La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1182)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1182)
La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1182) -
Dieu que j’aimais cet Homme, ce Maître si merveilleux auquel j’avais l’immense chance et bonheur d’appartenir ! Le reste de la semaine se passa dans un sentiment d’attente et d’euphorie. Le Maître avait décidé de changer un peu la tradition, en imposant que les futurs époux qui ne devaient pas se voir, ni rester sous le même toit durant les 24 heures précédant le mariage, décida d’augmenter ce temps à quatre jours. Le mardi, jour de notre retour, avant qu’Il ne quitte Son bureau pour aller déjeuner, j’entendis Ses doigts claquer, alors que j’étais empalée à travailler sur ma chaise à plug vertical. Je le rejoignis prestement et me prosternais devant Lui assis dans Son fauteuil.
- Ma chienne, cette après-midi, tu dois aller récupérer ta robe et faire les derniers essayages pour être sûre que tout va bien. Mon oncle va t’accompagner. Tu devras ensuite le suivre où il voudra sans te poser de questions, et évidemment, lui obéir comme si c’était moi ! Oncle Louis est un Grand Maitre et tu dois avoir un comportement exemplaire envers Lui, mais je n’ai aucun doute sur ta capacité à Me faire honneur …
Monsieur le Marquis d’Evans se leva, tourna autour de moi, lentement, comme un vautour autour de sa proie, parfois me caressant, parfois me claquant une fesse.
- Hummm, ce cul va me manquer ! … Bien, je vais déjeuner maintenant.
Et Il quitta le bureau sans un mot de plus. Je ne comprenais pas ce qu’Il avait voulu dire. Etant toujours à Son entière disposition, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, Il pouvait jouir de (et dans) mon cul aussi souvent qu’Il le voulait et quand bon Lui semblait. Mais, comme toujours, je savais qu’au moment où Il le déciderait, je saurais tout ce qu’Il aurait décidé de me dévoiler. J’attendis donc, comptant le tic-tac de l’horloge de Son bureau, deux minutes (c’était une règle) avant de me mettre en quadrupédie et de descendre dans le réfectoire des soumis pour avaler une pâtée toujours d’aspect assez repoussant mais toujours d’un parfait équilibre alimentaire et calorifique. J’eus à peine fini que Walter vint me chercher pour que je me prépare à sortir. Il me tendit une boite dans laquelle se trouvait le jouet connecté que Fabien, l’imprimeur, nous avait offert en guise de cadeau de mariage. Une fois habillée et le lush bien enfoncé dans ma cavité vaginale, je regagnais l’entrée du Château au moment où Monsieur le Marquis Louis d’Evans descendait le Grand Escalier d’honneur, suivi d’un soumis qui exceptionnellement avait eu le droit de se tenir debout pour lui porter deux valises. Je me mis au pied de l’escalier, jambes écartées, tête baissée, mains derrière le dos, adoptant la position de soumission exigée lorsque nous étions vêtus pour sortir du Château. Il passa devant moi, sans un regard, sans dire un mot, mais je savais que je devais le suivre en restant deux pas derrière lui.
