L’ÉCOLE MATERNELLE. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’ÉCOLE MATERNELLE. (1)
Marié depuis mes dix-huit ans, j’ai un petit garçon de quatre ans.
À vingt-deux ans Hubert, sexuellement et intellectuellement me comble.
Pilote de ligne sur notre compagnie national sur long-courrier le seul point noir est qu’il me quitte fréquemment pour des longs jours.
Depuis l’âge de quinze ans, j’ai découvert le jeu des sexes.
Maman me disait toujours Anne, tu vas te perdre à papillonner comme tu le fait.
Je l’entendais, mais le soir même, il me fallait un sexe en moi pour assouvir la démangeaison qui a démarré le jour où Gaétan m’a dépucelé.
En un mot, j’étais devenu une folle de mon cul.
Il était fréquent de me donner à deux voire trois garçons de mon immeuble dans la cave qu’ils avaient aménagés pour moi et ou ils aimaient à me retrouver.
Toujours protégé, je baisais comme j’aimais et j’avais l’insouciance de ma jeunesse même si, dans cette période d’insouciance peu de filles se donnaient autant que je me donnais.
Et il y a eu Hubert.
Hubert, je l’ai rencontré comme dit Bécaud dans sa chanson « un jour à Orly ».
Mes parents sentant qu’il fallait me sortir des mauvaises fréquentations que j’avais dans mon quartier ont décidé chaque week-end, seul moment ou ils peuvent me surveiller, de me faire découvrir d’autres endroits afin de parfaire ma culture.
À cette époque les marches sont rapidement devenues ma hantise, elles n’avaient aucun secret pour moi.
Tour Effel par les escaliers, les marches de l’arc de triomphe pour voir Paris de son sommet, les célèbres escaliers qui conduisent à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, même les marches du rocher du parc zoologique de Vincennes ont été mes sorties hebdomadaires et puis il y avait le samedi à Orly.
Originaires de Choisy-le-Roi, ses maudits avions nous passaient au-dessus de la tête une grande partie de la journée et jusqu’à plus de dix-sept ans, nous allions les regarder décoller.
Immuablement mon père gracieusement nous offrait une collation au restaurant-bar de l’aérogare.
Toutes les fois le seul moment d’intimité, c’était lorsque dans ce restaurant, il me laissait seule pour me rendre aux toilettes.
Je prenais mon temps à rester assis sur la lunette rêvant à de belles queues tout en me caressant jusqu’au moment où j’étais obligé de me mordre la lèvre pour éviter de faire profiter à mes voisines de mon orgasme.
Ce samedi comme tous les autres, je sortais de mon repère la chatte rassasiée jusqu’au soir ou je comptais bien rejoindre des bites sur pied.
• Pardon monsieur.
• Non, Mademoiselle, c’est moi qui vous ai fait tomber.
Ce bel homme d’une trentaine d’années était le prototype du pilote de ligne dans sa magnifique tenue que toute jeune fille rêve la nuit en se masturbant d’épouser.
Il me relève mais ma cheville sans que je le veuille à décider de participer à notre rencontre.
• Voulez-vous vous asseoir ?
Vous vous êtes fait mal à la cheville.
• Oui, merci, aidez-moi sinon je vais tomber.
Il me conduit à la table la plus proche et s’agenouille pour me masser la cheville endolorie.
• Déjà une demande en mariage, vous êtes un rapide, vous m’épousez sans me demander mon prénom.
• Et vous vous appelez comment.
• Vil suborneur, vous faites tombés des jeunes filles au simple faite de leur soutirer leur prénom, vous êtes comme tous les pilotes de ligne avec votre uniforme, vous croyez que toutes les jeunes filles mouillent en espérant vous épouser.
Vous m’airiez demandé simplement mon prénom, je vous aurais dit que je m’appelle Anne.
• Anne, j’aime ton humour moi, c’est Hubert.
• Et voilà déjà le tutoiement et dans cinq minutes, tu seras fou de moi.
• Cinq minutes, immédiatement, veux-tu m’épouser ?
