LA POUTRE (2) : Le caïd

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA POUTRE (2) : Le caïd Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LA POUTRE (2) : Le caïd
- Le caïd -


Cette aventure avec mon beau maître-nageur m'accompagna toute la semaine. Je flottais littéralement. Déconnecté de la réalité. Les brimades subies par mes trois camarades de lycée ne m'atteignaient plus. J'arborais un sourire béât durant ces sept jours.

J'attendis le cours de natation du jeudi avec fébrilité. Le matin même, je choisis un beau maillot en lycra orange foncé qui laissait bien ressortir mon manche. Surtout le gland. J'avais quelques appréhensions à m'afficher avec, mais je voulais tellement séduire à nouveau mon bel apollon.

La déception fut à la hauteur de mes espérances. Il ne se présenta pas. Ni les semaines suivantes. À la place, une nana sans intérêt. J'en pris un coup au moral. Je devins taciturne, aigri. Mes résultats scolaires, déjà guère brillants, chutèrent davantage. Mon professeur principal me convoqua, évoquant un possible redoublement.

J'étais désespéré. Au bord de la crise de nerf. J'en vins à solliciter l'aide de Dieu, à genoux dans une église. À prier, pleurer, hurler intérieurement mon désespoir...

Le prêtre de la paroisse, un jeune trentenaire, me prit sous aile. Il m'entendit une première fois en confession. Je lui avouai mon péché ainsi que mes doutes.

''… Alors c'était ça les mecs?! Ils vous utilisaient pour leur propre plaisir, puis vous jetaient comme un vulgaire kleenex?''
Il m'invita à implorer le Pardon du Seigneur puis à revenir la semaine suivante.

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À présent, il faut que je vous parle de mon année de terminale au lycée Paul Lignon, pas très loin de Nice. Le cadre y est agréable, situé en pleine pinède, les professeurs sont sympas et je me suis fait quelques amis mais dans l'ensemble, j'ai du mal à m'intégrer. J'aurais tendance à fuir tout contact humain, surtout quand j'entends certaines et certains baver sur mon physique.

En plus, cette année, je suis devenu le souffre douleur de trois gars de l'autre terminale. Ils me harcèlent entre les cours et le pire survient quand nous allons à la piscine. Nous groupons les deux classes dans un bus de soixante places et passons tous les jeudis matins dans le complexe sportif de Saint Roch.

Pourtant, tout avait bien commencé. Ils ne me calculaient même pas et puis un jour, Bryan m'a pris en grippe pour une affaire de casier. Il s'en est pris à moi verbalement, puis a menacé de me casser la gueule. Il a finit par passer à l'acte. Avec l'aide de ses deux potes, il m'a tabassé un soir, après les cours.

J'ai gardé ce traumatisme au plus profond de moi. J'allais pas en parler à mon père car je crois qu'il m'aurait flanqué une autre dérouillée pour ne pas avoir osé me défendre. Pour lui, un homme, un vrai, ça doit riposter. En toutes circonstances.

Je dois vous dire également deux mots sur Bryan. C'est un caïd, la terreur du lycée. Le ''bad boy'' de toutes ces pétasses.Elles en sont raides dingues et mouillent leur petite culotte rien qu'à l'évocation de son nom. Il est nouveau dans l'établissement mais il se comporte comme en pays conquis et certains profs le craignent.

Il est arrivé en cours d'année après avoir fréquenté pas mal d'établissements scolaires à cause du métier de son père qui travaille dans l'armée, je crois.

Physiquement, c'est un Dieu vivant, grand, fort, hyper viril, avec une peau bronzée à souhait. Sa petite gueule d'ange cache un dur à cuire. Son regard bleu-acier vous électrise. Il arbore plein de bijoux de valeur. Ça fait bling-bling mais personne n'oserait lui en faire la remarque de peur de recevoir une rouste. Il ne craint personne notre Bryan... Surtout pas moi.

Après ma première bastonnade, il est venu me voir le lendemain. Et voici ce qu'il m'a dit.

- Rendez-vous dans les chiottes à onze heures. Et t'as intérêt de venir.

C'est tout tremblant que je me suis rendu au sous-sol à l'heure dite. Il était déjà là, accoudé à l'un des lavabos. Il a à peine levé les yeux à mon arrivée.

- Va dans la cabine pour handicapés et fous-toi à genoux.

J'ai peur. Je ne sais pas ce qu'il me veut. J'obéis en traînant des pieds.

- Grouille-toi, on n'a pas toute la matinée.

Il me pousse dans le chiotte et referme la porte derrière lui.

- À genoux! T'es sourd?

J'obéis sans un mot. Il descend son jeans et me laisse voir une queue bien tendue sous le boxer.

- Tu vas me sucer petite pute. On va voir si tu t'es aussi doué que les meufs du lycée.

Bordel, il veut que je le pompe?! Pas question, même si j'en ai vachement envie. Avoir sa queue dans la bouche pendant que les nanas du lycée fantasment sur lui, quel pied! Mais c'est trop risqué, si on se fait choper, on risque l'exclusion.

Je tente de me relever mais lui me maintient la tête avec ses mains puissantes.

- Baisse mon caleçon.

Je capitule. Au diable les conséquences. Je m'exécute et vois jaillir un monstre de 20cm qui me saute au visage. Le bout est déjà rempli de mouille. Nom d'un chien, il serait pas un peu pédé sur les bords notre coureur de jupons?!

Je cesse de me questionner et me rue sur sa belle tige que je gobe aussitôt.

