteindre le nirvana. Je venais de lui inonder sa main et sa bouche de toute ma jouissance, en gémissant et en poussant de petits cris.
J’imaginais Gaétan de conducteur, il devait être en pleine érection et devait être déçu de ne pas pouvoir regarder et surtout ne pas participer. Ce fut à cet instant, que j’ouvris les yeux. Jean-Pierre la tête relevée, me fixait avec un sourire qui lui fendait le visage : « Ça t’as plu, petite cochonne, attends la suite. » Les jambes relevées et écartées, j’étais encore dans un état second, après mon orgasme. Me voyant dans cette position, prête à servir de vide couille, il avait encore pris plus d’assurance. Il baissa rapidement son pantalon, sortit sa verge, d’une taille moyenne sans plus, mais bien raide et suffisamment dure pour faire coulisser le latex.
Vu l’état d’excitation qui lui démangeait l’entrejambe, désirant me prendre au plus vite, il se retourna comme il put afin de me présenter son gland gainé devant ma chatte qui suintait encore. Cependant, je n’avais pas envie que cet homme me baise et lui dit gentiment : « Non Monsieur ! Pas par-là ! Prenez l’autre trou ! » À cet instant, j’entendis Gaétan pouffé, en se retenant de rire aux éclats. De savoir qu’un voyeur (Ou plutôt un entendeur LOL) était à quelques centimètres de nous, m’excitait d’autant plus. Pendant ce temps, Jean-Pierre, n’en attendant pas plus, me plia les genoux sur ma poitrine afin de me relever le bassin.
Dans la bonne position, il cracha sur ma raie et enduisit mon anus de sa salive afin de me préparer à la sodomie : « Tu veux te faire enculer ma petite cochonne, j’adore ça. » Avec le ton qu’il avait utilisé, il ne regrettait pas ma proposition. Lentement, son pénis s’enfonça petit à petit dans mon petit trou, puis une fois que ses bourses firent contact contre mes fesses, il me lima longuement, me ramonant le conduit anal d’une manière animale et régulière. Ayant glissé mon bras sous mes cuisses, ma main atteint mon pubis et mes doigts me masturbèrent énergiquement jusqu’à ma jouissance, pendant qu’il m’enculait sans vergogne, avant de se vider dans sa capote.
Une fois que Jean-Pierre fut repassé devant, je m’étais rendormie profondément pendant la dernière heure de route. N’ayant rien à la maison pour préparer à manger, nous nous étions arrêtés sur un parking, devant un snack ambulant, pour prendre une petite collation. Attablée avec le patron si nous avions parlé de l’organisation, il essayait de me mettre la main sur la cuisse. Je lui fis comprendre que je n’étais pas disposée à renouveler ce que nous avions pu vivre une heure plus tôt. Tandis que sur l’autre table, si je n’avais pas entendu, j’imaginais Gaétan parler à voix basse expliquant en détail ce que leur père venait de me faire sur la banquette arrière.
Arrivés à destination, tout était planifié, chaque type savait ce qu’il devait faire. Le camion se vidait à vue d’œil à une vitesse incroyable. Une fois déchargé entièrement, les quatre déménageurs dont Serge le plus jeune fils, ayant à peine un peu plus que dix-huit ans, firent une pause et burent une bière sortie de leur glacière. Avant de descendre à la petite superette du village, se situant à deux kilomètres en contre bas de mon domicile, afin de faire quelques courses indispensables. Denis le fils aîné du patron qui venait de fermer les portes du véhicule, se retrouvant seul avec moi, en avait profité pour me coincer dans l’entrée, en me plaquant contre le mur :
— T’es trop bandante ! Tu m’excites depuis hier.
Ce type grand et costaud désirait m’embrasser en me pelotant les seins pendant que j’essayais tant bien que mal de le repousser. Je ne voulais pas me fâcher avec ce mec de mon âge, pas trop mal physiquement et d’en d’autres circonstances, je n’aurais certainement pas été contre. Cependant, ce n’était pas le moment et lui dis gentiment. Voyant que je refusais ses avances, il me répondit : « Je sais ce que vous avez fait dans le camion. » Je fis mine de rien entendre et j’étais montée dans ma voiture.
