LA BONNE DU CURE (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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LA BONNE DU CURE (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Christ71 : J’offre ce texte en cadeau de Noël à tous les lecteurs de H.D.S et aux gérants du site. Il a été écrit dès mon retour de la messe de minuit, dans mon village en Vendée.
Je m’appelle Justine, j’ai 28 ans et j’habite un petit village près de Vanne, je suis arrivé avec mon frère au presbytère. Je suis ce que l’on appelle « la bonne du curé. »
J’ai commencé à servir mon frère lorsqu’il est arrivé ici il y a 4 ans.
Il y a 2 ans un scandale à éclater lorsqu’une bigote est entrée dans la sacristie.
Mon frère était en train de baiser Odile ma meilleure amie sur la table où se trouvaient les burettes et le vin de messe.
Ils ont quitté la région et il l’a épousé quelques mois plus tard.
Ils ont un petit garçon dont je suis la marraine et que j’adore bien qu’ils soient loin de moi.
Le scandale ne m’a pas éclaboussé car je suis très pratiquante et tous les gens du village qui me connaissent reconnaissent que je suis fidèlement les lois de l’église.
Lorsque le nouveau curé est arrivé, il était seul et comme je ne savais où aller, il m’a gardé à son service.
Il ne lui a pas fallu quinze jours pour me sodomiser moi qui étais vierge.
J’étais dans le jardin à quatre pattes à repiquer des poireaux lorsqu’il est arrivé avec sa soutane. Il n’était pas beaucoup plus vieux que moi et était assez bel homme.
Lorsqu’il a sorti sa bitte devant ma figure, je n’ai rien compris à ce qui m’arrivait et je l’ai retrouvé au fond de ma bouche.
— Mets la bien au fond, là où je la cache, le bon Dieu ne pourra pas la voir.
Quand il en a eu assez de la plonger vers mes amygdales, il est passé derrière moi a relevé ma jupe à écarter ma culotte et ma prise par le petit trou. J’étais tellement subjugué que je ne me suis pas rebiffée.
— Tu vois ma belle, je ne trahi pas mes vœux ton trou est si petit que je ne voie même pas que je te pénètre.
Lorsqu’il a rempli mon cul avec sa semence, je n’ai pas eu de sensation particulière dans mon bas-ventre.
De « Bonne du curé » j'étais devenue « Putain et bonne du curé »
À partir de ce jour, tous les soirs il venait dans ma chambre et recommençait l’opération, bouche et cul.
Un soir où j’étais une nouvelle fois à quatre pattes, il a failli sortir de ma rosette en faisant un faux mouvement. Il a placé sa main sous mon ventre. L’un de ces doigts est venu toucher mon petit bouton. Lui dont je m’étais toujours désintéressé m’a fait comprendre qu’il existait.
Ce léger frottement m’a fait passer un frisson dans tout le bas du ventre.
Le soir, sous la douche, j’ai envoyé les jets dessus et deux fois de suite je me suis cabré dans une jouissance qui a fait éclater ma vulve.
Dans les jours qui ont suivi j’ai fréquenté les endroits où les hommes se réunissaient.
Pendant une semaine je suis venu au bar-tabacs du village.
Les hommes étaient là à l’apéro mais aucun n’a remarqué que ma chatte les attendait.
Chaque soir, j’achète des allumettes. Aucune approche n’a eu lieu. J’ai l’impression d’être une ombre qui n’existe pas.
Tous les ans les dames patronnesses organisent un voyage d’une semaine en car.
J’y participe sans pour cela m’occuper de l’organisation.
J’ai pu faire Rome et le Vatican.
Padoue et son saint.
Et aussi des voyages avec moins de visites d’église.
Une année nous avons visité Vienne et le Tyrol.
Cette année, c’est la Hollande avec ses moulins, les canaux d’Amsterdam et les champs de tulipes.
Nous sommes parties dans un car ce matin.
Je connais tous les participants sauf trois personnes un couple accompagné de leur fille Léa qui doit avoir environ 18 ou 19 ans.
Nous arrivons à Gand en Belgique.
Tous les ans lors de ces voyages je prends un supplément chambré seul. La responsable du groupe me fait savoir qu’elle a oublié de stipuler m’a demandé et elle me propose de choisir une des femmes pour dormir avec elle toute la semaine.
Je demande à Léa de dormir avec moi. Elle accepte volontiers.
Arrivée dans la chambre, elle pose son sac de sport et se met nue.
— Je vais démarrer le bain, on va le prendre à deux c’est plus sympathique.
Lorsqu’elle enlève son string, j’aperçois sa chatte qui est intégralement épilée.
— Déshabilles-toi, on est entre femmes, ne soit pas pudique.
Je n’aime pas apparaître comme quelqu’un de retardé. Je commence à enlever mes vêtements mes seins sont bien plus gros que les siens et sont haut perchés.
Nous sommes de même taille et de même corpulence.
Lorsque je lui apparais avec ma petite culotte elle se moque.
— Tu mets encore des culottes qui sont de vraies forteresses, il serait temps que tu portes des strings comme moi.
Une culotte avec une ficelle qui me passe entre la raie des fesses ne m’a jamais beaucoup donné envie.
Lorsque je l’enlève, ma toison toute noire lui apparaît.
