L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°452 -
La chienne soumise MDE est excitée par la situation confuse qui fait rage dans son esprit mais aussi et surtout par la présence physique si proche du Maître Vénéré qui fait battre son cœur et frémir son être tout entier, dès qu’elle est à Ses pieds en réel. Elle sent son corps de chienne-soumise en chaleur qui suinte de l’intérieur et ses fesses tout comme son bas-ventre qui se crispent de félicités sensuelles et intellectuelles de pouvoir être ce qu’elle est, une esclave-soumise aux pieds du Maître, juste bonne à être dressée et Dominée. Elle n’ignore pas qu’en contrepartie, cela implique qu’elle doit être punie chaque fois qu’elle est défaillante ou désobéissante, ou simplement dès que Le Maître a été courroucé par le moindre de ses actes ou de ses manquements, car cela fait partie de son dressage et de ce qui peut lui permettre de s’améliorer dans son cheminement d’esclave-soumise. Elle en a accepté le principe dès le début bien qu’elle n’aime pas plus que cela le fait de devoir être punie par sa faute, car elle est consciente que le Marquis d’Evans n’aime pas du tout de son côté être dans l’obligation de devoir punir l’un ou l’une quelconque de ses soumis et soumises, et que cela induit chez elle une double culpabilité d’avoir fauté d’une part, et d’avoir contraint Le Maître à la sanctionner.
- Ma chienne, tu vas dans un premier temps, me citer toutes les questions qui te reviennent en mémoire et auxquelles tu n’avais pas su répondre tantôt. Si tu m’énonces la réponse correcte, cette fois-ci, à l’inverse de ce matin, j’en tiendrai compte et ce ne seront que des coups de cravache. Je t’écoute et ne me fait pas perdre mon temps. Si tu restes sans parler pendant plus de 15 secondes d’affilée, je considérerai que tu as terminé ton énumération. Voyons donc voir ce que ta mémoire a retenu de la matinée instructive que tu aurais dû passer entre ces murs. Tu dois savoir que la réunionite inutile où chacun perd son temps pour ne rien dire ou ne rien faire n’est pas du tout mon fort. Chaque moment passé à travailler doit être utilement productif pour tous, pas question de rêvasser dans son coin si l’on veut fait partie de l’une des sociétés de Monsieur le Marquis d’Evans, je ne suis pas un bourreau de travail qui met la pression au-delà du raisonnable sur ses subordonnés, mais je n’aime pas m’entourer de personnes qui n’apprécient pas le travail qu’elles ont à faire et sur lesquelles je ne peux pas compter parce qu’elles ont un poil dans la main, ou pire une forêt vierge.
Thaïs MDE arrive à se rappeler de 16 questions posées le matin même sur les 28 litigieuses. Pour 13 d’entre elles, elle donne cette fois la bonne réponse, faisant appel à ses souvenirs encore frais dans sa mémoire. Puis un temps de silence interrompt ce jeu de questions-réponses, tandis que le Marquis d’Evans reprend.
- Et bien nous allons commencer ainsi par 13 coups de cravache, et comme je veux que tu sentes bien la différence dans l’intensité croissante de cette correction, tu vas presque pouvoir apprécier cette première partie de la punition à niveau réduit puisque tu as su à bon escient profiter de la réunion pour retenir certains éléments que tu ignorais encore quelques heures plus tôt. Mais cela ne sera pas si agréable non plus car je tiens à te marquer profondément dans ton esprit et dans ta chair à la fois eu égard à ce qui s’est passé en début de matinée qui m’a déplu et qui justifie que tu sois punie, mais également pour la suite de la journée et en particulier le déjeuner auquel tu vas participer et au terme duquel, il est important que tu puisses servir mes intérêts, comme je te l’ai expliqué juste avant, en devenant officiellement Isabelle, mon associée, mais tout en restant mon esclave-soumise obéissante qui sera chargée en douce d’amadouer la femme avec qui je suis en pourparlers d’affaires et de lui faire découvrir le monde de la D/s, en lui faisant comprendre combien tu es une esclave heureuse à Mes pieds.
