L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°456 -
Le Marquis d’Evans fait siffler dans l’air la canne à plusieurs reprises avant d’annoncer.
- C’est une mauvaise réponse. Cela en fait donc de 4 ! Puisque je suppose que tu as deviné que je n’avais pas dans l’intention de perdre non plus mon temps à te reposer les trois premières questions dont tu t’es souvenue spontanément mais pour lesquelles tu n’avais pas toujours pas la réponse tout à l’heure. Je continue ……….
Le Businessman sans se laisser perturber enchaine les dernières questions qu’il n’a qu’à lire sur le papier qui lui a été préparé avec minutie par sa secrétaire-soumise Emeline MDE qui lui est si dévouée au quotidien. Voulant accélérer pour passer à la suite qui lui paraît beaucoup intéressante avec le moment où il va pouvoir marquer l’esprit et le corps de sa soumise, il égrène les questions avec juste des « c’est bon » dès que Thaïs MDE commence à répondre correctement, et de plus puissants « Faux » dès qu’elle bredouille dans ses réponses. Le décompte final laisse ressortir 11 réponses exactes et par différences 9 réponses fausses ou manquantes.
- Bon, je n’ai pas que cela à faire. Pour les 9 réponses erronées, tu feras déjà comme tous les mauvais élèves à l’école un devoir de 100 lignes pour chaque, au moins cela devrait rentrer dans ta petite tête.
La soumise-associée est un peu vexée de se voir traitée comme un enfant à qui l’on impose de faire des lignes comme à l’école primaire. Elle se dit que finalement, elle a au moins échappée au coin et au bonnet d’âne qui hantaient les esprits des jeunes élèves au siècle dernier et qu’elle ne s’en sort pas trop mal à n’avoir que 9 fois 100 lignes à recopier si cela peut convenir à satisfaire le Maître Vénéré. Mais Thaïs MDE est bien loin de se douter de ce qui l’attend, car elle n’a pas correctement écouté ce qu’a dit Le Maître, lorsqu’IL a précisé « tu feras … déjà …. » ce qui laissait donc supposer une suite à découvrir. Le Marquis d’Evans attrape la tignasse de son esclave, tire dessus pour la forcer à se redresser rapidement, et il la courbe sur le fauteuil dans lequel il était resté assis tout le temps du jeu de questions-réponses, qui avait plus l’air d’un interrogatoire sanction destiné à laisser l’esclave elle-même s’empêtrer dans ses mauvaises réponses et décider de fait du nombre de coups de canne à recevoir et du nombre résiduel à dispenser d’une toute autre manière. Un petit plaisir que s’est octroyé avec malice le Châtelain qui aime bien impliquer personnellement le fautif ou la fautive dans la détermination de ce qui pourrait presque être apparenté à sa propre « autopunition » en vu de sa rédemption. Sans la prévenir autrement que par quelques coups de canne qui fendent l’air avec un bruit sifflant caractéristiques, le Maître abat avec détermination la fibre d’osier sur les fesses plantureuses de Thaïs MDE qui, autant de surprise que de douleur, se met à hurler, au lieu de répondre comme cela aurait dû être le cas « Un - Merci Maître ». D’une voix lourde et pesante, le Dominant mécontent annonce.
- Et bien ! Zéro !!! Je recommence, mais tâche de ne pas me faire recommencer une seule fois de plus si tu ne veux pas encourir ma désapprobation et mon courroux encore plus durement.
Thaïs MDE aurait bien aimé avoir un bâillon dans la bouche pour l’empêcher de pouvoir geindre ou hurler, mais ne pouvant faire autrement elle serre les dents et les lèvres en attendant le prochain coup qui ne tarde pas, laissant juste sortir un léger soupir en sentant sa respiration se bloquer sous la force de l’impact puissant, dont elle a le sentiment que sa fesse va s’être ouverte en deux tant elle ressent la morsure de la zébrure sur la ligne de contact entre la chair et l’instrument D/s cinglant.
