La planète des Maîtres – (suite du premier épisode publié le 06-11-2020) –
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La planète des Maîtres – (suite du premier épisode publié le 06-11-2020) –
Nymphaea et son destin -
Cette pure beauté de la nature s’appelle Nymphaea … Sur chacun de ses deux tétons percés, il avait été placé un anneau métallique. Idem pour chacune de ses lèvres intimes annelées, possédant également 1 anneau en piercing… Cela fait déjà plus de deux heures que les badauds attendent le Maître des lieux et il est déjà assez tard quand le véhicule d’Ed SAVEN arrive au niveau du restaurant. Ce n’est pas une voiture qui se présente mais plutôt le majestueux bus personnel du Maître qui, du reste, est des plus confortables. Il est encadré par une impressionnante escorte de motards. Sur les deux faces latérales extérieures de ce luxueux autocar, un immense et magnifique dessin coloré à l’effigie d’Ed SAVEN y est apposée, tenant en laisse une flopée d’esclaves en quadrupédie. C’est d’ailleurs ce qui est représenté sur ce dessin que les badauds aperçoivent à la sortie du bus. En effet, une fois la portière ouverte, on commence à voir descendre un, puis deux et ainsi de suite, jusqu’à la dizaine d’esclaves, descendre les marches doucement et sortir à quatre pattes du haut véhicule. Ils sont entièrement nus et portent tous un épais collier métallique autour du cou. Une laisse en chaîne est accrochée à chacun d’eux se rejoignant toutes à leur extrémité en direction de l’intérieur de l’autocar. Jusqu’à que l’on voit sortir enfin Celui qui empoigne fermement l’ensemble des laisses. Parmi les dix esclaves, il y a pour moitié cinq soumises femelles et autant de soumis mâles encagés.
Dès qu’Ed SAVEN arrive au niveau de la portière du bus, tous les dominés (ées) badauds présents derrière les barrières de sécurité se prosternent à même la rue, sur le trottoir. Quant aux Dominants (tes), ils applaudissent amplement leur Modèle, leur Icône, Celui qui, pour eux, reste et restera le plus grand des Dominants existants. Ce dernier, est confortablement assis sur une espèce de trône en bois luxueux et ouvragé, monté sur un élévateur automatisé qui avance en surmontant les marches d’escaliers de l’autocar pour se déployer à l’extérieur du bus, pour descendre doucement jusqu’au niveau du sol... Puis il se lève alors, et d'un geste il saisit les bouts des chaînes et s'en sert de laisses pour entraîner à sa suite les cinq femmes et les cinq hommes esclaves nus qui le suivent docilement, faisant évoluer sur le bitume du trottoir leur corps à quatre pattes, avec une grâce féline. La seule présence d’Ed SAVEN marque à l'évidence Sa Nature Dominante. Il commence alors à arpenter le trottoir, menant à sa suite cette dizaine d’esclaves qui le suivent pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par le Maître.
Ed SAVEN salut d’un long geste amical de la main les dominants badauds sans porter un regard sur les dominés naturellement prosternés, le nez sur le trottoir. Il regarde lentement, tout sourire la nombreuse populace avec un charisme hors du commun. Quand tout d’un coup, regardant à sa droite puis à sa gauche, Ed remarque Nymphaea attachée à ce lampadaire. En temps normal, il n’y aurait pas prêté attention, après tout une esclave nue et bondagée sur un lampadaire, rien de plus normal, en cette fin de XXI ème siècle ! Mais cette soumise commet une faute malgré elle, que remarque d’emblée, le Maître de la ville. En effet logiquement dès l‘arrivée d’Ed SAVEN, tous les dominés baissent naturellement les yeux. Or à ce moment-là, un oiseau marin perché sur le dessus du lampadaire, effrayé par le tumulte ambiant, se met à crier d’un bruit strident et proche qui retentit dans les oreilles de Nymphaea. Par peur ou par surprise, instinctivement cette dernière lève la tête pour à peine apercevoir l’envol