La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 118)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 118)
La soirée mondaine annuelle au château
La belle et grande soirée costumée organisée annuellement au château du Marquis
d’Evans est toujours un grand événement mondain dans le monde de la D/s. Les moyens
mis en œuvre pour divertir les invités sont toujours impressionnants voire démesurés.
Et quand le Marquis invite, qu’il reçoit chez lui au château, on dépense donc des
fortunes en costumes, toilettes et les Maîtresses et Maîtres usent de toute leur
influence pour obtenir une invitation. C’est la soirée annuelle à ne pas manquer. Le
soir de la réception, une foule nombreuse de Dominants de la France entière se presse,
bourdonnante, curieuse, un peu excentrique. Tous sont déguisés et masqués comme à
l’époque du Roi Soleil et des fameux bals masqués de Versailles. Le thème est clair :
Toutes les folies sont possibles à la condition de se costumer masqué comme les nobles
pérruqués du temps de Louis le Quatorzième.
Deux géants blacks esclaves possédant juste un pagne et un épais collier sont postés
devant l’immense portail en fer forgé, et deux autres devant les lourdes portes de
chêne du château, ayant pour ordre de ne laisse entrer que les personnes munies de
leur carte d’invitation. Leurs consignes sont strictes, sans appel. De la grille
d’entrée, l’allée gravillonnée, entre les pelouses impeccables, est magnifiquement
éclairée et se perd entre des pins parasols. Elle débouche dans l’immense parc du
château, rigoureusement entretenu, avec ses plates-bandes symétriques, ses haies de
buis et son superbe labyrinthe de charme taillés à la perfection. L’allée de gravier
rouge traverse cette impressionnante architecture végétale, passe sous une arche en
charmille, et s’ouvre devant l’imposante demeure, aux épais et hauts murs flanquée,
sur ses terres ancestrales depuis 1625. Devant l’entrée principale et son volumineux
perron aux larges escaliers de pierre, alignés de chaque côté, deux délicieux éphébes
esclaves entièrement nus accueillent les nobles invités. Ils ont été sélectionnés pour
leur perfection physique, tous les deux sont minces et légèrement musclés. Au-dessus
de leur tête des lumières vives étincellent à chaque fenêtre, et une musique discrète
se fait entendre, mêlée à des cris et des rires. La fête a commencé très tôt, et
promet d’être mémorable.
Le Marquis d’Evans est déjà présent dans le grand hall d’entrée ou un immense buffet
décoré au fond de la pièce a été dressé pour l’accueil des convives. Il est entouré de
deux jeunes femmes qui semblent s’amuser de toutes ses facéties. Le Maître des lieux
sourit, heureux, gracieux, observant tout ce qui se passe avec verve et un brin
d’espièglerie. Il est vêtu comme on aurait pu voir Louis XIV à son époque, dans un
magnifique costume royal. Il inspire d’emblée le respect à la simple vue de son
charisme qu’il dégage à l’évidence. Rien n’échappe à son regard. Il commente tour à
tour et avec beaucoup d’esprit les victoires royales de ses ancêtres qui au cours des
siècles ont combattu sur les terres d’Europe et même d’outre-atlantique quand il parle
de son aïeul qui fut aux côtés du fameux Marquis (et Général) Gilbert du Motier de La
Fayette lors de Guerre d'indépendance des États-Unis. Le Marquis d’Evans surprend son
auditoire en dévoilant avec une facilité déconcertante certains secrets inavouables
qui se dissimulent derrière toutes les personnalités de ces ancêtres, surtout quand il
conte celle du Marquis Charles-Edouard d’Evans ami personnel du fameux Marquis de Sade
(voir les Origines de la Saga) au XVIII ème siècle.
