L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°516 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 354 220 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 147 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°516 -
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°516 -
Tandis que dans les étages supérieurs de l’immense building de la Holding MDE, Monsieur le Marquis d’Evans est en réunion d’affaires avec Madame D…., ayant décidé de renvoyer au coin Sa soumise Thaïs MDE et que concomitamment, le sous-directeur administratif et financier termine de préparer le chien-mâle compelled MDE conformément aux instructions du Maître, dans les autres étages tous s’affairent à leurs tâches professionnelles. Mais dans les parkings du sous-sol, à l’étage réservé au Président Directeur Général et à ceux qu’IL reçoit régulièrement en rendez-vous d’affaires qui ont la possibilité d’accéder directement au dernier étage sans avoir à passer par l’accueil, le soumis car2MDE qui venait de garer la voiture est en train de la préparer pour le retour au Château prévu en fin d’après-midi.
Le chauffeur a été contraint, sur ordre transmis via la soumise Emeline MDE, de nettoyer la tâche humide laissée le matin même par la femelle Thaïs MDE qu’il avait été cherché au Château pour la conduire en ces lieux, nue et pluguée, attachée au milieu sur le siège arrière avec les jambes écartées ce qui n’avait pu qu’accroître son excitation et l’humidité de son bas-ventre. En d’autres temps, il aurait été plus que normal de laisser à l’esclave MDE qui n’avait pas su se contenir la charge de nettoyer ses propres souillures, mais la chienne aux lèvres intimes baveuses en serait quitte pour une sévère punition, puisqu’elle avait désobéi aux ordres express du Maître Vénéré qui lui avait enjoint de ne pas salir la voiture.
Pour l’heure, le Marquis d’Evans a confié à son esclave-soumise Thaïs MDE une tâche d’une tout autre envergure professionnelle et c’est donc le chauffeur qui doit en ses lieux et place se coltiner de faire disparaître l’auréole de cyprine qui a marqué le cuir ébène des sièges de la luxueuse voiture. Car2MDE s’affaire de son mieux pour passer une crème détachante neutre sur le cuir qu’il frotte pour atténuer la marque et qu’il essuie tout en maugréant dans son for intérieur, même s’il devrait en bon soumis ne pas contester de quelque manière que ce soit les ordres qui lui sont imposés par le Maître, directement ou indirectement. Il repense à la consigne qu’il a pourtant transmise mot pour mot à la femelle, après avoir pénétré dans le véhicule « Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, qui semble bien connaître Sa chienne en chaleur, te fait dire que tu as intérêt à te débrouiller comme tu veux, mais qu’il serait préférable pour toi, si tu ne tiens pas à commencer la journée par une sérieuse punition adaptée, de ne pas tremper le siège en cuir de l’une de ses prestigieuses voitures de fonction, d’autant plus qu’IL a prévu ce soir de s’en servir pour ramener au Château certains de ses Invités professionnels avec lesquels il est en pourparlers d’affaires ». Le soumis mâle bougonne tout seul dans le véhicule d’avoir à faire ce qu’il considère comme le « sale » boulot, qui ne peut le laisser indifférent à l’idée d’imaginer la chatte humide et dégoulinante dans laquelle il aurait bien aimé pouvoir plonger sa queue qui voudrait se gonfler d’excitation, mais qui est freinée dans son élan par la cage de chasteté en métal qu’il porte sous sa livrée.
Le soumis car2MDE se laisse emporter par ses pensées et ses fantasmes intimes. Il y a longtemps qu’il n’a pas pu se vider les couilles et profiter d’un trou mâle ou femelle à baiser, ressentant profondément sa frustration et le manque de sexe imposés par le Maître dans le cadre de son dressage. Ses désirs de soumission D/s sont sincères, mais il a encore beaucoup de mal à refreiner ses autres désirs charnels et sexuels de mâle, et aussi à accepter de s’en tenir à sa simple condition de dominé qui a accepté de son plein gré d’obéir sans poser de questions. Il est encore novice dans l’apprentissage de la soumission, et au début cela lui a permis de bénéficier de certaines tolérances afin de lui laisser le temps d’apprendre à adapter son comportement à toutes les exigences nouvelles du Maître qu’elles soient d’ordre professionnel et/ou personnel.