C’est comme cela à quelques mètres de mon père et de ma mère que j’ai acceptée de devenir sa femme sans avoir échangé le moindre baisé.
C’est pendu à son bras alors qu’il tirait sa valise, car il revenait de la Réunion que je suis passé devant mes parents médusés de me voir partir avec un homme méconnu de moi quelques minutes avant.
Mon beau pilote m’a proposé de m’emmener visiter l’appartement dont il est le propriétaire sur les bords de Marne à Joinville-le-Pont.
Nous prenons un taxi qui nous dépose au pied d’un immeuble aux portes du bois de Vincennes.
Appartement quatre pièces que je visite avec plaisir surtout la terrasse qui donne sur la marne non loin du restaurant « chez Gégène. »De retour dans le séjour, j’ai trouvé Hubert en boxer tenu que je devais apprendre à voir, car dès qu’il est de retour à la maison été comme hiver, c’est la tenue qu’il adopte.
Moi qui saute au paf des copains dès que je suis avec eux, c’est homme d’âge plus grand que le mien m’intimide Hubert à juste dix ans de plus que moi et une vie amoureuse faite de rencontre d’un soir.
À la suite de quelle folie m’a-t-il demandé en mariage ou va-t-il me sauter et me dire que c’était une blague et que je peux rentrer chez mes parents.
• Tu as l’air timide, tu es vierge.
Je manque d’avoir un hoquet qui lui fait croire que je réponds oui.
• Viens dans mes bras que nous ayons notre premier baisé.
Au lieu de me poser des questions idiotes, arrache-moi mes affaires et, enfile-moi, un homme de ton âge doit savoir que ma chatte coule de plaisir simplement d’avoir vu la belle photographie que l’on voie de chez toi et que si tu me fais vivre ici, je serais la femme la plus heureuse au monde.
Je m’approche et c’est l’une des rares galoches que l’on m’est roulé, car mes copains font ce qu’ils veulent de mon corps à part leurs bouches avec ma bouche et ma rosette, la sodomie leur étant interdite.
C’est donc l’un des premiers baisers qu’un homme me donne et je dois dire que cela me plait assez.
Je glisse jusqu’à son sexe et je le sors de son écrin. Je contemple la bête, elle est dans la moyenne des bêtes que j’ai vue et qui m’ont enfilé.
• Tu peux éviter de me sucer si tu le désir,
S’il savait ce que je fais dans la cave, lorsque trois copains me prennent en main un part la chatte, jamais le cul un autre la bouche pour sucer, ajouter la branlette et tous les trois sont contents.
J’évite de passer pour la pute que je sais être aussi, je me relève et c’est sur le canapé que sa queue entre en moi.
• Je t’ai fait mal.
Certe, j’ai bougé, car je m’attendais que sa bouche vienne titiller mon clito, mais il me semble que pour lui les préliminaires sont superflus.
Pour rigoler, j’ai envie de jouer à la femme frigide.
• A chéri, je jouis, que ta queue est bonne, donne-moi ton sperme mon amour.
Je me garde bien de lui dire cela pour éviter ses soupçons sur la gourgandine que dans mon immeuble, je suis devenu.
Il décharge rapidement comme beaucoup d’hommes la première fois qu’il vous prend.
• Anne, excuse-moi, j’ai été égoïste, j’ai été trop rapide.
Je croyais que tu étais vierge.
• J’ai fait beaucoup de gymnastique, je suis tombé plusieurs fois à cheval sur la poutre, deux fois j’ai même saigné.
• Tu as dû te déchirer ton hymen et te dépuceler comme cela.
• Sûrement, c’est grave pour toi.
• Non, pas du tout j’ai été surpris de sortir mon sexe de ton vagin couvert de mon sperme et qu’aucune trace de sang n’apparaisse.
Laisse-moi me reposer et dans quelques minutes tu vas monter au ciel.
À la hauteur du balcon de l’appartement du dessus peut être, mais pour le septième ciel, je repasserais,Il faisait des efforts pourtant, mais étant une experte des galipettes avec les copains montrer une certaine expérience risquait de lui mettre la puce à l’oreille que la poutre de la salle de gymnastique avait bon dos pour mon hymen.