rapide de l’oiseau, mais c’est à juste ce moment-là que le Maître de la ville voit l’esclave lever la tête. Alors il croit qu’elle Le regardait un furtif instant… Heureuse coïncidence qui va changer la vie de cette esclave femelle. Ed SAVEN exige qu’on la détache et qu’on l’amène à ses pieds. Tous les badauds présents regardent la scène, cette belle soumise, avec des regards accusateurs tandis qu’on la détache du lampadaire. Impressionnée, contrite et peureuse de se retrouver devant lui, Nymphaea avance à quatre pattes et se prosterne très vite, les mains bien en avant, le cul nu relevé, la tête enfuie entre ses épaules, le nez touchant le goudron du trottoir…
- Qui es-tu, pour oser me regarder sans y être autorisée ?, interroge-t-il
Ed SAVEN dit cela tout en la scrutant attentivement, de ses yeux qui lui montrent une belle réalité ou la véritable beauté physique de la femelle face à Lui. Cet esclave est à l’évidence d’une beauté plastique rare, hors norme, possédant une sinuosité parfaite de sa silhouette prosternée. Le Maître des lieux ne reste pas insensible à ce qu’il savoure déjà d’un regard gourmand et Dominant… Nymphaea ne répond pas et ne bouge pas d’un iota car les convenances de cette société composée de Dominants et dominés sont telles, que c’est toujours au Propriétaire du (de la) dominé (ée) de parler en priorité. A défaut, les dominés peuvent s’exprimer après y être autorisés par celui qui questionne… Une élégante jeune femme s’avance alors et sa voix s’élève, parmi les nombreux badauds :
- Elle est à moi, Divin Maître (NDLA : C’est ainsi que l’appelle les habitants de la ville, Dominants comme dominés). Je m’appelle Maîtresse Cyrcée…Et veillez pardonner l’affront de ma femelle mal éduquée, qui se nomme Nymphaea… Elle sera châtiée pour cela, croyez-le bien…
- Maîtresse Cyrcée, votre esclave a osé me regarder… Aucun châtiment de votre part ne pourrait laver un tel affront. Je suis le seul habilité à la punir, selon la loi du 23 juillet 2038 qui stipule que tout affront fait au Maître de la ville par un ou une dominé est passible d’être sanctionnée uniquement par le Maître de la ville, après un jugement du tribunal de cette ville…
- Je comprends, Divin Maître, mais … j’implore votre clémence car Nymphaea a des circonstances atténuantes. Et loin de moi de me substituer au tribunal, mais je connais très bien ma femelle, elle est d’une Nature innée d’une extrême obéissance, docile et servile encore plus que la moyenne d’une dominée lambda. Mais hélas pour elle, elle est née muette et si on pouvait trouver un accord à l’amiable, ce serait mieux pour elle, de ne pas lui infliger un tribunal…
- Un accord à l’amiable ? Et que me proposez-vous ?, répond Ed SALEN après un temps de silence dans la réflexion tout en dévorant des yeux la très belle Nymphaea prosternée devant lui….
- Je … Je serai prête à vous la céder … Je sais que vous avez un incalculable nombre d’esclaves mâles et femelles en votre possession et que ma chienne Nymphaea ne vous intéresse pas forcément. Mais je sais que vous êtes Le Maître juste et bon par votre réputation mondiale, vous êtes l’Exemple de la ville et de la Planète tout entière… Alors comme j’ai un cruel besoin d’argent, je pensais que de vous la vendre serait un bon compromis, en me promettant de lui éviter le tribunal…
- Hummm, réfléchit le Maître de la ville … Et pourquoi pas ! Je vais même me montrer très généreux … Je t’en offre dix fois le prix que vous l’avez acheté, en vous promettant de ne pas lui infliger le tribunal …, conclue Ed SALEN séduit par la beauté de Nymphaea
- Dix fois le prix ??? Mais ? C’est trop, Divin Maître, je…
- Acceptez car si vous refusez, ce sera le tribunal … Et l’affront envers ma personne est considéré comme un délit grave et je doute déjà de la clémence de la sanction…
- Dix fois le prix ! Alors, j’accepte sans hésiter !