Thaïs MDE est plutôt contente d’entendre Le Maître Vénéré à nouveau parler de la suite de la journée et de ce qu’il attend d’elle, car elle sait que cela reste la preuve qu’IL n’a pas perdu confiance en elle, même s’il est normal qu’IL exige de la punir comme IL l’entend pour sa première prestation imparfaite de la matinée. Elle est prête à tout accepter du Maître Vénéré, à fortiori lorsqu’elle sait que cela va servir Ses intérêts, et c’est donc avec un grand plaisir qu’elle attend docilement les coups qui ne devraient pas tarder à tomber, les 13 coups de cravaches et les 20 restants dont elle ignore encore la nature, mais s’en remettant totalement à ce qui lui sera imposé par Monsieur le Marquis d’Evans, même si elle doit en souffrir pour endurer le châtiment imposé.
- Allonge-toi à plat ventre en travers de la table à droite de manière à ce que ta tête déborde à l’avant.
La chienne s’installe comme exigée par le Maître qui attrape une cravache fine qui marque bien, avant de se positionner juste devant la tête de Thaïs MDE. Le Marquis d’Evans détache sa ceinture de cuir noir, ouvre sa braguette et descend légèrement son boxer duquel il dégage une queue qui frétille déjà, montrant son désir de se redresser à nouveau.
- A chaque coup, tu compteras et puis tu ajouteras « Merci, Maître Vénéré » juste après avoir déposé un baiser sur la Divine Queue du Maître. Bien évidemment, tu connais la règle, si tu te trompes dans le nombre, si tu oublies les remerciements ou le baiser, je remets le compteur à zéro. Sache que j’ai décidé que je ne te préviendrais plus dorénavant de cette règle permanente, car il me semble que tu en as été assez informée pour savoir qu’elle fera partie intégrante de tes obligations d’esclave-soumise à mes pieds, sauf avis contraire de Ma part. Et bien évidemment, pour de simples coups de cravache, pas un seul bruit et pas la moindre plainte ! Tu m’as bien compris, Ma chienne qui doit savoir que ce n’est pas donné à tout le monde de devenir mon associée, et qui se doit d’en être honorée et reconnaissante !
Thaïs MDE allongée sur la table, prête à recevoir la cravache, hoche la tête pour montrer qu’elle a bien entendu et retenu les consignes. Le Châtelain donne un premier coup plus léger pour faire comprendre qu’il commence et que l’esclave sanctionnée doit se concentrer, mais très vite, il cingle fortement sur la croupe de la chienne qui porte la trace caractéristique de tous les aplats de la cravache qui font comme autant de petits rectangles rouges parsemés en damier sur les fesses de Son esclave. La soumise cravachée à chaque coup dépose un humble baiser en guise de remerciements sur la queue du Maître, ce qui provoque en elle un plaisir humide et sensuel qu’elle a bien du mal à retenir dans son bas-ventre réactif, d’autant plus qu’elle voit de près l’effet que produisent ses baisers lorsqu’elle vient déposer délicatement ses lèvres douces sur le gland ou la hampe du sexe gonflée de Monsieur le Marquis d’Evans qui se redresse de plus en plus. Elle se demande même si elle ne devrait pas dire deux fois « Merci, Maître Vénéré », le premier pour le coup reçu, mais le deuxième pour le voluptueux plaisir d’avoir le droit de venir embrasser l’attribut phallique du Maître qu’elle honore de toute son âme et de tout son corps sensuel en émoi.
Le Marquis d’Evans ne tarde pas à venir à bout des 13 petits coups de cravache, assez content d’avoir commencé à donner quelques premières couleurs vives au postérieur rougi de Sa femelle-soumise qu’il entend pouvoir dénuder et exhiber avec toutes Ses marques à la fin du repas d’affaires. Mais les 13 baisers déposés sur Sa Divine Queue n’ont pas laissé l’Homme viril insensible. Il avait fait montre de contrôle sur lui-même un peu plus tôt lorsqu’il voulait faire comprendre à son esclave qu’elle devait apprendre à retenir la montée de sa jouissance lorsqu’elle n’était pas autorisée à jouir car tous ses plaisirs sont maintenant sous l’unique contrôle du Maître Vénéré. IL n’est plus dans le même cas de figure et IL n’entend pas se priver d’une gâterie que Son corps et Son esprit réclament, sous le seul prétexte qu’IL a commencé à administrer le châtiment de Thaïs MDE et qu’IL n’a dispensé qu’environ un tiers des coups décidés.
