L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 9) -

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 9) - Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 9) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Dans le Verger des Dieux -

Hélène, menant Clytia sans ménagement, avait abandonné Marsyas pendu par les poignets à son arbre. La Belle ne savait pas ce qu'elle allait faire. Certes, la Belle Hélène se savait protégée par la bienveillance d'Apollon, mais elle ignorait encore qu’elle était aussi la cible de la colère d'Athéna et d'autres Déesses, offusquées que sa beauté ait été jugée sans égale, même jusqu'à l'Olympe ! C'est à cause de ces Divines jalousies qu'elle était devenue êta, l'esclave sans mémoire qui avait été livrée aux êtres les plus lubriques et pervers du monde grec ! Mais les outrages nombreux qu'elle avait subis sous cette forme servile lui avaient aussi beaucoup appris. Elle était devenue experte dans toutes les formes d'activités sexuelles, étant même élue parmi tant d'autres pour être l'épouse d'Apollon ! (voir les Douze servitudes d’Hélène). La prudence restait cependant de mise. Elle ne mettrait pas à exécution sa menace de laisser Marsyas trop longtemps entravé... Le lendemain, elle irait le libérer afin qu'il puisse poursuivre sa mission : Entretenir le Verger magique qui alimentait l'Olympe en fruits. Il avait été condamné à ce rôle secondaire après avoir cru pouvoir défier, justement Apollon. Vaincu, humilié, on lui avait confié cette vile tâche afin de le punir de sa présomption. Demain, elle le libérerait, mais auparavant elle avait bien l'intention d'obtenir de lui quelques avantages... Mais, demain y suffirait…

Pour l'instant, elle regagnait son campement et Clytia la suivait en respectant la distance qu'imposait entre elles la Position Supérieure d’Hélène et le statut servile de la jeune et jolie esclave au crâne rasé. Clytia savait qu'une véritable menace pesait au-dessus de son crâne lisse... Même si elle avait été envoûtée par la double flûte (l'aulos) magique du Satyre, elle s'était livrée sans y être autorisée par sa Maîtresse à une danse folle et tellement impudique ! Elle s'était exhibée, offerte, s'était caressée sans vergogne tandis que La Divine Maîtresse de sa vile destinée luttait pour leur sécurité. Hélène ne disait rien, ne lui accordait même pas un regard. Et l'esclave suivait humblement, pressant le pas pour rester à portée de main, de coups, mais toujours en retrait par rapport à l'incomparable Hélène. Enfin, parvenue à proximité de la rivière qui longeait le Divin Verger, Hélène stoppa et se retourna brusquement. Clytia s'immobilisa à son tour et tomba à genoux, se prosternant aux pieds d’Hélène... Le pied de Belle se leva pour venir se poser sur la nuque rasée, appuyant régulièrement, afin d'enfoncer lentement le visage de l'esclave dans la terre humide. Puis, La Maîtresse, méprisante, poussa du bout du pied Son esclave qui bascula sur le côté... Hélène vint au-dessus d'elle et posa son pied sur le visage souillé de terre :

- Tu n'es qu'une chienne en chaleur... Seule Ma volonté peut t'accorder l'accès au plaisir... Hors de Ma Volonté, tu n'as nulle excuse pour te comporter comme la pornaï impudique que j'ai vue se frotter si vulgairement... Chienne !

Allongée sur le sol, le pied de sa Maîtresse écrasant son visage, Clytia demeurait immobile, raidie et comme paralysée par la honte et la crainte. Hélène recula :

