La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 107)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 107)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Alors qu’e69MDE marchait tranquillement dans les rues de Montpellier, une luxueuse berline noire s’arrêta devant lui. Un homme à la forte carrure, costume cravate, se pencha à la fenêtre, prétextant demander son chemin car son GPS est en panne, et lui tendant un plan de la ville. Tout heureux d’aider e69 lui indiqua la bonne direction. L’homme sortit alors de la voiture pour lui demander de mieux lui montrer sur le document, l’endroit précis. Quelques minutes plus tard, alors qu’ils discutaient tranquillement, l’homme se jeta sur lui et lui plaqua un chiffon imbibé de chloroforme sur le visage. e69 perdit alors rapidement conscience et n’ouvrit les yeux que brièvement, un peu plus tard, alors que la voiture roulait le long des rues à vive allure. Hagard, il ne parvint pas à comprendre où il allait, ni ce qui lui arrivait. La main du conducteur s’était introduite sous son pantalon, dans son slip et lui palpait brutalement le sexe, fouillant entre ses fesses, vers son anus. L’homme remarqua qu’il était réveillé et l’endormit de nouveau avec le chloroforme.
Lorsqu’il reprit conscience, il réalisa qu’il était à l’intérieur d’un Château, Et de plus il connaissait très bien ce donjon. Oui il était bien dans une pièce circulaire aux pierres équarries où étaient accrochées de nombreux objets de torture. Sa tête et ses mains étaient attachées à une sorte de pilori médiéval en bois et on l’avait visiblement déshabillé durant son sommeil. Il entendit près du plafond par le haut vitrail ouvert mais flanqué de barreaux rouillés des bruits de fêtes venant de l’extérieur. Visiblement on s’amusait dans les jardins de la vieille demeure. Il ne tarda pas à comprendre où il était et pourquoi il était ici. En effet étant l’esclave du Marquis d’Evans, il avait obtenu après plusieurs mois de soumission, une autorisation de retourner à la vie vanille et quand il avait demandé à son Seigneur et Maître quand il devrait revenir, celui-ci lui avait répondu, non sans ironie :
- Ne te pose pas ce genre de question, je saurai bien, à ma manière, te ramener ici, partout où tu seras, je te retrouverai sans problème …
Effectivement, le Marquis d’Evans avait ramené son esclave à sa manière ! En le chloroformant tout simplement. Et cela 3 mois seulement après une ‘’permission’’ de vie vanille…
La fête battait donc son plein dans les jardins, quand e69 entendit la porte s’ouvrir qui visiblement n’était pas fermée à clé. Une femme presque apeurée entra rapidement, elle était un peu paniquée et à la vue de e69 nu au pilori, elle ne paru pas étonnée mais dit tout de même :
- Que faites-vous ainsi ? …. Mais ou suis-je ?
dit-elle un peu effrayée à la vue de l’esclave. e69 fut très étonné aussi de voir surgir cette jeune femme toute habillée
- Mais je ne suis qu’un simple esclave et vous que faites vous là, osa répondre e69, tout aussi intrigué
- Un simple esclave ? mais ?… Je me suis égarée de la fête en m’éloignant un peu des jardins et … curieuse comme je suis, j’ai ouvert une petite porte dérobée, un escalier sombre s’est présenté devant moi, je l’ai descendu et me voici, cette porte était au bout du couloir, là juste en bas des escaliers. Je m’appelle Lola. Enfin plutôt soumise Lola, je suis la chienne de Maître Duvallier. Nous sommes invités à la soirée de Monsieur le Marquis d’Evans….
