Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1286) -
La vie au Château reprenait son court normal. Clémence était rentrée chez elle avec du bonheur de retrouver sa mère, sa sœur et son frère mais aussi avec des sentiments partagés car elle aimait sa vie au Château avec Ronan, bien entendu, mais aussi Enguerrand et Antonin (ses cousins). Elle s’entendait très bien aussi avec Chloris qui était devenue au fil du temps sa meilleure amie et sa confidente, en l’absence de sa sœur jumelle, et aussi avec le Seigneur d’Evans, son oncle, qu’elle avait encore du mal à considérer comme tel, mais commençait à se permettre un peu plus de liberté en Sa présence … Quelques jours plus tard, au Château, le Seigneur d’Evans fit appeler Antonin dans Son cabinet de travail. Il frappa à la porte et entra avec Chloris.
- Chloris, j’ai à m’entretenir Seul avec Antonin en privé.
- Tu vois, je t’avais dit qu’Il voulait te voir seul, répliqua Chloris parlant à Antonin (Puis s’adressant au Seigneur) - Il n’y a aucun problème, je dois une revanche à Enguerrand au jeu du Chatrang (l'ancêtre du jeu d'échecs), je serais dans la bibliothèque.
Et elle sortit en se disant que le temps était idéal pour une partie de Chatrang car il pleuvait cet après-midi.
- Charles, qu’est-ce que cela signifie ? Tu sais que je n’ai pas de secret pour ma femme.
- Loin de Moi, l’intention de lui cacher quoi que ce soit, mais je devais t’en parler avant. Nous sommes convoqués, Moi, Mes enfants et toi à la cour du Roi au Château de Vincennes.
- Pardon mais pourquoi ?
- Je l’ignore mais il y a aussi ta grand-mère.
- Malgré tout le respect que j’ai pour notre bon roi, je ne vois pas ce qu’il nous veut et encore moins à ma grand-mère ?
- Nous sommes convoqués dans huit jours, ce n’est pas de trop pour nous préparer sans compter le temps du trajet.
- Et Ma Chloris et ton Château, qui va s’en occuper ?
- Chloris ira au manoir de Maisondieu et ce sera Messire Léon qui s’occupera du Château, nous savons nous défendre et en plus nous serons escortés par mes meilleurs gardes en cas d’attaques de brigands de grands chemins.
- Bien, je vais prévenir Chloris, j’irai dès demain la conduire et passerai chercher ma grand-mère en revenant.
- Parfait. Envoie-Moi Ronan et Enguerrand ?
- Oui, bien sûr (et il sortit).
Antonin mit Chloris au courant. Elle était très dépitée et même un peu en colère due à l’inquiétude de ne pas savoir de quoi il s’agissait.
- Qu’est- ce qu’il vous veut le roi ? Et ta pauvre grand-mère ? La convoquer ainsi à son âge !
- Calme toi Ma belle, je ne sais pas ce qu’il nous veut mais tout ira bien, tu as confiance en moi.
- Evidemment, tu penses que c’est en rapport avec l’enlèvement de Clémence et Sophie ??
- Peut être ! Tu sais que notre expédition de sauvetage à fait le tour du royaume, un Grand et Noble Seigneur qui va Lui-même au secours de Sa nièce ça passe, mais au secours de Sa soumise il y en a peu, malheureusement, qui s’en serait soucier genre une de plus ou une de moins quelle différence ?
- Je sais tu as raison pour Lui, Ses soumises ont autant de valeurs que les membres de Sa famille.
- Hé oui, et c’est à cela qu’on reconnait les bons de mauvais Maîtres.
Antonin conduisit donc Chloris au manoir de Maisondieu où la Comtesse lui annonça qu’elle aussi était convoquée et serait du voyage.
- C’est de plus en plus étrange. Bien ma tante, nous y allons ?
- Louis-Etienne, tu es responsable de cette maison et je te confie tes sœurs et notre invitée. Veille à ce que son séjour soit le plus agréable possible.
- Ne t’inquiète pas, ça ira.
Après qu’Antonin soit passé chercher sa grand-mère, ceux-ci et sa tante rentrent au Château en soirée. Après le repas Antonin et le Seigneur d’Evans se retrouvèrent seuls à discuter du voyage, quand ils décidèrent d’aller se coucher Antonin demanda :
- Pourrais-tu Me prêter Marion, pour la nuit ?
