LA MANTE RELIGIEUSE. (7/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (7/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (7/14)
Depuis que j’ai convolé ce que je croyais être en justes noces comme il est dit, je suis passé dans la chambre d’Antoine, d’Henri et maintenant c’est dans celle des jumeaux tous frères de mon mari qui exercent un droit de cuisage sur les femmes depuis des générations.
J’ai été contrainte à venir les trouver car malgré les malheurs que leur famille a subis je constate en entrant dans leur chambre que leurs ardeurs sont multipliées par deux pour exercer leurs droits qu’il pense avoir sur moi ou pour simplement profiter de mon isolement pour me baiser.
Hier avec Henri j’avais pris pour motif que pour ma vengeance mon mari soit présent mais là il est absent et les orgasmes que feux mes amants précédents ont allumés en moi me donnent envie de goûter comme une folle du cul que je suis devenue à ces deux verges qui semblent prêtent à assouvir mes plus bas instincts.

• Avec la pratique que tu as acquise en peu de temps car Antoine l’autre matin nous a avoué qu’il t’avait dépucelé rendant par là même notre bâtard de frère cocu le jour de ses noces ce soir tu dois être capable de t’occuper des deux nôtres.
• Tu as raison Julien, je rêve depuis que j’ai ouvert les vannes avec vos frères de me faire baisers par vous quatre avants de me ranger et d’appartenir seulement à Aurélien.
• Tu rêves, on est lucide, chaque fois que l’un de nous te touche il disparaît, en restant uni tous les deux comme nous l’avons toujours été depuis notre naissance nous veillons l’un sur l’autre et il est impossible que le destin nous frappe ensemble.
Après la mort d’Antoine et du père le même jour ainsi que notre mère rendue folle qu’il nous a fallu interner malgré tout ce qu’elle a subi dans sa vie nous te suspectons d’être celle qui s’est vengée d’eux.
Force est de constater comme la dit notre cousin gendarme qu’il est impossible à une frêle jeune fille comme toi de les avoir tués alors viens me sucer je suis celui qui est considéré comme l’aîné mais n’est crainte Jules nous exercerons ensemble notre droit puisque nous sommes les derniers à pouvoir le faire.
Rappelle-toi un jour ou il avait moins bu que les autres jours,le père nous a expliqué qu’il y a eu un cas ou ce droit a été transmis au cousin germain le plus âgé, alors William notre cousin gendarme pourrait te récupérer dans son lit.
• Je suis sûr qu’il ignore son droit aussi vient ma belle, depuis qu’Antoine a niqué celle qui était ma fiancée la faisant fuir j’attends qu’une fille de bonne famille m’avale la queue.

J’entre et par habitude sans avoir la chatte qui mouille l’absence de mon mari semblant étrangement ralentir mes envies je me déshabille et je m’avance vers eux.
Devant celui qui se dit un doit d’aînesse je m’agenouille lui montrant ma soumission et je lui avale sa putain de queue.
Jusqu’à ce jour j’avais encore l’impression d’être une femme se vengeant de la tromperie de celui qui l’avait entraîné dans cette galère, là quand il l’a fait entrer jusqu’à ma glotte j’ai l’impression d’être devenue une pute que l’on baise simplement pour être nourri.
Ce qu’ignorent les jumeaux c’est que je sais que cette ferme décèle un magot que je me fais fort de le trouver demain car la moissonneuse prêtée est dans la cour et je sais qu’ils ont décidé de se lever à 3 heures du matin pour finir de moissonner aux phares la chaleur étouffante faisant monter les risques d’orages de plus en plus.
Je suis moi-même en flotte rapidement à force de les sucer alternativement l’un après l’autre ou de les masturber pour les tenir en érection.

• Regarde Lucien elle ressemble à la dernière pute que nous avons été baisés à Genève.
• Oui, quand nous l’avons quitté nous en avions eu pour notre argent mais il est temps de la prendre en double pénétration comme nous en raffolons car l’orage gronde et je pense que quand nous nous serons vidé les couilles nous repartirons moissonner
• Tu as raison le temps de descendre dans la plaine au pied du Semnoz avec le tracteur et la machine on risque de perdre les quelques hectares de blé qu’ils restent à couper et à rentrer.

