Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1292) -
Cela était donc parfait pour la suite il s'allongea d'abord sur le ventre et dit à Aline, sur un ton directif.
- Aline, je crois savoir que tu es une bonne masseuse et pour m'occuper de vous deux, j'aurais bien besoin d'un bon massage avant.
Aline étant une fonceuse légèrement rebelle lui répondit sur un ton un peu provocateur et ironique :
- En effet, mais je ne sais pas si je vais vous en faire la démonstration.
Ronan légèrement en colère voulait lui montrer qui commande et ce qu’il n’acceptait pas lorsqu'il soumettait, alors sur un ton sec :
- T'ai- je autorisé à parler soumise ? Et sache que dans cette pièce, tu me nommeras Maître, suis-je assez clair ? Et là répond-moi, je t’y autorise….
- Heu …Oui … Maître tout à fait, je vous prie d'accepter mes excuses, cela ne se reproduira plus.
- Excuses acceptées, mais tu seras tout de même punie mais plus tard en attendant fais ce que je t'ai ordonné, chienne.
- Maître, puis-je émettre une suggestion quant au massage d’Aline ?, intervint Clémence- Je t'écoute, Ma belle.
- Je sais qu'Aline est très bonne, certes, en massage du dos mais aussi du crâne ce qui est très relaxant, aux dires de Louis-Etienne, qui est sujet aux migraines et votre récent voyage a dû être éprouvant et je me disais qu’elle pourrait avec votre accord, vous masser la tête et ensuite descendre sur la nuque et le dos ?
- J'accepte et toi la chienne, tâche de me satisfaire sinon c'est ton amie qui le payera.
Alors Aline pour obéir à ce qu'il lui était exigé n'avait d'autre choix que de se mettre à califourchon sur le dos musclé de Ronan qui sentant sa fente humide sur son dos l'excita plus qu'il ne l'était déjà, mais se contint. Aline avec autant de douceur que de savoir-faire lui massa et caressa ses cheveux qu'elle trouva très doux pour un homme, puis descendit sur la nuque puis du aussi se reculer jusqu'à être toujours à califourchon dans le bas du dos de Ronan qui lui dit.
- Recule encore pour être assise sur mon cul, petite salope.
Ce qu'elle fit avant de lui masser les épaules et le dos. A ce moment-là, elle se posa une question qui la tracassait et ne savait si elle pouvait la poser ou non et elle finit par choisir de la poser, quitte à être punie...
- Maître, je suis désolée, mais me permettez-vous une question ?
- Comme si c'était le moment … Maintenant que tu m'as interrompu dans mes pensées, vas- y.
- Maître, je sens que vous êtes réellement tendu alors voulez-vous que je vous détende au risque de vous faire légèrement mal ou je vous fais juste un massage superficiel?
- Superficiel car pour ôter mes tensions, je verrais plus tard.
Aline le massa alors plus doucement que si elle voulait vraiment défaire les nœuds qu'elle sentait dans ses muscles. Quand elle eut terminé, elle descendit de la couche et se mit à genoux à côté de Clémence. Quant à lui, il s'assit sur le bord de sa couche et les regarda en silence un moment.
- Bien Aline, je suis satisfait. J'ai une question à vous poser mes belles petites chiennes et j'exige que vous me répondiez chacune sincèrement car j'ai conscience que ce que je vais vous ordonner ou pas de faire pourrait être au- dessus de vos limites. Si je vous ordonne de vous toucher et de vous donner du plaisir mutuellement, cela vous pose t’il problème ? Clémence, toi d'abord pour me répondre.
- Hé bien Maître, j'avoue que votre question me surprend, en réalité la situation ne s'est jamais présentée mais pour ma part, je crois que je n'y vois pas d'inconvénients.
- Bien et toi Aline ?.
- Contrairement à Clémence, j’ai déjà pratiqué cela mais une seule fois, je n'y vois pas non plus d'inconvénients.
