L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 24) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 24) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : La prise de Procuste (3) -
Procuste s'abreuvait à sa gourde, le vin de piètre qualité dégoulinant sur sa sombre barbe ébouriffée. Il regardait Hélène pendue par ses poignets ligotés à une branche haute d'un arbre, seule la pointe de ses pieds touchant le sol... Elle était immobile, silencieuse... Le chef des brigands se persuadant en la voyant ainsi que cette femme à la mine prétentieuse, qui l'avait mis en danger lors de leur face à face était désormais brisée et vaincue, que bientôt il ferait d'elle tout ce qu'il lui plairait, comme il le faisait toujours, et depuis si longtemps, des captives que lui et sa bande rançonnaient ainsi et revendaient ensuite à des bordels... Il savourait déjà ce qu'il pensait être son triomphe, comptant déjà les sacs de Drachmes que lui rapporteraient bientôt la vente des captifs. Surtout cette superbe femelle ligotée et qu’il venait d’abuser ! Celle-ci vaudrait une fortune lorsqu'il déciderait de s'en débarrasser car il n’était pas aveugle et avait déjà estimé la grande valeur marchande de la beauté qu’il avait en face de lui. Une telle chevelure d’or, un tel visage si pur, si fin, un corps de rêve, il savait qu’il avait là, une prise exceptionnelle et qu’une telle rareté valait son pesant d’or… Oui une prise exceptionnelle … La prise de Procuste ! … Mais avant, il allait vendre les deux esclaves que ses complices avaient entraînés dans les fourrés pour en tirer jouissance ! Le bénéfice serait déjà substantiel, compte tenu du physique fort avenant des deux esclaves…
Justement, les deux brutes qui l'accompagnaient étaient de retour, traînant à leur suite l'esclave mâle visiblement épuisé. Procuste savait les pratiques appréciées par ses hommes et ne doutait pas que les deux orifices du mâle avaient été soumis à rude épreuve, sa bouche et son cul remplis de la semence des deux brutes... Ce n'est que de longues minutes plus tard que Patnos, leur plus jeune recrue, émergea à son tour des sous-bois, tenant la femelle au crâne rasé tout contre lui. Il souriait béatement, tel tout jeune homme venant d'assouvir sans arrière-pensée des plaisirs dont il n'osait rêver quelques heures plus tôt seulement. Le jeune brigand qui se branlait encore frénétiquement la veille venait de se voir offrir une créature sublime afin d'assouvir tous ses instincts, même les plus pervers... Il était temps que le jeune homme jette enfin sa gourme, après avoir été moqué depuis des semaines par les trois brigands plus aguerris à abuser leurs victimes. Jusqu’à ce jour, ils ne lui avaient pas permis de profiter de leurs prises, à l'exception de la bouche d'une vieille édentée... Une forme de mise à l'épreuve du jeune homme qui avait rejoint leur bande depuis peu, ayant fui une famille qui le destinait à être vendu à un riche propriétaire terrien, ayant trop d'enfants à nourrir et pas assez de revenus pour les garder tous à demeure…
Ainsi Patnos s'approcha en tenant l'étrange femelle serrée contre lui. Elle semblait indifférente à ce qui l'entourait, n'ayant eu qu'un regard d’adoration pour sa Maîtresse suspendue et exhibée dans la plus totale nudité. Procuste fit signe à ses hommes de le rejoindre. Seule Hélène demeurait à l'écart, brigands et esclaves étant maintenant réunis au bord de la rivière. Procuste expliqua son projet mercantile : Ses trois complices allaient mener les deux esclaves jusqu'aux faubourgs d'Olympie, où plusieurs bordels provisoires s'étaient installés, dans la prévision de la foule qui allait converger les prochaines semaines vers la Cité Sacrée, afin d'assister aux fameux Jeux d'Olympie. Ils vendraient la femelle et le mâle capturés un très bon prix, compte tenu de leurs physiques nettement au-dessus de la moyenne des pauvres