Super, deux queues en moi en même temps et plus de temps pour trouver fortune.
Allé les mecs bourrés moi à la pensée des billets qui m’attendent je mouille ce qui va me faciliter les choses.

• Lucien c’est à moi d’être en dessous, j’aime particulièrement rester sans bouger pendant que je sens ta queue aller et venir dans son anneau.
• Aucun problème, demain je propose qu’elle nous rejoigne à 17 heures sous la douche car moi c’est quand l’eau nous coule dessus que je prends mon pied.
• Tu as toujours eu cette étrange façon de prendre ton plaisir depuis que tu as failli te noyer dans vingt centimètres d’eau dans un trou du Chéran.
• Moque-toi mais toi tu as entendu nos ordres 17 heures demain.
Allez vient sur ma queue avant que nous partions au travail.

Je l’enjambe et sa queue se loge naturellement dans ma chatte définitivement ouverte à qui voudra la prendre.
J’ai un moment l’envi de quitter cette ferme mais le pognon que je sens qu’elle recèle me fait accepter de le recevoir attendant avec envi de savoir ce que deux queues en moi vont apporter de nouveau au plaisir que je suis obligé de reconnaître avoir pris depuis mon mariage.
Intérieurement la manière dont je me suis débarrassé d’eux l’un après l’autre réussissant à faire porter les soupçons sur d’autres est aussi jouissive que ces deux parties d’homme qui se frottent l’un contre l’autre au travers de mes parois intimes .
Le deuxième frère est entré dans ma chatte elle aussi parfaitement ouverte pour le recevoir surtout que les mandrins qui me pilonnent sont loin d’être des phénomènes de la nature.

• Tu jouis salope, nous on prend plaisir à nous sentir en toi et tes deux trous vont bientôt être remplis de notre liqueur.
• Attendez, pas trop vite, vous avez raison, je vais partir grâce à vos deux queues, laissez-les-moi pour la nuit vous les reprendrez à votre retour demain.
• Tu nous prends pour des godes, comme ceux que ma mère s’enfilait dans la chatte quand elle était en manque d’amant.
• Vous l’avez vu se goder.
• Oui, assise sur la table de la cuisine, c’est notre premier souvenir lié au sexe, elle était devant notre père assis sur le plateau les jambes écartées et elle faisait aller un sexe long de 40 centimètres dans son vagin poilu.
Lucien et moi nous étions sur le palier et elle lui parlait de choses qu’ils nous étaient impossibles de comprendre à cette époque.
• Que disait-elle ?
• Elle parlait de son beau-père qui l’avait baisée à son arrivée et que celui que nous croyons notre père serait privé jusqu’à la fin de ses jours de son abricot.

C’est à ce moment que mon corps est parti en vrille soutenue par les deux queues qui ont envoyé leurs jets de foutre en moi m’apportant un orgasme bien différent de ceux qui sont ressentis par une seule queue du faîte que les deux côtés de mon corps éclatent ensemble.

• Tu es une gentille femelle, je crois que nous nous entendrons bien ensemble dans cette maison, tu voudras toujours de ton mari quand il reviendra ?
• Certainement pas, une lopette comme lui, je vous le laisse, je sais pourquoi vous le rejetez car il est issu d’étranger car votre mère est une pute.
• Tu as raison, c’est une pute mais c’est notre mère comme l’homme qui vient de mourir d’une overdose de vin bien que nous sachions qu’il était un étranger à notre naissance et le restant jusqu’à la fin de notre vie.
• Mon frère à raison mais nous avons cherché avec qui elle avait forniqué avant de nous mettre au monde mais à ce jour nous cherchons encore.

