L'effet "Dominant".

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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L'effet "Dominant".
Véro est dans la fleur de l'âge, un peu plus de 30 ans, et bien dans sa peau de libertine.
Elle lit une revue féminine, et tombe sur un article parlant de sexualité.
Surtout celui du témoignage, d'une femme qui révèle qu'elle aime "sodomiser son mari".
Elle sourit, comme elle la comprend ! Elle y a pris gout également !
Tout lui revient !
Ce jour où elle rentre chez elle, deux heures trop tôt, et surprend son homme, planté sur un gode ventouse, placé contre un miroir.
Elle n'a pu s'empêcher de reluquer le reflet de l'anus écartelé sur le phallus de latex.
Le mari est en dessous de tout, il ne sais plus comment s'expliquer.
De toute façon, que dire ? Véro lui jette:
"Putain ! Ca te suffit pas que je baise avec d'autres mecs ? Tu veux qu'ils te baisent en plus ?".
"Non ! Ca n'a rien à voir, je suis pas homo ! Je l'ai jamais fait avec un mec ! Mais, je peux pas m'en empêcher, c'est plus fort que moi ! Ne me quittes pas ! Je t'en supplie !".
"Montres-moi ! Je veux te voir prendre du plaisir comme ça !".
"Bébé ! Non ! J'ai trop honte !".
"Allez ! Sinon, je pars !".
"Bon ! Ok ! Orhhhh ...! Voilà ! Je le fais ! Mmmmmm ! Orhhhhh ...".
"C'est bon ?".
"Orhh ! Oui ! Orhhhhhhhhhhhh ...".
"Donc, tu sais ce que je ressens quand tu m'encules ! A partir d'aujourd'hui, t'auras plus l'exclusivité ! Je vais donner mon petit cul aux autres, aussi ! Y a pas de raison ! Compris ?".
"Arhhhh ! Compris !".
Elle le redresse sur le gode, pour attraper sa verge et le masturber, tout en accompagnant ses enfoncements.
Très vite, il lui macule les doigts, en ayant le phallus de silicone au plus profond de lui.
Tout cela s'accompagne de baisers pervers.
Dans les jours qui suivent, son mari a l'air plus épanoui, elle lui fait remarquer.
"Tu m'a libéré d'un secret trop lourd à porter ! Le fait que tu l'ai accepté, me fait beaucoup de bien ! Tu m'a ôté cette culpabilité qui me tuait à petit feu".
"A ce propos, j'aimerai bien te voir baiser avec un homme !".
"Non ! Je veux pas ! Je suis pas un pédé !".
"Tu l'es plus, que tu ne le penses ! Tu dois bien commencer à y penser, en faisant ça ?".
"...Oui ...j'avoue ...mais je suis pas encore prêt !".
Un petit mois s'est écoulé, quand le mari rentre du boulot et va prendre une douche, après un baiser sur sa belle.
Il revient bien après, dans la chambre, et sursaute en voyant sa belle toute nue.
Elle est affublée d'un gode ceinture, mais surtout le membre est énorme, pour lui !
"Véro ? Qu'est-ce qui te prends ?".
"Je vais te baiser ! Elle te plait ma queue ? je l'ai bien choisie, tu trouves pas ?".
"C'est trop gros ! T'es folle !".
"Moi, je l'adore ! Elle me correspond ! Si j'avais été un mec, j'aurais voulu avoir une queue comme ça ! Tu dois l'accepter ! Et puis, c'est pas si gros que ça, y a plus gros encore ! Goutes la ! Viens me sucer !".
Le mari s'approche timidement, il n'est pas dans un délire de soumission, ça le gêne beaucoup.
Elle le prend en main et le saisit par les cheveux.
"Enfin, c'est mon tour de dominer ! Ca vous plait de défoncer une bouche de meuf ! Tu vas savoir ce que ça fait ! Tiens salope !".
Le mari se fait défoncer la gorge, au point d'en régurgiter énormément de salive.
Il se fait flageller violemment le visage, il accepte enfin la domination de Véronique, sa femme.
Elle fait tomber la serviette de bain qui entoure son corps.
"Mets toi en position de salope ! Tu vas savoir comme j'ai envie de me faire enculer par mes amants ! Allez bouges toi !".
"Véro, tu fais doucement ! C'est gros !".
Elle se munit de gel, pendant qu'il se couche sur le ventre, avec les fesses en dehors du lit.
Elle se couvre la verge de silicone, en surabondance, puis se présente derrière lui.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ourgggggggggggg ! Putain, c'est gros !".
"On va prendre notre temps, mais tu vas me prendre dans le cul, ma salope !".