— Je ne le crois pas, elle a encore tous ses poils. Tu ne t’es jamais rasés ?
— Non depuis qu’ils ont poussé, je n’y ai jamais touché, j’y suis habitué.
— Tu veux que je te les enlève pour voir comment serait ta chatte. Tu auras tout le loisir de la laisser repousser si tu n’aimes pas.
J’hésite mais je trouve l’impudence de cette jeune fille sans bornes. Je la connais depuis ce matin et elle veut déjà me raser la chatte.
Où va-t-elle s’arrêter où sont ses limites, elle me paraît connaître plus de choses à son âge que moi dans toute ma vie.
Je suis encore pucelle du vagin à 28 ans alors que je suis sur qu’elle l’a perdue dès qu’elle la pue.
Ce qui me rend dépendante d’elle malgré mon âge, c’est son ton sûr d’elle.
Lorsque je l’entends, je redeviens une petite-fille écoutant sa maman.
Est-ce le fait de la perte de mes parents et que ce soit mon frère plus vieux que moi qui m’ait éduqué qui fait que je me sens dépendante d’elle ?
— Installes-toi sur le lit, je vais chercher le nécessaire !
Elle va dans la salle d’eau, arrête le remplissage et revient avec un sac.
— Tu n’es toujours pas en position, on perd du temps, dépêches-toi !
Elle m’installe les fesses au bord du lit les jambes pendantes. Elle me les fait écarter.
Impensable, qu’est-ce que j’accepte. Quelle position impudique !
Elle se place entre mes jambes et avec un ciseau elle coupe toutes les mèches qu’elle peut saisir.
À partir de ce moment, il est trop tard pour faire marche arrière. En peu de temps, ce qui reste de ma toison n’est plus présentable.
Il faut bien aller jusqu’au bout.
Odile prend de la mousse à raser et me badigeonne avec sa main. La douceur de la mousse conjuguée à la caresse de ses doigts enflamme ma fente.
— Je sens que ton moule coule sous mes doigts.
Elle empoigne son rasoir et commence à me le passer sur la peau. Un petit mauvais geste et une légère coupure entaillent ma peau.
Elle avance sa langue et passe la pointe dessus, un léger courant électrique parcourt mon échine.
Rapidement je suis lisse comme une peau de bébé.
— Un peu de crème apaisante et le travail seront terminés.
Elle prend une larme de crème et commence à me masser les tours de ma vulve.
D’un coup ses doigts dérapent et touche mon clitoris qui démarre immédiatement. Elle n’hésite pas et sa langue plonge dans ma fente.
Pour la première fois je me fais brouter le minou. Si j’avais su que c’était si bon, je serais allé le mettre sous le nez des grenouilles de bénitiers. Certaines sous leur voilette doivent avoir des chattes en chaleurs.
Léa recueille sous sa langue un flot de sécrétions que mes glandes produisent et qui coulent régulièrement.
La coquine est douée, je chavire une dernière fois et m’écroule sur la couche pour récupérer.
Une claque sur mes fesses me fait émerger.
— Au bain, il faut nous préparer, le travail m’attend.
Quel travail ?
Nous sommes à 700 kilomètres de chez nous.
Elle me prend la main et me tire jusqu'à la baignoire.
Elle prend le savon et m’en passe partout. Lorsque je dis partout c’est partout. Ma vulve requiert son attention.
— Regardes-toi dans la glace, comme cela tu es bandante, tu vas voir, tu n’auras aucun mal à te lever des hommes maintenant.
Je ne comprends pas, je ne vais pas rester la chatte nue toute la journée pour les inciter à m’honorer !
Pour ne pas rester comme la cruche qui ne connaît rien je prends le savon et je lui passe partout. Un moment j’hésite et je craque, ma main passe dans le v de ses jambes et je fais pénétrer deux de mes doigts dans sa grotte. Pour la première fois, je caresse une jeune fille et je l’embrasse tendrement. J’ai l’impression que nos langues s’apprécient.
Lorsqu’elle me plaque à elle, nos seins se trouvent bien ensemble. Nous sommes tellement de la même taille que nos mamelons entrent en contact.
Elle les frotte sur les miens de plus en plus vite. Je sens ses doigts écarter mes jambes et attaquer mon abricot. Elle glisse deux doigts à l’intérieur et comme si elle s’était brûlé, elle les retire prestement.
— Tu es vierge ?
— Oui !
— Viens, on va arranger cela !
Elle nous rince et nous essuie.
— Arrive, on va t’habiller !
Avec elle, qu’est qui va encore m’arriver.
Elle ouvre son sac de sport et cherche à l’intérieur.
— Mets çà, tu seras parfaite.
Elle me tend un petit short jaune paille et un chemisier blanc assez ample.
— Tu ne m’as pas donné de culotte ?
— Avec ce short tu n’en mets pas, il dépasserait.
J’enfile ce bout de tissu qui est plutôt en cuir.
Ma chatte rasée sur le cuir me donne une sensation étrange. J’ai bien peur si l’on sort habillé comme cela de mouiller toute la soirée. Même mon clito sens le cuir venait l’agresser.
— Maintenant le chemisier !
Elle me le met et le noue sous mes seins. Ils sont hauts perchés mais remontent encore un peu sous la tension du tissu.
— Oui, tu ne vas pas sortir pieds nus.