- Debout !, ordonna-t-Elle

Clytia, piteusement se mit debout, tête baissée, joignant ses mains dans le dos... Hélène s'approcha et la força à redresser la tête afin de plonger son Regard aussi lumineux qu'intense dans les jolis yeux bleus délavés de la jeune femme servile. Hélène cracha sur ce charmant visage souillé de terre. Elle appréciait la profonde humilité qui émanait de cette créature qui Lui appartenait et qui avait librement fait le choix de renoncer à toute autonomie pour devenir à jamais son esclave, abandonnant pour cela le statut pesant mais tellement avantageux de favorite du Roi de Sparte. Hélène tournait autour de l'esclave qui demeurait immobile, légèrement tremblante dans la douce fraîcheur du soir... La Belle prenait plaisir à contempler ce corps aux formes idéales, ces hanches bien formées, ces cuisses lisses et fermes, cette croupe ronde, cette taille fine et ces seins lourds mais fermes également et aux tétons saillants. Clytia lui appartenait désormais et cela pour toujours. La jeune et belle aristocrate avait tout quitté, son Roi, sa famille, sa cité, abandonné honneurs, fierté et dignité, s'était dépouillée de sa liberté pour La suivre, et vouer sa vie au service et aux sévices de La Belle Hélène qui l'avait fascinée, capturée et mise en définitive captivité. La main d’Hélène se posa sur les fesses de Clytia, pas un geste tendre, ni même érotique, simplement un geste de Propriétaire... mais Hélène ne pouvait se cacher que les impudeurs de son esclave l'avaient excitée... Elle s'approcha et colla son corps à celui de Clytia, qui frémit... Hélène sentit l'onde de désir qui traversait le corps de la jeune femme... Elle passa une main sur le ventre de l'esclave, dans une longue caresse qui se poursuivit plus bas... plus intimement... les doigts de La Maîtresse s'immisçant lentement mais inflexiblement entre les chairs humides de l'esclave qui tremblait encore, non plus de crainte ou de froid, mais du plus puissant désir ! Hélène avait saisi les seins de l'esclave et les pétrissait avec passion, pinçant un téton avec rudesse, elle ramena son autre main dans l'antre humide de l'esclave, ce triangle de chair frémissante entre les cuisses de l'esclave qui eut un frisson…

Clytia n'était qu'une chose ondulante au gré des caresses de La Maîtresse qui ne négligeait aucune parcelle de ce corps offert à Son Désir. Sans cesser de peloter ce corps palpitant, Hélène le poussa jusqu'à un arbre et l'appuya contre le tronc, pouvant ainsi tout à loisir explorer la créature qui lui ouvrait la moindre de ses voies... Les doigts d’Hélène glissaient, investissaient, exploraient... nul orifice qui échappât à ces investigations aussi intimes que poussées. Déjà brûlante de désir après avoir été envoûtée par la flûte du Satyre, Clytia s'enflammait maintenant sans plus aucune retenue sous les attouchements tendres ou appuyés de sa Maîtresse. Les fouilles intimes de Hélène étaient si intenses, si pressantes ! Clytia mouillait abondamment, inondant la main de La Belle, tandis que son cul malléable s'ouvrait sous la pression des doigts longs et fins... Clytia gémissait doucement, sa poitrine se soulevant au rythme de son souffle saccadé... L'écorce rigide et râpeuse du tronc marquait cruellement la peau tendre et fine de ses seins, de son ventre, tandis qu’Hélène poussait sans ménagement dans son dos, poussant ses mains au-delà de tout retranchement. Lentement Clytia glissait le long du tronc, jusqu'à finir à genoux... Hélène, plaçant ses mains de chaque côté de son visage, lui fit comprendre qu'elle devait maintenant se tourner pour être à genoux, face à sa Maîtresse... Celle-ci ne tarda pas à relever sa tunique déjà fort courte et pressa ses mains sur la nuque lisse de l'esclave, la forçant à enfouir son visage entre les cuisses... Clytia se laissait diriger avec délices, désireuse de combler l'attente de La Belle Hélène. Pointant sa petite langue aussi humide que gourmande, l'esclave commença à goûter aux sucs intimes d’Hélène... Elle la léchait avec passion, dans un abandon total, inondée de désir comme du plaisir qui s'écoulait sur son visage... Se cambrant et restant ainsi un long moment savourant tous les plaisirs d’excitation quand soudain, Hélène jouissait de cette douce caresse buccale, toute simple, si naturelle, offrande passionnée d'une esclave qui n'attendait rien d'autre, n'aspirait à rien sinon au plaisir de La Plus Divine des Beautés humaines…