Il monta dans la limousine à l’arrière de la voiture, tandis que le Majordome ouvrait le coffre dans lequel je m’installais rapidement, recroquevillée en chien de fusil. Au moment où j’entendis les imposantes grilles de la Propriété, tout au fond du grand parc, s’ouvrir pour nous laisser passer, je sentis l’œuf vibrant se mettre en route, mais cela fut très éphémère, comme si le Maître, du moins je supposais que c’était Lui, me faisait signe en me regardant m’éloigner. Cela suffit cependant à m’exciter et à humidifier mon sexe et étant recroquevillée, je sentais encore plus intensément l’objet connecté dans mon vagin. Plusieurs fois durant le trajet, je sentis les vibrations se mettre en route. L’intensité et le temps de fonctionnement variaient, et quand la voiture se gara devant la boutique de Monsieur Franck, je transpirai, autant par la chaleur du coffre que par les efforts que j’avais dû faire pour ne pas jouir. L’oncle Louis m’accompagna à l’intérieur du magasin mais lorsque son propriétaire arriva, et après lui avoir adressé un poli et complice signe de tête, il s’éclipsa. Mais ce n’est pas Monsieur Franck qui s’approcha de moi, mais la jeune femme de l’accueil. Pendant environ une demi-heure, j’essayais ma robe de mariée et elle la reprenait ci et là. Quand elle eut fini, elle était parfaite ! Elle était mieux que ce que j’avais rêvé petite fille, elle me semblait même plus belle que la première fois quand j’étais venue et que j’en étais tombée sous le charme, mais je n’aurai pas su définir pourquoi. Jusqu’à ce que la personne qui s’occupait de moi ne me le dise. Le Maître, sans voir la robe pour en avoir la surprise le jour du mariage, avait fait remplacer le fil blanc des coutures par du fil d’or, des milliers d’éclats de diamant parsemaient le corsage et la jupe, mais de manière très discrète visible seulement dans des raies de lumière naturelle. Quand elle me fit remarquer ses déta- ils, je fermais les yeux pour remercier intérieurement le Châtelain, qui mettait absolument tout en œuvre pour faire de notre mariage le plus beau, le plus magnifique jour de notre vie ! Monsieur Franck arriva dans le salon d’essayage. Il demanda à la jeune femme qui était en train de ranger son matériel de nous laisser.
- Vous êtes absolument magnifique ! Plus qu’une princesse de conte de fée, cette robe est vraiment digne d’une future Marquise et je ne doute pas que Monsieur le Marquis d’Evans sera sous le charme indéniable de son épouse !...
Il s’arrêta de parler et changea son regard. Ses yeux, jusque-là admiratifs de la beauté de la robe sur ma personne, se changèrent en un regard gourmand, voir carnassier quand il me lança, sur un ton autoritaire :
- … Mais qu’en est-il de la chienne ? C’est elle qui m’intéresse, personnellement !
Comprenant ce qu’il voulait, j’ôtais rapidement mais avec précaution ma robe de mariée, la déposais délicatement sur le dossier d’une chaise, puis je me prosternais, attendant patiemment.
- Bien, tu es vraiment une belle chienne, vraiment bandante !! Va donc te mettre sur cette table, là-bas, sur le dos.
J’obéis promptement. Il s’approcha de moi après avoir attrapé une sorte de harnais dans le tiroir d’une commode. Il me passa une jambe dans une anse, puis il passa le harnais derrière ma nuque, qui se retrouva posée sur un petit coussin, pour enfin me passer la seconde anse autour de ma seconde jambe. La longueur entre les deux anses étant courte, je me retrouvais dans l’obligation de garder les jambes remontées et pliées. Pour maintenir mes cuisses écartées au maximum, il fixa à mes chevilles une barre d’écartement étirée au maximum possible sans que la position ne devienne trop douloureuse. Puis il m’attacha les poignets ensemble, les fixant au haut de la table. Il passa alors une main sur mon sexe, écartant mes lèvres intimes qui dégoulinaient. En effet, le Maître avait régulièrement activée mon œuf vibrant durant ma séance d’essayage. J’avais réussi tant bien que mal à cacher mon trouble, mais je n’avais pas pu empêcher ma cyprine de couler, j’étais donc dans un état d’excitation évident que je ne pouvais réprimer face à cet homme….
- Hummm, mais tu es bien excitée dis-moi ! C’est l’idée de bientôt te faire prendre comme la chienne que tu es, sur cette table qui te fait cet effet-là ? Réponds-moi salope, tu es autorisée à parler.
- Cette idée est excitante pour une chienne en chaleur, Monsieur, mais pour être tout à fait honnête avec Vous, c’est surtout l’accessoire niché au fond de mon sexe et que Monsieur le Marquis d’Evans peut contrôler à distance qui a produit cet effet.