Mais Monsieur le Marquis d’Evans lui a fait comprendre que son noviciat D/s touchait à sa fin, tout comme sa période d’essai dans sa nouvelle fonction, et qu’il était temps maintenant pour lui de se décider s’il voulait rester un simple employé de l’entreprise car sa place ne serait pas remise en cause même s’il réintégrerait forcément son ancien poste de coursier, ou s’il entendait faire ce qu’il fallait pour conserver l’honneur qui lui avait été fait d’être affecté à la conduite des voitures personnelles de luxe de Monsieur le Marquis d’Evans, réservée aux seuls soumis MDE en qui le Châtelain a une totale confiance, ayant fait preuve de leur savoir-faire professionnel au niveau de la conduite mais aussi d’une réelle dévotion D/s. Cela présentait de réels avantages au quotidien de pouvoir conduire des véhicules dispendieux que ce dernier n’aurait même pas eu l’idée de pouvoir approcher dans sa vie, mais il était conscient qu’il y avait par contrepartie de nombreuses obligations à respecter pour conserver l’aval du Maître, et il doutait fort de sa capacité à se plier autant que le Dominant l’exigerait.
Le chauffeur regarde sa montre et s’aperçoit que l’heure a tourné bien plus qu’il ne l’aurait fallu, tandis qu’il s’est installé confortablement sur le siège arrière pour rêver comme s’il était devenu pour quelques instants un de ces hommes d’affaires en costard cravate richissime ayant entre les mains une jolie poupée sexy pour le divertir et le sucer bien à l’abri derrière des vitres teintées. Il risque fort de se faire réprimander une fois de plus, même s’il entend bien arguer du fait que la tâche laissée par la femelle fût plus résistante à tous ses efforts que prévu, se retranchant derrière la chienne fautive qui ne viendra forcément pas le contredire, et tout cela sans prendre le risque de s’étendre sur le temps perdu à réfléchir et rêvasser sur la banquette arrière. Le chauffeur a bien conscience que cela n’est pas conforme à la soumission qu’il voudrait alléguer avant tout pour bénéficier de la fonction qu’il ambitionne, mais il n’aime pas du tout les punitions et est prêt à tout pour tenter d’y échapper par tous les moyens, n’ayant pas encore compris pourquoi celles-ci peuvent lui être salutaires pour l’aider à s’améliorer et pour faire de lui un meilleur soumis, au lieu du rebelle juste bon à dresser qu’il reste encore, n’acceptant pas de reconnaître ses erreurs et ses manquements, et surtout toujours prêt à commenter et argumenter sur les consignes qui lui sont transmises.
Le soumis car2MDE en est presque devenu imbu de lui-même depuis qu’il a pu enfiler la tenue d’uniforme des chauffeurs de Monsieur le Marquis d’Evans et poser ses mains sur les volants magiques des Rolls-Royce, Ferrari et autres véhicules prestigieux aux moteurs vrombissants. Le chauffeur espère toujours pouvoir prendre en mains la grande Limousine Lincoln blanche de 10 mètres de long que Le Président Directeur Général n’utilise que rarement lorsqu’il désire transporter ensemble tous ses interlocuteurs professionnels pour se rendre sur un site prédéfini, puisque celle-ci est équipée d’un large fauteuil double que le Marquis d’Evans se réserve habituellement, et d’une banquette en L pouvant accueillir jusqu’à 14 personnes dans un confort exceptionnel. Le Marquis d’Evans qui a une très grande capacité à analyser la nature humaine profonde de chacun a bien compris que ce soumis à l’essai était plus attiré par Ses voitures que par la soumission proprement dite en veillant au bon plaisir du Maître qui devrait être sa première préoccupation en tant que dominé. C’est pourquoi il a décidé dorénavant de faire surveiller chacun de ses faits et gestes afin de le tester dans ses retranchements pour savoir s’il l’accepte vraiment comme soumis MDE ou s’il décide que ses prédispositions à la soumission ne sont pas assez fondées pour arriver à une relation D/s de qualité, pour le Dominant tout autant que pour le dominé lui-même qui ne pourra pas s’épanouir dans sa soumission avec toute l’abnégation que cela implique, si son plus fort désir ne se fonde que sur le plaisir de pouvoir conduire de temps en temps des voitures luxueuses.
