L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 19) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 19) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Endymion, entre Héphaïstos et Morphée –
Ainsi donc, Endymion était livré au forgeron vulgaire dont l'ancien berger devenu esclave ignorait que sous l'abondante pilosité du rustre personnage cachait en réalité le Dieu Héphaïstos, Divinité désireuse de s'amuser de cet humain insignifiant. Décidément Endymion était apprécié du côté de l’Olympe ! Autant du Dieu du Feu et des Forges que de ce petit Dieu efféminé qu’était Morphée dans un précédent épisode…
La Belle Hélène avait quitté l'échoppe, fort satisfaite de la cage de métal qui emprisonnait désormais le sexe de son esclave mâle et dont Elle (et Elle seule !) détenait la clé. Rejoignant Clytia dans leur chambre à l'auberge, Elle avait trouvé la jeune femme sagement allongée sur le sol, là où le lui permettait la lourde chaîne fixée à sa cheville et à l'anneau que La Maîtresse avait fait fixer au mur, tout près de son lit. L'esclave au crâne rasé sursauta en entendant le léger grincement de la porte... Et elle se tenait parfaitement agenouillée, le front contre le sol à l'entrée de La Belle Hélène qui l'ignora avec superbe pour aller s'allonger sur sa couche. L'esclave demeura dans sa position servile, immobile et silencieuse... Hélène reposait sur le lit modeste mais propre et Elle repensait aux événements qui s'étaient bousculés dans sa vie depuis qu'elle avait fui la cité de Sparte et son mari Ménélas qui en était le Roi, afin de suivre son amant le prince troyen Pâris et l'intense chaleur qui naissait entre ses cuisses chaque fois qu'ils étaient proches à la cour spartiate dont Pâris avait été l'hôte. D'abord adulée, puis détestée, enfin devenue comme un enjeu entre les deux plus puissantes armées de tous les temps... Puis après la chute de Troie (comme Elle avait voulu mourir !), privée de mémoire et réduite à l'état d'esclave et de putain sous le nom d’êta, errant à travers les plus diverses contrées, livrées aux pratiques les plus perverses, aux êtres les plus lubriques... Mais aussi éduquée à tant de plaisirs et ouverte à tellement de désirs sans autres limites que celles de sa débordante imagination ! Et puis son retour à Sparte, de la pire des humiliations à la plus éclatante des revanches... Et son cheminement à travers le Péloponnèse pour rejoindre Olympie, accompagnée de cette si délicieuse esclave, Clytia, de si noble famille et pourtant offerte avec tellement de naturel et de reconnaissance à la plus vile position...
Cette pensée fit tourner la tête à Hélène et posa son regard sur l'arrondi sans défaut qu'offrait le corps lisse et frais de Son esclave femelle, toujours prosternée dans la position qu'elle avait instinctivement adoptée à l'entrée de Sa Maîtresse et qu'elle ne quitterait que sur ordre... Hélène appréciait la croupe ferme, les cuisses légèrement potelées, le dos offrant une courbe parfaite jusqu'au cou, et ce crâne fin et élégant, quotidiennement rasé depuis qu’Hélène avait décidé de punir ainsi Son esclave d'avoir été formée pour La remplacer, fut-ce à son corps défendant, parce que Ménélas ne pouvait oublier Celle qui l'avait épousé, bafoué, humilié et ridiculisé aux yeux de tous les Grecs ! Clytia immobile, sentait pourtant peser sur elle Le Regard de sa Maîtresse Vénérée. Elle n'avait qu'une pensée, qu'un claquement de doigts pour l'interpeller Si la Belle Hélène l'appelle à Elle... Rien n'était plus précieux pour la jeune et belle esclave que les moments où sa Maîtresse lui accordait de l'intérêt, et plus encore lorsqu'Elle usait d'Elle pour Ses Plaisirs, si riches et variés. Clytia se crispait légèrement, prenant sur elle afin de ne pas trembler du désir qui l'envahissait. L'esclave savait que sa Maîtresse la regardait, elle sentait ce regard comme une brûlure sur sa peau... Elle désirait tant qu’Hélène la fasse venir. Mais Celle-Ci n'en faisait rien... Et l'esclave maintenant mouillait... sentait la cyprine produite par son si intense espoir qui coulait lentement, doucement à l'intérieur de ses cuisses... Clytia n'avait même plus besoin que sa Maîtresse la touche, la seule pensée qu'elle put le faire suffisait ainsi à la faire abondamment mouiller. Et cela, Hélène le savait et savourait cet instant... laissant ses yeux fixés sur cette charmante boule de chair et de désir qui se consumait sur-place, avec l'espoir d'être utilisée... Mais Hélène se caressait doucement et n'avait nulle intention d'accéder à la supplique non prononcée de Son esclave qu'Elle préférait voir ainsi frissonnante d'un désir qui ne serait pas satisfait... pas pour le moment du moins ! …