- Tu m’as fait bander Ma petite chienne-salope en chaleur, alors il va falloir maintenant terminer ce que tu as commencé et me vider les couilles. Quand à toi, même si je me doute que ces quelques coups de cravache ont mis le feu à ta chatte humide, il semble que tu as déjà bien pris ton pied ce matin en te laissant fourrer le cul par le premier venu que tu as interpellé pour te faire enculer et en profiter pour jouir du cul. Donc pas question de te permettre d’avoir des orgasmes à tout bout de champ, d’autant plus à fortiori que pour l’instant tu es en train de recevoir ta correction cinglante, et que cet intermède jouissif n’est là que pour mon seul plaisir et celui de ma Divine Queue de Maître que tu vas sucer avec ta langue de chienne. Sois honorée de pouvoir le faire car je reste un Maître faisant preuve de magnanimité et sois heureuse de savoir que ta bouche va servir de fourreau soyeux pour Ma verge gonflée.
L’esclave ne se permet pas de relever le fait que Le Maître revient encore une fois sur son aventure sodomite matinale qui ne lui a pas vraiment permis de prendre son pied puisque c’est par pure obéissance qu’elle a subi les assauts virils d’un inconnu (car la soumise ne sait toujours pas de qui il s’agit) sans avoir même autorisée à jouir, ne pouvant libérer la tension qui avait mis le feu à son bas-ventre et son intimité anale dilatée. Il n’est nullement question pour elle de contester les propos du Dominant, d’autant plus que Thaïs MDE est plus qu’heureuse à l’idée de pouvoir se délecter du Bâton de Joie du Maître qu’elle a sous les yeux depuis le début de la correction et qu’elle est plus qu’excitée de voir ce Viril Joyau phallique pointer vers ses lèvres avec désir.
Le Marquis d’Evans sans attendre attrape de la main gauche les cheveux de Thaïs MDE pour lui redresser la tête, tout en la laissant dans la position à plat ventre allongée sur la table. IL s’approche et sans ménagement fourre son phallus raide et turgescent entre les lèvres de la femelle qui s’ouvrent grand pour pouvoir l’avaler le plus profondément possible. Le Marquis d’Evans commence à ramoner l’orifice buccal de Sa chienne tout en la tenant par les cheveux pour lui imposer le rythme d’une fellation soutenue et en gorge profonde, se reculant néanmoins de temps en temps pour lui permettre cependant de reprendre son souffle, mais n’hésitant pas à rentrer à nouveau vivement et intensément, jusqu’à venir toucher le fond de la gorge et presque la glotte, provoquant chez la soumise des hauts le cœur qu’elle se doit de contenir pour pouvoir garder en bouche le membre pénétrant et possédant. Thaïs MDE est très excitée de pouvoir être autorisée à lécher le Maître et elle s’applique de son mieux pour faire tourner sa langue sur le gland sensible ou serrer ses lèvres douces et onctueuses sur la hampe qui entre et sort à chaque coup de marteau la pilonnant. Elle a du mal à contenir la montée du plaisir qui la prend d’être simplement devenue un objet de plaisir pour le Maître Vénéré qui exprime son ravissement par quelques remarques qui donnent encore plus d’énergie gourmande à Thaïs MDE.
- « ah, que c’est bon » …………. « C’est cela, sois chienne pour Le Maître » ……. « Tu es vraiment une chienne en chaleur, mais tu n’en profites surtout pas pour jouir, je te l’ai interdit » ………
La soumise essaye de se concentrer sur sa tâche de pompeuse-suceuse pour calmer son excitation croissante, car il ne s’en faudrait pas de beaucoup pour qu’elle jouisse du simple plaisir d’entendre Le Maître qui ahane de plus en plus fort, le sentant au bord de l’éjaculation. Mais, elle a crispé ses mains sur la table pour résister et elle contracte les muscles fessiers et ceux internes de son bas-ventre pour ne pas se laisser submerger et risquer de déplaire au Maître Vénéré qui ne l’a pas autorisé à atteindre l’orgasme. Elle reste sur la crête des plaisirs, excitée au point d’être prise de petits spasmes incontrôlables. Le Marquis d’Evans qui a bien profité de la douceur de cet écrin accueillant et docile, se retire d’un coup sec à l’instant ultime pour répandre son sperme chaud sur le visage et les cheveux de son esclave dont IL vient de relever la tête pour pouvoir l’asperger tout à sa guise. Après quelques râles jouissifs, IL reprend sa respiration et enfourne sa queue encore tendue de laquelle s’échappent les dernières gouttes de son nectar.