- Tu es ici depuis un certain temps déjà, tu dois avoir envie de jouir, petite putain ! Mais ce n’est pas prévu pour tout de suite, dommage pour toi ! Et je n’ai pas l’intention de te ménager. J’avais pensé investir rapidement ta chatte de chienne, mais sachant cela, je finirai par elle, comme cela, s’il prenait à mon très cher ami l’idée de te le mettre en marche pendant que je m’occupe de toi, ce sera encore plus contraignant pour toi, et y penser me fait bander comme un véritable taureau !
Et, prouvant ses dires, il baissa la fermeture éclair de son pantalon et en sortit son gros membre, long et épais, qui tressauta en étant libéré, se dressant fièrement droit en avant. Comme toujours mon cul était encombré par un plug frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Il l’ôta d’un coup sec et le remplaça aussitôt par son sexe avide de trouver un fourreau accueillant. Au même moment, le lush se mit en route, et je me dis que ce ne fut pas un hasard, qu’il devait y avoir une caméra de surveillance. J’adorais me faire sodomiser, me faire prendre ainsi me mener toujours très vite au bord de la jouissance, mais les va-et-vient du Dominant combinés aux vibrations du jouet m’emmena immédiatement au bord de l’extase. Je dus couper ma respiration pour ne pas jouir, mais je ne pus rester ainsi longtemps et très vite, sous la contrainte physique, ne pouvant pas me tordre dans mes liens, je me mis à couiner comme une véritable chienne en chaleur...
- Humm, mais je suis en face d’une vraie chienne ! Si tu savais à quel point cela peut m’exciter ! Décidément, il y en a Un qui a de la chance de posséder un tel trésor, je l’envie !
Il accéléra alors ses coups de boutoirs, ses couilles bien pleines claquant sur mes fesses. Ils étaient toujours plus puissants, plus profonds. J’étais sûre qu’il ressentait à travers la fine paroi séparant mes deux orifices les vibrations du jouet qui m’encombrait. Je doutais de pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Je serrais mes muscles pour contenir mon plaisir mais cela me faisait ressentir les mouvements du sexe qui me besognait et les vibrations plus fortement encore. Mais je savais que si je me relâchais, ne serait-ce qu’une seconde, je ne pourrais me retenir. J’envisageais pour la première depuis très longtemps, de supplier sans savoir si j’allais demander à jouir ou à pouvoir me reprendre un peu. Ce fut à ce moment-là que les vibrations se stoppèrent me laissant un peu de répits et me permettant de retrouver un nouveau souffle. Monsieur Franck s’enfonça une dernière fois d’un coup sec, avant de rester quelques instants enfoncé en coït anal bien profond. Je l’entendais reprendre sa respiration.
- Je t’avais dit la première fois que l’on s’est vu que je voulais profiter de tous tes orifices ! Alors ouvre la bouche en grand et surtout ne la referme sous aucun prétexte.
Il se retira alors de mon trou bien dilaté et vint fourrer son membre dans ma bouche. Il l’essuya sur ma langue qu’il exigea que je tire au maximum. J’avais le goût de mes sécrétions anales dans la bouche... Puis il empoigna mes cheveux, et comme s’il se trouvait devant une pissotière, il urina directement dans ma gorge. Avaler sans fermer la bouche était compliqué, surtout qu’il ne cherchait pas à contrôler son jet et que j’avais tendance à m’étouffer. Je me sentais vraiment humiliée, l’esclave que j’étais était dans tous ses états, excitée, considérée pour moins que rien, à me faire ainsi pisser dessus. Il se recula un peu pour sortir son membre de ma bouche et ainsi les jets d’urine n’épargnaient aucunes parties de mon visage, inondant mes joues, souillant mes cheveux, investissant de nouveau ma bouche et recommençait durant tout le temps où il se vidait la vessie. Par réflexe, instinctivement je dus fermer les yeux pour éviter le contact brûlant avec eux. Je sentais la pisse à plein nez et ainsi souillée, je ne devais pas être bien jolie à voir, puante et trempée d’urine dont je gardais son goût piquant dans la bouche. Je n’étais plus qu’un urinoir et cela m’excitait davantage …
(A suivre …)
Dieu que j’aimais cet Homme, ce Maître si merveilleux auquel j’avais l’immense chance et bonheur d’appartenir ! Le reste de la semaine se passa dans un sentiment d’attente et d’euphorie. Le Maître avait décidé de changer un peu la tradition, en imposant que les futurs époux qui ne devaient pas se voir, ni rester sous le même toit durant les 24 heures précédant le mariage, décida d’augmenter ce temps à quatre jours. Le mardi, jour de notre retour, avant qu’Il ne quitte Son bureau pour aller déjeuner, j’entendis Ses doigts claquer, alors que j’étais empalée à travailler sur ma chaise à plug vertical. Je le rejoignis prestement et me prosternais devant Lui assis dans Son fauteuil.