Il n'en allait pas de même dans l'arrière-boutique du forgeron. Héphaïstos qui avait pris possession du corps et de l’esprit de l’épaisse brute velue avait entraîné Endymion sans ménagement et l'avait jeté tel un pauvre sac de chair sur une couche crasseuse... Puis le forgeron adipeux et velu s'était comme laissé tomber sur le berger et l'avait embrassé à pleine bouche, emplissant l'air et les voies respiratoires de l'esclave d'une épaisse haleine chargée d'ail et de mauvais vin. La langue épaisse et baveuse du colosse boiteux se mêlait à celle de l'esclave, leurs lèvres se collaient, leur salives se mêlaient, au plus grand dégoût d'Endymion qui pourtant s'appliquait à satisfaire celui qui avait confectionné pour lui la plus humiliante et contraignante des cages. Les mains aux doigts courts et épais du forgeron allaient et venaient sur tout le corps musclé et élancé du jeune homme, il lui pressait les couilles et les étirait brutalement... Puis d'un geste sec, le forgeron força Endymion à se retourner et à lui présenter sa croupe, il s'agenouilla derrière lui et pressa le gros gland rougissant de son sexe énorme contre la rosette qu'il humecta d'un doigt enduit de salive, avant de pousser son épaisse verge et de l'enfoncer sans ménagement d'un brusque coup de reins dans le cul de l'esclave. Endymion ne put retenir un cri, mais le forgeron lui saisit les cheveux d'une main si forte qu'il se cambra et subit désormais en silence les assauts du gros et puissant sexe qui lui labourait maintenant les entrailles. Même s'il avait déjà du endurer la présence du manche de fouet dans son cul de chien, Endymion n'avait jamais connu une telle pénétration.
Le forgeron hypnotisé, commandé dans ses moindres faits et gestes par l’esprit pervers du Dieu Héphaïstos allait et venait en lui avec une sorte de force mécanique. Le sexe extrêmement épais emplissait son cul et lui déchirait l'anus... Derrière et au-dessus de lui, l'homme s'activait, poussait des grognements, allait et venait, accélérait, ralentissait son rythme en ahanant... Le forgeron transpirait et bavait même, supposait l'esclave qui sentait une sécrétion épaisse couler sur son dos cambré...Tout en l'enculant, le forgeron commença à claquer la croupe de l'esclave. Des coups appuyés, qui suivaient le rythme des coups de boutoir qui lui emplissaient le cul. Un cul qui lui semblait habité d'un véritable incendie, tandis que ses fesses lui brûlaient maintenant... Endymion avait tout l'arrière train en feu, ne sachant plus si le plus intense était intérieur ou extérieur. Il imaginait son anus saccagé, et ses fesses aussi rouges que les flammes d'un incendie. Mais pour l’esclave, il fallait se rendre à l’évidence, cette magistrale enculade, cette douleur intense, les coups de reins puissants qu’il subissait, le cul bien rempli, besogné sans préambule, tout cela l’excitait énormément, il ressentait un incroyable plaisir monter en lui à se faire sodomiser de la sorte, comme une chienne en chaleur… Et la douleur se mélangeait désormais avec le plaisir, oui c’est cette évidence qui traversa l’esprit de l’esclave et cet ébat bestial lui donnait une respiration plus rapide ainsi que des gémissements forts de plaisirs …
Et le forgeron riait, riait en l'enculant... Depuis un temps infini il l'enculait et ne semblait pas devoir en finir ! Endymion était incapable de dire combien de temps s'était écoulé depuis que la grosse queue du forgeron avait investi son cul et ses entrailles... Si longtemps lui semblait-il avec de très longs moments de plaisirs à recevoir des assauts si virils ! Et soudain, un flot brûlant jaillit dans son ventre. Il cria, car la semence si épaisse et abondante qui venait d'emplir son ventre brûlait et lui faisait penser à un métal en fusion qui se répandait dans son cul ! Le forgeron poussa une dernière fois d’un ultime et si puissant coup de rein, envoyant une nouvelle giclée de semence avant de se retirer et de retourner Endymion sur le dos afin de venir s'asseoir sur sa poitrine et de laisser les dernières saccades de sa verge asperger le visage de l'esclave...