- Fort bien dans ce cas Clémence, tu vas venir t'empaler sur ma noble queue qui n'attend que ta petite chatte de chienne en chaleur. Et toi Aline, tu vas me donner aussi ta petite chatte à lécher et comme vous vous ferez face donner-vous du plaisir l'une à l'autre en vous caressant et vous embrassant….
Ronan se mit donc sur le dos et les deux soumises dans la position exigée. Clémence s'empala avec une exquise et extrême lenteur sur cette grosse bite dressée qu'elle savourait de sentir en elle et Aline se positionna de façon à pouvoir se faire lécher par le Dominant. Au début, elles furent un peu hésitantes à se toucher l'une à l'autre mais l'excitation aidant, très vite l'une allant et venant sur le membre tendu commença à caresser les cheveux de son amie et celle-ci répondit à ses caresses et lui caressant gentiment ses seins et ses tétons, puis les pinça entre ses doigts. Clémence fit de même tant leurs besoins étaient presque identiques. Elles s’embrassaient à pleine haleine, leurs bouches grandes ouvertes à se rouler des patins comme de véritables lesbiennes mélangeant leur langue et salive. Aline mouillait abondamment ce qui n'était pas pour déplaire au jeune Maître qui ne se lassait jamais du délice des plaisirs féminins intimes. Et tous les trois furent très vite sur le point de jouir, Aline et Clémence savaient qu'elles devaient attendre l'autorisation du Dominant pour se lâcher. Après quelques minutes de va-et-vient tantôt rapides, tantôt plus lents de Clémence qui chevauchait Ronan, celui-ci souleva les fesses d'Aline pour pouvoir dire.
- Jouissez Mes salopes, je le veux.
Toutes deux explosèrent en même temps dans un orgasme formidablement puissant. Puis sur ordre du Maître, elles se retirèrent de leurs position et Ronan se redressa et prit Clémence dans ses bras et lança à Aline.
- Toi la chienne, suce-moi et ne t'occupe pas de ce que je fais avec chienne .Clémence …
Alors Aline le suça avec tout le savoir-faire dont elle était capable pendant que Ronan et Clémence étaient enlacés et s'embrassaient avec passion. Clémence pour la première fois gouta le gout de la cyprine de son amie qui emplissait encore la bouche de Ronan. Quand ce dernier sentit qu'il n'allait pas tarder à jouir.
- Bien ça suffit, descend et attend à genoux en silence. Quant à toi, Ma belle salope, tu vas continuer et je te ferais l'honneur de Ma noble semence. Celle-là ne la mérite pas, dit-il en regardant Aline.
Clémence obéit, non sans une pensée pour son amie privée d'un si grand honneur. Elle prit la verge alors gorgée d’excitation et de plaisirs prêts à exploser et en seulement quelques va-et-vient, Ronan jouit abondamment en jets forts et saccadés de sperme chaud et épais. La belle soumise avala la moindre goutte de celui avec qui elle allait partager sa vie, puis le nettoya consciencieusement jusqu'à le rendre propre et qu'il n'y ait plus aucunes petites traces de sa jouissance.
- Merci Maître, pour m'avoir fait l'honneur de votre si divin nectar.
- Viens Ma salope, je vais te prendre dans mes bras et réfléchir à la punition de cette chienne Aline.
Aline resta au pied de la couche à genoux attendant la sanction tout en entendant les baisers et caresses de Ronan et Clémence. Pour elle, cela était déjà en soi, une punition en plus d'avoir été privée de la jouissance du Maître. Mais cela, il le savait parfaitement et ça faisait partie de la punition.
- J’ai trouvé ta punition, ce sera 30 coups de martinet dont 10 qui te seront donnés par Clémence.
Là, ce fut Clémence qui se mit aux pieds de Ronan.
- Maître, je ne vous en supplie … Pas ça, je ne peux faire ça à Aline, s'il vous plait.
- Obéit et c'est tout et si je constate que tu te retiens pour frapper, tu en auras le double est ce clair ?