A ce moment- là, elle entendit une voix grave et autoritaire venant de derrière elle :
- Que fais-tu ici, chienne ? Ton Maître m’a donné tout pouvoir sur toi, au cas où je te retrouverai, petite curieuse perdue. Ici la curiosité se paie chère car il est interdit de pénétrer ici sans mon autorisation… Tu vas donc m’obéir sans te poser de question, si tu ne veux pas subir le courroux de ton Maître, de ce cher Duvallier
Elle se retourna pour voir un homme grand aux bras croisés, c’était le Marquis d’Evans. Ces paroles pénétrèrent au plus profond de son cerveau, si profond qu’il lui sembla entendre les derniers mots comme s’ils venaient de l’intérieur d’elle-même. Son esprit essayait de raisonner, de trouver un moyen de s’échapper, mais la voix du Marquis qui résonnait de nouveau dans sa tête lui disait :
- N’y songe pas, ne rêve pas. Il n’y a plus de sortie possible, plus d’échappatoire. Tu es à moi.
Il était devant elle, il lui coupait la route de l’unique porte qui la mènerait vers l’air frais de dehors, vers la fête champêtre et nocturne. Elle le regarda longuement. Elle ne s’attendait pas à voir cela. Il y avait devant elle un homme grand et sévère, habillé tout de noir. Il était d’un charme démoniaque, fascinant. Elle ne pouvait détourner son regard des ces yeux emplis de domination. Et même si ses lèvres restaient figées en un sourire maléfique, elle continuait à l’entendre et chacune de ses paroles la glaçaient un peu plus encore :
- Enfin…Te voilà… Hum… Tu te sens piégée… Tu as raison…
Ces mots se mirent à cogner dans sa tête. Ces yeux sombres, qui semblaient pouvoir pénétrer jusqu’au plus profond de son âme, l’hypnotisaient littéralement. La fascination continuait de monter et pourtant elle se sentait de plus en plus attirée vers lui. Si seulement elle pouvait détourner son regard de ces yeux où se reflétaient les flammes des candélabres. Mais c’était impossible.
e69 aurait voulu s’incliner ramper devant son Maître s’il n’était pas attaché et c’est ainsi immobilisé au pilori qu’il assista à la scène qui allait suivre, en simple spectateur …
Soudain, Le Marquis d’Evans s’approcha d’un pas quasi majestueux et elle comprit qu’il lui fallait se résigner, se soumettre. Il se mit à tourner autour d’elle doucement en la toisant du regard. Elle le sentait presque humiliée même sans qu’il la touche et sentit son bas-ventre s’humidifier. Il tourna autour d’elle quelques minutes et il fut de nouveau en face d’elle, immobile. Il la regardait, mais plus dans les yeux cette fois. Il la détaillait de la tête aux pieds. Il sortit alors un couteau à cran d’arrêt de sa poche et coupa net les bretelles de sa robe de soirée. Elle était nue dessous et aussi devant lui. Elle essaya maladroitement de se soustraire à ce regard qui la brûlait mais qui faisait monter le désir en elle. Elle essayait de lutter mais sa volonté s’amenuisait comme consumée par le regard glacé qui la caressait. Elle perdit pied, elle se laissa aller à cette sensation étrange où un désir intense se mêlait à la crainte. Elle n’était plus que contradiction, ne sachant vers quelle issue cela allait la mener.
Le Noble se mit à avancer et Soumise Lola se mit à reculer pour échapper à ce contact imminent. Mais elle ne put faire que quelques pas, elle fût arrêtée par une haute table de pierre. Elle posa la paume de ses mains sur la pierre lisse, marbrée sans aucune aspérité, pour ne pas tomber en arrière. Elle sursauta de nouveau quand les doigts du Marquis effleurèrent sa gorge. Il les fit glisser jusqu’à son sein, ses ongles se mirent à titiller le mamelon. Cet attouchement fit monter en elle une nouvelle vague de désir. Ces doigts lents qui se promenaient autour de l’aréole la rendaient folle. Elle sentait la cyprine couler le long de ses cuisses. Son ventre était en feu, sa respiration était saccadée. Tout son corps ne voulait plus qu’appartenir à ce fameux Marquis qui était en train de jouer avec elle comme un chat jouait avec sa proie. Elle se rendit compte qu’elle gémissait doucement. Elle ferma les yeux. La voix calme mais sévère se fit immédiatement entendre dans sa tête pour les lui faire rouvrir :
- Tourne-toi, et tu vas sucer ce chien au pilori pendant que je m’occupe de toi…
Alors comme hypnotisée, elle lui obéit. Elle se tourna et elle prit en bouche le sexe mou de e69 à portée de main (ou plutôt de bouche) et qui dépassait du pilori via un large trou prévu à cet effet. Ce pilori étant juste derrière la table de pierre. Son souffle devint un peu saccadé quand la pierre froide entra en contact avec ses seins et son ventre. Le Marquis lui prit les mains, posa les paumes bien à plat contre le marbre, puis fit glisser ses doigts le long de ses bras jusqu’à ses épaules et son dos et s’y arrêta un court instant. Les doigts continuèrent leur chemin sur ses fesses qu’ils effleurèrent légèrement. Il la caressa ainsi quelques instants. Ces attouchements l’excitaient à un point qu’elle n’aurait pas cru possible. Elle sentait le liquide couler de plus belle le long de ses cuisses par ce désir qui montait en elle.
