La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) -
- Oui Maître répondis-je, vaincue… mais heureuse …
Au cours de cette nuit mémorable et à jamais gravée en ma mémoire, le Maître me fit raccompagner chez moi par Walter, son chauffeur et bras droit. J’étais assommée, abasourdie dans une autre dimension, je sentais encore les brûlures des coups reçus sur les reins, les fesses et les seins. Dans la voiture, instinctivement je touchais mes tétons, ils me faisaient mal. Qu’étais-je en train de devenir ? Mais en même temps, être devant Lui, nue, offerte, le collier, la laisse, uriner à quatre pattes en en levant une comme une véritable chienne et tout le reste, m’avaient apporter des plaisirs inconnus, des sensations nouvelles et inavouables qui me faisait prendre conscience que je me sentais à ma place... Tout s’embrouillait en moi, je m’accrochais un moment à la diva des podiums que j’étais il y a peu de jours encore, à Sharon Stone, une amie proche, à certaines personnes très connues encore aujourd’hui qui faisaient partie de mon monde, celui des paillettes et du show-business, avec lesquelles je parlais d’égale à égale, et me voilà, là, maintenant, tenue en laisse comme une chienne, ressaisis toi me disais-je !… Et pourtant cela me laissait à penser à une question essentielle, fondamentale : Ou était ma vraie place ? Celle du monde des paillettes ou celle où je me sentais vraiment bien, aux pieds du Maître ?…
- Vous ne devriez-pas vous adosser ainsi.
Je sursaute à ces mots qui me font sortir de mes pensées. Le chauffeur-Majordome lui-même s’y met !
- Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans n’aimerait pas que vous vous teniez ainsi dans Sa voiture.
- Oui je sais Monsieur, répondis-je d’un ton sec.
- Alors qu’attendez-vous ? Ce qu’Il vous enseigne, Madame, n’est surtout pas un jeu, mais un Art, un comportement qui doivent devenir pour vous, une seconde nature… votre véritable nature ...
Je reste sans voix, mais je rectifie la position de mon corps me redressant bien droite assise.
La Rolls Royce roulait vite, Autouillet, Thoiry, Plaisir, les villages se succédaient, Porte Dauphine, avenue Foch. Walter me regardait dans son rétroviseur semblant me dévisager, me surveiller. Aurait-il reçu des consignes ? Nous arrivions devant mon appartement, la voiture ralentit, et se gara. Le chauffeur descendit, ouvrit la portière, j’avais avancé une jambe pour sortir quand je le vis ouvrir sa braguette, sortant un énorme sexe déjà à demi dressé, gonflé de désirs, et sans un mot il me prit la tête par la nuque avec sa main ressemblant plus à une pelle qu’à une main humaine et me dit alors très calmement :
- Suce salope !
Estomaquée par cette exigence, je le regardais fixement dans les yeux tandis que son sexe se balançait devant ma bouche entrouverte. Il était d’un calme absolu, la sorte de calme qui montre qu’il est absolument sûr de lui, que c’est normal que je le suce, là, en bas de chez moi, dans ma rue, alors que des passants ou voisins connus de moi, pourraient déambuler et me reconnaître même.
- Regarde dans ton sac, petite chienne.
Mon sac, oui mon sac, qu’y a-t-il dans mon sac, semblait dire mon regard ?
- Regarde mais fais vite, je n’ai pas tout mon temps.
Fébrilement j’ouvrais mon petit sac, et y trouva en effet une lettre cachetée écrite de la main du Maître, tandis qu’instinctivement je refermais le compas de mes jambes.
- Les jambes, petite salope, les jambes bien écartées, je veux voir ton petit minou ma belle !