- Oui, mais tâche d’être en forme car nous partons de bonne heure demain matin répondit le Seigneur d’Evans…
Marion se présenta à la porte de la chambre d’Antonin et entra après avoir frappé et elle se mit au centre de la pièce à genoux, tête baissée, mains dans le dos et attendit. Antonin s’approcha de Marion et lui mit en bandeau sur les yeux :
- Cette nuit sera relativement calme, car je dois me reposer mais avant j’ai besoin de me détendre et si tu me satisfais, ce dont je ne doute pas, tu seras récompensée.
Marion leva la tête, signe qu’elle demandait la parole.
- Tu peux parler.
- Monsieur le Duc, je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et vous remercie de me récompenser mais je ne fais là que mon devoir de soumise.
- Tu sais Marion, si je n’avais pas rencontré Ma Chloris que j’aime, j’avoue que tu m’aurais attiré par ta franchise naïve, ton imagination et ton sourire qui, malgré ce que tu as vécu dans cet affreux couvent, ne t’as jamais quitté et aussi et surtout ta fidélité et ta confiance sans faille au Maître à qui tu appartiens et à tous ceux à qui Il daigne te prêter, dont moi.
- Merci Messire, je ne sais que répondre.
- Alors ne répond rien petite chienne… Et savoure le moment d’être avec moi… Debout, immédiatement.
Antonin la saisit par la taille et l’attira à lui. Marion sentit l’excitation érectile de l’homme contre son ventre. Il était nu en effet car il s’était dévêtu le temps qu’il lui avait parlé. Il l’embrassa d’un baiser fougueux et dominant. Puis Antonin l’entraina à sa suite, jusqu’à un siège sans accoudoirs. Il s’assit et ordonna à Marion de venir à califourchon sur lui, une jambe de chaque côté de ses cuisses et ainsi il la fit s’empaler sur sa verge fièrement dressée. Bien que peu habituée à cette pratique, Marion adorait se sentir ainsi autant remplie. Antonin commença ses mouvements de bassin et Marion se tenait au dossier et elle dégoulinait littéralement, son orgasme montait à la vitesse grand V et elle craignait de craquer mais ce fut Antonin qui jouit le premier dans des longs râles orgasmiques alors qu’il se vidait au fond de la chatte de la belle. Mais il jouit sans lui accorder le droit à la jouissance. Il l’aida à se dégager la fit mettre à genoux afin qu’elle nettoie sa verge encore en semi érection.
- Tu peux me répondre, est-ce que le martinet et la fessée t’excitent, salope ?
- Heu … oui Monsieur le Duc, les deux m’excitent, répondit-elle légèrement honteuse.
- Alors sur ma couche et sur le ventre, salope. (Antonin attrapa avec un martinet)- Gémis, cries si tu veux, mais tu ne jouis pas, chienne, suis- je clair ?
- Oui Messire, très clair.
Les coups tombaient régulier, précis et mesurés car Antonin ne voulait pas réellement lui faire mal mais juste accentuer son excitation. Marion gémissait de plaisirs mais aussi de ce doux supplice de retenir son orgasme, prêt à éclater car chaque coup lui chauffait la peau et lui provoquait des spasmes de plaisirs faisant monter son excitation à la limite de la jouissance, et lui faisait également dégouliner sa cyprine sur ses cuisses.
- Sur le dos, maintenant.
Antonin se mit au-dessus d’elle et lui caressa son visage et doucement ses lèvres. Puis descendant doucement vers ses seins aux tétons dressés et si réceptifs, il les malaxa, étira, vrilla, massa tendrement pour ensuite les embrasser, les sucer et les mordre légèrement. Ensuite, il continua à descendre jusqu’à la chatte trempée et la fouilla de sa langue chaque coins et recoins de ce sexe féminin si chaud et humide, comme il aimait. Marion, elle, n’en pouvait plus et allait craquer dans un violent orgasme, quand elle entendit.
- Jouit, salope, je le veux.
Alors, la belle Marion lâcha une quantité impressionnante de cyprine de cet orgasme si longtemps contenu, ses spasmes s’étaient transformés en de si agréables décharges électriques de plaisirs, elle coulait littéralement d’un orgasme atomique inondant le visage et la bouche d’Antonin qui se régalait de ce plaisir féminin lâché abondamment. Puis relevant la tête.
- Regarde ce que tu as fait, chienne, tu m’en as mis partout. Couche-toi en travers de mes genoux, tu mérites d’être fessée pour ça.
