Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1284) -
Sophie et Clémence avaient ces dernières semaines vécues une vie totalement contraire à ce dont elles avaient l'habitude et à l'idée qu'elles avaient de la vraie et saine soumission. En effet, ce pervers seigneur de Charnay les avait fait enchainer nues comme des bêtes dans de sordides cachots sans lumière, humides et sales. Elles furent souvent violentées comme frappées, giflées et battues pour un oui ou pour un non. Elles étaient mal nourries, firent toutes les basses servitudes comme nourrir les cochons et même parfois enfermées avec eux dans la porcherie. Elles n’eurent pas le droit de se laver et furent traitées comme des animaux maltraités voire pire, bref tout ce qui est contraire à l'éthique du Seigneur d'Evans. Apprenant cela par la servante du village, le Seigneur d'Evans et Messire Léon décident de les libérer sans tarder. C'est alors qu'aussitôt, sans plus tarder, accompagnés de Ronan et Louis-Etienne, ils se rendirent sur les terres de Charnay. La façon dont se passa la libération de Clémence et Sophie fut spectaculaire. En effet, quand ils se présentèrent au château, et que le seigneur de Charnay les reçut, le Seigneur d'Evans lui dit d'un ton autoritaire et méprisant ne laissant place à aucunes objections.

- Messire, je sais que vous séquestrez deux de mes hôtes, alors je vous le dis sans éclat : Auriez-vous l'obligeance de me rendre Ma soumise et Ma nièce ?
- J'espère pour vous qu'elles vont bien, qu’elles ne sont pas blessées ou souffrantes par votre faute, ajouta Ronan- Deux de vos hôtes chez moi ? Vous êtes mal informés rétorqua le seigneur de Charnay…- Ne mentez pas, nous savons qu’elles sont enfermées dans vos sordides cachots ….
- Mise à part quelques brigands, ils n’y a personne d’autres en ces lieux …, mentit-il- Alors, je veux allez constater cela par Moi-même, répliqua le Seigneur d’Evans- Mais il est hors de question que je laisse quiconque se rendre dans mes cachots… L’accès en est interdit…- Je considère cette interdiction comme un aveu.

Alors à ce moment-là et avec une rapidité fulgurante, le Seigneur d’Evans sortit son épée et attrapa fermement le seigneur de Charnay pour lui mettre son épée sous sa gorge et le menaça de la lui trancher s’il ne le menait pas tout de suite jusqu’aux cachots. Ainsi ils se rendirent dans les sous-sols du château. Les gardes les laissèrent passer craignant pour la vie de leur maître qui servit d’otage, lequel les conjurait de ne pas intervenir. Quand le cachot où étaient enfermées les deux femmes s’ouvrit, toujours sous la menace de l’épée du Seigneur d’Evans, Sophie crut que son cœur allait éclater quand elle vit le Maître dans l'encadrement de la porte de la cellule et c’est nue et enchaînée par la cheville qu’elle tombait à genoux.

- Ho Maître Vénéré, je savais que Vous nous ne nous abandonneriez pas que Vous finiriez par nous retrouver.

Messire Léon l'aida à se relever et lui dit.

- Mon dieu, Sophie dans quel état es-tu ?
- Il nous empêchait de nous laver et nous obligeait à dormir avec les cochons… (elle ne put finir sa phrase en pleurant).
- Reprenez-les, je ne veux voir ces deux sales femelles !, se mit à crier le seigneur de Charnay avec haine. Vos chères soumises qui ne peuvent rien supporter. Vous allez regretter de vous être moqué de moi, Charles d'Evans.
- Sûrement pas autant que vous Marius de Charnay. Vous êtes immonde de traiter ainsi des êtres humains. On en restera pas la conclut-il tout en voyant Ronan en train de détacher la chaîne de Clémence en larmes dans ses bras.

En rentrant au Château le Seigneur d'Evans donna des ordres pour que Clémence et Sophie puissent se laver à l'eau chaude et des vêtements propres et pas les guenilles qu'elles portaient là-bas. Il ordonnait aussi de les traiter comme des princesses le temps qu’elles se rétablissent… Après s'être lavée, Sophie dit à Chloris et Alix qui l'aidaient.

- Je ne souhaite pas de vêtements, je souhaite juste récupérer mon collier.

Alix lui répondit tendrement.

- Habille-toi, ce sont les ordres du Maître, heu … je veux dire de mon oncle, ensuite je te montrerai la chambre qu'Il t’offre le temps qu'il te faudra pour te remettre de cette terrible épreuve. Ne t'inquiète pas, il passera te voir dans la soirée. En attendant tâche de te reposer, tu as vécu des moments si pénibles… Tiens bois cette tisane, ça te fera dormir.
- Merci Chloris, peux-tu remercier le Maître pour moi ?
- C'est inutile, Je suis là, dit une voix calme qui survint de l’encadrement de la porte de la chambre.
- Maître je...je … (et elle fondit en sanglots)- Chloris laissez-nous, Antonin vous attend dans Mon salon privé.

Le Maître prit Sophie dans Ses bras.