- M'houais ... pas mal, grogna le forgeron en se redressant et en quittant la couche immonde sur laquelle il venait d'enfiler l'esclave...
Il alla jusqu'à une étagère bancale accrochée à un mur et s'empara d'une fiole qu'il ouvrit et but à même le goulot. Le vin coulait dans sa bouche, mais sans doute autant sur son menton et sa barbe... Il en but plusieurs rasades, puis s'approcha d'Endymion et lui saisissant les cheveux le força à quitter le lit... L'esclave épuisé flageolait sur ses jambes, épuisé et tremblant étant encore empli de puissants spasmes de plaisirs d’avoir été pris par le cul d’une manière si animale. Peu importait au forgeron assez fort pour le maintenir ainsi et pousser le goulot entre ses lèvres pour le forcer à boire...
- Allons, bois ! Prends un peu de forces car ça ne fait que commencer ! lança le forgeron avant de laisser l'esclave retomber en tas sur le sol...
Endymion était épuisé comme jamais il ne l'avait été. Il avait le sentiment que son corps avait été écrasé et malaxé entre deux disques de pierre, tant la moindre parcelle était moulue. Son cul lui cuisait, il n'osait imaginer la couleur de ses fesses... le moindre muscle était endolori et pourtant, il éprouvait une sorte de sérénité honteuse qui faisait suite aux spasmes qui se calmaient doucement. Même si cela avait été dur, il avait aussi aimé être ainsi pénétré, possédé, réduit à l'état d'une chose dénuée de toute autre valeur que d'offrir un orifice à la virile queue du forgeron. Et maintenant, recroquevillé sur le sol, dans l'attente de nouvelles épreuves, il se surprenait à espérer qu'il serait encore baisé par cet être repoussant mais tellement puissant de vigueur ! Il se prenait à regarder le corps quelque peu difforme et claudiquant, mais si fort... et à désirer qu'il revienne vers lui, qu'il le saisisse encore, le jette sur le lit immonde et poisseux et qu'il l'encule une fois encore... et encore...
- Tu ne sais pas qui je suis, mais tu vas l'apprendre, ricana le forgeron qui avait abandonné cette voix vulgaire, cet accent rocailleux...
Il se tenait debout au-dessus du corps de l'esclave... Nu, sa verge épaisse encore poisseuse de semence déjà dressée... Endymion malgré la fatigue et la douleur se redressa pour se mettre à genoux, le visage au niveau de ce sexe qui un peu plus tôt lui emplissait le cul...
- As-tu une envie ?, demanda le forgeron, alors cette fois je ne te force pas, à toi de choisir, dit-il en riant.
Alors, à sa propre surprise, Endymion rampa à quatre pattes pour rejoindre le forgeron qui le toisait et l’esclave se tenant à genoux, ouvrit grand sa bouche, et d'un mouvement fluide avala toute la verge entre ses lèvres, jusqu'à la sentir sous son palais. Il resserra alors les lèvres et commença à sucer ce sexe qui en aurait rebuté tant d'autres. Il le suça avec avidité, avec passion... gardant ses mains jointes dans le dos, n'usant que de sa bouche comme d'un trou totalement dédié au plaisir de Celui qui se tenait au-dessus de lui... Le forgeron plaça ses mains sur la nuque de l'esclave et maintint fermement son sexe enfoncé au maximum dans la bouche servile, jouant du mouvement de ses hanches pour baiser cette bouche qui venait de s'offrir à Lui sans modération…
Et tout se faisant ainsi sucer avec délices, Héphaïstos pensait à Morphée qui ne tarderait plus. Le Dieu du Feu avait en effet convié celui des Songes, sans lui révéler la raison précise pour laquelle Il lui avait proposé cette entrevue. Mais Héphaïstos avait une dent contre Morphée. Et n'ignorant rien des doux sentiments du Dieu pour ce charmant mortel devenu esclave, Il avait décidé de s'en emparer sous l’apparence d’un rustre forgeron et de s'imposer à lui afin de pouvoir exhiber le servile abandon d’Endymion aux yeux de Morphée, l’amant nocturne... Une fois encore, mais de façon indirecte, les Dieux s'immisçaient ainsi dans la vie de La Belle Hélène !