Elle ouvre une poche de son sac et sort des chaussures de même couleur que le timbre-poste qui me sert de short.
Moi qui ne porte que des chaussures sans talon, celles-ci sont légèrement plus haute. Deux allé et retour et je trouve mon équilibre.
— À oui il manque quelque chose. Le sac !
— Du même cuir que le short et les chaussures !
Nous éclatons de rire ensemble.
En deux minutes elle trouve une tenue très près de celle qu’elle me fait porter.
— En route, tu vas voir, tu vas voir la bonne soirée que tu vas passer.
Elle a appelé un taxi. Il nous conduit devant une maison ou sur la porte il est marqué « club privé »
Nous sommes à un mètre de la porte lorsqu’elle s’ouvre laissant sortir deux hommes qui semblent en goguette.
— Viens entre !
La lumière tamisée lorsque je passe un rideau qui cache la porte ne me permet pas de voir l’intérieur tant que mes yeux ne se sont pas habitués.
Lorsque mes pupilles se sont réglés, la pièce où nous trouvons est principalement composé d’un bar où des clients sont accoudés.
Près d’eux des jeunes filles habillées aussi sexy que nous, discutent avec eux.
Un homme en prend un par la main. Non-erreur, c’est elle qui l’entraîne derrière un rideau.
Un homme assez jovial nous voie et se dirige vers nous.
— Léa tu es revenu ?
— Juste pour un soir !
— Tu vas t’éclater.
— Comme d’habitude !
— Tu me présentes ?
— Excuse-moi, Justine ma nouvelle amie.
— Je m’appelle Tonio et je suis le propriétaire de ce club.
Il me serre la main et Léa le prend par le bras pour s’isoler avec lui. La musique couvre leurs voix et je ne sais pas ce qu’il manigance.
La connaissant, je risque d’avoir une surprise rapidement.
Tonio vient vers moi, me prend aussi par le bras et me fait avancer au centre de la pièce.
Je ne sais pas s’il a fait un geste mais nous nous retrouvons dans un halo de lumière blanche.
— Messieurs, nous avons ce soir une nouvelle pensionnaire, je vous présente Justine, elle vient de Vendée en France et à 28 ans elle est encore pucelle. Elle est « la bonne du curé » de son village et à ce titre a été élevé très religieusement.
Léa que vous avez bien connu l’année dernière qui a enchanté vos soirées nous l’amène pour que vous en fascié une femme complète.
Un pucelage certifié vaut plus cher qu’une simple passe.
Je suis abasourdie parce que dit Tonio. Depuis quand suis-je la nouvelle pensionnaire de la boîte ?
Qui a 500 euros à mettre sur la table ?
Pourquoi Léa a-t-elle dévoilé ma condition de vierge oubliant de dire que je n’étais vierge que de la chatte !
Pourquoi dire que je suis la bonne du curé, est-ce pour mieux exciter ces messieurs.
Pourquoi je ne tourne pas les talons pour rejoindre l’hôtel et attendre le départ du car avec toutes ces vieilles femmes qui depuis que je parcours l’Europe avec elles n’ont jamais essayé de me vendre aux plus offrants !
Tonio comme je l’ai vu faire au comice agricole, me prend par la main et me fait tourner sur moi-même comme si j’étais une charolaise mise en vente par son éleveur.
Coup de chance, il ne va pas jusqu’à me flatter la croupe.
Tire-t-toi Justine il est encore temps dans moins de cinq minutes ton pucelage aura été acheté et tu n’auras plus aucun moyen de t’enfuir sans passer pour une imbécile jamais baisée.
Ce que Tonio ne s’attendait pas c’est qu’ils sont nombreux à vouloir m’avoir sur leur tableau de chasse. Pour leurs vieux jours, au café de leur village ils raconteront le jour ou dans un bordel, car je viens juste de me rendre compte que je suis dans un bordel, ils ont dépucelé une fille de 28 ans bons du curé en prime.
600, non, 650. Je dis 700. 900.
Cela devient fou, je ne savais pas que mon cul valait si cher.
1000 euros. Un temps d’arrêt. Adjugé à ce monsieur pour mille euros payables cash immédiatement.
Dans le brouillard où je suis, je ne vois simplement que celui qui vient de m’acheter. Car c’est moi qu’il a acheté même si à ce prix-là, c’est mon hymen qui l’intéresse.
Il a environ la cinquantaine bien mis de sa personne.
Il approche de moi et me donne deux billets de cinq cents euros.
— Justine, viens, je t’accompagne et je vais t’apprendre le métier.
Elle me prend par la main et sous les applaudissements des personnes présentent dans le bar, elle me fait franchir le rideau par où la jeune femme est passée tout à l’heure allant certainement faire une passe.
De l’autre côté des boxes avec un lit et un lavabo sont à la disposition des filles.
Sur une étagère, un paquet de serviettes est posé ainsi qu’une panière pleine de capotes.
— Emmène ton client vers le lavabo et nettoie-lui la queue avec du produit aseptisant.
Comme un robot piloté par Léa, je fais ce qu’elle me dit. Réveilles-toi ma grande, dans peu de temps un homme va enfoncer sa queue en toi et te déchiré ta petite cloison qui garde ta grotte inviolée à ce jour.
