LA RENOVATION (4/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA RENOVATION (4/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA RENOVATION (4/7)
Je regarde Patrick, mon mari partir après le week-end que nous avons passé ou à plusieurs reprises j’ai frisé la catastrophe.
La première fois le matin lorsqu’il est allé faire son tiercé au village où j’ai cédé à la sollicitation d’Ousman et où nous avons fait l’amour dans la grange.
J’ai été puni, car une fois de plus j’ai dû subir les verges des deux jeunes de l’équipe d’ouvriers d’Hamed.
Je les ai subis au début, mais comme depuis des jours mon corps a réagi et je suis devenu une fois de plus leur pute même leur chienne.
J’ai beaucoup apprécié les claques qu’ils me donnaient me faisant bouillir le sang et accélérant la montée de ma jouissance.
Pendant qu’Ousman me prenait par la chatte et que nous nous embrassions, j’ai énormément aimé celui qui était dans mon anus et qui me labourait le dos du haut en bas avec ses ongles.
J’aurais dû faire attention que les griffures apparaissent suspectes à Patrick lorsqu’il est venu me rejoindre dans la baignoire que j’avais précipitamment remplie d’eau et où je m’étais réfugié entendant qu’il m’appelait.
Je venais de cacher mes affaires portant les traces de mes turpitudes dans le panier à linge et sauter dans l’eau avant qu’il entre.
J’ai eu un premier souci lorsque leurs spermatozoïdes sont sortis de mon sexe et de mon cul et qu’ils sont apparus à la surface trop claire de l’eau par manque de sel de bain.
J’ai prétexté des sécrétions de mon vagin alors qu’à bien y regarder, il était impossible de confondre sécrétion et sperme.
Une deuxième fois, j’ai failli paniquer lorsqu’il a vu les griffures dans mon dos et qu’il a fallu que j’invente une virée en forêt.
Cette promenade en forêt m’a resservi lorsqu’il s’est étonné que je sois bronzé intégralement du fait qu’Hamed souhaite que je sois toujours les fesses nues et que l’intégrité de mon corps ait bronzées sans le vouloir toute la semaine,
Enfin, lorsque dans la baignoire, il a voulu me prendre en me mettant sur sa queue, j’étais gênée pour lui de savoir que sa verge nageait dans le sperme de mes amants.
La semaine prochaine, je dois faire plus attention à plein de détails comme la nuit ou je suis descendue boire un verre d’eau que j’ai entendu tapoter à la fenêtre et que j’ai vu Ousman venu voire si j’étais là.
J’ai ouvert, en une minute, il m’a pris sur la table de la cuisine m’a rempli la chatte de son sperme et après qu’il m’eut satisfaite soit retourné se coucher.
J’ai oublié de refermer la fenêtre, ce qui m’a attiré une question de Patrick.


• Ma pute, tu viendras dans mon bureau après avoir installé ma nièce, reprends les bonnes habitudes, à poil, je pense que les deux jours de repos ont soulagé tes trous et que tu seras à la hauteur toute la semaine pour les satisfaire.

En montant, Yasmina s’étonne des ordres que son oncle m’a donnés et lorsque nous sommes toutes les deux seules, je pleure nerveusement sur son épaule.
Elle arrive du Maroc, mais parle très bien le Français qu’elle a pratiqué toutes ces années avec des copines françaises filles de coopérants et qu’elle étudie à l’école.
Je lui explique ce qu’il m’est arrivé et le monstre qu’est son oncle oubliant bien sûr les magistraux orgasmes que j’ai accumulés en me faisant baiser par tous ces hommes et surtout la soumission qui me lie à mon tortionnaire.

• Nathalie, je te promets de t’aider si de ton côté, tu fais de même pour moi.
Je sais que mon père veut me vendre à un Marocain influent en France et que j’ai rencontré une fois. Il m’a tâté comme un maquignon tâte le cul de sa vache et leur à demander de me faire venir en France.
Il est absent pour trois mois et c’est pour cela que mon oncle me cache près de toi.
• Tu peux compter sur moi, j’ai déjà un plan pour le baiser et le mettre plus bas que terre.
Tu m’aideras, toi aussi.

Je suis retournée tapiner plus sereine.
Dans son bureau Hamed s’amuse toujours avec sa cravache.

• C’est bien salope, ton cul est toujours aussi bandant, viens me sucer, cette semaine ton cul va ramasser. Suce petite pute.

Je m’agenouille, car je me souviens les sévices que son cerveau malade est capable de me faire subir en cas de refus.

• Je te l’aie laissée tel qu’elle tu l’as quittée, pendant ces deux jours j’ai baisé ma femme et notre petite salope de voisine sans la laver j’ai bien vu la semaine dernière que tu aimes lorsqu’elle a beaucoup de goût.