- Un, Merci Maître … (ajoute-t-elle d’une voix tremblante, comme elle le fera à chaque fois par la suite)
L’esclave se dit que cela ne fait que commencer et qu’elle n’est pas encore au bout des onze coups, se demandant bien comment elle va résister jusqu’à la fin de la sanction. Tout en même temps, qu’elle trouve en elle, une force qui se développe tandis que les coups de canne viennent s’abattre sur ses fesses les uns derrière les autres, un plaisir qui n’est pas nécessairement masochiste car il ne nait pas de la douleur physique, mais plus un plaisir cérébral de voir avec quelle docilité elle accepte de subir le châtiment imposé par le Maître et une certaine fierté dans sa capacité à résister malgré la douleur. Ses yeux coulent de manière réactive mais elle tient bon, sentant les chiffres qui montent et annoncent presque la fin de la punition.
- Dix, Merci Maître.
La voix de Thaïs MDE est plus apaisée, malgré la chaleur cuisante qui a envahi ses fesses. Le cerveau a du libérer un certain nombre d’endorphines qui l’aident à supporter physiquement la fustigation en se concentrant sur le terme qui approche et aussi sur sa volonté d’obtenir le Pardon du Maître Vénéré qu’elle espère bien pouvoir implorer à Ses pieds lorsqu’elle y sera autorisée.
- Onze, Merci Maître…. Merci Maître Vénéré du temps que Vous avez pris à me punir pour me permettre de m’améliorer dans mon cheminement de soumise aux pieds du Maître Vénéré auquel j’appartiens corps et âme, tout autant que de me permettre de pouvoir mieux servir à l’avenir les intérêts du Président Directeur Général.
- Tu auras tout le temps de venir me supplier à la fin de la punition, et lorsque je le déciderai ainsi. Tu oublies bien vite les 9 dernières réponses que tu ignores. Tu ne t’étais pas imaginé tout de même que j’allais me contenter de 900 lignes qui sont juste là pour faire travailler ta mémoire comme bouquet final.
L’esclave devient rouge de honte, car effectivement, elle avait bien espéré que ses fesses largement meurtries seraient préservées par la suite, d’autant plus qu’elle trouve déjà que la punition morale, psychologique bien plus que physique, qui l’oblige à se mettre à recopier 9 fois 100 lignes est presque « infamante » et assez difficile tout du moins à imposer à son égo meurtri de Femme d’Affaires accomplie. Mais au fond d’elle, elle ressent aussi une contradiction dans ses ressentis, entre sa part soumise qui en voudrait encore plus et qui y trouve une part de fierté pour ne pas dire de plaisirs, signe que le Maître est très exigeant à son égard, ce qui laisse penser qu’il attend beaucoup d’elle et qu’elle a donc beaucoup de valeur à Ses yeux. Thaïs MDE est malgré tout perdue entre ses pensées contradictoires, ses fesses brûlantes qu’elle voudrait pouvoir apaiser, son esprit qui est malgré tout fier d’avoir supporté tout sans rien dire jusque-là, son désir de soumission qui la pousse à sans cesser rechercher avant tout la satisfaction du Maître, son ressenti physique de femelle excitée par toutes ces ambivalences et son désir charnel en émoi. Le Marquis d’Evans attrape la tignasse de Son esclave et la trainant sans ménagement tout la forçant à se déplacer presque courbée avec la tête baissée, il la guide vers une armoire qui se trouve au fond du bureau. Il positionne la soumise de manière à ce qu’elle puisse voir dans la glace de l’une des portes qu'il entrebâille le reflet de son postérieur qui est marqué outre des aplats de la cravache de 10 zébrures caractéristiques, longues lignes doubles de la largeur de la canne, augmentée d’une certaine irritation rougeâtre qui se propage de part et d’autre de l’impact initial.
