L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 26) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 26) -
L'Odyssée de La Belle Hélène - Le désir d'Hélène d’être possédée par Procuste –
Deux jours étaient passés emplis de totales possessions du corps d’Hélène en de multiples positions et perversités de toutes sortes et Procuste se persuadait qu'il avait totalement dompté la Femme dont il disposait jour et nuit depuis le départ de ses complices. Hélène passait le plus clair des journées attachée à la même branche d'arbre, le plus souvent par les poignets, ses bras étirés vers le haut, tous ses muscles tétanisés par la pression de cette si inconfortable position d'entraves... Mais parfois aussi suspendue par ses chevilles ligotées, la tête en bas, positionnée afin que sa bouche soit à la bonne hauteur pour recevoir la verge en érection de son tourmenteur. La Sublime Femme subissait les pires traitements avec la plus extrême docilité... D'abord parce qu'elle voulait endormir la vigilance de son geôlier afin de lui échapper, mais aussi (et Elle se demandait même si cette raison n'était pas devenue prioritaire !) parce qu'Elle jouissait avec force des nombreuses humiliations qui lui étaient infligées, d'être ainsi traitée en objet, livrée aux abus certes peu originaux mais fort fréquents de ce brigand à l'épaisse barbe, dont les assauts faisaient frémir son corps et mouiller abondement sa chatte pourtant tellement aguerrie...
Oubliant pour un temps Sa Position quasiment Divine, Son statut d'Epouse d'Apollon, Hélène, La Belle Hélène dont tout homme du monde grec rêvait chaque nuit et même les jours, s'oubliait dans cette humiliation permanente, dans cette disponibilité imposée, dans cette offrande sans limite de son corps à tous les désirs de l'homme qui n'ignorait plus rien de son anatomie. Dans cet abandon à un désir profondément enfoui en Elle, Hélène rejoignait celle qu'Elle avait été : êta l'esclave sexuelle, la chose sans mémoire qui avait été livrée aux pratiques les plus perverses durant tant de mois. Il restait sans doute un peu (et même apparemment beaucoup en ce moment) de cette femelle servile dans l'Esprit de La Belle... Et pour un bref temps, Elle avait décidé de lui céder le devant de la scène. Sa soumission, son acceptation, son application à combler les désirs les plus avilissants lui permettaient certes de rendre crédible son rôle de voyageuse sans défense... mais il assouvissait aussi un besoin qu’Hélène pensait avoir à jamais oublié, celui de n'être qu'une catin obéissante, livrée aux pratiques les plus dégradantes et qui en jouissait bestialement, dans un plaisir absolu ! Et pourquoi pas !? Se disait Hélène que Procuste avait une nouvelle fois écartelée entre deux arbustes, bras et jambes tendus à l'extrême, ouverte... l'abandonnant ainsi pour un temps indéterminé, pendant qu'il partait chasser.
Oui, pourquoi pas !? Puisque telle était Sa Volonté à Elle, Hélène... Elle avait choisi de subir cela et elle y prenait un plaisir infini ! Cela ne durerait pas, bientôt, avant le retour des trois complices, Elle avait l'intention de tromper la vigilance désormais bien endormie du brigand et de s'en débarrasser, avant de partir à la recherche de ses deux esclaves, Clytia et Endymion qui avaient dû être vendus à quelque bordel des abords de la Cité Sacrée d'Olympie... Elle était donc écartelée, les cuisses largement ouvertes, les seins offerts... telle une bête exposée... Et elle sentait monter en Elle l'irrépressible désir d'une queue venant se planter en Elle et la saillir brutalement, sans ménagement, de la plus barbare des façons... D’ailleurs, entre parenthèse, on peut se poser la question, oui, tout simplement se demander si une telle libido si perverse vient vraiment d’Elle et de ses pulsions BDSM ou si ce fort appétit sexuel perverti n’est pas insufflé par une quelconque Divinité qui prendrait plaisir à transformer une Hélène en femme (ou plutôt en chienne en chaleur) dépravée à la sexualité si débridée !...