Il arrêta de la caresser, mit une de ses mains sur sa nuque et passa l’autre entre son ventre et le marbre. IL exerça une pression sur son cou tout en attirant son bassin vers lui manière que son corps fasse un angle droit. Il lui écarta ensuite les jambes. Cette position l’excita encore un peu plus. Elle était là les mains posées sur la table froide, les bras tendus, les reins cambrés, elle attendait, presque avec impatience qu’il la prenne.
Le contact sur ses fesses de quelque chose de dur et chaud lui fit prendre conscience de l’excitante réalité du moment. C’était avec Son membre en érection qui lui caressait maintenant le derrière. Inconsciemment, elle se cambra de manière à faire glisser ce pieu vers l’entrée de son vagin. Il ne lui laissa pas le temps de réagir, elle sentit son pénis se présenter sur le bord de son anus et il la pénétra violement, d’un coup. La douleur fut si aigue qu’elle se mit à hurler, lâchant le sexe devenu dur de e69. Du plus loin qu’elle se souvenait, elle ne se rappelait pas avoir eu un jour aussi mal. La souffrance se propageait en ondes dans tout son corps. Ce n’était que le début. Il se mit à bouger en elle. Il la maintenait fermement en la tenant par les hanches. Elle sentait ses ongles s’enfoncer dans sa chaire tendre. Elle hurlait de plus en plus fort mélange bizarre de douleur et de plaisir qui l’envahissait de plus en plus. La verge de e69 dressé devant elle, soumise Lola repris le sexe de l’esclave en bouche en calant son rythme en va-et-vient à celui du Marquis. La nouille du chien e69 gonflé butait contre sa gorge à chaque coup de reins du Marquis dans le fondement de la soumise.
Pourtant, la douleur bien que toujours omniprésente, semblait se muer peu à peu en quelque chose d’autre. Il lui assénait de violents coups de reins. Elle entendait ses ‘’han’’ puissants. Ses va-et-vient étaient de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Et ce faisant, elle sentit monter en elle une vague de plaisir qui venait se fondre dans la douleur et en ressortir plus puissante encore. Elle n’aurait jamais cru possible que le plaisir puisse naître de la douleur, pourtant c’était ce qui était en train de se produire. Possédée, défoncée par le cul et la bouche, elle mouillait de plus belle. Elle tendit ses bras bien droit contre la table, se cambra un peu plus et commença à osciller son bassin au rythme des coups qui lui étaient assénés. Il enfonça ses ongles encore plus profondément dans ses chaires meurtries. Elle se laissa aller à cette nouvelle sensation, plus rien n’existait, elle venait de dépasser ses limites, plus rien d’autres n’avait d’importance. Etre remplie puissamment possédée par ces deux orifices, seul cela comptait. Quand tout d’un coup, elle jouissait pour la première fois si fort, si intensément, que l’issue de cette union orgiaque lui importait peu, même si le prix à payer devait être fatal vis-à-vis de son Maître Duvallier. Au même moment ce chien de e69 ne puis retenir son éjaculation. Toujours attaché à son pilori, son sexe éclata sous les coups de succion de la belle. Il se déversa dans la bouche de Lola et celle-ci avala sans même réfléchir. Les longs râles de l’esclave e69 montrèrent une jouissance comme rarement il en avait eu.
