Journée Bi au club sauna
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Journée Bi au club sauna
Après le retour de Chris, on retrouve une sexualité plus épanouie.
On aborde, à nouveau, nos envies particulières.
Elle retrouve Chris à deux reprises, qui vient à la maison.
Il adore cette situation.
J'assisterai, la première fois, à leur complicité retrouvée.
La seconde se passera sans moi, à cause de l'heure plus avancée de sa venue.
A mon arrivée, ils étaient nus sur le canapé, les mouchoirs sur la table de salon témoignaient d'éjaculations abondantes.
Au bout d'un mois et demi, ma belle me fait part de son bonheur de baiser devant moi.
"J'aimerai bien aller au club libertin avec toi, ça te dit ? J'adore quand tu es présent !".
"Si tu veux !".
On ne fait pas attention au jour, et nous nous y rendons en semaine.
Comme toujours, on se déshabille pour se mettre une serviette autour de la taille, puis on se rend au bar pour boire un verre.
Il y a beaucoup d'hommes, c'est étonnant pour un jour de semaine.
Le Barman fait de nombreux sourires à ma belle.
Un homme, parfaitement du gout de ma femme, vient l'aborder, il me salue malgré tout.
Je vois à son regard qu'elle est sous le charme.
Il lui caresse la cuisse, elle se laisse faire.
Un autre homme s'approche, il connait le premier qui plonge ses lèvres pour embrasser ma femme dans le cou.
Elle gémit, très sensible à ce mordillement.
Je suis étonné de voir qu'elle a déjà la bite du second entre les doigts.
"Si on allait dans le coin calin ?". Demande le second.
Corinne s'adresse à moi:
"Tu nous suis, mon amour ?".
Ils l'entrainent dans une des petites pièces, garnie de matelas et distributeur de gel + préservatifs.
Elle fait tomber sa serviette, comme les trois hommes, le barman s'est joint à nous.
En tant que candauliste, je préfère rester spectateur.
Ils l'encerclent et se font dévorer la queue avec vice.
Il se passe quelques minutes avant que le barman se pare d'une capote et la pénètre avec fougue.
Le premier et le plus grand s'allonge, elle s'empale sur lui en me tournant le dos.
Le barman se place derrière et lui investit l'anus.
Ma femme arrête parfois de sucer le troisième pour râler son double orgasme.
Des hommes viennent mater la scène, certains se masturbent.
"Tu la connais ?". Me demande l'un d'eux.
Je me retourne pour lui répondre et je sursaute en reconnaissant l'homme.
"Que... Qu'est-ce que tu fais là ?".
"Ben, c'est le jour Bi ! Il y a aussi les homos, t'es pas là pour ça ? C'est la première fois que je te vois ici !".
"Euh, je suis jamais venu, non !".
Je ne tiens pas à lui révéler que c'est ma femme que l'on baise.
"C'est une sacrée salope, cette fille ! Mais dis-moi, t'as pas envie que je t'encules comme elle ? Viens, on va ailleurs !".
Il me prend par le bras et m'attire loin de la pièce.
Je suis tiraillé entre la peur d'être vu, le fait de laisser ma femme entre les mains d'autres hommes et d'être prisonnier de mon mensonge.
L'homme dont je n'ai jamais connu le prénom, m'entraine dans une pièce très sombre.
Il me remplit très vite la gorge avec sa longue queue.
J'essaie d'écourter notre rapport en le pompant frénétiquement.
mais il se couvre d'un préservatif et me pénètre en levrette.
Un deuxième homme vient se faire sucer, j'ai peur que cela entraine une suite que je pourrai pas gérer.
Je ne m'attendais pas à jouir analement aujourd'hui, l'homme me défonce copieusement l'anus.
Comme à chaque fois qu'il m'encule d'ailleurs !
Il faut peu de temps pour que l'autre m'inonde la bouche de sperme.
Un troisième le remplace et fait une remarque.