- Lèche Ma chienne, nettoie la Queue du Maître. Au moins cela tu sais bien le faire sans te tromper ! Ce matin, J’aurais dû annoncer à Mes collaborateurs que j’avais trouvé une bonne putain suceuse douée pour la fellation et non pas une chef d’entreprise peu ou pas douée pour les questions, celle-là même dont je souhaitais faire mon associée en même temps qu’elle devenait mon esclave-soumise. Faudra-t-il donc que je ne compte aussi que sur tes orifices à disposition et ta lubricité pour notre collaboration dans le monde des affaires ? N’oublie pas que Je suis devenue propriétaire de ton corps, de ton âme et de tout ton esprit, et il me semblait que dans ta boite crânienne, il y avait autre chose qu’un petit pois chiche rabougri qui pourrait faire mon affaire dans mes affaires. Encore que j’aurai dû savoir que les cervelles des chiennes en chaleur ne sont pas très développées, juste bonnes à savoir comment il faut faire pour écarter les cuisses, les fesses et les lèvres.
Thaïs MDE pourrait se sentir humiliée des propos du Maître Vénéré, mais elle est bien trop contente d’être là entre ses mains, et son ravissement d’esclave dévouée l’emporte sur tout autre sentiment plus négatif. Elle sent le sperme qui coule sur son visage et lui macule les joues, une semence dont elle reconnaît l’odeur maintenant avec délectation. Elle ne bouge pas, gardant le regard baissé à défaut de pouvoir remuer la tête, en attendant que le Maître qui la regarde intensément lui ordonne autre chose. Le Marquis d’Evans de la main droite étale Sa semence épaisse sur le visage de sa chienne-femelle.
- Il te faudra me remercier pour cette bonne crème que je suis en train de t’étaler sur la figure. C’est très bon pour la peau. De toute manière, il n’était pas question que je laisse ton gosier profiter de mon succulent nectar. Tu dois savoir que tout ce qui vient du Maître est rare et précieux. C’est donc quelque chose qui se mérite, et aujourd’hui tu as pour l’instant démérité, mais j’exige que tu te rattrapes à midi, si tu ne veux pas encourir ma désapprobation et de nouvelles punitions. Pour l’heure, tu restes encore une soumise-associée punie à qui je n’ai pas encore accordé mon pardon. Tu vas juste pouvoir être autorisée à me lécher la main pour que je puisse continuer à distribuer ma punition car tes fesses ont encore conservé un teint blafard malgré ces premières petites marques, et cela ne me convient pas du tout.
La chienne-femelle malgré la peau qui commence à lui tirer tandis que le sperme étalé sur sa figure et ses cheveux commence à sécher, ouvre la bouche et tire la langue pour nettoyer chacun des doigts et la paume emplis de semence. Thaïs MDE regarde avec dévotion les yeux baissés cette main droite dont elle sait très bien qu’elle est puissante, protectrice, magnanime, mais ferme lorsqu’il s’agit de punir. Le Maître Vénéré essuie à la fin sa main encore humide de la salive de la langue de Sa chienne sur la peau lisse de son dos, avant de venir tendre la main courbée à l’équerre devant la bouche de Thaïs MDE qui y dépose de nombreux baisers de remerciements du bout des lèvres, faisant attention de ne pas resalir le Maître avec toute la semence qu’elle a encore conservée sur le visage, en guise de crème de jour.
- Oui, c’est cela embrasse humblement et avec gratitude cette main, qui t’a donné tes premiers 13 coups de cravache, et qui va t’administrer la suite plus conséquente de ta punition pour les 20 questions-réponses erronées restantes, des imperfections, certes professionnelles, mais que je ne peux laisser passer ainsi sans te corriger, ni en tant que Maître, ni même en tant que Président Directeur Général, car j’exige de Mon esclave-associée un comportement exemplaire et sans la moindre défaillance. Alors, voyons maintenant, ces 20 ……
(A suivre…..)
