La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
Arrivée à deux pas de lui, il me dit : …
- Petite pouliche, retourne à la porte, et reviens vers moi, très lentement, comme si tu décomposais tes mouvements… Je veux étudier ton pas !
- Bien, Monsieur, répondis-je - Monsieur le Compte ! me reprit-il d’un ton sec et très sévère.
- Bien Monsieur le Comte
Je revenais vers la porte du salon, me retournais et me mis en « marche » lentement, très lentement, de sa main il guidait mes pas comme pour me faire avancer au rythme qu’il voulait… Il me dévorait des yeux… Je me sentais comme happée par son regard de fin connaisseur, comme si j’étais une pouliche au dressage… Je m’approchais très lentement, il me détaillait encore quand il dit avec un ton hautain :
- Alors comme ça, tu es la dernière trouvaille de mon excellent ami, Monsieur le Marquis d’Evans ? Ou t’a-t-il dénichée, petite jument ?
- Lors d’une présentation d’une Collection de la prestigieuse Bijouterie Cartier, il y a peu à Paris, Monsieur le Comte ! J’y présentais des parures de joailleries.
- Ah, tu portes beau semble-t-il, si on fait appel à tes services !
- Merci Monsieur le Comte, répondis-je !
- Ecartes tes pattes de jument, mon petit et montre-moi ta vulve de chienne !
- J’obtempérai, écartais mes jambes, et ouvrais mes lèvres intimes largement.
- Je vois. Petit clito ! Tu n’as pas encore vêlé me semble-t-il ! (J’allais répondre quand il ajouta) - Tu sais, on ne me l’a fait pas à moi, j’ai l’œil, tourne toi maintenant, penches toi et écartes tes fesses - Bien, Monsieur le Comte !
Je me penchais en avant, lui tournant le dos et écartais les fesses, lui dévoilant mon anus. Je l’entendis se lever, et je sentis déposer un doigt sur ma rosette qui se serra un peu mais pas trop. Il tenta d’y introduire un peu plus le doigt, mais, se ravisant, le retira, me caressa les fesses longuement, comme les palpant. De temps en temps, je le sentais les serrer entre ses doigts, comme pour sentir les muscles fessiers comme le ferait un jockey à son cheval… Il tâtait aussi le bas du dos, des deux côtés au-dessus des fesses, et me dit :
- Bon râble, as-tu fait de la course ou compétition?
(Toujours penchée en avant, jambes et fesses écartées) - Oui Monsieur le Comte - Tu as de beaux restes, je vois… - Il se rassit tandis que je conservais immobile la posture exhibée…
D’un claquement de doigts, il me fit comprendre de me relever et de me tourner vers lui.
- Tu as des cuisses d’acier me semble-t-il ! Mollets bien faits, pieds cambrés, tu as fait de la danse, belle pouliche ?
- Oui, Monsieur le Comte !
- J’en étais sûr. Tout cela est très intéressant disait-il en se caressant le menton…
Ensuite, il se leva, s’approcha de mon corps, tourna deux ou trois fois autour de moi très lentement tout en me dévisageant longuement. Puis, il prit ma main très délicatement et la fit aller vers mon clitoris. Il commença à faire bouger ma main comme pour me branler avec mes propres doigts…
- Continue ! Montre-moi ce que tu as dans le ventre ! Montre-moi comment une jument comme toi se masturbe son petit clito, Tandis qu’il reprenait sa place dans le fauteuil.
J’avoue que cet homme m’intriguait fortement et ma main, posée sur mon sexe ne bougeait pas tandis qu’ébahie par ses propos, je le regardais, yeux grands ouverts. Il me fixait, son regard devenait dur, de plus en plus dur. Je dis, calmement mais distinctement :
- Monsieur le Comte, sauf Votre respect, je n’ai pas reçu instruction du Maître de vous servir en ces gestes qui lui sont réservés.
Il était en train d’absorber une gorgée de sa boisson, mais manqua de s’étouffer en entendant ma répartie. Sans bouger, sa main portant toujours le verre, et toujours à portée de sa bouche, ses yeux se plissèrent, tant, qu’ils ressemblaient à deux traits de vipère. Ils lançaient des éclairs si vifs que je sentais bien nettement son immense colère qu’il tentait cependant, mais vainement de masquer.