Elle regardait autour d'Elle, dans l'espoir de voir la massive silhouette du brigand rentrant de sa partie de chasse. Voir ce visage mangé d'une barbe si drue qu'elle lui embrassait les jours lorsque l'homme l'embrassait avidement et sans délicatesse. Cette carrure large et épaisse, ce corps lourd et musclé, ces bras puissants, ces mains calleuses aux doigts épais qui la fouillaient si bien, jusqu'à la faire gémir de plaisir tandis qu'il les enfonçait souvent en Elle toujours plus profond avant de lui faire lécher les sécrétions que son plaisir à Elle laissait sur sa main à lui... Elle ressentait comme un éclair d’excitation qui partait de son sexe ouvert par cette position, et montait dans son ventre, dans sa poitrine, dans ses seins ! Elle se mouillait les lèvres, desséchées par les heures passées ainsi et haletait doucement, tout en fermant parfois les yeux pour mieux imaginer le gros sexe dressé de Procuste devant Elle... aussi large que dur ! Elle en ‘salivait’, gémissait seule, en pensant avec gourmandise à ce qu'Elle allait subir bientôt…
Oh oui ! Bientôt !... Dès qu'il reviendrait et la verrait ainsi, la contemplerait ainsi exhibée, offerte, sans la moindre possibilité de se soustraire à tous les appétits de cette brute jamais assouvie. Elle y pensait si fort, plus excitée encore par cette position aussi inconfortable qu'excitante, qu'Elle mouillait sans même pouvoir se caresser. Sa cyprine en coulait le long de ses cuisses… Ses lèvres intimes en étaient gonflées de désirs, ses tétons de sa superbe poitrine étaient dressés et avaient pris une couleur d’un pourpre soutenu… Hélène, connue dans tout le Monde Antique comme La Fameuse Belle Hélène, Elle qui avait séduit et humilié des Rois, provoqué la plus meurtrière des guerres de tous les temps de ce monde connu et entraîné la chute d'un Empire ! Eh bien cette Hélène-là, était pour le moment devenue juste un simple objet de plaisir, telle une marionnette que l’on manipule à souhait. Hélène... sentait son ventre se nouer dans l'espoir qu'un vulgaire brigand, une brute sans finesse ni imagination, vienne enfin et décide de la baiser, de la prendre sans le moindre égard, de pénétrer son sexe, de posséder son cul, d'emplir sa bouche une nouvelle fois et encore et encore... Oh oui ! Oui, qu'il vienne, qu'il la voie ainsi offerte, ainsi qu'il l'a voulue. Qu'il prenne plaisir à voir son humiliation et puis qu'il la prenne par toutes les positions par toutes les perversités...
Oh ! Elle souffrait d'être ainsi totalement immobilisée, tant Elle aurait voulu pouvoir serrer ses cuisses, soulager le feu d’excitation qui grouillait dans son bas-ventre, porter sa main sur ses chairs frémissantes de cet abject désir ! Elle tentait en vain de bouger, mais la tension des cordes et de ses liens était trop forte. Procuste savait y faire, les cordes étaient si tendues que le moindre mouvement était interdit, tirant cruellement sur ses muscles, mais plus encore la privant de la plus infime possibilité de soulager ce désir brûlant qui la consumait depuis des heures... Ah le cruel, se dit-Elle ! Combien Elle avait envie qu'il soit là, qu'il la baise, ooh oui, qu'il la baise !...
