La "Party" de Léo. - histoire érotique

J'ai accepté la proposition de Léo, celle de baiser avec lui, et d'autres hommes.
J'en ignore le nombre, c'est lui qui doit organiser ça, mais je suppose que je vais y retrouver celui qui nous a mis en relation, et j'en ai très envie !

C'est vrai, après tout, y en a marre de baiser debout, ou posé sur une chaise de jardin en plastique, au Sex-Shop !

Et la nature n'offre pas beaucoup plus de positions.
C'est toujours un peu pareil, je me retrouve plié à l'équerre, devant eux, avec le pantalon sur les pieds.
Quand j'ai de la chance, je peux m'appuyer contre un arbre ou un mur, pendant que l'inconnu s'affaire dans mon orifice anal.
Le top, c'est quand je peux m'appuyer sur un autre homme, en le suçant. Le plaisir est alors bien plus puissant !

Mais avant de dire oui à Léo, j'y ai mis une condition !
Qu'il me laisse tranquille quelques jours, afin de pouvoir retrouver un peu de libido hétéro avec ma femme.
J'ai un besoin de tendresse avec elle.

"Orhhh ! On s'en fout de ta femme ! C'est pas grave, si tu la baises plus !".
"Non ! Je tiens trop à mon couple ! Si tu baises plus la tienne, c'est ton problème, moi je l'aime ! Et je sens que ça lui manque ! Elle aussi me manque !".

"Bon ! OK ! Pas plus de 5 Jours ! J'ai prévu ça pour Samedi prochain, en matinée, attends toi à en prendre plein la chatte !".
"Merci ! Donc, ce soir, on fait rien !".
"Ah, non ! Pas ce soir !".
"S'il te plait ?".
"Bon, OK, tu me suceras jusqu'au bout, alors !".

Ce fut donc une semaine de fellations, très vicieuses.
Les deux premiers soirs, il n'a pas pu résister à son péché mignon, me bouffer le cul !
C'était bon, mais inévitablement, ça lui donnait envie de m'enculer, donc frustrant pour lui, à la fin !

Les jours suivants, on s'est contenté de bonnes pipes baveuses, dont deux avec un voyeur dans le bois d'en face, le jeudi et le vendredi.
J'ai adoré, quand Léo lui a montré à quel point, je lui étais soumis.
Il lui montrai comment, il pouvait jouer à me défoncer en gorge profonde, puis s'amuser avec ma petite gueule d'ange, en me tenant par les cheveux, pour mieux y enfoncer sa grosse bite bien dure.
Ensuite, de me laisser lui lécher la verge, comme une pute soumise et gourmande.

Il m'a forcé à rester avec la gorge déployée, sous sa grosse bite, pour recevoir ses abondants flots de foutre.
L'autre se secouait la queue comme un forcené, puis il a éjaculé, quand j'ai recouvert la verge de Léo pour lui nettoyer.
Il a compris que j'avais tout avalé, et devait imaginer que je lui faisais la même chose.

Après ça, je suis rentré, comme si rien ne s'était passé.
Seul le gout dans ma gorge, et mes souvenirs pervers me rappelaient mon vice.

Pendant cette semaine, j'ai rattrapé le temps perdu avec ma belle, jusqu'au vendredi soir.

Le samedi, comme prévu, je me rend devant l'appart habituel, en attendant Léo.
Je suis légèrement en avance, il est à peine 8h du matin.

Pour être franc, j'ai pas très envie de sexe entres hommes. Je me sens bien, à nouveau dans mon coté hétéro.
Mais je n'ai qu'une parole, je dois tenir mes engagements.
Je ne me sens pas très à l'aise, il y a beaucoup de gens dans la rue.
Surtout des clients, attablés en terrasse d'un bar de quartier.
Je croise tous ces regards, dont ceux de certains hommes.

Il me passe pas mal d'idées idiotes, lesquels sont attirés par le sexe entre hommes ?
Est ce qu'on devine que je suis là, pour me faire enculer, et sucer des bites ?
Pour passer le temps, je les imagine debout devant moi, avec la bite à la main.
Certains me donnent envie, surtout les plus murs.

"Ah, t'es déjà là !".

Ouf, Léo est arrivé, il est accompagné du grand mince, c'est super !
Il me sourit, pendant qu'on attend que notre hôte nous ouvre la porte.
Il fait un signe de main à un grand type, assis en terrasse du bar, puis nous fait entrer.
On monte l'escalier, jusqu'à l'appartement.