La chienne soumise MDE est excitée par la situation confuse qui fait rage dans son esprit mais aussi et surtout par la présence physique si proche du Maître Vénéré qui fait battre son cœur et frémir son être tout entier, dès qu’elle est à Ses pieds en réel. Elle sent son corps de chienne-soumise en chaleur qui suinte de l’intérieur et ses fesses tout comme son bas-ventre qui se crispent de félicités sensuelles et intellectuelles de pouvoir être ce qu’elle est, une esclave-soumise aux pieds du Maître, juste bonne à être dressée et Dominée. Elle n’ignore pas qu’en contrepartie, cela implique qu’elle doit être punie chaque fois qu’elle est défaillante ou désobéissante, ou simplement dès que Le Maître a été courroucé par le moindre de ses actes ou de ses manquements, car cela fait partie de son dressage et de ce qui peut lui permettre de s’améliorer dans son cheminement d’esclave-soumise. Elle en a accepté le principe dès le début bien qu’elle n’aime pas plus que cela le fait de devoir être punie par sa faute, car elle est consciente que le Marquis d’Evans n’aime pas du tout de son côté être dans l’obligation de devoir punir l’un ou l’une quelconque de ses soumis et soumises, et que cela induit chez elle une double culpabilité d’avoir fauté d’une part, et d’avoir contraint Le Maître à la sanctionner.
- Ma chienne, tu vas dans un premier temps, me citer toutes les questions qui te reviennent en mémoire et auxquelles tu n’avais pas su répondre tantôt. Si tu m’énonces la réponse correcte, cette fois-ci, à l’inverse de ce matin, j’en tiendrai compte et ce ne seront que des coups de cravache. Je t’écoute et ne me fait pas perdre mon temps. Si tu restes sans parler pendant plus de 15 secondes d’affilée, je considérerai que tu as terminé ton énumération. Voyons donc voir ce que ta mémoire a retenu de la matinée instructive que tu aurais dû passer entre ces murs. Tu dois savoir que la réunionite inutile où chacun perd son temps pour ne rien dire ou ne rien faire n’est pas du tout mon fort. Chaque moment passé à travailler doit être utilement productif pour tous, pas question de rêvasser dans son coin si l’on veut fait partie de l’une des sociétés de Monsieur le Marquis d’Evans, je ne suis pas un bourreau de travail qui met la pression au-delà du raisonnable sur ses subordonnés, mais je n’aime pas m’entourer de personnes qui n’apprécient pas le travail qu’elles ont à faire et sur lesquelles je ne peux pas compter parce qu’elles ont un poil dans la main, ou pire une forêt vierge.
Thaïs MDE arrive à se rappeler de 16 questions posées le matin même sur les 28 litigieuses. Pour 13 d’entre elles, elle donne cette fois la bonne réponse, faisant appel à ses souvenirs encore frais dans sa mémoire. Puis un temps de silence interrompt ce jeu de questions-réponses, tandis que le Marquis d’Evans reprend.
- Et bien nous allons commencer ainsi par 13 coups de cravache, et comme je veux que tu sentes bien la différence dans l’intensité croissante de cette correction, tu vas presque pouvoir apprécier cette première partie de la punition à niveau réduit puisque tu as su à bon escient profiter de la réunion pour retenir certains éléments que tu ignorais encore quelques heures plus tôt. Mais cela ne sera pas si agréable non plus car je tiens à te marquer profondément dans ton esprit et dans ta chair à la fois eu égard à ce qui s’est passé en début de matinée qui m’a déplu et qui justifie que tu sois punie, mais également pour la suite de la journée et en particulier le déjeuner auquel tu vas participer et au terme duquel, il est important que tu puisses servir mes intérêts, comme je te l’ai expliqué juste avant, en devenant officiellement Isabelle, mon associée, mais tout en restant mon esclave-soumise obéissante qui sera chargée en douce d’amadouer la femme avec qui je suis en pourparlers d’affaires et de lui faire découvrir le monde de la D/s, en lui faisant comprendre combien tu es une esclave heureuse à Mes pieds.
