L'envahissante maitresse: La pulpeuse Adeline.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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L'envahissante maitresse: La pulpeuse Adeline.
Adeline est encore un peu contrariée de cette soirée "manquée", d'il y a trois jours.
Elle me dit qu'elle déteste ma copine, parce qu'elle lui prend sa place.
Si elle connaissait la vérité !
Que c'est un homme qui était avec moi, et que c'est moi qui ai subit les assauts de l'autre !
Finalement, si la société n'était pas ce qu'elle est, je lui dirai tout, et elle serait surement dégoutée de celui qu'elle aime !
Je réglerai mon problème, c'est sur, mais je n'avouerai jamais mon homosexualité à une fille comme elle. Seuls mes amants sont au courant.
J'arrive déjà pas à lui avouer qu'elle espère inutilement. Oh, elle gagne du terrain, mais j'aime toujours davantage ma copine.
Adeline a perdu de son assurance, elle me demande sans cesse de l'aimer.
Notre relation devient dangereuse, mes copains nous voient ensemble, et savent très bien que j'ai quelqu'un d'autre.
"Tu t'emmerdes pas ! Enfoiré !".
Malgré le coté élogieux, je ne me sens pas fier de moi.
Mais pour le moment, j'ai encore besoin d'aimer le corps d'Adeline. Je ne m'en lasse toujours pas.
Après nos ballades, on rentre toujours chez moi, pour faire l'amour.
On commence à y mettre, de plus en plus de sexe !
Elle aime se donner à moi, en levrette. Ce qui ne m'arrange pas, puisque, j'ai une vue parfaite sur son magnifique fessier.
Il me fait de plus en plus envie.
Ce soir là, elle ose prendre ma verge entre ses seins, pour me masturber avec.
Je la prend par la nuque, pour l'aider à me prendre en bouche, en bout de course.
Le jeu devient plus chaud, quand elle me pompe goulument, puis crache sur mon gland pour faire coulisser ma bite entre ses gros nichons, bien fermes.
J'arrête ce délicieux supplice, ne voulant pas jouir trop vite.
Elle me pousse sur le bord du lit, pour me chevaucher en s'agrippant à mon cou.
On se fait face en s'enfonçant, l'une sur l'autre.
La position est propice aux caresses et baisers, tantôt tendres, mais souvent plus pervers, parce que goulus.
Elle jouit fortement, en me déclarant encore ses sentiments.
Puis, elle me couche pour s'écrouler sur mon torse.
"Hummm ! J'ai bien joui ! je t'aime trop Pascal !".
Après un moment de baisers, elle pivote pour me prendre entre ses lèvres.
Ses fellations sont de plus en plus délicieuses !
Pour ne pas en perdre la tête, je m'occupe de sa chatte blonde.
Elle en devient encore plus gourmande.
J'en peux plus d'avoir son petit anus à ma portée. J'ose y passer ma langue.
Elle n'a pas de réaction, je réitère, puis insiste longuement.
"Orhh ! C'est agréable ! Encore Pascal ! Ca m'plait !".
Elle replonge sur ma verge, je m'évade de ce plaisir, pour ne pas jouir trop vite, en lui enfonçant ma langue le plus profondément possible, dans sa rosette anale.
Puis, c'est trop bon pour moi, je l'arrête d'un coup !
"Orghhh ! Stop ! Adeline, je vais jouir ! Tu me suces trop bien ! Arrêtes !".
Elle pivote pour venir m'embrasser.
"Hummm ! T'aurais pu jouir ! Ca me plait que tu viennes dans ma bouche ! On aurait recommencé après !".
"Euh ! Je te signale que tu prends pas la pilule ! C'est risqué, il peut rester du sperme dans ma queue !".
"Ha ! Oui, t'as raison !".
Elle tente de s'empaler sur ma verge, je l'en empêche.
"Non ! Attends, laisses moi redescendre un peu ! Sinon, je vais éjaculer trop vite !".
On se cajole tendrement, jusqu'au moment où elle ose me dire:
"C'était bizarre, ce que t'as fait à mon p'tit cul, mais j'ai bien aimé ! Du coup, je vais peut être changer d'avis ! Si tu veux essayer de me prendre par là, j'aimerai bien que tu le fasses ! Je veux que tu sois le premier !".
"Je... Je sais pas... Ne me proposes pas ça, Adeline ! Je vais pas savoir dire non ! Je suis pas sûr de mes sentiments pour toi, je le mérite pas ! J'ai pas le droit !".
"T'es nul ! De toute manière, j'essaierai un jour ! Autant que ce soit avec toi ! Allez, on le fait !".
"Adeline ! S'il te plait !".
"Allez, je t'aime ! Prends-moi par le cul ! Je veux essayer ! En plus, tu pourras jouir en moi, j'en ai envie !".
Elle jette ses lèvres contre les miennes, on pivote ensemble, pour me retrouver sur elle, cuisses ouvertes.