Lui aussi était proche de la jouissance quand il se retira et la retourna sans ménagement. Son corps brûlant était parcouru de spasmes, ses jambes ne la portaient plus. Il la plaqua contre la table et se colla contre elle. Son visage était maintenant à quelques centimètres du sien. Soumise Lola le regarda cette fois sans aucune crainte et elle vit dans les yeux brillants de son dominateur, une étincelle de bonheur à la dominer ainsi. Il se souleva au dessus d’elle. Ses doigts effleurèrent son corps, laissant de fines traînées pourpres sur sa peau blanche. Il lui écarta de nouveau les jambes en lui masturbant son entrecuisse. La douceur de ces caresses vaginales réveilla son désir au creux du ventre de la belle. Elle sentait son fluide dégouliner de nouveau sur ses cuisses.
Il la pénétra de nouveau, par devant cette fois-ci. Il commença à aller et venir en elle en donnant de puissants coups de reins. Le plaisir revient instantanément en elle. Et Le Marquis d’Evans aussi émettait des râles sourds à chaque coup viril qu’il lui assénait. Il allai toujours plus profond en elle. Soumise Lola se mit à hurler de nouveau. Elle n’avait jamais joui d’une telle façon (n’en déplaise à son Maître Duvallier) quand le Noble laissa échapper de longs jets de spermes épais dans la chatte trempée de la chienne.
Voila comment se passa le retour de e69 au château où il fut à fois spectateur et acteur d’une scène de sexe laquelle il n’avait pas choisi de participer, mais n’était pas le lot quotidien d’un esclave, de ne pas décider mais plutôt de subir … Subir dans la jouissance …
Marquis d’Evans
Alors qu’e69MDE marchait tranquillement dans les rues de Montpellier, une luxueuse berline noire s’arrêta devant lui. Un homme à la forte carrure, costume cravate, se pencha à la fenêtre, prétextant demander son chemin car son GPS est en panne, et lui tendant un plan de la ville. Tout heureux d’aider e69 lui indiqua la bonne direction. L’homme sortit alors de la voiture pour lui demander de mieux lui montrer sur le document, l’endroit précis. Quelques minutes plus tard, alors qu’ils discutaient tranquillement, l’homme se jeta sur lui et lui plaqua un chiffon imbibé de chloroforme sur le visage. e69 perdit alors rapidement conscience et n’ouvrit les yeux que brièvement, un peu plus tard, alors que la voiture roulait le long des rues à vive allure. Hagard, il ne parvint pas à comprendre où il allait, ni ce qui lui arrivait. La main du conducteur s’était introduite sous son pantalon, dans son slip et lui palpait brutalement le sexe, fouillant entre ses fesses, vers son anus. L’homme remarqua qu’il était réveillé et l’endormit de nouveau avec le chloroforme.
Lorsqu’il reprit conscience, il réalisa qu’il était à l’intérieur d’un Château, Et de plus il connaissait très bien ce donjon. Oui il était bien dans une pièce circulaire aux pierres équarries où étaient accrochées de nombreux objets de torture. Sa tête et ses mains étaient attachées à une sorte de pilori médiéval en bois et on l’avait visiblement déshabillé durant son sommeil. Il entendit près du plafond par le haut vitrail ouvert mais flanqué de barreaux rouillés des bruits de fêtes venant de l’extérieur. Visiblement on s’amusait dans les jardins de la vieille demeure. Il ne tarda pas à comprendre où il était et pourquoi il était ici. En effet étant l’esclave du Marquis d’Evans, il avait obtenu après plusieurs mois de soumission, une autorisation de retourner à la vie vanille et quand il avait demandé à son Seigneur et Maître quand il devrait revenir, celui-ci lui avait répondu, non sans ironie :
- Ne te pose pas ce genre de question, je saurai bien, à ma manière, te ramener ici, partout où tu seras, je te retrouverai sans problème …
Effectivement, le Marquis d’Evans avait ramené son esclave à sa manière ! En le chloroformant tout simplement. Et cela 3 mois seulement après une ‘’permission’’ de vie vanille…
La fête battait donc son plein dans les jardins, quand e69 entendit la porte s’ouvrir qui visiblement n’était pas fermée à clé. Une femme presque apeurée entra rapidement, elle était un peu paniquée et à la vue de e69 nu au pilori, elle ne paru pas étonnée mais dit tout de même :
- Que faites-vous ainsi ? …. Mais ou suis-je ?
