L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 22) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 22) -
L'Odyssée de la Belle Hélène : La prise de Procuste –
En quelques prises rapides, Hélène avait mis son adversaire en difficulté. Si le mastodonte barbu n'était pas encore hors d'état de nuire, il était tout de même en difficulté face à l'imprévisible résistance de cette femme dont rien ne pouvait laisser deviner qu'elle fut une experte du corps à corps... du moins dans l'idée qu'un combattant aguerri pouvait s'en faire ! Seul son physique massif lui évitait de s'écrouler, tandis qu'il subissait une avalanche de coups de pieds et de poings... Mais si Hélène faisait une nouvelle fois preuve d'une fascinante science du combat qui l'avait déjà sortie de tant de situations jadis à Troie, ses esclaves n'étaient guère expérimentés. Malgré sa musculature et son courage, Endymion se trouvait en difficulté, la branche qu'il brandissait n'étant guère efficace face aux moulinets calculés de son adversaire qui l'acculait de façon fort inquiétante. Quant à Clytia qui pensait avait pris le dessus sur le rouquin puant qu'elle chevauchait, elle avait été surprise par l'arrivée du plus jeune des brigands, venu prêter main forte à son complice en difficulté... Repoussée, l'esclave au crâne rasé était à son tour en position difficile. Le brigand à la barbe rousse était assis sur elle, pesant de tout son poids et lui coupant le souffle. Il lui avait asséné deux gifles magistrales, et maintenait ses poignets avec force approchant son visage de celui de la jeune femme... Et passant sa langue râpeuse et dégoulinante de salive sur le visage de l'esclave, prenant un malin plaisir à contempler l'air de dégoût de celle-ci, qui ne pouvait rien pour y échapper. Rapprochant les poignets de sa captive, il les saisit d'une seule de ses mains épaisses et larges, se servant de l'autre pour attraper un coutelas dont il posa la lame sur la joue de Clytia :
- Un geste et je te tranche la gorge... et ce serait dommage d'abîmer ce joli petit cou, dit-il
Puis il passa à nouveau sa langue sur les lèvres de l'esclave, et il fit descendre la lame sur la gorge palpitante de la jeune femme
- Ne bouge plus, sinon... menaça-t-il...
Le jeune brigand s'était maintenant porté à l'aide de celui qui combattait Endymion. L'esclave, peu habitué aux combats, se défendait avec l'énergie du désespoir, mais avec tant de maladresse que les brigands prenaient plaisir à faire durer l'instant. Par deux fois, le glaive avait légèrement entaillé la peau de l'esclave. Sa cuisse et son épaule saignaient... de simples entailles sans gravité, mais cela suffisait dans l'esprit de l'homme blessé qui avait assez de peur pour réduire encore sa capacité à se défendre. Face à deux adversaires, il n'avait plus guère d'alternative. L'ancien berger devenu l'esclave de La Belle Hélène lâcha le bout de bois qui ne lui servait plus à rien et tomba à genoux, se livrant ainsi à ses agresseurs. Ceux-ci s'approchèrent et celui qui l'avait affronté en premier lui asséna un coup de poing, avant de le traîner presque inanimé jusqu'à la berge où il s'assit sur le dos de l'esclave, tirant sa tête en arrière par les cheveux et glissant lui aussi sa lame sous la gorge du vaincu... Un peu plus loin, le puissant barbu parait avec l'énergie du désespoir les attaques virulentes d’Hélène. Celle-ci le harcelait de coups précis et douloureux, se jouant avec une aisance stupéfiante des moulinets du glaive du brigand. Ce dernier ne tarderait pas à succomber... Quand s'éleva une voix de jeune homme
- Eh, la femme !
