L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 351 814 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 243 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°500 -
L’esclave est vraiment heureux et excité de la situation. En effet cette petite remarque n’est pas pour déplaire à compelled MDE qui est prêt sur ordre du Maître Vénéré ou de ceux qui le substitue à honorer en mâle pénétrant les sexes femelles mais qui est résolument toujours plus attiré par des copulations et autres perversions aguichantes entre hommes, qu’il adore subir en simple réceptacle passif. Le sous-directeur administratif et juridique (mais le chien ignore toujours qui s’occupe de lui et où il se trouve) ordonne au chien de se remettre à quatre pattes et de se tourner pour lui montrer son cul plugué. L’homme lui retire le plug et insère juste après un clystère muni d’une canule rectale, qu’il vide complètement remplissant le rectum, le colon et les intestins du chien qui sent son bas-ventre gonflé tant la masse de liquide injecté lui paraît importante. L’esclave s’inquiète de savoir s’il pourra se retenir longtemps vu que personne ne semble vouloir le conduire vers des sanitaires ou tout au moins mettre à sa disposition un récipient adapté pour pouvoir évacuer. L’homme lui indique tout simplement qu’il doit faire à nouveau demi-tour pour reprendre sa position initiale et se soulager là où il se trouve, ce qui est particulièrement humiliant et dégradant pour le chien qui sait qu’il est encore entouré de plusieurs personnes. Mais cet avilissement imposé qui l’oblige à renoncer à toute pudeur corporelle reste aussi très excitant pour celui qui bande toujours, malgré le trouble qui l’assaille de plus en plus, se doutant bien que le lavement anal est le préambule nécessaire à des sodomies dont il va pouvoir se repaître.
En fait, le soumis se trouve dans un coin de la pièce qui est carrelé de tous côtés comme une douche ouverte mais fonctionnant un peu comme un WC à la turque avec un réceptacle dans l’angle destiné à recueillir toutes les eaux usées. A peine le lavement ayant fait son effet, un jeune soumis MDE de service qui a ordre de ne pas parler prend le tuyau de douche pour nettoyer complètement compelled MDE qui porte encore de nombreuses traces d’urine dégoulinante, n’hésitant pas à l’arroser du jet puissant et froid sur les zones intimes, s’immisçant dans la raie des fesses, entre les testicules et l’entrecuisse, mais aussi sous les genoux qu’il soulève l’un après l’autre pour ne pas oublier le moindre endroit qui resterait souillé. Pour le visage, il lui passe une grosse éponge végétale sur le museau afin de le débarbouiller, faisant même couler de l’eau propre entre les lèvres à plusieurs reprises pour lui nettoyer la bouche. Une fois le chien rincé convenablement, il est conduit au centre de la pièce dans une partie plus sèche, tandis que le soumis MDE est chargé de nettoyer le coin qui tient lieu à la fois de douche, d’urinoir pour les jeux uro, et de sanitaires pour les lavements.
compelled MDE encore trempé et grelotant de froid est séché au sèche-cheveux, comme on le fait parfois lorsqu’on toilette un caniche à qui l’on vient de donner un bon bain dans une bassine. L’esclave est un peu surpris de la méthode utilisé, mais l’air chaud lui semble très agréable sur la peau, outre le fait que cela lui permet de se réchauffer après la douche glacé dont il est sorti tremblotant. Avec un brin de perversité, le sous-directeur administratif et juridique se plait à diriger l’air chaud dans la raie anale et sur les attributs du chien en ayant mis la puissance au maximum, histoire de voir se balloter les testicules pleines et la queue toujours à l’air libre qui avait fini par débander sous le jet d’eau froide.
- Et bien, là voilà toute propre notre petite chienne, propre de l’intérieur et de l’extérieur. Alors comme tout à l’heure, à genoux mais assis sur les talons en écartant les cuisses. Lève les pattes de devant et montre tes petites « papattes » les poings fermés. C’est cela fait encore mieux le beau que tout à l’heure ! Montre que tu es contente que je me sois occupé de toi et que tu as envie de me remercier. Fais-moi comprendre que tu es une chienne en chaleur qui a envie de stupre et de foutre.