Alors que la tige que j’essuie avec une des serviettes est largement tendue. J’ai l’impression qu’elle veut me voir faire beaucoup de choses dégradantes puis que c’est pour de l’argent.
— Suce-le, ils adorent ça !
— Oui suce-moi, fait attention je veux ton pucelage, une autrefois je te remplirais la bouche.
Il rigole ce monsieur, il n’y aura pas d’autres fois. Mon pucelage et c’est tout ce qu’il aura de moi. Il ne faut pas exagérer, j’accepte d’être une pute pour une passe afin de faire plaisir à Léa et après au lit avec une aspirine.
Sucer, je sais faire, mon curé m’a bien formé.
Je le prends en bouche tout en saisissant sa hampe avec ma main.
Je le branle tout en aspirant le bout que j’ai mis en bouche. Dans le même temps je le titille avec ma langue.
— Mets-lui-la capote qu’il y a dans le panier à côté des serviettes.
J’en prends une que je déchire avec les dents. J’essaye de la dérouler mais j’ai du mal.
Léa vient à mon secours.
— Elle suce mieux que toi Léa, tu es sûr qu’elle est vierge ?
— 100% sur, tu n’as rien à craindre, d’ailleurs je la mets en position pour que tu la pénètres. Missionnaire ou levrette, qu’est que tu préfères.
— Levrette.
Léa n’a pas besoin de me guider, la levrette je la pratique presque toutes les fois au presbytère.
Je sens le client s’approcher, me caresser le trou du cul avec son sexe, descend légèrement et pousse vers l’avant. Un petit temps de résistance et dès le deuxième assaut mon hymen cède.
D’un seul coup il est au fond de moi. Je sens ses couilles venir taper mon clitoris chaque fois qu’il donne de grand coup de ventre.
D’un coup, une bille monte dans mon corps, elle vient éclater sur mes lèvres et je jouis pour la première fois sous la queue d’un homme.
Je sens le sexe s’affoler et le client, mon client rempli sa capote de l’on trait de sperme.
— Putain, que t’est bonne, je reviendrais te voir.
Il sort de mon sexe, m’essuie la chatte avec un tissu.
Prévenant le monsieur, un vrai gentleman.
Il est à peine sortie de mon sexe que le travail n’est pas terminé.
— Justine, enlève la capote et va lui laver la queue. Essuie le et laves-toi la chatte.
Je fais tout comme il faut !
Le client se rhabille, j’ai tellement de choses à remettre sur mes fesses que je suis prête en même temps que lui.
Je repasse le rideau et là le ciel me tombe sur la tête. Celui que je prenais pour un gentleman est un goujat. Il sort de sa poche son mouchoir plein de mon sang.
— Regardé, elle était bien vierge. En plus elle jouit si vous la prenez bien profond. Champagne !
Il offre trois bouteilles de champagne et sert un verre à chacune des personnes présentes.
Je suis prête à entrer à l’hôtel lorsqu’un homme petit et chauve me prend par la main.
— Viens…
J’ai perdu mon pucelage, ma chatte me fait un peu mal, quel ange maléfique me pousse à le suivre.
Est-ce Léa qui m’envoie ces ondes ?
Avant de passer derrière le rideau, j’ai la lucidité de lui demander de régler la passe.
300 euros, mon sac commence à se remplir de billets.
Je m’occupe de l’homme qui souhaite me faire l’amour comme il est recommandé de procéder.
Je le suce bien à la limite de sa jouissance.
C’est dans une position du missionnaire, première pour moi avec mon vagin que je le reçois.
Que j’aime c’est grand coup de bite qu’il inflige à ma grotte !
J’aime au point d’éclater de nouveau dans une jouissance qui déchire mon ventre de plaisirs.
Toilette faite, je retourne au bar. Tonio sans attendre me ramène derrière la tenture.
— J’aime essayer la marchandise. Fait-moi voir ce que tu sais faire.
Il n’est pas déçu, le problème avec lui c’est qu’il est très résistant et je ne dis pas le temps qu’il me faut pour y arriver.
C’est mon cul qui a raison de lui. Je peux même dire que pour la première fois de ma vie, mon cul jouit. Lorsqu’il se libère et qu’il me libère, je suis épuisée.
— Justine, reviens avec Léa quand vous voulez, j’aurais toujours une place pour vous !
Sans compter Tonio 13 fois, ce soir-là j’ais été prise, 13 fois j’ai joui. 13 fois j’ai été une put, une putain, une prostituée, une péripatéticienne bref une vraie pro…..
12 fois les clients ont payer 300 euros pour pouvoir dire qu’ils ont baisé une fille vierge en début de soirée et de plus la « bonne du curé »
3600 euros de passes plus 1000 euros pour mon dépucelage. 4600 euros. Vous retirez 100 euros par passe pour la gestion du bordel, j’ai gagné 3300 euros avec ma chatte pour une soirée.
J’oubliais, 50 euros par bouteilles de champagne que vous êtes arrivé à faire vendre soit pour ce soir 10 bouteilles gains 3800 euros.
Tous c’est compte, je ne les aie pas fait, j’étais trop assommé pour cela, c’est Léa vrai petite mère maquerelle qui les a fait pour moi avant de m’aider à reprendre le chemin de l’hôtel et de me coucher.