- Alors, à partir de cette seconde même, Nymphaea m’appartient... Maîtresse Cyrcée, passez demain matin au PALASAVEN (le palace d’Ed) pour les formalités… (Puis s’adressant à un de ses serviteurs) Qu’on m’amène cet esclave femelle à l’intérieur du restaurant …
Ed SALEN entre dans le restaurant suivi par toute sa file d’esclaves tenus en laisse ainsi que ses nombreux serviteurs… Un de ceux-ci empoigne donc la laisse et entre en dernier… Dans le resto, tout avait été préparé pour l’arrivée du Maître de la ville. La réputation mondiale de l’établissement d’être le restaurant préféré d’Ed SAVEN doit être préservée avant tout. Ce lieu ressemble à un vaste cabaret avec des tables rondes dans une immense salle, une spacieuse scène sur fond où de très nombreux spectacles vivants des plus lubriques, pornographiques, BDSM et D/s s’y déroulent quotidiennement et durant toute la durée d’ouverture. Des cages suspendues y sont nombreuses où croupissent des esclaves prêt à être utilisés selon les Exigences des clients Dominants… Des chaînes pendantes sont fixées aux poutres, des espaces bien équipés en matériel BDSM ne manquent pas également... La table habituelle d’Ed SAVEN est toujours préparée avec grand soin et reste la mieux positionnée pour savourer les spectacles scéniques. Les meilleurs spectacles sont sélectionnés et il y en a toujours en réserve pour le Maître de la ville. Ce dernier fait positionner ses esclaves tenus en laisse en position prosternée, de chaque côté de la grande salle, le long des murs, en attente, et ceux-ci pouvant, selon qu’ils soient utilisés ou pas du tout, durer tout le temps qu’il passera au restaurant… Il exige que l’on installe sa dernière acquisition, Nymphaea, dans une cage suspendue, mais dans celle qui reste placée juste au-dessus de la scène, devant et au-dessus du rideau fermée afin qu’il puisse lui-même la contempler, tout en regardant le spectacle et tout en dînant.
Nymphaea est dans le plus grand silence et même si elle n’avait pas été muette de naissance, elle n’aurait rien dit. Mais face à sa nouvelle situation et donc à son changement de Propriétaire, et pas des moindre, elle ressent à la fois de la crainte, de n’être pas à la hauteur dans sa soumission, et aussi cet immense privilège et extraordinaire honneur d’appartenir au plus grand Maître mondial. Elle qui vient des quartiers populaires au nord de la ville. Elle avait grandi esclave comme ses parents et ses frères et sœurs. A la majorité, elle avait été vendue et est passée par divers propriétaires, jusqu’à ce jour … En position en levrette dans cette cage, ses parties génitales face à la salle, bien exposées, qui doivent montrer aux clients du restaurant qu’elle est disponible, prête à être utilisée, prise… C’est ainsi qu’on a l’habitude d’installer les esclaves mâles et femelles, dans ces cages suspendues… Mais quand Ed SAVEN réserve sa table, il réserve en même temps tout le restaurant, c’est-à-dire qu’aucun autre client n’est présent ; sauf s’il invite des personnes…
Alors qu’on commence à le servir avec tous les honneurs dus à son rang, le Maître de la ville claque des doigts pour qu’une de ses esclaves femelles patientant sagement le long d’un des deux murs latéraux, s’approche à quatre pattes pour venir le sucer en passant sous la table… Cette dernière se sent privilégiée d’avoir l’honneur de défaire le pantalon du Maître et d’en extirper la Verge la plus convoitée au monde chez les dominés… Tandis qu’elle prend en bouche le divin sexe et qu’on sert le premier et exquis plat par des serveuses dominées et nues, le spectacle commence dans le seul but, celui de divertir ce client de renommée mondiale… Quand le rideau s’ouvre, Ed SAVEN découvre trois hommes noirs au corps nu à la peau d’ébène et huilé, aux muscles impressionnants et saillants. Ils portent tous les trois, un épais collier au cou et sont déjà tous les trois en forte érection ... Une esclave femelle est attachée à une table, elle est penchée en avant sur le plateau, cul face au public, chevilles ligotées aux pieds de la table. Une autre esclave femelle est, quant à elle, bondagée et suspendue entre deux chaînes à 1 mètre du sol, les cuisses largement écartées et au sexe lisse et offert à toute copulation. Enfin, une dernière femelle est également bondagée, mais celle-ci à même le sol en levrette. Le spectacle va commencer sous les yeux du Maître de la ville et d’une Nymphaea qui, de sa cage suspendue et de par sa position, ne peut rien manquer du spectacle qui s’annonce des plus lubriques…