Malgré la douleur qui irradie encore sur sa croupe, la chienne-esclave est fière de pouvoir porter les marques du Maître, pas vraiment heureuse au fond d’elle du fait de l’avoir mécontenté en premier et d’avoir mérité une punition, mais malgré tout assez fière d’avoir su accepter et endurer la punition qui allait de pair avec ses manquements, et qui représente d’une certaine manière la preuve de sa soumission et de son appartenance au Maître à qui elle a donné tout pouvoirs pour la Dominer, la dresser et la corriger chaque fois que cela était nécessaire. Thaïs MDE n’ose pas trop lever la tête devant la glace de peur de croiser le regard du Marquis d’Evans dont elle ne sait ce qu’Il est parti faire en s’éloignant, la laissant plantée là à moitié courbée devant la glace qui lui renvoie l’image double de son côté face et de son côté pile vermillon. Temps d’attente volontaire imposé par Le Maître pour que la soumise châtiée puisse bien intégrer dans son esprit les bienfaits de la punition dispensée, qui est là avant tout pour l’aider à ne pas retomber dans les mêmes erreurs une nouvelle fois. Le dos de l’esclave, endolori par la position imposée lui fait comprendre que plusieurs minutes ont dû s’écouler, mais Thaïs MDE a totalement perdu la notion du temps dans cette pièce qui est devenue si silencieuse depuis le départ du Marquis d’Evans. Combien de temps devra-t-elle rester là à attendre ? Elle l’ignore, tout ce dont elle se doute, c’est qu’elle ne doit pas bouger, espérant juste qu’elle n’aura pas encore à subir comme le matin même les assauts d’un inconnu qui en profiterait pour venir la sodomiser tandis qu’elle se laisserait faire. Mais la soumise se rassure en se disant qu’au moins cette fois, elle se trouve devant une glace et qu’elle aurait donc la possibilité même sans trop lever la tête de voir si quelqu’un s’approchait, ce qui lui semble d’autant plus improbable qu’elle se trouve dans l’un des bureaux personnels du Président Directeur Général. Ce n’est qu’au bout d’un très long moment qu’elle entend à nouveau la voix du Maître Vénéré qui approche, visiblement en compagnie de quelqu’un puisque les bruits de pas semblent multiples. Elle pourrait se sentir gênée de se trouver dans cette situation, affichant sur son postérieur les marques infligées par la cravache puis la canne, mais il y a longtemps que la femme-soumise en elle a renoncé à toute pudeur devant le Maître, acceptant tout ce qu’il lui plaira d’imposer à son esclave. Les discussions entre le Marquis d’Evans et l’autre collaborateur semblent purement professionnels et Thaïs MDE ne cherchent même pas à écouter la portée de ces échanges, sauf lorsqu’elle entend que l’on parle d’elle.
- Ma chienne Emeline MDE, laisse-moi maintenant, car j’ai encore la fin de la punition à infliger à ta sœur de soumission. Tu as bien compris toutes mes recommandations. Je compte sur toi pour veiller à ce qu’elle soit après mon départ soignée, lavée, coiffée, maquillée et habillée comme je l’ai exigé et puis conduite, une fois transformée en Isabelle, dans la pièce attenante à la salle à manger prête à attendre Mon arrivée et celle de mes deux convives professionnels.
- Oui, Maître Vénéré, j’ai bien tout retenu. Ne Vous inquiétez pas. Tout sera fait comme Vous l’exigez.
Sur ces entrefaites, Emeline MDE, quitte la pièce et le Marquis d’Evans s’approche de Thaïs MDE qui n’a toujours pas bougé d’un poil, malgré la douleur qui a pris son dos courbé et la chaleur qui provient de son postérieur enflammé.
- Ma chienne-esclave qui attend d’être châtiée, tu vas maintenant connaître quelque chose de nouveau pour toi, que je réservais pour la bonne circonstance, lorsque je te sentirai plus capable de pouvoir accepter et supporter des sensations plus intenses. Ce matin, sache que j’ai eu beaucoup de mal à voir que le gong retentissait bien trop de fois à mon goût, alors que je voulais être fier avant tout de celle que j’avais accepté de conserver sur un plan professionnel comme soumise associée et non comme simple subalterne comme tant d’autres pourtant méritant et compétent. Tu m’as déçu, et j’espère que le fait de le savoir restera dans ton esprit la punition la plus difficile à supporter. Mais je souhaite également que ton corps en garde la trace. Ne crains rien, ce ne seront que des marques passagères qui disparaîtront avec le temps, certaines dans quelques heures pour la cravache, les autres dans quelques jours. Je suis un Maître D/s qui sait punir quand il le faut, je n’y prends pas de plaisir personnel autre que de savoir que je fais dans ton intérêt et celui de notre relation D/s à laquelle je tiens beaucoup. Dans tous les cas, je ne suis ni un bourreau, ni un tortionnaire, et rien jamais ne te sera imposé que tu ne l’ais accepté au préalable, comme étant justifié et désiré aussi de ta part.