créatures qui seraient vendues et revendues tout le temps que dureraient les préparatifs pour les épreuves des Jeux panhelléniques. Lui Procuste, demeurait céans, en compagnie de leur noble captive, profitant de ce temps en sa compagnie pour briser définitivement toute rébellion et la dresser afin d'en tirer ensuite le meilleur prix... Plus que le meilleur prix, une véritable fortune, sans aucun doute, car il avait pleinement conscience de ce qu’Elle pouvait rapporter ! Mais il fallait d'abord assouplir le caractère de cette femme, briser sa fierté et lui courber l'échine. Procuste se faisait fort d'y parvenir en quelques jours, le temps pour ses complices de se rendre jusqu'aux abords d'Olympie et de réaliser une bonne vente de ces deux esclaves qui rempliraient déjà fort bien leurs bourses, après en avoir vidé d'autres sans rechigner tout à l'heure…
La saillie du plus jeune des brigands fit éclater de rire les trois bandits, seul Patnos riait jaune, posant un regard attristé sur Clytia, agenouillée à ses pieds, qu'il aurait bien aimé pouvoir conserver encore auprès de lui... La première femme dont il avait pu pénétrer tous les mystères... Si belle, si douce, si docile ! Elle lui avait tendu sa croupe, ouvert son cul, avait écarté ses cuisses pour se donner à lui sans aucune retenue... dépassant même les espérances du jeune homme en lui prodiguant quelques tendresses qu'il n'aurait même pas osé imaginer. Il était sous le charme... plus que cela...envoûté ! C'était d'ailleurs bien ce que Clytia avait compris quand sa Maitresse lui parlait du regard, c’était donc bien ce qu’elle avait voulu en se livrant à ce maladroit avec une ardeur peu commune. Elle avait été si bien dressée par La Belle Hélène, qu'elle savait déceler au fond de l'oeil d'un mâle chacune de ses pensées. Chez le jeune brigand, elle avait vu sans trop forcer son talent, deviner qu'il avait succombé à ses charmes, pas seulement physiques. Il était amoureux d'elle et elle devait s'appliquer à faire grandir en lui ce sentiment, jusqu'à prendre le pouvoir sur ses pensées et parvenir à le manipuler afin qu'il l'aide à se libérer et surtout, la seule chose qui comptait pour Clytia, qu'il l'aide à libérer sa Divine Maîtresse, qu'elle montre à Hélène combien elle lui est toujours dévouée corps et âme en la tirant des griffes de l'ignoble barbu qui abusait d'Elle ! La jeune femme savait qu'elle parviendrait à ses fins, mais elle devait se montrer assez habile, jusqu'à mener Patnos par le bout du nez et le monter contre ses complices. Voila tout ce qu’elle avait compris aussi, tout ce qu’il lui fallait faire également au travers du message via le regard si parlant de sa Maîtresse, juste avant que le jeune brigand ne l’emmène derrière un fourré pour la saillir…
Depuis sa position, à la fois inconfortable et bien pratique, La Belle Hélène pouvait observer le petit groupe toujours stationné près de la rivière, ne peinant guère à deviner ce qui se tramait. Elle avait bien compris comment les brigands amassaient leur butin, par la vente des malheureux qui tombaient entre leurs mains cruelles. Les deux esclaves, compte tenu de leur statut servile, seraient vite revendus... Quant à Elle, le chef de la bande n'en avait manifestement pas fini. Elle l'avait senti dans sa façon d'abuser d'Elle... Il détestait tout ce qu'Elle incarnait, richesse, noblesse, élégance... Il allait vouloir la souiller et la briser avant de faire d'Elle une vulgaire marchandise qu'il vendrait pour une fortune... Hélène eut un sourire amusé... Elle s'était soumise pour épargner la vie de ses esclaves et restait persuadée que Clytia serait de taille à renverser la situation en sa faveur. Elle était moins assurée à propos d'Endymion, mais il serait toujours temps d'improviser à son sujet. Quant à Elle... Elle attendrait le temps qu'il faudrait, subirait ce que la brute barbue lui infligerait avec abnégation en attendant le moment opportun. Alors et alors seulement, Elle renverserait la situation et sa vengeance serait implacable…