Le soumis car2MDE referme la voiture et conformément à ce qui lui a été indiqué, il s’apprête à rejoindre le bureau du responsable des soumis et soumises MDE pour y recevoir ses nouveaux ordres et aussi connaître la sanction qui va lui être imposée, suivant ce que lui a indiqué un peu plus tôt la secrétaire-soumise Emeline MDE, pour son écart de langage en présence de Monsieur Walter qui, avec son petit côté vicieux habituel, n’a pas manqué de faire un rapport extrêmement salé sur le soumis qui a osé contesté en sa présence le bien-fondé des deux déplacements successifs au Château qu’on lui avait demandé d’assurer pour récupérer respectivement la chienne-femelle Thaïs MDE et plus tard dans la matinée le chien-mâle compelled MDE. Le chauffeur pense au fond de lui qu’il devrait juste se faire rabrouer un petit peu pour la forme comme cela lui est si souvent arrivé, même si Emeline MDE ne semblait pas du même avis lui indiquant qu’il avait eu grand tort d’ouvrir son clapet au Château devant le Majordome. Mais il se dit qu’il n’a pas fait grand-chose de mal après-tout, se contentant d’émettre l’idée qu’un seul voyage groupé aurait été plus économique que deux allers et retours successifs, et c’est donc assez confiant que le chauffeur quitte le parking pour rejoindre le bureau situé au 10ème étage, bien décidé à annoncer fièrement que le véhicule est tout à fait propre et opérationnel à nouveau pour y faire asseoir les invités professionnels de Monsieur le Marquis d’Evans.
Le chauffeur arrive devant la porte de celui qui reste à demeure dans l’Entreprise du Marquis d’Evans, même si ce dernier n’y travaille pas professionnellement au sens propre du terme, prenant son plaisir à assumer par délégation du Maître Vénéré cette fonction de « surveillant D/s » des soumis et soumises MDE, ce qui lui apporte des avantages certains pour vivre sa sexualité et sa perversité dans les limites fixées par le Président Directeur Général. Petit dominant par nature, sans pouvoir encore se targuer du grand M de Maître n’ayant jamais eu aucun(e) dominé(e) en propre sous sa coupe. Il était dans l’armée sergent-chef, celui qui crie souvent sur les nouvelles recrues pendant l’exercice mais qui ne sera jamais apte à devenir officier de haut rang. Sa reconversion dans le civil lui avait été difficile car le côté militaire et directif fonctionne bien mal en entreprise où le management doit prendre en compte bien d’autres critères humains pour motiver la « troupe » quand il s’agit de salariés et non de simples soldats plus facilement maniables par le simple fait du pouvoir hiérarchique. Il avait été bien content de rencontrer Monsieur le Marquis d’Evans par le biais d’amis communs membres de la communauté BDSM dans laquelle il espérait pouvoir se faire une place, et de fil en aiguille, il avait atterri ici.
- Toc-toc - Entrez !
C’est une voix forte qui répond ! Monsieur Denis est le responsable en question qui occupe ce bureau un peu spécial du 10ème étage, réservé à la meute MDE et non accessible aux autres salariés. Il n’est pas tout à fait l’homologue de Monsieur Walter dans cet environnement professionnel, car il n’a pas en charge le dressage complet d’un chien ou d’une chienne admis(e) dans le cheptel, éducation à la soumission qui se fait principalement dans l’enceinte du Château pour des raisons de commodité. Cependant, au sein des bureaux de Monsieur le Marquis d’Evans, il est le ferme bras droit du Maître qui a pour charge de sanctionner tous les manquements aux règles D/s des esclaves, ce qui ne peut être confondu avec les erreurs ou fautes professionnelles que peuvent commettre même les plus fidèles collaborateurs et employés qui font l’objet de remontrances si besoin, en conformité à la législation en vigueur, mais sans qu’il soit fait la distinction entre un simple salarié et un(e) soumis(e) MDE.