Un craquement... un frôlement dans les buissons proches... Hélène retint son souffle. Une bête ou... Lui !? Ou bien... Et si d'autres hommes venaient par-là ? S'ils la découvraient dans cette si avilissante situation... Et s'ils profitaient d'une si délicieuse aubaine, une Femme d'une beauté inégalable, totalement offerte, livrée écartelées prête à être remplie, disponible au premier venu pour se vider les couilles !... Ou alors peut-être serait-ce une bête Divine, fantastique d’un Dieu pervers ?... une chose de l’Olympe qui viendrait entre ses cuisses et la lécherait alors Divinement ! Oh comme Elle aurait voulu en cet instant qu'une créature apparaisse et vienne s'abreuver entre ses cuisses ! Laper ce plaisir qu'Elle ne pouvait retenir et qui s'écoulait à l'intérieur de ses cuisses ouvertes... Elle regardait dans la direction d'où était venu ces bruits... Ils s'approchaient, Hélène frémissait... Et il apparut enfin, Procuste, sa barbe épaisse, ses bras musclés tenant sur son épaule une biche égorgée dont le sang s'écoulait lentement sur l'épaule de l'homme. Il jeta son gibier sur le sol. Et s'approcha d'Elle...
- Alors la chienne, as-tu pensé à moi ? dit-il d'un air moqueur.
- Oui Grand Procuste, confessa-t-Elle, baissant les yeux... Oui je n'ai pensé qu'à vous.
- Tu avais peur ? Tu comprends à quel point tu as besoin de moi, chienne ?
- Oui, oh oui Grand Procuste, je l'ai compris, dit Hélène feignant l'humilité et la faiblesse que le brigand attendait d'une captive dont il avait décidé de s'occuper.
Il caressa son visage, puis comme à son habitude, le lui lécha, laissant sur ses joues une trace de salive poisseuse et puante. Puis il tendit son épaule suintante du sang de la biche et la plaça devant le visage d’Hélène
- Lèche ! ordonna-t-il Lèche, c'est nourrissant, et tu n'auras rien d'autre. Enfin Si ! Ma semence dont j'aime te nourrir, s'amusa le brigand barbu...
Hélène lécha voluptueusement l'épaule large et poilue qu'il lui présentait, sentant le sang épais couler dans sa bouche...
- As-tu compris maintenant qui est le Maître ?
- Oui, souffla-t-Elle, oui vous êtes le Maître, Grand Procuste
- Bien, se réjouit Procuste, Bien... je vois que tu apprends vite. Continue comme ça et je serai bon avec toi. compris !?
- Oui, oh oui Grand Procuste, dit la captive avec une voix rauque qui laissait deviner en Elle un désir profond, animal...
Procuste retira son épaule et la gifla, sans trop appuyer, juste pour lui faire sentir sa Domination. Il la gifla encore :
- Tu m'appartiens, dit-il, oui ?
- Oui, je vous appartiens, Grand Procuste, répondit Hélène en baissant les yeux.
Ses joues étaient cuisantes des claques reçues, et Elle baisa la main qu'il tendait devant ses lèvres... Cette même main qu'il promena sur ses seins, tordant un téton au passage, puis sur son ventre, avant de la plonger toute entière entre ses cuisses écartelées...
- Mais tu dégoulines, espèce de chienne en chaleur ! (il éclata de rire) tu as envie que je te baise ? chienne ?
- Mmmhh, oh oui, s’il vous plait Grand Procuste, supplia Hélène, oui, voyez ce que je suis, voyez comme je désire que vous me preniez...
Procuste retira sa main visqueuse et l'écrasa sur le joli visage, puis l'essuya dans les flots de cheveux dorés qui dégoulinaient jusqu'aux épaules de La Belle...
- Salope !, lança-t-il amusé, ainsi tu as envie que je te baise... tu désires ma queue, ma virilité ?
- Oui, oh oui je vous en supplie, Grand Procuste ! (Le brigand éclata de rire)
- Eh bien... désires ! Moi j'ai mon repas à préparer, de la viande à fumer... reste donc là et je verrai plus tard si j'ai envie de toi... En attendant, tu n'as qu'à me regarder...
Et il s'éloigna. Installé tout près de la rivière, le brigand commença à dépecer la biche. Et Hélène restait écartelée, plus offerte et excitée qu'Elle ne l'avait jamais été...