Christ71 : J’offre ce texte en cadeau de Noël à tous les lecteurs de H.D.S et aux gérants du site. Il a été écrit dès mon retour de la messe de minuit, dans mon village en Vendée.
Je m’appelle Justine, j’ai 28 ans et j’habite un petit village près de Vanne, je suis arrivé avec mon frère au presbytère. Je suis ce que l’on appelle « la bonne du curé. »
J’ai commencé à servir mon frère lorsqu’il est arrivé ici il y a 4 ans.
Il y a 2 ans un scandale à éclater lorsqu’une bigote est entrée dans la sacristie.
Mon frère était en train de baiser Odile ma meilleure amie sur la table où se trouvaient les burettes et le vin de messe.
Ils ont quitté la région et il l’a épousé quelques mois plus tard.
Ils ont un petit garçon dont je suis la marraine et que j’adore bien qu’ils soient loin de moi.
Le scandale ne m’a pas éclaboussé car je suis très pratiquante et tous les gens du village qui me connaissent reconnaissent que je suis fidèlement les lois de l’église.
Lorsque le nouveau curé est arrivé, il était seul et comme je ne savais où aller, il m’a gardé à son service.
Il ne lui a pas fallu quinze jours pour me sodomiser moi qui étais vierge.
J’étais dans le jardin à quatre pattes à repiquer des poireaux lorsqu’il est arrivé avec sa soutane. Il n’était pas beaucoup plus vieux que moi et était assez bel homme.
Lorsqu’il a sorti sa bitte devant ma figure, je n’ai rien compris à ce qui m’arrivait et je l’ai retrouvé au fond de ma bouche.
— Mets la bien au fond, là où je la cache, le bon Dieu ne pourra pas la voir.
Quand il en a eu assez de la plonger vers mes amygdales, il est passé derrière moi a relevé ma jupe à écarter ma culotte et ma prise par le petit trou. J’étais tellement subjugué que je ne me suis pas rebiffée.
— Tu vois ma belle, je ne trahi pas mes vœux ton trou est si petit que je ne voie même pas que je te pénètre.
Lorsqu’il a rempli mon cul avec sa semence, je n’ai pas eu de sensation particulière dans mon bas-ventre.
De « Bonne du curé » j'étais devenue « Putain et bonne du curé »
À partir de ce jour, tous les soirs il venait dans ma chambre et recommençait l’opération, bouche et cul.
Un soir où j’étais une nouvelle fois à quatre pattes, il a failli sortir de ma rosette en faisant un faux mouvement. Il a placé sa main sous mon ventre. L’un de ces doigts est venu toucher mon petit bouton. Lui dont je m’étais toujours désintéressé m’a fait comprendre qu’il existait.
Ce léger frottement m’a fait passer un frisson dans tout le bas du ventre.
Le soir, sous la douche, j’ai envoyé les jets dessus et deux fois de suite je me suis cabré dans une jouissance qui a fait éclater ma vulve.
Dans les jours qui ont suivi j’ai fréquenté les endroits où les hommes se réunissaient.
Pendant une semaine je suis venu au bar-tabacs du village.
Les hommes étaient là à l’apéro mais aucun n’a remarqué que ma chatte les attendait.
Chaque soir, j’achète des allumettes. Aucune approche n’a eu lieu. J’ai l’impression d’être une ombre qui n’existe pas.
Tous les ans les dames patronnesses organisent un voyage d’une semaine en car.
J’y participe sans pour cela m’occuper de l’organisation.
J’ai pu faire Rome et le Vatican.
Padoue et son saint.
Et aussi des voyages avec moins de visites d’église.
Une année nous avons visité Vienne et le Tyrol.
Cette année, c’est la Hollande avec ses moulins, les canaux d’Amsterdam et les champs de tulipes.
Nous sommes parties dans un car ce matin.
Je connais tous les participants sauf trois personnes un couple accompagné de leur fille Léa qui doit avoir environ 18 ou 19 ans.
Nous arrivons à Gand en Belgique.
Tous les ans lors de ces voyages je prends un supplément chambré seul. La responsable du groupe me fait savoir qu’elle a oublié de stipuler m’a demandé et elle me propose de choisir une des femmes pour dormir avec elle toute la semaine.
Je demande à Léa de dormir avec moi. Elle accepte volontiers.
Arrivée dans la chambre, elle pose son sac de sport et se met nue.
— Je vais démarrer le bain, on va le prendre à deux c’est plus sympathique.
Lorsqu’elle enlève son string, j’aperçois sa chatte qui est intégralement épilée.
— Déshabilles-toi, on est entre femmes, ne soit pas pudique.
Je n’aime pas apparaître comme quelqu’un de retardé. Je commence à enlever mes vêtements mes seins sont bien plus gros que les siens et sont haut perchés.
Nous sommes de même taille et de même corpulence.
Lorsque je lui apparais avec ma petite culotte elle se moque.
— Tu mets encore des culottes qui sont de vraies forteresses, il serait temps que tu portes des strings comme moi.
Une culotte avec une ficelle qui me passe entre la raie des fesses ne m’a jamais beaucoup donné envie.
Lorsque je l’enlève, ma toison toute noire lui apparaît.
— Je ne le crois pas, elle a encore tous ses poils. Tu ne t’es jamais rasés ?