compelled MDE a certes plus envie de luxure que d’ascétisme, mais il ne sait pas comment il doit le montrer, n’ayant pas le droit de parler pour remercier et pour dire ce dont il aurait envie, habituer d’ailleurs à faire taire ses envies personnelles pour n’avoir d’autre envie que de satisfaire le Maître Vénéré, qui sait très bien en outre ce qui est bon pour lui, et le lui dispensant suivant son seul bon vouloir, ni trop, ni trop peu. Alors l’esclave se décide à remuer le popotin, comme le ferait un chien heureux qui ferait jouer sa « queue arrière en poils », bien que pour l’esclave, cela soit plus sa « queue avant sans poils », qui soit en train de bringuebaler dans tous les sens. Il se dit qu’il pourrait également émettre quelques aboiements qui lui ont été autorisés, même s’il se trouve un peu ridicule de devoir émettre de tels sons pour essayer de dire merci.
- Ouah, Ouah, Ouah ….
Et il reprend sa position bouche ouverte, langue tirée qu’il remue sans cesse lascivement pour faire comprendre qu’il aimerait bien pouvoir s’en servir pour lécher. Le sous-directeur administratif et juridique lui caresse le crâne comme on le ferait d’un bon chien. Il lui glisse deux doigts dans la bouche qu’il écarte pour le forcer à ouvrir la mâchoire encore plus grand, puis glisse trois et enfin quatre doigts avec toute la largeur de la paume de la main à plat qui écartèle totalement les lèvres de compelled MDE bien plus habitué à mettre ses lèvres en forme de « O » pour prendre en bouche des queues phalliques. De nouvelles sensations pour le chien-soumis qui prend plaisir à se laisser faire, commençant à sentir des mains qui viennent sur son corps, le caresser, lui pincer les tétons fortement, lui titiller les parties sexuelles, lui écarter son intimité, lui faire rougir le postérieur par de belles fessées. Libre de pouvoir laisser sa nature de mâle s’exprimer sous l’effet de l’excitation sexuelle, il y a longtemps que sa verge rigide a pris une taille plus conséquente.
C’est le sous-directeur qui mène les opérations dans un silence qui a été imposé à chacun, et c’est lui qui le premier se met à baiser la bouche de compelled MDE qu’il fait remettre à quatre pattes. Il a fait s’installer entre ses cuisses le jeune soumis MDE qui a pour obligation de lécher, de sucer, de pomper la queue du chien-mâle avec pour ordre cependant de ne pas le laisser se vider et donc de se retirer dès qu’il le sentirait prêt à éjaculer, ce qui aura pour effet de laisser l’esclave frustré en n’ayant pas droit pour l’instant à la jouissance physique, mais pouvant savourer sans limite des plaisirs intellectuels et sensuels tout aussi excitants pour un chien-soumis à disposition. Les autres mâles dans la pièce tour à tour enculent avec force et vigueur compelled MDE qui est dans l’extase d’être ainsi pris par ses deux trous tandis que sa queue est au chaud dans un étroit fourreau buccal qui lui produit des sensations trépidantes par une fellation des plus savantes. L’esclave se demande bien s’il va résister sans jouir tant le léchage intensif de son phallus et de ses couilles associé aux diverses pénétrations qu’il subit avec délectation lui remplissant ses deux trous de vide-couilles le comble. Il se sent « utile et utilisé », jouant du bassin pour mieux s’offrir aux coups de butoir qui viennent s’enfoncer dans son petit trou, le projetant chaque fois un peu plus sur le sexe qui lui emplit la bouche, qu’il lèche, aspire, pompe de son mieux, serrant les lèvres à chaque mouvement de va-et-vient et faisant rouler sa langue sur le gland décalotté de l’homme qui le pénètre, mais qui se retire chaque fois que son excitation monte comme s’il voulait profiter au maximum du plaisir avec une longue fellation sulfureuse.