Je suis pris en main rapidement.
Mes mains sont sollicitées pour leur caresser la verge, sous leurs braguettes.

"Allez, on va pas perdre de temps ! Fous toi à poil, directement !".

Je me déshabille, en les matant, pendant qu'ils me dévoilent leurs deux verges en érection.
Léo se couche sur la table de salon.

"Viens au dessus de ma bouche, je vais te bouffer la chatte, tu sais que j'adore ça !".

Je m'accroupi sur son visage, alors que tout naturellement, le grand mince vient m'enfoncer sa bite dans la gorge.
Rapidement, au gré du plaisir vécu, mon œillet s'ouvre de plus en plus, Léo s'en régale encore davantage.

Quand à moi, je prend un double plaisir, j'adore sucer la bite de son pote !
Ca y est, l'envie me gagne ! Je suis bien, dans mon rôle de petite pédale !

Au bout de quelques minutes, on est arrêté par des coups sur la porte !

"Mmmmm ! Sllrp ! Vas ouvrir ! C'est surement, Bernard !".

Le fameux Bernard, n'est autre que celui que j'espérais, celui qui est à l'origine de ma liaison avec Léo.
Mais, il n'est pas seul ! Il est accompagné d'un autre homme du même âge.
L'homme est corpulent aussi, il vient me caresser la tête.
On se reconnait, il fait partie des hommes du bar, celui à qui Léo a fait signe, il devait attendre son pote Bernard.

"Bonjour, toi ! Hummm ! Tu m'as l'air appétissant ! J'ai une une bonne surprise quand j'ai compris que ce serait toi, la p'tite salope ! Salut Léo, tu lui bouffes le cul, moi aussi, j'aime ça ! ?".

Léo me soulève le bassin.

"Mmmmmm ! Mouais ! Sllllrp ! D'ailleurs, elle est prête pour se faire enfiler, sa p'tite chatte !".
"Alors, on va s'en occuper !". Dit celui que je suce.

Le grand mince m'entraine vers le canapé, et pointe sa très longue verge, contre mon anus lubrifié à la salive de Léo.
Je suis excité de me faire posséder devant les autres.
Les quatre hommes fixent mon orifice anal, qui commence à accepter la pénétration.
Le gland un peu épais, force ma collerette anale, et glisse en moi sur la moitié de la longueur de sa bite.

"Orhhhhhh ! Oui, enfonce toi ! Arghhhhhhhhhhhh ! Putain, ce que j'aime ça ! Orghhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Hummm ! Il a l'air bon, ce p'tit cul !".
"C'est vrai que tu l'a jamais gouté ! Tu verras, il a une bonne chatte ! Et il couine bien aussi !".
"Hummm ! Tout ce que j'aime !".

Le grand mince recule dans mon cul, puis revient pour s'enfoncer jusqu'aux couilles.
Je me cambre de plaisir, il a la verge parfaite pour une première pénétration.
Léo prend place devant moi, pour me remplir la gorge, pendant que les autres se dénudent.
On frappe encore à la porte, décidément, je suis pas venu pour rien !

Je sens monter mon plaisir anal, le grand mec me lime extrêmement bien.
Il m'attrape par les cheveux pour me défoncer la chatte.
Je râle mon orgasme montant, complètement vouté en arrière, et planté sur sa bite.
C'est le spectacle que j'offre aux deux nouveaux arrivants.

"Eh, mais vous avez commencé sans nous ! C'est pas sympa ! Hummm, il a l'air bien salope, le jeune !".
"Au Top ! Il encaisse comme une pute, on se régale !".
"On peut lui faire la totale ?".
"Demandes-lui !".

L'homme se penche vers moi, pendant que je joui du cul.
"Arghhhhhhhh ! Oui, tout ce que vous voulez, sauf... Orghhhh ... Le sado-maso ! Arghhhhhhhhhhhh ...".
"Qu'est ce t'as ? Il te fait mal ?".
" Arghhhhhhhhhhhh ..., non... il me fait jouirrrrrrrrrrrr ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh...".

Je reprend des verges dans la gorge, les derniers se dénudent rapidement.
Je découvre leurs mensurations, en même temps que je les suce.
Léo et Bernard, restent les plus membrés, mais les autres sont très bien aussi !