Je remonte et lui enfonce ma verge dans la bouche.
"Voilà, mouilles la bien avec ta salive ! J'en aurai besoin !".
Je plonge entre ses cuisses, et lui dépose la mienne avec ma bouche.
J'approche ma verge dure et gonflée d'envie.
Quand je sens que mon gland est bien calé entre ses fesses, en exerçant une poussée ferme, je me penche sur elle, pour lui mordre le cou.
Elle gémit de plaisir, et se relâche sans s'en rendre compte.
Je recommence, afin de détourner son attention de son anus.
Ca marche, puisqu'elle m'accepte peu à peu.
Je suis en elle, sur 6 ou 7 cm.
Je l'embrasse tendrement, sans sortir de son orifice anal.
Lentement, je sens qu'elle me comprime moins puissamment avec son sphincter.
"Tu as mal ?".
"Orhhh ! Non ! Tu fais ça bien ! C'est nouveau comme sensation, mais je crois que ça me plait ! C'est excitant, en plus !".
Son anus est plus détendu à présent, je me retire doucement, pour y cracher de nouveau de la salive, puis j'y reviens.
Ma verge glisse inexorablement jusqu'à sa base.
Elle a le souffle coupé.
"Orhhhhh ! Pascal ! Dis-moi que tu y es ! Orhhh ! Je te sens trop bien dans mon cul ! Ne bouges pas tout de suite ! Attends, s'il te plait !".
"J'attend ! Je suis pas pressé, je veux que ton plaisir, Adeline !".
Elle gémit, pendant que je l'embrasse passionnément, sans bouger dans son anus.
Ensuite, c'est elle qui bouge un peu.
J'entame donc ma possession anale, sans quitter sa bouche.
Je sens qu'elle râle dans ma gorge, à chaque fois que ma verge vient cogner son fondement.
Elle a posé ses mains sur chacune de mes fesses, pour m'accompagner dans son cul.
J'ai atteint l'aisance parfaite, sans le voir, je sais qu'elle est dans sa béance anale maximale.
Je quitte sa bouche, pour me redresser, et profiter du spectacle de ma bite qui la possède analement.
"Orhhh ! C'est trop bon, Adeline ! Dis-moi que tu prends du plaisir, toi aussi !".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, C'est bon ! Je pensais que ce serait sensible comme ça ! Arhhhhhh...".
Je me laisse gagner par mes lubies sexuelles, je lui relève le bassin, pour lui pilonner l'orfice anal.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui, comme ça ! C'est encore plus fort ! Continues, Pascal !".
Elle se tient les cuisses, pendant que je m'affaire en elle.
Comme je désire son plaisir, je lui déplace une main, pour la guider vers son clitoris.
"Branles toi en même temps, je veux que tu jouisses !".
"Je... j'ose pas ! Arghhhhhhhhhh !".
"Fais le ! J'en ai envie !".
Elle m'obéit, en s'activant de plus en plus librement, grâce au plaisir que ça lui apporte.
"Arghhhhhhhhhhh ! Pascal, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis...".
J'arrête de me secouer dans son anus.
Son vagin est trempé, je retiens une envie de m'y engouffrer, pour lui éviter une infection.
Je me retire en douceur.
"Orhhh ! Pascal ! Je regrette pas qu'on l'ai fait ! J'imaginais pas, que ce serait aussi bon ! Mais, ...T'as pas joui ?".
"Non ! J'en veux encore !".
Je la laisse récupérer un peu, puis, elle se place d'elle même en levrette.
"Encore, mon amour ! Je veux que tu jouisses en moi !".
Je m'enfonce dans son petit trou béant, sans difficulté.
Elle se cambre en râlant.
"Orhhhh ! C'est encore meilleur que tout à l'heure !".
Je lui assène des assauts de plus en plus puissants.
Sans que je lui demande, elle se branle la chatte, pendant que je l'encule.
"Arghhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! C'est trop vicieux, mon amour, ça m'excite ! J'aime me faire prendre comme ça ! Par le cul ! Arghhhhhhhhhhh ! Dis moi que tu l'aimes mon cul ! Arghhhhhhhhhh ...".
"Oui, ma chérie ! J'adore t'enculer ! Tu vas me faire jouir comme ça ! Ca monte !".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiii ! C'est ça ! Tu m'encules ! Arghhhhhhhhhhhhhh...".
Je lui imprime une poussée pour la coucher sous moi, afin de la pilonner comme un acharné, j'ai besoin d'éjaculer !
J'arrive enfin au moment suprême, j'explose de tout mon être dans son orifice poisseux.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Adeliiiiiiiiine ! Je jouiiiiis ! Orhhhhh ! J'suis fou de ton cul ! Arghhhhhhhhhhhh !...".
Elle se pâme de plaisir en me recevant en elle. Elle me susurre avec difficulté:
"Arhhhhhhhhhhh ! Oui, c'est trop bon, j'aime que tu viennes dans mon cul ! Je t'aime, mon amour !".