Thaïs MDE est plutôt contente d’entendre Le Maître Vénéré à nouveau parler de la suite de la journée et de ce qu’il attend d’elle, car elle sait que cela reste la preuve qu’IL n’a pas perdu confiance en elle, même s’il est normal qu’IL exige de la punir comme IL l’entend pour sa première prestation imparfaite de la matinée. Elle est prête à tout accepter du Maître Vénéré, à fortiori lorsqu’elle sait que cela va servir Ses intérêts, et c’est donc avec un grand plaisir qu’elle attend docilement les coups qui ne devraient pas tarder à tomber, les 13 coups de cravaches et les 20 restants dont elle ignore encore la nature, mais s’en remettant totalement à ce qui lui sera imposé par Monsieur le Marquis d’Evans, même si elle doit en souffrir pour endurer le châtiment imposé.
- Allonge-toi à plat ventre en travers de la table à droite de manière à ce que ta tête déborde à l’avant.
La chienne s’installe comme exigée par le Maître qui attrape une cravache fine qui marque bien, avant de se positionner juste devant la tête de Thaïs MDE. Le Marquis d’Evans détache sa ceinture de cuir noir, ouvre sa braguette et descend légèrement son boxer duquel il dégage une queue qui frétille déjà, montrant son désir de se redresser à nouveau.
- A chaque coup, tu compteras et puis tu ajouteras « Merci, Maître Vénéré » juste après avoir déposé un baiser sur la Divine Queue du Maître. Bien évidemment, tu connais la règle, si tu te trompes dans le nombre, si tu oublies les remerciements ou le baiser, je remets le compteur à zéro. Sache que j’ai décidé que je ne te préviendrais plus dorénavant de cette règle permanente, car il me semble que tu en as été assez informée pour savoir qu’elle fera partie intégrante de tes obligations d’esclave-soumise à mes pieds, sauf avis contraire de Ma part. Et bien évidemment, pour de simples coups de cravache, pas un seul bruit et pas la moindre plainte ! Tu m’as bien compris, Ma chienne qui doit savoir que ce n’est pas donné à tout le monde de devenir mon associée, et qui se doit d’en être honorée et reconnaissante !
Thaïs MDE allongée sur la table, prête à recevoir la cravache, hoche la tête pour montrer qu’elle a bien entendu et retenu les consignes. Le Châtelain donne un premier coup plus léger pour faire comprendre qu’il commence et que l’esclave sanctionnée doit se concentrer, mais très vite, il cingle fortement sur la croupe de la chienne qui porte la trace caractéristique de tous les aplats de la cravache qui font comme autant de petits rectangles rouges parsemés en damier sur les fesses de Son esclave. La soumise cravachée à chaque coup dépose un humble baiser en guise de remerciements sur la queue du Maître, ce qui provoque en elle un plaisir humide et sensuel qu’elle a bien du mal à retenir dans son bas-ventre réactif, d’autant plus qu’elle voit de près l’effet que produisent ses baisers lorsqu’elle vient déposer délicatement ses lèvres douces sur le gland ou la hampe du sexe gonflée de Monsieur le Marquis d’Evans qui se redresse de plus en plus. Elle se demande même si elle ne devrait pas dire deux fois « Merci, Maître Vénéré », le premier pour le coup reçu, mais le deuxième pour le voluptueux plaisir d’avoir le droit de venir embrasser l’attribut phallique du Maître qu’elle honore de toute son âme et de tout son corps sensuel en émoi.
Le Marquis d’Evans ne tarde pas à venir à bout des 13 petits coups de cravache, assez content d’avoir commencé à donner quelques premières couleurs vives au postérieur rougi de Sa femelle-soumise qu’il entend pouvoir dénuder et exhiber avec toutes Ses marques à la fin du repas d’affaires. Mais les 13 baisers déposés sur Sa Divine Queue n’ont pas laissé l’Homme viril insensible. Il avait fait montre de contrôle sur lui-même un peu plus tôt lorsqu’il voulait faire comprendre à son esclave qu’elle devait apprendre à retenir la montée de sa jouissance lorsqu’elle n’était pas autorisée à jouir car tous ses plaisirs sont maintenant sous l’unique contrôle du Maître Vénéré. IL n’est plus dans le même cas de figure et IL n’entend pas se priver d’une gâterie que Son corps et Son esprit réclament, sous le seul prétexte qu’IL a commencé à administrer le châtiment de Thaïs MDE et qu’IL n’a dispensé qu’environ un tiers des coups décidés.
