La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1178) -
Tandis que chienne Joëlle était entraînée vers le milieu de la pièce... Immobilisé sur la croix de Saint-André, j'étais cependant aux premières loges pour voir la façon dont l'esclave Joëlle se comportait avec les trois étalons, manifestement très inspirés par cette chienne si parfaitement dressée par le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans... En la voyant, je compris tous les progrès que j'aurais à faire si je voulais pouvoir un jour être vraiment un bon esclave... sans jamais se départir d'une attitude humble, chienne Joëlle se révélait être une fabuleuse experte à donner du plaisir, et pour cela elle a été très bien formée, initiée, dressée, formatée aux moindres exigences du Noble et ainsi répondre à Ses ordres dans un seul et unique but, Le satisfaire. Ainsi je ressentais et comprenais cette évidence flagrante qui respirait dans le regard empli de dévotion totale de cette belle soumise, l’évidence qu’elle ne vivait uniquement pour Lui obéir tout en ayant l’infime honneur de rester à Ses pieds, c’était là, Sa seule et unique raison de vivre, d’être ce qu’elle était… Oui j’avais encore beaucoup à apprendre d’elle et je l’enviais à la voir si heureuse de son état servile…
Accroupie au centre de la pièce, pile face au caméscope VHS, chienne Joëlle se tenait en équilibre sur la pointe des pieds, les cuisses largement ouvertes, ses genoux écartés au maximum exhibant ainsi son sexe glabre d’un rosé délicieux, aux lèvres intimes généreuses gorgées de désirs, humide à souhait, une chatte qui suintait de cyprine ... Tandis qu'elle branlait une grosse queue avec chaque mains, la volumineuse verge du troisième étalon allait et venait profondément dans sa gorge... Et esclave Joëlle s'occupait manifestement à merveille des trois mâles en rut ! Au bout d’un très long moment et en laissant échapper un râle guttural, celui qu'elle suçait fut le premier à jouir, saisissant fermement la nuque de la femelle afin de la contraindre à ne rien perdre du flot de semence que j'imaginais particulièrement abondant...

Pas un instant, chienne Joëlle ne cessa de branler les deux autres étalons dont les grosses bites veineuses étaient désormais monstrueusement tendus et rouges, au gland violacé... Tandis que l'un restait en place, l'autre vint à son tour se placer face à la belle Joëlle et enfonça sa verge énorme entre ses lèvres, sans ménagement, commençant un violent va-et-vient dans sa bouche ainsi besognée comme un vulgaire trou à plaisir, tout en lui tirant, par le haut, les cheveux de sa queue de cheval... Tandis que ses deux compères s'activaient, le premier étalon à avoir joui s'approcha de moi... Il ne dit rien, vint juste se placer face à moi et d'une main puissante, me força à ouvrir la bouche afin d'y cracher un épais mollard glaireux... Puis il me saisit un téton et le tordit cruellement, jusqu'à me faire gémir, avant de me délaisser pour rejoindre ses camarades râlant de plaisirs jouissifs alors qu’ils venaient d’éjaculer au même instant, l'un dans la gorge de chienne Joëlle, l'autre sur son visage et cheveux, visage qui dégoulinait maintenant d'une crème virile épaisse...

Les étalons forçaient maintenant esclave Joëlle à se relever, lui faisant prendre des poses impudiques devant le caméscope VHS que maniait Le Maître... La soumise se prêtait docilement au jeu, comme si elle évoluait dans une autre dimension, elle était à la fois abandonnée et concentrée, laissant les trois mâles pervers manipuler son corps, écarter ses cuisses, pétrir ses seins, se laissant aussi fouiller de doigts inquisiteurs dans sa chatte trempée mais également retourner afin d'exhiber sa croupe et d'écarter son anus en y introduisant d’abord un doigt gluant de gel lubrifiant… puis deux … trois … puis quatre… Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis qu’un par un, les doigts entraient dans son cul écartelé pour qu’au final un poing entier et lubrifié fut introduit par un phénoménal fist anal !