Le grand mince, laisse sa place aux autres.
Ma chatte se fait malmener à tout de rôles, selon les envies et lubies des hommes, tous venus se taper de la chair fraiche.
Quand c'est au tour de Léo, je crie plus fort mon plaisir.
Il m'éclate la chatte, comme toujours.

"Putain ! Tu m'as fait attendre 4 jours, salope ! Mais ça valait le coup ! J'adore te baiser avec mes potes ! Tiens, prends toi ça dans la chatte ! Sale chienne ! C'est bon ? tu te régales ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiiii !".

Après le passage de Léo, je peux tout encaisser.
Le grand mince lance:

"Et si on essayait de lui en mettre deux ? Tu l'as déjà fait, salope ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Allez y, mais pas Léo et Bernard ! Ils sont... Orhhhh... Trop gros !".
"Trop bon ! On le fait ! C'est mon fantasme !".

Celui qui m'a enculé avant Léo, se couche sous moi, sur le canapé, puis me colle le dos contre son torse.
Le grand mince vient face à moi, et m'écartèle les cuisses.
Il force contre mon œillet en s'appuyant contre l'autre verge.

Après plusieurs tentatives, je m'ouvre pour le laisser m'investir analement.
J'en ai le souffle coupé.
Nos regards se croisent, il voit mon plaisir de le recevoir en même temps que son complice.
Son regard est lubrique et pervers.

"Tu vas prendre cher ! J'adore les jeunes petites putes comme toi ! Tiens, salope !".

Ceux qui le peuvent montent sur mes cotés, pour se faire pomper la verge.
Je prend un plaisir énorme, malgré son manque d'expérience dans cette pratique.
Après une courte séance, il sort précipitamment.

"Orhhh ! Putain ! A vous ! Sinon, je lui balance ma purée !".

Je me fais doublement labourer, par les moins membrés, à la suite, et en s'échangeant les places, passant de ma bouche à ma chatte.

Celui de dessous est sorti, pour laisser mon trou béant à un autre, il m'a rempli l'anus de sperme et commence à débander.

Bernard demande son tour, il m'attend sur le coté, avec sa grosse, et très longue verge au garde à vous.
Je lui fait face, pendant qu'il cherche mon orifice poisseux avec son gros gland.
Il entre dans ma chatte d'une seule traite, pendant que je nettoie la verge de celui qui a éjaculé.

"Hummmm ! C'est bon ! Tu me manquais, minot ! Et toi ? Ca te fait plaisir de m'avoir dans le cul ?".
"Mmmmmmm ! Orghhhhhhhhhh ! Oui ! Tu sais que j'aime ta queue !".

Je quitte la verge de l'autre homme, elle est propre, à présent.

Bernard m'attrape la nuque, et m'embrasse comme un pervers, en s'enfonçant sans vergogne, en profonds coups de verge.
Je gémis comme une chienne, j'aime jouir avec ce type !

Il me libère la bouche, on me sollicite aussitôt après !

Léo s'impatiente, il propose à Bernard de "se passer ma chatte".
Je suis donc soulevé souvent, vidé d'une verge, pour encaisser l'autre, tour à tour.
Je ressens des plaisirs complémentaires, l'une courte et extrêmement large, et l'autre un peu moins épaisse, mais qui me laboure bien plus profondément.

Bernard se dégage, et me plaque au sol, sur le ventre.

"Bon, fini de jouer ! J'veux te remplir la chatte, maintenant !".

Il se plante en moi, et me burine comme un marteau piqueur, sans discontinuer.
Je crie mon nouvel orgasme.
Il a vraiment décidé d'aller jusqu'au bout.
Je m'étrangle de plaisir anal.
Il se cambre en arrière, en se vidant en moi, pendant que je hurle ma jouissance.
Ma chatte reçoit son jus, alors qu'elle est déjà trempée à l'extrême.
Les cinq autres se branlent, en admirant la puissante éjaculation interne de leur pote.
Puis, son relâchement, lorsqu'il s'écroule sur mon petit corps.

Bernard se relève, puis sort lentement sa grosse verge, il se vide du reste de son foutre, sur ma corolle anale.

"Humm ! Putain ! Tu m'as bien vidé les couilles ! Mon petit ! C'était bon encore ! Bon ! A qui le tour ?".