Rapidement après avoir été chercher mes affaires chez mes parents et que ma mère tombe follement amoureuse de son futur gendre qui dans le quartier va être paré de toutes les qualités possibles et le mari idéal pour moi, je prends possession de mon nouvel appartement.
Alors que je suis légèrement frustré par mon mari sexuellement ma chatte a tendance à me laisser en paix.
À quelques jours de mon mariage pour enterrer ma vie de jeune fille, j’ai bien eu l’idée d’aller revoir les copains dans la cave de mon immeuble mais la peur que ma mère ou mon père me voie doubler des trois semaines de vacances qu’Hubert à pris m’en dissuade.
Trois semaines car demain maman va m’aider à mettre ma robe blanche pour que mon père me conduise à la mairie de Choisy-le-roi où je vais dire oui à Hubert.
Beau mariage, beau parti, même si mon mari est bien plus vieux que moi. Ce que ma mère redoutait, c’est avéré inexact grace aux prières qu’elle faisait tous les jours, dans ma robe blanche aucun ballon indésirable, car de père inconnu n’est présent.
Après la mairie où mes parents étaient les témoins, c’est dans un restaurant très chic de Paris que nous sommes allés avant de prendre nos valises pour aller quinze jours à la réunion en voyage de noces.
Une grande partie du voyage, je l’ai passée seule mon époux ayant pris le chemin du poste de pilotage où un vieux copain de promotion l’a invitée à lui tenir compagnie.
Je suis assisse à côté de l’endroit où les hôtesses préparent ce que les passagers réclament.
• Ton mari exagère, te laisser seule en voyage de noces, il mériterait que tu le trompes.
• Tu t’appelles comment ?
• Véronique et toi ?
• Anne.
• L’âne s’est lui.
• Tu veux dormir, tous les passagers sont installés, j’ai un peu de temps à moi.
Je vais chercher une couverture, tu n’auras pas froid.
Lorsqu’elle revient, elle me place la couverture me cachant principalement le bas de mon corps.
Prestement elle s’assoit à la place d’Hubert et se place la couverture de la même manière.
Rapidement elle semble dormir, mais je suis la seule à savoir qu’il n’en est rien.
Sous la couverture sa main s’est glissée sur un de mes genoux.
Que vais-je faire si sa main remonte tout le long et atteint ma grotte qui s’est réveillée et qui dégouline d’envie ?
Le but de la main est tout autre, voyant qu’aucune réticence ne lui est opposée, elle remonte vers mon corsage défait deux boutons et alors qu’elle donne l’impression de dormir sur mon épaule, c’est mon sein qu’elle caresse.
Moment divin de la première fois.
Moi qui ai été une jeune fille dépravée jamais, l’idée qu’une main qui plus est celle d’une fille puisse me laisser entrevoir de nouveaux horizons. J’ignore la pratique des amours saphiques même si l’amour ente femme m’était connu.
Un coup d’œil dans les autres travées à notre hauteur les seules qui pourraient voir ce que nous faisons mais ce sont des enfants qui dorment à poing fermé.
Véronique écarte mon soutien-gorge et attaque mon sein le plus proche et très disponible.
C’est la première fois de ma vie que quelqu’un s’occupe de mes seins, à ce jour tous mes amants passés dans mes bras voulaient simplement mon cul.
Là, ce geste de tendresse fait de moi pour la première fois une femme mais surtout pas un garage à bite.
J’ai envie de l’embrasser, mais nos bouches sont mal placées pour se trouver.
Mon téton est bandé par la caresse et maintenant le pincement qu’elle lui procure en le prenant entre deux de ses doigts.
• Vas-y, arrache-le ?
C’est dans un souffle que je lui donne cet ordre inconscient et que je me livre à elle qui plus est pour qu’elle me fasse mal.
• Tu aimes avoir mal, on va bien s’entendre, j’adore m’occuper de petite cochonne comme toi.