- Je vous choque Monsieur le Comte ? Sachez que cela n’est pas dans mes intentions mais j’appartiens à Monsieur le Marquis d’Evans qui ne m’a laissé aucune consigne en ce sens.
(Se levant d’un bond) - Je te ferai ravaler tes propos, petite chienne effrontée, grommela-t-il, se saisissant d’une cravache, levant son bras et resta… ainsi, bras levé…
Il respirait très fortement, la lança au travers de la pièce et appela le Majordome presque en hurlant :
- Walter !
Quelques secondes plus tard, alors que j’étais restée dans la même pose, Walter fit irruption, dans le salon.
- Monsieur le Comte m’a fait demander ?
- Cette petite Chie…, cette... soufflait-il, hors de lui, cette… peu importe d’ailleurs, ose me tenir tête refusant d’obéir à un ordre que je lui donne.
- Sans vous offenser, Monsieur le Compte, vous connaissez les limites de la permission de Monsieur le Marquis, votre ami. Qu’avez-vous ordonné à la chienne ici présente ?
Faisant des efforts désespérés pour tenter de se calmer…
- Rien de spécial, Walter, rien de spécial, seulement que cette… femelle mal élevée se caresse le sexe devant moi.
- Monsieur le Comte, comprenez ma gêne, je vous sais un ami très cher de Monsieur le Marquis d’Evans, mais les consignes du Maître sont précises, vous… ne pouvez faire faire quelque chose à Sa chienne qui ne soit pas prévu et la seule chose autorisée par de Monsieur le Marquis, pour vous en ce jour, est que vous lui exigez de vous faire une fellation, rien de plus, Monsieur le Comte et que vous preniez connaissance de son physique…
Je n’étais pas au courant de ces tractations dans mon dos mais je sentais que j’avais pris l’ascendant sur le Comte de Beusgley en lui refusant de me branler. Je pris les paroles de Walter comme une défense de sa part même si en réalité, il ne faisait qu’expliquer strictement les consignes claires du Maître.
- Je sais, je sais, mon bon Walter, mais qu’elle se caresse devant moi, n’outrepasse pas l’autorisation de mon vieil ami que je sache, c’est si peu demander que de se caresser sans même que je la touche, juste que je la regarde se branler en bonne petite chienne. Et de toute manière, une femelle ne peut qu’obéir !
- Si fait, Monsieur le Comte, la chienne obéit, croyez-le bien, mais elle obéit à Celui à qui elle appartient : Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Je vous fais remarquer que ce que vous lui demandez de faire n’est pas autorisé en ce jour par Lui et la chienne ici présente a eu raison de ne pas vous obéir.
Et « toc » Monsieur le Comte de Beusgley, me dis-je, la main toujours sur mon sexe, riant sous cape au fond de moi.
- Avez-vous encore besoin de la femelle, Monsieur le Comte ?
- Oui ! laissez-là ici, je n’en ai pas encore fini avec elle.
- Comme vous voulez, Monsieur le Comte mais, vous le comprenez, je devrai relater l’incident à Monsieur le Marquis, dès son retour. La chienne que vous voyez devant vous est vraiment Sa propriété absolue, pleine et entière.
- Oui ! Je sais, laissez-nous Walter maintenant, éructa le Comte.
Walter sortit tout en le saluant poliment de la tête
- Je te jure, petite salope, que tu me le paieras, d’une façon ou d’un autre, sois-en certaine ! Approche maintenant ! A genoux ! Défaits ma braguette, sors mon sexe et occupe-t-en, je vais voir si tu es aussi efficace de ta bouche pour sucer que pour palabrer et narguer un homme de mon importance.
Je m’approchais, m’agenouillais entre ses jambes, défis sa braguette et sortis un sexe coincé dans le slip mais qui une fois libéré, se déploya vivement. Le Comte était bien monté. Une verge dépassant les dix-huit centimètres avec un gland somme toute, volumineux et bien découpé. Je déposais un baiser tout d’abord sur ce gland violacé qui sentait fort, puis passais ma langue dessus, dans la fente du méat, le léchant méticuleusement. Puis, je faisais le tour de la base du gland, avec la pointe de ma langue. Je jouais avec ce gland qui n’attendait qu’une chose, entrer dans ma bouche. Je m’en doutais mais reculais ce moment, léchant et léchant encore le prépuce, le frein, faisant mine de gober le bout de la grosse bite pour mieux en refaire le tour du bout de ma langue. Délaissant le gland, j’entreprenais de lécher la hampe sur toute sa longueur, toujours lentement, sans me presser sans y mettre les mains comme l’exigeait souvent le Maître. « Toujours avec la bouche et la langue, jamais avec les mains », disait Maître ! Enfin, après un « nettoyage » systématique de la queue devenue encore plus raide, je pris en bouche le gland, ce qui fit émettre au Comte de Beusgley un « Hummm » de contentement.