Thaïs MDE est rassurée d’une certaine manière par les propos du Marquis d’Evans, en qui elle a une confiance sans bornes, même si elle craint cependant de ne pas pouvoir être à la hauteur de ce qu’il va exiger d’elle par la suite. Elle baisse encore plus la tête en signe d’acquiescement inconditionnel, qu’elle ressent profondément en conformité avec sa condition d’esclave-soumise librement assujettie.
- Il me reste 9 coups à te dispenser et tu vas découvrir aujourd’hui la morsure du fouet. Je ne t’attacherai pas car je sais que tu auras assez de force de caractère pour aller jusqu’au bout de ce à quoi tu vas t’engager. Je ne punirais pas non plus si tes cris ou tes larmes viennent ponctuer l’exécution de la sentence, car j’ai conscience que pour toi, cela est une première dans l’intensité et que n’étant pas masochiste, tu n’en tireras aucun autre plaisir que celui de savoir que tu t’es pliée à ma volonté. Mais il me faut au préalable te poser cette ultime question. Thaïs MDE, es-tu consentante pour recevoir cette punition que j’estime pour ma part méritée ?
- Oui, Maître Vénéré, je Vous supplie de bien vouloir me punir de la manière que Vous avez exigée et qui est méritée.
(A suivre…..)
Le Marquis d’Evans fait siffler dans l’air la canne à plusieurs reprises avant d’annoncer.
- C’est une mauvaise réponse. Cela en fait donc de 4 ! Puisque je suppose que tu as deviné que je n’avais pas dans l’intention de perdre non plus mon temps à te reposer les trois premières questions dont tu t’es souvenue spontanément mais pour lesquelles tu n’avais pas toujours pas la réponse tout à l’heure. Je continue ……….
Le Businessman sans se laisser perturber enchaine les dernières questions qu’il n’a qu’à lire sur le papier qui lui a été préparé avec minutie par sa secrétaire-soumise Emeline MDE qui lui est si dévouée au quotidien. Voulant accélérer pour passer à la suite qui lui paraît beaucoup intéressante avec le moment où il va pouvoir marquer l’esprit et le corps de sa soumise, il égrène les questions avec juste des « c’est bon » dès que Thaïs MDE commence à répondre correctement, et de plus puissants « Faux » dès qu’elle bredouille dans ses réponses. Le décompte final laisse ressortir 11 réponses exactes et par différences 9 réponses fausses ou manquantes.
- Bon, je n’ai pas que cela à faire. Pour les 9 réponses erronées, tu feras déjà comme tous les mauvais élèves à l’école un devoir de 100 lignes pour chaque, au moins cela devrait rentrer dans ta petite tête.
