L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 20) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 20) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Endymion, l'enjeu entre Héphaïstos et Morphée –
La nuit venue, Endymion reposait, épuisé, sur la couche souillée de transpiration et de fluides corporels... Héphaïstos, toujours avec l’apparence humaine d’un rustre forgeron et après être sorti prendre l'air nocturne, était revenu à l'intérieur de la demeure, près du feu ardent et éclairant de la forge, s'asseyant pour avaler quelques gorgées d'un vin aigre afin d'humecter sa gorge asséchée. Le Dieu du Feu et des Forges, sous les oripeaux d'un artisan épais et boiteux, avait donc usé et abusé de l'ancien berger devenu l'esclave d’Hélène, durant de longues heures, jusqu’à la tombée de la nuit. Plus effrayé qu'excité, au début, Endymion s'était peu à peu relâché, se comportant de plus en plus à l'instar d'une catin... Bousculé, possédé, besogné de multiples positions à la pénétration de ses orifices, il avait pris plaisir à être ainsi traité, s'offrant avec une volupté qu'une pornaï expérimentée n'aurait pas récusée. Il avait su se faire langoureux, docile, s'offrant dans des poses lascives autant qu'impudiques aux assauts de celui qu’il croyait être un forgeron. L'esclave lui-même n'en était d'ailleurs pas revenu. Tandis qu'il se comportait comme une putain, il découvrait un plaisir nouveau, dans l'avilissement et sans l'excuse de ne pas être séparé de Clytia, il découvrait combien il aimait être ainsi traité sans ménagement ni égards par un homme (du moins il ne se doutait pas avoir été possédé par un Dieu) ... comprenant soudain que sa position servile l'avait changé en profondeur, avait fait de lui une créature nouvelle, dont les sens ne reposaient plus sur les mêmes conventions qu'autrefois...
Endymion dormait et rêvait de ce qu'il venait de vivre, s'agitant dans son sommeil sous le regard amusé d'Héphaïstos qui savait que son but ne tarderait plus à être atteint. Il savait, le Dieu des Songes, Morphée l’efféminé, éprouvait des sentiments pour cet humain. Et Héphaïstos détestait Morphée ! Déjà déstabilisé par la soudaine servitude de son favori (Endymion ignorant tout de leurs ébats, puisque Morphée le visitait la nuit, durant son sommeil, voir l’épisode ‘’Endymion dans les bras de Morphée’’), Morphée allait recevoir un coup terrible en le découvrant ainsi empli du plaisir d'un autre Dieu, son pire ennemi, en plus !... Endymion s’était donc endormi en cette nuit étoilée, sur une paillasse, perclus de fatigue après les ébats farouches et violents que lui avait imposés Héphaïstos toute la journée ...
Lors de cette nuit donc et dans cette forge, durant ce sommeil lourd, profond, Endymion fut à ce moment-là rejoint par Morphée qui apparut soudain dans un halo de lumière. A l’instar des fois précédentes, cette lumière, d’abord venue des profondeurs du ciel noir encre de la nuit, avait la forme d’une étoile filante très étirée et de couleur bleutée. Elle apparut rapidement en un éclair et atterrit juste devant l’esclave mâle pour se matérialiser en la forme humaine d’un homme nu, glabre et ailé. Le Dieu au corps d'éphèbe se pencha sur son humain préféré, posant une main douce sur son torse que soulevait doucement le souffle profond de sa respiration. Il caressa la poitrine, descendant doucement vers le ventre, puis approchant ses doigts fins de l'intimité virile de l'homme... sursautant brusquement en sentant sous sa main le métal de la cage que Hélène avait décidé de faire désormais porter à Son esclave afin de contrôler en permanence l'utilisation de sa verge... Derrière Morphée éclata un rira gras et sonore... Héphaïstos le toisait assis tel un roi depuis son siège, avalant une nouvelle gorgée de vin.
- Alors, surpris ? Et nulle illusion à te faire... Forgée par MOI, Le Dieu des Forges, cette cage ne saurait être enlevée ! (Morphée serrait les poings, fixant avec rage son éternel ennemi) - Allons... garde ton calme, s'amusa Héphaïstos, tendant sa fiasque de vin
- Garde ta piquette !, cracha avec mépris le Dieu des Songes tout en déployant ses ailes - Que lui as-tu fait ?