J'en perd la tête, j'ai envie de lui avouer des sentiments que je sais déraisonnables.
Je n'arrive plus à quitter son délicieux orifice anal.
Pourtant, je m'y suis vidé entièrement depuis quelques minutes.
Je me suis redressé pour admirer ma verge, qui glisse avec aisance dans son trou spermé.
"Hummm ! C'est beau ! Ma chérie ! J'adore être dans ton p'tit cul ! Bon, il faut que je m'arrête !".
Je quitte ses fesses, en me posant à ses cotés.
"Orhhhh ! C'était trop bon, je crois que j'ai encore un peu mouillé ton lit ! Désolée ! Mon amour !".
En effet, une tache humide se trouve au niveau de sa chatte.
Elle vit sa première flatulence anale, après sodomie.
"Orhhhh ! Non ! Pourquoi ça me fait ça ? Ca coule en plus !".
je lui caresse les cheveux en souriant.
"C'est normal, ma belle ! Tu dois faire sortir le trop plein d'air, et mon sperme avec ! Ne t'inquiètes pas, je trouve ça excitant, au contraire !".
Elle se passe les doigts sur l'anus.
"Putain, j'en ai plein le cul ! C'est gluant ! C'est ton sperme ?".
"Oui, mais il y aussi autre chose ! On a tous ça dans l'anus, une sorte de lubrifiant naturel !".
Elle y repose sa main.
"Orhh ! La vache, c'est trop élargi ! J'y mets presque tous mes doigts ! C'est comment dedans ? C'est comme ma chatte ?".
"Non ! C'est plus serré ! Moi je préfère ! Comme beaucoup d'hommes d'ailleurs ! mais certains trouvent ça sale !".
Je me lève pour lui donner une petite serviette, qu'elle utilise pour se nettoyer les doigts.
Pendant que je lui essuie les fesses, puis que je la couvre de baisers, sur ce cul magnifique.
Inutile de dire, que peu de temps après, on a recommencé.
Comme on avait pas de capote (en 1983, on en utilisait rarement !), elle m'a redonné son petit cul.
Mon endurance, augmentée grâce à ma première éjaculation, l'a rendue folle.
Elle m'a un peu arrosé la verge, pendant que je l'enculais profondément, avec frénésie, tout en lui titillant le clitoris.
Elle a hurlé de plaisir, à chaque petit jet, en me couvrant de mots d'amour passionnés.
En y glissant aussi:
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Tu m'encules bien, mon amour !".
"Encooorre ! Défonces-moi le cul ! Pascal ! Plus fort !".
Au delà du plaisir anal, qui ne l'emmène pas encore à l'orgasme (c'est trop tôt!), cette pratique révèle son gout pour le sexe vicieux, et j'aime ça !
Quand j'ai à nouveau explosé en elle, j'ai agrémenté mon plaisir en lui polluant l'entrée de l'anus.
Ensuite, je me suis posé à ses cotés, vidé de toute mon énergie.
On s'est endormis, sans nous en rendre compte.
Au petit matin, elle m'a sorti de mon sommeil par des bruits de flatulences anales.
Je l'entendais dans mes toilettes, qui se vidait lentement.
Elle me rejoint ensuite.
"Je suis désolé pour ça ! Adeline ! Tu m'en veux pas ?".
"Non, c'était trop bon, mon amour ! Et puis, c'est moi qui l'ai voulu ! On recommencera souvent, j'espère !".
"Autant, que tu le voudras ! Je ne demande pas mieux, j'aime jouir avec toi !".
"Hummmm ! Moi aussi ! Pascal ! Par contre ! je sais pas si c'est toujours comme ça, mais pour le transit ! C'est radical !".
Je ris de tout mon corps ! J'adore cette fille, décidément !
Au point que j'ai peur qu'elle finisse par gagner ! Je m'attache à elle ! C'est sûr !
Elle est retournée chez ses parents, un peu avant midi, et après une longue et merveilleuse fellation.
Elle ne voulait rien laisser à ma copine !
Le résultat, c'est qu'au contraire, elle n'a fait que renforcer mon endurance.
Mais mon problème était renforcé lui aussi ! Cette double relation devenait un piège, de plus en plus contraignant.
Plus je repoussais l'inévitable, et plus, il me serait difficile de la quitter !
Après cette soirée, on a pratiqué la sodomie, un jour sur trois environ.
Avec de plus en plus de plaisir, pour elle.
"C'est meilleur à chaque fois ! C'est normal ?".
"Oui, jusqu'au jour, ou tu auras un vrai orgasme ! Sans te toucher ! Rien qu'avec ton cul !".
"Hummm ! J'ai hâte ! Ca doit être génial !".
"Il faut vraiment se laisser aller, pour ça !".
C'est arrivé par hasard. Ce soir là, on s'est fait un petit délire alcools !