dit-elle un peu effrayée à la vue de l’esclave. e69 fut très étonné aussi de voir surgir cette jeune femme toute habillée
- Mais je ne suis qu’un simple esclave et vous que faites vous là, osa répondre e69, tout aussi intrigué
- Un simple esclave ? mais ?… Je me suis égarée de la fête en m’éloignant un peu des jardins et … curieuse comme je suis, j’ai ouvert une petite porte dérobée, un escalier sombre s’est présenté devant moi, je l’ai descendu et me voici, cette porte était au bout du couloir, là juste en bas des escaliers. Je m’appelle Lola. Enfin plutôt soumise Lola, je suis la chienne de Maître Duvallier. Nous sommes invités à la soirée de Monsieur le Marquis d’Evans….
A ce moment- là, elle entendit une voix grave et autoritaire venant de derrière elle :
- Que fais-tu ici, chienne ? Ton Maître m’a donné tout pouvoir sur toi, au cas où je te retrouverai, petite curieuse perdue. Ici la curiosité se paie chère car il est interdit de pénétrer ici sans mon autorisation… Tu vas donc m’obéir sans te poser de question, si tu ne veux pas subir le courroux de ton Maître, de ce cher Duvallier
Elle se retourna pour voir un homme grand aux bras croisés, c’était le Marquis d’Evans. Ces paroles pénétrèrent au plus profond de son cerveau, si profond qu’il lui sembla entendre les derniers mots comme s’ils venaient de l’intérieur d’elle-même. Son esprit essayait de raisonner, de trouver un moyen de s’échapper, mais la voix du Marquis qui résonnait de nouveau dans sa tête lui disait :
- N’y songe pas, ne rêve pas. Il n’y a plus de sortie possible, plus d’échappatoire. Tu es à moi.
Il était devant elle, il lui coupait la route de l’unique porte qui la mènerait vers l’air frais de dehors, vers la fête champêtre et nocturne. Elle le regarda longuement. Elle ne s’attendait pas à voir cela. Il y avait devant elle un homme grand et sévère, habillé tout de noir. Il était d’un charme démoniaque, fascinant. Elle ne pouvait détourner son regard des ces yeux emplis de domination. Et même si ses lèvres restaient figées en un sourire maléfique, elle continuait à l’entendre et chacune de ses paroles la glaçaient un peu plus encore :
- Enfin…Te voilà… Hum… Tu te sens piégée… Tu as raison…
Ces mots se mirent à cogner dans sa tête. Ces yeux sombres, qui semblaient pouvoir pénétrer jusqu’au plus profond de son âme, l’hypnotisaient littéralement. La fascination continuait de monter et pourtant elle se sentait de plus en plus attirée vers lui. Si seulement elle pouvait détourner son regard de ces yeux où se reflétaient les flammes des candélabres. Mais c’était impossible.