- Oh guère plus que toi lorsque tu abusais de lui dans son sommeil... Mais pour moi, il était éveillé et il s'est donné avec un bel enthousiasme
Les lèvres de Morphée tremblaient, Héphaïstos se leva et s'approcha de son rival, tout en regardant le petit humain-esclave dormir profondément :
- Alors ? Que faire de cet humain ? Tu l'as bien possédé tien, certes mais il en n’a nulle conscience. Quant à moi, j'ai joui de lui de toutes les façons qu'il pouvait m'offrir et je puis t'assurer qu'il a fini par aimer ça ! ... beaucoup, même… Ha ! ha ! ha ! !" (le Dieu du Feu éclata de rire ! Morphée demeurait immobile... Héphaïstos poursuivit : ) - Si je ne m'abuse, je sors vainqueur de ce défi... Cet humain que tu convoitais a succombé à mes assauts, reconnais-tu ta défaite ?
Longtemps silencieux, Morphée secoué lentement la tête... puis d'une voix atone :
- Oui, c'est vrai
- Plus fort, s'il te plait, s'amusa Héphaïstos en mimant une révérence, - je n'ai pas très bien entendu !
- Oui ! prononça Morphée, oui j'ai perdu et je te dois un gage !, reconnut-il platement en baissant ses ailes
- Parfait, s'amusa son rival, j'ai donc pouvoir de décider de ton gage... (il sourit)... Qu’un Dieu soumette un petit humain quoi de plus banal, mais qu’un Dieu soumette un autre Dieu, voilà qui pimentera allégrement les conversations de l’Olympe ! Je parie même que notre Grand Dieu suprême à tous, Zeus, en rira aussi ! ha ! ha ! ha !... Eh bien, à genoux donc et tu vas me lécher les couilles et nettoyer ma queue des traces de ton petit humain !
D'un geste, Héphaïstos releva sa tunique de forgeron, exhibant une verge épaisse et tendue et une paire de couilles lourdes et remplies digne de celles d’un taureau ... Morphée avala sa salive... Il enrageait, mais la parole d'un Dieu est la parole d'un Dieu ! Tout son corps tendu, il ferma ses ailes en signe de soumission, s'agenouilla et attendit, subissant le regard moqueur et triomphant de l'Autre Divinité ! Héphaïstos relevait ses couilles, invitant ainsi Morphée à lécher ses parties intimes. Morphée s'exécuta, son rival profitant longuement de cette caresse langoureuse, avant de rabattre sa queue durcie et de la pousser entre les lèvres du Dieu humilié...
- Suce donc ! Suce, pour savourer un peu du goût de ton humain, s'amusait Héphaïstos...
La fellation Divine dura un long moment quand le Dieu des Forges ne se retira qu'au tout dernier instant, prenant un intense plaisir à éjaculer abondamment à la face de Morphée. Son sperme était de couleur jaune orangé virant au rouge soit de la couleur du feu, mais ce sperme ne brulait pas, fort heureusement, il avait juste les couleurs vives du feu ...
- Eh bien voilà, nous sommes quittes mon petit Morphée, encore une fois je gage que l'Olympe va bruisser du récit de ce moment, le Grand Héphaïstos ayant humilié le petit Morphée ! Ha ! ha ! ha ! …Mais si tu veux, je te laisse te consoler sur le corps de ce petit humain, si insignifiant pourtant, mais pour lequel tu t'es si complaisamment laissé humilier... Ha ! ha ! ha !" (Il éclata à nouveau d'un rire gras)
- Qu'il soit maudit !, cracha Morphée, fou de rage... - J’en n’ai plus que faire, s'il a eu du plaisir sous toi de sa pleine conscience, c'est qu'il est indigne d'être mien ! Quant à toi, je saurai trouver ma vengeance en temps voulu, car tu n’es pas sans ignorer que j’ai plus d’un ami dans l’Olympe … Et même si l’on rit de moi par quelques ragots que tu sauras faire courir dans l’entourage du Grand Zeus, je saurai retourner la situation en ma faveur …
Et dans un dernier éclat, un ultime battement de ses ailes frêles, le Dieu des Songes disparut dans un halo de lumière bleutée et telle une fusée, la petite lumière ressemblant à une l’étoile filante décolla à une vitesse vertigineuse pour disparaître dans le firmament étoilée... Héphaïstos laissa son visage s'illuminer du plaisir d'une victoire aussi facile. D'un geste brusque, il repoussa le corps inerte d'Endymion qui roula sur le côté sur le sol de terre battue sans se réveiller. Et le Dieu-Forgeron, repus de plaisir, de vin et de satisfaction, s'endormit à son tour...
