L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 52)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 52)
L’Odyssée de la Belle Hélène – Troisième épreuve : Les Hécatonchires du Tartare -
Quitter Pégase fut difficile pour la Belle Hélène, tant celui-ci était doux, généreux, aimant, doué de la sagesse et de la poésie ... Mais il ne fallait pas mécontenter son Divin Epoux, le dieu Apollon et donc au plus vite passer à la troisième épreuve. Sur le Mont Pélion, à proximité le tapis volant attendait silencieusement le bon vouloir de la Troyenne… Alors, après une bonne nuit de repos dans les bras et sous la protection ailée de Pégase mais aussi après s’être abondamment sustentée, Hélène ouvrit le dernier rouleau de parchemin afin de découvrir ce que la Divinité exigeait d’elle. Une fois le papyrus déroulé, le texte de l’épreuve semblait moins laconique que les deux précédentes, comportant ainsi plus de précisions :
‘‘Rapporter au roi Locros, la Statuette d’Or du Phallus de Zeus volée et détenue par les Hécatonchires. Se rendre au Tartare où cette statuette est gardée jours et nuits par trois Entités, trois frères, Cottos, Gygès et Briarée, fils d'Ouranos et de Gaïa. Si tu échoues, tu resteras pour l’éternité damnée et prisonnière du Tartare. Précision, ils ont tous les trois un corps d’humain mais chacun six bras, trois têtes et deux verges dressées. Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’
Hélène était effrayée comme tout le monde terrestre et ses humains avaient peur de ce lieu mystique souvent assimilé aux Enfers. En effet, le Tartare situé sous la croûte terrestre est une région volcanique chaude et brumeuse sans végétation, avec des montagnes abruptes, des lacs de soufre ou de poix bouillante. L’endroit est sillonné par des fleuves rouges sombres de laves et aux eaux boueuses, des marécages à l’odeur nauséabonde formant un rempart pour que nulle âme n’échappe à sa peine. La distance du Tartare jusqu’à la surface de la terre est égale à celle qui sépare les cieux de ladite surface. Le Tartare soutient en outre les fondements des terres et des mers. Inaccessible aux humains, seules les âmes des esclaves damnés, monstres en tout genre et Divinités y ont accès. Le Tartare est aussi un gouffre profond que toutes les créatures, jugées monstrueuses ou indésirables par les Dieux de l’Olympe, y sont jetées tels que les Cyclopes et les Hécatonchires précipités par Ouranos puis par Cronos ainsi que les Titans vaincus par Zeus… La Statuette d’Or du Phallus de Zeus a été volée, par un tyrannique Cyclope nommé Ebior, et cachée au Tartare. Il parait évident qu’Apollon, en donnant cette épreuve à la Belle Hélène, veut récupérer ladite Statuette pour la restituer au Dieu des Dieux, Zeus ! …
C’est donc avec une logique appréhension, presque une peur naturelle, qu’Hélène bien assise sur le tapis volant en prenant son courage à deux mains, s’exclama :
- Le Tartare
Cette fois-ci le tapis volant ne s’élança pas dans les airs comme les fois précédentes. Il se mit à tournoyer sur lui-même d’abord doucement pour prendre ensuite une vitesse de rotation vertigineuse. Hélène ne put rester longtemps éveillée tellement le tapis tournait trop vite, ce qui la fit s’évanouir… Quand elle se réveilla, sa première sensation fut celle d’une température ambiante fortement élevée, supportable mais élevée. Elle se trouvait toujours sur le tapis qui s’était stabilisé sur un plateau tout en haut d’une montagne de couleur rougeâtre. Le Tartare était d’un panorama ressemblant fort à une planète de lave, fait de fleuves, coulées et cascades de magma dévalant les pentes des montagnes, s’écoulant dans les vallées. Le ciel d’encre rouge sombre, compact était en effet très encombré d’un épais brouillard rougeâtre-noir. Un milieu à l’évidence hostile à l’homme… Rapporter une Divine Statuette ! Facile à dire ! Mais par quoi commencer ? Ou aller dans ce décor proche de l’enfer ? Faudra-t-il affronter ces trois bizarreries de la Nature que sont les trois frères Hécatonchires ? Et que voulait dire Apollon avec sa dernière phrase ? : ‘‘Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’ Trop de questions torturaient l’esprit de la Belle Hélène.