La soumise-associée est un peu vexée de se voir traitée comme un enfant à qui l’on impose de faire des lignes comme à l’école primaire. Elle se dit que finalement, elle a au moins échappée au coin et au bonnet d’âne qui hantaient les esprits des jeunes élèves au siècle dernier et qu’elle ne s’en sort pas trop mal à n’avoir que 9 fois 100 lignes à recopier si cela peut convenir à satisfaire le Maître Vénéré. Mais Thaïs MDE est bien loin de se douter de ce qui l’attend, car elle n’a pas correctement écouté ce qu’a dit Le Maître, lorsqu’IL a précisé « tu feras … déjà …. » ce qui laissait donc supposer une suite à découvrir. Le Marquis d’Evans attrape la tignasse de son esclave, tire dessus pour la forcer à se redresser rapidement, et il la courbe sur le fauteuil dans lequel il était resté assis tout le temps du jeu de questions-réponses, qui avait plus l’air d’un interrogatoire sanction destiné à laisser l’esclave elle-même s’empêtrer dans ses mauvaises réponses et décider de fait du nombre de coups de canne à recevoir et du nombre résiduel à dispenser d’une toute autre manière. Un petit plaisir que s’est octroyé avec malice le Châtelain qui aime bien impliquer personnellement le fautif ou la fautive dans la détermination de ce qui pourrait presque être apparenté à sa propre « autopunition » en vu de sa rédemption. Sans la prévenir autrement que par quelques coups de canne qui fendent l’air avec un bruit sifflant caractéristiques, le Maître abat avec détermination la fibre d’osier sur les fesses plantureuses de Thaïs MDE qui, autant de surprise que de douleur, se met à hurler, au lieu de répondre comme cela aurait dû être le cas « Un - Merci Maître ». D’une voix lourde et pesante, le Dominant mécontent annonce.
- Et bien ! Zéro !!! Je recommence, mais tâche de ne pas me faire recommencer une seule fois de plus si tu ne veux pas encourir ma désapprobation et mon courroux encore plus durement.
Thaïs MDE aurait bien aimé avoir un bâillon dans la bouche pour l’empêcher de pouvoir geindre ou hurler, mais ne pouvant faire autrement elle serre les dents et les lèvres en attendant le prochain coup qui ne tarde pas, laissant juste sortir un léger soupir en sentant sa respiration se bloquer sous la force de l’impact puissant, dont elle a le sentiment que sa fesse va s’être ouverte en deux tant elle ressent la morsure de la zébrure sur la ligne de contact entre la chair et l’instrument D/s cinglant.
- Un, Merci Maître … (ajoute-t-elle d’une voix tremblante, comme elle le fera à chaque fois par la suite)
L’esclave se dit que cela ne fait que commencer et qu’elle n’est pas encore au bout des onze coups, se demandant bien comment elle va résister jusqu’à la fin de la sanction. Tout en même temps, qu’elle trouve en elle, une force qui se développe tandis que les coups de canne viennent s’abattre sur ses fesses les uns derrière les autres, un plaisir qui n’est pas nécessairement masochiste car il ne nait pas de la douleur physique, mais plus un plaisir cérébral de voir avec quelle docilité elle accepte de subir le châtiment imposé par le Maître et une certaine fierté dans sa capacité à résister malgré la douleur. Ses yeux coulent de manière réactive mais elle tient bon, sentant les chiffres qui montent et annoncent presque la fin de la punition.
- Dix, Merci Maître.
La voix de Thaïs MDE est plus apaisée, malgré la chaleur cuisante qui a envahi ses fesses. Le cerveau a du libérer un certain nombre d’endorphines qui l’aident à supporter physiquement la fustigation en se concentrant sur le terme qui approche et aussi sur sa volonté d’obtenir le Pardon du Maître Vénéré qu’elle espère bien pouvoir implorer à Ses pieds lorsqu’elle y sera autorisée.
- Onze, Merci Maître…. Merci Maître Vénéré du temps que Vous avez pris à me punir pour me permettre de m’améliorer dans mon cheminement de soumise aux pieds du Maître Vénéré auquel j’appartiens corps et âme, tout autant que de me permettre de pouvoir mieux servir à l’avenir les intérêts du Président Directeur Général.
- Tu auras tout le temps de venir me supplier à la fin de la punition, et lorsque je le déciderai ainsi. Tu oublies bien vite les 9 dernières réponses que tu ignores. Tu ne t’étais pas imaginé tout de même que j’allais me contenter de 900 lignes qui sont juste là pour faire travailler ta mémoire comme bouquet final.