- Ma chienne, cette après-midi, tu dois aller récupérer ta robe et faire les derniers essayages pour être sûre que tout va bien. Mon oncle va t’accompagner. Tu devras ensuite le suivre où il voudra sans te poser de questions, et évidemment, lui obéir comme si c’était moi ! Oncle Louis est un Grand Maitre et tu dois avoir un comportement exemplaire envers Lui, mais je n’ai aucun doute sur ta capacité à Me faire honneur …
Monsieur le Marquis d’Evans se leva, tourna autour de moi, lentement, comme un vautour autour de sa proie, parfois me caressant, parfois me claquant une fesse.
- Hummm, ce cul va me manquer ! … Bien, je vais déjeuner maintenant.
Et Il quitta le bureau sans un mot de plus. Je ne comprenais pas ce qu’Il avait voulu dire. Etant toujours à Son entière disposition, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, Il pouvait jouir de (et dans) mon cul aussi souvent qu’Il le voulait et quand bon Lui semblait. Mais, comme toujours, je savais qu’au moment où Il le déciderait, je saurais tout ce qu’Il aurait décidé de me dévoiler. J’attendis donc, comptant le tic-tac de l’horloge de Son bureau, deux minutes (c’était une règle) avant de me mettre en quadrupédie et de descendre dans le réfectoire des soumis pour avaler une pâtée toujours d’aspect assez repoussant mais toujours d’un parfait équilibre alimentaire et calorifique. J’eus à peine fini que Walter vint me chercher pour que je me prépare à sortir. Il me tendit une boite dans laquelle se trouvait le jouet connecté que Fabien, l’imprimeur, nous avait offert en guise de cadeau de mariage. Une fois habillée et le lush bien enfoncé dans ma cavité vaginale, je regagnais l’entrée du Château au moment où Monsieur le Marquis Louis d’Evans descendait le Grand Escalier d’honneur, suivi d’un soumis qui exceptionnellement avait eu le droit de se tenir debout pour lui porter deux valises. Je me mis au pied de l’escalier, jambes écartées, tête baissée, mains derrière le dos, adoptant la position de soumission exigée lorsque nous étions vêtus pour sortir du Château. Il passa devant moi, sans un regard, sans dire un mot, mais je savais que je devais le suivre en restant deux pas derrière lui.