Une soudaine pensée l'amusa... Elle avait pris plaisir à être soumise aux assauts primitifs de Procuste. L'homme ne manquait pas d'ardeur, même si ses gestes étaient brutaux et ses manières vulgaires. Elle avait conservé, du temps où Elle n'avait été que êta, l'esclave sans mémoire, un goût pour l'humiliation, la soumission... Certes, Elle savourait désormais Son Pouvoir, L'Influence qu'Elle exerçait sur les êtres et les choses, la possession de Ses esclaves, l'abandon servile qu'Elle trouvait en chacun des hommes auxquels Elle condescendait parfois à s'accoupler... Mais parfois, au fond du ventre, Elle sentait brûler un désir ardent tel qu'Elle n'en avait plus guère connu depuis qu’Elle avait retrouvé sa mémoire et revenue La Belle Hélène laissant derrière Elle, êta l’esclave... Ce désir ardent n’était autre que celui de l'avilissement, de l'humiliation, la jouissance profonde et puissante d'être réduite à l'état d'objet, comme quand Elle fut baisée, abusée par le Divin Apollon Lui-même et privée d'autonomie comme en cet instant, où la corde qui enserrait ses poignets lui brûlait la peau, où tous ses muscles tendus à l'extrême étaient tétanisés, où son sexe était encore poisseux de la semence répandue par le brigand... Oui, les quelques jours qui s'annonçaient ne manqueraient pas de piquant ! Elle ne se priverait pas de ce plaisir dépravé de l'humiliation que le brigand barbu n'allait pas manquer de Lui procurer... Hélène allait en jouir, sans rechigner, subir et s'abaisser et prendre du plaisir à cela... Pour le moment, en attendant le retournement de la situation en sa faveur, sourit-Elle !...
La nuit avait été fraîche... Hélène sentait sa peau hérissée par le froid, ses muscles tétanisés par la position inconfortable dans laquelle Elle avait été abandonnée. La veille, Procuste l'avait abreuvée et Lui avait accordé quelques fruits secs. Il l'avait nourrie de sa main, exigeant de sa prisonnière qu'Elle le remercie pour chaque gorgée d'eau, chaque bouchée. Il avait bien sûr aussi profité de ce moment pour promener ses mains sur le corps nu et vulnérable dont il pouvait user à Sa guise... Le brigand ne se lassait pas d'explorer chaque parcelle de ce corps d'une perfection quasiment irréelle. Et il ressentait sous ses doigts épais la chair frémissante, l'excitation qui gagnait cette femme lorsqu'il l'effleurait ou saisissait à pleine main le globe souple d'un sein parfaitement dessiné… Au petit matin, les trois autres brigands et les deux esclaves avaient pris la route d'Olympie, laissant le chef barbu seul avec la captive. Mû par le désir de se sentir au mieux de sa forme, l'homme s'était baigné dans la rivière, lavant son corps sale et négligé depuis fort longtemps. Un peu plus loin, il observait Hélène liée à sa branche, telle un fruit offert et désirable. Sortant de l'eau dans le plus simple appareil, il s'approcha d'Elle, son sexe déjà tendu de désir... Encore tout humide de son bain, il posa une main sur la joue de la Femme qui semblait dans un état second. Le brigand saisit le menton de sa prisonnière, la forçant à redresser son visage aux yeux cernés par la fatigue d'une nuit presque sans sommeil et des si longues heures passées dans une position particulièrement pénible. Sans un mot, il embrassa goulûment les lèvres sèches lui offrant la fraîcheur des siennes...
- Tu as soif ? s’exclama-t-il
- Oui... très...
Deux claques volèrent sur les joues de la Belle avec une rapidité d’action impressionnante
- Oui... très... Qui ? … Tu dois m’appeler Grand Procuste … Et que je n’ai pas à le répéter…
- Oui... très... Grand Procuste
- Tu boiras, quand je le déciderai …, dit l'homme d'une voix sans émotion, … et quand je le voudrai... quand je serai parfaitement satisfait...