Hélène interrompit le geste offensif qu'elle avait amorcé et s'immobilisa en position défensive, offrant ainsi à son adversaire l'occasion de souffler un peu... Tous s'étaient immobilisés et Hélène comprit instantanément la situation... plutôt compromise maintenant. Un regard lui suffit en effet pour constater que la vie de ses esclaves ne tenait plus qu'à un fil... de lame. Et Elle savait déjà que ces brigands n'auraient aucun scrupule à les assassiner sous ses propres yeux. Au mieux, pourrait-Elle les venger ensuite. Mais Hélène ne voulait pas perdre ses esclaves; aussi négligeable que soient leurs existences d'esclaves, Elle s'était attachée à ces créatures qui Lui appartenaient et se sentait investie d'une grande responsabilité à leur égard... Une nécessité de les protéger et de s'inquiéter de leurs vies. Un mauvais sourire était apparu sur le visage buriné de son adversaire. Il ricana, sa lame prête à trancher la gorge d’Endymion :
- Alors ? On les égorge ? Tu choisis, leurs vies... contre ta reddition...
Hélène réprima son envie de se jeter sur lui et de le massacrer. Elle savait qu'Elle pouvait d'un bond être sur lui et en finir, s'emparer de l'arme qu'il tenait et en user pour l'achever... Mais alors, c'en serait fini de Clytia et Endymion... Elle ne pouvait accepter cela ! Elle aspira un grand coup et son corps se détendit lentement... Elle relâcha ses muscles, la mâchoire serrée...
- D'accord, tu as gagné, dit-Elle en fixant le brigand...
Il s'approcha et vint juste devant Elle, plaçant un doigt sous le menton de la Si Belle Femme qui l'avait humilié et presque vaincu quelques secondes plus tôt. Il plongea son regard en Elle, ressentant comme un éclair à cet instant. Il frissonna !
- Baisse les yeux !, ordonna-t-il en La giflant.
Hélène obéit, la rage au coeur, mais sachant que de sa soumission dépendait la vie des esclaves... Elle se préparait à subir ce qui lui serait infligé, attendant le moment où Elle pourrait mettre fin à cette mascarade. Avec un sourire narquois, le chef des brigands saisit le col de la tunique légère que portait Hélène et d'un coup sec, la déchira, laissant choir le petit tas d'étoffe sur le sol, révélant ainsi la nudité parfaite de La Plus Belle Femme du Monde. Hélène ne fit rien pour dissimuler son corps sublime ainsi exhibé... Le brigand s'était attendu à un geste naturel de pudeur, une tentative pour cacher cette fière et ferme poitrine ou cette intimité ici exhibée... Mais il n'en fut rien. Hélène se tenait debout, presque nonchalante, mais visiblement humble, ayant joint ses mains dans le dos, gardant le regard rivé au sol. Le barbu tendit la main, palpant la fermeté d'un sein avec l'aisance d'un déjà propriétaire... il descendit lentement sur le côté, la hanche, pressa la croupe afin d'attirer la Femme vers lui et la garda ainsi plaquée contre son torse velu, tout en dirigeant ses hommes qui disposaient des deux esclaves ... Clytia et Emdymion eurent prestement les mains liées dans le dos et une longe passée à leur cou... L'ancien berger était tenu par celui qu'il avait combattu et boitait légèrement, à la suite du coup de glaive qui lui avait entaillé la cuisse, Clytia était tenue de près par le rouquin qui la forçait à se tenir courbée, en serrant ses doigts durement sur sa nuque... Quant au plus jeune brigand, dont l'intervention avait fait basculer la situation, il les suivait en bombant le torse... Le chef l'interpella :
- Patnos ! Ton intervention mérite récompense... Sans toi, on perdait la mise … Parles ! Que veux tu ?
Le jeune brigand se mit à rougir et bredouiller, sous le regard discret mais attentif d’Hélène...
- Euh... je … (son regard était braqué sur Clytia) … je... la... l'esclave...