compelled MDE est toutefois étonné de s’apercevoir que les mâles qui ont profité de son anus ne se sont pas répandus en lui, alors qu’il les a pourtant entendus pousser tour à tour des râles jouissifs qui ne trompent pas sur la finalité éjaculatoire. La consigne ayant été de laisser propre le trou dilaté de l’esclave, des préservatifs ont été utilisés pour recueillir les différentes semences qui pour ne pas être perdues sont répandues sur le corps, le sexe et le visage du jeune soumis MDE qui a officié de la bouche, mais qui en sera quitte pour devoir aller se doucher à son tour, après avoir lavé avec ses lèvres et sa langue toutes les queues mâles souillées. Seul le sous-directeur administratif et juridique se répand sans retenue et sans préservatif venant inonder le gosier de compelled MDE d’un nectar dense et âpre, en même temps qu’il lui maintient fermement la tête empalée sur sa queue pour être certain que le chien ne se retirera pas avant de tout avaler. L’esclave se dépêche de déglutir pour pouvoir reprendre sa respiration en ouvrant la bouche sans risquer de tomber une goutte de sperme, et il lèche copieusement le sexe encore gonflé de l’homme qui vient de jouir pour le lui nettoyer, et ce sans même que quiconque ait eu besoin de le lui imposer. Après avoir bien tout léché, compelled MDE qui est habitué à remercier le Maître ou celui qui lui a fait profiter de sa semence, ne sait comment faire pour respecter la consigne initiale de ne pas parler, tout au plus d’aboyer.
- Ouah, Ouah, Ouah, Ouah, Ouah, ….
Tout en remuant des fesses et en se disant, en bon cabot-soumis que cela devrait pouvoir convenir comme remerciements pour tous ceux qui l’ont possédé mais dont il ignore le nombre car il était bien trop occupé à profiter du plaisir donné et reçu qu’il n’a pas songé à compter les pénétrations successives de son anus qui se sont succédés, certains ayant même pu profiter du trou béant à plusieurs reprises.
- Bieeeennnn, une bonne démonstration de tes talents de chienne lubrique, je dois reconnaître que tu prends bien les queues par en haut et par en bas. Mais maintenant, il est temps de terminer ton toilettage et de passer la tenue choisie par Monsieur le Marquis d’Evans pour la suite de l’après-midi, car tu dois être prêt à l’heure.
L’homme attrape une brosse à dents électrique qu’il met en route. compelled MDE ne reconnaît pas le bruit loin de s’imaginer que ce n’est pas un genre de sextoys ou autres instruments D/s. Il est très étonné lorsqu’il sent qu’on lui ouvre la bouche pour lui laver les dents et qu’il découvre le goût mentholé du dentifrice qui se répand sur sa gencive et l’émail. C’est un geste pourtant banal dans la vie d’un être humain qui le reproduit au moins deux fois par jour et 365 jours par an pendant des années. Mais le fait de se sentir manié et brossé par un tiers, même si cela est fait avec précaution, est une sensation nouvelle que l’esclave MDE découvre, car même pendant son séjour dans le cachot N°4 du Château, il avait l’habitude de faire seul sa toilette buccale matinale et avant le coucher. Il ne sait dire précisément ce qu’il ressent, partagé entre le plaisir toujours agréable de savoir que quelqu’un s’occupe de lui, mais en même temps rabaissé aussi au rang de simple objet que l’on manipule après l’avoir privé de la vue et de la parole, ainsi que de toute autonomie dans ses gestes (naturels pour un humain). Après avoir bien brossé pendant trois minutes, l’homme utilise un jet buccal pour lui nettoyer les interstices dentaires et aussi pour lui rincer la bouche le forçant à garder les lèvres grandes ouvertes avec la tête légèrement penchée vers le bas pour laisser l’eau tomber par le simple fait de la pesanteur. Le chien se rend compte que la découverte de cette expérience nouvelle, qui n’a rien en soi de pénible sur le plan physique bien qu’un peu plus désagréable au niveau du mental car ceci sort de ses habitudes et même de ses pratiques D/s, a un côté sensuel et charnel qui en devient presque voluptueux et érotisé, s’il fait abstraction de la réserve instinctive provenant d’une éducation formatée et de la pudeur corporelle dont il pensait pourtant s’être débarrassé en étant devenu un chien-esclave aux pieds du Maître Vénéré.
compelled MDE, très heureux de pouvoir s’abandonner encore plus entre des mains inconnues, tout en sachant que cela est conforme aux ordres imposés par Monsieur le Marquis d’Evans attend avec une impatience contenue qui raisonne dans sa tête en ébullition de savoir quelle est la tenue que Le Maître à choisi pour lui, Son esclave dévoué à Ses pieds, et pour quoi faire avec précisément. Mais « Où ? Quand ? Comment ? Avec Qui ? Pourquoi ? » sont des questions que le soumis ne doit pas chercher à se poser, car les réponses appartiennent au Dominant et à lui seul. Et rien que de penser à tout ça, à ce lâcher prise total, excite compelled MDE tellement dans un sublime et extraordinaire bonheur...