Antonin ne lui en voulait pas réellement mais il voulait l’exciter à nouveau voulant encore la faire jouir. Et il lui fessa le cul arrondi par des claques cinglantes qui eurent vite l’effet escompté. Marion sentait un nouvel orgasme monter en elle. Il ne se contentait pas uniquement de la fesser, car il alternait avec des caresses sur chaque fesse et des fouillages de ses larges doigts dans la chatte de la belle, pour l’exciter encore plus mais aussi pour vérifier son taux d’humidité, d’excitation. Et il y trouva une abondante mouille à chaque vérification digitale. Ensuite, Antonin se coucha sur le dos et lui dit.
- Tu vas commencer par nettoyer mon visage de ta langue de chienne et après tu viendras de nouveau t’empaler sur ma verge.
Marion approcha sa langue douce et soyeuse du beau visage d’Antonin et le nettoya impeccablement. Ensuite elle alla s’empaler sur sa verge comme exigé et elle trouva un sublime plaisir à se sentir ainsi remplie jusqu’à la garde.
- Donne-moi du plaisir, tout en t’excitant, vas-y, tu as le champ libre.
Marion commença à s’exciter frottant sa fente sur cette belle queue bien dure et bien dressée à la verticale, qui l’excitait et titillait son clitoris si réceptif. Puis Marion entreprit de monter et descendre jouant sur les articulations des genoux pour trouver une cadence régulière et lente, Antonin saisit ses seins et de ses mains malaxa ses tétons toujours aussi excités et dressés. Tous les deux étaient sur le point de jouir, quand il s’exclama entre deux râles :
- Maintenant, salope, jouit, je l’exige…
Et ce fut de concert, qu’ils jouirent à n’en plus finir de cris et de longs râles de plaisirs orgasmiques voire séismiques. Puis Marion s’écroula, couchée sur le corps d’Antonin. Quand ils eurent repris un peu leur esprit, elle se dégagea et se mit à genoux à côté de la couche.
- Marion, sache que tu m’as plus que satisfait. Tu as donc droit à la récompense que je t’ai promise : Tout d’abord tu vas rester ici et reprendre ton souffle, le temps que j’aille me laver dans le grand baquet. Ensuite, tu iras à ton tour et tu auras de l’eau tiède et tu me rejoindras.
Antonin avait, avant l’arrivée de Marion, fait monter des seaux d’eau chaude et à présent sans doute tiède. Quand Marion eut terminé, elle alla le rejoindre, il était déjà couché :
- Vient près de moi, je t’autorise à partager ma couche cette nuit, lui lança Antonin.
Antonin l’enlaça tendrement et c’est ainsi enlacé qu’ils s’endormirent Marion, la tête sur le torse d’Antonin.
Au matin, il fut le premier à se réveiller de très bonne heure, il se lava sans réveiller Marion et prépara ses affaires en silence pour partir, mais avant il décida de la réveiller un peu.
- Marion…Marion
Marion ouvrit les yeux et voulut se lever et lui présenter ses excuses de ne pas s’être réveillée la première, mais il l’arrêta la forçant à rester couchée.
- Reste couchée ma belle petite chienne, dors encore et profite-en. Je dois partir…
Et après un bref baiser, il quitta la pièce…. Il rejoignit les autres pour le grand départ jusqu’à la cour du roi. Le trajet jusqu’au palais du roi se passa sur plusieurs jours et sans le moindre incident notable et lors du dernier jour de carrosse, c’est relativement tard qu’ils arrivèrent. Ce fut le premier valet de chambre du roi qui les reçut, une fois qu’ils se firent annoncer auprès des gardes royaux.
- Sa Majesté vous recevra demain soir après le banquet donné à votre intention.
Le Seigneur d’Evans demanda.
- Cher Monsieur Bontemps, pourriez-vous nous dire de quoi le roi veut nous entretenir ? Sa convocation ne contenait aucune information à ce sujet ?
- Je n’ai pas pouvoir de communiquer le contenu des convocations de Sa Majesté … (mais voyant leur visages interrogatifs et inquiet il ajouta,) … mais rassurez-vous, Sa Majesté ne vous reproche rien… - Bien. Nous verrons bien, alors. Et savourons l’honneur d’être appelé à Ses côtés.
- Souhaitez-vous souper dans vos chambres ou dans le petit salon ?
- Le voyage fut éprouvant surtout pour ces dames, nous mangerons dans nos chambres.