- Eh bien, quoi l'esclave ? rugit le colosse à la barbe sombre en secouant Hélène
- Je... j'aimerai pouvoir en disposer... un... d'abord... (Les trois autres éclatèrent de rire)
- Toi !? MMhhh je vois, tu en as assez de ta main droite ! Qu'en pensez-vous les gars ? A-t-il mérité cette récompense ?
Les deux brutes, manifestement limitées secouèrent la tête et semblèrent approuver par quelques borborygmes inaudibles pour tout autre...
- Bien !, lança le chef, tu l'auras… Mais plus tard, car maintenant, il va falloir corriger celle-ci, dit-il en poussant Hélène sur le sol...
Le barbu saisit un fouet qui pendait à sa ceinture et le fit claquer au-dessus de la tête de sa captive... Une fois... deux fois... trois... la troisième fois, le fouet claque directement sur la croupe de La Belle qui se cambra brusquement et laissa échapper un cri vite étouffé. Plusieurs coups s'abattirent encore sur Hélène qui se recroquevillait sur le sol, consciente qu'Elle ne devait rien faire pour tenter d'éviter les morsures de la lanière de cuir sur sa peau. Sinon il en pleuvrait d'autres, alors que subir et exprimer sa résignation calmerait sans doute l'homme sans finesse qui pour l'instant détenait le pouvoir. En effet, celui-ci mit rapidement fin à ce châtiment. Délaissant le fouet, il se pencha sur Hélène dont le corps portait maintenant de fines zébrures rougissantes et sans ménagement, la força à se lever en la tirant par les cheveux dont il avait saisi une large brassée dans son poing puissant. Son jeune apprenti s'était approché avec une corde et ils lièrent les poignets de la captive sur le devant, avant de faire passer le bout de la corde par dessus une branche haute et de tirer, afin d'étirer le corps nu et ainsi si vulnérable de la prisonnière, laissant seulement la pointe de ses pieds en contact avec le sol... La Sublime Femme se trouvait ainsi étirée et offerte, fragilisée par son impossibilité à bouger, sans défense... Les deux autres brigands, tenant toujours les esclaves en laisse s'étaient approchés... C'est encore le chef qui prit la parole :
- On ne résiste pas à la bande de Procuste ! Ceux qui osent finissent égorgés comme des gorets ! C'est tout ce que vous méritez ! Mais !... mais dans ma grande mansuétude, je vais tenir compte de votre valeur marchande ! Je pense qu'on vous vendra cher, très cher peut-être si vous savez vous y prendre... Alors voilà... on va vous garder et vous baiser, et vous baiser encore, vous les deux esclaves et toi, la chienne (portant une violente claque sur les fesses d’Hélène) toi tu vas payer pour avoir essayé de m'avoir, sale putain ! Quand j'en aurai fini avec toi, tu ramperas à mes pieds comme une chienne et me supplieras de remplir tous tes orifices de mon épaisse semence ! Mais avant, tu dois être corrigée et dressée... tu dois comprendre qui est Le Maître !