Il semble reconnaître presque tout le monde sous les masques de chaque convive, et
c’est avec un peu de taquinerie qu’il se moque toujours gentiment, se divertissant de
tous ces gens costumés qui grâce à eux (et au décor) recréent l’ambiance des bals
masqués de l’époque royale. A mesure que les invités entrent dans le grand hall,
Walter le majordome annonce leur nom d’une voix forte et solennelle. Il est habillé
d’une façon assez maniérée, avec une chemise à poignets mousquetaires, un gilet de
fantaisie aux couleurs fluorescentes et un nœud papillon à fleurs. La foule déjà en
place applaudit à chaque fois, admirative devant les costumes ou impressionnée de
reconnaître certaines personnalités importantes.
Une trentaine de minutes passées, les invités traversent lentement tout le hall, cette
vaste salle carrelée de 200 m.2 environ, pour atteindre ensuite au fond une estrade de
jade où, au milieu, est royalement installé sur un trône d’ivoire le Maître de la
cérémonie, le Marquis d’Evans venu s’asseoir une coupe du meilleur champagne en main.
Là, tous les convives s’inclinent et font la révérence. Le Noble qui vient de se
lever, imposant le silence d’un geste théâtral.
- " Merci mes amis, merci du fond du cœur d’avoir répondu présent à mon invitation du
bal masqué annuel, et d’être venus si nombreux. Je suis persuadé que personne ne
manque à l’appel. Vous êtes tous là ?", dit-il avec humour.
Un "oui" général se fait bruyamment entendre. Satisfait, le Marquis sourit :
- " Très bien. Alors amusez-vous, mangez, buvez, riez … et une fois la panse bien
garnie, baisez à volonté sans distinction de sexe, chez moi tout est permis. Qu’on
fasse venir mes esclaves pour la décoration tandis qu’on va déguster le buffet qui
vous attend et que la fête commence !"
Sous une musique de chambre, un tonnerre d’applaudissements éclate, quand de suite
deux grandes portes latérales s’ouvrent et laissent place à une vingtaine d’esclaves
nus et enchaînés, mâles et femelles évoluent à quatre pattes et viennent s’immobiliser
alignés sur tout le côté gauche du mur latéral. Les invités se pressent alors au
milieu du grand salon, préférant d’abord se jeter sur le buffet amplement garni,
délaissant pour le moment les esclaves qui attendent immobiles sur le côté. Les mets
et les boissons exposés sont d’excellente qualité. Tous se mettent à manger et boire
et les couples homosexuels étant aussi nombreux que les couples hétérosexuels, tous se
mélangent et conversent dans une joyeuse ambiance. L’alcool est servi sans modération.
Une pyramide de fruits de mer lui ouvre l’appétit. Huîtres, langoustes, crevettes et
moules se disputent vite la place dans son assiette. Les serveuses esclaves sont
efficaces et servent avec application tous le monde. Les discutions vont de bon train.
Une fois que tous se soient restaurés avec abondance, le Marquis d’Evans s’écrie d’une
voix puissante mais claire pour imposer le silence :
- " Mes amis, mes amis, j’ai une petite surprise pour bien démarrer la soirée ! En
effet, je vous propose la vente aux enchères d’un bel étalon esclave. Mise à prix pour
la modique somme de100 euros ! "
Et à peine avait-il finit de parler qu’il frappa des mains et que le rideau de
l’estrade derrière lui s’ouvre, comme au théâtre. Des exclamations et une agitation de
joie fusent sous les applaudissements. Un spectacle insolite s’organise au fond de la
pièce, sur l’estrade, où un superbe athlète esclave roule des muscles, se pavanant
devant une foule agitée qui s’écrie et marchande alors le prix. Des cris admiratifs et
soupirs extasiés se font entendre :
- " J’en propose 200 euros" crie une Maîtresse
- " 250" renchérit une autre …
Le géant brun gonfle le torse, pour faire monter les enchères. Il est entièrement nu
et laisse apparaître une paire de bourses digne d’un taureau et une verge gonflée,
pendante et longue, et son corps robuste est soigneusement huilé afin de mieux faire
ressortir ses muscles luisants. Walter est présent, sur l’estrade et excite les
spectateurs jouant le rôle du commissaire-priseur. Il touche les muscles noueux du
mâle d’un air admiratif, comme pour mettre en valeur la qualité de la marchandise.