(A suivre …)
Cette pure beauté de la nature s’appelle Nymphaea … Sur chacun de ses deux tétons percés, il avait été placé un anneau métallique. Idem pour chacune de ses lèvres intimes annelées, possédant également 1 anneau en piercing… Cela fait déjà plus de deux heures que les badauds attendent le Maître des lieux et il est déjà assez tard quand le véhicule d’Ed SAVEN arrive au niveau du restaurant. Ce n’est pas une voiture qui se présente mais plutôt le majestueux bus personnel du Maître qui, du reste, est des plus confortables. Il est encadré par une impressionnante escorte de motards. Sur les deux faces latérales extérieures de ce luxueux autocar, un immense et magnifique dessin coloré à l’effigie d’Ed SAVEN y est apposée, tenant en laisse une flopée d’esclaves en quadrupédie. C’est d’ailleurs ce qui est représenté sur ce dessin que les badauds aperçoivent à la sortie du bus. En effet, une fois la portière ouverte, on commence à voir descendre un, puis deux et ainsi de suite, jusqu’à la dizaine d’esclaves, descendre les marches doucement et sortir à quatre pattes du haut véhicule. Ils sont entièrement nus et portent tous un épais collier métallique autour du cou. Une laisse en chaîne est accrochée à chacun d’eux se rejoignant toutes à leur extrémité en direction de l’intérieur de l’autocar. Jusqu’à que l’on voit sortir enfin Celui qui empoigne fermement l’ensemble des laisses. Parmi les dix esclaves, il y a pour moitié cinq soumises femelles et autant de soumis mâles encagés.
Dès qu’Ed SAVEN arrive au niveau de la portière du bus, tous les dominés (ées) badauds présents derrière les barrières de sécurité se prosternent à même la rue, sur le trottoir. Quant aux Dominants (tes), ils applaudissent amplement leur Modèle, leur Icône, Celui qui, pour eux, reste et restera le plus grand des Dominants existants. Ce dernier, est confortablement assis sur une espèce de trône en bois luxueux et ouvragé, monté sur un élévateur automatisé qui avance en surmontant les marches d’escaliers de l’autocar pour se déployer à l’extérieur du bus, pour descendre doucement jusqu’au niveau du sol... Puis il se lève alors, et d'un geste il saisit les bouts des chaînes et s'en sert de laisses pour entraîner à sa suite les cinq femmes et les cinq hommes esclaves nus qui le suivent docilement, faisant évoluer sur le bitume du trottoir leur corps à quatre pattes, avec une grâce féline. La seule présence d’Ed SAVEN marque à l'évidence Sa Nature Dominante. Il commence alors à arpenter le trottoir, menant à sa suite cette dizaine d’esclaves qui le suivent pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par le Maître.
Ed SAVEN salut d’un long geste amical de la main les dominants badauds sans porter un regard sur les dominés naturellement prosternés, le nez sur le trottoir. Il regarde lentement, tout sourire la nombreuse populace avec un charisme hors du commun. Quand tout d’un coup, regardant à sa droite puis à sa gauche, Ed remarque Nymphaea attachée à ce lampadaire. En temps normal, il n’y aurait pas prêté attention, après tout une esclave nue et bondagée sur un lampadaire, rien de plus normal, en cette fin de XXI ème siècle ! Mais cette soumise commet une faute malgré elle, que remarque d’emblée, le Maître de la ville. En effet logiquement dès l‘arrivée d’Ed SAVEN, tous les dominés baissent naturellement les yeux. Or à ce moment-là, un oiseau marin perché sur le dessus du lampadaire, effrayé par le tumulte ambiant, se met à crier d’un bruit strident et