LA FEMME DE L’ÉMIR. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA FEMME DE L’ÉMIR. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA FEMME DE L’ÉMIR. (1/1)
Dans quelle galère me suis-je fourré.
Quel risque inconsidéré ai-je pris, pendant deux jours ?
Tout a commencé un après-midi de cet été quand pratiquant mon sport favori l’impensable m’est arrivé.
Depuis trois ans je pratique la plongée sous-marine en méditerranée.
Je dis plongée je devrais dire pèche en apnée le long de la côte et plus spécifiquement dans un endroit tellement isolé que personne ne s’y rend.
Je pars d’une plage dont j‘éviterais de dire le nom de peur de faire comprendre à ceux qui connaissent ce secteur à qui j’ai eu à faire un peu plus loin dans cette histoire.
Ce que je peux dire c’est que je nage vers le large sur un kilomètre avant de tourner à gauche pour revenir vers les rochers.
La zone inexploitée me permet de rapporter des poulpes de bonnes tailles et les jours de chance des langoustes rouges hors de prix dans les restaurants qui sont sur le port.
J’aime harponner aussi des rascasses et des dorades me permettant de faire une bonne soupe de poisson bien de chez nous.
Pour les congres et les rougets ils sont si peu visibles que je suis obligé de les acheter à mon ami Antoine pécheur de notre port qui vend sur le front de mer de notre plage.

Ce jour-là il faisait un soleil magnifique et étant un peu fatigué par la nuit de débauche que nous avions pratiquée avec Odile ma femme dans la boîte voisine de chez nous jusqu’à point d’heure je décidais de faire une sieste sur un petit morceau de sable invisible du grand large et surtout impossible à atteindre en passant par les rochers.
D’un côté une faille et de l’autre une faille identique.
Au-dessus de ce morceau de sable le mur d’une belle propriété fermée toute l’année avec une porte cadenassée interdisant tous passages.

Je retirais mon masque et mes palmes allant même jusqu’à oser ôter mon slip de bain sachant par expérience que personne ne viendrait me déranger.
Rapidement le soleil sur ma queue me fait bander et je me caresse d’une main tranquille sans pour autant aller jusqu’à éjaculer.
Je rêvais à une sirène sortant de l’eau venant me sucer mais peine perdu, j’étais bien seul car ce genre de scène se trouve dans les textes érotiques écrits par les nombreux auteurs qui publient sur un site comme Histoire de Sexe.
J’adore le consulter espérant toujours trouver les histoires de qualité de Vieulou pour les hommes et Florence27 pour les femmes.

• Allez-y masturbez-vous devant moi sur ma plage privée qui plus est.

Je suis estomaqué que quelqu’un me parle, au lieu de répondre que les plages privées sont interdites sur notre côte, je rougis lâchant précipitamment ma verge.
Quelqu’un ou plutôt quelqu’une car en relevant la tête dans le soleil je vois une magnifique fille brune d'à peine trente ans en maillot de bain le triangle pubien le cachant à peine.

• Excusez, je vais reprendre la mer et me retourner vers la plage principale j’ignorais qu’elle avait un propriétaire.
• Non restez, vous êtes bien sûr le domaine public mais cette petite crique est tellement isolée qu’à part de notre villa qui est au-dessus de ce mur bien cachée c’est la première fois que j’y vois quelqu’un.

Tout en disant cela elle prend la serviette qu’elle a mise sur son épaule et l’étend près de moi.
Sans aucune pudeur en s’allongeant elle défait la ficelle de son soutien-gorge et celui de sa petite culotte se montrant aussi nue que moi.

• Vous avez raison, profitons de ce beau soleil pour faire du bronzage intégral, les traces de maillots disgracieuses très peu pour moi.

Nous restons côte à côte quelques minutes et rapidement je me rendors.
Le rêve érotique que je fais me montre cette jolie femme se relever et venir me pomper d’une bouche gourmande.
Rêve, mon œil, c’est la réalité, ma voisine m’a pris en bouche et ces biens elle qui me pratiquent une fellation.

• Excuse-moi, tu es si bien monté et tu recommençais à bander que ma bouche tout naturellement est venue se poser sur ton dard, cela te dérange ?
• Comment être dérangé par ta jolie bouche qui me suce, mais attention comme tu peux le voir je suis un homme viril tu risques de t’attirer des ennuis.
• Rien à craindre, tout le temps que je suis là tu peut être sûr que personne ne prendra le même chemin que le mien, soit entièrement rassuré.