Hélène guida Clytia un peu plus loin sur le sol et la fit s'allonger, venant s'asseoir au-dessus d'elle, chevauchant son visage. Hélène ne se lassait pas du plaisir qu'elle prenait ainsi, le visage de son esclave entouré de ses cuisses, enfoui dans son intimité chaude et humide... Elle frotta longuement Son sexe contre ce visage, cette bouche de l’esclave, puis elle jouit une nouvelle fois et demeura un long moment ainsi, immobile, assise sur le visage de Clytia dont le corps gisait derrière elle, les jambes tremblantes, le sexe inondé mais inassouvi... Immobile, Hélène releva la tête et regarda la nuit, ce ciel noir parsemé d'étoiles brillantes, elle laissait la brise légère envelopper son corps nu maintenant... Elle humait le parfum de fruits et de sexe mêlés, repue et comblée en cet instant, loin de toutes les manigances des hommes et des Dieux… Des Dieux ?... Et pourtant, il lui semblait qu’au zénith de ce sombre firmament de cette douce nuit, juste au-dessus de sa tête, une magnifique étoile brillait plus que les autres, une étoile qui lui paraissait plus grosse, plus proche, plus présente et c’est à ce moment-là, qu’elle ressentit un puissant sentiment d’être observée, surveillée mais aussi protégée par cet astre lumineux qui lui laissait cette nette impression qu’elle était née (et en présence de) sous la bonne Etoile. Cette Etoile si lumineuse n’était-ce pas l’Incarnation et la Présence Divine du Dieu Apollon ? Pour la Belle Hélène, aucun doute là-dessus ! Et c’est ainsi, apaisée, sereine sur sa propre destiné, se sentant plus que jamais rassurée, qu’elle baissa la tête en guise d’humilité sous le regard de la Divinité Etoilée…

Sous elle, l'esclave ne bougeait pas... le visage inondé du plaisir de sa Maîtresse, Clytia s'abreuvait à cette inépuisable source. Elle ne sentait pas la griffure des cailloux dans son dos, mais entre ses cuisses vibrait une onde de désir ininterrompue, tant son corps avait été sollicité, excité, manipulé tout au long de cette journée sans qu'elle n’eut jamais pu assouvir ce qui enflammait sa plus profonde intimité. Hélène sentait aux infimes vibrations du corps qu'elle surplombait les désirs qui habitaient son esclave... Elle devinait le feu qui brûlait les entrailles de la jeune femme et n'avait nulle intention de lui permettre de l'assouvir. Bien au contraire ! Lentement, Hélène se redressa, libérant l'esclave de sa pesante étreinte :

- Va te laver ! ordonna-t-elle, et que le spectacle de ta toilette soit agréable aux yeux de ta Maîtresse…

Docilement, Clytia gagna les eaux sombres et calmes de la rivière toute proche et commença de se laver, en s'appliquant à rendre ce moment aussi délicieusement impudique qu'elle le put. Elle ondulait dans l'eau telle une liane de chair, ne négligeant aucune partie de son anatomie dont elle offrait à chaque fois la plus visible des perspectives... Hélène, sur la rive, savourait le spectacle. Clytia mettait du coeur à l'ouvrage, s'appliquant par cette danse aquatique à offrir à La Maîtresse un agréable moment. Toute occupée à ses ébats, Clytia ne remarqua pas que La Belle Maîtresse s'éloignait un instant, allant un peu plus loin, saisir de sa main protégée d'un bout de toile quelques hautes herbes feuillues. Puis elle revint profiter des formes ruisselantes de son esclave. D'un geste, elle lui enjoignit l'ordre de sortir de la rivière pour s'approcher. Lorsqu’elle fut à portée...