Si la déférence envers le Maître reste de rigueur à tout moment, ce qui peut aussi s’entendre vis-à-vis des non-initiés comme un profond respect pour le Grand Patron, le statut d’esclave-soumis MDE n’est pas affiché ostensiblement au sein des bureaux sauf lorsque le/la dominé(e) se retrouve seul(e) en présence du Maître Vénéré portant alors son pseudo de soumis(e) immédiatement suivi des Nobles initiales du Marquis d’Evans au lieu de ses vrais nom et prénom civils utilisés en milieu vanille, professionnel ou personnel. Cette transition entre vie professionnelle et vie D/s arrive également lorsque le Maître réunit en ses bureaux (dans les deux étages supérieurs) un petit comité exclusivement composé de Dominants de ses amis, membres de la communauté BDSM, avec à ses côtés plusieurs dominé(e)s de son cheptel MDE, qui doivent alors se comporter conformément à leur condition, oubliant pour un temps leur fonction au sein des filiales de la Holding MDE, et ce, sauf avis contraire du PDG, seul Maître à bord.
- Bonjour, Monsieur Denis.
- Oui ! C’est cela ! Bonjour car2MDE !!!! ……… Mais est-ce que je peux savoir ce que tu as fait en chemin pour mettre tant de temps à parvenir jusqu’à moi. Il me semble qu’il y a déjà plus d’une heure que tu as franchi la barrière automatique du parking pour livrer ton colis à Emeline MDE qui m’a prévenu de ton arrivée.
- J’ai été très occupé, vraiment très occupé, Monsieur Denis, pour essayer de nettoyer la voiture que cette espèce de sale chienne-femelle baveuse avait ignoblement souillée de sa mouille, sans respecter les consignes de Monsieur le Marquis d’Evans. Il n’était pas question de laisser quelqu’un d’important venir s’asseoir sur les sièges en cuir auréolés.
- Tu pourrais être plus poli lorsque tu parles de celle qui est ta sœur de soumission, fidèle et dévouée au Maître bien plus que tu ne sembles l’être.
- Oui, mais ce n’est après tout qu’une chienne en chaleur qui m’a donné un très long surcroît de travail pour réparer ses salissures.
- Cela suffit ! Tais-toi et n’aggrave pas ton cas ! …… Dans ce bureau, tu n’es qu’un bâtard de chien, même pas digne de porter les Nobles Initiales du Châtelain, de Celui que nous considérons tous comme le plus Grand Maître de notre communauté et qui a cru pouvoir t’offrir une chance en t’acceptant à l’essai à Ses pieds. Ne sais-tu pas que le mensonge est un des pires défauts pour celui qui cherche à cheminer dans la voie de la soumission dans le cadre d’une relation D/s qui est basée sur la confiance et le respect.
- Oui, Monsieur Denis, je le sais. Mais moi je ne mens jamais !!! (d’une voix malgré tout peu assurée) Je ne fais que vous relater ce qu’il en est, au risque de savoir que Thaïs MDE sera punie sévèrement parce que je dis la stricte vérité, mais c’est bien sa faute après tout !
- Certes, Monsieur le Marquis d’Evans, décidera lui-même de la sanction qu’il imposera à Son esclave. Mais moi, je suis là pour te parler de ta faute, de « TES » fautes devrais-je dire …. (en insistant lourdement sur le « TES ») …. car il y a en plusieurs pour lesquelles je vais devoir te punir sans tarder.
Monsieur Denis se lève et s’approche de car2MDE, tout en le fixant dans les yeux.
- Commençons par ton dernier mensonge ! Avoue ! ….. Alors j’attends …. Aurais-tu perdu ta langue ?
Le soumis voudrait rester silencieux, mais son habitude inconsciente à toujours répliquer est plus forte que lui et il renchérit sans plus attendre.
- Je ne sais pas à quoi vous faîtes allusion, Monsieur Denis. Et puis je ne comprends pas bien, tantôt « Walter » me reproche d’avoir la langue bien pendue et maintenant, c’est vous qui me demandez si j’ai perdu ma langue car je me tais. Faudrait savoir un peu et vous mettre d’accord entre vous, car vous me faites perdre la tête à force.