J’écartai à nouveau largement les jambes, dévoilant un sexe très humide, je l’avoue, et ouvris l’enveloppe tout en regardant le chauffeur qui attendait et je lus à demi voix, doucement, comme si je ne voulais pas qu’on m’entende :
« Ma chère petite salope de chienne, ma nuit a été à la hauteur de ce que j’attendais de toi, te démontrant je l’espère la réalité de ton être. Le but de la rencontre de cette nuit était de te montrer ce que tu allais vivre si tu l’acceptes définitivement. Moi, je sais déjà qui tu es ! Quand tu liras cette lettre, c’est parce que Walter mon chauffeur te l’aura demandé d’ouvrir ce pli. C’est prévu, comme il est prévu également que tu accèdes à son ordre sans tarder. Dans le cas contraire, je devrai considérer que tu as à nouveau commis une erreur et tu sais comment je corrige les fautes de femelle comme toi. Fais donc ce qu’il te dit sans tarder, puis chez toi, tu poursuivras la lecture de ma lettre. Tu y trouveras mes instructions. Walter me dira, revenu, si tu as obéi rapidement ou pas à mon exigence. A toi de voir. Tu es parfaite comme esclave/chienne en devenir, ne me déçois pas, jamais, tu as un tel potentiel dans la soumission, je parle de la véritable soumission, celle qui te permettra de découvrir ton équilibre mental pour te sentir à ta véritable place, esclave à Mes pieds. Le Maître »
Je restais abasourdie, refermais lentement l’enveloppe. Lire Ses propres mots me transportaient dans un autre monde auquel j’avais de plus en plus de mal à me détourner… Alors je pris en main cette verge toujours aussi tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre commençait de nouveau en ébullition, j’ouvris grand la bouche mais ferma les yeux. J’avais beau ouvrir la bouche en grand, j’eus du mal à engamer le gland si volumineux que je dus forcer sur ma mâchoire pour y arriver. Je commençais de le sucer lentement, trop lentement à son goût car il me lança ces mots sur un ton d’exigence :
- En suçant ainsi, je vais mettre dix heures à jouir salope de chienne, active-toi sinon je te cravache les fesses dans la rue et tu réveilleras tout le quartier par tes cris et…
Ses yeux devenaient menaçants, froids, un frisson de dégout me parcourut l’échine. Je ne le laissai pas terminer sa phrase car je me remémorai immédiatement la cravache. J’activai donc ma succion, et petit à petit, sans savoir pourquoi, quelque chose en moi se déclencha, trouvant somme toute normal ce que j’étais en train de faire. Quelque chose qui émergeait de je ne sais où, venant du plus profond de mon être. Je me dégoutais mais en même temps, je me remettais à mouiller comme une véritable salope. Ce qui commençait à être en ébullition, devenait de plus en plus significatif dans ma chatte, elle devait trempée de désirs, de débauche, de perversion… De ma vulve, gonflée, commençait de sourdre ma cyprine que je ne pouvais retenir. Mieux encore, j’en eux une sorte de plaisir, trahie une fois de plus par mon cher clitoris qui s’érigeait de plus en plus, tandis que je pompais de plus en plus activement l’énorme phallus gonflé de désirs. Tout en alternant les succions et les aspirations le tout en léchant les contours du gland, je me surprenais à me de dire « es-tu en train de devenir cette salope ou cette chienne dont Il te parlait, tout à l’heure ? » Le simple fait de me relater cette phrase me fit ressentir à nouveau la fameuse boule en bas du ventre, et je sentis mon sexe suinter à nouveau. En cet instant même, le chauffeur éjacula et ne m’y attendant pas, je faillis m’étouffer tant il y avait un flot de sperme abondant venant dans ma bouche par saccades et je dus m’y reprendre à deux fois pour tout avaler. Je restai ainsi, sans bouger, tandis que lui, reprenait ses esprits. Lentement, il sortit de ma bouche mais restait, de belle droiture encore. De la fente de son méat, coulait encore du liquide, ce qui lui fit dire, sans concession :
- Nettoie, salope !
A nouveau, je passai la langue sur le gland que je nettoyais de mon mieux, prenant en bouche le dit gland le pressant avec ma langue contre mon palais. Puis enfonçant ma bouche plus bas sur la tige, refermant mes lèvres, je remontais lentement pour la vider le plus possible. Même ainsi, je récupérai une bonne quantité de foutre que j’avalais aussitôt… Le Majordome referma sa braguette, me fit signe de sortir et rejoindre l’entrée de mon immeuble. Il me suivait des yeux comme si j’étais surveillée, puis il rentra dans la voiture, démarra et s’en retourna… Prenant l’ascenseur, j’eus en bouche à nouveau le goût de son sperme et ne trouva rien à redire de ce que je venais de faire. Revenue chez moi, je me jetais dans un bain très chaud, me détendis et ma main commença à me caresser, tellement cette situation m’avait excitée. Puis subitement, j’arrêtai me disant :
« Il n’aimerait pas que toute seule, je me caresse. Allons, il n’est pas là, laisse toi aller, tu as si envie, aller ! Il n’est pas là, personne ne te voit… personne ? ».