A l’instar de la précédente épreuve, Hélène n’eut pas à chercher longtemps où se rendre car une soudaine situation l’interpella. La Troyenne entendit des bruits sourds venant directement sous ses pieds. On aurait dit des bruits résonnants comme si on frappait des métaux sur des enclumes. Regardant autour d’elle, la Belle découvrit à une cinquantaine de mètres, des petits monticules qui ressemblaient à des puits d’aération. Arrivée devant l’un d’eux, Hélène plongea son regard afin d’y évaluer la profondeur. L’obscurité ne lui permit pas d’estimer le fond. Alors, elle prit une pierre et la lança dans le puit. La pierre dans sa chute, fit comprendre à Hélène que le gouffre devait faire plusieurs centaines de mètres de profondeur environ. Scrutant le pourtour du puit, elle s’aperçut qu’une échelle de corde était accrochée afin descendre dans le puit-gouffre. Courageusement, Hélène entreprit alors une longue descente, utilisant cette échelle qui lui paraissait solide d’après les cordes épaisses qui la composaient.
La descente fut lente, laborieuse, pénible et longue. Echelon par échelon et dans l’obscurité quasi totale, Hélène se rapprochait de plus en plus du fond du puit quand enfin qu’elle put en distinguer le sol rocheux, comme si une lumière l’éclairait là-bas au loin dans les profondeurs encore vertigineuses. Quand elle y accéda après multiples efforts, elle comprit que la luminosité des lieux était causée par des parois rocheuses constituées de cristaux d’un dégradé clair rouge-orangé-jaune et offrant ainsi une lumière naturelle. Une douce température régnait au fond de cette galerie donnant sur un long tunnel souterrain qui s’offrit à son regard qu’elle emprunta silencieusement tout en restant sur ses gardes… Elle n’avait pas fait cent mètres, après un tournant en forme de coude, qu’elle découvrit une très grande ouverture naturelle surplombant une vue imprenable laissant apparaître une très large grotte en forme de vallée souterraine profonde sur sa longueur et où la vie grouillait ! En effet, il devait y avoir des milliers d’esclaves damnés positionnés en cercle, complétement dénudés et prosternés en levrette avec leur cul relevé.
Ils étaient alignés en de très nombreux rangs circulaires formant ainsi un immense cercle où en son centre, trônait un rocher de lave solidifié formant sur son point le plus haut, un petit plateau sur lequel Hélène aperçut d’emblée la fameuse Statuette d’Or du Phallus de Zeus ! Celle-ci était sur un piédestal et elle devait mesurer une cinquantaine de centimètre. La Divine verge dressée toute en Or massif était magnifiquement reproduite et montée sur des couilles sculptées aux veines saillantes avec un réaliste impressionnant. Les esclaves prosternés tout autour du rocher de lave, visage au sol, étaient en adoration devant ladite et Sacrée Statuette. Entre les rangs des esclaves, il y avait des larges espaces qui permettaient de passer derrière chacun d’eux. Il y avait des hommes dans ces espaces, une bonne centaine qui enculaient ci-et-là des esclaves à leur convenance et passaient d’un esclave à un autre … D’une femelle à un mâle … d’un mâle à une femelle... Ils n’avaient qu’à prendre, qu’à posséder bon nombre de culs exhibés et chattes exposées à leur regard et semblaient ne jamais éjaculer. Ce qui frappa la Belle Hélène, c’est que parmi ces hommes, il y en avait trois qui se différenciait physiquement des autres car pour chacun d’eux, trois paires de bras de chaque côté de leur torse faisant bouger six mains baladeuses sur les corps des esclaves. Plus incroyable encore, ils avaient trois têtes chacun issues de trois cous portés par un même tronc humain. Mais aussi deux verges dressées saillirent de la base de leur bas-ventre montées sur deux énormes paires de couilles. Hélène comprit vite qu’il s’agissait, à l’évidence, des trois frères Hécatonchires cités sur le rouleau du parchemin...