Il monta dans la limousine à l’arrière de la voiture, tandis que le Majordome ouvrait le coffre dans lequel je m’installais rapidement, recroquevillée en chien de fusil. Au moment où j’entendis les imposantes grilles de la Propriété, tout au fond du grand parc, s’ouvrir pour nous laisser passer, je sentis l’œuf vibrant se mettre en route, mais cela fut très éphémère, comme si le Maître, du moins je supposais que c’était Lui, me faisait signe en me regardant m’éloigner. Cela suffit cependant à m’exciter et à humidifier mon sexe et étant recroquevillée, je sentais encore plus intensément l’objet connecté dans mon vagin. Plusieurs fois durant le trajet, je sentis les vibrations se mettre en route. L’intensité et le temps de fonctionnement variaient, et quand la voiture se gara devant la boutique de Monsieur Franck, je transpirai, autant par la chaleur du coffre que par les efforts que j’avais dû faire pour ne pas jouir. L’oncle Louis m’accompagna à l’intérieur du magasin mais lorsque son propriétaire arriva, et après lui avoir adressé un poli et complice signe de tête, il s’éclipsa. Mais ce n’est pas Monsieur Franck qui s’approcha de moi, mais la jeune femme de l’accueil. Pendant environ une demi-heure, j’essayais ma robe de mariée et elle la reprenait ci et là. Quand elle eut fini, elle était parfaite ! Elle était mieux que ce que j’avais rêvé petite fille, elle me semblait même plus belle que la première fois quand j’étais venue et que j’en étais tombée sous le charme, mais je n’aurai pas su définir pourquoi. Jusqu’à ce que la personne qui s’occupait de moi ne me le dise. Le Maître, sans voir la robe pour en avoir la surprise le jour du mariage, avait fait remplacer le fil blanc des coutures par du fil d’or, des milliers d’éclats de diamant parsemaient le corsage et la jupe, mais de manière très discrète visible seulement dans des raies de lumière naturelle. Quand elle me fit remarquer ses déta- ils, je fermais les yeux pour remercier intérieurement le Châtelain, qui mettait absolument tout en œuvre pour faire de notre mariage le plus beau, le plus magnifique jour de notre vie ! Monsieur Franck arriva dans le salon d’essayage. Il demanda à la jeune femme qui était en train de ranger son matériel de nous laisser.
- Vous êtes absolument magnifique ! Plus qu’une princesse de conte de fée, cette robe est vraiment digne d’une future Marquise et je ne doute pas que Monsieur le Marquis d’Evans sera sous le charme indéniable de son épouse !...
Il s’arrêta de parler et changea son regard. Ses yeux, jusque-là admiratifs de la beauté de la robe sur ma personne, se changèrent en un regard gourmand, voir carnassier quand il me lança, sur un ton autoritaire :
- … Mais qu’en est-il de la chienne ? C’est elle qui m’intéresse, personnellement !
Comprenant ce qu’il voulait, j’ôtais rapidement mais avec précaution ma robe de mariée, la déposais délicatement sur le dossier d’une chaise, puis je me prosternais, attendant patiemment.
- Bien, tu es vraiment une belle chienne, vraiment bandante !! Va donc te mettre sur cette table, là-bas, sur le dos.
J’obéis promptement. Il s’approcha de moi après avoir attrapé une sorte de harnais dans le tiroir d’une commode. Il me passa une jambe dans une anse, puis il passa le harnais derrière ma nuque, qui se retrouva posée sur un petit coussin, pour enfin me passer la seconde anse autour de ma seconde jambe. La longueur entre les deux anses étant courte, je me retrouvais dans l’obligation de garder les jambes remontées et pliées. Pour maintenir mes cuisses écartées au maximum, il fixa à mes chevilles une barre d’écartement étirée au maximum possible sans que la position ne devienne trop douloureuse. Puis il m’attacha les poignets ensemble, les fixant au haut de la table. Il passa alors une main sur mon sexe, écartant mes lèvres intimes qui dégoulinaient. En effet, le Maître avait régulièrement activée mon œuf vibrant durant ma séance d’essayage. J’avais réussi tant bien que mal à cacher mon trouble, mais je n’avais pas pu empêcher ma cyprine de couler, j’étais donc dans un état d’excitation évident que je ne pouvais réprimer face à cet homme….
- Hummm, mais tu es bien excitée dis-moi ! C’est l’idée de bientôt te faire prendre comme la chienne que tu es, sur cette table qui te fait cet effet-là ? Réponds-moi salope, tu es autorisée à parler.
- Cette idée est excitante pour une chienne en chaleur, Monsieur, mais pour être tout à fait honnête avec Vous, c’est surtout l’accessoire niché au fond de mon sexe et que Monsieur le Marquis d’Evans peut contrôler à distance qui a produit cet effet.