Les jours suivants le forgeron boiteux poursuivit ses ébats avec l'esclave qui lui avait été accordé par la Belle Hélène pour plusieurs jours, en récompense de la qualité exceptionnelle de la cage qu'il avait conçue. Héphaïstos n’avait pas besoin d’accord venu d’une humaine mais il savait trop bien que la plus belle du monde était la protégée et l’épouse terrestre du Divin Apollon, alors il préféra ne pas provoquer la colère de Celui-ci. Dans l'auberge, Hélène quant à Elle se reposait, gardant Clytia auprès d'Elle, offrant parfois sa douce et belle esclave au crâne lisse au fils de l'aubergiste qui la prenait ardemment, avec toute l'innocente ferveur de son jeune âge. Pendant que le jeune homme s'activait ainsi sur l'un ou l'autre des orifices de la jeune femme, celle-ci gardait son beau regard d'un bleu profond rivé sur La Maîtresse pour laquelle elle subissait avec docilité ces ébats d'une affligeante banalité. L'unique espoir de Clytia était que sa Divine Maîtresse, satisfaite de son service, daigne lui permettre de s'offrir à Ses Plaisirs, de vouer son corps, ses caresses, son ardente passion à La combler en tout....
Le séjour allait bientôt s'achever. Le fils de l'aubergiste regardait avec regret Clytia ranger les affaires de sa Maîtresse dans les fontes de la jument, tandis qu’Hélène était retournée à l'échoppe du forgeron afin de récupérer Endymion. L'esclave se tenait debout, l'échine courbée, tout près du forgeron qui s'affairait, frappant du marteau sur une pièce de métal, faisant jaillir tout autour des gerbes d'étincelles. Hélène vit que Son esclave avait sans doute appris bien des choses dans la situation avilissante où Elle l'avait abandonné quelques jours. D'un coup d'oeil, la Belle Hélène apprécia la présence de la cage de métal étincelante emprisonnant le sexe de Son esclave... Le forgeron donna une tape sur l'oreille de l'esclave, l'éloignant de lui. Endymion se rapprocha donc d’Hélène et vint se prosterner à Ses Pieds... Celle-ci ne lui accorda même pas un regard
- Merci pour tes services forgeron. J'espère que ce chien t'a convenablement diverti ?
- Fort bien M'Dame... Ct'une bonne pute çui là... Grands mercis de m'lavoir confié, dit Héphaïstos en feignant une allure et un parler avec accent d’un homme rustre.
Hélène sourit et s'éloigna ignorant depuis son arrivé chez ce forgeron qu’elle avait eu affaire à une Divinité. Un dernier regard sur la forge, elle quitta les lieux se contentant d'un claquement de doigts pour être suivie par Endymion jusqu'à l'auberge où Clytia attendait, agenouillée auprès de la jument préparée pour la suite du voyage.
- Parfait, approuva Hélène qui posa le pied sur le dos de Clytia maintenant prosternée afin de Lui servir de marche-pied. La Belle Hélène fit avancer sa monture et les deux esclaves lui emboîtèrent le pas... Le trio traversa la petite cité et suivit la route qui serpentait dans les collines, en direction d'Olympie… Lorsqu'ils furent parvenus hors de vue, Hélène fit stopper la jument et jeta le fouet ensorcelé à Clytia... L'esclave se saisit de l'instrument et fit signe à Endymion de se mettre à quatre pattes, ce qu'il fit. La jeune femme esclave enfonça alors d'un geste sec et précis le manche du fouet dans l'anus du mâle servile, qui prit immédiatement la forme canine, ce qui allait aisément facilité le voyage tout en ayant la satisfaction de faire évoluer Son esclave mâle à quatre pattes... La magie opérant, la cage de chasteté s’adapta parfaitement à la forme des organes génitaux de l’animal. Satisfaite, Hélène poussa sa monture et reprit son chemin, suivie d'une séduisante jeune femme nue, au crâne rasé et d'un chien au cul rempli et au sexe encagé... Ce voyage était décidément empli de surprises, se dit La Maîtresse !