La Belle Hélène, à la vue de la Statuette, ne pensait qu’à son épreuve imposée par Apollon. Mais comment accéder jusqu’au piédestal ? Comment emporter une bien lourde Statuette tout en or massif de cinquante centimètres de haut et donc qui devait vraiment avoir son lourd pesant d’or ! Et le tout sans se faire voir, sans se mettre en danger ? … Elle n’eut pas longtemps à réfléchir car un bruit, venant de derrière elle, la fit se retourner rapidement. Elle fut surprise de se trouver face à cinq impressionnants gardes armés de lances et de haches. Ces gardes étaient des Minotaures, des monstres fabuleux hauts de plus de deux mètres et au corps d'homme et à tête de taureau, ils étaient donc mi-homme et mi-taureau. Ils menacèrent Hélène avec leurs armes affutées et sans dire un seul mot, par des gestes pressants, ils firent comprendre à la Troyenne d’avancer afin d’emprunter la pente douce menant droit jusqu’à la vallée des esclaves. L’arrivée de la Belle escortée par les farouches Minotaures attira rapidement l’attention des trois frères Hécatonchires qui s’étaient retournés à l’approche d’Hélène. Ils stoppèrent de suite leur ébats sexuels pour regarder, de leur six yeux chacun, avec gourmandise ce que leurs gardes leurs apportaient ! On aurait pu penser qu’ils n’étaient pas dotés de la parole malgré qu’ils avaient chacun trois longues langues ! Aucun ne prononça un seul mot à l’instar des Minotaures, mais leur réaction fut rapide. En effet, ils s’avançaient déjà avec une avidité perverse évidente, un appétit sexuel exprimé par leurs six grands yeux ronds dévoreurs et leurs six bras tendus en avant comme pour vite attraper un cadeau qu’on leur aurait apporté ! Ils foncèrent donc sur la Belle Hélène comme des prédateurs sur leur proie. Elle fut très vite empoignée par les très nombreuses mains des trois Hécatonchires, Cottos, Gygès et Briarée. Dans leur empressement avide à consommer, à posséder cette petite humaine qu’on leur apportait, ils occultaient les autres esclaves et de leurs pieds, ils en bousculèrent sans ménagement quelques-uns pour forcer au plus vite un passage et emmener prestement la Belle au centre du grand cercle, au pied de la Statuette d’or afin de se mettre en spectacle dans des ébats qui s’annonçaient fort torrides...
Six mains par frère soit dix-huit au total ne tardèrent pas à se balader vicieusement sur la peau nue de la Belle et de nombreux doigts exploraient déjà en détails le corps de la jeune femme, s'immisçant partout, serrant, caressant, masturbant sans ménagement. Des mains malaxaient ses seins, ses tétons, ses fesses... Hélène qui avait d'abord tenté un utopique échappatoire, succombait très vite à ces lubriques palpations par une excitation spontanée face aux pouvoirs pervers des trois Hécatonchires, qui s'insinuaient au plus profond de son corps, envahissaient son sexe, titillaient son cul, se jouaient de ses seins et de ses sens. Hélène gémissait, ses lèvres tremblaient, elle jouissait déjà sans retenue des attouchements et pénétrations diverses que lui imposait sans répit les trois frères. Avec ses deux verges dressées, un des trois frères la besogna longtemps avec une de ses queue dans le cul et en même temps une dans la chatte, tandis qu’un autre Hécatonchire se faisait sucer ses quatre couilles et ses deux verges, alors que le dernier fessait avec force la croupe de la Belle Hélène. Et tour à tour, ils changèrent afin que tous les trois puissent abondamment baiser cette esclave fraîchement arrivée… Mais Hélène avait appris à gérer ce genre de situation et elle se livrait maintenant corps et âme aux Hécatonchires qui la pénétraient, la fouillaient, la pressaient, la possédaient sans aucune retenue ! La Troyenne se tortillait, certes, mais non plus pour échapper aux nombreux doigts et mains qui la contraignaient. Non, elle s'abandonnait au plaisir que lui procurait les énormes verges, aux pénétrations profondes et excitantes des membres longs et raides...