(A suivre…..)
L’esclave est vraiment heureux et excité de la situation. En effet cette petite remarque n’est pas pour déplaire à compelled MDE qui est prêt sur ordre du Maître Vénéré ou de ceux qui le substitue à honorer en mâle pénétrant les sexes femelles mais qui est résolument toujours plus attiré par des copulations et autres perversions aguichantes entre hommes, qu’il adore subir en simple réceptacle passif. Le sous-directeur administratif et juridique (mais le chien ignore toujours qui s’occupe de lui et où il se trouve) ordonne au chien de se remettre à quatre pattes et de se tourner pour lui montrer son cul plugué. L’homme lui retire le plug et insère juste après un clystère muni d’une canule rectale, qu’il vide complètement remplissant le rectum, le colon et les intestins du chien qui sent son bas-ventre gonflé tant la masse de liquide injecté lui paraît importante. L’esclave s’inquiète de savoir s’il pourra se retenir longtemps vu que personne ne semble vouloir le conduire vers des sanitaires ou tout au moins mettre à sa disposition un récipient adapté pour pouvoir évacuer. L’homme lui indique tout simplement qu’il doit faire à nouveau demi-tour pour reprendre sa position initiale et se soulager là où il se trouve, ce qui est particulièrement humiliant et dégradant pour le chien qui sait qu’il est encore entouré de plusieurs personnes. Mais cet avilissement imposé qui l’oblige à renoncer à toute pudeur corporelle reste aussi très excitant pour celui qui bande toujours, malgré le trouble qui l’assaille de plus en plus, se doutant bien que le lavement anal est le préambule nécessaire à des sodomies dont il va pouvoir se repaître.
En fait, le soumis se trouve dans un coin de la pièce qui est carrelé de tous côtés comme une douche ouverte mais fonctionnant un peu comme un WC à la turque avec un réceptacle dans l’angle destiné à recueillir toutes les eaux usées. A peine le lavement ayant fait son effet, un jeune soumis MDE de service qui a ordre de ne pas parler prend le tuyau de douche pour nettoyer complètement compelled MDE qui porte encore de nombreuses traces d’urine dégoulinante, n’hésitant pas à l’arroser du jet puissant et froid sur les zones intimes, s’immisçant dans la raie des fesses, entre les testicules et l’entrecuisse, mais aussi sous les genoux qu’il soulève l’un après l’autre pour ne pas oublier le moindre endroit qui resterait souillé. Pour le visage, il lui passe une grosse éponge végétale sur le museau afin de le débarbouiller, faisant même couler de l’eau propre entre les lèvres à plusieurs reprises pour lui nettoyer la bouche. Une fois le chien rincé convenablement, il est conduit au centre de la pièce dans une partie plus sèche, tandis que le soumis MDE est chargé de nettoyer le coin qui tient lieu à la fois de douche, d’urinoir pour les jeux uro, et de sanitaires pour les lavements.
compelled MDE encore trempé et grelotant de froid est séché au sèche-cheveux, comme on le fait parfois lorsqu’on toilette un caniche à qui l’on vient de donner un bon bain dans une bassine. L’esclave est un peu surpris de la méthode utilisé, mais l’air chaud lui semble très agréable sur la peau, outre le fait que cela lui permet de se réchauffer après la douche glacé dont il est sorti tremblotant. Avec un brin de perversité, le sous-directeur administratif et juridique se plait à diriger l’air chaud dans la raie anale et sur les attributs du chien en ayant mis la puissance au maximum, histoire de voir se balloter les testicules pleines et la queue toujours à l’air libre qui avait fini par débander sous le jet d’eau froide.
- Et bien, là voilà toute propre notre petite chienne, propre de l’intérieur et de l’extérieur. Alors comme tout à l’heure, à genoux mais assis sur les talons en écartant les cuisses. Lève les pattes de devant et montre tes petites « papattes » les poings fermés. C’est cela fait encore mieux le beau que tout à l’heure ! Montre que tu es contente que je me sois occupé de toi et que tu as envie de me remercier. Fais-moi comprendre que tu es une chienne en chaleur qui a envie de stupre et de foutre.