Hélène ne répondit rien, Elle savait que c'était là les règles du "jeu". Elle était totalement en son pouvoir et seule une parfaite soumission pourrait Lui valoir un peu de soulagement. Jusque-là, Elle devait obéir et subir, et à cette seule idée, déjà elle frémissait de désir et se sentait mouiller. Percevant peut-être son trouble Procuste passa sa main entre les cuisses de la Femme et glissa ses doigts dans les chairs humides... Il porta ensuite ses doigts souillés aux lèvres de La Belle captive :
- Lèche ! dit-il, tu peux ainsi déjà commencer par boire ta mouille de chienne… lui dit-il tout en lui tirant les cheveux en arrière de son autre main.
Et bien entendu, elle s'exécuta avec docilité. Puis il la délaissa, s'éloignant dans les sous-bois. Il n'en revint que de longues minutes plus tard, usant d'un coutelas pour tailler une fine branche dont il testait la souplesse en giflant l'air. Il revint vers Elle, faisant glisser la badine improvisée sur le corps d’Hélène. Puis, prenant un peu d'élan, il frappa le corps sans défense, obtenant un sursaut et un bref cri de douleur. Il infligea ainsi à sa prisonnière une dizaine de coups de badine, marquant les chairs pâles de fines zébrures, avant de lâcher l'instrument :
- Je peux faire de toi tout ce que je veux... Tu es totalement en mon pouvoir (il s'approcha tout près, son souffle emplissant l'air autour du visage grimaçant de Hélène) - Tu comprends qu'il n'y a nulle échappatoire ?
- Oui, oui, je comprends, Grand Procuste, souffla-t-Elle
- Vraiment, la chienne ? interrogea-t-il encore en la saisissant d'un sein et le pressant dans sa large main comme s'il avait voulu le faire éclater sous la pression
- Oui, oui... Grand Procuste, souffla la captive d'une voix suppliante.
Il relâcha la pression et la gifla de nouveau faisant encore rougir ses joues...
- J'en ai eu envie, espèce de chienne à saillir, s'amusa l'homme
Puis il la toisa de la tête aux pieds, tout en restant immobile face à elle, un bon moment quand il décida de libérer Hélène de l'arbre et lui passa la corde autour du cou comme une laisse... La faisant mettre à quatre pattes, il la mena chancelante jusqu'au bord de la rivière et la fit boire abondement en lui ordonnant cependant ceci :
- Tu peux t'abreuver, chienne... Profites en car je ne saurai dire quand je t'accorderai à nouveau ce confort... Mais je veux que tu boives sans que tes mains ne quittent le sol, c’est donc à quatre pattes que tu dois t’abreuver…
Hélène s’abreuva à volonté mais avait comme unique outil, sa seule langue pour mettre l’eau de la rivière à sa bouche. C’est donc comme une chienne qu’elle lapa l’eau salvatrice. Alors elle lapait, savourait cette eau avec avidité, s'étouffant parfois de l'eau froide qui enflammait presque sa gorge desséchée. Au bout d’un bon moment accordé par le chef des brigands et quand celui-ci jugea qu’Elle s’était assez désaltérée, il s’exclama :
- Je vais t'apprendre qui je suis, chienne ! dit Procuste en tirant sur la corde pour éloigner Hélène de l'eau et la ramener à proximité de l'arbre où elle était attachée tantôt.
Se penchant au-dessus d'Elle, il l'obligea à incliner le visage jusqu'au sol, tout la relevant sa croupe, et s'agenouillant derrière, il poussa sa verge maintenant démesurément gonflée contre les bords de l'anus ainsi offert et força d'un coup de rein, enculant Hélène jusqu'à la garde dans un ahanement animal, obtenant d'Elle un cri bref, puis des gémissements en saccades tandis qu'il allait et venait brutalement dans le cul largement ouvert, offrant un étui souple et chaud à sa verge dure et tendue. Hélène griffait le sol de ses doigts pendant que son tourmenteur grognait de hargne et d'extase... Certes il était fruste et brutal, mais La Belle devait reconnaître que sa queue était puissante et de belle taille ! Elle en jouissait mentalement ! Il la besogna ainsi fort longtemps, jouissant d'un flot épais et abondant dans ce cul qui venait de s'offrir avec une parfaite docilité à ses assauts...