Ma belle-mère m’est de plus en plus sympathique, j’ai choisi une voie pour contrer le droit de cuisage de la famille, elle a choisi de tromper avec tous ce qui passait à sa portée celui qui était devenu un alcoolique qui a fini par l’emporter.
C’est comme cela que se passe ma première nuit avec mes jumeaux et depuis la fenêtre de la chambre de mes beaux-parents je vois les lumières des machines qui serpentent dans les virages dont celui ou j’ai jeté une rose.
L’armoire, j’attaque sans perdre de temps à la vider pour chercher ou l’argent peut-être caché.
Je tape sur les parois, du côté des affaires de mon beau-père le son est sourd.
De l’autre côté cela sonne creux.
Je suis sûr que je touche le nœud du problème. Avec mes petits bras non musclés j’essaye de tirer l’armoire à moi, c’est perdu d’avance, cette pièce de musée du XIXe siècle est massive et comme Camille a la même morphologie que moi la solution est ailleurs.
Le panneau arrière, c’est là que je dois orienter mes recherches, un panneau peut glisser, s’ouvrir de droit à gauche ou l’inverse.
Je vois mal ma belle-mère sortir tout ce qui est devant moi pour aller dans sa réserve à fric.
Reste le panneau qui glisse.
J’essaye à gauche, chou blanc, à droite idem, j’aurais dû y penser car à ce moment là il sortirait de l’armoire.
Reste le bas et le haut.
Le bas même problème qu’à droite, reste la seule solution, le lever.
L’ébéniste qui a conçu le système avait de l’imagination car les panneaux qui constituent l’arrière sont décalés et celui du bas monte glissant sans forcer le long du panneau supérieur sans qu’aune fente n’apparaisse.
Et il est là, le sac de sport certainement amené par Luigi dans la chambre où elle se prostituait, je le sors et quand je l’ouvre j’ai la surprise de constater que l’intégralité de l’argent est en euros alors que le braquage a été commis en francs.
Il est impossible de compter mais le poids qu’il représente est facilité par la conversion et les billets en majorité de 200 € qu’il contient même si certains sont de 500.
Avec célérité je referme la trappe coincée par un système lui aussi judicieux invisible quand elle est fermée et je range tout comme je l’ai trouvé.
M’étant rhabillée, c’est par l’arrière de la ferme que je porte à deux mains mon trésor assurant ma vie jusqu’à la fin que comme une chatte je pars vers chez mamy Denise.
La maison est dans le noir ainsi que le chemin passant par la pointe de la forêt mais les éclaires de chaleur m’aident à la rejoindre.
C’est dans la remise légèrement isolée que je me rends voyant sous sa bâche la vieille voiture de mon grand-père dont j’ignore la marque mais dont je suis certaine quels vaux une fortune auprès de collectionneur.
De retour dans la chambre ayant trouvé une cachette pour mon butin je reprends le dernier cahier de Camille qu’il me reste à lire.
Sur sa couverture elle a marqué « Mes jumeaux ».

• À la suite du décès de Victor le mari de Denise, j’ai eu une période de chasteté contrainte aucune verge à part celle de Lulu le facteur étant à ma disposition.
Hélas Lulu est P.D. et lorgne plus vers mes garçons que vers moi.
Un jour où je revenais par la porte de service de l’étable je l’ai surpris en train d’entreprendre Hubert et de le sodomiser. Mon mari avait le torse sur la table et la culotte au bas des pieds.
Dans l’état où il était il lui était impossible de comprendre qu’il avait perdu son pucelage anal alors que sa verge était toujours vierge.
J’ai failli faire un esclandre mais ma bonté naturelle a fait que j’ai regardé cet homme prendre son plaisir avant de retourner vers où je venais sans faire de bruit.
Et un jour le ciel m’est tombé sur la tête, l’Europe qui se construisait sur le dos des petits agriculteurs de montagne comme nous a décidé de me donner le coup de grâce en créant la monnaie unique en nous mettant des dates pour faire le change de nos billets.
C’est pour cela qu’un matin je suis allé au guichet de ma banque changé mon argent…

Les avis des lecteurs

On persiste a casser sans explication...



Texte coquin : LA MANTE RELIGIEUSE. (7/14)
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