En plus de le sucer, il faut que mon nez subisse son odeur, à bien y regarder, il a raison, le goût et l’odeur me donnent de l’ardeur à le sucer.
Profite salaud, je vais bien me venger un jour surtout si ta nièce m’aide.

• Aie.

J’ai failli le mordre lorsque la spatule s’est abattue sur mon cul.

• Aie.

Il est con, je vais finir par l’émasculer s’il continue à me fouetter avec sa cravache.

• Oui, vas-y fouette-moi, je suis ta salope qui le mérite, j’ai fait exprès hier de me cacher pour que tes ouvriers soient insatisfaits lorsque Patrick est allé faire son tiercé et qu’ils ont essayé de me coincer dans la grange.

Lorsque je lui dis cela, je reçois une cinquantaine de coups de cravache sur chaque fesse me faisant ressentir un grand plaisir à la fin du traitement.
Dans le même temps que l’humiliation qu’il me fait subir, il me remplit la bouche d’un sperme abondant quoiqu’il ait honoré, madame et la voisine pendant le week-end.
Je suce bien le morceau pour éviter d’en perdre une goutte.
C’est à ce moment que le téléphone sonne.

• Oui, elle est là, je vous la passe.

C’est mon patron qui souhaite me parler.
Mon absence, hors vacances, lui pose problème et il me propose de faire venir cet après-midi un informaticien qui me connectera avec la société et je pourrais travailler à domicile en étant payé avec un supplément vu mon isolement.
Je serais l’une des premières en France devenant travailleuse à domicile.
Pendant que mon patron me parle, Hamed a repris de la vigueur à regarder mes fesses rougies. Il m’attrape et m’empale sur sa queue.
Il me remplit tellement bien que j’aie des difficultés à tenir la conversation pendant qu’il me baise.

• Nathalie, ma demande semble vous contrarier, vous émettez des bruits bizarres.
• Non, Jean-Pierre, j’étais mal assise et j’avais mal.

C’est tout juste si j’avoue à mon patron qu’en ce moment je me fais prendre par la chatte et maintenant que le contremaitre qui fait les travaux chez moi m’encule.

• Alors d’accord, l’informaticien sera là à quatorze heures pour tout installer, je vous enverrais un message par la boîte informatique interne pour vous dire les documents et les graphiques que vous me préparerez en priorité.
Bonne journée Nathalie, on reste en contact.

Lorsqu’il raccroche, je laisse aller les chevaux et je hurle la jouissance que je ressens lorsque mon bourreau me remplit une nouvelle fois de ses jets de sperme.
Hamed a tout entendu, car il avait enclenché la diffusion générale.

• Bien, je change ton programme, tu iras faire les courses avec Yasmina, ce qui libérera Ousman sur le chantier et te fera gagner du temps pour que je te rende ta liberté.
Tu travailleras pour ton patron dans ce bureau et comme cela, je t’aurais bien plus souvent sous la main pour te sauter et te fouetter.
Dans la journée, tu arrêtes de t’occuper des ouvriers pendant les heures de travail mais chaque soir après les avoir fait manger, tu les satisferas jusqu’à minuit où tu rejoindras ma nièce et où tu pourras dormir jusqu’à six heures.
Dernières choses, ce soir six ouvriers qui travaillent sur un chantier que j’ai ouvert ce matin viendront coucher avec leurs collègues.
Tu les satisferas comme les autres et si tu rechignes, tu sais à quoi tu t’exposes.
• Tu veux me tuer, onze hommes chaque soir, je vais tenir un bordel à moi toute seule.
• Qui t’a autorisé à me tutoyer.

En même temps qu’il me fait la remarque, il me donne un coup de cravache en plein sur les seins les marquant certainement à vie.
Comment vais-je expliquer à Patrick que mon corps est marqué par ces coups de cravache, peut-être une branche revenue me frapper en forêt mais ce sera peu plausible.
Je tombe au sol en pleure, de gros sanglots sortent de ma bouche qu’il m’est impossible de contenir.
Comment Patrick a-t-il pu repartir sans voir le calvaire qu’Hamed me fait subir de jour en jour.
Qu’es-je fait pour mériter toutes ces punitions !
J’ai seulement voulu gagner un peu d’argent sur les travaux.

• Va faire les courses évite d’être en retard comme l’autre jour, sinon je t’enlève la peau des fesses.

Je pars en courant chercher Yasmina.
Avant de m’habiller, je regarde mes seins, j’ai la chance juste d’avoir une petite coupure, car la partie plate de la cravache à toucher avant la partie plus fine.
Rassuré, je finis de m’habiller et prendre ma voiture pour aller au super marché.
Je tourne la tête lorsque nous passons devant la clairière.

• Yasmina, peux-tu me montrer comment allé à la maison d’Hamed ?
• Facile tu traverses le village et ces environ dix kilomètres après dans le village suivant sur la droite.