- " Allons, messieurs, ce magnifique apollon est d’une vigueur incomparable, et promet
de bons moments à le soumettre à toutes vos perversions ! Il est très docile et
obéissant ! C’est une superbe affaire à saisir ! Il vaut son pesant d’or ! dit Walter
tout en lui pressant les couilles et en les soupesant avec insistance.
- " 300 euros !" dit un Maître bi
- " 500 euros !" … - " 800 euros !" …- " 1200 euros !" etc … etc ….
… Et le prix continue de monter rapidement par les Maîtresses surtout pour leur
plaisir personnel car elles aimeraient bien se faire embrocher par une si grosse verge
rarement vue de cette taille en position de repos. Un couple homosexuel qui roucoule
sans discrétion relance le prix. Tous deux sont habillés en galants gentilshommes de
la Cour du Roi, avec volants de dentelles aux manches et aux genoux. L’un d’eux
s’écrie d’une voix précieuse :
- " 3500 euros !"
Puisque personne insiste, c’est ce couple de gays qui remporte le mâle et sitôt fait,
il l’emmène au collier sur un canapé plus loin afin de l’essayer sur place. L’homo qui
aime se faire enculer se met alors à sucer l’esclave géant afin de le faire bander au
maximum puis exige que celui-ci l’encule du temps que le dominant du couple encule en
même temps l’esclave lui imposant d’écarter largement les jambes. Tandis qu’une
Maîtresse qui avait amplement participé aux enchères s’approche et demande au couple
gays vainqueur s’il serait d’accord pour qu’elle se fasse lécher la chatte par
l’esclave. Le dominant gay accepte bien volontiers et la domina ne tarde pas à
retrousser sa longue robe pour présenter son sexe aux grosses lèvres du géant. Celui-
ci baisant l’homosexuel, se faisant enculer par l’autre, étire sa langue pour honorer
la Maîtresse qui lui plaque d’un coup de main énergique la tête contre sa chatte.
Tout est luxe, des tapis épais, au parquet en bois admirablement ciré, des lourds
rideaux de tentures velours rouge aux nombreux tableaux et c’est dans ce décor feutré
que l’orgie magistrale commence avec les esclaves qui attendaient tranquillement qu’on
les appellent pour le plaisir des Maîtresses et Maîtres. Quand un Maître attrapant une
esclave femelle où sur son collier est inscrit ‘’esclaveAstrideMDE’’ s’exclame, quand
celle-ci tire en arrière sur sa laisse légèrement rétive juste l’instant de quelques
secondes :
- " Quelle belle chienne fougueuse ! Qui aura le plaisir de la monter pour lui
apprendre les bonnes manières ?
L’assemblée en délire s’écrie :
- " Moi ! Moi, on va la baiser cette chienne ! "
Une lueur de joie sadique illumine le regard du Maître qui lance à esclaveAstride qui
prend un air peiné.
- " Chienne, la foule réclame son droit le plus élémentaire. Il va falloir se laisser
faire et être moins rétive …" Et s’adressant à la foule. - " Voyons voir si elle est
saine. Puis se tournant vers la femelle : - " Ouvre la bouche, catin ! "
Il pose ses doigts sur la lèvre supérieure de l’esclave et les caresse lentement sur
toute la longueur. Puis, sans ménagement, il introduit deux doigts dans sa bouche, les
écartant pour mieux palper l’intérieur avec profondeur. La chienne docile se laisse
faire. Elle sursaute malgré elle, lorsque les doigts vont et viennent dans sa bouche,
simulant l’acte sexuel, dans sa signification la plus crue. Puis il tire sur
l’extrémité du collier, entraînant la chienne au milieu de la foule forçant Astride à
se cambrer, puis le Maître sort son sexe en l’exhibant déjà long et énorme gonflé d’un
réel désir. Il ne tarde pas à l’enfoncer dans la bouche de l’esclave. Elle est
entièrement obéissante et se met à sucer avec application. Il ne tarde pas à éjaculer
de longs jets de sperme dans sa gorge et lui impose de tout avaler Les Maîtresses et
Maîtres tout autour qui baisent déjà les autres esclaves par tous les orifices palpent
vicieusement Astride. Un gode lui est enfilé dans le cul et un pénis en latex dans la
chatte par une vicieuse Maîtresse. Un autre Maître passe ses doigts prés du sein
droit, descend de plus en plus bas, glissant bientôt le long du ventre à la base
duquel elle ressent des attouchements vicieux de mains baladantes, contournant le
pénis en latex. Impatiente de désirs qui la font mouiller, l’esclave Astride se cambre
au maximum et se tend au devant des mains qui la tâtent. Du coup la main d’un Maître
touche brutalement le gode et elle en tressaillit de surprise, étonnée de trouver ce
contact aussi doux qu’agréable. Elle se met à haleter, bouche ouverte, ce qui facilite
la tâche d’une Maîtresse lesbienne qui l’embrasse plus fougueusement.