J’avais bien repéré dans tes yeux que tu aimais souffrir.
À ce jour pas plus que cela mais mon téton qu’elle risque d’arracher si elle pince légèrement plus fort me fait sentir qu’au niveau de ma chatte cette douleur lui fait énormément plaisir.
Le sentiment, de peur que la situation insolite me procure, fait de moi la proie consentante à tout ce que Véronique décide d’entreprendre sur moi.
Elle glisse sa main plus loin, attrape son jumeau et lui fait subir le même traitement.
Même traitement même réaction ma chatte doit avoir mouillé ma jupe et attaquer le siège.
Chaque fois que nous nous parlons, nous chuchotons afin qu’au rang de derrière, ils ignorent que deux belles salopes se donnent du plaisir.
Deux belles salopes, plutôt une, car je suis peu active sur ma partenaire.
• Tu veux que je te caresse la chatte petit cœur.
• Oui.
Comment puis-je quémandé que cette jolie femme me donne le plaisir que mon mari devrait m’apporter ?
• Tu vois petite Anne, ta chatte m’intéresse mais pas aujourd’hui, je veux que tu sois accro à ce que je te fais, c’est à genoux demain que tu viendras me demander d’y mettre les doigts.
Je te veux pantelante d’envie pour que ma bouche dévore le joli abricot doré que ta vulve doit en avoir la forme.
Maintenant c’est toi qui vas me donner du plaisir avec ta main sur ma chatte,Dépêche-toi, j’ai horreur d’attendre.
Je me place sur le côté alors qu’elle se redresse semblant toujours dormir.
Ma main glisse jusqu’à sa jupe qui est largement remontée.
Je remonte quelques centimètres et je suis surprise, elle a oublié sa culotte.
J’ai un mouvement d’hésitation.
• Tu as toujours une culotte, dès que tu m’auras donné du plaisir, tu iras jusqu’aux toilettes et tu la jetteras définitivement, à ton hôtel, tu en feras de même avec toutes les autres, tant que je m’intéresse à toi il est hors de question que je sois obligé d’attendre pour t’avoir sous ma main.
Alors, j’attends…
À vingt-deux ans Hubert, sexuellement et intellectuellement me comble.
Pilote de ligne sur notre compagnie national sur long-courrier le seul point noir est qu’il me quitte fréquemment pour des longs jours.
Depuis l’âge de quinze ans, j’ai découvert le jeu des sexes.
Maman me disait toujours Anne, tu vas te perdre à papillonner comme tu le fait.
Je l’entendais, mais le soir même, il me fallait un sexe en moi pour assouvir la démangeaison qui a démarré le jour où Gaétan m’a dépucelé.
En un mot, j’étais devenu une folle de mon cul.
Il était fréquent de me donner à deux voire trois garçons de mon immeuble dans la cave qu’ils avaient aménagés pour moi et ou ils aimaient à me retrouver.
Toujours protégé, je baisais comme j’aimais et j’avais l’insouciance de ma jeunesse même si, dans cette période d’insouciance peu de filles se donnaient autant que je me donnais.
Et il y a eu Hubert.
Hubert, je l’ai rencontré comme dit Bécaud dans sa chanson « un jour à Orly ».
Mes parents sentant qu’il fallait me sortir des mauvaises fréquentations que j’avais dans mon quartier ont décidé chaque week-end, seul moment ou ils peuvent me surveiller, de me faire découvrir d’autres endroits afin de parfaire ma culture.
À cette époque les marches sont rapidement devenues ma hantise, elles n’avaient aucun secret pour moi.
Tour Effel par les escaliers, les marches de l’arc de triomphe pour voir Paris de son sommet, les célèbres escaliers qui conduisent à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, même les marches du rocher du parc zoologique de Vincennes ont été mes sorties hebdomadaires et puis il y avait le samedi à Orly.
Originaires de Choisy-le-Roi, ses maudits avions nous passaient au-dessus de la tête une grande partie de la journée et jusqu’à plus de dix-sept ans, nous allions les regarder décoller.