Procuste s'approcha d’Hélène qui pendait à sa branche et se plaça derrière Elle, la saisissant par les hanches pour la soulever, tout en libérant ses énormes couilles velues ainsi qu’une verge épaisse et longue qui se dressa immédiatement au gland turgescent et fortement violacé , tel un long et large pal de chair, son sexe montrait toute la puissante virilité du Brigand... Il s'approcha et posa la captive sur son gros gland gonflé, la fourrant d'un coup sec, il s’introduit sans ménagement dans le con de La Belle... Celle-ci empalée sur l'énorme verge, Hélène ne pouvait que suivre le mouvement qui lui était imposé. Mouvement qui d’entrée de jeu fut cadencé en des va et viens bestiaux, puissants, profonds ... L’accouplement était animal, Hélène était besognée sans ménagement sous les han puissants qui sortaient du gosier du rustre personnage à chaque coups de reins… En silence, sans rien laisser apparaître, Hélène prenait du plaisir, beaucoup de plaisir, sous les virils assauts du chef des bandits…
(A suivre…)
En quelques prises rapides, Hélène avait mis son adversaire en difficulté. Si le mastodonte barbu n'était pas encore hors d'état de nuire, il était tout de même en difficulté face à l'imprévisible résistance de cette femme dont rien ne pouvait laisser deviner qu'elle fut une experte du corps à corps... du moins dans l'idée qu'un combattant aguerri pouvait s'en faire ! Seul son physique massif lui évitait de s'écrouler, tandis qu'il subissait une avalanche de coups de pieds et de poings... Mais si Hélène faisait une nouvelle fois preuve d'une fascinante science du combat qui l'avait déjà sortie de tant de situations jadis à Troie, ses esclaves n'étaient guère expérimentés. Malgré sa musculature et son courage, Endymion se trouvait en difficulté, la branche qu'il brandissait n'étant guère efficace face aux moulinets calculés de son adversaire qui l'acculait de façon fort inquiétante. Quant à Clytia qui pensait avait pris le dessus sur le rouquin puant qu'elle chevauchait, elle avait été surprise par l'arrivée du plus jeune des brigands, venu prêter main forte à son complice en difficulté... Repoussée, l'esclave au crâne rasé était à son tour en position difficile. Le brigand à la barbe rousse était assis sur elle, pesant de tout son poids et lui coupant le souffle. Il lui avait asséné deux gifles magistrales, et maintenait ses poignets avec force approchant son visage de celui de la jeune femme... Et passant sa langue râpeuse et dégoulinante de salive sur le visage de l'esclave, prenant un malin plaisir à contempler l'air de dégoût de celle-ci, qui ne pouvait rien pour y échapper. Rapprochant les poignets de sa captive, il les saisit d'une seule de ses mains épaisses et larges, se servant de l'autre pour attraper un coutelas dont il posa la lame sur la joue de Clytia :
- Un geste et je te tranche la gorge... et ce serait dommage d'abîmer ce joli petit cou, dit-il
Puis il passa à nouveau sa langue sur les lèvres de l'esclave, et il fit descendre la lame sur la gorge palpitante de la jeune femme
- Ne bouge plus, sinon... menaça-t-il...
Le jeune brigand s'était maintenant porté à l'aide de celui qui combattait Endymion. L'esclave, peu habitué aux combats, se défendait avec l'énergie du désespoir, mais avec tant de maladresse que les brigands prenaient plaisir à faire durer l'instant. Par deux fois, le glaive avait légèrement entaillé la peau de l'esclave. Sa cuisse et son épaule saignaient... de simples entailles sans gravité, mais cela suffisait dans l'esprit de l'homme blessé qui avait assez de peur pour réduire encore sa capacité à se défendre. Face à deux adversaires, il n'avait plus guère d'alternative. L'ancien berger devenu l'esclave de La Belle Hélène lâcha le bout de bois qui ne lui servait plus à rien et tomba à genoux, se livrant ainsi à ses agresseurs. Ceux-ci s'approchèrent et celui qui l'avait affronté en premier lui asséna un coup de poing, avant de le traîner presque inanimé jusqu'à la berge où il s'assit sur le dos de l'esclave, tirant sa tête en arrière par les cheveux et glissant lui aussi sa lame sous la gorge du vaincu... Un peu plus loin, le puissant barbu parait avec l'énergie du désespoir les attaques virulentes d’Hélène. Celle-ci le harcelait de coups précis et douloureux, se jouant avec une aisance stupéfiante des moulinets du glaive du brigand. Ce dernier ne tarderait pas à succomber... Quand s'éleva une voix de jeune homme
- Eh, la femme !