L’esclave devient rouge de honte, car effectivement, elle avait bien espéré que ses fesses largement meurtries seraient préservées par la suite, d’autant plus qu’elle trouve déjà que la punition morale, psychologique bien plus que physique, qui l’oblige à se mettre à recopier 9 fois 100 lignes est presque « infamante » et assez difficile tout du moins à imposer à son égo meurtri de Femme d’Affaires accomplie. Mais au fond d’elle, elle ressent aussi une contradiction dans ses ressentis, entre sa part soumise qui en voudrait encore plus et qui y trouve une part de fierté pour ne pas dire de plaisirs, signe que le Maître est très exigeant à son égard, ce qui laisse penser qu’il attend beaucoup d’elle et qu’elle a donc beaucoup de valeur à Ses yeux. Thaïs MDE est malgré tout perdue entre ses pensées contradictoires, ses fesses brûlantes qu’elle voudrait pouvoir apaiser, son esprit qui est malgré tout fier d’avoir supporté tout sans rien dire jusque-là, son désir de soumission qui la pousse à sans cesser rechercher avant tout la satisfaction du Maître, son ressenti physique de femelle excitée par toutes ces ambivalences et son désir charnel en émoi. Le Marquis d’Evans attrape la tignasse de Son esclave et la trainant sans ménagement tout la forçant à se déplacer presque courbée avec la tête baissée, il la guide vers une armoire qui se trouve au fond du bureau. Il positionne la soumise de manière à ce qu’elle puisse voir dans la glace de l’une des portes qu'il entrebâille le reflet de son postérieur qui est marqué outre des aplats de la cravache de 10 zébrures caractéristiques, longues lignes doubles de la largeur de la canne, augmentée d’une certaine irritation rougeâtre qui se propage de part et d’autre de l’impact initial.
Malgré la douleur qui irradie encore sur sa croupe, la chienne-esclave est fière de pouvoir porter les marques du Maître, pas vraiment heureuse au fond d’elle du fait de l’avoir mécontenté en premier et d’avoir mérité une punition, mais malgré tout assez fière d’avoir su accepter et endurer la punition qui allait de pair avec ses manquements, et qui représente d’une certaine manière la preuve de sa soumission et de son appartenance au Maître à qui elle a donné tout pouvoirs pour la Dominer, la dresser et la corriger chaque fois que cela était nécessaire. Thaïs MDE n’ose pas trop lever la tête devant la glace de peur de croiser le regard du Marquis d’Evans dont elle ne sait ce qu’Il est parti faire en s’éloignant, la laissant plantée là à moitié courbée devant la glace qui lui renvoie l’image double de son côté face et de son côté pile vermillon. Temps d’attente volontaire imposé par Le Maître pour que la soumise châtiée puisse bien intégrer dans son esprit les bienfaits de la punition dispensée, qui est là avant tout pour l’aider à ne pas retomber dans les mêmes erreurs une nouvelle fois. Le dos de l’esclave, endolori par la position imposée lui fait comprendre que plusieurs minutes ont dû s’écouler, mais Thaïs MDE a totalement perdu la notion du temps dans cette pièce qui est devenue si silencieuse depuis le départ du Marquis d’Evans. Combien de temps devra-t-elle rester là à attendre ? Elle l’ignore, tout ce dont elle se doute, c’est qu’elle ne doit pas bouger, espérant juste qu’elle n’aura pas encore à subir comme le matin même les assauts d’un inconnu qui en profiterait pour venir la sodomiser tandis qu’elle se laisserait faire. Mais la soumise se rassure en se disant qu’au moins cette fois, elle se trouve devant une glace et qu’elle aurait donc la possibilité même sans trop lever la tête de voir si quelqu’un s’approchait, ce qui lui semble d’autant plus improbable qu’elle se trouve dans l’un des bureaux personnels du Président Directeur Général. Ce n’est qu’au bout d’un très long moment qu’elle entend à nouveau la voix du Maître Vénéré qui approche, visiblement en compagnie de quelqu’un puisque les bruits de pas semblent multiples. Elle pourrait se sentir gênée de se trouver dans cette situation, affichant sur son postérieur les marques infligées par la cravache puis la canne, mais il y a longtemps que la femme-soumise en elle a renoncé à toute pudeur devant le Maître, acceptant tout ce qu’il lui plaira d’imposer à son esclave. Les discussions entre le Marquis d’Evans et l’autre collaborateur semblent purement professionnels et Thaïs MDE ne cherchent même pas à écouter la portée de ces échanges, sauf lorsqu’elle entend que l’on parle d’elle.