A l'Adelscott pour les deux !
Elle est vite devenue excitée, au bout de deux bières !
Moi, je voulais garder le contrôle, et j'ai arrêté là !
Elle m'a pris la verge entre ses gros seins, pour me sucer en même temps.
Ensuite, elle a plongé ma bite dans son verre, pour me la lécher ensuite, avec vice.
"Hummm ! Ca m'excite, mon amour ! Elle est bonne, comme ça !".
Je me laisse faire en égoïste, j'adore ça, moi aussi !
Elle se dénude entièrement, puis se place en position de chienne soumise.
Je me dénude aussi, puis me colle à son vagin.
"Non ! Pas par là ! Encules moi ! Mon amour !".
Je me baisse pour lui saliver l'anus longuement.
"Orhhhh ! Oui comme ça ! J'aime ta langue sur mon petit cul !".
Je remonte ensuite, pour m'enfoncer en elle.
Elle s'écartèle les fesses, pour ouvrir sa petite rondelle anale.
Elle m'accueille de plus en plus facilement.
Puis, j'entre dans une série d'enfoncements profonds dans son cul.
Les effets de l'alcool ne font qu'augmenter pour elle.
Elle se jette comme une folle sur ma queue.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon, Pascal ! Tu m'encules trop bien ! Encooorrre ...".
J'ai l'impression d'être dépassé par ses désirs pervers.
Mais je décide de m'y donner à fond.
Je lui défonce le cul sans retenue, presque avec violence.
Elle m'en réclame plus encore.
Mon rythme est devenu sauvage et frénétique.
Ses râles n'en devienne plus qu'un, qui est continu et puissant.
Puis, elle crie plus fort.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ca y est, Pascal ! Je crois que je jouiiiiiiiis ... Je jouis du cul ! Arggggggggggggggggggggg !".
Un jet incroyablement fort gicle entre mes cuisses !
Elle m'arrose de cyprine.
Puis, les jets puissants s'enchainent, en même temps, qu'elle hurle son plaisir.
C'en est trop pour moi ! J'explose en elle, en la comprimant contre mon pubis.
Un dernier jet me trempe les couilles.
Je remarque son épuisement de bonheur évident.
"Orghhhhhhhhhhhh ! Pascal ! C'était génial ! Putain, ce que c'est bon de jouir comme ça ! Oh, mon dieu ! Et toi ? Tu as bien joui ?".
"Orhhh ! Oui, C'était fou ! J'ai adoré comment tu m'as arrosé ! Tu m'as rendu dingue !".
"Merci, mon amour !".
"Merci ? Pourquoi ?".
"Pour m'avoir fait connaitre ce plaisir ! Pourquoi les gens disent que c'est mal de faire ça ? Maintenant, je comprends les pédés ! Ils ont raison ! C'est bon de se faire prendre par là ! Tu devrais essayer !".
"Euh, ...On va changer de sujet !".
L'alcool la désinhibe, elle me demande:
"J'ai envie de quelque chose ! Tu veux bien me faire plaisir ?".
"Tout ce que tu veux ! Je te dois bien ça !".
Elle se contorsionne le fessier, en le cambrant sous mes yeux.
"Hummm ! J'ai envie que tu me lèches le cul !".
J'ai pas réfléchi, et me suis penché entre ses fesses, pour lui lécher l'anus, en avalant mon propre sperme au passage.
J'ai compris mes amants, du coup, c'est vrai que c'est excitant !
Et je comprends aussi ma belle Adeline, qui gémit grâce à ma langue, puisque j'ai vécu la même chose avec des hommes.
Je rejoins sa bouche ensuite, pour un baiser pervers et amoureux.
Elle éloigne ses lèvres pour dire:
"Hummm ! T'as encore le gout de ton sperme, j'adore ! C'est excitant !".
On recolle nos bouches, pour retrouver ce gout de plaisir masculin.
On s'est assoupi légèrement ensuite, avant de remettre ça !
Quand j'ai eu la force de la quitter, on avait le tour de toutes les pratiques sexuelles de base, voire plus encore.
Notre attirance physique nous a fait nous retrouver, plusieurs fois.
Puis, devant l'évidence de mon amour pour ma copine, c'est elle qui m'a quitté, pour ne plus souffrir.
Elle a disparu de la ville, je n'ai jamais eu de ses nouvelles !
Où que tu sois, je te demande pardon, Adeline !
Cette histoire ajoutée à d'autres similaires, m'a convaincu que l'amour n'est pas un jeu.
On ne peut pas aimer tout le monde, sans un minimum d'investissement, envers ses personnes.
Au début, je pensais leur apporter du bonheur, mais ces filles en voulaient davantage.
Le plaisir physique ne suffisait pas, elles voulaient le garçon aussi !
Mais on ne peut pas se multiplier. Quel dommage !
J'ai reçu la visite d'Ahmed, après notre rupture.