— Non depuis qu’ils ont poussé, je n’y ai jamais touché, j’y suis habitué.
— Tu veux que je te les enlève pour voir comment serait ta chatte. Tu auras tout le loisir de la laisser repousser si tu n’aimes pas.
J’hésite mais je trouve l’impudence de cette jeune fille sans bornes. Je la connais depuis ce matin et elle veut déjà me raser la chatte.
Où va-t-elle s’arrêter où sont ses limites, elle me paraît connaître plus de choses à son âge que moi dans toute ma vie.
Je suis encore pucelle du vagin à 28 ans alors que je suis sur qu’elle l’a perdue dès qu’elle la pue.
Ce qui me rend dépendante d’elle malgré mon âge, c’est son ton sûr d’elle.
Lorsque je l’entends, je redeviens une petite-fille écoutant sa maman.
Est-ce le fait de la perte de mes parents et que ce soit mon frère plus vieux que moi qui m’ait éduqué qui fait que je me sens dépendante d’elle ?
— Installes-toi sur le lit, je vais chercher le nécessaire !
Elle va dans la salle d’eau, arrête le remplissage et revient avec un sac.
— Tu n’es toujours pas en position, on perd du temps, dépêches-toi !
Elle m’installe les fesses au bord du lit les jambes pendantes. Elle me les fait écarter.
Impensable, qu’est-ce que j’accepte. Quelle position impudique !
Elle se place entre mes jambes et avec un ciseau elle coupe toutes les mèches qu’elle peut saisir.
À partir de ce moment, il est trop tard pour faire marche arrière. En peu de temps, ce qui reste de ma toison n’est plus présentable.
Il faut bien aller jusqu’au bout.
Odile prend de la mousse à raser et me badigeonne avec sa main. La douceur de la mousse conjuguée à la caresse de ses doigts enflamme ma fente.
— Je sens que ton moule coule sous mes doigts.
Elle empoigne son rasoir et commence à me le passer sur la peau. Un petit mauvais geste et une légère coupure entaillent ma peau.
Elle avance sa langue et passe la pointe dessus, un léger courant électrique parcourt mon échine.
Rapidement je suis lisse comme une peau de bébé.
— Un peu de crème apaisante et le travail seront terminés.
Elle prend une larme de crème et commence à me masser les tours de ma vulve.
D’un coup ses doigts dérapent et touche mon clitoris qui démarre immédiatement. Elle n’hésite pas et sa langue plonge dans ma fente.
Pour la première fois je me fais brouter le minou. Si j’avais su que c’était si bon, je serais allé le mettre sous le nez des grenouilles de bénitiers. Certaines sous leur voilette doivent avoir des chattes en chaleurs.
Léa recueille sous sa langue un flot de sécrétions que mes glandes produisent et qui coulent régulièrement.
La coquine est douée, je chavire une dernière fois et m’écroule sur la couche pour récupérer.
Une claque sur mes fesses me fait émerger.
— Au bain, il faut nous préparer, le travail m’attend.
Quel travail ?
Nous sommes à 700 kilomètres de chez nous.
Elle me prend la main et me tire jusqu'à la baignoire.
Elle prend le savon et m’en passe partout. Lorsque je dis partout c’est partout. Ma vulve requiert son attention.
— Regardes-toi dans la glace, comme cela tu es bandante, tu vas voir, tu n’auras aucun mal à te lever des hommes maintenant.
Je ne comprends pas, je ne vais pas rester la chatte nue toute la journée pour les inciter à m’honorer !
Pour ne pas rester comme la cruche qui ne connaît rien je prends le savon et je lui passe partout. Un moment j’hésite et je craque, ma main passe dans le v de ses jambes et je fais pénétrer deux de mes doigts dans sa grotte. Pour la première fois, je caresse une jeune fille et je l’embrasse tendrement. J’ai l’impression que nos langues s’apprécient.
Lorsqu’elle me plaque à elle, nos seins se trouvent bien ensemble. Nous sommes tellement de la même taille que nos mamelons entrent en contact.
Elle les frotte sur les miens de plus en plus vite. Je sens ses doigts écarter mes jambes et attaquer mon abricot. Elle glisse deux doigts à l’intérieur et comme si elle s’était brûlé, elle les retire prestement.
— Tu es vierge ?
— Oui !
— Viens, on va arranger cela !
Elle nous rince et nous essuie.
— Arrive, on va t’habiller !
Avec elle, qu’est qui va encore m’arriver.
Elle ouvre son sac de sport et cherche à l’intérieur.
— Mets çà, tu seras parfaite.
Elle me tend un petit short jaune paille et un chemisier blanc assez ample.
— Tu ne m’as pas donné de culotte ?
— Avec ce short tu n’en mets pas, il dépasserait.
J’enfile ce bout de tissu qui est plutôt en cuir.
Ma chatte rasée sur le cuir me donne une sensation étrange. J’ai bien peur si l’on sort habillé comme cela de mouiller toute la soirée. Même mon clito sens le cuir venait l’agresser.
— Maintenant le chemisier !
Elle me le met et le noue sous mes seins. Ils sont hauts perchés mais remontent encore un peu sous la tension du tissu.
— Oui, tu ne vas pas sortir pieds nus.