(A suivre…)
Procuste s'abreuvait à sa gourde, le vin de piètre qualité dégoulinant sur sa sombre barbe ébouriffée. Il regardait Hélène pendue par ses poignets ligotés à une branche haute d'un arbre, seule la pointe de ses pieds touchant le sol... Elle était immobile, silencieuse... Le chef des brigands se persuadant en la voyant ainsi que cette femme à la mine prétentieuse, qui l'avait mis en danger lors de leur face à face était désormais brisée et vaincue, que bientôt il ferait d'elle tout ce qu'il lui plairait, comme il le faisait toujours, et depuis si longtemps, des captives que lui et sa bande rançonnaient ainsi et revendaient ensuite à des bordels... Il savourait déjà ce qu'il pensait être son triomphe, comptant déjà les sacs de Drachmes que lui rapporteraient bientôt la vente des captifs. Surtout cette superbe femelle ligotée et qu’il venait d’abuser ! Celle-ci vaudrait une fortune lorsqu'il déciderait de s'en débarrasser car il n’était pas aveugle et avait déjà estimé la grande valeur marchande de la beauté qu’il avait en face de lui. Une telle chevelure d’or, un tel visage si pur, si fin, un corps de rêve, il savait qu’il avait là, une prise exceptionnelle et qu’une telle rareté valait son pesant d’or… Oui une prise exceptionnelle … La prise de Procuste ! … Mais avant, il allait vendre les deux esclaves que ses complices avaient entraînés dans les fourrés pour en tirer jouissance ! Le bénéfice serait déjà substantiel, compte tenu du physique fort avenant des deux esclaves…
Justement, les deux brutes qui l'accompagnaient étaient de retour, traînant à leur suite l'esclave mâle visiblement épuisé. Procuste savait les pratiques appréciées par ses hommes et ne doutait pas que les deux orifices du mâle avaient été soumis à rude épreuve, sa bouche et son cul remplis de la semence des deux brutes... Ce n'est que de longues minutes plus tard que Patnos, leur plus jeune recrue, émergea à son tour des sous-bois, tenant la femelle au crâne rasé tout contre lui. Il souriait béatement, tel tout jeune homme venant d'assouvir sans arrière-pensée des plaisirs dont il n'osait rêver quelques heures plus tôt seulement. Le jeune brigand qui se branlait encore frénétiquement la veille venait de se voir offrir une créature sublime afin d'assouvir tous ses instincts, même les plus pervers... Il était temps que le jeune homme jette enfin sa gourme, après avoir été moqué depuis des semaines par les trois brigands plus aguerris à abuser leurs victimes. Jusqu’à ce jour, ils ne lui avaient pas permis de profiter de leurs prises, à l'exception de la bouche d'une vieille édentée... Une forme de mise à l'épreuve du jeune homme qui avait rejoint leur bande depuis peu, ayant fui une famille qui le destinait à être vendu à un riche propriétaire terrien, ayant trop d'enfants à nourrir et pas assez de revenus pour les garder tous à demeure…
Ainsi Patnos s'approcha en tenant l'étrange femelle serrée contre lui. Elle semblait indifférente à ce qui l'entourait, n'ayant eu qu'un regard d’adoration pour sa Maîtresse suspendue et exhibée dans la plus totale nudité. Procuste fit signe à ses hommes de le rejoindre. Seule Hélène demeurait à l'écart, brigands et esclaves étant maintenant réunis au bord de la rivière. Procuste expliqua son projet mercantile : Ses trois complices allaient mener les deux esclaves jusqu'aux faubourgs d'Olympie, où plusieurs bordels provisoires s'étaient installés, dans la prévision de la foule qui allait converger les prochaines semaines vers la Cité Sacrée, afin d'assister aux fameux Jeux d'Olympie. Ils vendraient la femelle et le mâle capturés un très bon prix, compte tenu de leurs physiques nettement au-dessus de la moyenne des pauvres créatures qui seraient vendues et revendues tout le temps que dureraient les préparatifs pour les épreuves des Jeux