La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite)
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite) -
Enfin, jusqu'au jour où je fis une incroyable découverte qui allait changer ma vie... Je devais être absent de l’appartement toute la journée, mais arrivé à la Fac, j’appris qu’un prof était absent. J'avais décidé de ne pas aller au resto U et donc de rentrer plus tôt. Lorsque je poussais la porte de l'appart, j'entendis comme un cri étouffé... Je m'avançais jusqu'au salon et je découvris avec stupéfaction la jeune femme, Joëlle, nue, agenouillée devant le fauteuil où trônait mon co-locataire, qui jouait avec une cravache qu'il tenait levée... Je restais tapi derrière l’encadrement de la porte et je demeurais pétrifié devant ce spectacle. La cravache sifflait dans les airs par une main vive alors que Son autre main maintenait fermement le chignon de Joëlle qui s’activait à pratiquer une fellation à Edouard, le pantalon de celui-ci baissé jusqu’aux chevilles. Je remarquais de suite le volumineux plug anal qui encombrait l’anus de la belle ainsi qu’un magnifique tatouage noir sur la fesse gauche, celui-ci représentait deux lions rugissants dressés sur leurs pattes avant et qui se faisaient face, ils étaient dessinés sur un socle donnant une impression de relief où il était inscrit visiblement trois initiales ‘MDE’ dont je ne connaissais pas le sens. Je fus aussi surpris de constater que son dos était strié de marques rouges fraîches… Les voyant un peu de profil par rapport où je me trouvais caché, je découvris également qu’elle avait les tétons percées et annelés par deux anneaux jaunes comme de l’or. Etait-ce de l’or ? Si oui, à eux seuls, ils devaient valoir leur pesant d’or ! Joëlle mettait visiblement tout en œuvre pour apporter du plaisir à Edouard, elle passait sa langue de bas en haut de la hampe dressée, engloutissait en gorge profonde la noble verge, gorge profonde maintenue fermement par le poigne d’Edouard sur le chignon de Joëlle … Quand, sans le vouloir, je fis un léger bruit, pour me retenir de toussoter, malgré moi. Et par conséquence Edouard leva la tête et cria :
- Qui est là ?

Je ne pus faire autrement que de sortir de derrière la porte et Edouard me vit à l'entrée du salon et... il sourit et me fit un signe de m'approcher
- Viens, dit-il simplement. La jeune femme n'avait pas bougé d'un cil et continuait sa fellation comme si rien n’était...

Je m'immobilisai à quelques pas du fauteuil, incapable de détacher mon regard de Joëlle nue et si belle, dont je voyais encore plus distinctement le dos strié... Il empoigna de nouveau le chignon de la jeune femme et tira dessus en arrière pour la dégager et claqua des doigts. Joëlle baissa la tête en silence et toujours à genoux, elle se positionna immobile à côté, en position d’attente. Edouard se leva, réajusta son caleçon et pantalon et me regarda d’un air assuré :
- C'est un peu tôt... mais peu importe. Tu es là pour je ne sais quelle raison... Mais je pense que tu es prêt, quand même...

Je ne saisissais pas vraiment ce qu'il voulait dire par là. Il posa la main sur la nuque de Joëlle agenouillée qui gardait la tête baissée, les cuisses écartées, les mains derrière le dos, ce qui mettait en valeur sa poitrine dont les deux anneaux pendaient à ses tétons percés et bien exhibés à mes yeux. Le regard pénétrant d'Edouard s'était dardé sur moi... impossible de le soutenir et je baissais rapidement les yeux, mal à l'aise mais paradoxalement excité à en avoir des frissons sur toute mon échine... Je sentais ce regard dominateur peser sur moi, me jaugeant, mais aussi comme s'il me mettait à nu, sondait mes plus intimes pensées...