Exceptés Ronan et Enguerrand qui partageaient la même chambre, tous avait leur propre chambre dans l’aile réservée aux invités de marques…
(A suivre …)
La vie au Château reprenait son court normal. Clémence était rentrée chez elle avec du bonheur de retrouver sa mère, sa sœur et son frère mais aussi avec des sentiments partagés car elle aimait sa vie au Château avec Ronan, bien entendu, mais aussi Enguerrand et Antonin (ses cousins). Elle s’entendait très bien aussi avec Chloris qui était devenue au fil du temps sa meilleure amie et sa confidente, en l’absence de sa sœur jumelle, et aussi avec le Seigneur d’Evans, son oncle, qu’elle avait encore du mal à considérer comme tel, mais commençait à se permettre un peu plus de liberté en Sa présence … Quelques jours plus tard, au Château, le Seigneur d’Evans fit appeler Antonin dans Son cabinet de travail. Il frappa à la porte et entra avec Chloris.
- Chloris, j’ai à m’entretenir Seul avec Antonin en privé.
- Tu vois, je t’avais dit qu’Il voulait te voir seul, répliqua Chloris parlant à Antonin (Puis s’adressant au Seigneur) - Il n’y a aucun problème, je dois une revanche à Enguerrand au jeu du Chatrang (l'ancêtre du jeu d'échecs), je serais dans la bibliothèque.
Et elle sortit en se disant que le temps était idéal pour une partie de Chatrang car il pleuvait cet après-midi.
- Charles, qu’est-ce que cela signifie ? Tu sais que je n’ai pas de secret pour ma femme.
- Loin de Moi, l’intention de lui cacher quoi que ce soit, mais je devais t’en parler avant. Nous sommes convoqués, Moi, Mes enfants et toi à la cour du Roi au Château de Vincennes.
- Pardon mais pourquoi ?
- Je l’ignore mais il y a aussi ta grand-mère.
- Malgré tout le respect que j’ai pour notre bon roi, je ne vois pas ce qu’il nous veut et encore moins à ma grand-mère ?
- Nous sommes convoqués dans huit jours, ce n’est pas de trop pour nous préparer sans compter le temps du trajet.
- Et Ma Chloris et ton Château, qui va s’en occuper ?
- Chloris ira au manoir de Maisondieu et ce sera Messire Léon qui s’occupera du Château, nous savons nous défendre et en plus nous serons escortés par mes meilleurs gardes en cas d’attaques de brigands de grands chemins.
- Bien, je vais prévenir Chloris, j’irai dès demain la conduire et passerai chercher ma grand-mère en revenant.
- Parfait. Envoie-Moi Ronan et Enguerrand ?
- Oui, bien sûr (et il sortit).
Antonin mit Chloris au courant. Elle était très dépitée et même un peu en colère due à l’inquiétude de ne pas savoir de quoi il s’agissait.
- Qu’est- ce qu’il vous veut le roi ? Et ta pauvre grand-mère ? La convoquer ainsi à son âge !
- Calme toi Ma belle, je ne sais pas ce qu’il nous veut mais tout ira bien, tu as confiance en moi.
- Evidemment, tu penses que c’est en rapport avec l’enlèvement de Clémence et Sophie ??
- Peut être ! Tu sais que notre expédition de sauvetage à fait le tour du royaume, un Grand et Noble Seigneur qui va Lui-même au secours de Sa nièce ça passe, mais au secours de Sa soumise il y en a peu, malheureusement, qui s’en serait soucier genre une de plus ou une de moins quelle différence ?
- Je sais tu as raison pour Lui, Ses soumises ont autant de valeurs que les membres de Sa famille.
- Hé oui, et c’est à cela qu’on reconnait les bons de mauvais Maîtres.
Antonin conduisit donc Chloris au manoir de Maisondieu où la Comtesse lui annonça qu’elle aussi était convoquée et serait du voyage.
- C’est de plus en plus étrange. Bien ma tante, nous y allons ?
- Louis-Etienne, tu es responsable de cette maison et je te confie tes sœurs et notre invitée. Veille à ce que son séjour soit le plus agréable possible.
- Ne t’inquiète pas, ça ira.
Après qu’Antonin soit passé chercher sa grand-mère, ceux-ci et sa tante rentrent au Château en soirée. Après le repas Antonin et le Seigneur d’Evans se retrouvèrent seuls à discuter du voyage, quand ils décidèrent d’aller se coucher Antonin demanda :
- Pourrais-tu Me prêter Marion, pour la nuit ?