Elle criait, mais de plaisir, se cambrait tandis que les queues entraient en elle, se collaient à elle, des mains écartaient toujours plus ses cuisses. Parfois elle était prise par deux verges à la fois dans le même orifice, alors que des doigts inquisiteurs pressaient ses seins, pinçant ses tétons dressés... Parfais elle avait trois langues du même Hécatonchire sur sa poitrine. Pour les milliers d’esclaves en position de levrette tout autour, c'était sous leurs yeux un hallucinant spectacle que de contempler cette sarabande de corps, l'un celui d’une femelle humaine au corps magnifique, les trois autres sans beauté et rustres, agitant frénétiquement leurs bras, doigts, verges comme autant de membres, d'instruments de plaisir et de jouissance pour l'esclave femelle qui se donnait à eux comme en extase ! Et cette baise forcenée, sans interruption dura, dura et dura encore ! Peut-être une journée entière ! Les trois frères Cottos, Gygès et Briarée ne fatiguaient point ! Au contraire, plus ils besognaient leur proie, plus ils s’activaient ne montrant aucun signe de fatigue. Quant à Hélène, on ne pouvait plus compter ses orgasmes, beaucoup trop nombreux ! Mais il faut bien avouer qu’au bout des nombreuses heures à se faire baiser, enculer sans ménagement qu’elle commençait à montrer des signes de fatigue…
Alors qu’elle était prise virilement en levrette dans ses deux orifices simultanément par les deux verges de Briarée, et à force d’être besognée à grands coups de reins à en être poussée sur le devant, elle se trouva à quelques centimètres de la Statuette en or. Son visage qui suivait les mouvements de pénétration du Hécatonchire, frôlait à cadence régulière ladite Statuette sacrée. Hélène en profita pour admirer ce magnifique Phallus et ses couilles en or massif... Par envie vicieuse, rien que de penser qu’il s’agissait du Phallus sculpté du Grand Zeus lui-même, elle ne put s’empêcher de tirer sa langue pour jouer à lécher les couilles en or… Et à ce moment-là, elle se souvint et comprit ce qu’avait voulu dire Apollon dans son message sur le rouleau de papyrus : ‘‘Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’ En effet la magie opéra, sans qu’elle ait chercher à la provoquer mais qu’elle a tout de même provoqué sans le savoir, en léchant les couilles de la Statuette, sans se rappeler des propos d’Apollon. Cette magie provoqua un tourbillon rapide, un tournis sans précédent… Dans ce subit et très rapide vertige, tout devenait flou sauf la Statuette sacrée. L’environnement autour d’elle s’estompa puis disparu, les esclaves, la vallée, les trois frères, plus rien de visible… Ce tourbillon vertigineux dura une bonne trentaine de secondes quand elle se retrouva sur son tapis volant dans le ciel terrestre juste au-dessus du Mont Pélion … La Statuette d’Or du Phallus de Zeus à ses côtés… En contre-bas Pégase la tête haute, était perché au sommet du Mont Pélion et la regardait et lui souriait déjà … Devait-il être inquiet du sort de la Belle Hélène car il avait vraiment l’air soulagé …
(A suivre …)
Quitter Pégase fut difficile pour la Belle Hélène, tant celui-ci était doux, généreux, aimant, doué de la sagesse et de la poésie ... Mais il ne fallait pas mécontenter son Divin Epoux, le dieu Apollon et donc au plus vite passer à la troisième épreuve. Sur le Mont Pélion, à proximité le tapis volant attendait silencieusement le bon vouloir de la Troyenne… Alors, après une bonne nuit de repos dans les bras et sous la protection ailée de Pégase mais aussi après s’être abondamment sustentée, Hélène ouvrit le dernier rouleau de parchemin afin de découvrir ce que la Divinité exigeait d’elle. Une fois le papyrus déroulé, le texte de l’épreuve semblait moins laconique que les deux précédentes, comportant ainsi plus de précisions :