Il tombait à pic, je me suis servi de lui pour évacuer mon envie d'autopunition, mais c'est une autre histoire.
Elle me dit qu'elle déteste ma copine, parce qu'elle lui prend sa place.
Si elle connaissait la vérité !
Que c'est un homme qui était avec moi, et que c'est moi qui ai subit les assauts de l'autre !
Finalement, si la société n'était pas ce qu'elle est, je lui dirai tout, et elle serait surement dégoutée de celui qu'elle aime !
Je réglerai mon problème, c'est sur, mais je n'avouerai jamais mon homosexualité à une fille comme elle. Seuls mes amants sont au courant.
J'arrive déjà pas à lui avouer qu'elle espère inutilement. Oh, elle gagne du terrain, mais j'aime toujours davantage ma copine.
Adeline a perdu de son assurance, elle me demande sans cesse de l'aimer.
Notre relation devient dangereuse, mes copains nous voient ensemble, et savent très bien que j'ai quelqu'un d'autre.
"Tu t'emmerdes pas ! Enfoiré !".
Malgré le coté élogieux, je ne me sens pas fier de moi.
Mais pour le moment, j'ai encore besoin d'aimer le corps d'Adeline. Je ne m'en lasse toujours pas.
Après nos ballades, on rentre toujours chez moi, pour faire l'amour.
On commence à y mettre, de plus en plus de sexe !
Elle aime se donner à moi, en levrette. Ce qui ne m'arrange pas, puisque, j'ai une vue parfaite sur son magnifique fessier.
Il me fait de plus en plus envie.
Ce soir là, elle ose prendre ma verge entre ses seins, pour me masturber avec.
Je la prend par la nuque, pour l'aider à me prendre en bouche, en bout de course.
Le jeu devient plus chaud, quand elle me pompe goulument, puis crache sur mon gland pour faire coulisser ma bite entre ses gros nichons, bien fermes.
J'arrête ce délicieux supplice, ne voulant pas jouir trop vite.
Elle me pousse sur le bord du lit, pour me chevaucher en s'agrippant à mon cou.
On se fait face en s'enfonçant, l'une sur l'autre.
La position est propice aux caresses et baisers, tantôt tendres, mais souvent plus pervers, parce que goulus.
Elle jouit fortement, en me déclarant encore ses sentiments.
Puis, elle me couche pour s'écrouler sur mon torse.
"Hummm ! J'ai bien joui ! je t'aime trop Pascal !".
Après un moment de baisers, elle pivote pour me prendre entre ses lèvres.
Ses fellations sont de plus en plus délicieuses !
Pour ne pas en perdre la tête, je m'occupe de sa chatte blonde.
Elle en devient encore plus gourmande.
J'en peux plus d'avoir son petit anus à ma portée. J'ose y passer ma langue.
Elle n'a pas de réaction, je réitère, puis insiste longuement.
"Orhh ! C'est agréable ! Encore Pascal ! Ca m'plait !".
Elle replonge sur ma verge, je m'évade de ce plaisir, pour ne pas jouir trop vite, en lui enfonçant ma langue le plus profondément possible, dans sa rosette anale.
Puis, c'est trop bon pour moi, je l'arrête d'un coup !
"Orghhh ! Stop ! Adeline, je vais jouir ! Tu me suces trop bien ! Arrêtes !".
Elle pivote pour venir m'embrasser.
"Hummm ! T'aurais pu jouir ! Ca me plait que tu viennes dans ma bouche ! On aurait recommencé après !".
"Euh ! Je te signale que tu prends pas la pilule ! C'est risqué, il peut rester du sperme dans ma queue !".
"Ha ! Oui, t'as raison !".
Elle tente de s'empaler sur ma verge, je l'en empêche.
"Non ! Attends, laisses moi redescendre un peu ! Sinon, je vais éjaculer trop vite !".
On se cajole tendrement, jusqu'au moment où elle ose me dire:
"C'était bizarre, ce que t'as fait à mon p'tit cul, mais j'ai bien aimé ! Du coup, je vais peut être changer d'avis ! Si tu veux essayer de me prendre par là, j'aimerai bien que tu le fasses ! Je veux que tu sois le premier !".
"Je... Je sais pas... Ne me proposes pas ça, Adeline ! Je vais pas savoir dire non ! Je suis pas sûr de mes sentiments pour toi, je le mérite pas ! J'ai pas le droit !".
"T'es nul ! De toute manière, j'essaierai un jour ! Autant que ce soit avec toi ! Allez, on le fait !".
"Adeline ! S'il te plait !".
"Allez, je t'aime ! Prends-moi par le cul ! Je veux essayer ! En plus, tu pourras jouir en moi, j'en ai envie !".
Elle jette ses lèvres contre les miennes, on pivote ensemble, pour me retrouver sur elle, cuisses ouvertes.
Je remonte et lui enfonce ma verge dans la bouche.