"C'est super aujourd'hui, il y en a pour tout le monde !".
Je prend un deuxième orgasme anal, pendant que celui qui m'encule, éjacule dans mon anus.
L'autre se couvre lui aussi et prend la suite, il me pousse sur le matelas et monte sur moi en me pilonnant le cul.
Je prend encore un orgasme énorme, il grogne bruyamment en se déversant en moi.
Lorsqu'il me laisse enfin, je me recouvre rapidement de ma serviette pour retourner vers ma belle.
En arrivant, je la vois toujours avec le plus grand des inconnus du bar, qui l'encule par dessous.
Mais elle est aussi avec trois autres hommes différents qui lui branlent les seins, et se font dévorer la queue.
L'un d'eux lui soulève les jambes pour la baiser en même temps qu'on l'encule.
Un des hommes se met à gémir et lui déverse son foutre sur le visage.
Ceci me fait remarquer qu'elle est déjà couverte de sperme, à cet endroit et sur les seins.
Ce n'est donc, pas le seul !
Malgré les mains qui la masturbaient, la viscosité du foutre fait briller ses mamelons.
Elle crie un nouvel orgasme anal et vaginal.
L'homme qui lui baise la chatte est parfaitement placé pour se déchainer en elle.
Il craque sous l'excitation et se vide dans son vagin.
Il se défait de son corps, pendant que le troisième se mastique comme un fou et se répand sur ses seins.
Le dernier lui soulève les fesses par dessous et s'active énergiquement dans son cul, pendant que ma belle jouit en s'étalant le sperme, qu'elle vient de recevoir.
Un nouveau venu tente de rentrer, je lui dis:
"Stop ! On s'arrête après lui !".
"C'est ta femme ?".
"Oui !".
"Dommage ! Elle a l'air bien salope ! Comme j'aime !".
Celui qui l'encule commence à râler plus fort, il se secoue le corps en éjaculant en elle.
Elle gueule, elle aussi, en l'accompagnant dans la jouissance.
Ils se couchent sur le coté et terminent de jouir longuement l'un dans l'autre.
Je m'approche et lui demande:
"Tu as assez joui ?".
"Ahhh, oui ! J'ai eu mon compte ! Mais ou t'étais passé ? Je t'ai plus vu, pendant un moment !".
"Euh, je suis allé pisser !".
"Ouhhh ! Doucement !".
Elle est ramenée au sexe par l'homme qui retire et replace sa bite dans son cul, plusieurs fois.
Il me remercie de lui avoir prêté ma femme, qu'il a adoré, d'après lui.
Ma femme lui réponds:
"Humm, merci à toi aussi ! Tu m'as bien baisée et enculée ! T'as tenu plus longtemps que les autres ! T'as assuré ! c'était bon !".
On retourne un peu au bar, puis elle désire uriner avant de rentrer.
Je l'attend devant les toilettes, pensant être sur le point de partir.
Un homme quarantenaire, trapu, magrébin, et d'une quinzaine de centimètres de plus que moi, s'approche et m'aborde:
"Tu viens souvent ici ?".
"Non ! Très rarement !".
"T'es super mignon ! Tu veux pas que je m'occupe de toi ?".
"Euh, je suis pas venu pour ça ! Désolé !".
"Ah bon ? Pourquoi alors ? Regardes ! Elle te plait pas ?".
Il me montre une queue magnifique, très, très épaisse et d'une dureté exceptionnelle.
A ce moment, je n'ai pas le temps de réagir, ma femme ouvre la porte des toilettes.
L'homme couvre sa bite et s'éloigne.
Corinne me demande:
"Qu'est-ce qu'il voulait ?".
"Me baiser !".
"Quoi ? Mais il y a des homos ici ?".
"Oui, on a pas fait gaffe, c'est mixte aujourd'hui, ou journée BI, si tu préfères !".