(A suivre…)
La nuit venue, Endymion reposait, épuisé, sur la couche souillée de transpiration et de fluides corporels... Héphaïstos, toujours avec l’apparence humaine d’un rustre forgeron et après être sorti prendre l'air nocturne, était revenu à l'intérieur de la demeure, près du feu ardent et éclairant de la forge, s'asseyant pour avaler quelques gorgées d'un vin aigre afin d'humecter sa gorge asséchée. Le Dieu du Feu et des Forges, sous les oripeaux d'un artisan épais et boiteux, avait donc usé et abusé de l'ancien berger devenu l'esclave d’Hélène, durant de longues heures, jusqu’à la tombée de la nuit. Plus effrayé qu'excité, au début, Endymion s'était peu à peu relâché, se comportant de plus en plus à l'instar d'une catin... Bousculé, possédé, besogné de multiples positions à la pénétration de ses orifices, il avait pris plaisir à être ainsi traité, s'offrant avec une volupté qu'une pornaï expérimentée n'aurait pas récusée. Il avait su se faire langoureux, docile, s'offrant dans des poses lascives autant qu'impudiques aux assauts de celui qu’il croyait être un forgeron. L'esclave lui-même n'en était d'ailleurs pas revenu. Tandis qu'il se comportait comme une putain, il découvrait un plaisir nouveau, dans l'avilissement et sans l'excuse de ne pas être séparé de Clytia, il découvrait combien il aimait être ainsi traité sans ménagement ni égards par un homme (du moins il ne se doutait pas avoir été possédé par un Dieu) ... comprenant soudain que sa position servile l'avait changé en profondeur, avait fait de lui une créature nouvelle, dont les sens ne reposaient plus sur les mêmes conventions qu'autrefois...
Endymion dormait et rêvait de ce qu'il venait de vivre, s'agitant dans son sommeil sous le regard amusé d'Héphaïstos qui savait que son but ne tarderait plus à être atteint. Il savait, le Dieu des Songes, Morphée l’efféminé, éprouvait des sentiments pour cet humain. Et Héphaïstos détestait Morphée ! Déjà déstabilisé par la soudaine servitude de son favori (Endymion ignorant tout de leurs ébats, puisque Morphée le visitait la nuit, durant son sommeil, voir l’épisode ‘’Endymion dans les bras de Morphée’’), Morphée allait recevoir un coup terrible en le découvrant ainsi empli du plaisir d'un autre Dieu, son pire ennemi, en plus !... Endymion s’était donc endormi en cette nuit étoilée, sur une paillasse, perclus de fatigue après les ébats farouches et violents que lui avait imposés Héphaïstos toute la journée ...
Lors de cette nuit donc et dans cette forge, durant ce sommeil lourd, profond, Endymion fut à ce moment-là rejoint par Morphée qui apparut soudain dans un halo de lumière. A l’instar des fois précédentes, cette lumière, d’abord venue des profondeurs du ciel noir encre de la nuit, avait la forme d’une étoile filante très étirée et de couleur bleutée. Elle apparut rapidement en un éclair et atterrit juste devant l’esclave mâle pour se matérialiser en la forme humaine d’un homme nu, glabre et ailé. Le Dieu au corps d'éphèbe se pencha sur son humain préféré, posant une main douce sur son torse que soulevait doucement le souffle profond de sa respiration. Il caressa la poitrine, descendant doucement vers le ventre, puis approchant ses doigts fins de l'intimité virile de l'homme... sursautant brusquement en sentant sous sa main le métal de la cage que Hélène avait décidé de faire désormais porter à Son esclave afin de contrôler en permanence l'utilisation de sa verge... Derrière Morphée éclata un rira gras et sonore... Héphaïstos le toisait assis tel un roi depuis son siège, avalant une nouvelle gorgée de vin.
- Alors, surpris ? Et nulle illusion à te faire... Forgée par MOI, Le Dieu des Forges, cette cage ne saurait être enlevée ! (Morphée serrait les poings, fixant avec rage son éternel ennemi) - Allons... garde ton calme, s'amusa Héphaïstos, tendant sa fiasque de vin
- Garde ta piquette !, cracha avec mépris le Dieu des Songes tout en déployant ses ailes - Que lui as-tu fait ?