"Voilà, mouilles la bien avec ta salive ! J'en aurai besoin !".
Je plonge entre ses cuisses, et lui dépose la mienne avec ma bouche.
J'approche ma verge dure et gonflée d'envie.
Quand je sens que mon gland est bien calé entre ses fesses, en exerçant une poussée ferme, je me penche sur elle, pour lui mordre le cou.
Elle gémit de plaisir, et se relâche sans s'en rendre compte.
Je recommence, afin de détourner son attention de son anus.
Ca marche, puisqu'elle m'accepte peu à peu.
Je suis en elle, sur 6 ou 7 cm.
Je l'embrasse tendrement, sans sortir de son orifice anal.
Lentement, je sens qu'elle me comprime moins puissamment avec son sphincter.
"Tu as mal ?".
"Orhhh ! Non ! Tu fais ça bien ! C'est nouveau comme sensation, mais je crois que ça me plait ! C'est excitant, en plus !".
Son anus est plus détendu à présent, je me retire doucement, pour y cracher de nouveau de la salive, puis j'y reviens.
Ma verge glisse inexorablement jusqu'à sa base.
Elle a le souffle coupé.
"Orhhhhh ! Pascal ! Dis-moi que tu y es ! Orhhh ! Je te sens trop bien dans mon cul ! Ne bouges pas tout de suite ! Attends, s'il te plait !".
"J'attend ! Je suis pas pressé, je veux que ton plaisir, Adeline !".
Elle gémit, pendant que je l'embrasse passionnément, sans bouger dans son anus.
Ensuite, c'est elle qui bouge un peu.
J'entame donc ma possession anale, sans quitter sa bouche.
Je sens qu'elle râle dans ma gorge, à chaque fois que ma verge vient cogner son fondement.
Elle a posé ses mains sur chacune de mes fesses, pour m'accompagner dans son cul.
J'ai atteint l'aisance parfaite, sans le voir, je sais qu'elle est dans sa béance anale maximale.
Je quitte sa bouche, pour me redresser, et profiter du spectacle de ma bite qui la possède analement.
"Orhhh ! C'est trop bon, Adeline ! Dis-moi que tu prends du plaisir, toi aussi !".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, C'est bon ! Je pensais que ce serait sensible comme ça ! Arhhhhhh...".
Je me laisse gagner par mes lubies sexuelles, je lui relève le bassin, pour lui pilonner l'orfice anal.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui, comme ça ! C'est encore plus fort ! Continues, Pascal !".
Elle se tient les cuisses, pendant que je m'affaire en elle.
Comme je désire son plaisir, je lui déplace une main, pour la guider vers son clitoris.
"Branles toi en même temps, je veux que tu jouisses !".
"Je... j'ose pas ! Arghhhhhhhhhh !".
"Fais le ! J'en ai envie !".
Elle m'obéit, en s'activant de plus en plus librement, grâce au plaisir que ça lui apporte.
"Arghhhhhhhhhhh ! Pascal, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis...".
J'arrête de me secouer dans son anus.
Son vagin est trempé, je retiens une envie de m'y engouffrer, pour lui éviter une infection.
Je me retire en douceur.
"Orhhh ! Pascal ! Je regrette pas qu'on l'ai fait ! J'imaginais pas, que ce serait aussi bon ! Mais, ...T'as pas joui ?".
"Non ! J'en veux encore !".
Je la laisse récupérer un peu, puis, elle se place d'elle même en levrette.
"Encore, mon amour ! Je veux que tu jouisses en moi !".
Je m'enfonce dans son petit trou béant, sans difficulté.
Elle se cambre en râlant.
"Orhhhh ! C'est encore meilleur que tout à l'heure !".
Je lui assène des assauts de plus en plus puissants.
Sans que je lui demande, elle se branle la chatte, pendant que je l'encule.
"Arghhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! C'est trop vicieux, mon amour, ça m'excite ! J'aime me faire prendre comme ça ! Par le cul ! Arghhhhhhhhhhh ! Dis moi que tu l'aimes mon cul ! Arghhhhhhhhhh ...".
"Oui, ma chérie ! J'adore t'enculer ! Tu vas me faire jouir comme ça ! Ca monte !".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiii ! C'est ça ! Tu m'encules ! Arghhhhhhhhhhhhhh...".
Je lui imprime une poussée pour la coucher sous moi, afin de la pilonner comme un acharné, j'ai besoin d'éjaculer !
J'arrive enfin au moment suprême, j'explose de tout mon être dans son orifice poisseux.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Adeliiiiiiiiine ! Je jouiiiiis ! Orhhhhh ! J'suis fou de ton cul ! Arghhhhhhhhhhhh !...".
Elle se pâme de plaisir en me recevant en elle. Elle me susurre avec difficulté:
"Arhhhhhhhhhhh ! Oui, c'est trop bon, j'aime que tu viennes dans mon cul ! Je t'aime, mon amour !".