Le fils était bien comme son père, aussi audacieux, cela m’avait une nouvelle fois bien excité. Lorsque j’étais remontée vers 18 heures, Gaétan et Jean-Pierre s’attelaient à monter le grand living, Serge déplaçait les cartons vers leur destination, dans les pièces correspondantes, pendant que Denis s’apprêtait à installer le dernier lit dans ma chambre à coucher. Ayant besoin de moi, il m’appela afin que je lui tienne les plus longues pièces puis une fois que nous avions installé le matelas sur le sommier, il me poussa dessus et se coucha sur moi, en abaissant carrément mon top qui n’était plus qu’une ceinture, laissant apparaitre ma poitrine gonflée avec ses tétons érigés.
Je vous avoue que j’avais tout fait pour le mettre dans tous ces états pendant les dix minutes précédentes et que je m’attendais à une réaction de sa part. Je me laissais donc faire, il embrassait mes seins et me tétait les mamelons, je mouillais comme une folle. Je lui retirai son pantalon et l’avais aidé à glisser son préservatif avec mes lèvres le long de sa colonne de chair bandante à souhait. Après lui avoir salivé sa queue, je me mis à genou devant le lit et me couchai le torse sur le matelas, tendant ma croupe bien en arrière, lui offrant ainsi la possibilité de me prendre : « Comme mon père, tu veux que je t’encule ? »— Oui ! sodomise-moi ! Ne discute pas tant, vas-y !
Là encore, je prenais mon pied, une douce chaleur envahissait mes entrailles. À genoux derrière-moi, ses mains accrochées à mon ventre, Denis me ramonait le conduit sans douceur mais sans brutalité. Soudain, Serge fit son apparition avec un carton à la main qu’il posa sur le sol, avant de venir vers moi, pour me caresser les seins sans même me le demander. Ce n’était que du bonheur en plus pour moi. Pendant que les doigts agiles de Denis me masturbaient en même temps qu’il me sodomisait. Je jouis en criant mon bonheur, tandis que Serge demanda à son frère avant qu’il ne remplisse sa capote :
— Denis ! Laisse-moi la place. Je veux l’enculer la salope !
Je n’avais à peine récupéré que déjà le gamin présentait, devant mon trou étoilé, sa verge gainée de latex, prête à exploser tellement elle était raide et dure. Je ne pouvais plus refuser, il allait et venait dans mon rectum tel un lapin. Ayant terminé leur tâche et en attendant mes cris de joie, Jean-Pierre et Gaétan nous rejoignirent dans la chambre où les deux frères se relayaient pour prendre mon cul. Excités par cette scène, les deux plus âgés désirant participer à cette orgie, se branlèrent avant de mettre leur capuchon.
Mon anus n’avait pas le temps de se refermer, le trou restait béant lorsque les quatre déménageurs échangeaient leur place. Pour moi, je ne pouvais plus jouir, j’étais devenue qu’une poupée se faisant enculer. Si je ne prenais plus de plaisir, je ne ressentais aucune douleur. J’aurais préféré qu’ils me prennent la chatte, mais je m’efforçais à ne pas le demander et ce n’était pas certains qu’ils acceptent. Toutefois quand ce fut Gaétan à son quatrième passage, avec sa bite plus épaisse, qui me sodomisait et que Denis me baisait la chatte avec ses doigts, que Serge me malaxait les seins et que je suçais Jean-Pierre, je jouis une énième fois.
Après un long moment, je fus prise à plusieurs reprises en double anale. Épuisée, allongée à plat ventre sur le matelas, les quatre types n’en pouvant plus se finirent en éjaculant à tour de rôle sur le visage pour le père et Gaétan, le ventre pour l’ainé, ma poitrine fut réservée au plus jeune :— Ça y est Serge te voilà dépucelé. Dit Jean-Pierre à son gamin.
Très satisfaits et soulagés, ces quatre professionnels terminèrent avec entrain ce déménagement hors du commun. Selon leurs propos, il semblerait qu’ils n’avaient jamais connu une cliente aussi coquine et vorace que moi. Tout ce petit monde était parti la queue en berne, vers 21 heures après avoir bu leur dernière bière. Une fois seule en finissant de ranger ma cuisine, je réalisais que ces quatre malabars m’avaient défoncée le cul, j’avais quelques difficultés à marcher. Pourquoi étais-je toujours ainsi ? Me demandais-je. Pourtant quelques jours tôt, je m’étais bien promise de ranger mon costume de petite salope, définitivement dans le placard.