"Oh ! Si on en profitait ! J'en ai envie, je veux te voir, s'il te plait !".
"Corinne ! Je pense pas que tu vas apprécier ce que tu vas voir, il y a beaucoup d'hommes ! Il va surement être rejoint par d'autres !".
"Comme ça, j'aurais une idée de ce que tu aimes faire dans les lieux que tu fréquentes ! Allez, fais le pour moi !".
"Bon, je t'aurais prévenu ! Restes assez loin de moi pour ne pas nous gêner, je vais me montrer pour qu'il revienne me brancher !".
Bien sûr, je n'ai pas eu besoin d'attendre longtemps, l'homme revient vers moi.
"Ta copine est partie ? Tu te retrouves seul ?".
"Elle s'amuse de son coté !".
"Sympa, tu veux que je m'occupe de toi, alors ? Je suis sûr que t'en a envie ! Montres-moi ce que tu sais faire !".
Nous sommes dans un couloir sombre, je ne sais pas si Corinne verra clairement ce que je vais faire.
Je me baisse pendant que l'inconnu enlève la serviette qui cache son gros sexe en érection.
J'ouvre au maximum mes lèvres pour englober son membre.
Il bouge amplement dans ma gorge, en forçant contre ma glotte.
Sa dureté me fait saliver abondamment.
Il me parle crûment, il n'y a pas de doute entre nous, il sait que je suis uniquement passif, comme je sais qu'il est actif et dominateur.
Deux autres hommes viennent vers nous, ils ont du passer devant ma femme.
En s'approchant, ils devinent que mon complice est prêteur, à son manque de réaction.
Ils me proposent leurs sexes à leur tour.
J'assume mon rôle de passif soumis en leur offrant tous mes talents buccaux.
L'un des derniers arrivés, me relève les fesses en faisant tomber ma serviette.
Il se couvre d'une capote, et m'enduit d'une dose de gel.
Il n'a aucun mal à me pénétrer, vu mes récentes sodomies.
"Putain, il s'est déjà fait enculer ! La salope !".
"Il est bon?" demande le magrébin.
"Ah, ouais ! Ca glisse tout seul ! C'est chaud comme j'aime ! En plus, vu d'ici, il a un cul splendide ! C'est excitant".
D'autres hommes s'approchent, le magrébin prend la décision de m'emmener dans la pièce munie de matelas.
"On va la bas ! Comme ça tout le monde va en profiter ! Il ne demande que ça, je suis sûr !".
Celui qui m'enculait s'allonge pour que je m'empale sur lui.
J'avale tout de suite après, queue après queue.
L'un d'eux se hasarde à tester mon ouverture anale avec ses doigts, alors que j'ai la bite de l'autre homme en moi.
Il vient se placer derrière et colle son membre à l'autre, en poussant fortement.
Je râle plus bruyamment encore, en le sentant me remplir l'anus, lui aussi.
Je me retrouve secoué comme une poupée par les deux hommes, pendant qu'on m'humilie avec des mots crus.
Je croise le regard du magrébin qui jubile d'excitation, il attend patiemment son tour pour me faire hurler lui aussi.
Il faut beaucoup d'assauts dans mon cul pour que le premier annonce son éjaculation.
Il amplifie ses à-coups pour se laisser aller dans sa capote, à l'intérieur de moi.
Ses râles sont communicatifs, je reçois une giclée de sperme chaud dans la gorge.
Ses commentaires, sur le plaisir qu'il ressent, en jouissant dans ma gorge, m'excitent autant que les autres, qui attendent leur tour.
Il est très vite remplacé, ensuite.
Je pousse un gémissement puissant en encaissant une autre queue qui me remplit l'anus, avec la première toujours présente et très active.
Leurs mouvements se coordonnent en m'apportant un orgasme anal énorme.
J'ai juste le temps d'apprécier ce plaisir, avant que celui qui est sous moi, se crispe à mes hanches en se vidant de son foutre, il est accompagné de celui de dessus.