- Sèche toi promptement, puis reviens vers moi ordonna-t-elle…

Cet ordre fut fait promptement et Hélène exigea alors que Cklytia se tienne debout, les jambes largement écartées, les mains jointes sur la nuque... le corps parfaitement exposé. Elle révéla alors ce qu'elle était allée cueillir... longues tiges vertes au larges feuilles, Hélène brandissait une épaisse brassée d'orties, avec un sourire sans indulgence :

- Maintenant ta punition ! dit-elle simplement.

Ses mots laconiques fut dits tout en cinglant la poitrine, puis flagellant méthodiquement le corps palpitant de l'esclave, consciente de la nécessité de demeurer immobile malgré la démangeaison et rougeurs qui se faisait rapidement intolérable. Prenant tout son temps, visant sans pitié chaque recoin du corps offert en expiation, Hélène frappait impitoyablement, voyant peu à peu le corps de l'esclave qui rougissait sous l'effet urticant de la plante qu'elle avait choisie. Lorsqu'elle jugea que l'épreuve était suffisamment intolérable, elle cessa et jeta les branches qui s'étaient brisées au fil de la punition. Elle s'approcha de Clytia qui frémissait de tout son corps martyrisé par les démangeaisons qui n'épargnaient aucune parcelle de son corps. La jeune femme soumise avait subi l'épreuve stoïquement, demeurant immobile malgré l'irrépressible besoin de se gratter, de frotter ce corps envahi de douloureuses irritations. Les coups avaient laissé quelques traces qui avaient marqué la peau, mais rien de comparable à la terrible torture du douloureux fourmillement qui parcourait les chairs suppliciées… Hélène s'installa sous un arbre, afin de se sustenter de la plus simple des façons, un peu de pain, des olives et un morceau de viande séchée, contemplant avec une satisfaction cruelle l'esclave immobile dans la position qu'Elle lui avait imposée. Elle contemplait ce corps si plein de charmes, ces formes idéales dont elle avait à jamais le pouvoir d'user et abuser, sans retenue, sans pitié, sans ménagement... Clytia lui appartenait, corps et âme, et quoiqu'elle lui imposa, Hélène savait que la jeune esclave obéirait et accomplirait Sa Volonté. Elle la laissa ainsi un fort long moment, guettant le moindre tressaillement du corps supplicié, qui lui vaudrait un nouveau châtiment. Mais Clytia faisait preuve d'une humble abnégation qui finit par apaiser La Belle Hélène, et Celle-ci finit par lui dire sur un ton qu’on aurait pu croire presque amical…

- Aller, vient par ici, que je te soulage de tes irritations…

Dans son sac, La Maîtresse prit une poignée de menthe fraîche et un demi-oignon. Elle s'approcha de l'esclave et lui tendit la menthe que celle-ci écrasa entre ses mains, en faisant une sorte de pâte verte qu'elle commença à appliquer sur sa peau irritée, puis Hélène utilisa la moitié d'oignon de la même façon, méthodiquement, en lui frottant doucement les parties irritées. La douceur employée par Hélène tranchait avec la portée des coups d’orties de tantôt. Tout en passant le bulbe, elle caressait le corps de son esclave avec sensualité, douceur, allant jusqu’à titiller le bas-ventre de Clytia. Celle-ci réagissait aux douces caresses en des gémissements de plaisirs … Peu à peu, la combinaison de la menthe et de l’oignon fit son effet et l'irritation passait... Le corps de Clytia se délassait... Elle put ensuite se rincer dans la rivière, puis rejoignit Hélène qui déjà s'était allongée. Et les deux Femmes, La Maîtresse et l'esclave s'endormirent enlacées, l’esclave ayant eu le droit de poser sa tête contre la poitrine de sa Maîtresse. Hélène, protectrice, tout en douceur et juste avant de trouver le sommeil essuya sur le visage de Clytia des larmes de reconnaissance, à l'abri des arbres du Verger des Dieux, et avant de tomber dans les bras de morphée...