- Comment oses-tu ? Tu dois dire « Monsieur Walter » ! Tu te prends pour qui, infâme bâtard ! Et une faute de plus, je pense qu’aujourd’hui tu as décidé de les collectionner. Pour le « Monsieur » oublié, je vais laisser ce dernier te châtier tout seul lors de ton prochain déplacement au Château. Je suis certain que Monsieur Walter prendra un malin plaisir à t’apprendre la politesse qui est dû à son rang privilégié…
(A suivre…)
Tandis que dans les étages supérieurs de l’immense building de la Holding MDE, Monsieur le Marquis d’Evans est en réunion d’affaires avec Madame D…., ayant décidé de renvoyer au coin Sa soumise Thaïs MDE et que concomitamment, le sous-directeur administratif et financier termine de préparer le chien-mâle compelled MDE conformément aux instructions du Maître, dans les autres étages tous s’affairent à leurs tâches professionnelles. Mais dans les parkings du sous-sol, à l’étage réservé au Président Directeur Général et à ceux qu’IL reçoit régulièrement en rendez-vous d’affaires qui ont la possibilité d’accéder directement au dernier étage sans avoir à passer par l’accueil, le soumis car2MDE qui venait de garer la voiture est en train de la préparer pour le retour au Château prévu en fin d’après-midi.
Le chauffeur a été contraint, sur ordre transmis via la soumise Emeline MDE, de nettoyer la tâche humide laissée le matin même par la femelle Thaïs MDE qu’il avait été cherché au Château pour la conduire en ces lieux, nue et pluguée, attachée au milieu sur le siège arrière avec les jambes écartées ce qui n’avait pu qu’accroître son excitation et l’humidité de son bas-ventre. En d’autres temps, il aurait été plus que normal de laisser à l’esclave MDE qui n’avait pas su se contenir la charge de nettoyer ses propres souillures, mais la chienne aux lèvres intimes baveuses en serait quitte pour une sévère punition, puisqu’elle avait désobéi aux ordres express du Maître Vénéré qui lui avait enjoint de ne pas salir la voiture.
Pour l’heure, le Marquis d’Evans a confié à son esclave-soumise Thaïs MDE une tâche d’une tout autre envergure professionnelle et c’est donc le chauffeur qui doit en ses lieux et place se coltiner de faire disparaître l’auréole de cyprine qui a marqué le cuir ébène des sièges de la luxueuse voiture. Car2MDE s’affaire de son mieux pour passer une crème détachante neutre sur le cuir qu’il frotte pour atténuer la marque et qu’il essuie tout en maugréant dans son for intérieur, même s’il devrait en bon soumis ne pas contester de quelque manière que ce soit les ordres qui lui sont imposés par le Maître, directement ou indirectement. Il repense à la consigne qu’il a pourtant transmise mot pour mot à la femelle, après avoir pénétré dans le véhicule « Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, qui semble bien connaître Sa chienne en chaleur, te fait dire que tu as intérêt à te débrouiller comme tu veux, mais qu’il serait préférable pour toi, si tu ne tiens pas à commencer la journée par une sérieuse punition adaptée, de ne pas tremper le siège en cuir de l’une de ses prestigieuses voitures de fonction, d’autant plus qu’IL a prévu ce soir de s’en servir pour ramener au Château certains de ses Invités professionnels avec lesquels il est en pourparlers d’affaires ». Le soumis mâle bougonne tout seul dans le véhicule d’avoir à faire ce qu’il considère comme le « sale » boulot, qui ne peut le laisser indifférent à l’idée d’imaginer la chatte humide et dégoulinante dans laquelle il aurait bien aimé pouvoir plonger sa queue qui voudrait se gonfler d’excitation, mais qui est freinée dans son élan par la cage de chasteté en métal qu’il porte sous sa livrée.
Le soumis car2MDE se laisse emporter par ses pensées et ses fantasmes intimes. Il y a longtemps qu’il n’a pas pu se vider les couilles et profiter d’un trou mâle ou femelle à baiser, ressentant profondément sa frustration et le manque de sexe imposés par le Maître dans le cadre de son dressage. Ses désirs de soumission D/s sont sincères, mais il a encore beaucoup de mal à refreiner ses autres désirs charnels et sexuels de mâle, et aussi à accepter de s’en tenir à sa simple condition de dominé qui a accepté de son plein gré d’obéir sans poser de questions. Il est encore novice dans l’apprentissage de la soumission, et au début cela lui a permis de bénéficier de certaines tolérances afin de lui laisser le temps d’apprendre à adapter son comportement à toutes les exigences nouvelles du Maître qu’elles soient d’ordre professionnel et/ou personnel.