Cela prend du temps, c'est indéniable, mais quand elle s'enfonce en lui, il ressent un sentiment de soumission extrême, qui le rempli d'un plaisir cérébral encore jamais connu.
Elle s'affaire en lui, en prenant de plus en plus d'amplitude, il râle comme un animal.
"Elle est bonne ma grosse bite ? C'est bon dans ton cul ? Dis-le moi !".
"Arghhhhhhhhhhh ! ...Arghhhhhhhhhhh ! ...Arghhhhhhhhhhh ! ...Oui, c'est bonnnnnnnnn ! Putain, c'est groooos !".
Pour être précis, il encaisse pour la première fois un gode de 6 cm de largeur, qui cogne au fond de son anus, en laissant dépasser la moitié de ses 27 cm !
Il jouit très rapidement. Sa belle est devenue une autre femme ! Elle l'encule en révélant un visage insoupçonné, celui du vice de la domination.
"Putain, j'ai la chatte qui coule ! J'adore t'enculer comme une chienne ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ca me fait jouirrrrrrrr !".
Elle ne retient pas ses enfoncements, du fait qu'elle ne peut sentir le bout de son gode.
Le mari commence à feuler, il est submergé d'une trop forte sensation, le gode vient de forcer son coccyx et glisse au plus profond de ses intestins.
"Urgggggggggggghhhhhhhhhhhhhhh !".
Véro voit qu'elle l'empale entièrement, elle reprend une nouvelle défonce anale.
Le mari se vide de son sperme, puis un peu plus tard, vide sa vessie sur tout ça.
Il la supplie d'arrêter.
Elle recule, en admirant son trou béant et les taches au sol.
Elle glisse une main entre le gode ceinture et sa chatte, pour se branler énergiquement le clitoris.
De l'autre, elle s'agite sur sa fausse bite.
Elle remplit la chambre de cris de jouissance puissants, puis ajoute:
"Oh, la vache ! C'était trop bon, j'adore ça ! J'espère que t'as aimé, parce qu'on va souvent recommencer !".
"Orhhhh ! Si tu veux ! Mais pas trop vite, j'ai le cul en fleur ! Orhhhhh ! Tu m'as tué !".
Depuis ce jour, Véronique passe de l'état de soumise à dominatrice, quand elle le désire.
Elle a donné son cul à d'autres amants, son mari devait l'accepter !
Il s'y est facilement habitué, en fait !
Ils ont testé plusieurs fois des hommes pour lui, mais il a encore du mal, il préfère sa femme !
Elle lit une revue féminine, et tombe sur un article parlant de sexualité.
Surtout celui du témoignage, d'une femme qui révèle qu'elle aime "sodomiser son mari".
Elle sourit, comme elle la comprend ! Elle y a pris gout également !
Tout lui revient !
Ce jour où elle rentre chez elle, deux heures trop tôt, et surprend son homme, planté sur un gode ventouse, placé contre un miroir.
Elle n'a pu s'empêcher de reluquer le reflet de l'anus écartelé sur le phallus de latex.
Le mari est en dessous de tout, il ne sais plus comment s'expliquer.
De toute façon, que dire ? Véro lui jette:
"Putain ! Ca te suffit pas que je baise avec d'autres mecs ? Tu veux qu'ils te baisent en plus ?".
"Non ! Ca n'a rien à voir, je suis pas homo ! Je l'ai jamais fait avec un mec ! Mais, je peux pas m'en empêcher, c'est plus fort que moi ! Ne me quittes pas ! Je t'en supplie !".
"Montres-moi ! Je veux te voir prendre du plaisir comme ça !".
"Bébé ! Non ! J'ai trop honte !".
"Allez ! Sinon, je pars !".
"Bon ! Ok ! Orhhhh ...! Voilà ! Je le fais ! Mmmmmm ! Orhhhhh ...".
"C'est bon ?".
"Orhh ! Oui ! Orhhhhhhhhhhhh ...".
"Donc, tu sais ce que je ressens quand tu m'encules ! A partir d'aujourd'hui, t'auras plus l'exclusivité ! Je vais donner mon petit cul aux autres, aussi ! Y a pas de raison ! Compris ?".
"Arhhhh ! Compris !".
Elle le redresse sur le gode, pour attraper sa verge et le masturber, tout en accompagnant ses enfoncements.
Très vite, il lui macule les doigts, en ayant le phallus de silicone au plus profond de lui.
Tout cela s'accompagne de baisers pervers.
Dans les jours qui suivent, son mari a l'air plus épanoui, elle lui fait remarquer.
"Tu m'a libéré d'un secret trop lourd à porter ! Le fait que tu l'ai accepté, me fait beaucoup de bien ! Tu m'a ôté cette culpabilité qui me tuait à petit feu".