- Putain, t'en veux, toi. C'est pas ta première pipe!!!

Je fais non de la tête. C'est vrai que j'ai déjà pratiqué dans les toilettes de mon ancien collège. Mais j'ai rarement eu à faire à un tel engin.

Je m'applique à bien lui astiquer la queue. Je la fait reluire sur toute sa longueur. Au bout d'un instant, je la ressors pour admirer le travail. Le résultat est des plus probant. Son gland est très gros, presque violet. Il a la taille d'un bel abricot accroché au dessus d'un long tube épais. Sa peau est soyeuse avec une grosse veine bleutée qui serpente depuis la base jusqu'au sommet. Une vraie bite de mec, conquérante, sûre d'elle. Je comprends que les meufs en soient toutes folles...

- Hey, Tu dors ou quoi?!

Il m'oblige à ouvrir la bouche à fond puis m'enfourne à nouveau son mandrin. C'est baveux et tout salé. Il mouille fort, ce salaud. Je devine son excitation. Il voudrait en finir au plus vite. Ça fait cinq minutes maintenant qu'on est enfermé dans cette cabine et la prof ne va pas tarder à envoyer quelqu'un nous chercher.

Il accélère la cadence et m'impose un rythme d'enfer. À chaque poussée, mon front vient butter contre son ventre plat et mes yeux louchent sur la belle ligne de poils noirs qui remontent de la naissance de sa queue jusqu'au nombril.

Je salive autant que je peux et me saoule de son odeur de mâle. Je descends lui renifler sous les couilles que je soulève un peu, histoire de repérer toutes ces traces de sueur et de pisse.

- Ouai, t'arrête pas. Tu sens l'odeur de moule, hein?! Je viens de baiser la surveillante en chef et elle avait une chatte bien baveuse.

Bordel, personne ne lui résiste. Cette confidence faite dans un W.C m'excite encore plus. Je bande comme un âne mais je n'ose pas me toucher de peur qu'il ne voit rouge et me foute une beigne.

Je sniffe ces odeurs comme un fou. Elles me montent au cerveau telles une drogue naturelle. Mais lui, c'est pas ce qu'il recherche. Il me tire par les cheveux et m'encourage à reprendre ma pipe.

- Vas-y, suce! Bouffe-moi la queue. Prends-la bien profond.

Et il m'enfonce brutalement ses 20cm d'un seul coup. Il me bloque la nuque, m'empêchant de respirer. Je manque d'air, des frissons parcourent mon corps... Je le repousse tant bien que mal. Alors, il me décoche une énorme baffe en pleine figure.

- Bouffe, je t'ai dis, bordel!

Il me crache au visage avant d'étaler sa salive avec la main puis m'oblige à lécher ses doigts. Profitant de mon inertie, il replonge sa queue dans ma bouche.

Je n'en reviens pas de me faire loper ainsi.

Ne voulant pas rester dans le rôle du soumis, je décide de reprendre un peu l'initiative. Tout en le pompant, ma main part en exploration du côté de ses fesses. J'y vais tout en douceur, ne tenant pas à me prendre une autre soufflante. Contre toute attente, il écarte les jambes, comme pour m'inviter à poursuivre. Je reste prudemment à l'entrée de son œillet.

- Fous-moi un doigt.

Ça ne peut être plus direct. J'obéis avec joie. Je plonge une première phalange qui pénètre sans difficulté. Lui, pousse un soupir bien grave, bien profond qui m'incite à poursuivre.

- Ouai, vas-y prends-moi bien le cul. Mets-y deux doigts.

Bordel, j'hallucine!!! Le mec le plus macho du lycée veut se faire doigter par un pédé comme moi?! Je pense vivre un rêve éveillé lorsque mon index et mon majeur investissent sa cavité anale. Je ne me fais pas prier pour lui branler le cul.

Mon jeune caïd à l'air d'apprécier, si j'en juge par le flot incessant de mouille qui inonde ma bouche et par ses gémissements de plus en plus sonores.

Il arrache soudain ma main de son cul et se jette sur mes doigts qu'il lèche à grands coups de langue avant de les replonger direct dans son anus. Il pousse un gros râle de satisfaction, prend sa queue en main et se branle comme un malade.

Je reste un peu frustré de ne plus avoir ce gourdin en bouche. Je le regarde agiter frénétiquement le poignet, son gland à quelques centimètres des mes lèvres.

- Sors ta langue.

J'obéis. Je sais trop bien ce qui va advenir. Il m'agrippe les cheveux et m'oblige à le regarder.

- Tu veux mon jus, petite pute, hein? Tu veux que je te jute dans la gueule, c'est ça?

Je fais oui de la tête. J'ai toujours la langue dehors et son regard démoniaque de chien-fou m'hypnotise...

- AAHHHGGG !!!

Il explose comme jamais, un hurlement barbare dans la gorge. Il gicle, gicle... au delà des limites habituelles, un déluge de foutre interminable.

J'en avale pas mal, la bouche grand ouverte. Je fais glisser ma langue sur mes lèvres pour en récupérer un maximum pendant qu'il continue de balancer sa purée.

J'en ai partout, dans les cheveux, sur le front, le torse, les doigts...

Il finit par se calmer.

- Ok, je t'ai bien nourri avec mon jus. Pas un mot aux autres sinon tu revois plus ta mère.

Je souris malgré moi. Si seulement ce jeune coq savait que ma mère est morte...

(à suivre...)

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