La pêche au gros_4

- Par l'auteur HDS Briard -
Récit érotique écrit par Briard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La pêche au gros_4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La pêche au gros_4
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…
Partie 4
Elouan gara sa voiture à la place de parking qui lui était réservée.
Ce matin il y avait du soleil et il se sentait d’une humeur que rien ne pourrait contrarier.
Il décrocha son téléphone portable et composa le numéro de son cousin.
- Hello Dempsey, how are you this morning?
- Well and fine dear. To what do I owe the pleasure of hearing you so early in the morning?
Note de l’auteur : La suite de la conversation sera traduite pour plus de confort du lecteur.
- As-tu réfléchi à ma proposition ?
- Holà, tu veux me stresser ? Tu m’as fait ta proposition il y a à peine une semaine et tu veux déjà que je te donne ma réponse ?
- C’est incroyable, cher cousin, comme tu comprends rapidement les choses. Oui, je t’ai laissé assez de temps. Maintenant, je veux ton verdict.
- Mais évidemment que oui, nous sommes d’accords et même enchantés que tu aies pensé à nous pour ton projet. Le comité directeur a applaudi des deux mains. Ils croyaient même que l’idée venait de moi. Quand je leur ai dit qu’en fait c’était ton idée, tu sais ce qu’ils ont dit, ces bâtards ?
- Non, dis-moi.
- Eh bien qu’ils avaient été étonnés que je fus capable d’une telle proposition, mais que de ta part, rien ne les surprend.
Elouan éclata d’un rire franc qui ne vexa pas son interlocuteur.
- Bon, alors quand aurons-nous le plaisir de te recevoir ?
- La semaine prochaine cousin, et je te préviens que je resterai avec femme et enfants, jusqu’à ce que notre contrat soit belle et bien signé.
- Marché conclu. Je te laisse, passe une bonne journée, salue pour moi Wendy et les enfants. Ah, j’oubliais, préviens-moi quand tu atterris à Brest, que je vienne vous chercher.
Elouan rangea son portable dans sa poche et entra à la réception en sifflotant.
- Bonjour patron, ça fait plaisir de vous voir d’aussi bonne humeur le matin.
- Bonjour Claire, oui, la vie est belle, vous ne trouvez pas ?
Il grimpa quatre à quatre les marches de l’escalier et entra dans son bureau.
Azilis leva les yeux et lui envoya un sourire rayonnant.
- Mais mon amour, qu’est-ce que tu fais là ?
- Je me suis levée aux aurores pour être sûre d’être au bureau avant toi.
- Il se passe quelque chose de grave ?
- Non, rien de grave. J’ai reçu les papiers concluant le divorce. Je suis officiellement célibataire. Ma mère m’a dit que Coralie et Pierre-Yves se sont fait embaucher à la pêcherie de La Turballe. Ils ont trouvé un logement, on n’est pas prêts de les revoir. Mais, avant tout, raconte-moi ta conversation avec Dempsey.
- Le comité de direction est d’accord. Il vient la semaine prochaine avec Wendy et les enfants pour signer le contrat.
- Alors, dès que c’est signé, nous commençons à utiliser la flotte de sa société ?
- Oui, et lui co-dirige la pêcherie avec nous.
- C’est génial, mon amour tu as réussi là un coup de maître. Avec deux flottes et deux pêcheries, nous allons diriger la plus grosse société de pêche d’Europe, résoudre les problèmes de régulation entre nos deux pays et réconcilier les marins pêcheurs anglais et français. On devrait te décorer rien que pour ça.
- Oh, tu sais, je ne cours pas après les honneurs, je les laisse à qui en veux ou en a besoin.
Elle s’était levée et approchée de lui.
- Moi, mon honneur et ma fierté, c’est d’avoir une femme telle que toi à mes côtés et de savoir en plus que cette femme m’aime, me comble au-delà de toutes mes espérances. Que veux-tu que je réclame d’autre à la vie.
Elle se lova contre lui.
- Je ne sais pas moi, il n’y a rien d’autre dont tu as envie pour compléter ta panoplie du bonheur.
Elouan fit semblant de réfléchir un instant, la regarda l’air satisfait de lui, puis, sans qu’elle ne s’y attende, mit un genoux à terre devant elle.
Il lui saisit la main et la regarda, toujours en souriant amoureusement. Il fouilla dans la poche de sa veste et en sortit un petit écrin qu’il ouvrit, révélant une superbe bague de fiançailles.
- Si, tu as raison, il me manque quelque chose. Azilis Kerjouan, acceptes-tu de m’épouser.
- Elouan Le Goff, du plus profond de mon cœur, oui, je le veux.
Il lui passa la bague au doigt, se releva, l’enlaça et l’embrassa très amoureusement.
Sitôt leurs lèvres séparées, elle se recula juste assez pour que leurs regards se croisent.
- Et maintenant mon Elouan, est-ce qu’il te manquerait encore quelque chose ?
- Probablement que oui, mais, ma chérie, ce qu’il me manque, nous avons tout le temps pour le faire.
- Tout le temps, tout le temps, tu sais, le temps, et bien, il passe vite et je ne resterai pas éternellement jeune. Aussi, monsieur mon amour, il faudrait nous y mettre, et ce, dès aujourd’hui.
Il la souleva de terre et l’embrassa.
- Tu as raison, mettons-nous-y tout de suite.
Elle éclata de rire.
- Repose-moi grand fou, je te faisais marcher.
- Ah bon ? tu n’es plus si pressée ?
- Non, je ne suis plus pressée mon cher futur mari. Nous avons bien travaillé et, d’ici neuf mois, il est bien possible que ce qu’il te manque je sois en mesure de te le ou la donner.
Il la reposa délicatement au sol, mit la main sur son ventre et la regarda l’air interrogateur.
- Non ? Déjà ?
Elle lui fit son plus beau sourire.
- Oui, déjà. Je le sais depuis hier soir. J’ai même fait deux fois le test pour être sûre. Tu vas enfin être papa.
Il la serra fort contre lui.
- Oh mon dieu, que je suis heureux. Tu ne peux pas savoir.
- - Eh, fais doucement, je suis une petite chose fragile maintenant.
Elouan sembla se concentrer tout en lui massant le ventre.
- Sais-tu comment j’aimerais que nous l’appelions ?
- Non, je n’y ai pas encore réfléchi. Tu as une idée ?
- Oui, si tu veux bien, nous lui donnerons un nom bien de chez nous. Nous l’appellerons Digoll.
La jeune femme sourit et regarda amoureusement celui qu’elle aimerait toute sa vie en acquiesçant. Digoll signifie réparation.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire tordue à souhait devrait être diffusée dans le style série rose mais n à rien à voir avec histoire de sexe.C est un véritable roman à l eau de rose.



Texte coquin : La pêche au gros_4
Histoire sexe : Une rose rouge
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