e69 aurait voulu s’incliner ramper devant son Maître s’il n’était pas attaché et c’est ainsi immobilisé au pilori qu’il assista à la scène qui allait suivre, en simple spectateur …
Soudain, Le Marquis d’Evans s’approcha d’un pas quasi majestueux et elle comprit qu’il lui fallait se résigner, se soumettre. Il se mit à tourner autour d’elle doucement en la toisant du regard. Elle le sentait presque humiliée même sans qu’il la touche et sentit son bas-ventre s’humidifier. Il tourna autour d’elle quelques minutes et il fut de nouveau en face d’elle, immobile. Il la regardait, mais plus dans les yeux cette fois. Il la détaillait de la tête aux pieds. Il sortit alors un couteau à cran d’arrêt de sa poche et coupa net les bretelles de sa robe de soirée. Elle était nue dessous et aussi devant lui. Elle essaya maladroitement de se soustraire à ce regard qui la brûlait mais qui faisait monter le désir en elle. Elle essayait de lutter mais sa volonté s’amenuisait comme consumée par le regard glacé qui la caressait. Elle perdit pied, elle se laissa aller à cette sensation étrange où un désir intense se mêlait à la crainte. Elle n’était plus que contradiction, ne sachant vers quelle issue cela allait la mener.
Le Noble se mit à avancer et Soumise Lola se mit à reculer pour échapper à ce contact imminent. Mais elle ne put faire que quelques pas, elle fût arrêtée par une haute table de pierre. Elle posa la paume de ses mains sur la pierre lisse, marbrée sans aucune aspérité, pour ne pas tomber en arrière. Elle sursauta de nouveau quand les doigts du Marquis effleurèrent sa gorge. Il les fit glisser jusqu’à son sein, ses ongles se mirent à titiller le mamelon. Cet attouchement fit monter en elle une nouvelle vague de désir. Ces doigts lents qui se promenaient autour de l’aréole la rendaient folle. Elle sentait la cyprine couler le long de ses cuisses. Son ventre était en feu, sa respiration était saccadée. Tout son corps ne voulait plus qu’appartenir à ce fameux Marquis qui était en train de jouer avec elle comme un chat jouait avec sa proie. Elle se rendit compte qu’elle gémissait doucement. Elle ferma les yeux. La voix calme mais sévère se fit immédiatement entendre dans sa tête pour les lui faire rouvrir :
- Tourne-toi, et tu vas sucer ce chien au pilori pendant que je m’occupe de toi…
Alors comme hypnotisée, elle lui obéit. Elle se tourna et elle prit en bouche le sexe mou de e69 à portée de main (ou plutôt de bouche) et qui dépassait du pilori via un large trou prévu à cet effet. Ce pilori étant juste derrière la table de pierre. Son souffle devint un peu saccadé quand la pierre froide entra en contact avec ses seins et son ventre. Le Marquis lui prit les mains, posa les paumes bien à plat contre le marbre, puis fit glisser ses doigts le long de ses bras jusqu’à ses épaules et son dos et s’y arrêta un court instant. Les doigts continuèrent leur chemin sur ses fesses qu’ils effleurèrent légèrement. Il la caressa ainsi quelques instants. Ces attouchements l’excitaient à un point qu’elle n’aurait pas cru possible. Elle sentait le liquide couler de plus belle le long de ses cuisses par ce désir qui montait en elle.
Il arrêta de la caresser, mit une de ses mains sur sa nuque et passa l’autre entre son ventre et le marbre. IL exerça une pression sur son cou tout en attirant son bassin vers lui manière que son corps fasse un angle droit. Il lui écarta ensuite les jambes. Cette position l’excita encore un peu plus. Elle était là les mains posées sur la table froide, les bras tendus, les reins cambrés, elle attendait, presque avec impatience qu’il la prenne.