proche qui retentit dans les oreilles de Nymphaea. Par peur ou par surprise, instinctivement cette dernière lève la tête pour à peine apercevoir l’envol rapide de l’oiseau, mais c’est à juste ce moment-là que le Maître de la ville voit l’esclave lever la tête. Alors il croit qu’elle Le regardait un furtif instant… Heureuse coïncidence qui va changer la vie de cette esclave femelle. Ed SAVEN exige qu’on la détache et qu’on l’amène à ses pieds. Tous les badauds présents regardent la scène, cette belle soumise, avec des regards accusateurs tandis qu’on la détache du lampadaire. Impressionnée, contrite et peureuse de se retrouver devant lui, Nymphaea avance à quatre pattes et se prosterne très vite, les mains bien en avant, le cul nu relevé, la tête enfuie entre ses épaules, le nez touchant le goudron du trottoir…
- Qui es-tu, pour oser me regarder sans y être autorisée ?, interroge-t-il
Ed SAVEN dit cela tout en la scrutant attentivement, de ses yeux qui lui montrent une belle réalité ou la véritable beauté physique de la femelle face à Lui. Cet esclave est à l’évidence d’une beauté plastique rare, hors norme, possédant une sinuosité parfaite de sa silhouette prosternée. Le Maître des lieux ne reste pas insensible à ce qu’il savoure déjà d’un regard gourmand et Dominant… Nymphaea ne répond pas et ne bouge pas d’un iota car les convenances de cette société composée de Dominants et dominés sont telles, que c’est toujours au Propriétaire du (de la) dominé (ée) de parler en priorité. A défaut, les dominés peuvent s’exprimer après y être autorisés par celui qui questionne… Une élégante jeune femme s’avance alors et sa voix s’élève, parmi les nombreux badauds :
- Elle est à moi, Divin Maître (NDLA : C’est ainsi que l’appelle les habitants de la ville, Dominants comme dominés). Je m’appelle Maîtresse Cyrcée…Et veillez pardonner l’affront de ma femelle mal éduquée, qui se nomme Nymphaea… Elle sera châtiée pour cela, croyez-le bien…
- Maîtresse Cyrcée, votre esclave a osé me regarder… Aucun châtiment de votre part ne pourrait laver un tel affront. Je suis le seul habilité à la punir, selon la loi du 23 juillet 2038 qui stipule que tout affront fait au Maître de la ville par un ou une dominé est passible d’être sanctionnée uniquement par le Maître de la ville, après un jugement du tribunal de cette ville…
- Je comprends, Divin Maître, mais … j’implore votre clémence car Nymphaea a des circonstances atténuantes. Et loin de moi de me substituer au tribunal, mais je connais très bien ma femelle, elle est d’une Nature innée d’une extrême obéissance, docile et servile encore plus que la moyenne d’une dominée lambda. Mais hélas pour elle, elle est née muette et si on pouvait trouver un accord à l’amiable, ce serait mieux pour elle, de ne pas lui infliger un tribunal…
- Un accord à l’amiable ? Et que me proposez-vous ?, répond Ed SALEN après un temps de silence dans la réflexion tout en dévorant des yeux la très belle Nymphaea prosternée devant lui….
- Je … Je serai prête à vous la céder … Je sais que vous avez un incalculable nombre d’esclaves mâles et femelles en votre possession et que ma chienne Nymphaea ne vous intéresse pas forcément. Mais je sais que vous êtes Le Maître juste et bon par votre réputation mondiale, vous êtes l’Exemple de la ville et de la Planète tout entière… Alors comme j’ai un cruel besoin d’argent, je pensais que de vous la vendre serait un bon compromis, en me promettant de lui éviter le tribunal…
- Hummm, réfléchit le Maître de la ville … Et pourquoi pas ! Je vais même me montrer très généreux … Je t’en offre dix fois le prix que vous l’avez acheté, en vous promettant de ne pas lui infliger le tribunal …, conclue Ed SALEN séduit par la beauté de Nymphaea
- Dix fois le prix ??? Mais ? C’est trop, Divin Maître, je…
- Acceptez car si vous refusez, ce sera le tribunal … Et l’affront envers ma personne est considéré comme un délit grave et je doute déjà de la clémence de la sanction…
- Dix fois le prix ! Alors, j’accepte sans hésiter !