- Oui Maître, tout ce que vous exigerez, dit- elle résignée.
- Va chercher mon martinet, tu commenceras.
Clémence alla donc chercher le martinet de Ronan et en revenant son regard croisa celui d'Aline et elle lut dans son regard "ne te retiens pas, je peux supporter ça". Aline se mit alors en position avant que Clémence ne commence, il ajouta.
- Tu te tais, je ne veux rien entendre, rien pas un bruit et pas le moindre mouvement… Commence Ma chienne
Clémence mit toute la force de son caractère car elle n’appréciait pas du tout à devoir punir. De plus, cela n’était jamais arrivé et c'est tout juste si cela ne lui faisait pas plus mal qu'à sa sœur de soumission de devoir elle-même la punir. Quand elle eut fini les 10 coups de martinet, elle tomba à genoux, tête baissée tenant le martinet dans ses mains. Ronan s'approcha d'elle et la releva doucement et la fit assoir sur un fauteuil tout proche en lui caressant les cheveux tendrement et revient près d'Aline qui avait déjà les fesses bien rougies par les coups portés par Clémence.
- A nous deux, salopes ! Ah oui petite précision avec moi, tu comptes et tu me remercies entre chaque coup.
Ronan lui asséna le premier coup.
- Un, merci Maître. (elle ne put s’empêcher d’émettre un cri de surprise plus que de douleur)- Tu as crié, salope. Alors, je recommence. (Il frappa une seconde fois).
- Un, merci Maître.
- ...
- 11, merci Maître.
- 12, merci Maître - ...
- 20, merci Maître. Je vous remercie d'avoir pris de votre temps pour me corriger.
- Bien… Cette fois, tu es totalement pardonnée. Aller, il est tard, vous allez toutes les deux avoir l'honneur de partager ma couche cette nuit… Mais je saurai vous utiliser selon mes envies et à toute heure de la nuit, vous risquez d’être réveillées pour que je puisse me soulager dans un de vos orifices …
(A suivre …)
Cela était donc parfait pour la suite il s'allongea d'abord sur le ventre et dit à Aline, sur un ton directif.
- Aline, je crois savoir que tu es une bonne masseuse et pour m'occuper de vous deux, j'aurais bien besoin d'un bon massage avant.
Aline étant une fonceuse légèrement rebelle lui répondit sur un ton un peu provocateur et ironique :
- En effet, mais je ne sais pas si je vais vous en faire la démonstration.
Ronan légèrement en colère voulait lui montrer qui commande et ce qu’il n’acceptait pas lorsqu'il soumettait, alors sur un ton sec :
- T'ai- je autorisé à parler soumise ? Et sache que dans cette pièce, tu me nommeras Maître, suis-je assez clair ? Et là répond-moi, je t’y autorise….
- Heu …Oui … Maître tout à fait, je vous prie d'accepter mes excuses, cela ne se reproduira plus.
- Excuses acceptées, mais tu seras tout de même punie mais plus tard en attendant fais ce que je t'ai ordonné, chienne.
- Maître, puis-je émettre une suggestion quant au massage d’Aline ?, intervint Clémence- Je t'écoute, Ma belle.
- Je sais qu'Aline est très bonne, certes, en massage du dos mais aussi du crâne ce qui est très relaxant, aux dires de Louis-Etienne, qui est sujet aux migraines et votre récent voyage a dû être éprouvant et je me disais qu’elle pourrait avec votre accord, vous masser la tête et ensuite descendre sur la nuque et le dos ?
- J'accepte et toi la chienne, tâche de me satisfaire sinon c'est ton amie qui le payera.
Alors Aline pour obéir à ce qu'il lui était exigé n'avait d'autre choix que de se mettre à califourchon sur le dos musclé de Ronan qui sentant sa fente humide sur son dos l'excita plus qu'il ne l'était déjà, mais se contint. Aline avec autant de douceur que de savoir-faire lui massa et caressa ses cheveux qu'elle trouva très doux pour un homme, puis descendit sur la nuque puis du aussi se reculer jusqu'à être toujours à califourchon dans le bas du dos de Ronan qui lui dit.