Mais Monsieur le Marquis d’Evans lui a fait comprendre que son noviciat D/s touchait à sa fin, tout comme sa période d’essai dans sa nouvelle fonction, et qu’il était temps maintenant pour lui de se décider s’il voulait rester un simple employé de l’entreprise car sa place ne serait pas remise en cause même s’il réintégrerait forcément son ancien poste de coursier, ou s’il entendait faire ce qu’il fallait pour conserver l’honneur qui lui avait été fait d’être affecté à la conduite des voitures personnelles de luxe de Monsieur le Marquis d’Evans, réservée aux seuls soumis MDE en qui le Châtelain a une totale confiance, ayant fait preuve de leur savoir-faire professionnel au niveau de la conduite mais aussi d’une réelle dévotion D/s. Cela présentait de réels avantages au quotidien de pouvoir conduire des véhicules dispendieux que ce dernier n’aurait même pas eu l’idée de pouvoir approcher dans sa vie, mais il était conscient qu’il y avait par contrepartie de nombreuses obligations à respecter pour conserver l’aval du Maître, et il doutait fort de sa capacité à se plier autant que le Dominant l’exigerait.
Le chauffeur regarde sa montre et s’aperçoit que l’heure a tourné bien plus qu’il ne l’aurait fallu, tandis qu’il s’est installé confortablement sur le siège arrière pour rêver comme s’il était devenu pour quelques instants un de ces hommes d’affaires en costard cravate richissime ayant entre les mains une jolie poupée sexy pour le divertir et le sucer bien à l’abri derrière des vitres teintées. Il risque fort de se faire réprimander une fois de plus, même s’il entend bien arguer du fait que la tâche laissée par la femelle fût plus résistante à tous ses efforts que prévu, se retranchant derrière la chienne fautive qui ne viendra forcément pas le contredire, et tout cela sans prendre le risque de s’étendre sur le temps perdu à réfléchir et rêvasser sur la banquette arrière. Le chauffeur a bien conscience que cela n’est pas conforme à la soumission qu’il voudrait alléguer avant tout pour bénéficier de la fonction qu’il ambitionne, mais il n’aime pas du tout les punitions et est prêt à tout pour tenter d’y échapper par tous les moyens, n’ayant pas encore compris pourquoi celles-ci peuvent lui être salutaires pour l’aider à s’améliorer et pour faire de lui un meilleur soumis, au lieu du rebelle juste bon à dresser qu’il reste encore, n’acceptant pas de reconnaître ses erreurs et ses manquements, et surtout toujours prêt à commenter et argumenter sur les consignes qui lui sont transmises.
Le soumis car2MDE en est presque devenu imbu de lui-même depuis qu’il a pu enfiler la tenue d’uniforme des chauffeurs de Monsieur le Marquis d’Evans et poser ses mains sur les volants magiques des Rolls-Royce, Ferrari et autres véhicules prestigieux aux moteurs vrombissants. Le chauffeur espère toujours pouvoir prendre en mains la grande Limousine Lincoln blanche de 10 mètres de long que Le Président Directeur Général n’utilise que rarement lorsqu’il désire transporter ensemble tous ses interlocuteurs professionnels pour se rendre sur un site prédéfini, puisque celle-ci est équipée d’un large fauteuil double que le Marquis d’Evans se réserve habituellement, et d’une banquette en L pouvant accueillir jusqu’à 14 personnes dans un confort exceptionnel. Le Marquis d’Evans qui a une très grande capacité à analyser la nature humaine profonde de chacun a bien compris que ce soumis à l’essai était plus attiré par Ses voitures que par la soumission proprement dite en veillant au bon plaisir du Maître qui devrait être sa première préoccupation en tant que dominé. C’est pourquoi il a décidé dorénavant de faire surveiller chacun de ses faits et gestes afin de le tester dans ses retranchements pour savoir s’il l’accepte vraiment comme soumis MDE ou s’il décide que ses prédispositions à la soumission ne sont pas assez fondées pour arriver à une relation D/s de qualité, pour le Dominant tout autant que pour le dominé lui-même qui ne pourra pas s’épanouir dans sa soumission avec toute l’abnégation que cela implique, si son plus fort désir ne se fonde que sur le plaisir de pouvoir conduire de temps en temps des voitures luxueuses.