Chienne Joëlle gémissait à peine, mais son regard en extase semblait la comblée étant si bien remplie du cul… Et même elle n'était pas que passive, tout en étant totalement manipulable et en se laissant aller à l‘extase de cette saillie hors norme, elle savait montrer sa totale implication dans ce qu'elle subissait, sachant opportunément se saisir d'une queue pour la branler, elle avait été formée aussi pour ça... C'était une ronde des sens à laquelle j'assistais fasciné… J’imaginais ce poing dans mon cul dans un état d’excitation incroyable ... Les trois mâles aux verges tendus en permanence, la femelle totalement offerte, écartelés, s'ouvrant ainsi à toutes les pénétrations, possédée par la bouche, par le cul, par la chatte... doubles et triples pénétrations s'enchaînaient, je n'en revenais pas de voir combien de fois les étalons étaient capables de bander et de déverser des flots de semence sur le corps de chienne Joëlle ou d'en remplir ses orifices, de la souiller, de l’engluer de foutre chaud ...

Tour à tour, chacun des mâles en rut se saisissait de la femelle esclave de plus en plus dépravée et la possédait sans ménagement, à chaque fois dans une position différente, acrobatique, impudique, dégradante pour l'esclave Joëlle qui semblait comme envoûtée des plaisirs lubriques démultipliés. Et elle cambrait ou courbait en tous sens son corps luisant de sueur, collant de sperme... Elle était à la fois danseuse et marionnette, belle racée et chienne en chaleur, déesse et putain dévergondée, magnifique poupée et pantin manipulé... Son corps subissait tous les assauts, mais tout en étant possédée, besognée, pénétrée, enculée, elle savait sembler à chaque instant, prête à aller encore plus loin. Son corps en feu était comme une liane que six mains puissantes faisaient plier en tous sens. Sa bouche était devenue une grotte humide et accueillante jamais rassasiée des épaisses giclées de sperme qui l'emplissaient par saccades... Sa chatte de cochonne mille fois conquise, devenue un vide-couilles à répétition, son cul de grosse truie, un large trou béant d’où s’écoulait les semences des mâles insatiables …
Chienne Joëlle était maintenant sur le dos allongée sur le sol, les bras et jambes tendus en étoile, bien écartelée ... Son corps englué de foutre frémissait de tant de sensations... Les trois étalons, debout autour d'elle la toisaient et je demeurais fasciné par leurs verges encore tendues, encore dressées, manifestement encore prêtes à faire leur office... Mais cette fois-ci les mâles ne bougeaient pas... Lentement, c'est le corps de l'esclave qui se mit à frissonner, ce corps luisant de fluides... L'esclave semblait s'éveiller soudain, sortant par à-coups de sa torpeur lascive. Sans cesser d'offrir au caméscope qui la fixait une vue parfaite sur ses cuisses largement ouvertes, elle ondulait, se cambrait, ses mains venaient se refermer sur ses seins et jouer avec ses tétons fermement érigés. Elle venait de faire glisser une main entre ses cuisses et se caressait sa chatte devenue fontaine, se doigtait dans des clapotis incessants, tandis que son autre main jouait encore avec sa poitrine dressée... Cela dura de longues minutes, esclave Joëlle se caressait maintenant à deux mains, cessant d'exhiber sa chatte dégoulinante, elle se contorsionnait en tous sens, offrant les poses les plus impudiques (et le mot est faible) à l'œil inquisiteur du caméscope manié par le Maître. Chienne Joëlle était maintenant à quatre pattes, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe dressée, offerte et se doigtait l'anus largement dilaté tout en remuant ses belles fesses de sa croupe de femelle...