J'imagine que ma femme me voit et m'entend jouir, malgré les bites qui m'étouffent la gorge.
Un de mes complices de jeu sexuel, m'arrose le visage de sperme chaud et gluant .
Il râle en vociférant des mots crus à mon égard.
Tout cela excite les autres qui se masturbent en attendant de profiter de ma présence dans les lieux.
A partir de ce moment, les hommes préfèrent m'enculer à la chaine, seuls dans mon anus.
J'encaisse les éjaculations suivantes dans le cul et la bouche.
Le magrébin du début, me caresse les fesses en me parlant vulgairement.
Les hommes ont quitté l'endroit au fur et à mesure qu'ils se vidaient les couilles.
"Bon, à nous deux maintenant ! J'ai mérité de t'enculer moi aussi, tu crois pas ?".
"Oui ! Mais, ne te retiens pas de jouir ! Ils m'ont épuisé !".
"Je vais faire ce que je peux ! Ca m'arrive de durer plus longtemps quand j'aime vraiment un mec !".
Il m'écartèle l'anus d'un coup, je crie sur le coup de la surprise.
"Arhhhhhhhhhh ! Ouh, tu es gros ! Salaud !".
"Tu as encaissé deux bites ! C'est pas moi qui vais te faire mal !".
"Non, mais tu es rentré fort !".
Il commence un rythme effréné, me faisant hurler comme une chienne.
"Et ça ? C'est trop fort ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Non, c'est bon ! Arhhhhhhhhhh !".
Comme je le craignais, il est très endurant, et me provoque plusieurs orgasmes, jusqu'à me donner une érection.
Il ne se rend pas compte qu'il me fait éjaculer sans me toucher, pendant qu'il me casse le cul.
Je m'offre à ses assauts en me pâmant de plaisir, mon sperme coule sous moi, sur le matelas, en formant une grosse tache.
Il se déchaine jusqu'à son déversement, sous nos râles communs et ses commentaires pervers.
Même ses spasmes d'écoulement de foutre, dans mon cul, me provoque du plaisir.
Il se retire enfin, et enlève sa capote, puis la retourne pour me maculer le dos avec son jus.
"Tiens ! Ca va rejoindre le reste !".
Il me quitte après une caresse sur le visage et un remerciement.
Je ramasse ma serviette et croise deux autres hommes.
Je baisse la tête pour éviter d'être sollicité.
Je me rends très vite à la douche commune, sans paroi.
Corinne me rejoint, son regard m'intrigue.
"Tu as pris peur ? C'est toujours comme ça que ça se passe, en général !".
"Euh, à part le fait qu'ils étaient beaucoup ! Je sais pas comment tu fais pour encaisser tout ces hommes ! Mais, non, j'ai adoré te voir ! Tu es beau quand tu joui avec ton cul ! Ca m'a excité, je me suis masturbé trois fois ! Mais ils sont tous homos ces mecs ?".
"Oh non ! La plupart sont mariés ! Ou en couple !".
"Ah d'accord ! Je vois les hommes différemment maintenant !".
Nous rentrons après nous être rhabillés.
Sur la route, je trouve le courage de lui révéler que je me suis déjà fais enculer, lorsqu'elle baisait, en précisant:
"Un type que je connais, m'a reconnu, il m'a demandé, si tu étais avec moi, j'ai pas osé lui faire savoir que j'étais candauliste ! Donc, je l'ai suivi pour qu'il me baise !".
"Il n'y avait que lui ?".
"Non, ils étaient trois ! Mais deux m'ont enculé, seulement !".
"Humm, on reviendra , j'aime te voir !".
"Laisse-moi y réfléchir, je trouve que c'est pas assez discret, ici ! Il y a aussi de vrais hétéros, c'est trop mélangé !".
On aborde, à nouveau, nos envies particulières.