Le contact sur ses fesses de quelque chose de dur et chaud lui fit prendre conscience de l’excitante réalité du moment. C’était avec Son membre en érection qui lui caressait maintenant le derrière. Inconsciemment, elle se cambra de manière à faire glisser ce pieu vers l’entrée de son vagin. Il ne lui laissa pas le temps de réagir, elle sentit son pénis se présenter sur le bord de son anus et il la pénétra violement, d’un coup. La douleur fut si aigue qu’elle se mit à hurler, lâchant le sexe devenu dur de e69. Du plus loin qu’elle se souvenait, elle ne se rappelait pas avoir eu un jour aussi mal. La souffrance se propageait en ondes dans tout son corps. Ce n’était que le début. Il se mit à bouger en elle. Il la maintenait fermement en la tenant par les hanches. Elle sentait ses ongles s’enfoncer dans sa chaire tendre. Elle hurlait de plus en plus fort mélange bizarre de douleur et de plaisir qui l’envahissait de plus en plus. La verge de e69 dressé devant elle, soumise Lola repris le sexe de l’esclave en bouche en calant son rythme en va-et-vient à celui du Marquis. La nouille du chien e69 gonflé butait contre sa gorge à chaque coup de reins du Marquis dans le fondement de la soumise.
Pourtant, la douleur bien que toujours omniprésente, semblait se muer peu à peu en quelque chose d’autre. Il lui assénait de violents coups de reins. Elle entendait ses ‘’han’’ puissants. Ses va-et-vient étaient de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Et ce faisant, elle sentit monter en elle une vague de plaisir qui venait se fondre dans la douleur et en ressortir plus puissante encore. Elle n’aurait jamais cru possible que le plaisir puisse naître de la douleur, pourtant c’était ce qui était en train de se produire. Possédée, défoncée par le cul et la bouche, elle mouillait de plus belle. Elle tendit ses bras bien droit contre la table, se cambra un peu plus et commença à osciller son bassin au rythme des coups qui lui étaient assénés. Il enfonça ses ongles encore plus profondément dans ses chaires meurtries. Elle se laissa aller à cette nouvelle sensation, plus rien n’existait, elle venait de dépasser ses limites, plus rien d’autres n’avait d’importance. Etre remplie puissamment possédée par ces deux orifices, seul cela comptait. Quand tout d’un coup, elle jouissait pour la première fois si fort, si intensément, que l’issue de cette union orgiaque lui importait peu, même si le prix à payer devait être fatal vis-à-vis de son Maître Duvallier. Au même moment ce chien de e69 ne puis retenir son éjaculation. Toujours attaché à son pilori, son sexe éclata sous les coups de succion de la belle. Il se déversa dans la bouche de Lola et celle-ci avala sans même réfléchir. Les longs râles de l’esclave e69 montrèrent une jouissance comme rarement il en avait eu.
Lui aussi était proche de la jouissance quand il se retira et la retourna sans ménagement. Son corps brûlant était parcouru de spasmes, ses jambes ne la portaient plus. Il la plaqua contre la table et se colla contre elle. Son visage était maintenant à quelques centimètres du sien. Soumise Lola le regarda cette fois sans aucune crainte et elle vit dans les yeux brillants de son dominateur, une étincelle de bonheur à la dominer ainsi. Il se souleva au dessus d’elle. Ses doigts effleurèrent son corps, laissant de fines traînées pourpres sur sa peau blanche. Il lui écarta de nouveau les jambes en lui masturbant son entrecuisse. La douceur de ces caresses vaginales réveilla son désir au creux du ventre de la belle. Elle sentait son fluide dégouliner de nouveau sur ses cuisses.
Il la pénétra de nouveau, par devant cette fois-ci. Il commença à aller et venir en elle en donnant de puissants coups de reins. Le plaisir revient instantanément en elle. Et Le Marquis d’Evans aussi émettait des râles sourds à chaque coup viril qu’il lui assénait. Il allai toujours plus profond en elle. Soumise Lola se mit à hurler de nouveau. Elle n’avait jamais joui d’une telle façon (n’en déplaise à son Maître Duvallier) quand le Noble laissa échapper de longs jets de spermes épais dans la chatte trempée de la chienne.
Voila comment se passa le retour de e69 au château où il fut à fois spectateur et acteur d’une scène de sexe laquelle il n’avait pas choisi de participer, mais n’était pas le lot quotidien d’un esclave, de ne pas décider mais plutôt de subir … Subir dans la jouissance …
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