- Eh bien voilà... du bout des doigts sous mon menton, Il m'obligea à relever la tête et planta son regard hypnotisant, profond dans le mien. Je t'observe depuis des semaines, depuis que tu t'es installé ici... Et saches que je ne t'ai pas choisi sans bonnes raisons pour que tu restes pour ta deuxième année, à voir ton comportement face à mon Emprise déjà bien installée en toi, même si celle-ci n’a jamais été avouée. J'ai senti quelque chose en toi, qui habite également cette chienne que tu vois là... Quelle que soit votre vitrine extérieure, il y a en vous deux une certaine nature soumise à l’évidence. Un besoin que vous n'osez pas exprimer si on ne vous y contraint pas un peu... Est-ce que tu me comprends ? Je sais ce que tu es au plus profond de toi, Je connais ta véritable nature que toi-même n’a jamais bien cerné mais qui te démange si souvent via tes fantasmes les plus intimes, alors je te comprends et je sais la réponse, je sais que tu comprends ce que je t’affirme, termina-t-il en durcissant la voix…
Je bredouillais...

- Euh... non.., je... (Une gifle claqua sur ma joue, me prenant totalement au dépourvu...)- Pas de faux-fuyants ! JE sais ce que tu es... et JE veux l'entendre de ta voix...

Je savais ce qu'Il voulait entendre... J’avoue que j'y avais si souvent pensé, je l'avais si souvent rêvé sans avoir jamais osé franchir le pas... J'étais trop timide, trop mal à l'aise... ou simplement pas assez courageux pour l'accepter, déjà à moi-même …
- J'attends, dit-Il de sa voix impérieuse...

Je déglutis lentement, je sentais ma poitrine comme comprimée et incroyable, ma nouille se dresser malgré moi...

- Je... j'ai envie d'être soumis, dis-je aussi vite que possible en baissant à nouveau les yeux sentant ma petite bite droite dans mon caleçon...
- Non... ce n'est pas comme ça qu'il faut faire, dit Sa voix devenue froide et presque métallique, - A genoux, ordonna-t-il
Comme si j'étais en dehors de mon corps, je sentis celui-ci s'exécuter, se courber et s'agenouiller par cet irrésistible besoin de soumission qui me tiraillait... J'étais comme ivre, l'estomac noué, l'esprit comme ailleurs...

- Bien, maintenant, dis-le et dis le bien...

J'avais froid... ma respiration s'était accélérée, j'avais un sentiment d'irréalité... et d'excitation aussi, car je savais au plus profond de moi que j'avais désiré un tel instant, j’en avais pleinement pris conscience. Sans avoir vraiment pu l'imaginer ou le formuler, mais j'avais souvent éprouvé le désir de me courber devant une telle autorité, si naturelle, si évidente... j'étais excité mentalement et comme déjà dit physiquement...

- Je voudrai être votre soumis, dis-je lentement...
- Avec Moi, tu n’as pas à vouloir, mais juste à souhaiter … Alors recommence, j’ai dit !, me dit-il sur un ton sec- Heu … Je … je souhaiterai être votre soumis, dis-je alors vaincu …
Ensuite, il y eut un silence... long silence... Puis ...

- Bien cela est mieux. mets-toi à quatre pattes et vas dans ta chambre et attends, dit-il enfin, se désintéressant de moi, pour retourner auprès de Joëlle qui n'avait pas bougé d'un pouce durant la scène...

Tel un automate, poussé par mes pulsions de soumission, je me mis de suite en quadrupédie et regagnai ma chambre ainsi, évoluant à quatre pattes, envahi par un torrent de sensations, par un mélange de honte et de désirs, d'excitation et de craintes... Je m'assis au bord de mon lit, incapable de prendre la moindre initiative... pensif et comme vidé... Je ne sais pas combien de temps j'attendis ainsi... Derrière la porte, il y eut quelques bruits que je ne sus pas tout de suite identifier, quelques gémissements, des sons, puis des cris bestiaux et orgasmiques de Joëlle qui hurlait son plaisir de jouissances puissamment exprimées quand je compris qu’il était en train de forniquer avec elle, qu’il avait appelé la chienne ... Puis j'entendis des pas et la porte de l'appartement se fermer... et celle de ma chambre s'ouvrit. Il était là, devant moi, bien campé sur ses jambes, les mains sur les hanches, me fixant d’un air presque hautain...