La Maîtresse gouine se saisit alors du mâle bourgeon en latex qui se darde devant
elle, et refermant ses doigts sur la hampe artificielle qui semble étrangement
s’allonger davantage. Elle l’enveloppe de caresses perverses, puis d’un rythme égal,
la parcourant sur toute sa longueur en accélérant peu à peu le mouvement du poignet
dans la chatte de l’esclaveAstrideMDE. La respiration de celle-ci s’accélère au rythme
de cette cadence imposée, par ce sexe qui vibre et dont les chaudes pulsations se
répercutent délicieusement jusqu’au plus profond de son vagin, dans sa chair,
l’emplissant peu à peu d’un bien-être insidieux et persistant qui la rend encore plus
chienne. Etre possédée par un vrai sexe ne lui aurait pas fait plus d’effet, elle
s’imagine des choses, une situation qu’elle n’a que rarement connue et dont
l’expérience est divinement excitante. La main de la Maîtresse échappe à son contrôle,
audacieuse et adroite, esquissant un va et vient accéléré, se pressant ardemment sur
le faux pénis. Pour l’exciter davantage, la Domina lesbienne se met alors à agiter les
reins pour se frotter contre elle, suivant le rythme de la main qui va et vient en
serrant si fort le gode qu’elle en est presque crispée. Elle se met en même temps à
l’embrasser encore mais avec plus de fougue. Leurs bouches se dévorent sauvagement,
comme dans une passion si brutale que la chienne semble prendre beaucoup de plaisir,
s’offrant encore plus à sa dominatrice, comme pour se soumettre plus encore à son
emprise.
C’est dans cette excitation intense qu’elle distingue la Domina reculer. Celle-ci ne
tarde pas à se ceinturer d’un énorme gode ceinture et s’étend à même le sol, allongée
sur le dos, avec donc cet impressionnant phallus gonflé et bien raide qui pointe droit
vers le plafond. Devant cette vision indécente la lesbienne Maîtresse l’appelle d’une
voix ferme :
-" Allez, chienne, je t’autorise à enlever ton gode dans le cul et le pénis en latex
de ta chatte et viens… Monte sur moi, je vais te baiser ainsi."
Astride avance sans qu’elle le veuille, comme si ses jambes ne lui obéissaient plus.