Je commençais à en douter, ne sachant pas pourquoi ! Dans le doute, je préférais rester sur ma faim même si j’avais très envie, la peur de la cravache me rappelait sans cesse les risques encourus. Je m’endormis encore une fois ainsi dans la baignoire. Je fus réveillée par le froid du bain et après m’être séchée, je me blottis sous ma couette. Là, je me souvins de l’enveloppe et alla la prendre dans mon sac. Bien au chaud, je relus le début de la lettre et arriva au moment où l’ordre m’étais donné de sucer le chauffeur. Tout ça était fait, voyons la suite de la lettre et Ses instructions qui vont avec !, me dis-je :
« Après cette nuit d’initiation très sommaire, tu sais désormais à quoi tu t’engages si tu désires vivre ce que tu es. Je te donne jusqu’au 5 de ce mois, pour faire un pas vers moi, un pas qui changera toute ta vie, un pas qui va t’engager pour l’éternité. Je t’attendrai le 5 à midi, en ma demeure. Ne reviens que si tu le décides définitivement. Dans ce cas, ta venue sera synonyme d’acceptation totale et définitive de ta nouvelle vie. Dans le cas contraire, si tu n’es exacte à l’heure dite, cela signifiera que tu refuses mon offre et tu n’entendras plus jamais parler de moi. Tu es libre de tes décisions. Je ne te poserai aucun problème si tu ne revenais pas car ce que je veux de toi, est une acceptation éclairée, pleine, entière de ta part. Sache cependant que si tu acceptais de revenir au jour J et à l’heure dite, c’est pour devenir mon esclave, ma catin, ma chose dont je pourrai disposer à ma guise. Je vais t’imposer une épreuve pendant ces deux jours, épreuve qui t’aidera à te faire une dernière fois une opinion sur toi. Au cours de cette journée d’aujourd’hui, tu vas te rendre en taxi au 12 de l’Avenue Daumesnil, dans le 12° arrondissement. Tu y trouveras une importante Société. Tu te présenteras à l’accueil, tu diras que tu viens rencontrer le Directeur des Ressources Humaines pour pourvoir le poste de secrétaire de direction. En sa présence, tu seras reçue et tu répondras à ses questions et demandes. Si ce Monsieur souhaite te présenter à son PDG, accepte son souhait. Tu es libre de tes mouvements pendant ces deux jours, mais tu seras surveillée néanmoins, ainsi tu sauras très vite quels sont mes moyens. Ce test fera partie de ma décision de te garder ou pas dans l’hypothèse où tu reviennes me voir le 5 à midi comme convenu. Je te souhaite bonne chance, tu as ta destinée en mains, à toi de me prouver ta détermination à devenir ce que, de tous temps tu as été, sans le savoir. Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans » …
J’avais ma destinée en mains …
(A suivre …)
- Oui Maître répondis-je, vaincue… mais heureuse …
Au cours de cette nuit mémorable et à jamais gravée en ma mémoire, le Maître me fit raccompagner chez moi par Walter, son chauffeur et bras droit. J’étais assommée, abasourdie dans une autre dimension, je sentais encore les brûlures des coups reçus sur les reins, les fesses et les seins. Dans la voiture, instinctivement je touchais mes tétons, ils me faisaient mal. Qu’étais-je en train de devenir ? Mais en même temps, être devant Lui, nue, offerte, le collier, la laisse, uriner à quatre pattes en en levant une comme une véritable chienne et tout le reste, m’avaient apporter des plaisirs inconnus, des sensations nouvelles et inavouables qui me faisait prendre conscience que je me sentais à ma place... Tout s’embrouillait en moi, je m’accrochais un moment à la diva des podiums que j’étais il y a peu de jours encore, à Sharon Stone, une amie proche, à certaines personnes très connues encore aujourd’hui qui faisaient partie de mon monde, celui des paillettes et du show-business, avec lesquelles je parlais d’égale à égale, et me voilà, là, maintenant, tenue en laisse comme une chienne, ressaisis toi me disais-je !… Et pourtant cela me laissait à penser à une question essentielle, fondamentale : Ou était ma vraie place ? Celle du monde des paillettes ou celle où je me sentais vraiment bien, aux pieds du Maître ?…
- Vous ne devriez-pas vous adosser ainsi.
Je sursaute à ces mots qui me font sortir de mes pensées. Le chauffeur-Majordome lui-même s’y met !
- Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans n’aimerait pas que vous vous teniez ainsi dans Sa voiture.
- Oui je sais Monsieur, répondis-je d’un ton sec.
- Alors qu’attendez-vous ? Ce qu’Il vous enseigne, Madame, n’est surtout pas un jeu, mais un Art, un comportement qui doivent devenir pour vous, une seconde nature… votre véritable nature ...
Je reste sans voix, mais je rectifie la position de mon corps me redressant bien droite assise.