- Oh guère plus que toi lorsque tu abusais de lui dans son sommeil... Mais pour moi, il était éveillé et il s'est donné avec un bel enthousiasme
Les lèvres de Morphée tremblaient, Héphaïstos se leva et s'approcha de son rival, tout en regardant le petit humain-esclave dormir profondément :
- Alors ? Que faire de cet humain ? Tu l'as bien possédé tien, certes mais il en n’a nulle conscience. Quant à moi, j'ai joui de lui de toutes les façons qu'il pouvait m'offrir et je puis t'assurer qu'il a fini par aimer ça ! ... beaucoup, même… Ha ! ha ! ha ! !" (le Dieu du Feu éclata de rire ! Morphée demeurait immobile... Héphaïstos poursuivit : ) - Si je ne m'abuse, je sors vainqueur de ce défi... Cet humain que tu convoitais a succombé à mes assauts, reconnais-tu ta défaite ?
Longtemps silencieux, Morphée secoué lentement la tête... puis d'une voix atone :
- Oui, c'est vrai
- Plus fort, s'il te plait, s'amusa Héphaïstos en mimant une révérence, - je n'ai pas très bien entendu !
- Oui ! prononça Morphée, oui j'ai perdu et je te dois un gage !, reconnut-il platement en baissant ses ailes
- Parfait, s'amusa son rival, j'ai donc pouvoir de décider de ton gage... (il sourit)... Qu’un Dieu soumette un petit humain quoi de plus banal, mais qu’un Dieu soumette un autre Dieu, voilà qui pimentera allégrement les conversations de l’Olympe ! Je parie même que notre Grand Dieu suprême à tous, Zeus, en rira aussi ! ha ! ha ! ha !... Eh bien, à genoux donc et tu vas me lécher les couilles et nettoyer ma queue des traces de ton petit humain !
D'un geste, Héphaïstos releva sa tunique de forgeron, exhibant une verge épaisse et tendue et une paire de couilles lourdes et remplies digne de celles d’un taureau ... Morphée avala sa salive... Il enrageait, mais la parole d'un Dieu est la parole d'un Dieu ! Tout son corps tendu, il ferma ses ailes en signe de soumission, s'agenouilla et attendit, subissant le regard moqueur et triomphant de l'Autre Divinité ! Héphaïstos relevait ses couilles, invitant ainsi Morphée à lécher ses parties intimes. Morphée s'exécuta, son rival profitant longuement de cette caresse langoureuse, avant de rabattre sa queue durcie et de la pousser entre les lèvres du Dieu humilié...
- Suce donc ! Suce, pour savourer un peu du goût de ton humain, s'amusait Héphaïstos...
La fellation Divine dura un long moment quand le Dieu des Forges ne se retira qu'au tout dernier instant, prenant un intense plaisir à éjaculer abondamment à la face de Morphée. Son sperme était de couleur jaune orangé virant au rouge soit de la couleur du feu, mais ce sperme ne brulait pas, fort heureusement, il avait juste les couleurs vives du feu ...
- Eh bien voilà, nous sommes quittes mon petit Morphée, encore une fois je gage que l'Olympe va bruisser du récit de ce moment, le Grand Héphaïstos ayant humilié le petit Morphée ! Ha ! ha ! ha ! …Mais si tu veux, je te laisse te consoler sur le corps de ce petit humain, si insignifiant pourtant, mais pour lequel tu t'es si complaisamment laissé humilier... Ha ! ha ! ha !" (Il éclata à nouveau d'un rire gras)
- Qu'il soit maudit !, cracha Morphée, fou de rage... - J’en n’ai plus que faire, s'il a eu du plaisir sous toi de sa pleine conscience, c'est qu'il est indigne d'être mien ! Quant à toi, je saurai trouver ma vengeance en temps voulu, car tu n’es pas sans ignorer que j’ai plus d’un ami dans l’Olympe … Et même si l’on rit de moi par quelques ragots que tu sauras faire courir dans l’entourage du Grand Zeus, je saurai retourner la situation en ma faveur …
Et dans un dernier éclat, un ultime battement de ses ailes frêles, le Dieu des Songes disparut dans un halo de lumière bleutée et telle une fusée, la petite lumière ressemblant à une l’étoile filante décolla à une vitesse vertigineuse pour disparaître dans le firmament étoilée... Héphaïstos laissa son visage s'illuminer du plaisir d'une victoire aussi facile. D'un geste brusque, il repoussa le corps inerte d'Endymion qui roula sur le côté sur le sol de terre battue sans se réveiller. Et le Dieu-Forgeron, repus de plaisir, de vin et de satisfaction, s'endormit à son tour...