J'en perd la tête, j'ai envie de lui avouer des sentiments que je sais déraisonnables.
Je n'arrive plus à quitter son délicieux orifice anal.
Pourtant, je m'y suis vidé entièrement depuis quelques minutes.
Je me suis redressé pour admirer ma verge, qui glisse avec aisance dans son trou spermé.
"Hummm ! C'est beau ! Ma chérie ! J'adore être dans ton p'tit cul ! Bon, il faut que je m'arrête !".
Je quitte ses fesses, en me posant à ses cotés.
"Orhhhh ! C'était trop bon, je crois que j'ai encore un peu mouillé ton lit ! Désolée ! Mon amour !".
En effet, une tache humide se trouve au niveau de sa chatte.
Elle vit sa première flatulence anale, après sodomie.
"Orhhhh ! Non ! Pourquoi ça me fait ça ? Ca coule en plus !".
je lui caresse les cheveux en souriant.
"C'est normal, ma belle ! Tu dois faire sortir le trop plein d'air, et mon sperme avec ! Ne t'inquiètes pas, je trouve ça excitant, au contraire !".
Elle se passe les doigts sur l'anus.
"Putain, j'en ai plein le cul ! C'est gluant ! C'est ton sperme ?".
"Oui, mais il y aussi autre chose ! On a tous ça dans l'anus, une sorte de lubrifiant naturel !".
Elle y repose sa main.
"Orhh ! La vache, c'est trop élargi ! J'y mets presque tous mes doigts ! C'est comment dedans ? C'est comme ma chatte ?".
"Non ! C'est plus serré ! Moi je préfère ! Comme beaucoup d'hommes d'ailleurs ! mais certains trouvent ça sale !".
Je me lève pour lui donner une petite serviette, qu'elle utilise pour se nettoyer les doigts.
Pendant que je lui essuie les fesses, puis que je la couvre de baisers, sur ce cul magnifique.
Inutile de dire, que peu de temps après, on a recommencé.
Comme on avait pas de capote (en 1983, on en utilisait rarement !), elle m'a redonné son petit cul.
Mon endurance, augmentée grâce à ma première éjaculation, l'a rendue folle.
Elle m'a un peu arrosé la verge, pendant que je l'enculais profondément, avec frénésie, tout en lui titillant le clitoris.
Elle a hurlé de plaisir, à chaque petit jet, en me couvrant de mots d'amour passionnés.
En y glissant aussi:
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Tu m'encules bien, mon amour !".
"Encooorre ! Défonces-moi le cul ! Pascal ! Plus fort !".
Au delà du plaisir anal, qui ne l'emmène pas encore à l'orgasme (c'est trop tôt!), cette pratique révèle son gout pour le sexe vicieux, et j'aime ça !
Quand j'ai à nouveau explosé en elle, j'ai agrémenté mon plaisir en lui polluant l'entrée de l'anus.
Ensuite, je me suis posé à ses cotés, vidé de toute mon énergie.
On s'est endormis, sans nous en rendre compte.
Au petit matin, elle m'a sorti de mon sommeil par des bruits de flatulences anales.
Je l'entendais dans mes toilettes, qui se vidait lentement.
Elle me rejoint ensuite.
"Je suis désolé pour ça ! Adeline ! Tu m'en veux pas ?".
"Non, c'était trop bon, mon amour ! Et puis, c'est moi qui l'ai voulu ! On recommencera souvent, j'espère !".
"Autant, que tu le voudras ! Je ne demande pas mieux, j'aime jouir avec toi !".
"Hummmm ! Moi aussi ! Pascal ! Par contre ! je sais pas si c'est toujours comme ça, mais pour le transit ! C'est radical !".
Je ris de tout mon corps ! J'adore cette fille, décidément !
Au point que j'ai peur qu'elle finisse par gagner ! Je m'attache à elle ! C'est sûr !
Elle est retournée chez ses parents, un peu avant midi, et après une longue et merveilleuse fellation.
Elle ne voulait rien laisser à ma copine !
Le résultat, c'est qu'au contraire, elle n'a fait que renforcer mon endurance.
Mais mon problème était renforcé lui aussi ! Cette double relation devenait un piège, de plus en plus contraignant.
Plus je repoussais l'inévitable, et plus, il me serait difficile de la quitter !
Après cette soirée, on a pratiqué la sodomie, un jour sur trois environ.
Avec de plus en plus de plaisir, pour elle.
"C'est meilleur à chaque fois ! C'est normal ?".
"Oui, jusqu'au jour, ou tu auras un vrai orgasme ! Sans te toucher ! Rien qu'avec ton cul !".
"Hummm ! J'ai hâte ! Ca doit être génial !".
"Il faut vraiment se laisser aller, pour ça !".
C'est arrivé par hasard. Ce soir là, on s'est fait un petit délire alcools !
A l'Adelscott pour les deux !
Elle est vite devenue excitée, au bout de deux bières !