Elle s’immobilise à l’aplomb du gode tendu que la Domina maintient bien droit, dressé
vers le haut. Puis, enfin, elle enjambe le faux pénis, cuisses écartées, intimités
ouvertes. Lentement, le buste bien droit, elle fléchit les genoux et, millimètre par
millimètre, s’abaisse sur le gode. Comme une chose vivante, celui-ci trouve sa voie,
atteint le bulbe fendu, pénètre un peu. L’énorme phallus en latex écarte les chairs,
distend les lèvres intimes, s’enfonçant davantage. Puis, d’un coup, glisse dans la
longue fente charnelle aux muqueuses déjà mouillées, gonflées d’un désir impétueux. Le
gode semble happé, pressé, absorbé par un puits humide et chaud dans lequel il glisse
jusqu’au fond, cognant jusqu’à sa source. N’y tenant plus, d’un seul coup de reins,
l’esclave s’enfonce encore plus loin. Astride lâche un cri rauque, se mord les lèvres
jusqu’au sang, se retenant de ne pas gémir de façon discontinue. La lesbienne Domina
la saisit aux hanches, se mouvant en elle d’un long et imposant va et vient, de plus
en plus vite. La chienne est en extase dans cette extraordinaire intrusion dans ce
qu’elle a de plus intime, une lascive pénétration qui la brûle et la submerge de
sensations fabuleuses, uniques, si fortes, si grandissantes…
Une vague qui grossit et déferle, s’arrêtant nette lorsque la Maîtresse cesse
soudainement de bouger, avec un sadisme inhumain. Astride pousse un cri de frustration
tout aussi inhumain, comme brisée en plein élan. Et, d’un coup, c’est elle qui se met
alors à bouger sur sa ‘partenaire dominante’, d’abord lentement, comme pour faire
durer le plaisir alors qu’il la submerge de nouveau. Elle se redresse un instant,
laissant réapparaître le gode luisant, puis elle se laisse redescendre, remonte,
redescend encore vers la hampe qui la pénètre à chaque fois plus facilement, plus
profondément. Elle s’empale doucement, avec précaution et délectation, pour que le
gode aille vraiment au fond d’elle, et qu’elle puisse l’aspirer et l’avaler le plus
méthodiquement possible. Elle s’immobilise un instant, quand la Domina lui exclame :
-" Jouis chienne, jouis je le veux de ma grosse bite bien raide ! "
Alors esclaveAstrideMDE prise d’un tremblement nerveux alors qu’un premier orgasme la
saisit vivement, lui arrachant un cri voluptueux. Puis, comme pour en accentuer la
sensation fabuleuse, elle remonte tout doucement en frissonnant toujours de tout son
être, dévoilant le gode couvert de sécrétions intimes avant de s’empaler dessus avec
plus de lenteur, comme pour en savourer chaque instant, prolongeant divinement
l’orgasme qui ne semble jamais s’arrêter. C’est une sensation indescriptible, une
impression de plénitude aiguë et de vagues ardentes qui déferlent dans tout son corps.
Vite, elle sent monter un plaisir encore plus incandescent, et du coup se met à
accélérer le mouvement, yeux grands ouverts et le regard étrangement flou, articulant
de brefs sons étranglés comme si elle délirait.
Elle s’empale avec plus de force, et la Domina suit son rythme, la labourant
impitoyablement, le visage crispé et en sueur, l’attrapant par le collier pour la
tirer vers elle et chercher son cou qu’elle se met à lécher et mordre sauvagement
alors que la cadence de leurs deux corps trempés devient de plus en plus désordonnée.
Maintenant, alors que sa partenaire est secouée par une sorte de spasme, elle lâche le
collier pour s’accrocher avec furie aux deux seins ronds qui tressautent au-dessus
d’elle, au rythme de leurs soubresauts et contorsions frénétiques. Devinant un
deuxième orgasme encore plus violent, la Maîtresse gouine continue de lancer
impétueusement son bassin en avant, dans des coups de boutoir toujours plus vigoureux.