Les jours suivants le forgeron boiteux poursuivit ses ébats avec l'esclave qui lui avait été accordé par la Belle Hélène pour plusieurs jours, en récompense de la qualité exceptionnelle de la cage qu'il avait conçue. Héphaïstos n’avait pas besoin d’accord venu d’une humaine mais il savait trop bien que la plus belle du monde était la protégée et l’épouse terrestre du Divin Apollon, alors il préféra ne pas provoquer la colère de Celui-ci. Dans l'auberge, Hélène quant à Elle se reposait, gardant Clytia auprès d'Elle, offrant parfois sa douce et belle esclave au crâne lisse au fils de l'aubergiste qui la prenait ardemment, avec toute l'innocente ferveur de son jeune âge. Pendant que le jeune homme s'activait ainsi sur l'un ou l'autre des orifices de la jeune femme, celle-ci gardait son beau regard d'un bleu profond rivé sur La Maîtresse pour laquelle elle subissait avec docilité ces ébats d'une affligeante banalité. L'unique espoir de Clytia était que sa Divine Maîtresse, satisfaite de son service, daigne lui permettre de s'offrir à Ses Plaisirs, de vouer son corps, ses caresses, son ardente passion à La combler en tout....
Le séjour allait bientôt s'achever. Le fils de l'aubergiste regardait avec regret Clytia ranger les affaires de sa Maîtresse dans les fontes de la jument, tandis qu’Hélène était retournée à l'échoppe du forgeron afin de récupérer Endymion. L'esclave se tenait debout, l'échine courbée, tout près du forgeron qui s'affairait, frappant du marteau sur une pièce de métal, faisant jaillir tout autour des gerbes d'étincelles. Hélène vit que Son esclave avait sans doute appris bien des choses dans la situation avilissante où Elle l'avait abandonné quelques jours. D'un coup d'oeil, la Belle Hélène apprécia la présence de la cage de métal étincelante emprisonnant le sexe de Son esclave... Le forgeron donna une tape sur l'oreille de l'esclave, l'éloignant de lui. Endymion se rapprocha donc d’Hélène et vint se prosterner à Ses Pieds... Celle-ci ne lui accorda même pas un regard
- Merci pour tes services forgeron. J'espère que ce chien t'a convenablement diverti ?
- Fort bien M'Dame... Ct'une bonne pute çui là... Grands mercis de m'lavoir confié, dit Héphaïstos en feignant une allure et un parler avec accent d’un homme rustre.
Hélène sourit et s'éloigna ignorant depuis son arrivé chez ce forgeron qu’elle avait eu affaire à une Divinité. Un dernier regard sur la forge, elle quitta les lieux se contentant d'un claquement de doigts pour être suivie par Endymion jusqu'à l'auberge où Clytia attendait, agenouillée auprès de la jument préparée pour la suite du voyage.
- Parfait, approuva Hélène qui posa le pied sur le dos de Clytia maintenant prosternée afin de Lui servir de marche-pied. La Belle Hélène fit avancer sa monture et les deux esclaves lui emboîtèrent le pas... Le trio traversa la petite cité et suivit la route qui serpentait dans les collines, en direction d'Olympie… Lorsqu'ils furent parvenus hors de vue, Hélène fit stopper la jument et jeta le fouet ensorcelé à Clytia... L'esclave se saisit de l'instrument et fit signe à Endymion de se mettre à quatre pattes, ce qu'il fit. La jeune femme esclave enfonça alors d'un geste sec et précis le manche du fouet dans l'anus du mâle servile, qui prit immédiatement la forme canine, ce qui allait aisément facilité le voyage tout en ayant la satisfaction de faire évoluer Son esclave mâle à quatre pattes... La magie opérant, la cage de chasteté s’adapta parfaitement à la forme des organes génitaux de l’animal. Satisfaite, Hélène poussa sa monture et reprit son chemin, suivie d'une séduisante jeune femme nue, au crâne rasé et d'un chien au cul rempli et au sexe encagé... Ce voyage était décidément empli de surprises, se dit La Maîtresse !
(A suivre…)
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