Cette nuit-là, étant très fatiguée de ma dure journée, j’avais quand même bien dormi. Cependant, de mon réveil jusqu’à la fin de mon footing, j’avais toujours l’anus irrité. Ce ne fut qu’après la douche lorsque je m’étais enduite l’anus de crème que mes petites brûlures disparurent. Pendant la première semaine, je n’avais vraiment pas eu le temps de m’ennuyer, il avait fallu tout ranger et aménager l’intérieur. Heureusement que mon père Bebel était menuisier ébéniste, il m’avait aménagé pendant ses vacances d’été, un grand dressing dans ma chambre, des placards à l’entrée et dans les deux chambres d’amis, sans compter les jolies boiseries décoratives.
Cette maison neuve de plus de 120 m2, entièrement de plain-pied avec le garage accolé, me plaisait beaucoup. Si ma cuisine était petite, la double pièce de 36 m2 : salon, salle à manger était suffisamment grande pour recevoir une bonne vingtaine d’invités. J’avais une salle de bain avec baignoire et douche, un bureau et les chambres à coucher équipées toutes les trois d’un lit hors normes comme je les aimais. Au fond du garage, j’avais installé mon cellier. Le tout sur un terrain de 1000m2 arboré.
Cette villa se situait à gauche en montant la petite route menant au hameau « Le moulin à vent » entre deux villas récentes et en face de trois autres propriétés neuves également. Dans l’impasse en haut de la bute, se trouvaient quatre maisons plus anciennes mais tout ce hameau était du style provençal. Nous avions une vue superbe sur les montagnes en face et sur le village en contre-bas sur la rive gauche d’un petit cours d’eau, un vrai petit paradis pour les yeux. Dans cet endroit idyllique où le soleil était présent toute l’année, ma maison étant suffisamment grande, j’avais bien l’intention d’en faire profiter toute ma famille et mes amis proches.
Je ne me considérais pas riche, pourtant j’aurais pu l’être, néanmoins avec la location des six appartements et du commerce de mon immeuble et celui de ma maison, j’avais l’équivalent d’un très bon salaire de cadre qui tombait tous les mois, cela me suffisait largement, je n’en demandais pas plus. Sans compter en cas de besoin les intérêts qui couraient sur l’argent que j’avais pu placer pendant ma période d’activité professionnelle. N’étant plus ambitieuse comme par le passé, à trente-huit ans à peine, je pouvais vivre correctement de mes rentes, c’était le principal.
Je fus ravie de l’accueil de mes voisins, j’avais fait leur connaissance pendant la première quinzaine de jours après mon aménagement. Mis à part ceux qui vivaient dans l’impasse sur la bute qui étaient tous, de jeunes retraités, l’âge des dix autres couples proches de chez-moi, allait de trente-six à quarante-huit ans. Toutes ces personnes vivaient aisément, les maris avaient de bonnes situations, quant aux épouses, toutes travaillaient hormis Patricia, ma voisine de gauche avec laquelle j’avais déjà sympathisé. En seulement deux semaines, je fus invitée à diner pratiquement tous les deux soirs et ce n’était pas fini car pour le week-end suivant, Pierrot le bout en train, le mari de Patricia et le plus âgé de la bande prévoyait déjà de nous rassembler pour fêter ma venue.
Seulement, j’avais besoin de sortir, je n’avais pas coucher avec un homme depuis les déménageurs, imaginez donc mon désir qui commençait à me chauffer les entrailles. Mon vibro-masseur fonctionnait tous les soirs à plein régime. D’autant plus que les cinq voisins et le gérant de la superette me regardaient avec envie et étaient tous, de beaux mecs, surtout Pierrot le mari de mon amie. À l’époque du « Josy-Club », je n’aurais pas hésité une seconde pour les emmener dans mon box privé. Seulement ils étaient tous mariés et je ne voulais pas avoir d’histoires avec mes voisines.
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