Elle retrouve Chris à deux reprises, qui vient à la maison.
Il adore cette situation.
J'assisterai, la première fois, à leur complicité retrouvée.
La seconde se passera sans moi, à cause de l'heure plus avancée de sa venue.
A mon arrivée, ils étaient nus sur le canapé, les mouchoirs sur la table de salon témoignaient d'éjaculations abondantes.
Au bout d'un mois et demi, ma belle me fait part de son bonheur de baiser devant moi.
"J'aimerai bien aller au club libertin avec toi, ça te dit ? J'adore quand tu es présent !".
"Si tu veux !".
On ne fait pas attention au jour, et nous nous y rendons en semaine.
Comme toujours, on se déshabille pour se mettre une serviette autour de la taille, puis on se rend au bar pour boire un verre.
Il y a beaucoup d'hommes, c'est étonnant pour un jour de semaine.
Le Barman fait de nombreux sourires à ma belle.
Un homme, parfaitement du gout de ma femme, vient l'aborder, il me salue malgré tout.
Je vois à son regard qu'elle est sous le charme.
Il lui caresse la cuisse, elle se laisse faire.
Un autre homme s'approche, il connait le premier qui plonge ses lèvres pour embrasser ma femme dans le cou.
Elle gémit, très sensible à ce mordillement.
Je suis étonné de voir qu'elle a déjà la bite du second entre les doigts.
"Si on allait dans le coin calin ?". Demande le second.
Corinne s'adresse à moi:
"Tu nous suis, mon amour ?".
Ils l'entrainent dans une des petites pièces, garnie de matelas et distributeur de gel + préservatifs.
Elle fait tomber sa serviette, comme les trois hommes, le barman s'est joint à nous.
En tant que candauliste, je préfère rester spectateur.
Ils l'encerclent et se font dévorer la queue avec vice.
Il se passe quelques minutes avant que le barman se pare d'une capote et la pénètre avec fougue.
Le premier et le plus grand s'allonge, elle s'empale sur lui en me tournant le dos.
Le barman se place derrière et lui investit l'anus.
Ma femme arrête parfois de sucer le troisième pour râler son double orgasme.
Des hommes viennent mater la scène, certains se masturbent.
"Tu la connais ?". Me demande l'un d'eux.
Je me retourne pour lui répondre et je sursaute en reconnaissant l'homme.
"Que... Qu'est-ce que tu fais là ?".
"Ben, c'est le jour Bi ! Il y a aussi les homos, t'es pas là pour ça ? C'est la première fois que je te vois ici !".
"Euh, je suis jamais venu, non !".
Je ne tiens pas à lui révéler que c'est ma femme que l'on baise.
"C'est une sacrée salope, cette fille ! Mais dis-moi, t'as pas envie que je t'encules comme elle ? Viens, on va ailleurs !".
Il me prend par le bras et m'attire loin de la pièce.
Je suis tiraillé entre la peur d'être vu, le fait de laisser ma femme entre les mains d'autres hommes et d'être prisonnier de mon mensonge.
L'homme dont je n'ai jamais connu le prénom, m'entraine dans une pièce très sombre.
Il me remplit très vite la gorge avec sa longue queue.
J'essaie d'écourter notre rapport en le pompant frénétiquement.
mais il se couvre d'un préservatif et me pénètre en levrette.
Un deuxième homme vient se faire sucer, j'ai peur que cela entraine une suite que je pourrai pas gérer.
Je ne m'attendais pas à jouir analement aujourd'hui, l'homme me défonce copieusement l'anus.
Comme à chaque fois qu'il m'encule d'ailleurs !
Il faut peu de temps pour que l'autre m'inonde la bouche de sperme.
Un troisième le remplace et fait une remarque.
"C'est super aujourd'hui, il y en a pour tout le monde !".
Je prend un deuxième orgasme anal, pendant que celui qui m'encule, éjacule dans mon anus.