Pourquoi hésiter à baiser une telle femme digne du catalogue de Marie Claire et que tous garçons de ma condition rêvent de rencontrer sans jamais y arriver ?

• Si tu aimes ma queue, j’aime tes seins je peux.

Elle m’avance le gauche plus prêt que le droit et recommence à me pomper me faisant voir qu’ils sont bien naturels, aucune silicone pour les gonfler artificiellement me montrant la chance que j’ai de commencer à faire l’amour à une telle femme.

• Veux-tu me baiser ?

Et comment, passer à côté d’une telle chance serait un crime et sans attendre ma réponse elle pivote sur moi s’engouffrant ma verge dans son vagin jusqu’à mes couilles ?
J’aime baiser ma femme qui est bien foutue elle aussi mais sautée cette gravure de mode fait de moi un autre homme et je suis le roi du pétrole.
Vorace le sexe de cette jolie fille, je suis sûr que si elle le pouvait elle rentrerait mes couilles en elles.
Elle se tortille et je dois serrer les dents pour éviter d’éjaculer, je veux profiter à fond de ce moment privilégié qui m’a permis d’avoir sur ma route une poupée d’un tel calibre.
Mes vieux jours sont assurés, je suis certain que la chance qui l’a mise sur ma route est un moment exceptionnel de mon existence et que dans les bars de notre port quand je raconterai que j’ai niqué une telle beauté tous croiront à une galéjade.

• Embrasse-moi salop, je suis contente de faire l’amour avec toi, une verge aussi bonne que la tienne est rare pour moi, prends-moi comme une femelle qui se donne à son mâle.

Elle veut être ma femelle alors je décide d’être son mâle, ce qui différencie les hommes des animaux c’est de faire l’amour face à face, je la renverse sur sa serviette et sans me faire expulser je continue à la labourer dans la position du missionnaire, ses jambes viennent autour de mes reins et nous sommes soudés l’un à l’autre nos sexes emboîtés aux plus profonds.
J’ai le privilège de la faire jouir et c’est elle qui se bayonne pour éviter que ces cris ne s’entendent même s’il n’y a personne à des kilomètres à la ronde.

• Tu me résistes, je veux que tu jouisses en moi.
Fais gicler tes spermatozoïdes en force dans mon vagin, attendent je vais me mettre en levrette j’adore cette position.

Aussitôt dit aussitôt fait même si l’obligation que j’ai de la libérer quelques secondes me coûte énormément.
Je retrouve ce gouffre béant après qu’elle est changée de position et j’ai beaucoup de plaisir à sentir mes couilles taper son clito que j’attrape entre mon pouce et mon index en le serrant fortement ma main passant sous elle.

• Oui vas-y continu, sexe-moi à fond, je sens que tu vas jouir, mets-moi un doigt dans le cul si cela te permet de jouir plus vite, revient demain tu me sodomiseras car dès que tu m’auras rempli je devrais partir l’heure avançante.

Avec une telle invitation c’est deux doigts que je lui mets avant de gicler comme jamais vidant mes couilles dans son sexe si accueillant.
Comme elle me l’a dit, elle se retourne, m’embrasse et reprenant sa serviette elle part en courant me laissant seul à genoux sur cette plage ayant un moment l’impression d’avoir rêvé.

Eh non, cette femme est bien réelle car le lendemain c’est elle qui m’attend nue sur le coin de sable et qui frétille du croupion pour que je la sodomise.
L’eau fait que ma queue est trop petite pour la sexer directement alors je passe devant elle pour mettre le petit bout de verge qui sort de moi dans sa bouche.
Aussi experte qu’hier, la femelle toujours en chaleur me pompe aussi avidement et je suis flamboyant quand je me présente à sa porte arrière.
Des kilomètres de verges ont dû venir ici car c’est sans qu’elle souffre que je me retrouve au fond de sa grotte et que l’empoignant par les hanches je lui inflige les derniers outrages.
Elle chante aussi bien qu’hier quand je la baisais par la chatte me montrant qu’une femme peut jouir par l’anus ce que ma femme qui aime que je la sodomise est incapable de faire.
C’est dans son vagin en changeant de position que je m’épanche le remplissant par de longs jets de sperme que sa chatte avide semble réclamer.
Comme hier, étant rassasiée de ma liqueur elle se relève prend sa serviette et file vers le mur.