- Tu m’as fait bander Ma petite chienne-salope en chaleur, alors il va falloir maintenant terminer ce que tu as commencé et me vider les couilles. Quand à toi, même si je me doute que ces quelques coups de cravache ont mis le feu à ta chatte humide, il semble que tu as déjà bien pris ton pied ce matin en te laissant fourrer le cul par le premier venu que tu as interpellé pour te faire enculer et en profiter pour jouir du cul. Donc pas question de te permettre d’avoir des orgasmes à tout bout de champ, d’autant plus à fortiori que pour l’instant tu es en train de recevoir ta correction cinglante, et que cet intermède jouissif n’est là que pour mon seul plaisir et celui de ma Divine Queue de Maître que tu vas sucer avec ta langue de chienne. Sois honorée de pouvoir le faire car je reste un Maître faisant preuve de magnanimité et sois heureuse de savoir que ta bouche va servir de fourreau soyeux pour Ma verge gonflée.
L’esclave ne se permet pas de relever le fait que Le Maître revient encore une fois sur son aventure sodomite matinale qui ne lui a pas vraiment permis de prendre son pied puisque c’est par pure obéissance qu’elle a subi les assauts virils d’un inconnu (car la soumise ne sait toujours pas de qui il s’agit) sans avoir même autorisée à jouir, ne pouvant libérer la tension qui avait mis le feu à son bas-ventre et son intimité anale dilatée. Il n’est nullement question pour elle de contester les propos du Dominant, d’autant plus que Thaïs MDE est plus qu’heureuse à l’idée de pouvoir se délecter du Bâton de Joie du Maître qu’elle a sous les yeux depuis le début de la correction et qu’elle est plus qu’excitée de voir ce Viril Joyau phallique pointer vers ses lèvres avec désir.
Le Marquis d’Evans sans attendre attrape de la main gauche les cheveux de Thaïs MDE pour lui redresser la tête, tout en la laissant dans la position à plat ventre allongée sur la table. IL s’approche et sans ménagement fourre son phallus raide et turgescent entre les lèvres de la femelle qui s’ouvrent grand pour pouvoir l’avaler le plus profondément possible. Le Marquis d’Evans commence à ramoner l’orifice buccal de Sa chienne tout en la tenant par les cheveux pour lui imposer le rythme d’une fellation soutenue et en gorge profonde, se reculant néanmoins de temps en temps pour lui permettre cependant de reprendre son souffle, mais n’hésitant pas à rentrer à nouveau vivement et intensément, jusqu’à venir toucher le fond de la gorge et presque la glotte, provoquant chez la soumise des hauts le cœur qu’elle se doit de contenir pour pouvoir garder en bouche le membre pénétrant et possédant. Thaïs MDE est très excitée de pouvoir être autorisée à lécher le Maître et elle s’applique de son mieux pour faire tourner sa langue sur le gland sensible ou serrer ses lèvres douces et onctueuses sur la hampe qui entre et sort à chaque coup de marteau la pilonnant. Elle a du mal à contenir la montée du plaisir qui la prend d’être simplement devenue un objet de plaisir pour le Maître Vénéré qui exprime son ravissement par quelques remarques qui donnent encore plus d’énergie gourmande à Thaïs MDE.
- « ah, que c’est bon » …………. « C’est cela, sois chienne pour Le Maître » ……. « Tu es vraiment une chienne en chaleur, mais tu n’en profites surtout pas pour jouir, je te l’ai interdit » ………
La soumise essaye de se concentrer sur sa tâche de pompeuse-suceuse pour calmer son excitation croissante, car il ne s’en faudrait pas de beaucoup pour qu’elle jouisse du simple plaisir d’entendre Le Maître qui ahane de plus en plus fort, le sentant au bord de l’éjaculation. Mais, elle a crispé ses mains sur la table pour résister et elle contracte les muscles fessiers et ceux internes de son bas-ventre pour ne pas se laisser submerger et risquer de déplaire au Maître Vénéré qui ne l’a pas autorisé à atteindre l’orgasme. Elle reste sur la crête des plaisirs, excitée au point d’être prise de petits spasmes incontrôlables. Le Marquis d’Evans qui a bien profité de la douceur de cet écrin accueillant et docile, se retire d’un coup sec à l’instant ultime pour répandre son sperme chaud sur le visage et les cheveux de son esclave dont IL vient de relever la tête pour pouvoir l’asperger tout à sa guise. Après quelques râles jouissifs, IL reprend sa respiration et enfourne sa queue encore tendue de laquelle s’échappent les dernières gouttes de son nectar.
