La dernière touche

- Par l'auteur HDS Briard -
Récit érotique écrit par Briard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 79 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Briard ont reçu un total de 216 899 visites.
Récit libertin : La dernière touche Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 610 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
La dernière touche
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…
Cette nouvelle est la quatrième sur le thème « Vengeance féminine ».

Partie 1
Arina referma le couvercle du clavier du piano.
C’était un Kawai Shigeru noir laqué de toute beauté. Il avait été entièrement révisé la semaine passée et le laqué de la structure brillait de mille feux.
Elle l’avait fait réaccorder du LA3 au Sol5 car elle avait perçu un léger décalage descendant.
A présent tout était parfait pour Frédéric ce soir.
Arina Raphaëlli avait grandi dans l’univers du piano. Entrée au conservatoire de Chambéry à 6 ans, elle avait été brillamment admise au conservatoire national de Paris à 10 ans avec la mention très bien au concours d’entrée.
Là, elle avait fait la connaissance de Frédéric Liennhoff, jeune prodige du même âge qu’elle, venant, lui, de Strasbourg.
Ils avaient suivi les mêmes cours pendant sept longues années et étaient sortis premiers ex æquo de leur promotion.
Le jeu plus délié d’Arina avait pourtant eu les faveurs du jury, mais la mère de Frédéric avait intrigué pour que les deux élèves soient évalués au même rang.
Célèbre chanteuse lyrique, Ebba Liennhoff voulait un grand destin pour son fils.
Maîtresse femme, c’est elle qui portait la culotte dans son couple et son mari, le père de Frédéric, bien qu’agent et producteur de sa femme, n’avait pas voix au chapitre.
L’année de leurs seize ans, ils avaient trouvé chacun un poste d’enseignant du solfège au Centre de Formation Professionnel de musique de Paris.

A dix-sept ans, ils entrèrent au conservatoire international de Musique de Paris et s’installèrent en colocation dans un petit appartement du dix-septième arrondissement.
Pour payer leurs études, la location et leur modeste train de vie, ils enseignaient le piano et le solfège dans leur appartement.

Ils avaient économisé sur leurs salaires de l’année passée pour acheter un piano d’occasion.

Ils tombèrent sur une petite merveille, un Seiler, demi-queue de deux mètres zéro-six en laqué noir qui leur coûta une fortune, à l’achat, mais aussi à livrer et installer dans leur salon.
Ils le firent réviser et commencèrent à travailler avec.

Ne disposant que d’un seul instrument, ils alternaient les horaires de cours.
En dehors de l’enseignement, donné à leurs élèves et reçu du conservatoire, ils travaillaient inlassablement leur technique.
Ils se relayaient au clavier, l’un jouant et l’autre commentant ou conseillant sur le jeu.
Sans se l’avouer, leur amitié avait fait place à un sentiment beaucoup plus fort, mais que, jusqu’alors, ils n’avaient osé s’avouer.

Elle s’inscrit au concours international de piano de l’Ile de France. C’était une compétition rude et acharnée où le jury était composé de vingt-huit membres dont trois des meilleurs concertistes de la planète. Il y avait plus de trois milles candidats. Il y avait trois grandes distinctions.
Le prix d’Excellence, le Prix Supérieur et le Prix Amateur Niveau Concertiste.
Le Prix d’Excellence avait pour règle de composer un programme d’une durée maximum de vingt minutes, comprenant trois ou quatre œuvres. Une étude, une œuvre classique ou baroque et une œuvre romantique ou contemporaine.
Le vainqueur du prix d’excellence se voyait décerner cinq milles euros, un contrat pour dix concerts en France et un stage masterclass auprès d’un grand maître du piano.
Arina passa une grande partie de son temps libre à sélectionner les œuvres parmi lesquelles elle ferait son choix.

Pour la première, elle opta pour les quatre études de Prokofiev, l’Allegro en ré mineur, le Moderato en mi mineur, l’Andante Simplice et le Presto Energico en ut mineur.
Elle trouvait l’Allegro très léger et, en même temps, un rien solennel.
Le Moderato, tout en finesse et en douceur, devait se jouer avec un toucher très délicat.
L’Andante Simplice était grave à souhait, mais il dégageait de lui toute la subtilité du compositeur car il demandait une concentration extrême pour ne pas se laisser emballer par la partie ardente et rapide.
Enfin, le Presto energico était son préféré, car il avait une connotation de chevauchée et l’énergie et la concentration qu’il demandait paraissaient correspondre tout à fait à son appréhension de l’achèvement d’une œuvre dramatique majeure.