‘‘Rapporter au roi Locros, la Statuette d’Or du Phallus de Zeus volée et détenue par les Hécatonchires. Se rendre au Tartare où cette statuette est gardée jours et nuits par trois Entités, trois frères, Cottos, Gygès et Briarée, fils d'Ouranos et de Gaïa. Si tu échoues, tu resteras pour l’éternité damnée et prisonnière du Tartare. Précision, ils ont tous les trois un corps d’humain mais chacun six bras, trois têtes et deux verges dressées. Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’
Hélène était effrayée comme tout le monde terrestre et ses humains avaient peur de ce lieu mystique souvent assimilé aux Enfers. En effet, le Tartare situé sous la croûte terrestre est une région volcanique chaude et brumeuse sans végétation, avec des montagnes abruptes, des lacs de soufre ou de poix bouillante. L’endroit est sillonné par des fleuves rouges sombres de laves et aux eaux boueuses, des marécages à l’odeur nauséabonde formant un rempart pour que nulle âme n’échappe à sa peine. La distance du Tartare jusqu’à la surface de la terre est égale à celle qui sépare les cieux de ladite surface. Le Tartare soutient en outre les fondements des terres et des mers. Inaccessible aux humains, seules les âmes des esclaves damnés, monstres en tout genre et Divinités y ont accès. Le Tartare est aussi un gouffre profond que toutes les créatures, jugées monstrueuses ou indésirables par les Dieux de l’Olympe, y sont jetées tels que les Cyclopes et les Hécatonchires précipités par Ouranos puis par Cronos ainsi que les Titans vaincus par Zeus… La Statuette d’Or du Phallus de Zeus a été volée, par un tyrannique Cyclope nommé Ebior, et cachée au Tartare. Il parait évident qu’Apollon, en donnant cette épreuve à la Belle Hélène, veut récupérer ladite Statuette pour la restituer au Dieu des Dieux, Zeus ! …
C’est donc avec une logique appréhension, presque une peur naturelle, qu’Hélène bien assise sur le tapis volant en prenant son courage à deux mains, s’exclama :
- Le Tartare
Cette fois-ci le tapis volant ne s’élança pas dans les airs comme les fois précédentes. Il se mit à tournoyer sur lui-même d’abord doucement pour prendre ensuite une vitesse de rotation vertigineuse. Hélène ne put rester longtemps éveillée tellement le tapis tournait trop vite, ce qui la fit s’évanouir… Quand elle se réveilla, sa première sensation fut celle d’une température ambiante fortement élevée, supportable mais élevée. Elle se trouvait toujours sur le tapis qui s’était stabilisé sur un plateau tout en haut d’une montagne de couleur rougeâtre. Le Tartare était d’un panorama ressemblant fort à une planète de lave, fait de fleuves, coulées et cascades de magma dévalant les pentes des montagnes, s’écoulant dans les vallées. Le ciel d’encre rouge sombre, compact était en effet très encombré d’un épais brouillard rougeâtre-noir. Un milieu à l’évidence hostile à l’homme… Rapporter une Divine Statuette ! Facile à dire ! Mais par quoi commencer ? Ou aller dans ce décor proche de l’enfer ? Faudra-t-il affronter ces trois bizarreries de la Nature que sont les trois frères Hécatonchires ? Et que voulait dire Apollon avec sa dernière phrase ? : ‘‘Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’ Trop de questions torturaient l’esprit de la Belle Hélène.