A partir de ce moment, je commençais une fellation comme, de temps en temps j’aimais les faire, lente, longue, très longue, contrôlant complètement les éjaculations intempestives et que j’appelle « réflexes ». J’aspirais alors la bite, bouche grande ouverte, l’avalais le plus profondément possible au fur et à mesure de mon léchage, calait la queue contre mon palais, l’« écrasant » avec ma langue pour « casser » le réflexe premier d’une éjaculation trop rapide. Puis, je relâchais l’étreinte buccale, reprenant mes aspirations, suivies de va-et-vient plus rapides et profonds qui commençaient de faire perdre la respiration de Monsieur le Comte. Ses yeux fermés, tenant ses lunettes entre ses doigts, il hoquetait tant son envie de jouir était forte, mais je contrôlais son éjaculation Ses yeux se rouvrant de temps en temps semblaient me dire :
- Que me fais-tu ? Fais-moi jouir, salope...
J’enfonçais entièrement le gland dans ma gorge, pressant mes lèvres très bas sur la hampe de sa tige. Par des mouvements de ma luette, je « l’échais » le bout de la bite du Comte qui, ignorant cette sensation ne pouvait bouger, comme prisonnier de mes lèvres, mais avec une envie, maintenant devenue démentielle. Il cherchait une respiration seconde mais ne semblait pas la trouver. Sa main s’agitait comme s’il voulait toucher mon visage, mais retombait, car à chaque tentative de sa part, je répondais par une pression de mes lèvres sur la tige, en remontant de tout le long, tandis que ma langue s’activait férocement sur le gland, mes dents le mordillait doucement, je le rendais fou ....d’envies. Le Comte de Beusgley perdait toute contenance, devenu marionnette entre les lèvres de la chienne…
(A suivre …)
Arrivée à deux pas de lui, il me dit : …
- Petite pouliche, retourne à la porte, et reviens vers moi, très lentement, comme si tu décomposais tes mouvements… Je veux étudier ton pas !
- Bien, Monsieur, répondis-je - Monsieur le Compte ! me reprit-il d’un ton sec et très sévère.
- Bien Monsieur le Comte
Je revenais vers la porte du salon, me retournais et me mis en « marche » lentement, très lentement, de sa main il guidait mes pas comme pour me faire avancer au rythme qu’il voulait… Il me dévorait des yeux… Je me sentais comme happée par son regard de fin connaisseur, comme si j’étais une pouliche au dressage… Je m’approchais très lentement, il me détaillait encore quand il dit avec un ton hautain :
- Alors comme ça, tu es la dernière trouvaille de mon excellent ami, Monsieur le Marquis d’Evans ? Ou t’a-t-il dénichée, petite jument ?
- Lors d’une présentation d’une Collection de la prestigieuse Bijouterie Cartier, il y a peu à Paris, Monsieur le Comte ! J’y présentais des parures de joailleries.
- Ah, tu portes beau semble-t-il, si on fait appel à tes services !
- Merci Monsieur le Comte, répondis-je !
- Ecartes tes pattes de jument, mon petit et montre-moi ta vulve de chienne !
- J’obtempérai, écartais mes jambes, et ouvrais mes lèvres intimes largement.
- Je vois. Petit clito ! Tu n’as pas encore vêlé me semble-t-il ! (J’allais répondre quand il ajouta) - Tu sais, on ne me l’a fait pas à moi, j’ai l’œil, tourne toi maintenant, penches toi et écartes tes fesses - Bien, Monsieur le Comte !
Je me penchais en avant, lui tournant le dos et écartais les fesses, lui dévoilant mon anus. Je l’entendis se lever, et je sentis déposer un doigt sur ma rosette qui se serra un peu mais pas trop. Il tenta d’y introduire un peu plus le doigt, mais, se ravisant, le retira, me caressa les fesses longuement, comme les palpant. De temps en temps, je le sentais les serrer entre ses doigts, comme pour sentir les muscles fessiers comme le ferait un jockey à son cheval… Il tâtait aussi le bas du dos, des deux côtés au-dessus des fesses, et me dit :
- Bon râble, as-tu fait de la course ou compétition?