On me relève pour me poser assis sur un fauteuil, recouvert à l'avance d'une serviette.
Sur le sol, à l'endroit où Bernard m'a défoncé, on remarque que j'ai éjaculé pendant que Bernard m'enculait.

Le suivant m'ouvre les cuisses, pour se branler dans ma chatte en m'insultant, me disant que je suis un bon coup, une bonne pute !
Je pollue la serviette posée sous mon cul, mais je m'en fous, j'aime assumer mon rôle de jeune salope, pour hommes mariés.
C'est pas ma faute, après tout, ce sont eux qui me giclent dans l'anus ! Pas étonnant que tout ça ressorte, quand on m'encule à nouveau.

Je vis encore des changements de verges, je prend des montées de plaisir, à la chaine.

Alors que ma tête est penchée sur une verge, et que je joui du cul, je reçois du sperme dans la gorge.
C'est l'un des derniers arrivants, il m'étonne par son gout très puissant.
Mais j'assume, en l'avalant avec gourmandise.
L'homme râle son bonheur, d'éjaculer enfin, dans une bouche de jeune homme.
Je me sens honoré que ce soit dans la mienne.
Celui qui s'affaire dans ma chatte, est très proche de mon visage.
Il est aux premières loges, ça l'excite de me voir avaler le jus de son copain.

Il se fige et commence à m'inséminer, puis il se masturbe énergiquement sur ma queue rétrécie.
Son foutre rejoint le mien, encore collé contre mon ventre imberbe.

Je souffle un peu, lorsqu'il me lâche les cuisses, afin de s'éloigner avec la verge vidée et humide.
Ca m'offre un petit répit, mais je sais qu'il m'en reste d'autres à contenter.

Le grand mince me pose dans la même position, sur la petite table de salon.
Je le reçois, alors qu'il se déchaine pour s'enfoncer dans ma chatte jusqu'aux couilles.
Il m'impose de me tenir les cuisses écartées, pendant qu'il me défonce l'orifice anal.

Léo me chevauche pour me baiser la gorge, comme on baise un sexe.
Je voudrais hurler de plaisir, mais ça m'est impossible.
Jusqu'au moment où:

"Pousses toi Léo ! Je vais tout lui mettre dans sa p'tite gueule !".

Je reçois donc le plaisir du grand mince, sous les yeux de Léo, alors que le dernier prend sa place, et se secoue à son tour, dans mon orifice anal.
Je flatule à chaque enfoncement. Mon anus dégouline avec abondance sur la table.

J'avale presque amoureusement le sperme du grand type.
Putain, ce que j'aime baiser avec des hommes murs!
Celui qui me baise vient près de mon visage, j'avale encore le grand type, mais ça ne le gêne pas.
Il m'arrose le visage, pendant que j'avale son copain, puis glisse son gland spermé entre deux avalements.
Les deux complices jouent avec le sperme sur ma face, pour me le faire avaler.

Alors que je suis de nouveau pénétré à l'extrême, par Léo, qui me fait hurler de plaisir.

"Putain ! J'adore te baiser, avec la chatte pleine de foutre ! Ca glisse tout seul ! On le referra, mon p'tit Pascal ! Tu vas pas y échapper !".
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmm ! Sllllrppp ! Mmmmummmmmmmmmmmmm ! Arghhhhhhhhhh ! J'en peux plus ! J'ai trop joui ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ...".

"Tu dis ça, mais tu t'es éclaté ! Ma p'tite chienne ! Pas vrai ?".
"Mmmmummmmmmmmmmmm ! Mouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhh ...".

Le grand mince me relève la tête, pour que j'assiste à la destruction de ma chatte par Léo.

"Dis lui que tu veux, qu'il te remplisse la chatte !".
" Arghhhhhhhhhhhh ...Oouiiiiiiiiiiiii, je le veux ! Remplis moi Léo ! Arghhhhhhhhhhhh ...".

Mes fesses collent à la table, à cause de mes écoulements anaux.
Enfin, il se déverse dans mes intestins, je joui avec lui dans un plaisir intense.