• Revient demain, tu es un vrai étalon.

Peut fier d’avoir été un étalon, je reprends la mer un peu flapie et je retourne à la plage l’heure avancé risquant de me mettre en retard car avec mon ami pécheur et nos femmes nous sommes invités par le patron du plus grand restaurant tenu par notre copain d’enfance.
Il est presque vingt et une heures quand nous sommes attablés à la terrasse prenant un petit pastis quand devant le restaurant s’arrête l’une de ces limousines qui sont si longues que dans les dessins animés leur passage dur un temps fou.
À côté du chauffeur deux hommes descendent et l’un d’eux ouvre la porte à un homme enturbanné qui s’avance vers la porte de l’établissement rapidement suivi par quatre femmes la première semblant être plus importante que les trois autres.
Ce qui est dérangeant c’est que ces quatre femmes sont couvertes de la tête aux pieds, portant un niqab pourtant interdit en France.
Mais que fait la police, pourquoi ces visages couverts que j’aimerais voir, elles sont peut-être laides et le mari hésite à nous les montrer.

• Vous voyez, cette première femme derrière l’émir c’est sa favorite, nul homme ne peut la voir, j’étais hier au soir dans la villa pour la coiffer, elle est sortie nue de sa salle de bain, c’est une femme magnifique avec un corps de rêve.
En tant que femme j’ai pu profiter de sa plastique mais vous messieurs vous ferez ceinture.
Ils sont tous là pour une semaine depuis trois jours et comme je lui faisais remarquer qu’elle avait pris un coup de soleil sans lui dire que j’avais remarqué ses fesses rouges elle m’a expliqué que tous les après-midi elle descendait sur une petite plage qui était inaccessible de tous côtés.
• Elle va peut-être rejoindre un amant.

C’est ma femme qui a sorti cette incongruité, insidieusement je pense à mon fessier qui me brûle m’étant comme ma maîtresse trop longtemps exposée au soleil.
Putain j’ai baisé la femme d’un émir, mais qui aurait pu dire que cette belle femme vivait toute l’année vers le puits de pétrole quand elle m’est apparue.

• Certainement pas, quand elle va vers cette petite plage les deux armoires à glace qui l’accompagne suivent jusqu’à une petite tourelle qui à un escalier qui descend vers les rochers et la plage où une porte est fermée à clef.
C’est dans ce réduit qu’elle enlève son niqab sans qu’ils puissent la voir mais s’ils entendaient que cette femme avait le moindre problème, le gêneur se retrouveraient les couilles coupées par les couteaux qu’ils ont sur eux.
Je pense qu’assez de monde est informé de leur pratique et je vois mal l’un des hommes de chez nous venir prendre le risque.

Comme elle y va, je découvre tout cela et je prends conscience que quand ma maîtresse chantait je l’ai assez muselé pour que je sois encore avec mes couilles et ma verge en place.

• Enfin, j’ai appris qu’il semble que l’émir soit impuissant car aucune des femmes que vous avez vue n’a réussi à lui donner un hériter.

Je passe le plus mauvais repas de ma vie et le lendemain malgré le beau temps je vais pêcher de l’autre côté de la plage même si un moment j’ai failli prendre le risque pour mes couilles.

Épilogue.

Un an après j’apprends que l’émir et sa suite sont de retour.
Son pays peut s’enorgueillir qu’il est réussi à engrosser sa favorite et qu’un héritier mâle soit venu au monde faisant la fierté de son père.
Le pays a fait de nombreux jours de liesses, les hommes chevauchant leur monture tirant en l’air avec à leur tête l’émir et les deux gardes toujours présents à ses côtés.
À ce que je comprends si je calcule bien, neuf mois de grossesses correspondent pile-poil au moment où j’ai baisé cette belle femme et je comprends mieux pourquoi elle voulait impérativement que je m’épanche dans sa chatte n’ayant aucune protection à disposition sur ce petit carré de sable.

Les avis des lecteurs

Normal Florence, tu es ma muse tu le sais.
J'essaye de trouver des idées variés pour éviter la routine.
Chris

Excellent texte j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire bien que je doute de sa réalité connaissant bien le Moyen Orient. Merci de complimenter les récits de Vieulou et de moi.



Texte coquin : LA FEMME DE L’ÉMIR. (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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