Immuablement mon père gracieusement nous offrait une collation au restaurant-bar de l’aérogare.
Toutes les fois le seul moment d’intimité, c’était lorsque dans ce restaurant, il me laissait seule pour me rendre aux toilettes.
Je prenais mon temps à rester assis sur la lunette rêvant à de belles queues tout en me caressant jusqu’au moment où j’étais obligé de me mordre la lèvre pour éviter de faire profiter à mes voisines de mon orgasme.
Ce samedi comme tous les autres, je sortais de mon repère la chatte rassasiée jusqu’au soir ou je comptais bien rejoindre des bites sur pied.
• Pardon monsieur.
• Non, Mademoiselle, c’est moi qui vous ai fait tomber.
Ce bel homme d’une trentaine d’années était le prototype du pilote de ligne dans sa magnifique tenue que toute jeune fille rêve la nuit en se masturbant d’épouser.
Il me relève mais ma cheville sans que je le veuille à décider de participer à notre rencontre.
• Voulez-vous vous asseoir ?
Vous vous êtes fait mal à la cheville.
• Oui, merci, aidez-moi sinon je vais tomber.
Il me conduit à la table la plus proche et s’agenouille pour me masser la cheville endolorie.
• Déjà une demande en mariage, vous êtes un rapide, vous m’épousez sans me demander mon prénom.
• Et vous vous appelez comment.
• Vil suborneur, vous faites tombés des jeunes filles au simple faite de leur soutirer leur prénom, vous êtes comme tous les pilotes de ligne avec votre uniforme, vous croyez que toutes les jeunes filles mouillent en espérant vous épouser.
Vous m’airiez demandé simplement mon prénom, je vous aurais dit que je m’appelle Anne.
• Anne, j’aime ton humour moi, c’est Hubert.
• Et voilà déjà le tutoiement et dans cinq minutes, tu seras fou de moi.
• Cinq minutes, immédiatement, veux-tu m’épouser ?
C’est comme cela à quelques mètres de mon père et de ma mère que j’ai acceptée de devenir sa femme sans avoir échangé le moindre baisé.
C’est pendu à son bras alors qu’il tirait sa valise, car il revenait de la Réunion que je suis passé devant mes parents médusés de me voir partir avec un homme méconnu de moi quelques minutes avant.
Mon beau pilote m’a proposé de m’emmener visiter l’appartement dont il est le propriétaire sur les bords de Marne à Joinville-le-Pont.
Nous prenons un taxi qui nous dépose au pied d’un immeuble aux portes du bois de Vincennes.
Appartement quatre pièces que je visite avec plaisir surtout la terrasse qui donne sur la marne non loin du restaurant « chez Gégène. »De retour dans le séjour, j’ai trouvé Hubert en boxer tenu que je devais apprendre à voir, car dès qu’il est de retour à la maison été comme hiver, c’est la tenue qu’il adopte.
Moi qui saute au paf des copains dès que je suis avec eux, c’est homme d’âge plus grand que le mien m’intimide Hubert à juste dix ans de plus que moi et une vie amoureuse faite de rencontre d’un soir.
À la suite de quelle folie m’a-t-il demandé en mariage ou va-t-il me sauter et me dire que c’était une blague et que je peux rentrer chez mes parents.
• Tu as l’air timide, tu es vierge.
Je manque d’avoir un hoquet qui lui fait croire que je réponds oui.
• Viens dans mes bras que nous ayons notre premier baisé.
Au lieu de me poser des questions idiotes, arrache-moi mes affaires et, enfile-moi, un homme de ton âge doit savoir que ma chatte coule de plaisir simplement d’avoir vu la belle photographie que l’on voie de chez toi et que si tu me fais vivre ici, je serais la femme la plus heureuse au monde.
Je m’approche et c’est l’une des rares galoches que l’on m’est roulé, car mes copains font ce qu’ils veulent de mon corps à part leurs bouches avec ma bouche et ma rosette, la sodomie leur étant interdite.
C’est donc l’un des premiers baisers qu’un homme me donne et je dois dire que cela me plait assez.