L'autre se couvre lui aussi et prend la suite, il me pousse sur le matelas et monte sur moi en me pilonnant le cul.
Je prend encore un orgasme énorme, il grogne bruyamment en se déversant en moi.
Lorsqu'il me laisse enfin, je me recouvre rapidement de ma serviette pour retourner vers ma belle.
En arrivant, je la vois toujours avec le plus grand des inconnus du bar, qui l'encule par dessous.
Mais elle est aussi avec trois autres hommes différents qui lui branlent les seins, et se font dévorer la queue.
L'un d'eux lui soulève les jambes pour la baiser en même temps qu'on l'encule.
Un des hommes se met à gémir et lui déverse son foutre sur le visage.
Ceci me fait remarquer qu'elle est déjà couverte de sperme, à cet endroit et sur les seins.
Ce n'est donc, pas le seul !
Malgré les mains qui la masturbaient, la viscosité du foutre fait briller ses mamelons.
Elle crie un nouvel orgasme anal et vaginal.
L'homme qui lui baise la chatte est parfaitement placé pour se déchainer en elle.
Il craque sous l'excitation et se vide dans son vagin.
Il se défait de son corps, pendant que le troisième se mastique comme un fou et se répand sur ses seins.
Le dernier lui soulève les fesses par dessous et s'active énergiquement dans son cul, pendant que ma belle jouit en s'étalant le sperme, qu'elle vient de recevoir.
Un nouveau venu tente de rentrer, je lui dis:
"Stop ! On s'arrête après lui !".
"C'est ta femme ?".
"Oui !".
"Dommage ! Elle a l'air bien salope ! Comme j'aime !".
Celui qui l'encule commence à râler plus fort, il se secoue le corps en éjaculant en elle.
Elle gueule, elle aussi, en l'accompagnant dans la jouissance.
Ils se couchent sur le coté et terminent de jouir longuement l'un dans l'autre.
Je m'approche et lui demande:
"Tu as assez joui ?".
"Ahhh, oui ! J'ai eu mon compte ! Mais ou t'étais passé ? Je t'ai plus vu, pendant un moment !".
"Euh, je suis allé pisser !".
"Ouhhh ! Doucement !".
Elle est ramenée au sexe par l'homme qui retire et replace sa bite dans son cul, plusieurs fois.
Il me remercie de lui avoir prêté ma femme, qu'il a adoré, d'après lui.
Ma femme lui réponds:
"Humm, merci à toi aussi ! Tu m'as bien baisée et enculée ! T'as tenu plus longtemps que les autres ! T'as assuré ! c'était bon !".
On retourne un peu au bar, puis elle désire uriner avant de rentrer.
Je l'attend devant les toilettes, pensant être sur le point de partir.
Un homme quarantenaire, trapu, magrébin, et d'une quinzaine de centimètres de plus que moi, s'approche et m'aborde:
"Tu viens souvent ici ?".
"Non ! Très rarement !".
"T'es super mignon ! Tu veux pas que je m'occupe de toi ?".
"Euh, je suis pas venu pour ça ! Désolé !".
"Ah bon ? Pourquoi alors ? Regardes ! Elle te plait pas ?".
Il me montre une queue magnifique, très, très épaisse et d'une dureté exceptionnelle.
A ce moment, je n'ai pas le temps de réagir, ma femme ouvre la porte des toilettes.
L'homme couvre sa bite et s'éloigne.
Corinne me demande:
"Qu'est-ce qu'il voulait ?".
"Me baiser !".
"Quoi ? Mais il y a des homos ici ?".
"Oui, on a pas fait gaffe, c'est mixte aujourd'hui, ou journée BI, si tu préfères !".
"Oh ! Si on en profitait ! J'en ai envie, je veux te voir, s'il te plait !".
"Corinne ! Je pense pas que tu vas apprécier ce que tu vas voir, il y a beaucoup d'hommes ! Il va surement être rejoint par d'autres !".