A l’instar de la précédente épreuve, Hélène n’eut pas à chercher longtemps où se rendre car une soudaine situation l’interpella. La Troyenne entendit des bruits sourds venant directement sous ses pieds. On aurait dit des bruits résonnants comme si on frappait des métaux sur des enclumes. Regardant autour d’elle, la Belle découvrit à une cinquantaine de mètres, des petits monticules qui ressemblaient à des puits d’aération. Arrivée devant l’un d’eux, Hélène plongea son regard afin d’y évaluer la profondeur. L’obscurité ne lui permit pas d’estimer le fond. Alors, elle prit une pierre et la lança dans le puit. La pierre dans sa chute, fit comprendre à Hélène que le gouffre devait faire plusieurs centaines de mètres de profondeur environ. Scrutant le pourtour du puit, elle s’aperçut qu’une échelle de corde était accrochée afin descendre dans le puit-gouffre. Courageusement, Hélène entreprit alors une longue descente, utilisant cette échelle qui lui paraissait solide d’après les cordes épaisses qui la composaient.
La descente fut lente, laborieuse, pénible et longue. Echelon par échelon et dans l’obscurité quasi totale, Hélène se rapprochait de plus en plus du fond du puit quand enfin qu’elle put en distinguer le sol rocheux, comme si une lumière l’éclairait là-bas au loin dans les profondeurs encore vertigineuses. Quand elle y accéda après multiples efforts, elle comprit que la luminosité des lieux était causée par des parois rocheuses constituées de cristaux d’un dégradé clair rouge-orangé-jaune et offrant ainsi une lumière naturelle. Une douce température régnait au fond de cette galerie donnant sur un long tunnel souterrain qui s’offrit à son regard qu’elle emprunta silencieusement tout en restant sur ses gardes… Elle n’avait pas fait cent mètres, après un tournant en forme de coude, qu’elle découvrit une très grande ouverture naturelle surplombant une vue imprenable laissant apparaître une très large grotte en forme de vallée souterraine profonde sur sa longueur et où la vie grouillait ! En effet, il devait y avoir des milliers d’esclaves damnés positionnés en cercle, complétement dénudés et prosternés en levrette avec leur cul relevé.
Ils étaient alignés en de très nombreux rangs circulaires formant ainsi un immense cercle où en son centre, trônait un rocher de lave solidifié formant sur son point le plus haut, un petit plateau sur lequel Hélène aperçut d’emblée la fameuse Statuette d’Or du Phallus de Zeus ! Celle-ci était sur un piédestal et elle devait mesurer une cinquantaine de centimètre. La Divine verge dressée toute en Or massif était magnifiquement reproduite et montée sur des couilles sculptées aux veines saillantes avec un réaliste impressionnant. Les esclaves prosternés tout autour du rocher de lave, visage au sol, étaient en adoration devant ladite et Sacrée Statuette. Entre les rangs des esclaves, il y avait des larges espaces qui permettaient de passer derrière chacun d’eux. Il y avait des hommes dans ces espaces, une bonne centaine qui enculaient ci-et-là des esclaves à leur convenance et passaient d’un esclave à un autre … D’une femelle à un mâle … d’un mâle à une femelle... Ils n’avaient qu’à prendre, qu’à posséder bon nombre de culs exhibés et chattes exposées à leur regard et semblaient ne jamais éjaculer. Ce qui frappa la Belle Hélène, c’est que parmi ces hommes, il y en avait trois qui se différenciait physiquement des autres car pour chacun d’eux, trois paires de bras de chaque côté de leur torse faisant bouger six mains baladeuses sur les corps des esclaves. Plus incroyable encore, ils avaient trois têtes chacun issues de trois cous portés par un même tronc humain. Mais aussi deux verges dressées saillirent de la base de leur bas-ventre montées sur deux énormes paires de couilles. Hélène comprit vite qu’il s’agissait, à l’évidence, des trois frères Hécatonchires cités sur le rouleau du parchemin...