Elle ouvre une poche de son sac et sort des chaussures de même couleur que le timbre-poste qui me sert de short.
Moi qui ne porte que des chaussures sans talon, celles-ci sont légèrement plus haute. Deux allé et retour et je trouve mon équilibre.
— À oui il manque quelque chose. Le sac !
— Du même cuir que le short et les chaussures !
Nous éclatons de rire ensemble.
En deux minutes elle trouve une tenue très près de celle qu’elle me fait porter.
— En route, tu vas voir, tu vas voir la bonne soirée que tu vas passer.
Elle a appelé un taxi. Il nous conduit devant une maison ou sur la porte il est marqué « club privé »
Nous sommes à un mètre de la porte lorsqu’elle s’ouvre laissant sortir deux hommes qui semblent en goguette.
— Viens entre !
La lumière tamisée lorsque je passe un rideau qui cache la porte ne me permet pas de voir l’intérieur tant que mes yeux ne se sont pas habitués.
Lorsque mes pupilles se sont réglés, la pièce où nous trouvons est principalement composé d’un bar où des clients sont accoudés.
Près d’eux des jeunes filles habillées aussi sexy que nous, discutent avec eux.
Un homme en prend un par la main. Non-erreur, c’est elle qui l’entraîne derrière un rideau.
Un homme assez jovial nous voie et se dirige vers nous.
— Léa tu es revenu ?
— Juste pour un soir !
— Tu vas t’éclater.
— Comme d’habitude !
— Tu me présentes ?
— Excuse-moi, Justine ma nouvelle amie.
— Je m’appelle Tonio et je suis le propriétaire de ce club.
Il me serre la main et Léa le prend par le bras pour s’isoler avec lui. La musique couvre leurs voix et je ne sais pas ce qu’il manigance.
La connaissant, je risque d’avoir une surprise rapidement.
Tonio vient vers moi, me prend aussi par le bras et me fait avancer au centre de la pièce.
Je ne sais pas s’il a fait un geste mais nous nous retrouvons dans un halo de lumière blanche.
— Messieurs, nous avons ce soir une nouvelle pensionnaire, je vous présente Justine, elle vient de Vendée en France et à 28 ans elle est encore pucelle. Elle est « la bonne du curé » de son village et à ce titre a été élevé très religieusement.
Léa que vous avez bien connu l’année dernière qui a enchanté vos soirées nous l’amène pour que vous en fascié une femme complète.
Un pucelage certifié vaut plus cher qu’une simple passe.
Je suis abasourdie parce que dit Tonio. Depuis quand suis-je la nouvelle pensionnaire de la boîte ?
Qui a 500 euros à mettre sur la table ?
Pourquoi Léa a-t-elle dévoilé ma condition de vierge oubliant de dire que je n’étais vierge que de la chatte !
Pourquoi dire que je suis la bonne du curé, est-ce pour mieux exciter ces messieurs.
Pourquoi je ne tourne pas les talons pour rejoindre l’hôtel et attendre le départ du car avec toutes ces vieilles femmes qui depuis que je parcours l’Europe avec elles n’ont jamais essayé de me vendre aux plus offrants !
Tonio comme je l’ai vu faire au comice agricole, me prend par la main et me fait tourner sur moi-même comme si j’étais une charolaise mise en vente par son éleveur.
Coup de chance, il ne va pas jusqu’à me flatter la croupe.
Tire-t-toi Justine il est encore temps dans moins de cinq minutes ton pucelage aura été acheté et tu n’auras plus aucun moyen de t’enfuir sans passer pour une imbécile jamais baisée.
Ce que Tonio ne s’attendait pas c’est qu’ils sont nombreux à vouloir m’avoir sur leur tableau de chasse. Pour leurs vieux jours, au café de leur village ils raconteront le jour ou dans un bordel, car je viens juste de me rendre compte que je suis dans un bordel, ils ont dépucelé une fille de 28 ans bons du curé en prime.
600, non, 650. Je dis 700. 900.
Cela devient fou, je ne savais pas que mon cul valait si cher.
1000 euros. Un temps d’arrêt. Adjugé à ce monsieur pour mille euros payables cash immédiatement.
Dans le brouillard où je suis, je ne vois simplement que celui qui vient de m’acheter. Car c’est moi qu’il a acheté même si à ce prix-là, c’est mon hymen qui l’intéresse.
Il a environ la cinquantaine bien mis de sa personne.
Il approche de moi et me donne deux billets de cinq cents euros.
— Justine, viens, je t’accompagne et je vais t’apprendre le métier.
Elle me prend par la main et sous les applaudissements des personnes présentent dans le bar, elle me fait franchir le rideau par où la jeune femme est passée tout à l’heure allant certainement faire une passe.
De l’autre côté des boxes avec un lit et un lavabo sont à la disposition des filles.
Sur une étagère, un paquet de serviettes est posé ainsi qu’une panière pleine de capotes.
— Emmène ton client vers le lavabo et nettoie-lui la queue avec du produit aseptisant.
Comme un robot piloté par Léa, je fais ce qu’elle me dit. Réveilles-toi ma grande, dans peu de temps un homme va enfoncer sa queue en toi et te déchiré ta petite cloison qui garde ta grotte inviolée à ce jour.