(A suivre…)
Ainsi donc, Endymion était livré au forgeron vulgaire dont l'ancien berger devenu esclave ignorait que sous l'abondante pilosité du rustre personnage cachait en réalité le Dieu Héphaïstos, Divinité désireuse de s'amuser de cet humain insignifiant. Décidément Endymion était apprécié du côté de l’Olympe ! Autant du Dieu du Feu et des Forges que de ce petit Dieu efféminé qu’était Morphée dans un précédent épisode…
La Belle Hélène avait quitté l'échoppe, fort satisfaite de la cage de métal qui emprisonnait désormais le sexe de son esclave mâle et dont Elle (et Elle seule !) détenait la clé. Rejoignant Clytia dans leur chambre à l'auberge, Elle avait trouvé la jeune femme sagement allongée sur le sol, là où le lui permettait la lourde chaîne fixée à sa cheville et à l'anneau que La Maîtresse avait fait fixer au mur, tout près de son lit. L'esclave au crâne rasé sursauta en entendant le léger grincement de la porte... Et elle se tenait parfaitement agenouillée, le front contre le sol à l'entrée de La Belle Hélène qui l'ignora avec superbe pour aller s'allonger sur sa couche. L'esclave demeura dans sa position servile, immobile et silencieuse... Hélène reposait sur le lit modeste mais propre et Elle repensait aux événements qui s'étaient bousculés dans sa vie depuis qu'elle avait fui la cité de Sparte et son mari Ménélas qui en était le Roi, afin de suivre son amant le prince troyen Pâris et l'intense chaleur qui naissait entre ses cuisses chaque fois qu'ils étaient proches à la cour spartiate dont Pâris avait été l'hôte. D'abord adulée, puis détestée, enfin devenue comme un enjeu entre les deux plus puissantes armées de tous les temps... Puis après la chute de Troie (comme Elle avait voulu mourir !), privée de mémoire et réduite à l'état d'esclave et de putain sous le nom d’êta, errant à travers les plus diverses contrées, livrées aux pratiques les plus perverses, aux êtres les plus lubriques... Mais aussi éduquée à tant de plaisirs et ouverte à tellement de désirs sans autres limites que celles de sa débordante imagination ! Et puis son retour à Sparte, de la pire des humiliations à la plus éclatante des revanches... Et son cheminement à travers le Péloponnèse pour rejoindre Olympie, accompagnée de cette si délicieuse esclave, Clytia, de si noble famille et pourtant offerte avec tellement de naturel et de reconnaissance à la plus vile position...
Cette pensée fit tourner la tête à Hélène et posa son regard sur l'arrondi sans défaut qu'offrait le corps lisse et frais de Son esclave femelle, toujours prosternée dans la position qu'elle avait instinctivement adoptée à l'entrée de Sa Maîtresse et qu'elle ne quitterait que sur ordre... Hélène appréciait la croupe ferme, les cuisses légèrement potelées, le dos offrant une courbe parfaite jusqu'au cou, et ce crâne fin et élégant, quotidiennement rasé depuis qu’Hélène avait décidé de punir ainsi Son esclave d'avoir été formée pour La remplacer, fut-ce à son corps défendant, parce que Ménélas ne pouvait oublier Celle qui l'avait épousé, bafoué, humilié et ridiculisé aux yeux de tous les Grecs ! Clytia immobile, sentait pourtant peser sur elle Le Regard de sa Maîtresse Vénérée. Elle n'avait qu'une pensée, qu'un claquement de doigts pour l'interpeller Si la Belle Hélène l'appelle à Elle... Rien n'était plus précieux pour la jeune et belle esclave que les moments où sa Maîtresse lui accordait de l'intérêt, et plus encore lorsqu'Elle usait d'Elle pour Ses Plaisirs, si riches et variés. Clytia se crispait légèrement, prenant sur elle afin de ne pas trembler du désir qui l'envahissait. L'esclave savait que sa Maîtresse la regardait, elle sentait ce regard comme une brûlure sur sa peau... Elle désirait tant qu’Hélène la fasse venir. Mais Celle-Ci n'en faisait rien... Et l'esclave maintenant mouillait... sentait la cyprine produite par son si intense espoir qui coulait lentement, doucement à l'intérieur de ses cuisses... Clytia n'avait même plus besoin que sa Maîtresse la touche, la seule pensée qu'elle put le faire suffisait ainsi à la faire abondamment mouiller. Et cela, Hélène le savait et savourait cet instant... laissant ses yeux fixés sur cette charmante boule de chair et de désir qui se consumait sur-place, avec l'espoir d'être utilisée... Mais Hélène se caressait doucement et n'avait nulle intention d'accéder à la supplique non prononcée de Son esclave qu'Elle préférait voir ainsi frissonnante d'un désir qui ne serait pas satisfait... pas pour le moment du moins ! …