panhelléniques. Lui Procuste, demeurait céans, en compagnie de leur noble captive, profitant de ce temps en sa compagnie pour briser définitivement toute rébellion et la dresser afin d'en tirer ensuite le meilleur prix... Plus que le meilleur prix, une véritable fortune, sans aucun doute, car il avait pleinement conscience de ce qu’Elle pouvait rapporter ! Mais il fallait d'abord assouplir le caractère de cette femme, briser sa fierté et lui courber l'échine. Procuste se faisait fort d'y parvenir en quelques jours, le temps pour ses complices de se rendre jusqu'aux abords d'Olympie et de réaliser une bonne vente de ces deux esclaves qui rempliraient déjà fort bien leurs bourses, après en avoir vidé d'autres sans rechigner tout à l'heure…
La saillie du plus jeune des brigands fit éclater de rire les trois bandits, seul Patnos riait jaune, posant un regard attristé sur Clytia, agenouillée à ses pieds, qu'il aurait bien aimé pouvoir conserver encore auprès de lui... La première femme dont il avait pu pénétrer tous les mystères... Si belle, si douce, si docile ! Elle lui avait tendu sa croupe, ouvert son cul, avait écarté ses cuisses pour se donner à lui sans aucune retenue... dépassant même les espérances du jeune homme en lui prodiguant quelques tendresses qu'il n'aurait même pas osé imaginer. Il était sous le charme... plus que cela...envoûté ! C'était d'ailleurs bien ce que Clytia avait compris quand sa Maitresse lui parlait du regard, c’était donc bien ce qu’elle avait voulu en se livrant à ce maladroit avec une ardeur peu commune. Elle avait été si bien dressée par La Belle Hélène, qu'elle savait déceler au fond de l'oeil d'un mâle chacune de ses pensées. Chez le jeune brigand, elle avait vu sans trop forcer son talent, deviner qu'il avait succombé à ses charmes, pas seulement physiques. Il était amoureux d'elle et elle devait s'appliquer à faire grandir en lui ce sentiment, jusqu'à prendre le pouvoir sur ses pensées et parvenir à le manipuler afin qu'il l'aide à se libérer et surtout, la seule chose qui comptait pour Clytia, qu'il l'aide à libérer sa Divine Maîtresse, qu'elle montre à Hélène combien elle lui est toujours dévouée corps et âme en la tirant des griffes de l'ignoble barbu qui abusait d'Elle ! La jeune femme savait qu'elle parviendrait à ses fins, mais elle devait se montrer assez habile, jusqu'à mener Patnos par le bout du nez et le monter contre ses complices. Voila tout ce qu’elle avait compris aussi, tout ce qu’il lui fallait faire également au travers du message via le regard si parlant de sa Maîtresse, juste avant que le jeune brigand ne l’emmène derrière un fourré pour la saillir…
Depuis sa position, à la fois inconfortable et bien pratique, La Belle Hélène pouvait observer le petit groupe toujours stationné près de la rivière, ne peinant guère à deviner ce qui se tramait. Elle avait bien compris comment les brigands amassaient leur butin, par la vente des malheureux qui tombaient entre leurs mains cruelles. Les deux esclaves, compte tenu de leur statut servile, seraient vite revendus... Quant à Elle, le chef de la bande n'en avait manifestement pas fini. Elle l'avait senti dans sa façon d'abuser d'Elle... Il détestait tout ce qu'Elle incarnait, richesse, noblesse, élégance... Il allait vouloir la souiller et la briser avant de faire d'Elle une vulgaire marchandise qu'il vendrait pour une fortune... Hélène eut un sourire amusé... Elle s'était soumise pour épargner la vie de ses esclaves et restait persuadée que Clytia serait de taille à renverser la situation en sa faveur. Elle était moins assurée à propos d'Endymion, mais il serait toujours temps d'improviser à son sujet. Quant à Elle... Elle attendrait le temps qu'il faudrait, subirait ce que la brute barbue lui infligerait avec abnégation en attendant le moment opportun. Alors et alors seulement, Elle renverserait la situation et sa vengeance serait implacable…