compelled MDE a certes plus envie de luxure que d’ascétisme, mais il ne sait pas comment il doit le montrer, n’ayant pas le droit de parler pour remercier et pour dire ce dont il aurait envie, habituer d’ailleurs à faire taire ses envies personnelles pour n’avoir d’autre envie que de satisfaire le Maître Vénéré, qui sait très bien en outre ce qui est bon pour lui, et le lui dispensant suivant son seul bon vouloir, ni trop, ni trop peu. Alors l’esclave se décide à remuer le popotin, comme le ferait un chien heureux qui ferait jouer sa « queue arrière en poils », bien que pour l’esclave, cela soit plus sa « queue avant sans poils », qui soit en train de bringuebaler dans tous les sens. Il se dit qu’il pourrait également émettre quelques aboiements qui lui ont été autorisés, même s’il se trouve un peu ridicule de devoir émettre de tels sons pour essayer de dire merci.
- Ouah, Ouah, Ouah ….
Et il reprend sa position bouche ouverte, langue tirée qu’il remue sans cesse lascivement pour faire comprendre qu’il aimerait bien pouvoir s’en servir pour lécher. Le sous-directeur administratif et juridique lui caresse le crâne comme on le ferait d’un bon chien. Il lui glisse deux doigts dans la bouche qu’il écarte pour le forcer à ouvrir la mâchoire encore plus grand, puis glisse trois et enfin quatre doigts avec toute la largeur de la paume de la main à plat qui écartèle totalement les lèvres de compelled MDE bien plus habitué à mettre ses lèvres en forme de « O » pour prendre en bouche des queues phalliques. De nouvelles sensations pour le chien-soumis qui prend plaisir à se laisser faire, commençant à sentir des mains qui viennent sur son corps, le caresser, lui pincer les tétons fortement, lui titiller les parties sexuelles, lui écarter son intimité, lui faire rougir le postérieur par de belles fessées. Libre de pouvoir laisser sa nature de mâle s’exprimer sous l’effet de l’excitation sexuelle, il y a longtemps que sa verge rigide a pris une taille plus conséquente.
C’est le sous-directeur qui mène les opérations dans un silence qui a été imposé à chacun, et c’est lui qui le premier se met à baiser la bouche de compelled MDE qu’il fait remettre à quatre pattes. Il a fait s’installer entre ses cuisses le jeune soumis MDE qui a pour obligation de lécher, de sucer, de pomper la queue du chien-mâle avec pour ordre cependant de ne pas le laisser se vider et donc de se retirer dès qu’il le sentirait prêt à éjaculer, ce qui aura pour effet de laisser l’esclave frustré en n’ayant pas droit pour l’instant à la jouissance physique, mais pouvant savourer sans limite des plaisirs intellectuels et sensuels tout aussi excitants pour un chien-soumis à disposition. Les autres mâles dans la pièce tour à tour enculent avec force et vigueur compelled MDE qui est dans l’extase d’être ainsi pris par ses deux trous tandis que sa queue est au chaud dans un étroit fourreau buccal qui lui produit des sensations trépidantes par une fellation des plus savantes. L’esclave se demande bien s’il va résister sans jouir tant le léchage intensif de son phallus et de ses couilles associé aux diverses pénétrations qu’il subit avec délectation lui remplissant ses deux trous de vide-couilles le comble. Il se sent « utile et utilisé », jouant du bassin pour mieux s’offrir aux coups de butoir qui viennent s’enfoncer dans son petit trou, le projetant chaque fois un peu plus sur le sexe qui lui emplit la bouche, qu’il lèche, aspire, pompe de son mieux, serrant les lèvres à chaque mouvement de va-et-vient et faisant rouler sa langue sur le gland décalotté de l’homme qui le pénètre, mais qui se retire chaque fois que son excitation monte comme s’il voulait profiter au maximum du plaisir avec une longue fellation sulfureuse.