- Recule encore pour être assise sur mon cul, petite salope.
Ce qu'elle fit avant de lui masser les épaules et le dos. A ce moment-là, elle se posa une question qui la tracassait et ne savait si elle pouvait la poser ou non et elle finit par choisir de la poser, quitte à être punie...
- Maître, je suis désolée, mais me permettez-vous une question ?
- Comme si c'était le moment … Maintenant que tu m'as interrompu dans mes pensées, vas- y.
- Maître, je sens que vous êtes réellement tendu alors voulez-vous que je vous détende au risque de vous faire légèrement mal ou je vous fais juste un massage superficiel?
- Superficiel car pour ôter mes tensions, je verrais plus tard.
Aline le massa alors plus doucement que si elle voulait vraiment défaire les nœuds qu'elle sentait dans ses muscles. Quand elle eut terminé, elle descendit de la couche et se mit à genoux à côté de Clémence. Quant à lui, il s'assit sur le bord de sa couche et les regarda en silence un moment.
- Bien Aline, je suis satisfait. J'ai une question à vous poser mes belles petites chiennes et j'exige que vous me répondiez chacune sincèrement car j'ai conscience que ce que je vais vous ordonner ou pas de faire pourrait être au- dessus de vos limites. Si je vous ordonne de vous toucher et de vous donner du plaisir mutuellement, cela vous pose t’il problème ? Clémence, toi d'abord pour me répondre.
- Hé bien Maître, j'avoue que votre question me surprend, en réalité la situation ne s'est jamais présentée mais pour ma part, je crois que je n'y vois pas d'inconvénients.
- Bien et toi Aline ?.
- Contrairement à Clémence, j’ai déjà pratiqué cela mais une seule fois, je n'y vois pas non plus d'inconvénients.
- Fort bien dans ce cas Clémence, tu vas venir t'empaler sur ma noble queue qui n'attend que ta petite chatte de chienne en chaleur. Et toi Aline, tu vas me donner aussi ta petite chatte à lécher et comme vous vous ferez face donner-vous du plaisir l'une à l'autre en vous caressant et vous embrassant….
Ronan se mit donc sur le dos et les deux soumises dans la position exigée. Clémence s'empala avec une exquise et extrême lenteur sur cette grosse bite dressée qu'elle savourait de sentir en elle et Aline se positionna de façon à pouvoir se faire lécher par le Dominant. Au début, elles furent un peu hésitantes à se toucher l'une à l'autre mais l'excitation aidant, très vite l'une allant et venant sur le membre tendu commença à caresser les cheveux de son amie et celle-ci répondit à ses caresses et lui caressant gentiment ses seins et ses tétons, puis les pinça entre ses doigts. Clémence fit de même tant leurs besoins étaient presque identiques. Elles s’embrassaient à pleine haleine, leurs bouches grandes ouvertes à se rouler des patins comme de véritables lesbiennes mélangeant leur langue et salive. Aline mouillait abondamment ce qui n'était pas pour déplaire au jeune Maître qui ne se lassait jamais du délice des plaisirs féminins intimes. Et tous les trois furent très vite sur le point de jouir, Aline et Clémence savaient qu'elles devaient attendre l'autorisation du Dominant pour se lâcher. Après quelques minutes de va-et-vient tantôt rapides, tantôt plus lents de Clémence qui chevauchait Ronan, celui-ci souleva les fesses d'Aline pour pouvoir dire.
- Jouissez Mes salopes, je le veux.
Toutes deux explosèrent en même temps dans un orgasme formidablement puissant. Puis sur ordre du Maître, elles se retirèrent de leurs position et Ronan se redressa et prit Clémence dans ses bras et lança à Aline.