(Toujours penchée en avant, jambes et fesses écartées) - Oui Monsieur le Comte - Tu as de beaux restes, je vois… - Il se rassit tandis que je conservais immobile la posture exhibée…
D’un claquement de doigts, il me fit comprendre de me relever et de me tourner vers lui.
- Tu as des cuisses d’acier me semble-t-il ! Mollets bien faits, pieds cambrés, tu as fait de la danse, belle pouliche ?
- Oui, Monsieur le Comte !
- J’en étais sûr. Tout cela est très intéressant disait-il en se caressant le menton…
Ensuite, il se leva, s’approcha de mon corps, tourna deux ou trois fois autour de moi très lentement tout en me dévisageant longuement. Puis, il prit ma main très délicatement et la fit aller vers mon clitoris. Il commença à faire bouger ma main comme pour me branler avec mes propres doigts…
- Continue ! Montre-moi ce que tu as dans le ventre ! Montre-moi comment une jument comme toi se masturbe son petit clito, Tandis qu’il reprenait sa place dans le fauteuil.
J’avoue que cet homme m’intriguait fortement et ma main, posée sur mon sexe ne bougeait pas tandis qu’ébahie par ses propos, je le regardais, yeux grands ouverts. Il me fixait, son regard devenait dur, de plus en plus dur. Je dis, calmement mais distinctement :
- Monsieur le Comte, sauf Votre respect, je n’ai pas reçu instruction du Maître de vous servir en ces gestes qui lui sont réservés.
Il était en train d’absorber une gorgée de sa boisson, mais manqua de s’étouffer en entendant ma répartie. Sans bouger, sa main portant toujours le verre, et toujours à portée de sa bouche, ses yeux se plissèrent, tant, qu’ils ressemblaient à deux traits de vipère. Ils lançaient des éclairs si vifs que je sentais bien nettement son immense colère qu’il tentait cependant, mais vainement de masquer.
- Je vous choque Monsieur le Comte ? Sachez que cela n’est pas dans mes intentions mais j’appartiens à Monsieur le Marquis d’Evans qui ne m’a laissé aucune consigne en ce sens.
(Se levant d’un bond) - Je te ferai ravaler tes propos, petite chienne effrontée, grommela-t-il, se saisissant d’une cravache, levant son bras et resta… ainsi, bras levé…
Il respirait très fortement, la lança au travers de la pièce et appela le Majordome presque en hurlant :
- Walter !
Quelques secondes plus tard, alors que j’étais restée dans la même pose, Walter fit irruption, dans le salon.
- Monsieur le Comte m’a fait demander ?
- Cette petite Chie…, cette... soufflait-il, hors de lui, cette… peu importe d’ailleurs, ose me tenir tête refusant d’obéir à un ordre que je lui donne.
- Sans vous offenser, Monsieur le Compte, vous connaissez les limites de la permission de Monsieur le Marquis, votre ami. Qu’avez-vous ordonné à la chienne ici présente ?
Faisant des efforts désespérés pour tenter de se calmer…
- Rien de spécial, Walter, rien de spécial, seulement que cette… femelle mal élevée se caresse le sexe devant moi.
- Monsieur le Comte, comprenez ma gêne, je vous sais un ami très cher de Monsieur le Marquis d’Evans, mais les consignes du Maître sont précises, vous… ne pouvez faire faire quelque chose à Sa chienne qui ne soit pas prévu et la seule chose autorisée par de Monsieur le Marquis, pour vous en ce jour, est que vous lui exigez de vous faire une fellation, rien de plus, Monsieur le Comte et que vous preniez connaissance de son physique…
Je n’étais pas au courant de ces tractations dans mon dos mais je sentais que j’avais pris l’ascendant sur le Comte de Beusgley en lui refusant de me branler. Je pris les paroles de Walter comme une défense de sa part même si en réalité, il ne faisait qu’expliquer strictement les consignes claires du Maître.
- Je sais, je sais, mon bon Walter, mais qu’elle se caresse devant moi, n’outrepasse pas l’autorisation de mon vieil ami que je sache, c’est si peu demander que de se caresser sans même que je la touche, juste que je la regarde se branler en bonne petite chienne. Et de toute manière, une femelle ne peut qu’obéir !