Je passe devant le super marché et j’arrive devant la maison où habite d’Hamed.
La maison, le château, la bâtisse est majestueuse avec une tour comme un minaret.
Il a dû en baiser beaucoup pour économiser du fric sur le logement de ses ouvriers et tous les trafics qu’il doit faire.
Je sais où il demeure surtout après avoir fait demi-tour et que, lorsque l’on repasse, une Mercédès grosse cylindrée arrive conduite par une jeune femme avec ses deux enfants.

• C’est ma tante.
• Elle t’a vu.
• Non, elle regardait ses enfants.

Supermarché, cuisson dans la cuisine de la maison des gardiens et à table.

• La pute, pourquoi tu es habillé ?
• L’informaticien vient tout à l’heure, il faut bien que je le reçoive habillée.
• Dans deux heures, tu te fous de notre gueule !

Yasmina qui est assise à l’autre bout de la table me regarde, mais ne peut intervenir, ce monstre serait capable de lui faire goûter de sa cravache.
Ousman est assis à côté de la petite et il baisse les yeux.
Je mange debout derrière les hommes tenant mon assiette à la main.
L’atmosphère qui s’est détendue après l’altercation avec le patron permet aux ouvriers de discuter entre eux.
Lorsqu’ils sont répartis au travail, je nettoie et je retourne vers le bureau pour attendre l’informaticien d’ici dix minutes.
Je viens d’entrer et Hamed derrière son bureau me montre qu’il va m’en cuire.
C’est le moment que choisit mon visiteur pour entrer dans la cour.
Je ressors et je reçois celui que je connais ayant eu affaire à lui dans mon bureau lors du changement de logiciel.

• Bonjour Nathalie, tu as l’air fatigué, les travaux que vous avez engagés semblent colossaux.
• Oui, Victor, ce sont les problèmes secondaires qui me travaillent.

Comment lui dire que mon corps fatigue de recevoir presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre les envies de tous les hommes présents sans compter qu’une nouvelle vague me tombe sur le dos ce soir ?

Victor regarde mon matériel et trouve que la puissance est trop faible pour recevoir tout ce qu’il est nécessaire pour que le réseau fonctionne.
Il me change tout le matériel jusqu’à l’imprimante.
Dès l’arrivée de Victor Hamed à quitter la pièce.

• Nathalie, vous pouvez venir.

C’est Hamed qui m’appelle de l’étage.
Je monte, il est sur le palier et me présente sa verge.

• Suce salope, si tu croyais t’en sortir comme cela avec ton bonhomme, allé, tu te dépêches sinon je sors ma cravache et je te fais hurler pour qu’il t’entende.
Tu mériterais que je te fasse mettre à poil et t’ordonner de descendre pour qu’il te baise, mais je suis magnanime, il faut que tu gardes des réserves pour ce soir.
Mais comme je veux être payé, ton travail à domicile me garantit que tu vas me payer pour l’ensemble de tous les travaux.

Une fois de plus les larmes me montent aux yeux et je suis obligé de le recevoir.
Je suis à genoux comme d’habitude avec lui et il me tient la tête me faisant entrer sa tige jusqu’à ses testicules qu’il me demande de malaxer.
Je sens un haut-le-cœur qui monte de l’estomac et je sens le repas de midi sortir de chaque côté de sa verge.
Je recrache tellement vite, son vit que la fusée part sur ses chaussures et sur ma blouse.

•Nathalie, vous êtes là, c’est prêt.

La baffe que je prends en pleine figure manque de me faire tomber dans l’escalier.

• Nathalie.
• Oui, j’arrive.

Je descends en essuyant ma blouse avec ma main paniquée de ce qui vient d’arriver.
Victor me voit arriver dans un état lamentable.

• Que vous est-il arrivé ?

Dis-lui, mais dit lui, qu’un tortionnaire sur le palier t’a obligé à lui faire une fellation en gorge profonde et que tu lui as déversé tout ton repas sur les chaussures, que, lorsqu’il sera parti la punition, sera sévère.
Dis-lui ce qu’il a fait de toi depuis huit jours, sa pute de service le jour et la nuit au gré de ses envies et de ceux de ses ouvriers.
Au lieu de lui dire cela, je m’installe devant l’écran et Victor me fait voir comment tout fonctionne.
Je retrouve tous mes logiciels, je peux retrouver tous mes mails internes dont celui de Gaëlle qui travaille dans le même bureau que moi et qui sert par ce message à tester la ligne.

• Bonjour ma chérie, j’espère que tu passes de bons moments.
Jean-Pierre m’a dit que nous nous verrons une fois par mois à la réunion mensuelle à laquelle tu participeras.
Si tu rencontres le moindre problème dans ton travail, téléphone, compte sur moi pour être ton relais.
Évite de faire des folies de ton corps…

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Histoire Erotique
Tres bon on aimerait plus de details quand elle est prise par plusieurs hommes simultanement



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