Il n'en allait pas de même dans l'arrière-boutique du forgeron. Héphaïstos qui avait pris possession du corps et de l’esprit de l’épaisse brute velue avait entraîné Endymion sans ménagement et l'avait jeté tel un pauvre sac de chair sur une couche crasseuse... Puis le forgeron adipeux et velu s'était comme laissé tomber sur le berger et l'avait embrassé à pleine bouche, emplissant l'air et les voies respiratoires de l'esclave d'une épaisse haleine chargée d'ail et de mauvais vin. La langue épaisse et baveuse du colosse boiteux se mêlait à celle de l'esclave, leurs lèvres se collaient, leur salives se mêlaient, au plus grand dégoût d'Endymion qui pourtant s'appliquait à satisfaire celui qui avait confectionné pour lui la plus humiliante et contraignante des cages. Les mains aux doigts courts et épais du forgeron allaient et venaient sur tout le corps musclé et élancé du jeune homme, il lui pressait les couilles et les étirait brutalement... Puis d'un geste sec, le forgeron força Endymion à se retourner et à lui présenter sa croupe, il s'agenouilla derrière lui et pressa le gros gland rougissant de son sexe énorme contre la rosette qu'il humecta d'un doigt enduit de salive, avant de pousser son épaisse verge et de l'enfoncer sans ménagement d'un brusque coup de reins dans le cul de l'esclave. Endymion ne put retenir un cri, mais le forgeron lui saisit les cheveux d'une main si forte qu'il se cambra et subit désormais en silence les assauts du gros et puissant sexe qui lui labourait maintenant les entrailles. Même s'il avait déjà du endurer la présence du manche de fouet dans son cul de chien, Endymion n'avait jamais connu une telle pénétration.
Le forgeron hypnotisé, commandé dans ses moindres faits et gestes par l’esprit pervers du Dieu Héphaïstos allait et venait en lui avec une sorte de force mécanique. Le sexe extrêmement épais emplissait son cul et lui déchirait l'anus... Derrière et au-dessus de lui, l'homme s'activait, poussait des grognements, allait et venait, accélérait, ralentissait son rythme en ahanant... Le forgeron transpirait et bavait même, supposait l'esclave qui sentait une sécrétion épaisse couler sur son dos cambré...Tout en l'enculant, le forgeron commença à claquer la croupe de l'esclave. Des coups appuyés, qui suivaient le rythme des coups de boutoir qui lui emplissaient le cul. Un cul qui lui semblait habité d'un véritable incendie, tandis que ses fesses lui brûlaient maintenant... Endymion avait tout l'arrière train en feu, ne sachant plus si le plus intense était intérieur ou extérieur. Il imaginait son anus saccagé, et ses fesses aussi rouges que les flammes d'un incendie. Mais pour l’esclave, il fallait se rendre à l’évidence, cette magistrale enculade, cette douleur intense, les coups de reins puissants qu’il subissait, le cul bien rempli, besogné sans préambule, tout cela l’excitait énormément, il ressentait un incroyable plaisir monter en lui à se faire sodomiser de la sorte, comme une chienne en chaleur… Et la douleur se mélangeait désormais avec le plaisir, oui c’est cette évidence qui traversa l’esprit de l’esclave et cet ébat bestial lui donnait une respiration plus rapide ainsi que des gémissements forts de plaisirs …
Et le forgeron riait, riait en l'enculant... Depuis un temps infini il l'enculait et ne semblait pas devoir en finir ! Endymion était incapable de dire combien de temps s'était écoulé depuis que la grosse queue du forgeron avait investi son cul et ses entrailles... Si longtemps lui semblait-il avec de très longs moments de plaisirs à recevoir des assauts si virils ! Et soudain, un flot brûlant jaillit dans son ventre. Il cria, car la semence si épaisse et abondante qui venait d'emplir son ventre brûlait et lui faisait penser à un métal en fusion qui se répandait dans son cul ! Le forgeron poussa une dernière fois d’un ultime et si puissant coup de rein, envoyant une nouvelle giclée de semence avant de se retirer et de retourner Endymion sur le dos afin de venir s'asseoir sur sa poitrine et de laisser les dernières saccades de sa verge asperger le visage de l'esclave...