"Comme ça, j'aurais une idée de ce que tu aimes faire dans les lieux que tu fréquentes ! Allez, fais le pour moi !".
"Bon, je t'aurais prévenu ! Restes assez loin de moi pour ne pas nous gêner, je vais me montrer pour qu'il revienne me brancher !".
Bien sûr, je n'ai pas eu besoin d'attendre longtemps, l'homme revient vers moi.
"Ta copine est partie ? Tu te retrouves seul ?".
"Elle s'amuse de son coté !".
"Sympa, tu veux que je m'occupe de toi, alors ? Je suis sûr que t'en a envie ! Montres-moi ce que tu sais faire !".
Nous sommes dans un couloir sombre, je ne sais pas si Corinne verra clairement ce que je vais faire.
Je me baisse pendant que l'inconnu enlève la serviette qui cache son gros sexe en érection.
J'ouvre au maximum mes lèvres pour englober son membre.
Il bouge amplement dans ma gorge, en forçant contre ma glotte.
Sa dureté me fait saliver abondamment.
Il me parle crûment, il n'y a pas de doute entre nous, il sait que je suis uniquement passif, comme je sais qu'il est actif et dominateur.
Deux autres hommes viennent vers nous, ils ont du passer devant ma femme.
En s'approchant, ils devinent que mon complice est prêteur, à son manque de réaction.
Ils me proposent leurs sexes à leur tour.
J'assume mon rôle de passif soumis en leur offrant tous mes talents buccaux.
L'un des derniers arrivés, me relève les fesses en faisant tomber ma serviette.
Il se couvre d'une capote, et m'enduit d'une dose de gel.
Il n'a aucun mal à me pénétrer, vu mes récentes sodomies.
"Putain, il s'est déjà fait enculer ! La salope !".
"Il est bon?" demande le magrébin.
"Ah, ouais ! Ca glisse tout seul ! C'est chaud comme j'aime ! En plus, vu d'ici, il a un cul splendide ! C'est excitant".
D'autres hommes s'approchent, le magrébin prend la décision de m'emmener dans la pièce munie de matelas.
"On va la bas ! Comme ça tout le monde va en profiter ! Il ne demande que ça, je suis sûr !".
Celui qui m'enculait s'allonge pour que je m'empale sur lui.
J'avale tout de suite après, queue après queue.
L'un d'eux se hasarde à tester mon ouverture anale avec ses doigts, alors que j'ai la bite de l'autre homme en moi.
Il vient se placer derrière et colle son membre à l'autre, en poussant fortement.
Je râle plus bruyamment encore, en le sentant me remplir l'anus, lui aussi.
Je me retrouve secoué comme une poupée par les deux hommes, pendant qu'on m'humilie avec des mots crus.
Je croise le regard du magrébin qui jubile d'excitation, il attend patiemment son tour pour me faire hurler lui aussi.
Il faut beaucoup d'assauts dans mon cul pour que le premier annonce son éjaculation.
Il amplifie ses à-coups pour se laisser aller dans sa capote, à l'intérieur de moi.
Ses râles sont communicatifs, je reçois une giclée de sperme chaud dans la gorge.
Ses commentaires, sur le plaisir qu'il ressent, en jouissant dans ma gorge, m'excitent autant que les autres, qui attendent leur tour.
Il est très vite remplacé, ensuite.
Je pousse un gémissement puissant en encaissant une autre queue qui me remplit l'anus, avec la première toujours présente et très active.
Leurs mouvements se coordonnent en m'apportant un orgasme anal énorme.
J'ai juste le temps d'apprécier ce plaisir, avant que celui qui est sous moi, se crispe à mes hanches en se vidant de son foutre, il est accompagné de celui de dessus.
J'imagine que ma femme me voit et m'entend jouir, malgré les bites qui m'étouffent la gorge.
Un de mes complices de jeu sexuel, m'arrose le visage de sperme chaud et gluant .