(A suivre…)
Deux jours étaient passés emplis de totales possessions du corps d’Hélène en de multiples positions et perversités de toutes sortes et Procuste se persuadait qu'il avait totalement dompté la Femme dont il disposait jour et nuit depuis le départ de ses complices. Hélène passait le plus clair des journées attachée à la même branche d'arbre, le plus souvent par les poignets, ses bras étirés vers le haut, tous ses muscles tétanisés par la pression de cette si inconfortable position d'entraves... Mais parfois aussi suspendue par ses chevilles ligotées, la tête en bas, positionnée afin que sa bouche soit à la bonne hauteur pour recevoir la verge en érection de son tourmenteur. La Sublime Femme subissait les pires traitements avec la plus extrême docilité... D'abord parce qu'elle voulait endormir la vigilance de son geôlier afin de lui échapper, mais aussi (et Elle se demandait même si cette raison n'était pas devenue prioritaire !) parce qu'Elle jouissait avec force des nombreuses humiliations qui lui étaient infligées, d'être ainsi traitée en objet, livrée aux abus certes peu originaux mais fort fréquents de ce brigand à l'épaisse barbe, dont les assauts faisaient frémir son corps et mouiller abondement sa chatte pourtant tellement aguerrie...
Oubliant pour un temps Sa Position quasiment Divine, Son statut d'Epouse d'Apollon, Hélène, La Belle Hélène dont tout homme du monde grec rêvait chaque nuit et même les jours, s'oubliait dans cette humiliation permanente, dans cette disponibilité imposée, dans cette offrande sans limite de son corps à tous les désirs de l'homme qui n'ignorait plus rien de son anatomie. Dans cet abandon à un désir profondément enfoui en Elle, Hélène rejoignait celle qu'Elle avait été : êta l'esclave sexuelle, la chose sans mémoire qui avait été livrée aux pratiques les plus perverses durant tant de mois. Il restait sans doute un peu (et même apparemment beaucoup en ce moment) de cette femelle servile dans l'Esprit de La Belle... Et pour un bref temps, Elle avait décidé de lui céder le devant de la scène. Sa soumission, son acceptation, son application à combler les désirs les plus avilissants lui permettaient certes de rendre crédible son rôle de voyageuse sans défense... mais il assouvissait aussi un besoin qu’Hélène pensait avoir à jamais oublié, celui de n'être qu'une catin obéissante, livrée aux pratiques les plus dégradantes et qui en jouissait bestialement, dans un plaisir absolu ! Et pourquoi pas !? Se disait Hélène que Procuste avait une nouvelle fois écartelée entre deux arbustes, bras et jambes tendus à l'extrême, ouverte... l'abandonnant ainsi pour un temps indéterminé, pendant qu'il partait chasser.
Oui, pourquoi pas !? Puisque telle était Sa Volonté à Elle, Hélène... Elle avait choisi de subir cela et elle y prenait un plaisir infini ! Cela ne durerait pas, bientôt, avant le retour des trois complices, Elle avait l'intention de tromper la vigilance désormais bien endormie du brigand et de s'en débarrasser, avant de partir à la recherche de ses deux esclaves, Clytia et Endymion qui avaient dû être vendus à quelque bordel des abords de la Cité Sacrée d'Olympie... Elle était donc écartelée, les cuisses largement ouvertes, les seins offerts... telle une bête exposée... Et elle sentait monter en Elle l'irrépressible désir d'une queue venant se planter en Elle et la saillir brutalement, sans ménagement, de la plus barbare des façons... D’ailleurs, entre parenthèse, on peut se poser la question, oui, tout simplement se demander si une telle libido si perverse vient vraiment d’Elle et de ses pulsions BDSM ou si ce fort appétit sexuel perverti n’est pas insufflé par une quelconque Divinité qui prendrait plaisir à transformer une Hélène en femme (ou plutôt en chienne en chaleur) dépravée à la sexualité si débridée !...