La Belle Hélène, à la vue de la Statuette, ne pensait qu’à son épreuve imposée par Apollon. Mais comment accéder jusqu’au piédestal ? Comment emporter une bien lourde Statuette tout en or massif de cinquante centimètres de haut et donc qui devait vraiment avoir son lourd pesant d’or ! Et le tout sans se faire voir, sans se mettre en danger ? … Elle n’eut pas longtemps à réfléchir car un bruit, venant de derrière elle, la fit se retourner rapidement. Elle fut surprise de se trouver face à cinq impressionnants gardes armés de lances et de haches. Ces gardes étaient des Minotaures, des monstres fabuleux hauts de plus de deux mètres et au corps d'homme et à tête de taureau, ils étaient donc mi-homme et mi-taureau. Ils menacèrent Hélène avec leurs armes affutées et sans dire un seul mot, par des gestes pressants, ils firent comprendre à la Troyenne d’avancer afin d’emprunter la pente douce menant droit jusqu’à la vallée des esclaves. L’arrivée de la Belle escortée par les farouches Minotaures attira rapidement l’attention des trois frères Hécatonchires qui s’étaient retournés à l’approche d’Hélène. Ils stoppèrent de suite leur ébats sexuels pour regarder, de leur six yeux chacun, avec gourmandise ce que leurs gardes leurs apportaient ! On aurait pu penser qu’ils n’étaient pas dotés de la parole malgré qu’ils avaient chacun trois longues langues ! Aucun ne prononça un seul mot à l’instar des Minotaures, mais leur réaction fut rapide. En effet, ils s’avançaient déjà avec une avidité perverse évidente, un appétit sexuel exprimé par leurs six grands yeux ronds dévoreurs et leurs six bras tendus en avant comme pour vite attraper un cadeau qu’on leur aurait apporté ! Ils foncèrent donc sur la Belle Hélène comme des prédateurs sur leur proie. Elle fut très vite empoignée par les très nombreuses mains des trois Hécatonchires, Cottos, Gygès et Briarée. Dans leur empressement avide à consommer, à posséder cette petite humaine qu’on leur apportait, ils occultaient les autres esclaves et de leurs pieds, ils en bousculèrent sans ménagement quelques-uns pour forcer au plus vite un passage et emmener prestement la Belle au centre du grand cercle, au pied de la Statuette d’or afin de se mettre en spectacle dans des ébats qui s’annonçaient fort torrides...
Six mains par frère soit dix-huit au total ne tardèrent pas à se balader vicieusement sur la peau nue de la Belle et de nombreux doigts exploraient déjà en détails le corps de la jeune femme, s'immisçant partout, serrant, caressant, masturbant sans ménagement. Des mains malaxaient ses seins, ses tétons, ses fesses... Hélène qui avait d'abord tenté un utopique échappatoire, succombait très vite à ces lubriques palpations par une excitation spontanée face aux pouvoirs pervers des trois Hécatonchires, qui s'insinuaient au plus profond de son corps, envahissaient son sexe, titillaient son cul, se jouaient de ses seins et de ses sens. Hélène gémissait, ses lèvres tremblaient, elle jouissait déjà sans retenue des attouchements et pénétrations diverses que lui imposait sans répit les trois frères. Avec ses deux verges dressées, un des trois frères la besogna longtemps avec une de ses queue dans le cul et en même temps une dans la chatte, tandis qu’un autre Hécatonchire se faisait sucer ses quatre couilles et ses deux verges, alors que le dernier fessait avec force la croupe de la Belle Hélène. Et tour à tour, ils changèrent afin que tous les trois puissent abondamment baiser cette esclave fraîchement arrivée… Mais Hélène avait appris à gérer ce genre de situation et elle se livrait maintenant corps et âme aux Hécatonchires qui la pénétraient, la fouillaient, la pressaient, la possédaient sans aucune retenue ! La Troyenne se tortillait, certes, mais non plus pour échapper aux nombreux doigts et mains qui la contraignaient. Non, elle s'abandonnait au plaisir que lui procurait les énormes verges, aux pénétrations profondes et excitantes des membres longs et raides...