- C'est comme ça que tu te tiens devant Moi !, espèce de chien ?

Je sentis comme une panique s'emparer de moi et lui lançai un regard éperdu...

- Tellement à t'apprendre, s'amusa-t-il à dire... A poil ! C'est comme ça que tu dois te présenter à Moi
Comme un robot, comme si ma volonté avait été effacée, je me déshabillais aussi rapidement que je le pus et dans un réflexe, je m'agenouillais, rouge de honte et toujours à ma grande surprise excité physiquement par ma nouille dressée que je ne pouvais cacher...

- Bien, tu vois, tu apprends vite, salope …
Je me tenais à genoux, fixant le sol... ne sachant pas vraiment ce que je devais attendre, espérer, craindre... Quand il s'approcha, je vis la pointe de sa chaussure se présenter devant mon visage... Il n'avait pas prononcé un seul autre mot... instinctivement, naturellement devrais-je dire, je me penchai encore plus et j'embrassai le cuir luisant de la chaussure qui se retira tout de suite...

- Bien... je le savais... c'est naturel pour toi... c'est TA nature... Relèves-toi ! dit Edouard, la voix était impérieuse, claire et ferme
Je me levais, ne sachant pas trop comment bouger mon corps, gêné de me tenir ainsi, nu devant mon colocataire habillé... Edouard me regardait sans un mot, scrutant chaque partie de mon anatomie... Je demeurai immobile tandis qu'il me fixait, puis tourna autour de moi, me scrutant encore et encore dans ma nudité et mon immobilité. Il ne me toucha pas, ne dit rien, malgré la vue de ma nouille droite comme un I ... Il m'observait, et je me sentais gagné par une sorte d'apaisement... Je n'avais pas à parler, ni à esquisser un mouvement... Je n'avais qu'à attendre, et je savais qu'il allait s'exprimer, me parler, décider... Je n'avais qu'à attendre et je saurai et j'avais envie de savoir, envie qu'Il me dise ce que je devais faire... Mais avant de parler... il me surprit... il se tenait derrière moi et je sentis sa poigne ferme se saisir de mes poignets et tirer mes bras en arrière, il me fit joindre les mains et je sentis un lien, une cordelette s'enrouler autour de mes poignets, me lier les mains dans le dos, bien serré. Une vague de sensations m'envahit, je me sentis soudain tellement vulnérable. Je me demandais si je n'avais pas perdu la tête. Au fond que savais-je de lui ? Et s'il n'était pas celui que je pensais avoir vu en lui ? Mais ces pensées s'estompèrent aussitôt quand sa voix s'éleva à nouveau :
- Suis-moi maintenant, nous avons à parler …
Et il se dirigea vers la porte de ma chambre... Je le suivis ainsi, bandant de plus belle, nu et entravé jusqu'au salon. Il s'installa dans son fauteuil habituel et il me désigna le sol, la même place qu'occupait un peu plus tôt la jeune Joëlle qui, je la voyais était maintenant agenouillée dans un angle de mur face contre celui-ci, comme si elle avait été mise au piquet, elle ne bougeait pas d’un iota sa tête baissée, toujours pluguée, le dos marqué, ses seins annelés, je la trouvais plus que belle, elle paraissait radieuse, si sereine, si heureuse de son état que je me surpris à l’envier. Ses mains étaient menottées derrière son dos, elle se tenait buste droit, les fesses qui ne touchaient pas ses talons, bien droite… Quant à moi, naturellement, je m'agenouillais devant Lui, comme tantôt Joëlle se tint avant moi...

- Bien... je pense que tu as compris que nos relations vont évoluer, dit-il d'une voix amusée; Et je sais déjà que tu vas beaucoup aimer cette évolution, tu vas en apprendre beaucoup sur toi, et ta vie va totalement changer... A partir de cet instant, je deviens Le Maître et tu me dois, soumission, obéissance, dévouement... je vais t'éduquer en un bon chien soumis à Mes pieds ...

(A suivre …)

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