- M'houais ... pas mal, grogna le forgeron en se redressant et en quittant la couche immonde sur laquelle il venait d'enfiler l'esclave...
Il alla jusqu'à une étagère bancale accrochée à un mur et s'empara d'une fiole qu'il ouvrit et but à même le goulot. Le vin coulait dans sa bouche, mais sans doute autant sur son menton et sa barbe... Il en but plusieurs rasades, puis s'approcha d'Endymion et lui saisissant les cheveux le força à quitter le lit... L'esclave épuisé flageolait sur ses jambes, épuisé et tremblant étant encore empli de puissants spasmes de plaisirs d’avoir été pris par le cul d’une manière si animale. Peu importait au forgeron assez fort pour le maintenir ainsi et pousser le goulot entre ses lèvres pour le forcer à boire...
- Allons, bois ! Prends un peu de forces car ça ne fait que commencer ! lança le forgeron avant de laisser l'esclave retomber en tas sur le sol...
Endymion était épuisé comme jamais il ne l'avait été. Il avait le sentiment que son corps avait été écrasé et malaxé entre deux disques de pierre, tant la moindre parcelle était moulue. Son cul lui cuisait, il n'osait imaginer la couleur de ses fesses... le moindre muscle était endolori et pourtant, il éprouvait une sorte de sérénité honteuse qui faisait suite aux spasmes qui se calmaient doucement. Même si cela avait été dur, il avait aussi aimé être ainsi pénétré, possédé, réduit à l'état d'une chose dénuée de toute autre valeur que d'offrir un orifice à la virile queue du forgeron. Et maintenant, recroquevillé sur le sol, dans l'attente de nouvelles épreuves, il se surprenait à espérer qu'il serait encore baisé par cet être repoussant mais tellement puissant de vigueur ! Il se prenait à regarder le corps quelque peu difforme et claudiquant, mais si fort... et à désirer qu'il revienne vers lui, qu'il le saisisse encore, le jette sur le lit immonde et poisseux et qu'il l'encule une fois encore... et encore...
- Tu ne sais pas qui je suis, mais tu vas l'apprendre, ricana le forgeron qui avait abandonné cette voix vulgaire, cet accent rocailleux...
Il se tenait debout au-dessus du corps de l'esclave... Nu, sa verge épaisse encore poisseuse de semence déjà dressée... Endymion malgré la fatigue et la douleur se redressa pour se mettre à genoux, le visage au niveau de ce sexe qui un peu plus tôt lui emplissait le cul...
- As-tu une envie ?, demanda le forgeron, alors cette fois je ne te force pas, à toi de choisir, dit-il en riant.
Alors, à sa propre surprise, Endymion rampa à quatre pattes pour rejoindre le forgeron qui le toisait et l’esclave se tenant à genoux, ouvrit grand sa bouche, et d'un mouvement fluide avala toute la verge entre ses lèvres, jusqu'à la sentir sous son palais. Il resserra alors les lèvres et commença à sucer ce sexe qui en aurait rebuté tant d'autres. Il le suça avec avidité, avec passion... gardant ses mains jointes dans le dos, n'usant que de sa bouche comme d'un trou totalement dédié au plaisir de Celui qui se tenait au-dessus de lui... Le forgeron plaça ses mains sur la nuque de l'esclave et maintint fermement son sexe enfoncé au maximum dans la bouche servile, jouant du mouvement de ses hanches pour baiser cette bouche qui venait de s'offrir à Lui sans modération…
Et tout se faisant ainsi sucer avec délices, Héphaïstos pensait à Morphée qui ne tarderait plus. Le Dieu du Feu avait en effet convié celui des Songes, sans lui révéler la raison précise pour laquelle Il lui avait proposé cette entrevue. Mais Héphaïstos avait une dent contre Morphée. Et n'ignorant rien des doux sentiments du Dieu pour ce charmant mortel devenu esclave, Il avait décidé de s'en emparer sous l’apparence d’un rustre forgeron et de s'imposer à lui afin de pouvoir exhiber le servile abandon d’Endymion aux yeux de Morphée, l’amant nocturne... Une fois encore, mais de façon indirecte, les Dieux s'immisçaient ainsi dans la vie de La Belle Hélène !
(A suivre…)
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