compelled MDE est toutefois étonné de s’apercevoir que les mâles qui ont profité de son anus ne se sont pas répandus en lui, alors qu’il les a pourtant entendus pousser tour à tour des râles jouissifs qui ne trompent pas sur la finalité éjaculatoire. La consigne ayant été de laisser propre le trou dilaté de l’esclave, des préservatifs ont été utilisés pour recueillir les différentes semences qui pour ne pas être perdues sont répandues sur le corps, le sexe et le visage du jeune soumis MDE qui a officié de la bouche, mais qui en sera quitte pour devoir aller se doucher à son tour, après avoir lavé avec ses lèvres et sa langue toutes les queues mâles souillées. Seul le sous-directeur administratif et juridique se répand sans retenue et sans préservatif venant inonder le gosier de compelled MDE d’un nectar dense et âpre, en même temps qu’il lui maintient fermement la tête empalée sur sa queue pour être certain que le chien ne se retirera pas avant de tout avaler. L’esclave se dépêche de déglutir pour pouvoir reprendre sa respiration en ouvrant la bouche sans risquer de tomber une goutte de sperme, et il lèche copieusement le sexe encore gonflé de l’homme qui vient de jouir pour le lui nettoyer, et ce sans même que quiconque ait eu besoin de le lui imposer. Après avoir bien tout léché, compelled MDE qui est habitué à remercier le Maître ou celui qui lui a fait profiter de sa semence, ne sait comment faire pour respecter la consigne initiale de ne pas parler, tout au plus d’aboyer.
- Ouah, Ouah, Ouah, Ouah, Ouah, ….
Tout en remuant des fesses et en se disant, en bon cabot-soumis que cela devrait pouvoir convenir comme remerciements pour tous ceux qui l’ont possédé mais dont il ignore le nombre car il était bien trop occupé à profiter du plaisir donné et reçu qu’il n’a pas songé à compter les pénétrations successives de son anus qui se sont succédés, certains ayant même pu profiter du trou béant à plusieurs reprises.
- Bieeeennnn, une bonne démonstration de tes talents de chienne lubrique, je dois reconnaître que tu prends bien les queues par en haut et par en bas. Mais maintenant, il est temps de terminer ton toilettage et de passer la tenue choisie par Monsieur le Marquis d’Evans pour la suite de l’après-midi, car tu dois être prêt à l’heure.
L’homme attrape une brosse à dents électrique qu’il met en route. compelled MDE ne reconnaît pas le bruit loin de s’imaginer que ce n’est pas un genre de sextoys ou autres instruments D/s. Il est très étonné lorsqu’il sent qu’on lui ouvre la bouche pour lui laver les dents et qu’il découvre le goût mentholé du dentifrice qui se répand sur sa gencive et l’émail. C’est un geste pourtant banal dans la vie d’un être humain qui le reproduit au moins deux fois par jour et 365 jours par an pendant des années. Mais le fait de se sentir manié et brossé par un tiers, même si cela est fait avec précaution, est une sensation nouvelle que l’esclave MDE découvre, car même pendant son séjour dans le cachot N°4 du Château, il avait l’habitude de faire seul sa toilette buccale matinale et avant le coucher. Il ne sait dire précisément ce qu’il ressent, partagé entre le plaisir toujours agréable de savoir que quelqu’un s’occupe de lui, mais en même temps rabaissé aussi au rang de simple objet que l’on manipule après l’avoir privé de la vue et de la parole, ainsi que de toute autonomie dans ses gestes (naturels pour un humain). Après avoir bien brossé pendant trois minutes, l’homme utilise un jet buccal pour lui nettoyer les interstices dentaires et aussi pour lui rincer la bouche le forçant à garder les lèvres grandes ouvertes avec la tête légèrement penchée vers le bas pour laisser l’eau tomber par le simple fait de la pesanteur. Le chien se rend compte que la découverte de cette expérience nouvelle, qui n’a rien en soi de pénible sur le plan physique bien qu’un peu plus désagréable au niveau du mental car ceci sort de ses habitudes et même de ses pratiques D/s, a un côté sensuel et charnel qui en devient presque voluptueux et érotisé, s’il fait abstraction de la réserve instinctive provenant d’une éducation formatée et de la pudeur corporelle dont il pensait pourtant s’être débarrassé en étant devenu un chien-esclave aux pieds du Maître Vénéré.
compelled MDE, très heureux de pouvoir s’abandonner encore plus entre des mains inconnues, tout en sachant que cela est conforme aux ordres imposés par Monsieur le Marquis d’Evans attend avec une impatience contenue qui raisonne dans sa tête en ébullition de savoir quelle est la tenue que Le Maître à choisi pour lui, Son esclave dévoué à Ses pieds, et pour quoi faire avec précisément. Mais « Où ? Quand ? Comment ? Avec Qui ? Pourquoi ? » sont des questions que le soumis ne doit pas chercher à se poser, car les réponses appartiennent au Dominant et à lui seul. Et rien que de penser à tout ça, à ce lâcher prise total, excite compelled MDE tellement dans un sublime et extraordinaire bonheur...
(A suivre…..)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...