"A ce propos, j'aimerai bien te voir baiser avec un homme !".
"Non ! Je veux pas ! Je suis pas un pédé !".
"Tu l'es plus, que tu ne le penses ! Tu dois bien commencer à y penser, en faisant ça ?".
"...Oui ...j'avoue ...mais je suis pas encore prêt !".
Un petit mois s'est écoulé, quand le mari rentre du boulot et va prendre une douche, après un baiser sur sa belle.
Il revient bien après, dans la chambre, et sursaute en voyant sa belle toute nue.
Elle est affublée d'un gode ceinture, mais surtout le membre est énorme, pour lui !
"Véro ? Qu'est-ce qui te prends ?".
"Je vais te baiser ! Elle te plait ma queue ? je l'ai bien choisie, tu trouves pas ?".
"C'est trop gros ! T'es folle !".
"Moi, je l'adore ! Elle me correspond ! Si j'avais été un mec, j'aurais voulu avoir une queue comme ça ! Tu dois l'accepter ! Et puis, c'est pas si gros que ça, y a plus gros encore ! Goutes la ! Viens me sucer !".
Le mari s'approche timidement, il n'est pas dans un délire de soumission, ça le gêne beaucoup.
Elle le prend en main et le saisit par les cheveux.
"Enfin, c'est mon tour de dominer ! Ca vous plait de défoncer une bouche de meuf ! Tu vas savoir ce que ça fait ! Tiens salope !".
Le mari se fait défoncer la gorge, au point d'en régurgiter énormément de salive.
Il se fait flageller violemment le visage, il accepte enfin la domination de Véronique, sa femme.
Elle fait tomber la serviette de bain qui entoure son corps.
"Mets toi en position de salope ! Tu vas savoir comme j'ai envie de me faire enculer par mes amants ! Allez bouges toi !".
"Véro, tu fais doucement ! C'est gros !".
Elle se munit de gel, pendant qu'il se couche sur le ventre, avec les fesses en dehors du lit.
Elle se couvre la verge de silicone, en surabondance, puis se présente derrière lui.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ourgggggggggggg ! Putain, c'est gros !".
"On va prendre notre temps, mais tu vas me prendre dans le cul, ma salope !".
Cela prend du temps, c'est indéniable, mais quand elle s'enfonce en lui, il ressent un sentiment de soumission extrême, qui le rempli d'un plaisir cérébral encore jamais connu.
Elle s'affaire en lui, en prenant de plus en plus d'amplitude, il râle comme un animal.
"Elle est bonne ma grosse bite ? C'est bon dans ton cul ? Dis-le moi !".
"Arghhhhhhhhhhh ! ...Arghhhhhhhhhhh ! ...Arghhhhhhhhhhh ! ...Oui, c'est bonnnnnnnnn ! Putain, c'est groooos !".
Pour être précis, il encaisse pour la première fois un gode de 6 cm de largeur, qui cogne au fond de son anus, en laissant dépasser la moitié de ses 27 cm !
Il jouit très rapidement. Sa belle est devenue une autre femme ! Elle l'encule en révélant un visage insoupçonné, celui du vice de la domination.
"Putain, j'ai la chatte qui coule ! J'adore t'enculer comme une chienne ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ca me fait jouirrrrrrrr !".
Elle ne retient pas ses enfoncements, du fait qu'elle ne peut sentir le bout de son gode.
Le mari commence à feuler, il est submergé d'une trop forte sensation, le gode vient de forcer son coccyx et glisse au plus profond de ses intestins.
"Urgggggggggggghhhhhhhhhhhhhhh !".
Véro voit qu'elle l'empale entièrement, elle reprend une nouvelle défonce anale.
Le mari se vide de son sperme, puis un peu plus tard, vide sa vessie sur tout ça.
Il la supplie d'arrêter.
Elle recule, en admirant son trou béant et les taches au sol.
Elle glisse une main entre le gode ceinture et sa chatte, pour se branler énergiquement le clitoris.
De l'autre, elle s'agite sur sa fausse bite.
Elle remplit la chambre de cris de jouissance puissants, puis ajoute:
"Oh, la vache ! C'était trop bon, j'adore ça ! J'espère que t'as aimé, parce qu'on va souvent recommencer !".
"Orhhhh ! Si tu veux ! Mais pas trop vite, j'ai le cul en fleur ! Orhhhhh ! Tu m'as tué !".
Depuis ce jour, Véronique passe de l'état de soumise à dominatrice, quand elle le désire.
Elle a donné son cul à d'autres amants, son mari devait l'accepter !
Il s'y est facilement habitué, en fait !
Ils ont testé plusieurs fois des hommes pour lui, mais il a encore du mal, il préfère sa femme !
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