- Alors, à partir de cette seconde même, Nymphaea m’appartient... Maîtresse Cyrcée, passez demain matin au PALASAVEN (le palace d’Ed) pour les formalités… (Puis s’adressant à un de ses serviteurs) Qu’on m’amène cet esclave femelle à l’intérieur du restaurant …
Ed SALEN entre dans le restaurant suivi par toute sa file d’esclaves tenus en laisse ainsi que ses nombreux serviteurs… Un de ceux-ci empoigne donc la laisse et entre en dernier… Dans le resto, tout avait été préparé pour l’arrivée du Maître de la ville. La réputation mondiale de l’établissement d’être le restaurant préféré d’Ed SAVEN doit être préservée avant tout. Ce lieu ressemble à un vaste cabaret avec des tables rondes dans une immense salle, une spacieuse scène sur fond où de très nombreux spectacles vivants des plus lubriques, pornographiques, BDSM et D/s s’y déroulent quotidiennement et durant toute la durée d’ouverture. Des cages suspendues y sont nombreuses où croupissent des esclaves prêt à être utilisés selon les Exigences des clients Dominants… Des chaînes pendantes sont fixées aux poutres, des espaces bien équipés en matériel BDSM ne manquent pas également... La table habituelle d’Ed SAVEN est toujours préparée avec grand soin et reste la mieux positionnée pour savourer les spectacles scéniques. Les meilleurs spectacles sont sélectionnés et il y en a toujours en réserve pour le Maître de la ville. Ce dernier fait positionner ses esclaves tenus en laisse en position prosternée, de chaque côté de la grande salle, le long des murs, en attente, et ceux-ci pouvant, selon qu’ils soient utilisés ou pas du tout, durer tout le temps qu’il passera au restaurant… Il exige que l’on installe sa dernière acquisition, Nymphaea, dans une cage suspendue, mais dans celle qui reste placée juste au-dessus de la scène, devant et au-dessus du rideau fermée afin qu’il puisse lui-même la contempler, tout en regardant le spectacle et tout en dînant.
Nymphaea est dans le plus grand silence et même si elle n’avait pas été muette de naissance, elle n’aurait rien dit. Mais face à sa nouvelle situation et donc à son changement de Propriétaire, et pas des moindre, elle ressent à la fois de la crainte, de n’être pas à la hauteur dans sa soumission, et aussi cet immense privilège et extraordinaire honneur d’appartenir au plus grand Maître mondial. Elle qui vient des quartiers populaires au nord de la ville. Elle avait grandi esclave comme ses parents et ses frères et sœurs. A la majorité, elle avait été vendue et est passée par divers propriétaires, jusqu’à ce jour … En position en levrette dans cette cage, ses parties génitales face à la salle, bien exposées, qui doivent montrer aux clients du restaurant qu’elle est disponible, prête à être utilisée, prise… C’est ainsi qu’on a l’habitude d’installer les esclaves mâles et femelles, dans ces cages suspendues… Mais quand Ed SAVEN réserve sa table, il réserve en même temps tout le restaurant, c’est-à-dire qu’aucun autre client n’est présent ; sauf s’il invite des personnes…
Alors qu’on commence à le servir avec tous les honneurs dus à son rang, le Maître de la ville claque des doigts pour qu’une de ses esclaves femelles patientant sagement le long d’un des deux murs latéraux, s’approche à quatre pattes pour venir le sucer en passant sous la table… Cette dernière se sent privilégiée d’avoir l’honneur de défaire le pantalon du Maître et d’en extirper la Verge la plus convoitée au monde chez les dominés… Tandis qu’elle prend en bouche le divin sexe et qu’on sert le premier et exquis plat par des serveuses dominées et nues, le spectacle commence dans le seul but, celui de divertir ce client de renommée mondiale… Quand le rideau s’ouvre, Ed SAVEN découvre trois hommes noirs au corps nu à la peau d’ébène et huilé, aux muscles impressionnants et saillants. Ils portent tous les trois, un épais collier au cou et sont déjà tous les trois en forte érection ... Une esclave femelle est attachée à une table, elle est penchée en avant sur le plateau, cul face au public, chevilles ligotées aux pieds de la table. Une autre esclave femelle est, quant à elle, bondagée et suspendue entre deux chaînes à 1 mètre du sol, les cuisses largement écartées et au sexe lisse et offert à toute copulation. Enfin, une dernière femelle est également bondagée, mais celle-ci à même le sol en levrette. Le spectacle va commencer sous les yeux du Maître de la ville et d’une Nymphaea qui, de sa cage suspendue et de par sa position, ne peut rien manquer du spectacle qui s’annonce des plus lubriques…
(A suivre …)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J' ai aimé ce début d'une histoire bien écrite et surtout bien détaillée en espérant
vivement la suite qui sera sans nul doute très chaude et croustillante !
vivement la suite qui sera sans nul doute très chaude et croustillante !