- Tu es ici depuis un certain temps déjà, tu dois avoir envie de jouir, petite putain ! Mais ce n’est pas prévu pour tout de suite, dommage pour toi ! Et je n’ai pas l’intention de te ménager. J’avais pensé investir rapidement ta chatte de chienne, mais sachant cela, je finirai par elle, comme cela, s’il prenait à mon très cher ami l’idée de te le mettre en marche pendant que je m’occupe de toi, ce sera encore plus contraignant pour toi, et y penser me fait bander comme un véritable taureau !
Et, prouvant ses dires, il baissa la fermeture éclair de son pantalon et en sortit son gros membre, long et épais, qui tressauta en étant libéré, se dressant fièrement droit en avant. Comme toujours mon cul était encombré par un plug frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Il l’ôta d’un coup sec et le remplaça aussitôt par son sexe avide de trouver un fourreau accueillant. Au même moment, le lush se mit en route, et je me dis que ce ne fut pas un hasard, qu’il devait y avoir une caméra de surveillance. J’adorais me faire sodomiser, me faire prendre ainsi me mener toujours très vite au bord de la jouissance, mais les va-et-vient du Dominant combinés aux vibrations du jouet m’emmena immédiatement au bord de l’extase. Je dus couper ma respiration pour ne pas jouir, mais je ne pus rester ainsi longtemps et très vite, sous la contrainte physique, ne pouvant pas me tordre dans mes liens, je me mis à couiner comme une véritable chienne en chaleur...
- Humm, mais je suis en face d’une vraie chienne ! Si tu savais à quel point cela peut m’exciter ! Décidément, il y en a Un qui a de la chance de posséder un tel trésor, je l’envie !
Il accéléra alors ses coups de boutoirs, ses couilles bien pleines claquant sur mes fesses. Ils étaient toujours plus puissants, plus profonds. J’étais sûre qu’il ressentait à travers la fine paroi séparant mes deux orifices les vibrations du jouet qui m’encombrait. Je doutais de pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Je serrais mes muscles pour contenir mon plaisir mais cela me faisait ressentir les mouvements du sexe qui me besognait et les vibrations plus fortement encore. Mais je savais que si je me relâchais, ne serait-ce qu’une seconde, je ne pourrais me retenir. J’envisageais pour la première depuis très longtemps, de supplier sans savoir si j’allais demander à jouir ou à pouvoir me reprendre un peu. Ce fut à ce moment-là que les vibrations se stoppèrent me laissant un peu de répits et me permettant de retrouver un nouveau souffle. Monsieur Franck s’enfonça une dernière fois d’un coup sec, avant de rester quelques instants enfoncé en coït anal bien profond. Je l’entendais reprendre sa respiration.
- Je t’avais dit la première fois que l’on s’est vu que je voulais profiter de tous tes orifices ! Alors ouvre la bouche en grand et surtout ne la referme sous aucun prétexte.
Il se retira alors de mon trou bien dilaté et vint fourrer son membre dans ma bouche. Il l’essuya sur ma langue qu’il exigea que je tire au maximum. J’avais le goût de mes sécrétions anales dans la bouche... Puis il empoigna mes cheveux, et comme s’il se trouvait devant une pissotière, il urina directement dans ma gorge. Avaler sans fermer la bouche était compliqué, surtout qu’il ne cherchait pas à contrôler son jet et que j’avais tendance à m’étouffer. Je me sentais vraiment humiliée, l’esclave que j’étais était dans tous ses états, excitée, considérée pour moins que rien, à me faire ainsi pisser dessus. Il se recula un peu pour sortir son membre de ma bouche et ainsi les jets d’urine n’épargnaient aucunes parties de mon visage, inondant mes joues, souillant mes cheveux, investissant de nouveau ma bouche et recommençait durant tout le temps où il se vidait la vessie. Par réflexe, instinctivement je dus fermer les yeux pour éviter le contact brûlant avec eux. Je sentais la pisse à plein nez et ainsi souillée, je ne devais pas être bien jolie à voir, puante et trempée d’urine dont je gardais son goût piquant dans la bouche. Je n’étais plus qu’un urinoir et cela m’excitait davantage …
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