- Oui, mais tâche d’être en forme car nous partons de bonne heure demain matin répondit le Seigneur d’Evans…
Marion se présenta à la porte de la chambre d’Antonin et entra après avoir frappé et elle se mit au centre de la pièce à genoux, tête baissée, mains dans le dos et attendit. Antonin s’approcha de Marion et lui mit en bandeau sur les yeux :
- Cette nuit sera relativement calme, car je dois me reposer mais avant j’ai besoin de me détendre et si tu me satisfais, ce dont je ne doute pas, tu seras récompensée.
Marion leva la tête, signe qu’elle demandait la parole.
- Tu peux parler.
- Monsieur le Duc, je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et vous remercie de me récompenser mais je ne fais là que mon devoir de soumise.
- Tu sais Marion, si je n’avais pas rencontré Ma Chloris que j’aime, j’avoue que tu m’aurais attiré par ta franchise naïve, ton imagination et ton sourire qui, malgré ce que tu as vécu dans cet affreux couvent, ne t’as jamais quitté et aussi et surtout ta fidélité et ta confiance sans faille au Maître à qui tu appartiens et à tous ceux à qui Il daigne te prêter, dont moi.
- Merci Messire, je ne sais que répondre.
- Alors ne répond rien petite chienne… Et savoure le moment d’être avec moi… Debout, immédiatement.
Antonin la saisit par la taille et l’attira à lui. Marion sentit l’excitation érectile de l’homme contre son ventre. Il était nu en effet car il s’était dévêtu le temps qu’il lui avait parlé. Il l’embrassa d’un baiser fougueux et dominant. Puis Antonin l’entraina à sa suite, jusqu’à un siège sans accoudoirs. Il s’assit et ordonna à Marion de venir à califourchon sur lui, une jambe de chaque côté de ses cuisses et ainsi il la fit s’empaler sur sa verge fièrement dressée. Bien que peu habituée à cette pratique, Marion adorait se sentir ainsi autant remplie. Antonin commença ses mouvements de bassin et Marion se tenait au dossier et elle dégoulinait littéralement, son orgasme montait à la vitesse grand V et elle craignait de craquer mais ce fut Antonin qui jouit le premier dans des longs râles orgasmiques alors qu’il se vidait au fond de la chatte de la belle. Mais il jouit sans lui accorder le droit à la jouissance. Il l’aida à se dégager la fit mettre à genoux afin qu’elle nettoie sa verge encore en semi érection.
- Tu peux me répondre, est-ce que le martinet et la fessée t’excitent, salope ?
- Heu … oui Monsieur le Duc, les deux m’excitent, répondit-elle légèrement honteuse.
- Alors sur ma couche et sur le ventre, salope. (Antonin attrapa avec un martinet)- Gémis, cries si tu veux, mais tu ne jouis pas, chienne, suis- je clair ?
- Oui Messire, très clair.
Les coups tombaient régulier, précis et mesurés car Antonin ne voulait pas réellement lui faire mal mais juste accentuer son excitation. Marion gémissait de plaisirs mais aussi de ce doux supplice de retenir son orgasme, prêt à éclater car chaque coup lui chauffait la peau et lui provoquait des spasmes de plaisirs faisant monter son excitation à la limite de la jouissance, et lui faisait également dégouliner sa cyprine sur ses cuisses.
- Sur le dos, maintenant.
Antonin se mit au-dessus d’elle et lui caressa son visage et doucement ses lèvres. Puis descendant doucement vers ses seins aux tétons dressés et si réceptifs, il les malaxa, étira, vrilla, massa tendrement pour ensuite les embrasser, les sucer et les mordre légèrement. Ensuite, il continua à descendre jusqu’à la chatte trempée et la fouilla de sa langue chaque coins et recoins de ce sexe féminin si chaud et humide, comme il aimait. Marion, elle, n’en pouvait plus et allait craquer dans un violent orgasme, quand elle entendit.
- Jouit, salope, je le veux.
Alors, la belle Marion lâcha une quantité impressionnante de cyprine de cet orgasme si longtemps contenu, ses spasmes s’étaient transformés en de si agréables décharges électriques de plaisirs, elle coulait littéralement d’un orgasme atomique inondant le visage et la bouche d’Antonin qui se régalait de ce plaisir féminin lâché abondamment. Puis relevant la tête.
- Regarde ce que tu as fait, chienne, tu m’en as mis partout. Couche-toi en travers de mes genoux, tu mérites d’être fessée pour ça.