Viens alors cet instant si spécial, cette petite mort, ou personne ne dit un mot.
Mis à part des souffles de récupérations, et des respirations de plaisir, puis enfin des:

"Orhhh ! Putain ! Quel pied ! Pfffffffffff ! Je me suis donné à fond !".
"Orhhhh ! La vache, il m'a vidé les couilles, le jeune ! Ouffffffff ! Je suis mort !".
"Putain, t'as raison ! C'était trop bon ! On baise pas comme ça, chez nous ! Ca fait du bien !".
"Je suis content, si vous vous êtes régalé ! Elle est super, ma p'tite salope ! Pas vrai ? Vous savez que je la baise au boulot ? Il bosse avec moi !".
"Non ! Vous faites gaffe ! Quand même !".
"Oui, t'inquiètes, on baise dans un endroit sympa !".

Décidément, ce type aime se faire valoir.
Quand à moi, je me sens investi d'un sentiment de devoir accompli.

Quand je me redresse, je me clos l'anus avec la main, histoire d'éviter trop de taches au sol, puis, je vais sous la douche.

A mon retour, ils sont tous assis avec la verge entre les jambes.
Bernard me tend les bras.

"Viens là, jeune ! ....Pascal, c'est ça ?".
"Oui !".

Je me pose sur ses cuisses, et contre son torse.

"T'as assuré, Pascal ! Hummm ! Tu sens bon le savon, j'aime ça ! Ca va, ta petite chatte ?".
"Pas trop, mais je vais pas me plaindre, c'est moi qui l'ai cherché !".

"Putain ! Regardes Léo ! Il bande encore ! Je suis sur qu'il va vouloir recommencer !".
"Ben, tu me connais, moi, c'est toujours deux fois minimum !".

"Bon, on vous laisse les mecs ! Bisous Pascal, et merci ! C'est quand tu veux, pour remettre ça !".

Les deux derniers venus repartent, alors que le grand mince est obligé d'attendre Léo, et l'autre attend Bernard.

Finalement, j'aurai droit à de nouvelles sodomies moins longues, dont une double anale, pour terminer en fontaine de sperme sur ma face d'ange, l'un après l'autre.

Je suis rentré épuisé, un peu après midi, Corinne commençait à s'inquiéter !
Quand à moi, je retombai dans mes remords. Pourquoi, je n'arrive pas à m'arrêter de me donner aux hommes ?
Je crois que plus que le plaisir anal, j'ai encore plus besoin de cette soumission aux hommes murs.
Putain ! Je me déteste ! Je ne veux plus recommencer !
Elle ne mérite pas ça !

J'étais à nouveau douché, sentant le savon, mais ma chatte n'a pas cessé de me rappeler ce qu'elle avait subit.
Le dimanche m'a été salutaire, mais le lundi soir approchait aussi !
Le simple fait de le côtoyer, m'a confirmé que j'allais me laisser baiser, sans rechigner.
Léo m'a fait plaisir, en ne sollicitant que ma bouche.
Par contre, le mardi, c'était reparti pour une sodomie, chaque soir, dans le cabanon, jusqu'au vendredi.

Ensuite, on a bossé sur le chantier, tous les deux.
Là, j'ai assouvi ses moindres envies, pendant deux semaines, jusqu'à la fin de mon contrat.
Je reparlerai peut être de nos ébats.
La boite n'avait plus de boulot pour moi.
Ils m'ont affirmé qu'ils me choisiraient, si j'étais disponible.

Mais, tout ça était trop intrusif, malgré le plaisir, je me suis senti plus libre ! Je n'ai plus donné signe de vie à Léo, pour retrouver une certaine indépendance, et j'ai refusé une nouvelle mission pour cette entreprise.

Mais mes démons ne me lâcheront jamais, donc je suis allé en lieux chauds.

Finalement, il m'a fallu tout avouer à Corinne, pour mieux l'accepter. En plus, elle ma donné son approbation pour continuer. Ce qui m'a rendu encore plus amoureux d'elle.

Bernard me donnait des nouvelles de Léo, quand on se croisait au bord de mer.

"Il aimerait te revoir ! Ca lui manque !".
"Je sais ! Mais il en veut trop !".

Avec Bernard, comme on aimait les changements de positions, on s'isolait pour baiser, couchés par terre, sur nos vêtements.
Parfois, des inconnus se joignaient à nous, c'était top !

Quand j'ai entamé ma relation avec l'ouvrier Portugais (Mario), j'ai retrouvé les mêmes sensations.
Celles de me retrouver dans la peau de la femelle officieuse, pour un homme de presque 55 ans.
Mais cette fois, je l'ai mieux vécu.