Ses efforts effrénés portent leurs fruits. La chienne Astride se soulève du sol comme
si elle voulait prendre son essor, agitée de violents spasmes tandis qu’elle se libère
d’une explosion aussi longue qu’intense, si insoutenable qu’elle en pousse un
rugissement de lionne blessée. Elle gémit sans discontinuer alors qu’elle retombe sur
le gode, le laissant enfoncé en elle tandis que son bassin est encore agité de
secousses langoureuses. Elle ferme les yeux, à la fois honteuse et repue. Mais le
vertige qui la saisit alors que la Domina la bascule sur le côté pour adopter une
autre position lui fait comprendre que la nuit ne fait que commencer, et que son corps
n’est pas aussi assouvi qu’elle le voudrait. Déjà, elle vibre toute entière quand la
Maîtresse l’attrape par le collier, l’obligeant à se contorsionner dans une posture
qu’elle ne comprend pas. Docile, elle se laisse guider quand elle sent le gode
ceinture pénétrer son anus et entend la Domina lui dire :
-" Et maintenant chienne, je vais t enculer et t’offrir à tous, tu vas être le vide
couilles de tous les Maîtres présents ce soir, tu lécheras toutes les chattes des
Maîtresses. Nous allons tous jouir de toi, user et abuser de ton corps qui est Notre"…
(A suivre …)
La belle et grande soirée costumée organisée annuellement au château du Marquis
d’Evans est toujours un grand événement mondain dans le monde de la D/s. Les moyens
mis en œuvre pour divertir les invités sont toujours impressionnants voire démesurés.
Et quand le Marquis invite, qu’il reçoit chez lui au château, on dépense donc des
fortunes en costumes, toilettes et les Maîtresses et Maîtres usent de toute leur
influence pour obtenir une invitation. C’est la soirée annuelle à ne pas manquer. Le
soir de la réception, une foule nombreuse de Dominants de la France entière se presse,
bourdonnante, curieuse, un peu excentrique. Tous sont déguisés et masqués comme à
l’époque du Roi Soleil et des fameux bals masqués de Versailles. Le thème est clair :
Toutes les folies sont possibles à la condition de se costumer masqué comme les nobles
pérruqués du temps de Louis le Quatorzième.
Deux géants blacks esclaves possédant juste un pagne et un épais collier sont postés
devant l’immense portail en fer forgé, et deux autres devant les lourdes portes de
chêne du château, ayant pour ordre de ne laisse entrer que les personnes munies de
leur carte d’invitation. Leurs consignes sont strictes, sans appel. De la grille
d’entrée, l’allée gravillonnée, entre les pelouses impeccables, est magnifiquement
éclairée et se perd entre des pins parasols. Elle débouche dans l’immense parc du
château, rigoureusement entretenu, avec ses plates-bandes symétriques, ses haies de
buis et son superbe labyrinthe de charme taillés à la perfection. L’allée de gravier
rouge traverse cette impressionnante architecture végétale, passe sous une arche en
charmille, et s’ouvre devant l’imposante demeure, aux épais et hauts murs flanquée,
sur ses terres ancestrales depuis 1625. Devant l’entrée principale et son volumineux
perron aux larges escaliers de pierre, alignés de chaque côté, deux délicieux éphébes
esclaves entièrement nus accueillent les nobles invités. Ils ont été sélectionnés pour
leur perfection physique, tous les deux sont minces et légèrement musclés. Au-dessus
de leur tête des lumières vives étincellent à chaque fenêtre, et une musique discrète
se fait entendre, mêlée à des cris et des rires. La fête a commencé très tôt, et
promet d’être mémorable.
Le Marquis d’Evans est déjà présent dans le grand hall d’entrée ou un immense buffet
décoré au fond de la pièce a été dressé pour l’accueil des convives. Il est entouré de
deux jeunes femmes qui semblent s’amuser de toutes ses facéties. Le Maître des lieux
sourit, heureux, gracieux, observant tout ce qui se passe avec verve et un brin
d’espièglerie. Il est vêtu comme on aurait pu voir Louis XIV à son époque, dans un
magnifique costume royal. Il inspire d’emblée le respect à la simple vue de son
charisme qu’il dégage à l’évidence. Rien n’échappe à son regard. Il commente tour à
tour et avec beaucoup d’esprit les victoires royales de ses ancêtres qui au cours des
siècles ont combattu sur les terres d’Europe et même d’outre-atlantique quand il parle
de son aïeul qui fut aux côtés du fameux Marquis (et Général) Gilbert du Motier de La
Fayette lors de Guerre d'indépendance des États-Unis. Le Marquis d’Evans surprend son
auditoire en dévoilant avec une facilité déconcertante certains secrets inavouables
qui se dissimulent derrière toutes les personnalités de ces ancêtres, surtout quand il
conte celle du Marquis Charles-Edouard d’Evans ami personnel du fameux Marquis de Sade
(voir les Origines de la Saga) au XVIII ème siècle.