Elle criait, mais de plaisir, se cambrait tandis que les queues entraient en elle, se collaient à elle, des mains écartaient toujours plus ses cuisses. Parfois elle était prise par deux verges à la fois dans le même orifice, alors que des doigts inquisiteurs pressaient ses seins, pinçant ses tétons dressés... Parfais elle avait trois langues du même Hécatonchire sur sa poitrine. Pour les milliers d’esclaves en position de levrette tout autour, c'était sous leurs yeux un hallucinant spectacle que de contempler cette sarabande de corps, l'un celui d’une femelle humaine au corps magnifique, les trois autres sans beauté et rustres, agitant frénétiquement leurs bras, doigts, verges comme autant de membres, d'instruments de plaisir et de jouissance pour l'esclave femelle qui se donnait à eux comme en extase ! Et cette baise forcenée, sans interruption dura, dura et dura encore ! Peut-être une journée entière ! Les trois frères Cottos, Gygès et Briarée ne fatiguaient point ! Au contraire, plus ils besognaient leur proie, plus ils s’activaient ne montrant aucun signe de fatigue. Quant à Hélène, on ne pouvait plus compter ses orgasmes, beaucoup trop nombreux ! Mais il faut bien avouer qu’au bout des nombreuses heures à se faire baiser, enculer sans ménagement qu’elle commençait à montrer des signes de fatigue…
Alors qu’elle était prise virilement en levrette dans ses deux orifices simultanément par les deux verges de Briarée, et à force d’être besognée à grands coups de reins à en être poussée sur le devant, elle se trouva à quelques centimètres de la Statuette en or. Son visage qui suivait les mouvements de pénétration du Hécatonchire, frôlait à cadence régulière ladite Statuette sacrée. Hélène en profita pour admirer ce magnifique Phallus et ses couilles en or massif... Par envie vicieuse, rien que de penser qu’il s’agissait du Phallus sculpté du Grand Zeus lui-même, elle ne put s’empêcher de tirer sa langue pour jouer à lécher les couilles en or… Et à ce moment-là, elle se souvint et comprit ce qu’avait voulu dire Apollon dans son message sur le rouleau de papyrus : ‘‘Et si tu as la chance de pouvoir lécher le Phallus de Zeus, tu en comprendras sa magie …’’ En effet la magie opéra, sans qu’elle ait chercher à la provoquer mais qu’elle a tout de même provoqué sans le savoir, en léchant les couilles de la Statuette, sans se rappeler des propos d’Apollon. Cette magie provoqua un tourbillon rapide, un tournis sans précédent… Dans ce subit et très rapide vertige, tout devenait flou sauf la Statuette sacrée. L’environnement autour d’elle s’estompa puis disparu, les esclaves, la vallée, les trois frères, plus rien de visible… Ce tourbillon vertigineux dura une bonne trentaine de secondes quand elle se retrouva sur son tapis volant dans le ciel terrestre juste au-dessus du Mont Pélion … La Statuette d’Or du Phallus de Zeus à ses côtés… En contre-bas Pégase la tête haute, était perché au sommet du Mont Pélion et la regardait et lui souriait déjà … Devait-il être inquiet du sort de la Belle Hélène car il avait vraiment l’air soulagé …
(A suivre …)
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