Hélène interrompit le geste offensif qu'elle avait amorcé et s'immobilisa en position défensive, offrant ainsi à son adversaire l'occasion de souffler un peu... Tous s'étaient immobilisés et Hélène comprit instantanément la situation... plutôt compromise maintenant. Un regard lui suffit en effet pour constater que la vie de ses esclaves ne tenait plus qu'à un fil... de lame. Et Elle savait déjà que ces brigands n'auraient aucun scrupule à les assassiner sous ses propres yeux. Au mieux, pourrait-Elle les venger ensuite. Mais Hélène ne voulait pas perdre ses esclaves; aussi négligeable que soient leurs existences d'esclaves, Elle s'était attachée à ces créatures qui Lui appartenaient et se sentait investie d'une grande responsabilité à leur égard... Une nécessité de les protéger et de s'inquiéter de leurs vies. Un mauvais sourire était apparu sur le visage buriné de son adversaire. Il ricana, sa lame prête à trancher la gorge d’Endymion :
- Alors ? On les égorge ? Tu choisis, leurs vies... contre ta reddition...
Hélène réprima son envie de se jeter sur lui et de le massacrer. Elle savait qu'Elle pouvait d'un bond être sur lui et en finir, s'emparer de l'arme qu'il tenait et en user pour l'achever... Mais alors, c'en serait fini de Clytia et Endymion... Elle ne pouvait accepter cela ! Elle aspira un grand coup et son corps se détendit lentement... Elle relâcha ses muscles, la mâchoire serrée...
- D'accord, tu as gagné, dit-Elle en fixant le brigand...
Il s'approcha et vint juste devant Elle, plaçant un doigt sous le menton de la Si Belle Femme qui l'avait humilié et presque vaincu quelques secondes plus tôt. Il plongea son regard en Elle, ressentant comme un éclair à cet instant. Il frissonna !
- Baisse les yeux !, ordonna-t-il en La giflant.
Hélène obéit, la rage au coeur, mais sachant que de sa soumission dépendait la vie des esclaves... Elle se préparait à subir ce qui lui serait infligé, attendant le moment où Elle pourrait mettre fin à cette mascarade. Avec un sourire narquois, le chef des brigands saisit le col de la tunique légère que portait Hélène et d'un coup sec, la déchira, laissant choir le petit tas d'étoffe sur le sol, révélant ainsi la nudité parfaite de La Plus Belle Femme du Monde. Hélène ne fit rien pour dissimuler son corps sublime ainsi exhibé... Le brigand s'était attendu à un geste naturel de pudeur, une tentative pour cacher cette fière et ferme poitrine ou cette intimité ici exhibée... Mais il n'en fut rien. Hélène se tenait debout, presque nonchalante, mais visiblement humble, ayant joint ses mains dans le dos, gardant le regard rivé au sol. Le barbu tendit la main, palpant la fermeté d'un sein avec l'aisance d'un déjà propriétaire... il descendit lentement sur le côté, la hanche, pressa la croupe afin d'attirer la Femme vers lui et la garda ainsi plaquée contre son torse velu, tout en dirigeant ses hommes qui disposaient des deux esclaves ... Clytia et Emdymion eurent prestement les mains liées dans le dos et une longe passée à leur cou... L'ancien berger était tenu par celui qu'il avait combattu et boitait légèrement, à la suite du coup de glaive qui lui avait entaillé la cuisse, Clytia était tenue de près par le rouquin qui la forçait à se tenir courbée, en serrant ses doigts durement sur sa nuque... Quant au plus jeune brigand, dont l'intervention avait fait basculer la situation, il les suivait en bombant le torse... Le chef l'interpella :
- Patnos ! Ton intervention mérite récompense... Sans toi, on perdait la mise … Parles ! Que veux tu ?
Le jeune brigand se mit à rougir et bredouiller, sous le regard discret mais attentif d’Hélène...
- Euh... je … (son regard était braqué sur Clytia) … je... la... l'esclave...