Alors que la tige que j’essuie avec une des serviettes est largement tendue. J’ai l’impression qu’elle veut me voir faire beaucoup de choses dégradantes puis que c’est pour de l’argent.
— Suce-le, ils adorent ça !
— Oui suce-moi, fait attention je veux ton pucelage, une autrefois je te remplirais la bouche.
Il rigole ce monsieur, il n’y aura pas d’autres fois. Mon pucelage et c’est tout ce qu’il aura de moi. Il ne faut pas exagérer, j’accepte d’être une pute pour une passe afin de faire plaisir à Léa et après au lit avec une aspirine.
Sucer, je sais faire, mon curé m’a bien formé.
Je le prends en bouche tout en saisissant sa hampe avec ma main.
Je le branle tout en aspirant le bout que j’ai mis en bouche. Dans le même temps je le titille avec ma langue.
— Mets-lui-la capote qu’il y a dans le panier à côté des serviettes.
J’en prends une que je déchire avec les dents. J’essaye de la dérouler mais j’ai du mal.
Léa vient à mon secours.
— Elle suce mieux que toi Léa, tu es sûr qu’elle est vierge ?
— 100% sur, tu n’as rien à craindre, d’ailleurs je la mets en position pour que tu la pénètres. Missionnaire ou levrette, qu’est que tu préfères.
— Levrette.
Léa n’a pas besoin de me guider, la levrette je la pratique presque toutes les fois au presbytère.
Je sens le client s’approcher, me caresser le trou du cul avec son sexe, descend légèrement et pousse vers l’avant. Un petit temps de résistance et dès le deuxième assaut mon hymen cède.
D’un seul coup il est au fond de moi. Je sens ses couilles venir taper mon clitoris chaque fois qu’il donne de grand coup de ventre.
D’un coup, une bille monte dans mon corps, elle vient éclater sur mes lèvres et je jouis pour la première fois sous la queue d’un homme.
Je sens le sexe s’affoler et le client, mon client rempli sa capote de l’on trait de sperme.
— Putain, que t’est bonne, je reviendrais te voir.
Il sort de mon sexe, m’essuie la chatte avec un tissu.
Prévenant le monsieur, un vrai gentleman.
Il est à peine sortie de mon sexe que le travail n’est pas terminé.
— Justine, enlève la capote et va lui laver la queue. Essuie le et laves-toi la chatte.
Je fais tout comme il faut !
Le client se rhabille, j’ai tellement de choses à remettre sur mes fesses que je suis prête en même temps que lui.
Je repasse le rideau et là le ciel me tombe sur la tête. Celui que je prenais pour un gentleman est un goujat. Il sort de sa poche son mouchoir plein de mon sang.
— Regardé, elle était bien vierge. En plus elle jouit si vous la prenez bien profond. Champagne !
Il offre trois bouteilles de champagne et sert un verre à chacune des personnes présentes.
Je suis prête à entrer à l’hôtel lorsqu’un homme petit et chauve me prend par la main.
— Viens…
J’ai perdu mon pucelage, ma chatte me fait un peu mal, quel ange maléfique me pousse à le suivre.
Est-ce Léa qui m’envoie ces ondes ?
Avant de passer derrière le rideau, j’ai la lucidité de lui demander de régler la passe.
300 euros, mon sac commence à se remplir de billets.
Je m’occupe de l’homme qui souhaite me faire l’amour comme il est recommandé de procéder.
Je le suce bien à la limite de sa jouissance.
C’est dans une position du missionnaire, première pour moi avec mon vagin que je le reçois.
Que j’aime c’est grand coup de bite qu’il inflige à ma grotte !
J’aime au point d’éclater de nouveau dans une jouissance qui déchire mon ventre de plaisirs.
Toilette faite, je retourne au bar. Tonio sans attendre me ramène derrière la tenture.
— J’aime essayer la marchandise. Fait-moi voir ce que tu sais faire.
Il n’est pas déçu, le problème avec lui c’est qu’il est très résistant et je ne dis pas le temps qu’il me faut pour y arriver.
C’est mon cul qui a raison de lui. Je peux même dire que pour la première fois de ma vie, mon cul jouit. Lorsqu’il se libère et qu’il me libère, je suis épuisée.
— Justine, reviens avec Léa quand vous voulez, j’aurais toujours une place pour vous !
Sans compter Tonio 13 fois, ce soir-là j’ais été prise, 13 fois j’ai joui. 13 fois j’ai été une put, une putain, une prostituée, une péripatéticienne bref une vraie pro…..
12 fois les clients ont payer 300 euros pour pouvoir dire qu’ils ont baisé une fille vierge en début de soirée et de plus la « bonne du curé »
3600 euros de passes plus 1000 euros pour mon dépucelage. 4600 euros. Vous retirez 100 euros par passe pour la gestion du bordel, j’ai gagné 3300 euros avec ma chatte pour une soirée.
J’oubliais, 50 euros par bouteilles de champagne que vous êtes arrivé à faire vendre soit pour ce soir 10 bouteilles gains 3800 euros.
Tous c’est compte, je ne les aie pas fait, j’étais trop assommé pour cela, c’est Léa vrai petite mère maquerelle qui les a fait pour moi avant de m’aider à reprendre le chemin de l’hôtel et de me coucher.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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C'est quand le prochain pèlerinage aussi intéressant ?
Vraiment SUPER !