Au matin, Hélène décréta qu'il était temps de poursuivre leur chemin. Menant la jument par la longe, Clytia suivit sa Maîtresse qui avait une dernière mission à remplir. Elles retrouvèrent Marsyas toujours attaché à son arbre... épuisé, et plutôt désespéré, craignant de devoir payer au prix fort son incapacité à protéger les Fruits sacrés des Dieux mais aussi d’avoir eu affaire à la Belle Hélène, elle-même ! Hélène contempla celui qu'Elle avait vaincu et condamné à l'impuissance. A son approche, le satyre, soumis, baissa la tête. Elle s'approcha un peu plus du prisonnier qui déjà se lamentait, alors elle le gifla :

- Suffit ! Tu peux mériter que je te libère, mais à une condition
- Dites, par pitié, Ô Divine Hélène... dîtes et j'obéirai !
- Je n'en doute pas, car autrement tu devrais affronter la colère de l'Olympe et plus particulièrement celle du Divin Apollon. Tu l'as déjà subie et je doute que tu aies envie de recommencer, ricana Hélène…
- Oui, Ô Divine et Protégée Reine Hélène, répondit craintivement le satyre.

Hélène d'un rapide coup de glaive, rompit la corde qui le tenait attaché à une branche de l'arbre. Les muscles tétanisés par toute une nuit d'entrave, Marsyas s'écroula au sol, aux Pieds d’Hélène

- Eh bien ! Quel manque de vitalité ! Il va t'en falloir pourtant pour accomplir ce que je vais exiger de toi…

Douloureusement, le satyre se redressa, courbant l'échine. Déjà, Clytia que sa Maîtresse avait questionné pour savoir si elle se souvenait d’avoir pris du plaisir sous l’influence du satyre, mais aussi elle l’avait informée de ce qu’elle voulait d’elle, Clytia, donc, était allée s'adosser au rocher sur lequel elle s'était exhibée la veille...

- Voit, dit Hélène, mon esclave m’a dit se souvenir avoir pris du plaisir, qu’elle ne pouvait pas se contrôler, hypnotisée par tes magiques mélodies mais rien ne lui a échappé dans sa mémoire… Regarde, elle est là, offerte, inassouvie, assoiffée encore de plaisirs... Alors, rejoint la et fait la jouir et jouir encore... Si je juge que son plaisir a été satisfaisant, je te libérerai, sinon tu me devras ta vie... Acceptes-tu les termes de ce contrat ?
- Ho, oui, oui j'accepte, Divine Hélène, dit le satyre en tombant à genoux
- Alors va et développe ta plus belle et plus puissante virilité !, ordonna Hélène en lui désignant son esclave d’un doigt dirigeant…

Marsyas alla rejoindre la si jolie Clytia, qui ouvrait déjà ses cuisses avec ferveur, heureuse qu'enfin sa Maîtresse, sa Déesse, permit qu'elle assouvisse le désir qui avait envahi son corps depuis des heures et des heures... Le Satyre, jouant sa vie, ne tarda à bander à la vue de cet entrecuisse si impudiquement exhibé. Il redoubla d’ardeur afin d'exalter le plaisir de l'esclave qui se donnait telle une femelle en chaleur, déhanchant son bassin en de vas et viens qui visiblement étaient un réel appel à l’accouplement. Ainsi l'étreinte entre l'esclave et le satyre dura, dura... La verge, épaisse, longue, était maintenant dressée à son paroxysme, le Faune besogna, en de puissants et vigoureux coups de reins, la femelle esclave. Chaque puissante pénétration allait taper contre le fond du vagin de Clytia, pour revenir tout aussi profondément au suivant coup de boutoir cadencé, rapide, puissant et ainsi de suite… La copulation était bestiale, divinement sauvage, puissante, ininterrompue. L’esclave qui d’abord avait lâché des gémissements de plaisirs, criait désormais sa jouissance ou plutôt ses jouissances ! Ses orgasmes s’enchaînaient, le satyre se retenait pour ne pas éjaculer tout en continuant de besogner l’esclave femelle, sous le regard satisfait de La Belle Hélène dont l'esprit pourtant était déjà ailleurs...

(A suivre…)

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