- Ma chienne Emeline MDE, laisse-moi maintenant, car j’ai encore la fin de la punition à infliger à ta sœur de soumission. Tu as bien compris toutes mes recommandations. Je compte sur toi pour veiller à ce qu’elle soit après mon départ soignée, lavée, coiffée, maquillée et habillée comme je l’ai exigé et puis conduite, une fois transformée en Isabelle, dans la pièce attenante à la salle à manger prête à attendre Mon arrivée et celle de mes deux convives professionnels.
- Oui, Maître Vénéré, j’ai bien tout retenu. Ne Vous inquiétez pas. Tout sera fait comme Vous l’exigez.
Sur ces entrefaites, Emeline MDE, quitte la pièce et le Marquis d’Evans s’approche de Thaïs MDE qui n’a toujours pas bougé d’un poil, malgré la douleur qui a pris son dos courbé et la chaleur qui provient de son postérieur enflammé.
- Ma chienne-esclave qui attend d’être châtiée, tu vas maintenant connaître quelque chose de nouveau pour toi, que je réservais pour la bonne circonstance, lorsque je te sentirai plus capable de pouvoir accepter et supporter des sensations plus intenses. Ce matin, sache que j’ai eu beaucoup de mal à voir que le gong retentissait bien trop de fois à mon goût, alors que je voulais être fier avant tout de celle que j’avais accepté de conserver sur un plan professionnel comme soumise associée et non comme simple subalterne comme tant d’autres pourtant méritant et compétent. Tu m’as déçu, et j’espère que le fait de le savoir restera dans ton esprit la punition la plus difficile à supporter. Mais je souhaite également que ton corps en garde la trace. Ne crains rien, ce ne seront que des marques passagères qui disparaîtront avec le temps, certaines dans quelques heures pour la cravache, les autres dans quelques jours. Je suis un Maître D/s qui sait punir quand il le faut, je n’y prends pas de plaisir personnel autre que de savoir que je fais dans ton intérêt et celui de notre relation D/s à laquelle je tiens beaucoup. Dans tous les cas, je ne suis ni un bourreau, ni un tortionnaire, et rien jamais ne te sera imposé que tu ne l’ais accepté au préalable, comme étant justifié et désiré aussi de ta part.
Thaïs MDE est rassurée d’une certaine manière par les propos du Marquis d’Evans, en qui elle a une confiance sans bornes, même si elle craint cependant de ne pas pouvoir être à la hauteur de ce qu’il va exiger d’elle par la suite. Elle baisse encore plus la tête en signe d’acquiescement inconditionnel, qu’elle ressent profondément en conformité avec sa condition d’esclave-soumise librement assujettie.
- Il me reste 9 coups à te dispenser et tu vas découvrir aujourd’hui la morsure du fouet. Je ne t’attacherai pas car je sais que tu auras assez de force de caractère pour aller jusqu’au bout de ce à quoi tu vas t’engager. Je ne punirais pas non plus si tes cris ou tes larmes viennent ponctuer l’exécution de la sentence, car j’ai conscience que pour toi, cela est une première dans l’intensité et que n’étant pas masochiste, tu n’en tireras aucun autre plaisir que celui de savoir que tu t’es pliée à ma volonté. Mais il me faut au préalable te poser cette ultime question. Thaïs MDE, es-tu consentante pour recevoir cette punition que j’estime pour ma part méritée ?
- Oui, Maître Vénéré, je Vous supplie de bien vouloir me punir de la manière que Vous avez exigée et qui est méritée.
(A suivre…..)
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Les avis des lecteurs
Ultra bandant !! Ma bite est devenue folle et j'ai dû demander à ma soumise thaïe de la fouetter pour la calmer un peu !!!!
Maître Pat
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