- Toi la chienne, suce-moi et ne t'occupe pas de ce que je fais avec chienne .Clémence …
Alors Aline le suça avec tout le savoir-faire dont elle était capable pendant que Ronan et Clémence étaient enlacés et s'embrassaient avec passion. Clémence pour la première fois gouta le gout de la cyprine de son amie qui emplissait encore la bouche de Ronan. Quand ce dernier sentit qu'il n'allait pas tarder à jouir.
- Bien ça suffit, descend et attend à genoux en silence. Quant à toi, Ma belle salope, tu vas continuer et je te ferais l'honneur de Ma noble semence. Celle-là ne la mérite pas, dit-il en regardant Aline.
Clémence obéit, non sans une pensée pour son amie privée d'un si grand honneur. Elle prit la verge alors gorgée d’excitation et de plaisirs prêts à exploser et en seulement quelques va-et-vient, Ronan jouit abondamment en jets forts et saccadés de sperme chaud et épais. La belle soumise avala la moindre goutte de celui avec qui elle allait partager sa vie, puis le nettoya consciencieusement jusqu'à le rendre propre et qu'il n'y ait plus aucunes petites traces de sa jouissance.
- Merci Maître, pour m'avoir fait l'honneur de votre si divin nectar.
- Viens Ma salope, je vais te prendre dans mes bras et réfléchir à la punition de cette chienne Aline.
Aline resta au pied de la couche à genoux attendant la sanction tout en entendant les baisers et caresses de Ronan et Clémence. Pour elle, cela était déjà en soi, une punition en plus d'avoir été privée de la jouissance du Maître. Mais cela, il le savait parfaitement et ça faisait partie de la punition.
- J’ai trouvé ta punition, ce sera 30 coups de martinet dont 10 qui te seront donnés par Clémence.
Là, ce fut Clémence qui se mit aux pieds de Ronan.
- Maître, je ne vous en supplie … Pas ça, je ne peux faire ça à Aline, s'il vous plait.
- Obéit et c'est tout et si je constate que tu te retiens pour frapper, tu en auras le double est ce clair ?
- Oui Maître, tout ce que vous exigerez, dit- elle résignée.
- Va chercher mon martinet, tu commenceras.
Clémence alla donc chercher le martinet de Ronan et en revenant son regard croisa celui d'Aline et elle lut dans son regard "ne te retiens pas, je peux supporter ça". Aline se mit alors en position avant que Clémence ne commence, il ajouta.
- Tu te tais, je ne veux rien entendre, rien pas un bruit et pas le moindre mouvement… Commence Ma chienne
Clémence mit toute la force de son caractère car elle n’appréciait pas du tout à devoir punir. De plus, cela n’était jamais arrivé et c'est tout juste si cela ne lui faisait pas plus mal qu'à sa sœur de soumission de devoir elle-même la punir. Quand elle eut fini les 10 coups de martinet, elle tomba à genoux, tête baissée tenant le martinet dans ses mains. Ronan s'approcha d'elle et la releva doucement et la fit assoir sur un fauteuil tout proche en lui caressant les cheveux tendrement et revient près d'Aline qui avait déjà les fesses bien rougies par les coups portés par Clémence.
- A nous deux, salopes ! Ah oui petite précision avec moi, tu comptes et tu me remercies entre chaque coup.
Ronan lui asséna le premier coup.
- Un, merci Maître. (elle ne put s’empêcher d’émettre un cri de surprise plus que de douleur)- Tu as crié, salope. Alors, je recommence. (Il frappa une seconde fois).
- Un, merci Maître.
- ...
- 11, merci Maître.
- 12, merci Maître - ...
- 20, merci Maître. Je vous remercie d'avoir pris de votre temps pour me corriger.
- Bien… Cette fois, tu es totalement pardonnée. Aller, il est tard, vous allez toutes les deux avoir l'honneur de partager ma couche cette nuit… Mais je saurai vous utiliser selon mes envies et à toute heure de la nuit, vous risquez d’être réveillées pour que je puisse me soulager dans un de vos orifices …
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