Pour l’œuvre classique, elle opta pour le Clair de Lune, extrait de la suite Bergamasque, en ré bémol majeur, de Claude Debussy.
Joué pianissimo sur un Andante très expressif, elle adorait l’intensité émotionnelle de sa partie lente et les allers et retours expressifs, dans sa partie rapide.

Enfin, pour l’œuvre romantique, elle choisit sa préférée, la Campanella de Franz Liszt, célèbre pièce pour piano en sol dièse mineur. Son exécution est extrêmement difficile et requiert énormément de rapidité, de dextérité et de souplesse.

Elle mesura la durée totale des trois œuvres et vérifia qu’elles atteignaient le temps imparti.

Il ne lui restait plus que six mois pour être au point.

Elle demanda à Frédéric de la coacher, ce qu’il s’empressa d’accepter, bien que soucieux de la capacité de son amie de trouver suffisamment de jours pour être prête le jour J.

« Je trouverai le temps pour travailler, ne t’inquiète pas. J’ai l’intention de m’acheter un clavier électronique pour pouvoir jouer au casque et travailler le soir ou même la nuit. J’ai vu un Yamaha CLP-735 R dans mes prix. Je l’ai acheté, on me le livre lundi. »
Elle aurait aimé qu’il lui propose de la dispenser de cours aux élèves, le temps de la préparation, mais se dit que, après-tout, elle devait contribuer au paiement des factures et fit contre mauvaise fortune bon cœur.

Elle s’organisa pour pouvoir travailler deux heures le matin, deux heures l’après-midi et encore deux heures le soir.
Elle monta un plan de travail pour acquérir chacune des trois œuvres en un temps égal.

Leur duo était très efficace et elle se donna à fond dans son apprentissage de l’Allegro tout en suivant les conseils éclairés que lui donnait Frédéric.
En deux semaines, elle avait totalement ingurgité le touché nécessaire et se trouva au point.
Deux semaines plus tard, elle maîtrisait parfaitement le moderato avec un jeu qui la satisfaisait.
Deux autres semaines furent nécessaires pour qu’elle vienne à bout de l’Andante Simplice dont le touché alternant entre souple, léger et tonique, la ravissait.
Enfin dix jours lui suffirent pour domestiquer le Presto energico qu’elle préférait et de loin aux trois autres mouvements.

Elle proposa à Frédéric, un matin, de s’asseoir dans le canapé plutôt qu’à côté d’elle et enchaîna les quatre mouvements à la suite.
Il l’écouta attentivement, l’air grave.
Lorsqu’elle eut terminé, un silence de quelques secondes s’installa. Elle attendait, impatiente, de savoir le ressenti de son ami et coach.
Il se leva, vint derrière elle, posa ses mains sur ses épaules, se pencha et l’embrassa fortement sur la joue.
« C’est parfait Arina, vraiment parfait. »Elle se retourna vers lui, l’air interrogateur.
« Tu es sûr ? »« Oui ma princesse, c’est sublime. Tu as un touché magique, tu as avalé les quatre morceaux avec maîtrise, souplesse, légèreté et doigté. C’est en tout point remarquable. Je ne sais comment te dire à quel point je suis fier de toi. »Elle se leva et se jeta dans ses bras.
« Oh Frédéric, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. C’est le plus beau compliment que l’on m’ait fait. »Elle le regarda intensément dans les yeux, comme cherchant à y lire quelque chose.
Mais il se déroba et se détacha doucement d’elle.
« Il faut dès aujourd’hui que tu t’attaques au Clair de lune. Il te reste quatre mois et, je pense que seize semaines ne seront pas de trop. »« Laisse-moi savourer cette première étape. Ce midi, c’est moi qui t’invite. »
Elle lui prépara un délicieux repas qu’ils prirent en tête à tête dans la salle à manger, ce qui était assez inhabituel, mais qui leur offrit un agréable moment de complicité.

Dès le lendemain, elle s’attaquait à l’œuvre de Debussy.
Elle mettait tout son cœur dans le jeu de l’Andante, et, plus d’une fois, Frédéric interrompit son cours pour entendre cet incroyable toucher qui le ravissait.

Plus d’une fois, un élève vint dans la pièce écouter les allers et retours de la partie rapide et restait comme hypnotisé par la virtuosité du jeu de la jeune fille.