La Rolls Royce roulait vite, Autouillet, Thoiry, Plaisir, les villages se succédaient, Porte Dauphine, avenue Foch. Walter me regardait dans son rétroviseur semblant me dévisager, me surveiller. Aurait-il reçu des consignes ? Nous arrivions devant mon appartement, la voiture ralentit, et se gara. Le chauffeur descendit, ouvrit la portière, j’avais avancé une jambe pour sortir quand je le vis ouvrir sa braguette, sortant un énorme sexe déjà à demi dressé, gonflé de désirs, et sans un mot il me prit la tête par la nuque avec sa main ressemblant plus à une pelle qu’à une main humaine et me dit alors très calmement :
- Suce salope !
Estomaquée par cette exigence, je le regardais fixement dans les yeux tandis que son sexe se balançait devant ma bouche entrouverte. Il était d’un calme absolu, la sorte de calme qui montre qu’il est absolument sûr de lui, que c’est normal que je le suce, là, en bas de chez moi, dans ma rue, alors que des passants ou voisins connus de moi, pourraient déambuler et me reconnaître même.
- Regarde dans ton sac, petite chienne.
Mon sac, oui mon sac, qu’y a-t-il dans mon sac, semblait dire mon regard ?
- Regarde mais fais vite, je n’ai pas tout mon temps.
Fébrilement j’ouvrais mon petit sac, et y trouva en effet une lettre cachetée écrite de la main du Maître, tandis qu’instinctivement je refermais le compas de mes jambes.
- Les jambes, petite salope, les jambes bien écartées, je veux voir ton petit minou ma belle !
J’écartai à nouveau largement les jambes, dévoilant un sexe très humide, je l’avoue, et ouvris l’enveloppe tout en regardant le chauffeur qui attendait et je lus à demi voix, doucement, comme si je ne voulais pas qu’on m’entende :
« Ma chère petite salope de chienne, ma nuit a été à la hauteur de ce que j’attendais de toi, te démontrant je l’espère la réalité de ton être. Le but de la rencontre de cette nuit était de te montrer ce que tu allais vivre si tu l’acceptes définitivement. Moi, je sais déjà qui tu es ! Quand tu liras cette lettre, c’est parce que Walter mon chauffeur te l’aura demandé d’ouvrir ce pli. C’est prévu, comme il est prévu également que tu accèdes à son ordre sans tarder. Dans le cas contraire, je devrai considérer que tu as à nouveau commis une erreur et tu sais comment je corrige les fautes de femelle comme toi. Fais donc ce qu’il te dit sans tarder, puis chez toi, tu poursuivras la lecture de ma lettre. Tu y trouveras mes instructions. Walter me dira, revenu, si tu as obéi rapidement ou pas à mon exigence. A toi de voir. Tu es parfaite comme esclave/chienne en devenir, ne me déçois pas, jamais, tu as un tel potentiel dans la soumission, je parle de la véritable soumission, celle qui te permettra de découvrir ton équilibre mental pour te sentir à ta véritable place, esclave à Mes pieds. Le Maître »
Je restais abasourdie, refermais lentement l’enveloppe. Lire Ses propres mots me transportaient dans un autre monde auquel j’avais de plus en plus de mal à me détourner… Alors je pris en main cette verge toujours aussi tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre commençait de nouveau en ébullition, j’ouvris grand la bouche mais ferma les yeux. J’avais beau ouvrir la bouche en grand, j’eus du mal à engamer le gland si volumineux que je dus forcer sur ma mâchoire pour y arriver. Je commençais de le sucer lentement, trop lentement à son goût car il me lança ces mots sur un ton d’exigence :
- En suçant ainsi, je vais mettre dix heures à jouir salope de chienne, active-toi sinon je te cravache les fesses dans la rue et tu réveilleras tout le quartier par tes cris et…
Ses yeux devenaient menaçants, froids, un frisson de dégout me parcourut l’échine. Je ne le laissai pas terminer sa phrase car je me remémorai immédiatement la cravache. J’activai donc ma succion, et petit à petit, sans savoir pourquoi, quelque chose en moi se déclencha, trouvant somme toute normal ce que j’étais en train de faire. Quelque chose qui émergeait de je ne sais où, venant du plus profond de mon être. Je me dégoutais mais en même temps, je me remettais à mouiller comme une véritable salope. Ce qui commençait à être en ébullition, devenait de plus en plus significatif dans ma chatte, elle devait trempée de désirs, de débauche, de perversion… De ma vulve, gonflée, commençait de sourdre ma cyprine que je ne pouvais retenir. Mieux encore, j’en eux une sorte de plaisir, trahie une fois de plus par mon cher clitoris qui s’érigeait de plus en plus, tandis que je pompais de plus en plus activement l’énorme phallus gonflé de désirs. Tout en alternant les succions et les aspirations le tout en léchant les contours du gland, je me surprenais à me de dire « es-tu en train de devenir cette salope ou cette chienne dont Il te parlait, tout à l’heure ? » Le simple fait de me relater cette phrase me fit ressentir à nouveau la fameuse boule en bas du ventre, et je sentis mon sexe suinter à nouveau. En cet instant même, le chauffeur éjacula et ne m’y attendant pas, je faillis m’étouffer tant il y avait un flot de sperme abondant venant dans ma bouche par saccades et je dus m’y reprendre à deux fois pour tout avaler. Je restai ainsi, sans bouger, tandis que lui, reprenait ses esprits. Lentement, il sortit de ma bouche mais restait, de belle droiture encore. De la fente de son méat, coulait encore du liquide, ce qui lui fit dire, sans concession :
- Nettoie, salope !