- Si fait, Monsieur le Comte, la chienne obéit, croyez-le bien, mais elle obéit à Celui à qui elle appartient : Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Je vous fais remarquer que ce que vous lui demandez de faire n’est pas autorisé en ce jour par Lui et la chienne ici présente a eu raison de ne pas vous obéir.
Et « toc » Monsieur le Comte de Beusgley, me dis-je, la main toujours sur mon sexe, riant sous cape au fond de moi.
- Avez-vous encore besoin de la femelle, Monsieur le Comte ?
- Oui ! laissez-là ici, je n’en ai pas encore fini avec elle.
- Comme vous voulez, Monsieur le Comte mais, vous le comprenez, je devrai relater l’incident à Monsieur le Marquis, dès son retour. La chienne que vous voyez devant vous est vraiment Sa propriété absolue, pleine et entière.
- Oui ! Je sais, laissez-nous Walter maintenant, éructa le Comte.
Walter sortit tout en le saluant poliment de la tête
- Je te jure, petite salope, que tu me le paieras, d’une façon ou d’un autre, sois-en certaine ! Approche maintenant ! A genoux ! Défaits ma braguette, sors mon sexe et occupe-t-en, je vais voir si tu es aussi efficace de ta bouche pour sucer que pour palabrer et narguer un homme de mon importance.
Je m’approchais, m’agenouillais entre ses jambes, défis sa braguette et sortis un sexe coincé dans le slip mais qui une fois libéré, se déploya vivement. Le Comte était bien monté. Une verge dépassant les dix-huit centimètres avec un gland somme toute, volumineux et bien découpé. Je déposais un baiser tout d’abord sur ce gland violacé qui sentait fort, puis passais ma langue dessus, dans la fente du méat, le léchant méticuleusement. Puis, je faisais le tour de la base du gland, avec la pointe de ma langue. Je jouais avec ce gland qui n’attendait qu’une chose, entrer dans ma bouche. Je m’en doutais mais reculais ce moment, léchant et léchant encore le prépuce, le frein, faisant mine de gober le bout de la grosse bite pour mieux en refaire le tour du bout de ma langue. Délaissant le gland, j’entreprenais de lécher la hampe sur toute sa longueur, toujours lentement, sans me presser sans y mettre les mains comme l’exigeait souvent le Maître. « Toujours avec la bouche et la langue, jamais avec les mains », disait Maître ! Enfin, après un « nettoyage » systématique de la queue devenue encore plus raide, je pris en bouche le gland, ce qui fit émettre au Comte de Beusgley un « Hummm » de contentement.
A partir de ce moment, je commençais une fellation comme, de temps en temps j’aimais les faire, lente, longue, très longue, contrôlant complètement les éjaculations intempestives et que j’appelle « réflexes ». J’aspirais alors la bite, bouche grande ouverte, l’avalais le plus profondément possible au fur et à mesure de mon léchage, calait la queue contre mon palais, l’« écrasant » avec ma langue pour « casser » le réflexe premier d’une éjaculation trop rapide. Puis, je relâchais l’étreinte buccale, reprenant mes aspirations, suivies de va-et-vient plus rapides et profonds qui commençaient de faire perdre la respiration de Monsieur le Comte. Ses yeux fermés, tenant ses lunettes entre ses doigts, il hoquetait tant son envie de jouir était forte, mais je contrôlais son éjaculation Ses yeux se rouvrant de temps en temps semblaient me dire :
- Que me fais-tu ? Fais-moi jouir, salope...
J’enfonçais entièrement le gland dans ma gorge, pressant mes lèvres très bas sur la hampe de sa tige. Par des mouvements de ma luette, je « l’échais » le bout de la bite du Comte qui, ignorant cette sensation ne pouvait bouger, comme prisonnier de mes lèvres, mais avec une envie, maintenant devenue démentielle. Il cherchait une respiration seconde mais ne semblait pas la trouver. Sa main s’agitait comme s’il voulait toucher mon visage, mais retombait, car à chaque tentative de sa part, je répondais par une pression de mes lèvres sur la tige, en remontant de tout le long, tandis que ma langue s’activait férocement sur le gland, mes dents le mordillait doucement, je le rendais fou ....d’envies. Le Comte de Beusgley perdait toute contenance, devenu marionnette entre les lèvres de la chienne…
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