Une soudaine pensée l'amusa... Elle avait pris plaisir à être soumise aux assauts primitifs de Procuste. L'homme ne manquait pas d'ardeur, même si ses gestes étaient brutaux et ses manières vulgaires. Elle avait conservé, du temps où Elle n'avait été que êta, l'esclave sans mémoire, un goût pour l'humiliation, la soumission... Certes, Elle savourait désormais Son Pouvoir, L'Influence qu'Elle exerçait sur les êtres et les choses, la possession de Ses esclaves, l'abandon servile qu'Elle trouvait en chacun des hommes auxquels Elle condescendait parfois à s'accoupler... Mais parfois, au fond du ventre, Elle sentait brûler un désir ardent tel qu'Elle n'en avait plus guère connu depuis qu’Elle avait retrouvé sa mémoire et revenue La Belle Hélène laissant derrière Elle, êta l’esclave... Ce désir ardent n’était autre que celui de l'avilissement, de l'humiliation, la jouissance profonde et puissante d'être réduite à l'état d'objet, comme quand Elle fut baisée, abusée par le Divin Apollon Lui-même et privée d'autonomie comme en cet instant, où la corde qui enserrait ses poignets lui brûlait la peau, où tous ses muscles tendus à l'extrême étaient tétanisés, où son sexe était encore poisseux de la semence répandue par le brigand... Oui, les quelques jours qui s'annonçaient ne manqueraient pas de piquant ! Elle ne se priverait pas de ce plaisir dépravé de l'humiliation que le brigand barbu n'allait pas manquer de Lui procurer... Hélène allait en jouir, sans rechigner, subir et s'abaisser et prendre du plaisir à cela... Pour le moment, en attendant le retournement de la situation en sa faveur, sourit-Elle !...
La nuit avait été fraîche... Hélène sentait sa peau hérissée par le froid, ses muscles tétanisés par la position inconfortable dans laquelle Elle avait été abandonnée. La veille, Procuste l'avait abreuvée et Lui avait accordé quelques fruits secs. Il l'avait nourrie de sa main, exigeant de sa prisonnière qu'Elle le remercie pour chaque gorgée d'eau, chaque bouchée. Il avait bien sûr aussi profité de ce moment pour promener ses mains sur le corps nu et vulnérable dont il pouvait user à Sa guise... Le brigand ne se lassait pas d'explorer chaque parcelle de ce corps d'une perfection quasiment irréelle. Et il ressentait sous ses doigts épais la chair frémissante, l'excitation qui gagnait cette femme lorsqu'il l'effleurait ou saisissait à pleine main le globe souple d'un sein parfaitement dessiné… Au petit matin, les trois autres brigands et les deux esclaves avaient pris la route d'Olympie, laissant le chef barbu seul avec la captive. Mû par le désir de se sentir au mieux de sa forme, l'homme s'était baigné dans la rivière, lavant son corps sale et négligé depuis fort longtemps. Un peu plus loin, il observait Hélène liée à sa branche, telle un fruit offert et désirable. Sortant de l'eau dans le plus simple appareil, il s'approcha d'Elle, son sexe déjà tendu de désir... Encore tout humide de son bain, il posa une main sur la joue de la Femme qui semblait dans un état second. Le brigand saisit le menton de sa prisonnière, la forçant à redresser son visage aux yeux cernés par la fatigue d'une nuit presque sans sommeil et des si longues heures passées dans une position particulièrement pénible. Sans un mot, il embrassa goulûment les lèvres sèches lui offrant la fraîcheur des siennes...
- Tu as soif ? s’exclama-t-il
- Oui... très...
Deux claques volèrent sur les joues de la Belle avec une rapidité d’action impressionnante
- Oui... très... Qui ? … Tu dois m’appeler Grand Procuste … Et que je n’ai pas à le répéter…
- Oui... très... Grand Procuste
- Tu boiras, quand je le déciderai …, dit l'homme d'une voix sans émotion, … et quand je le voudrai... quand je serai parfaitement satisfait...