Elle regardait autour d'Elle, dans l'espoir de voir la massive silhouette du brigand rentrant de sa partie de chasse. Voir ce visage mangé d'une barbe si drue qu'elle lui embrassait les jours lorsque l'homme l'embrassait avidement et sans délicatesse. Cette carrure large et épaisse, ce corps lourd et musclé, ces bras puissants, ces mains calleuses aux doigts épais qui la fouillaient si bien, jusqu'à la faire gémir de plaisir tandis qu'il les enfonçait souvent en Elle toujours plus profond avant de lui faire lécher les sécrétions que son plaisir à Elle laissait sur sa main à lui... Elle ressentait comme un éclair d’excitation qui partait de son sexe ouvert par cette position, et montait dans son ventre, dans sa poitrine, dans ses seins ! Elle se mouillait les lèvres, desséchées par les heures passées ainsi et haletait doucement, tout en fermant parfois les yeux pour mieux imaginer le gros sexe dressé de Procuste devant Elle... aussi large que dur ! Elle en ‘salivait’, gémissait seule, en pensant avec gourmandise à ce qu'Elle allait subir bientôt…
Oh oui ! Bientôt !... Dès qu'il reviendrait et la verrait ainsi, la contemplerait ainsi exhibée, offerte, sans la moindre possibilité de se soustraire à tous les appétits de cette brute jamais assouvie. Elle y pensait si fort, plus excitée encore par cette position aussi inconfortable qu'excitante, qu'Elle mouillait sans même pouvoir se caresser. Sa cyprine en coulait le long de ses cuisses… Ses lèvres intimes en étaient gonflées de désirs, ses tétons de sa superbe poitrine étaient dressés et avaient pris une couleur d’un pourpre soutenu… Hélène, connue dans tout le Monde Antique comme La Fameuse Belle Hélène, Elle qui avait séduit et humilié des Rois, provoqué la plus meurtrière des guerres de tous les temps de ce monde connu et entraîné la chute d'un Empire ! Eh bien cette Hélène-là, était pour le moment devenue juste un simple objet de plaisir, telle une marionnette que l’on manipule à souhait. Hélène... sentait son ventre se nouer dans l'espoir qu'un vulgaire brigand, une brute sans finesse ni imagination, vienne enfin et décide de la baiser, de la prendre sans le moindre égard, de pénétrer son sexe, de posséder son cul, d'emplir sa bouche une nouvelle fois et encore et encore... Oh oui ! Oui, qu'il vienne, qu'il la voie ainsi offerte, ainsi qu'il l'a voulue. Qu'il prenne plaisir à voir son humiliation et puis qu'il la prenne par toutes les positions par toutes les perversités...
Oh ! Elle souffrait d'être ainsi totalement immobilisée, tant Elle aurait voulu pouvoir serrer ses cuisses, soulager le feu d’excitation qui grouillait dans son bas-ventre, porter sa main sur ses chairs frémissantes de cet abject désir ! Elle tentait en vain de bouger, mais la tension des cordes et de ses liens était trop forte. Procuste savait y faire, les cordes étaient si tendues que le moindre mouvement était interdit, tirant cruellement sur ses muscles, mais plus encore la privant de la plus infime possibilité de soulager ce désir brûlant qui la consumait depuis des heures... Ah le cruel, se dit-Elle ! Combien Elle avait envie qu'il soit là, qu'il la baise, ooh oui, qu'il la baise !...