Six semaines plus tard, elle profita d’un cours annulé pour prendre Frédéric par la main et l’amener au canapé.
Assieds-toi et ne dit rien avant que j’aie terminé. »Elle s’assit solennellement, se concentra quelques secondes et entama l’Andante.
Il la regarda intensément et sembla subjugué par l’allégresse avec laquelle elle survolait l’œuvre.
Cela faisait presqu’une semaine qu’il n’avait pas trouvé cinq minutes pour s’asseoir et l’écouter travailler.
Il trouva que son jeu avait considérablement évolué, muri et eut quelques frissons.
La musique envahissait la pièce et le berçait de la plus douce des façons.
Les enchaînement étaient parfaitement maîtrisés et l’intensité émotionnelle qui se dégageait du piano le submergea.
Une larme coula lentement sur sa joue sans qu’il ne s’en aperçoive et c’est tout ému qu’il se levât et vint la rejoindre une fois le morceau achevé.
Elle se tourna vers lui, l’œil de nouveau interrogateur.
Il lui prit les deux mains et les serra contre sa poitrine.
« Alors, ça t’a plu ? »« Arina, c’est… »Il déglutit difficilement.
« C’est juste… »Elle fléchit les genoux et se redressa vivement.
« C’est quoi ? »« C’est merveilleux ! Tu m’as envouté avec ton toucher, avec sa légèreté. Tu as sublimé cette œuvre. C’était vraiment excellent. »Elle lui offrit son plus beau sourire.
« Merci maître, vous me voyez très flattée. »« Non, ne plaisante pas. Je sais que je ne suis pas toujours objectif et que de temps en temps, je tempère mes remarques pour t’épargner et ne pas te décourager. Mais cela faisait quelques temps que je ne t’avais pas écouté. C’est prodigieux, tu m’as fait chavirer, ton jeu m’a pénétré jusqu’au cœur. Je ne savais plus si je devais pleurer ou rire, tu m’as subjugué Arina. »Elle se pencha et lui fit un léger baiser sur les lèvres.
« T’avoir ému est ma plus belle récompense. »Elle poussa un soupir puis tapa dans ses mains.
« Bon, allez, je m’attaque à La Campanella. Il me reste assez de temps je l’espère, et il n’y a pas une minute à perdre. »Elle le laissa là et s’enfuit dans sa chambre.
A partir du lendemain, et plusieurs fois par jour, l’air s’emplissait des mouvements rapides et enjoués de l’œuvre de Listz. Les cinq minutes du mouvement s’étiraient parfois sur de longues minutes à faire et refaire un passage exigeant une grande dextérité. Avec patience, Arina recommençait inlassablement jusqu’à ce que le résultat la satisfasse.
Les trémolos qu’elle exécutait prenait une telle vitesse que tout semblait s’arrêter dans l’appartement jusqu’à ce que le silence se fit.
La jeune fille finissait parfois ses journées complètement épuisée tant la gymnastique mentale et physique était éprouvante.
On l’entendant raller après elle-même de temps en temps, lorsque son jeu n’était pas assez délié ou qu’elle sautait une note.
Une fois même, elle referma prestement le couvercle du clavier et sortit prendre l’air quelques instant sur le balcon.
Frédéric l’assista autant qu’il le put et que son emploi du temps le lui permit, mais il se rendit vite compte qu’elle n’avait pas vraiment besoin de ses conseils.
Et, effectivement, six semaines plus tard, alors qu’il rentrait un soir après avoir fait quelques courses qu’elle lui avait dictées, il la trouva dans le hall de l’appartement, trépignant sur place.
« Viens. »Elle lui prit la main et l’entraina jusqu’au canapé.
« Attend, il faut que je range les courses. »« Ça attendra. Assieds-toi et écoute. »Elle alla au piano et se retourna.
« Soit sincère, c’est tout ce que je te demande. »Elle s’assit, fit craquer ses doigts puis les mit au-dessus du clavier.
Elle attendit quelques secondes, les yeux clos.
Elle respira profondément, ouvrit les yeux et commença à jouer.
Cela faisait quelques jours qu’elle utilisait le piano électronique avec le casque et qu’il n’entendait plus aucun son.
Il fut d’entrée surpris par la légèreté de ses doigts et l’air enjoué qui se dessinait sur son visage.
La virtuosité et la rapidité de son jeu le laissa pantois. Elle avait fait de tels progrès qu’il se contenta d’écouter en auditeur averti, certes, mais totalement conquis.
Il ne trouva rien à redire à cette interprétation d’une qualité exceptionnelle et, de nouveau, les larmes se mirent à couler abondamment sur ses joues.
Elle jouait de façon magistrale et il ne put s’empêcher de la détailler.
Son profile était alternativement sévère et enjoué. Elle suivait la course de ses doigts et, de temps en temps, sa tête faisait de charmants allers et retours comme pour battre le tempo.
Il la trouva très belle et se senti submergé par un sentiment qui prenait désormais toute sa place dans son cœur.
Cette jeune fille à la plastique quasi parfaite et au profil des plus agréables à regarder, il la connaissait depuis pas mal d’années maintenant et il se rendit tout à coup compte qu’elle était devenue une superbe femme, avec des courbes divines et un regard envoutant.
Il comprit, pendant qu’elle accélérait son allegro, qu’il était complétement envouté par sa beauté et irrésistiblement amoureux.
Son cœur battait rapidement et il se sentit oppressé. Un sentiment de profonde attirance et de désir avait pris place en lui, et avait supplanté la vieille amitié qui s’était doucement effacée.
Il comprit à quel point il ne pouvait échapper à cet amour qui l’envahissait totalement et qui se révélait soudainement.
Il pensa qu’il était vain de résister et hypocrite de continuer à faire semblant.
Il l’aimait et d’un amour qui avait pris le temps de grandir en lui.
Il sut aussi, pendant les quelques cinq minutes du morceau, qu’elle était son âme sœur et qu’il ne pourrait plus imaginer la vie sans elle.