Antonin ne lui en voulait pas réellement mais il voulait l’exciter à nouveau voulant encore la faire jouir. Et il lui fessa le cul arrondi par des claques cinglantes qui eurent vite l’effet escompté. Marion sentait un nouvel orgasme monter en elle. Il ne se contentait pas uniquement de la fesser, car il alternait avec des caresses sur chaque fesse et des fouillages de ses larges doigts dans la chatte de la belle, pour l’exciter encore plus mais aussi pour vérifier son taux d’humidité, d’excitation. Et il y trouva une abondante mouille à chaque vérification digitale. Ensuite, Antonin se coucha sur le dos et lui dit.
- Tu vas commencer par nettoyer mon visage de ta langue de chienne et après tu viendras de nouveau t’empaler sur ma verge.
Marion approcha sa langue douce et soyeuse du beau visage d’Antonin et le nettoya impeccablement. Ensuite elle alla s’empaler sur sa verge comme exigé et elle trouva un sublime plaisir à se sentir ainsi remplie jusqu’à la garde.
- Donne-moi du plaisir, tout en t’excitant, vas-y, tu as le champ libre.
Marion commença à s’exciter frottant sa fente sur cette belle queue bien dure et bien dressée à la verticale, qui l’excitait et titillait son clitoris si réceptif. Puis Marion entreprit de monter et descendre jouant sur les articulations des genoux pour trouver une cadence régulière et lente, Antonin saisit ses seins et de ses mains malaxa ses tétons toujours aussi excités et dressés. Tous les deux étaient sur le point de jouir, quand il s’exclama entre deux râles :
- Maintenant, salope, jouit, je l’exige…
Et ce fut de concert, qu’ils jouirent à n’en plus finir de cris et de longs râles de plaisirs orgasmiques voire séismiques. Puis Marion s’écroula, couchée sur le corps d’Antonin. Quand ils eurent repris un peu leur esprit, elle se dégagea et se mit à genoux à côté de la couche.
- Marion, sache que tu m’as plus que satisfait. Tu as donc droit à la récompense que je t’ai promise : Tout d’abord tu vas rester ici et reprendre ton souffle, le temps que j’aille me laver dans le grand baquet. Ensuite, tu iras à ton tour et tu auras de l’eau tiède et tu me rejoindras.
Antonin avait, avant l’arrivée de Marion, fait monter des seaux d’eau chaude et à présent sans doute tiède. Quand Marion eut terminé, elle alla le rejoindre, il était déjà couché :
- Vient près de moi, je t’autorise à partager ma couche cette nuit, lui lança Antonin.
Antonin l’enlaça tendrement et c’est ainsi enlacé qu’ils s’endormirent Marion, la tête sur le torse d’Antonin.
Au matin, il fut le premier à se réveiller de très bonne heure, il se lava sans réveiller Marion et prépara ses affaires en silence pour partir, mais avant il décida de la réveiller un peu.
- Marion…Marion
Marion ouvrit les yeux et voulut se lever et lui présenter ses excuses de ne pas s’être réveillée la première, mais il l’arrêta la forçant à rester couchée.
- Reste couchée ma belle petite chienne, dors encore et profite-en. Je dois partir…
Et après un bref baiser, il quitta la pièce…. Il rejoignit les autres pour le grand départ jusqu’à la cour du roi. Le trajet jusqu’au palais du roi se passa sur plusieurs jours et sans le moindre incident notable et lors du dernier jour de carrosse, c’est relativement tard qu’ils arrivèrent. Ce fut le premier valet de chambre du roi qui les reçut, une fois qu’ils se firent annoncer auprès des gardes royaux.
- Sa Majesté vous recevra demain soir après le banquet donné à votre intention.
Le Seigneur d’Evans demanda.
- Cher Monsieur Bontemps, pourriez-vous nous dire de quoi le roi veut nous entretenir ? Sa convocation ne contenait aucune information à ce sujet ?
- Je n’ai pas pouvoir de communiquer le contenu des convocations de Sa Majesté … (mais voyant leur visages interrogatifs et inquiet il ajouta,) … mais rassurez-vous, Sa Majesté ne vous reproche rien… - Bien. Nous verrons bien, alors. Et savourons l’honneur d’être appelé à Ses côtés.
- Souhaitez-vous souper dans vos chambres ou dans le petit salon ?
- Le voyage fut éprouvant surtout pour ces dames, nous mangerons dans nos chambres.
Exceptés Ronan et Enguerrand qui partageaient la même chambre, tous avait leur propre chambre dans l’aile réservée aux invités de marques…
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