Le soumis car2MDE referme la voiture et conformément à ce qui lui a été indiqué, il s’apprête à rejoindre le bureau du responsable des soumis et soumises MDE pour y recevoir ses nouveaux ordres et aussi connaître la sanction qui va lui être imposée, suivant ce que lui a indiqué un peu plus tôt la secrétaire-soumise Emeline MDE, pour son écart de langage en présence de Monsieur Walter qui, avec son petit côté vicieux habituel, n’a pas manqué de faire un rapport extrêmement salé sur le soumis qui a osé contesté en sa présence le bien-fondé des deux déplacements successifs au Château qu’on lui avait demandé d’assurer pour récupérer respectivement la chienne-femelle Thaïs MDE et plus tard dans la matinée le chien-mâle compelled MDE. Le chauffeur pense au fond de lui qu’il devrait juste se faire rabrouer un petit peu pour la forme comme cela lui est si souvent arrivé, même si Emeline MDE ne semblait pas du même avis lui indiquant qu’il avait eu grand tort d’ouvrir son clapet au Château devant le Majordome. Mais il se dit qu’il n’a pas fait grand-chose de mal après-tout, se contentant d’émettre l’idée qu’un seul voyage groupé aurait été plus économique que deux allers et retours successifs, et c’est donc assez confiant que le chauffeur quitte le parking pour rejoindre le bureau situé au 10ème étage, bien décidé à annoncer fièrement que le véhicule est tout à fait propre et opérationnel à nouveau pour y faire asseoir les invités professionnels de Monsieur le Marquis d’Evans.
Le chauffeur arrive devant la porte de celui qui reste à demeure dans l’Entreprise du Marquis d’Evans, même si ce dernier n’y travaille pas professionnellement au sens propre du terme, prenant son plaisir à assumer par délégation du Maître Vénéré cette fonction de « surveillant D/s » des soumis et soumises MDE, ce qui lui apporte des avantages certains pour vivre sa sexualité et sa perversité dans les limites fixées par le Président Directeur Général. Petit dominant par nature, sans pouvoir encore se targuer du grand M de Maître n’ayant jamais eu aucun(e) dominé(e) en propre sous sa coupe. Il était dans l’armée sergent-chef, celui qui crie souvent sur les nouvelles recrues pendant l’exercice mais qui ne sera jamais apte à devenir officier de haut rang. Sa reconversion dans le civil lui avait été difficile car le côté militaire et directif fonctionne bien mal en entreprise où le management doit prendre en compte bien d’autres critères humains pour motiver la « troupe » quand il s’agit de salariés et non de simples soldats plus facilement maniables par le simple fait du pouvoir hiérarchique. Il avait été bien content de rencontrer Monsieur le Marquis d’Evans par le biais d’amis communs membres de la communauté BDSM dans laquelle il espérait pouvoir se faire une place, et de fil en aiguille, il avait atterri ici.
- Toc-toc - Entrez !
C’est une voix forte qui répond ! Monsieur Denis est le responsable en question qui occupe ce bureau un peu spécial du 10ème étage, réservé à la meute MDE et non accessible aux autres salariés. Il n’est pas tout à fait l’homologue de Monsieur Walter dans cet environnement professionnel, car il n’a pas en charge le dressage complet d’un chien ou d’une chienne admis(e) dans le cheptel, éducation à la soumission qui se fait principalement dans l’enceinte du Château pour des raisons de commodité. Cependant, au sein des bureaux de Monsieur le Marquis d’Evans, il est le ferme bras droit du Maître qui a pour charge de sanctionner tous les manquements aux règles D/s des esclaves, ce qui ne peut être confondu avec les erreurs ou fautes professionnelles que peuvent commettre même les plus fidèles collaborateurs et employés qui font l’objet de remontrances si besoin, en conformité à la législation en vigueur, mais sans qu’il soit fait la distinction entre un simple salarié et un(e) soumis(e) MDE.