Moi, je voulais garder le contrôle, et j'ai arrêté là !
Elle m'a pris la verge entre ses gros seins, pour me sucer en même temps.
Ensuite, elle a plongé ma bite dans son verre, pour me la lécher ensuite, avec vice.
"Hummm ! Ca m'excite, mon amour ! Elle est bonne, comme ça !".
Je me laisse faire en égoïste, j'adore ça, moi aussi !
Elle se dénude entièrement, puis se place en position de chienne soumise.
Je me dénude aussi, puis me colle à son vagin.
"Non ! Pas par là ! Encules moi ! Mon amour !".
Je me baisse pour lui saliver l'anus longuement.
"Orhhhh ! Oui comme ça ! J'aime ta langue sur mon petit cul !".
Je remonte ensuite, pour m'enfoncer en elle.
Elle s'écartèle les fesses, pour ouvrir sa petite rondelle anale.
Elle m'accueille de plus en plus facilement.
Puis, j'entre dans une série d'enfoncements profonds dans son cul.
Les effets de l'alcool ne font qu'augmenter pour elle.
Elle se jette comme une folle sur ma queue.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon, Pascal ! Tu m'encules trop bien ! Encooorrre ...".
J'ai l'impression d'être dépassé par ses désirs pervers.
Mais je décide de m'y donner à fond.
Je lui défonce le cul sans retenue, presque avec violence.
Elle m'en réclame plus encore.
Mon rythme est devenu sauvage et frénétique.
Ses râles n'en devienne plus qu'un, qui est continu et puissant.
Puis, elle crie plus fort.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ca y est, Pascal ! Je crois que je jouiiiiiiiis ... Je jouis du cul ! Arggggggggggggggggggggg !".
Un jet incroyablement fort gicle entre mes cuisses !
Elle m'arrose de cyprine.
Puis, les jets puissants s'enchainent, en même temps, qu'elle hurle son plaisir.
C'en est trop pour moi ! J'explose en elle, en la comprimant contre mon pubis.
Un dernier jet me trempe les couilles.
Je remarque son épuisement de bonheur évident.
"Orghhhhhhhhhhhh ! Pascal ! C'était génial ! Putain, ce que c'est bon de jouir comme ça ! Oh, mon dieu ! Et toi ? Tu as bien joui ?".
"Orhhh ! Oui, C'était fou ! J'ai adoré comment tu m'as arrosé ! Tu m'as rendu dingue !".
"Merci, mon amour !".
"Merci ? Pourquoi ?".
"Pour m'avoir fait connaitre ce plaisir ! Pourquoi les gens disent que c'est mal de faire ça ? Maintenant, je comprends les pédés ! Ils ont raison ! C'est bon de se faire prendre par là ! Tu devrais essayer !".
"Euh, ...On va changer de sujet !".
L'alcool la désinhibe, elle me demande:
"J'ai envie de quelque chose ! Tu veux bien me faire plaisir ?".
"Tout ce que tu veux ! Je te dois bien ça !".
Elle se contorsionne le fessier, en le cambrant sous mes yeux.
"Hummm ! J'ai envie que tu me lèches le cul !".
J'ai pas réfléchi, et me suis penché entre ses fesses, pour lui lécher l'anus, en avalant mon propre sperme au passage.
J'ai compris mes amants, du coup, c'est vrai que c'est excitant !
Et je comprends aussi ma belle Adeline, qui gémit grâce à ma langue, puisque j'ai vécu la même chose avec des hommes.
Je rejoins sa bouche ensuite, pour un baiser pervers et amoureux.
Elle éloigne ses lèvres pour dire:
"Hummm ! T'as encore le gout de ton sperme, j'adore ! C'est excitant !".
On recolle nos bouches, pour retrouver ce gout de plaisir masculin.
On s'est assoupi légèrement ensuite, avant de remettre ça !
Quand j'ai eu la force de la quitter, on avait le tour de toutes les pratiques sexuelles de base, voire plus encore.
Notre attirance physique nous a fait nous retrouver, plusieurs fois.
Puis, devant l'évidence de mon amour pour ma copine, c'est elle qui m'a quitté, pour ne plus souffrir.
Elle a disparu de la ville, je n'ai jamais eu de ses nouvelles !
Où que tu sois, je te demande pardon, Adeline !
Cette histoire ajoutée à d'autres similaires, m'a convaincu que l'amour n'est pas un jeu.
On ne peut pas aimer tout le monde, sans un minimum d'investissement, envers ses personnes.
Au début, je pensais leur apporter du bonheur, mais ces filles en voulaient davantage.
Le plaisir physique ne suffisait pas, elles voulaient le garçon aussi !
Mais on ne peut pas se multiplier. Quel dommage !
J'ai reçu la visite d'Ahmed, après notre rupture.
Il tombait à pic, je me suis servi de lui pour évacuer mon envie d'autopunition, mais c'est une autre histoire.
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