J'en avais oublié les trois étalons qui soudain se remirent en action après avoir visiblement soufflé un bon coup. Le plus grand d'entre eux saisit assez brutalement les cheveux de chienne Joëlle et força l'esclave à se relever. Elle était pantelant mais le mâle n'en avait cure, La tenant face à lui, il lui asséna une belle paire de gifles, puis tendit la main pour que l'esclave femelle la lèche avec dévotion. Les deux autres étalons amenaient une sorte de cheval d'arçon sur laquelle esclave Joëlle fut contrainte de se pencher. On lia alors ses poignets alors que sa croupe était placée bien face au caméscope... Commença alors une première série de claques appliquées à la main, de véritables et puissantes fessées. Anodin ? Pas vraiment lorsque l'on voyait la largeur et la force des mains des trois mâles qui se succédaient afin de fesser ainsi le cul de l'esclave qui rougissait à vue d'œil ! Chienne Joëlle ne bougeait pas, mis à part un soubresaut lorsque les mains s'abattaient violemment sur ses fesses et elle demeurait silencieuse, comme elle avait appris... Le martinet succéda brièvement aux mains, rapidement remplacé par une badine de roseau souple. Maintenant, esclave Joëlle laissait parfois échapper de petits soupirs, car la badine s'abattait fermement et régulièrement sur sa chair déjà tellement sensibilisée, rougie. Elle tentait de se cambrer, mais le ligotage ferme et la position qui lui était imposée excluait tout mouvement. Sa croupe rougie se striait maintenant de fines traces bleutées... Le martinet la flagellait sans ménagement …
J'étais impressionné, car la belle soumise subissait presque en silence. J'imaginais combien j'aurai hurlé si j'avais du subir le même traitement. Et la peur m'envahit, j'étais désormais comme chienne Joëlle, un esclave de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, et ce que subissait cette femelle servile, je devrai sans aucun doute apprendre à le subir aussi... J'en tremblais et oubliais tout le reste, malgré ma position si inconfortable et la morsure des pinces qui irradiait mon corps nu... Lorsque le cul et les cuisses de l'esclave femelle furent le plus sévèrement marquées, presque à sang, ses poignets furent libérés et esclave Joëlle dut se relever. Elle tremblait et avait perdu toute forme de dignité telle qu'elle en avait montré même dans les positions les plus dégradantes. Je la sentais pitoyable, craintive mais en même temps si heureuse, si comblée, si épanouie de vivre pleinement sa soumission devant mes yeux effarés. Si grande son expérience qu'elle semblait avoir de sa condition d'esclave et de jouet sexuel des exigences perverses des Dominants qui géraient désormais nos insignifiantes existences... Le plus fort des trois étalons la maintenait d'une main négligente et la mena plus près du caméscope, il saisit ses cheveux et la força à regarder droit dans l'objectif.

Puis il recula lentement, entraînant l'esclave femelle réduite à la plus servile docilité, révélant à nouveau tout son corps dans sa tremblante nudité. Maintenant appuyée le dos au cheval d'arçon, les mains tirées dans le dos et attachées, chienne Joëlle recevait une série de pinces partout sur le corps... sa langue, ses tétons étaient ainsi décorés, chaque pince ornée d'un petit grelot devant demeurer parfaitement immobile, car à chaque tintement elle était giflée afin d’obtenir une parfaite immobilité. De nouvelles pinces furent installées partout sur son corps, en séries sur le ventre, l'intérieur des cuisses... puis, un gode-vibrant électrique lui fut enfoncé profondément dans sa chatte trempée. Cette fois c'est le Maître en personne qui tenait la petite télécommande permettant de faire fonctionner le gode et d'en régler la vitesse... Monsieur le Marquis jouait ainsi avec les sens de Sa chose servile et si les grelots tintaient, il accélérait encore le rythme. Chienne Joëlle haletait de plaisir et de douleurs mêlées, ses pulsions masochistes de femelle en exergue. Je voyais qu'elle perdait pied face à un tel flot de sensations et j'admirais son abnégation d'esclave et la vénération qu'elle montrait ainsi envers le Maître dont nous étions les propriétés absolues...

(A suivre …)

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