Si la déférence envers le Maître reste de rigueur à tout moment, ce qui peut aussi s’entendre vis-à-vis des non-initiés comme un profond respect pour le Grand Patron, le statut d’esclave-soumis MDE n’est pas affiché ostensiblement au sein des bureaux sauf lorsque le/la dominé(e) se retrouve seul(e) en présence du Maître Vénéré portant alors son pseudo de soumis(e) immédiatement suivi des Nobles initiales du Marquis d’Evans au lieu de ses vrais nom et prénom civils utilisés en milieu vanille, professionnel ou personnel. Cette transition entre vie professionnelle et vie D/s arrive également lorsque le Maître réunit en ses bureaux (dans les deux étages supérieurs) un petit comité exclusivement composé de Dominants de ses amis, membres de la communauté BDSM, avec à ses côtés plusieurs dominé(e)s de son cheptel MDE, qui doivent alors se comporter conformément à leur condition, oubliant pour un temps leur fonction au sein des filiales de la Holding MDE, et ce, sauf avis contraire du PDG, seul Maître à bord.
- Bonjour, Monsieur Denis.
- Oui ! C’est cela ! Bonjour car2MDE !!!! ……… Mais est-ce que je peux savoir ce que tu as fait en chemin pour mettre tant de temps à parvenir jusqu’à moi. Il me semble qu’il y a déjà plus d’une heure que tu as franchi la barrière automatique du parking pour livrer ton colis à Emeline MDE qui m’a prévenu de ton arrivée.
- J’ai été très occupé, vraiment très occupé, Monsieur Denis, pour essayer de nettoyer la voiture que cette espèce de sale chienne-femelle baveuse avait ignoblement souillée de sa mouille, sans respecter les consignes de Monsieur le Marquis d’Evans. Il n’était pas question de laisser quelqu’un d’important venir s’asseoir sur les sièges en cuir auréolés.
- Tu pourrais être plus poli lorsque tu parles de celle qui est ta sœur de soumission, fidèle et dévouée au Maître bien plus que tu ne sembles l’être.
- Oui, mais ce n’est après tout qu’une chienne en chaleur qui m’a donné un très long surcroît de travail pour réparer ses salissures.
- Cela suffit ! Tais-toi et n’aggrave pas ton cas ! …… Dans ce bureau, tu n’es qu’un bâtard de chien, même pas digne de porter les Nobles Initiales du Châtelain, de Celui que nous considérons tous comme le plus Grand Maître de notre communauté et qui a cru pouvoir t’offrir une chance en t’acceptant à l’essai à Ses pieds. Ne sais-tu pas que le mensonge est un des pires défauts pour celui qui cherche à cheminer dans la voie de la soumission dans le cadre d’une relation D/s qui est basée sur la confiance et le respect.
- Oui, Monsieur Denis, je le sais. Mais moi je ne mens jamais !!! (d’une voix malgré tout peu assurée) Je ne fais que vous relater ce qu’il en est, au risque de savoir que Thaïs MDE sera punie sévèrement parce que je dis la stricte vérité, mais c’est bien sa faute après tout !
- Certes, Monsieur le Marquis d’Evans, décidera lui-même de la sanction qu’il imposera à Son esclave. Mais moi, je suis là pour te parler de ta faute, de « TES » fautes devrais-je dire …. (en insistant lourdement sur le « TES ») …. car il y a en plusieurs pour lesquelles je vais devoir te punir sans tarder.
Monsieur Denis se lève et s’approche de car2MDE, tout en le fixant dans les yeux.
- Commençons par ton dernier mensonge ! Avoue ! ….. Alors j’attends …. Aurais-tu perdu ta langue ?
Le soumis voudrait rester silencieux, mais son habitude inconsciente à toujours répliquer est plus forte que lui et il renchérit sans plus attendre.
- Je ne sais pas à quoi vous faîtes allusion, Monsieur Denis. Et puis je ne comprends pas bien, tantôt « Walter » me reproche d’avoir la langue bien pendue et maintenant, c’est vous qui me demandez si j’ai perdu ma langue car je me tais. Faudrait savoir un peu et vous mettre d’accord entre vous, car vous me faites perdre la tête à force.
- Comment oses-tu ? Tu dois dire « Monsieur Walter » ! Tu te prends pour qui, infâme bâtard ! Et une faute de plus, je pense qu’aujourd’hui tu as décidé de les collectionner. Pour le « Monsieur » oublié, je vais laisser ce dernier te châtier tout seul lors de ton prochain déplacement au Château. Je suis certain que Monsieur Walter prendra un malin plaisir à t’apprendre la politesse qui est dû à son rang privilégié…
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...