Je glisse jusqu’à son sexe et je le sors de son écrin. Je contemple la bête, elle est dans la moyenne des bêtes que j’ai vue et qui m’ont enfilé.
• Tu peux éviter de me sucer si tu le désir,
S’il savait ce que je fais dans la cave, lorsque trois copains me prennent en main un part la chatte, jamais le cul un autre la bouche pour sucer, ajouter la branlette et tous les trois sont contents.
J’évite de passer pour la pute que je sais être aussi, je me relève et c’est sur le canapé que sa queue entre en moi.
• Je t’ai fait mal.
Certe, j’ai bougé, car je m’attendais que sa bouche vienne titiller mon clito, mais il me semble que pour lui les préliminaires sont superflus.
Pour rigoler, j’ai envie de jouer à la femme frigide.
• A chéri, je jouis, que ta queue est bonne, donne-moi ton sperme mon amour.
Je me garde bien de lui dire cela pour éviter ses soupçons sur la gourgandine que dans mon immeuble, je suis devenu.
Il décharge rapidement comme beaucoup d’hommes la première fois qu’il vous prend.
• Anne, excuse-moi, j’ai été égoïste, j’ai été trop rapide.
Je croyais que tu étais vierge.
• J’ai fait beaucoup de gymnastique, je suis tombé plusieurs fois à cheval sur la poutre, deux fois j’ai même saigné.
• Tu as dû te déchirer ton hymen et te dépuceler comme cela.
• Sûrement, c’est grave pour toi.
• Non, pas du tout j’ai été surpris de sortir mon sexe de ton vagin couvert de mon sperme et qu’aucune trace de sang n’apparaisse.
Laisse-moi me reposer et dans quelques minutes tu vas monter au ciel.
À la hauteur du balcon de l’appartement du dessus peut être, mais pour le septième ciel, je repasserais,Il faisait des efforts pourtant, mais étant une experte des galipettes avec les copains montrer une certaine expérience risquait de lui mettre la puce à l’oreille que la poutre de la salle de gymnastique avait bon dos pour mon hymen.
Rapidement après avoir été chercher mes affaires chez mes parents et que ma mère tombe follement amoureuse de son futur gendre qui dans le quartier va être paré de toutes les qualités possibles et le mari idéal pour moi, je prends possession de mon nouvel appartement.
Alors que je suis légèrement frustré par mon mari sexuellement ma chatte a tendance à me laisser en paix.
À quelques jours de mon mariage pour enterrer ma vie de jeune fille, j’ai bien eu l’idée d’aller revoir les copains dans la cave de mon immeuble mais la peur que ma mère ou mon père me voie doubler des trois semaines de vacances qu’Hubert à pris m’en dissuade.
Trois semaines car demain maman va m’aider à mettre ma robe blanche pour que mon père me conduise à la mairie de Choisy-le-roi où je vais dire oui à Hubert.
Beau mariage, beau parti, même si mon mari est bien plus vieux que moi. Ce que ma mère redoutait, c’est avéré inexact grace aux prières qu’elle faisait tous les jours, dans ma robe blanche aucun ballon indésirable, car de père inconnu n’est présent.
Après la mairie où mes parents étaient les témoins, c’est dans un restaurant très chic de Paris que nous sommes allés avant de prendre nos valises pour aller quinze jours à la réunion en voyage de noces.
Une grande partie du voyage, je l’ai passée seule mon époux ayant pris le chemin du poste de pilotage où un vieux copain de promotion l’a invitée à lui tenir compagnie.
Je suis assisse à côté de l’endroit où les hôtesses préparent ce que les passagers réclament.
• Ton mari exagère, te laisser seule en voyage de noces, il mériterait que tu le trompes.
• Tu t’appelles comment ?
• Véronique et toi ?
• Anne.
• L’âne s’est lui.
• Tu veux dormir, tous les passagers sont installés, j’ai un peu de temps à moi.
Je vais chercher une couverture, tu n’auras pas froid.
Lorsqu’elle revient, elle me place la couverture me cachant principalement le bas de mon corps.