Elle acheva le mouvement et resta quelques instants immobile, les mains suspendues à quelques centimètres du clavier, la tête légèrement penchée sur les touches.
Elle sortit de sa léthargie et tourna la tête vers lui. Elle avait les larmes aux yeux et le regarda intensément.
Elle le découvrit, interdit, bouche bée les joues humides et le regard comme embué et perdu.
Il se leva, et vint vers elle.
Elle se leva à son tour.
Il lui saisit les mains et les baisa l’une après l’autre.
« C’est merveilleux… Heu… Je voudrais… te dire… »Elle avança son visage vers lui.
« Oui ? »Il lâcha ses mains, s’agenouilla et lui entoura les jambes de ses bras. Il leva son visage vers elle.
« Je t’aime Arina. Je t’aime du plus profond de mon être. Tu es tout ce que j’aime et tout ce que je désire. »Elle lui prit la tête et la pressa contre ses cuisses ;« Moi aussi je t’aime Frédéric, et ça fait déjà pas mal de temps. »Il se relava et entoura sa taille de ses mains.
Leurs visages étaient proches et leurs yeux ne se quittaient pas.
« Je ne peux imaginer ma vie sans toi. Je veux être ton amour, ton ami, ton présent et ton futur. »« Je veux que tu fasses de moi une femme. Une femme amoureuse pour la vie. »Il pencha la tête vers elle, leurs lèvres se joignirent, leurs langues se découvrirent et leurs corps se serrèrent l’un contre l’autre.
Elle mit fin au baiser et lui prit la main, l’entrainant vers sa chambre.