Un craquement... un frôlement dans les buissons proches... Hélène retint son souffle. Une bête ou... Lui !? Ou bien... Et si d'autres hommes venaient par-là ? S'ils la découvraient dans cette si avilissante situation... Et s'ils profitaient d'une si délicieuse aubaine, une Femme d'une beauté inégalable, totalement offerte, livrée écartelées prête à être remplie, disponible au premier venu pour se vider les couilles !... Ou alors peut-être serait-ce une bête Divine, fantastique d’un Dieu pervers ?... une chose de l’Olympe qui viendrait entre ses cuisses et la lécherait alors Divinement ! Oh comme Elle aurait voulu en cet instant qu'une créature apparaisse et vienne s'abreuver entre ses cuisses ! Laper ce plaisir qu'Elle ne pouvait retenir et qui s'écoulait à l'intérieur de ses cuisses ouvertes... Elle regardait dans la direction d'où était venu ces bruits... Ils s'approchaient, Hélène frémissait... Et il apparut enfin, Procuste, sa barbe épaisse, ses bras musclés tenant sur son épaule une biche égorgée dont le sang s'écoulait lentement sur l'épaule de l'homme. Il jeta son gibier sur le sol. Et s'approcha d'Elle...
- Alors la chienne, as-tu pensé à moi ? dit-il d'un air moqueur.
- Oui Grand Procuste, confessa-t-Elle, baissant les yeux... Oui je n'ai pensé qu'à vous.
- Tu avais peur ? Tu comprends à quel point tu as besoin de moi, chienne ?
- Oui, oh oui Grand Procuste, je l'ai compris, dit Hélène feignant l'humilité et la faiblesse que le brigand attendait d'une captive dont il avait décidé de s'occuper.
Il caressa son visage, puis comme à son habitude, le lui lécha, laissant sur ses joues une trace de salive poisseuse et puante. Puis il tendit son épaule suintante du sang de la biche et la plaça devant le visage d’Hélène
- Lèche ! ordonna-t-il Lèche, c'est nourrissant, et tu n'auras rien d'autre. Enfin Si ! Ma semence dont j'aime te nourrir, s'amusa le brigand barbu...
Hélène lécha voluptueusement l'épaule large et poilue qu'il lui présentait, sentant le sang épais couler dans sa bouche...
- As-tu compris maintenant qui est le Maître ?
- Oui, souffla-t-Elle, oui vous êtes le Maître, Grand Procuste
- Bien, se réjouit Procuste, Bien... je vois que tu apprends vite. Continue comme ça et je serai bon avec toi. compris !?
- Oui, oh oui Grand Procuste, dit la captive avec une voix rauque qui laissait deviner en Elle un désir profond, animal...
Procuste retira son épaule et la gifla, sans trop appuyer, juste pour lui faire sentir sa Domination. Il la gifla encore :
- Tu m'appartiens, dit-il, oui ?
- Oui, je vous appartiens, Grand Procuste, répondit Hélène en baissant les yeux.
Ses joues étaient cuisantes des claques reçues, et Elle baisa la main qu'il tendait devant ses lèvres... Cette même main qu'il promena sur ses seins, tordant un téton au passage, puis sur son ventre, avant de la plonger toute entière entre ses cuisses écartelées...
- Mais tu dégoulines, espèce de chienne en chaleur ! (il éclata de rire) tu as envie que je te baise ? chienne ?
- Mmmhh, oh oui, s’il vous plait Grand Procuste, supplia Hélène, oui, voyez ce que je suis, voyez comme je désire que vous me preniez...
Procuste retira sa main visqueuse et l'écrasa sur le joli visage, puis l'essuya dans les flots de cheveux dorés qui dégoulinaient jusqu'aux épaules de La Belle...
- Salope !, lança-t-il amusé, ainsi tu as envie que je te baise... tu désires ma queue, ma virilité ?
- Oui, oh oui je vous en supplie, Grand Procuste ! (Le brigand éclata de rire)
- Eh bien... désires ! Moi j'ai mon repas à préparer, de la viande à fumer... reste donc là et je verrai plus tard si j'ai envie de toi... En attendant, tu n'as qu'à me regarder...
Et il s'éloigna. Installé tout près de la rivière, le brigand commença à dépecer la biche. Et Hélène restait écartelée, plus offerte et excitée qu'Elle ne l'avait jamais été...
(A suivre…)
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