Il semble reconnaître presque tout le monde sous les masques de chaque convive, et
c’est avec un peu de taquinerie qu’il se moque toujours gentiment, se divertissant de
tous ces gens costumés qui grâce à eux (et au décor) recréent l’ambiance des bals
masqués de l’époque royale. A mesure que les invités entrent dans le grand hall,
Walter le majordome annonce leur nom d’une voix forte et solennelle. Il est habillé
d’une façon assez maniérée, avec une chemise à poignets mousquetaires, un gilet de
fantaisie aux couleurs fluorescentes et un nœud papillon à fleurs. La foule déjà en
place applaudit à chaque fois, admirative devant les costumes ou impressionnée de
reconnaître certaines personnalités importantes.
Une trentaine de minutes passées, les invités traversent lentement tout le hall, cette
vaste salle carrelée de 200 m.2 environ, pour atteindre ensuite au fond une estrade de
jade où, au milieu, est royalement installé sur un trône d’ivoire le Maître de la
cérémonie, le Marquis d’Evans venu s’asseoir une coupe du meilleur champagne en main.
Là, tous les convives s’inclinent et font la révérence. Le Noble qui vient de se
lever, imposant le silence d’un geste théâtral.
- " Merci mes amis, merci du fond du cœur d’avoir répondu présent à mon invitation du
bal masqué annuel, et d’être venus si nombreux. Je suis persuadé que personne ne
manque à l’appel. Vous êtes tous là ?", dit-il avec humour.
Un "oui" général se fait bruyamment entendre. Satisfait, le Marquis sourit :
- " Très bien. Alors amusez-vous, mangez, buvez, riez … et une fois la panse bien
garnie, baisez à volonté sans distinction de sexe, chez moi tout est permis. Qu’on
fasse venir mes esclaves pour la décoration tandis qu’on va déguster le buffet qui
vous attend et que la fête commence !"
Sous une musique de chambre, un tonnerre d’applaudissements éclate, quand de suite
deux grandes portes latérales s’ouvrent et laissent place à une vingtaine d’esclaves
nus et enchaînés, mâles et femelles évoluent à quatre pattes et viennent s’immobiliser
alignés sur tout le côté gauche du mur latéral. Les invités se pressent alors au
milieu du grand salon, préférant d’abord se jeter sur le buffet amplement garni,
délaissant pour le moment les esclaves qui attendent immobiles sur le côté. Les mets
et les boissons exposés sont d’excellente qualité. Tous se mettent à manger et boire
et les couples homosexuels étant aussi nombreux que les couples hétérosexuels, tous se
mélangent et conversent dans une joyeuse ambiance. L’alcool est servi sans modération.
Une pyramide de fruits de mer lui ouvre l’appétit. Huîtres, langoustes, crevettes et
moules se disputent vite la place dans son assiette. Les serveuses esclaves sont
efficaces et servent avec application tous le monde. Les discutions vont de bon train.
Une fois que tous se soient restaurés avec abondance, le Marquis d’Evans s’écrie d’une
voix puissante mais claire pour imposer le silence :
- " Mes amis, mes amis, j’ai une petite surprise pour bien démarrer la soirée ! En
effet, je vous propose la vente aux enchères d’un bel étalon esclave. Mise à prix pour
la modique somme de100 euros ! "
Et à peine avait-il finit de parler qu’il frappa des mains et que le rideau de
l’estrade derrière lui s’ouvre, comme au théâtre. Des exclamations et une agitation de
joie fusent sous les applaudissements. Un spectacle insolite s’organise au fond de la
pièce, sur l’estrade, où un superbe athlète esclave roule des muscles, se pavanant
devant une foule agitée qui s’écrie et marchande alors le prix. Des cris admiratifs et
soupirs extasiés se font entendre :
- " J’en propose 200 euros" crie une Maîtresse
- " 250" renchérit une autre …
Le géant brun gonfle le torse, pour faire monter les enchères. Il est entièrement nu
et laisse apparaître une paire de bourses digne d’un taureau et une verge gonflée,
pendante et longue, et son corps robuste est soigneusement huilé afin de mieux faire
ressortir ses muscles luisants. Walter est présent, sur l’estrade et excite les
spectateurs jouant le rôle du commissaire-priseur. Il touche les muscles noueux du
mâle d’un air admiratif, comme pour mettre en valeur la qualité de la marchandise.