Prestement elle s’assoit à la place d’Hubert et se place la couverture de la même manière.
Rapidement elle semble dormir, mais je suis la seule à savoir qu’il n’en est rien.
Sous la couverture sa main s’est glissée sur un de mes genoux.
Que vais-je faire si sa main remonte tout le long et atteint ma grotte qui s’est réveillée et qui dégouline d’envie ?
Le but de la main est tout autre, voyant qu’aucune réticence ne lui est opposée, elle remonte vers mon corsage défait deux boutons et alors qu’elle donne l’impression de dormir sur mon épaule, c’est mon sein qu’elle caresse.
Moment divin de la première fois.
Moi qui ai été une jeune fille dépravée jamais, l’idée qu’une main qui plus est celle d’une fille puisse me laisser entrevoir de nouveaux horizons. J’ignore la pratique des amours saphiques même si l’amour ente femme m’était connu.
Un coup d’œil dans les autres travées à notre hauteur les seules qui pourraient voir ce que nous faisons mais ce sont des enfants qui dorment à poing fermé.
Véronique écarte mon soutien-gorge et attaque mon sein le plus proche et très disponible.
C’est la première fois de ma vie que quelqu’un s’occupe de mes seins, à ce jour tous mes amants passés dans mes bras voulaient simplement mon cul.
Là, ce geste de tendresse fait de moi pour la première fois une femme mais surtout pas un garage à bite.
J’ai envie de l’embrasser, mais nos bouches sont mal placées pour se trouver.
Mon téton est bandé par la caresse et maintenant le pincement qu’elle lui procure en le prenant entre deux de ses doigts.
• Vas-y, arrache-le ?
C’est dans un souffle que je lui donne cet ordre inconscient et que je me livre à elle qui plus est pour qu’elle me fasse mal.
• Tu aimes avoir mal, on va bien s’entendre, j’adore m’occuper de petite cochonne comme toi.
J’avais bien repéré dans tes yeux que tu aimais souffrir.
À ce jour pas plus que cela mais mon téton qu’elle risque d’arracher si elle pince légèrement plus fort me fait sentir qu’au niveau de ma chatte cette douleur lui fait énormément plaisir.
Le sentiment, de peur que la situation insolite me procure, fait de moi la proie consentante à tout ce que Véronique décide d’entreprendre sur moi.
Elle glisse sa main plus loin, attrape son jumeau et lui fait subir le même traitement.
Même traitement même réaction ma chatte doit avoir mouillé ma jupe et attaquer le siège.
Chaque fois que nous nous parlons, nous chuchotons afin qu’au rang de derrière, ils ignorent que deux belles salopes se donnent du plaisir.
Deux belles salopes, plutôt une, car je suis peu active sur ma partenaire.
• Tu veux que je te caresse la chatte petit cœur.
• Oui.
Comment puis-je quémandé que cette jolie femme me donne le plaisir que mon mari devrait m’apporter ?
• Tu vois petite Anne, ta chatte m’intéresse mais pas aujourd’hui, je veux que tu sois accro à ce que je te fais, c’est à genoux demain que tu viendras me demander d’y mettre les doigts.
Je te veux pantelante d’envie pour que ma bouche dévore le joli abricot doré que ta vulve doit en avoir la forme.
Maintenant c’est toi qui vas me donner du plaisir avec ta main sur ma chatte,Dépêche-toi, j’ai horreur d’attendre.
Je me place sur le côté alors qu’elle se redresse semblant toujours dormir.
Ma main glisse jusqu’à sa jupe qui est largement remontée.
Je remonte quelques centimètres et je suis surprise, elle a oublié sa culotte.
J’ai un mouvement d’hésitation.
• Tu as toujours une culotte, dès que tu m’auras donné du plaisir, tu iras jusqu’aux toilettes et tu la jetteras définitivement, à ton hôtel, tu en feras de même avec toutes les autres, tant que je m’intéresse à toi il est hors de question que je sois obligé d’attendre pour t’avoir sous ma main.
Alors, j’attends…
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