- Je sais ce que tu veux me dire.

Le Seigneur d'Evans la berça tendrement et quand elle fut calmée, Il lui chuchota.

- Dors Ma belle, le Maître veille sur toi, je reste auprès de toi cette nuit.

Etrangement dans la chambre voisine Ronan tenait le même discours à Clémence, sa fiancée. Chloris quand à elle avait rejoint Antonin qui lui dit :
- Ce qu'a fait cet ignoble de Charnay est inadmissible, il faut qu'il paye ses infamies.
- Il payera j'en suis sûre, tu connais ton ami mieux que personne, tu sais qu'Il ne le laissera pas s'en tirer si facilement. (A ce moment-là, aucun n'aurait pu se douter à quel point elle avait raison)- Si je m'écoutais, je le briserais tout de suite.
- Tu es tendu … Que dirais-tu d'un petit massage de ta femme et d'un moment avec ta soumise, après ?
- Ho Ma Chloris à Moi, tu as toujours des idées des plus plaisantes, j'accepte volontiers.

Le couple se rendit dans leur chambre. Antonin se dévêtit et s'allongea sur le ventre sur leur couche et Chloris, dévêtue également, de ses mains douces le massa doucement, tendrement, amoureusement. Puis à un moment déterminé, il se retourna sur le dos et Chloris vit sa belle queue droite comme un I. Aussitôt, elle se mit à genoux et lui dit humblement mais d'un ton légèrement taquin.

- Il me semble, Maître, que vous ayez besoin d'un de mes orifices ?
- Exactement Ma chienne, je réfléchis à celui que je vais utiliser.
- Me permettez-vous une suggestion Maître ?
- Dis toujours, je déciderai sans forcément tenir compte de ta proposition.
- Je vous propose, si cela vous convient, de me prendre dans la position de votre choix, par la chatte et le cul et de vous soulager ensuite je vous nettoierais votre noble queue de ma langue ?
- Proposition intéressante, en position salope.

Chloris ne se fit pas prier et se mit immédiatement (entre eux le mot "position" avais une signification précise) en levrette prosternée, c’est-à-dire cul bien relevé et bras dépliés loin devant. Antonin qui savait que ses fessées la faisaient énormément mouiller, lui administra une série de claques cinglantes et passa ses doigts entre ses cuisses.

- Mais, Ma parole tu mouilles de plus en plus, Ma chienne.
- C'est juste, Maître, que Vos délicieuses claques n'ont fait qu'accentuer l'excitation due au massage qui était déjà présente entre mes jambes.

Antonin joignant le geste à la parole la pénétra d'un coup de reins puissant :
- Alors pas besoin de plus de préparation, je peux te prendre sans attendre. Et il lui lima la chatte un long très long moment en de profonds coups de reins puissants, virils, cadencés et resta un moment en coït vaginal profond, tandis qu’une main lui titillant son clito si réceptif et de l'autre un sein puis l'autre sein pressant, étirant, vrillant ses tétons fièrement dressés.

- Gémis Ma belle, crie si tu veux, ne te retiens pas, je veux t'entendre.

Et il recommença ses va-et-vient très lentement.

- Ho Maître … c'est si bon … ouiiiiii …continuez.
- T'aime ça, hein Ma salope ?
- Ouiiiiii Maître … vous … me connaissez si bien.

Et sans préavis, il se retira tout aussi lentement et lui sodomisa son cul dilaté au préalable d'un coup de reins puissant et précis. Chloris hurla de douleur mêlé à un intense plaisir :
- Ouiiiiii Maître … Ho Maître comme j'aime votre puissance et votre précision !

Sans arrêter ses allées et venues dans son cul, il lui répondit.

- Il ne s'agit pas de précision, ton corps est fait pour le mien parfaitement à ma taille, tout en continuant à la pilonner longuement.
- Haaa, Ma salope, jouit quand tu veux.

Et c'est ensemble que leur plaisir atteignit des sommets et libérèrent en même temps leurs orgasmes puissants, dévastateurs, tel un séisme atomique en intensité….

- Haaaaaaaaaa Ma chienne, Ma salope, Ma princesse, Ma soumise, j'adore ton cul et ta chatte chaude et humide comme je l'aime… Avec la disparition de Clémence et de Sophie, je n'avais pu te prendre avec autant de plaisirs et de liberté d'esprit et ton massage m'a totalement détendu et excité, j'en suis tout relaxé et soulagé.

Chloris à genoux, tête baissée, souriait de plaisirs car savoir le Maître qui la soumettait autant que l'homme qu'elle aimait soit satisfait d'elle en tant que femme mais également en tant que soumise la rendit si heureuse.

- Relève-toi et assied-toi près de moi.

Antonin lui tendit la main pour l'aider à se relever et la prit dans ses bras pour l'embrasser tendrement, amoureusement… Et la nuit se passa ainsi, elle fut torride dans un mélange d’ébats sexuels entre deux amoureux mais aussi entre un Maître et une soumise, tous deux comblés par le bonheur et les jouissances …
(A suivre …)

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