A nouveau, je passai la langue sur le gland que je nettoyais de mon mieux, prenant en bouche le dit gland le pressant avec ma langue contre mon palais. Puis enfonçant ma bouche plus bas sur la tige, refermant mes lèvres, je remontais lentement pour la vider le plus possible. Même ainsi, je récupérai une bonne quantité de foutre que j’avalais aussitôt… Le Majordome referma sa braguette, me fit signe de sortir et rejoindre l’entrée de mon immeuble. Il me suivait des yeux comme si j’étais surveillée, puis il rentra dans la voiture, démarra et s’en retourna… Prenant l’ascenseur, j’eus en bouche à nouveau le goût de son sperme et ne trouva rien à redire de ce que je venais de faire. Revenue chez moi, je me jetais dans un bain très chaud, me détendis et ma main commença à me caresser, tellement cette situation m’avait excitée. Puis subitement, j’arrêtai me disant :
« Il n’aimerait pas que toute seule, je me caresse. Allons, il n’est pas là, laisse toi aller, tu as si envie, aller ! Il n’est pas là, personne ne te voit… personne ? ».
Je commençais à en douter, ne sachant pas pourquoi ! Dans le doute, je préférais rester sur ma faim même si j’avais très envie, la peur de la cravache me rappelait sans cesse les risques encourus. Je m’endormis encore une fois ainsi dans la baignoire. Je fus réveillée par le froid du bain et après m’être séchée, je me blottis sous ma couette. Là, je me souvins de l’enveloppe et alla la prendre dans mon sac. Bien au chaud, je relus le début de la lettre et arriva au moment où l’ordre m’étais donné de sucer le chauffeur. Tout ça était fait, voyons la suite de la lettre et Ses instructions qui vont avec !, me dis-je :
« Après cette nuit d’initiation très sommaire, tu sais désormais à quoi tu t’engages si tu désires vivre ce que tu es. Je te donne jusqu’au 5 de ce mois, pour faire un pas vers moi, un pas qui changera toute ta vie, un pas qui va t’engager pour l’éternité. Je t’attendrai le 5 à midi, en ma demeure. Ne reviens que si tu le décides définitivement. Dans ce cas, ta venue sera synonyme d’acceptation totale et définitive de ta nouvelle vie. Dans le cas contraire, si tu n’es exacte à l’heure dite, cela signifiera que tu refuses mon offre et tu n’entendras plus jamais parler de moi. Tu es libre de tes décisions. Je ne te poserai aucun problème si tu ne revenais pas car ce que je veux de toi, est une acceptation éclairée, pleine, entière de ta part. Sache cependant que si tu acceptais de revenir au jour J et à l’heure dite, c’est pour devenir mon esclave, ma catin, ma chose dont je pourrai disposer à ma guise. Je vais t’imposer une épreuve pendant ces deux jours, épreuve qui t’aidera à te faire une dernière fois une opinion sur toi. Au cours de cette journée d’aujourd’hui, tu vas te rendre en taxi au 12 de l’Avenue Daumesnil, dans le 12° arrondissement. Tu y trouveras une importante Société. Tu te présenteras à l’accueil, tu diras que tu viens rencontrer le Directeur des Ressources Humaines pour pourvoir le poste de secrétaire de direction. En sa présence, tu seras reçue et tu répondras à ses questions et demandes. Si ce Monsieur souhaite te présenter à son PDG, accepte son souhait. Tu es libre de tes mouvements pendant ces deux jours, mais tu seras surveillée néanmoins, ainsi tu sauras très vite quels sont mes moyens. Ce test fera partie de ma décision de te garder ou pas dans l’hypothèse où tu reviennes me voir le 5 à midi comme convenu. Je te souhaite bonne chance, tu as ta destinée en mains, à toi de me prouver ta détermination à devenir ce que, de tous temps tu as été, sans le savoir. Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans » …
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