Il râle en vociférant des mots crus à mon égard.
Tout cela excite les autres qui se masturbent en attendant de profiter de ma présence dans les lieux.
A partir de ce moment, les hommes préfèrent m'enculer à la chaine, seuls dans mon anus.
J'encaisse les éjaculations suivantes dans le cul et la bouche.
Le magrébin du début, me caresse les fesses en me parlant vulgairement.
Les hommes ont quitté l'endroit au fur et à mesure qu'ils se vidaient les couilles.
"Bon, à nous deux maintenant ! J'ai mérité de t'enculer moi aussi, tu crois pas ?".
"Oui ! Mais, ne te retiens pas de jouir ! Ils m'ont épuisé !".
"Je vais faire ce que je peux ! Ca m'arrive de durer plus longtemps quand j'aime vraiment un mec !".
Il m'écartèle l'anus d'un coup, je crie sur le coup de la surprise.
"Arhhhhhhhhhh ! Ouh, tu es gros ! Salaud !".
"Tu as encaissé deux bites ! C'est pas moi qui vais te faire mal !".
"Non, mais tu es rentré fort !".
Il commence un rythme effréné, me faisant hurler comme une chienne.
"Et ça ? C'est trop fort ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Non, c'est bon ! Arhhhhhhhhhh !".
Comme je le craignais, il est très endurant, et me provoque plusieurs orgasmes, jusqu'à me donner une érection.
Il ne se rend pas compte qu'il me fait éjaculer sans me toucher, pendant qu'il me casse le cul.
Je m'offre à ses assauts en me pâmant de plaisir, mon sperme coule sous moi, sur le matelas, en formant une grosse tache.
Il se déchaine jusqu'à son déversement, sous nos râles communs et ses commentaires pervers.
Même ses spasmes d'écoulement de foutre, dans mon cul, me provoque du plaisir.
Il se retire enfin, et enlève sa capote, puis la retourne pour me maculer le dos avec son jus.
"Tiens ! Ca va rejoindre le reste !".
Il me quitte après une caresse sur le visage et un remerciement.
Je ramasse ma serviette et croise deux autres hommes.
Je baisse la tête pour éviter d'être sollicité.
Je me rends très vite à la douche commune, sans paroi.
Corinne me rejoint, son regard m'intrigue.
"Tu as pris peur ? C'est toujours comme ça que ça se passe, en général !".
"Euh, à part le fait qu'ils étaient beaucoup ! Je sais pas comment tu fais pour encaisser tout ces hommes ! Mais, non, j'ai adoré te voir ! Tu es beau quand tu joui avec ton cul ! Ca m'a excité, je me suis masturbé trois fois ! Mais ils sont tous homos ces mecs ?".
"Oh non ! La plupart sont mariés ! Ou en couple !".
"Ah d'accord ! Je vois les hommes différemment maintenant !".
Nous rentrons après nous être rhabillés.
Sur la route, je trouve le courage de lui révéler que je me suis déjà fais enculer, lorsqu'elle baisait, en précisant:
"Un type que je connais, m'a reconnu, il m'a demandé, si tu étais avec moi, j'ai pas osé lui faire savoir que j'étais candauliste ! Donc, je l'ai suivi pour qu'il me baise !".
"Il n'y avait que lui ?".
"Non, ils étaient trois ! Mais deux m'ont enculé, seulement !".
"Humm, on reviendra , j'aime te voir !".
"Laisse-moi y réfléchir, je trouve que c'est pas assez discret, ici ! Il y a aussi de vrais hétéros, c'est trop mélangé !".
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super bien écrit on s'y croirait tellement c'est excitant !
Merci pour ce partage
Merci pour ce partage
Moi aussi j'adore me faire enculer a fond et par plusieurs quand je peux et j adore qu un type décharge en moi sans capote avec des gars sains bises à tous
Hard mais très sympa, hummm