- Eh bien, quoi l'esclave ? rugit le colosse à la barbe sombre en secouant Hélène
- Je... j'aimerai pouvoir en disposer... un... d'abord... (Les trois autres éclatèrent de rire)
- Toi !? MMhhh je vois, tu en as assez de ta main droite ! Qu'en pensez-vous les gars ? A-t-il mérité cette récompense ?
Les deux brutes, manifestement limitées secouèrent la tête et semblèrent approuver par quelques borborygmes inaudibles pour tout autre...
- Bien !, lança le chef, tu l'auras… Mais plus tard, car maintenant, il va falloir corriger celle-ci, dit-il en poussant Hélène sur le sol...
Le barbu saisit un fouet qui pendait à sa ceinture et le fit claquer au-dessus de la tête de sa captive... Une fois... deux fois... trois... la troisième fois, le fouet claque directement sur la croupe de La Belle qui se cambra brusquement et laissa échapper un cri vite étouffé. Plusieurs coups s'abattirent encore sur Hélène qui se recroquevillait sur le sol, consciente qu'Elle ne devait rien faire pour tenter d'éviter les morsures de la lanière de cuir sur sa peau. Sinon il en pleuvrait d'autres, alors que subir et exprimer sa résignation calmerait sans doute l'homme sans finesse qui pour l'instant détenait le pouvoir. En effet, celui-ci mit rapidement fin à ce châtiment. Délaissant le fouet, il se pencha sur Hélène dont le corps portait maintenant de fines zébrures rougissantes et sans ménagement, la força à se lever en la tirant par les cheveux dont il avait saisi une large brassée dans son poing puissant. Son jeune apprenti s'était approché avec une corde et ils lièrent les poignets de la captive sur le devant, avant de faire passer le bout de la corde par dessus une branche haute et de tirer, afin d'étirer le corps nu et ainsi si vulnérable de la prisonnière, laissant seulement la pointe de ses pieds en contact avec le sol... La Sublime Femme se trouvait ainsi étirée et offerte, fragilisée par son impossibilité à bouger, sans défense... Les deux autres brigands, tenant toujours les esclaves en laisse s'étaient approchés... C'est encore le chef qui prit la parole :
- On ne résiste pas à la bande de Procuste ! Ceux qui osent finissent égorgés comme des gorets ! C'est tout ce que vous méritez ! Mais !... mais dans ma grande mansuétude, je vais tenir compte de votre valeur marchande ! Je pense qu'on vous vendra cher, très cher peut-être si vous savez vous y prendre... Alors voilà... on va vous garder et vous baiser, et vous baiser encore, vous les deux esclaves et toi, la chienne (portant une violente claque sur les fesses d’Hélène) toi tu vas payer pour avoir essayé de m'avoir, sale putain ! Quand j'en aurai fini avec toi, tu ramperas à mes pieds comme une chienne et me supplieras de remplir tous tes orifices de mon épaisse semence ! Mais avant, tu dois être corrigée et dressée... tu dois comprendre qui est Le Maître !
Procuste s'approcha d’Hélène qui pendait à sa branche et se plaça derrière Elle, la saisissant par les hanches pour la soulever, tout en libérant ses énormes couilles velues ainsi qu’une verge épaisse et longue qui se dressa immédiatement au gland turgescent et fortement violacé , tel un long et large pal de chair, son sexe montrait toute la puissante virilité du Brigand... Il s'approcha et posa la captive sur son gros gland gonflé, la fourrant d'un coup sec, il s’introduit sans ménagement dans le con de La Belle... Celle-ci empalée sur l'énorme verge, Hélène ne pouvait que suivre le mouvement qui lui était imposé. Mouvement qui d’entrée de jeu fut cadencé en des va et viens bestiaux, puissants, profonds ... L’accouplement était animal, Hélène était besognée sans ménagement sous les han puissants qui sortaient du gosier du rustre personnage à chaque coups de reins… En silence, sans rien laisser apparaître, Hélène prenait du plaisir, beaucoup de plaisir, sous les virils assauts du chef des bandits…
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