- Lèche Ma chienne, nettoie la Queue du Maître. Au moins cela tu sais bien le faire sans te tromper ! Ce matin, J’aurais dû annoncer à Mes collaborateurs que j’avais trouvé une bonne putain suceuse douée pour la fellation et non pas une chef d’entreprise peu ou pas douée pour les questions, celle-là même dont je souhaitais faire mon associée en même temps qu’elle devenait mon esclave-soumise. Faudra-t-il donc que je ne compte aussi que sur tes orifices à disposition et ta lubricité pour notre collaboration dans le monde des affaires ? N’oublie pas que Je suis devenue propriétaire de ton corps, de ton âme et de tout ton esprit, et il me semblait que dans ta boite crânienne, il y avait autre chose qu’un petit pois chiche rabougri qui pourrait faire mon affaire dans mes affaires. Encore que j’aurai dû savoir que les cervelles des chiennes en chaleur ne sont pas très développées, juste bonnes à savoir comment il faut faire pour écarter les cuisses, les fesses et les lèvres.
Thaïs MDE pourrait se sentir humiliée des propos du Maître Vénéré, mais elle est bien trop contente d’être là entre ses mains, et son ravissement d’esclave dévouée l’emporte sur tout autre sentiment plus négatif. Elle sent le sperme qui coule sur son visage et lui macule les joues, une semence dont elle reconnaît l’odeur maintenant avec délectation. Elle ne bouge pas, gardant le regard baissé à défaut de pouvoir remuer la tête, en attendant que le Maître qui la regarde intensément lui ordonne autre chose. Le Marquis d’Evans de la main droite étale Sa semence épaisse sur le visage de sa chienne-femelle.
- Il te faudra me remercier pour cette bonne crème que je suis en train de t’étaler sur la figure. C’est très bon pour la peau. De toute manière, il n’était pas question que je laisse ton gosier profiter de mon succulent nectar. Tu dois savoir que tout ce qui vient du Maître est rare et précieux. C’est donc quelque chose qui se mérite, et aujourd’hui tu as pour l’instant démérité, mais j’exige que tu te rattrapes à midi, si tu ne veux pas encourir ma désapprobation et de nouvelles punitions. Pour l’heure, tu restes encore une soumise-associée punie à qui je n’ai pas encore accordé mon pardon. Tu vas juste pouvoir être autorisée à me lécher la main pour que je puisse continuer à distribuer ma punition car tes fesses ont encore conservé un teint blafard malgré ces premières petites marques, et cela ne me convient pas du tout.
La chienne-femelle malgré la peau qui commence à lui tirer tandis que le sperme étalé sur sa figure et ses cheveux commence à sécher, ouvre la bouche et tire la langue pour nettoyer chacun des doigts et la paume emplis de semence. Thaïs MDE regarde avec dévotion les yeux baissés cette main droite dont elle sait très bien qu’elle est puissante, protectrice, magnanime, mais ferme lorsqu’il s’agit de punir. Le Maître Vénéré essuie à la fin sa main encore humide de la salive de la langue de Sa chienne sur la peau lisse de son dos, avant de venir tendre la main courbée à l’équerre devant la bouche de Thaïs MDE qui y dépose de nombreux baisers de remerciements du bout des lèvres, faisant attention de ne pas resalir le Maître avec toute la semence qu’elle a encore conservée sur le visage, en guise de crème de jour.
- Oui, c’est cela embrasse humblement et avec gratitude cette main, qui t’a donné tes premiers 13 coups de cravache, et qui va t’administrer la suite plus conséquente de ta punition pour les 20 questions-réponses erronées restantes, des imperfections, certes professionnelles, mais que je ne peux laisser passer ainsi sans te corriger, ni en tant que Maître, ni même en tant que Président Directeur Général, car j’exige de Mon esclave-associée un comportement exemplaire et sans la moindre défaillance. Alors, voyons maintenant, ces 20 ……
(A suivre…..)
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