Hélène ne répondit rien, Elle savait que c'était là les règles du "jeu". Elle était totalement en son pouvoir et seule une parfaite soumission pourrait Lui valoir un peu de soulagement. Jusque-là, Elle devait obéir et subir, et à cette seule idée, déjà elle frémissait de désir et se sentait mouiller. Percevant peut-être son trouble Procuste passa sa main entre les cuisses de la Femme et glissa ses doigts dans les chairs humides... Il porta ensuite ses doigts souillés aux lèvres de La Belle captive :
- Lèche ! dit-il, tu peux ainsi déjà commencer par boire ta mouille de chienne… lui dit-il tout en lui tirant les cheveux en arrière de son autre main.
Et bien entendu, elle s'exécuta avec docilité. Puis il la délaissa, s'éloignant dans les sous-bois. Il n'en revint que de longues minutes plus tard, usant d'un coutelas pour tailler une fine branche dont il testait la souplesse en giflant l'air. Il revint vers Elle, faisant glisser la badine improvisée sur le corps d’Hélène. Puis, prenant un peu d'élan, il frappa le corps sans défense, obtenant un sursaut et un bref cri de douleur. Il infligea ainsi à sa prisonnière une dizaine de coups de badine, marquant les chairs pâles de fines zébrures, avant de lâcher l'instrument :
- Je peux faire de toi tout ce que je veux... Tu es totalement en mon pouvoir (il s'approcha tout près, son souffle emplissant l'air autour du visage grimaçant de Hélène) - Tu comprends qu'il n'y a nulle échappatoire ?
- Oui, oui, je comprends, Grand Procuste, souffla-t-Elle
- Vraiment, la chienne ? interrogea-t-il encore en la saisissant d'un sein et le pressant dans sa large main comme s'il avait voulu le faire éclater sous la pression
- Oui, oui... Grand Procuste, souffla la captive d'une voix suppliante.
Il relâcha la pression et la gifla de nouveau faisant encore rougir ses joues...
- J'en ai eu envie, espèce de chienne à saillir, s'amusa l'homme
Puis il la toisa de la tête aux pieds, tout en restant immobile face à elle, un bon moment quand il décida de libérer Hélène de l'arbre et lui passa la corde autour du cou comme une laisse... La faisant mettre à quatre pattes, il la mena chancelante jusqu'au bord de la rivière et la fit boire abondement en lui ordonnant cependant ceci :
- Tu peux t'abreuver, chienne... Profites en car je ne saurai dire quand je t'accorderai à nouveau ce confort... Mais je veux que tu boives sans que tes mains ne quittent le sol, c’est donc à quatre pattes que tu dois t’abreuver…
Hélène s’abreuva à volonté mais avait comme unique outil, sa seule langue pour mettre l’eau de la rivière à sa bouche. C’est donc comme une chienne qu’elle lapa l’eau salvatrice. Alors elle lapait, savourait cette eau avec avidité, s'étouffant parfois de l'eau froide qui enflammait presque sa gorge desséchée. Au bout d’un bon moment accordé par le chef des brigands et quand celui-ci jugea qu’Elle s’était assez désaltérée, il s’exclama :
- Je vais t'apprendre qui je suis, chienne ! dit Procuste en tirant sur la corde pour éloigner Hélène de l'eau et la ramener à proximité de l'arbre où elle était attachée tantôt.
Se penchant au-dessus d'Elle, il l'obligea à incliner le visage jusqu'au sol, tout la relevant sa croupe, et s'agenouillant derrière, il poussa sa verge maintenant démesurément gonflée contre les bords de l'anus ainsi offert et força d'un coup de rein, enculant Hélène jusqu'à la garde dans un ahanement animal, obtenant d'Elle un cri bref, puis des gémissements en saccades tandis qu'il allait et venait brutalement dans le cul largement ouvert, offrant un étui souple et chaud à sa verge dure et tendue. Hélène griffait le sol de ses doigts pendant que son tourmenteur grognait de hargne et d'extase... Certes il était fruste et brutal, mais La Belle devait reconnaître que sa queue était puissante et de belle taille ! Elle en jouissait mentalement ! Il la besogna ainsi fort longtemps, jouissant d'un flot épais et abondant dans ce cul qui venait de s'offrir avec une parfaite docilité à ses assauts...
(A suivre…)
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