Elle le laissa à la porte, une fois entres, et alla vers le lit.
Là, elle se retourna et commença à retirer son tee-shirt. Elle fit tomber sa jupe écossaise à ses pieds et l’enjamba.
Elle le regarda avec un sourire malicieux et défit l’attache de son soutien-gorge.
Elle le retira lentement et le lui jeta.
Elle baissa sa culotte et la fit tomber tout en la retenant avec un pied.
Tel un footballeur, elle la lança et elle l’atteignit en plein visage ce qui le fit rire aux éclats.
Elle prit la pose, les mains sur les hanches.
Il n’avait d’yeux que pour elle, la détaillant lentement des pieds à la tête.
« Dieu que tu es belle. »« Approche… »Il vient jusqu’à elle. Elle posa ses mains sur le bas de son polo et le releva pour le passer par le haut de son corps.
Une fois retiré, elle posa ses mains autour de son cou et le massa doucement.
Elles descendirent progressivement, sur son torse, comme pour en mesurer le volume, sur le dessin des abdominaux, sur la taille comme pour vérifier l’absence de cette petite protubérance masculine que l’on appelle affectueusement les poignées d’amour, sur les hanches, puis, revenant sur le devant, sur le ventre plat. Elle défit la boucle de sa ceinture, ouvrit la braguette et descendit le jeans.
Elle passa une main sur la protubérance du sexe par-dessus le boxer, et reprit, à deux mains, la descente sur le haut des cuisses.
Elles enveloppèrent les genoux et continuèrent à descendre en contournant le bas de la jambe pour mieux apprécier l’arrondi du mollet.
Enfin, elles retirèrent le pantalon et caressèrent les pieds en malaxant chaque orteil.
Elles remontèrent brusquement et baissèrent avec difficulté le dernier rempart, tant il était excité et se verge tendue.
Tel un diable sortant de sa boîte, un long bâton droit et raide jaillit du sous-vêtement, pointant vers elle comme une flèche de Cupidon.
Elle le regarda avec envie.
« Alors te voilà toi. Tu sais, ça fait longtemps que je t’imagine dans mes rêves les plus érotiques. Voyons un peu si tu corresponds à l’idée que je me faisais de toi. »Elle le saisit d’une main et soupesa ses bourses de l’autre.
« Mhmm ! Tu es doux, dur et long. Dis donc, j’espère que tu n’es pas trop gros pour mon petit puits d’amour. Je veux bien que tu entres chez moi, mais en douceur. »Elle le posa sur sa joue et s’en servit comme d’un outil de massage.
Tout en le frottant contre son visage, elle le branlait délicatement.
Elle l’arrêta devant ses lèvres qui s’entrouvrirent pour le happer voracement.
Elle saliva pour le faire aller et venir dans sa bouche sans pour autant l’enfoncer trop loin car elle sentit qu’elle aurait assez vite des hauts le cœur.
Elle joignit ses mains à sa base et les fit tourner pour compléter ses effets de succion.
Il commença à gémir et posa ses mains de chaque côté de sa tête, accompagnant son mouvement.
« Pas trop vite. Voilà, comme ça. »Elle ralentit son rythme, continua encore un peu, puis s’arrêta.
Elle recula son visage et contempla son œuvre.
« Voilà, monsieur le bâton d’amour, je crois que vous êtes prêt. »Elle se releva et le regarda avec un sourire des plus malicieux.
« Maintenant mon cher amour, aime-moi. »
Elle se coucha et l’attira à elle.
Il se lova entre ses cuisses et caressa son bouton. Il ajouta sa langue qui décrivit quelques cercles de plus en plus rapidement, arrachant à la jeune femme des petits soupirs de plaisir.
Il introduisit son majeur et le fit entrer et sortir tout en continuant de lui agacer le clitoris.
« Ah oui, tu vas me faire mourir. Viens. »Il remonta jusqu’à elle et l’embrassa passionnément.
Il saisit son membre et le présenta à l’entrée de son vagin.
Il la regarda intensément puis poussa vers l’avant.
Il entra la moitié de son sexe bandé en elle et stoppa son élan.
Elle le serra de ses bras et posa ses deux mains sur ses fesses.
Elle poussa avec lui et il la pénétra jusqu’à la garde, perforant son hymen.
Elle grimaça un instant puis le regarda avec un sourire éclatant illuminant tout son visage.
« Mon amour, je suis ta femme pour la vie, aime-moi maintenant. »Il posa ses mains sur sa taille et commença à aller et venir en elle.
Elle l’encercla de ses jambes et poussa avec ses mains tout en gémissant.
« Oui, je te sens bien. C’est bon. »Il se pencha sur elle et l’embrassa fiévreusement. Elle remonta ses bras autour de son cou et répondit à son baiser.
Il se releva et, tout en la regardant fixement, accéléra son rythme, allant de plus en plus vite.
Elle gémit de plus en plus fort et, tout à coup, se crispa sous lui, le bloquant en elle, le ventre secoué de spasmes.
« Oui, je jouis. »Elle poussa une longue plainte, la bouche grande ouverte, cherchant de l’air.
Elle sentit les soubresauts de son sexe qui se vidait en elle.
Il l’embrassa de nouveau, se laissant aller contre son corps en sueur.
Il interrompit son baiser pour se coucher sur le côté, prenant sa main et la posant sur sa poitrine.
Elle fit de même avec la sienne.
« Tu sens mon cœur ? On dirait une locomotive tellement il bat fort. »« Oui, je le sens, il bat aussi vite que le mien. »« Alors c’est que nous venons de prendre le train de l’amour. »

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : La dernière touche
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Briard

L'Amour à rebours aux labours_4 - Récit érotique publié le 29-06-2023
L'Amour à rebours aux labours - Récit érotique publié le 28-06-2023
L'amour à rebours aux labours_2 - Récit érotique publié le 23-06-2023
L'Amour à rebours aux labours - Récit érotique publié le 22-06-2023
Les limites de la force 4 - Récit érotique publié le 06-05-2023
Les limites de la force 3 - Récit érotique publié le 05-05-2023
Les limites de la force 2 - Récit érotique publié le 04-05-2023
Les limites de la force - Récit érotique publié le 03-05-2023
Chant du cygne 3 - Récit érotique publié le 02-05-2023
Chant du cygne 2 - Récit érotique publié le 01-05-2023