- " Allons, messieurs, ce magnifique apollon est d’une vigueur incomparable, et promet
de bons moments à le soumettre à toutes vos perversions ! Il est très docile et
obéissant ! C’est une superbe affaire à saisir ! Il vaut son pesant d’or ! dit Walter
tout en lui pressant les couilles et en les soupesant avec insistance.
- " 300 euros !" dit un Maître bi
- " 500 euros !" … - " 800 euros !" …- " 1200 euros !" etc … etc ….
… Et le prix continue de monter rapidement par les Maîtresses surtout pour leur
plaisir personnel car elles aimeraient bien se faire embrocher par une si grosse verge
rarement vue de cette taille en position de repos. Un couple homosexuel qui roucoule
sans discrétion relance le prix. Tous deux sont habillés en galants gentilshommes de
la Cour du Roi, avec volants de dentelles aux manches et aux genoux. L’un d’eux
s’écrie d’une voix précieuse :
- " 3500 euros !"
Puisque personne insiste, c’est ce couple de gays qui remporte le mâle et sitôt fait,
il l’emmène au collier sur un canapé plus loin afin de l’essayer sur place. L’homo qui
aime se faire enculer se met alors à sucer l’esclave géant afin de le faire bander au
maximum puis exige que celui-ci l’encule du temps que le dominant du couple encule en
même temps l’esclave lui imposant d’écarter largement les jambes. Tandis qu’une
Maîtresse qui avait amplement participé aux enchères s’approche et demande au couple
gays vainqueur s’il serait d’accord pour qu’elle se fasse lécher la chatte par
l’esclave. Le dominant gay accepte bien volontiers et la domina ne tarde pas à
retrousser sa longue robe pour présenter son sexe aux grosses lèvres du géant. Celui-
ci baisant l’homosexuel, se faisant enculer par l’autre, étire sa langue pour honorer
la Maîtresse qui lui plaque d’un coup de main énergique la tête contre sa chatte.
Tout est luxe, des tapis épais, au parquet en bois admirablement ciré, des lourds
rideaux de tentures velours rouge aux nombreux tableaux et c’est dans ce décor feutré
que l’orgie magistrale commence avec les esclaves qui attendaient tranquillement qu’on
les appellent pour le plaisir des Maîtresses et Maîtres. Quand un Maître attrapant une
esclave femelle où sur son collier est inscrit ‘’esclaveAstrideMDE’’ s’exclame, quand
celle-ci tire en arrière sur sa laisse légèrement rétive juste l’instant de quelques
secondes :
- " Quelle belle chienne fougueuse ! Qui aura le plaisir de la monter pour lui
apprendre les bonnes manières ?
L’assemblée en délire s’écrie :
- " Moi ! Moi, on va la baiser cette chienne ! "
Une lueur de joie sadique illumine le regard du Maître qui lance à esclaveAstride qui
prend un air peiné.
- " Chienne, la foule réclame son droit le plus élémentaire. Il va falloir se laisser
faire et être moins rétive …" Et s’adressant à la foule. - " Voyons voir si elle est
saine. Puis se tournant vers la femelle : - " Ouvre la bouche, catin ! "
Il pose ses doigts sur la lèvre supérieure de l’esclave et les caresse lentement sur
toute la longueur. Puis, sans ménagement, il introduit deux doigts dans sa bouche, les
écartant pour mieux palper l’intérieur avec profondeur. La chienne docile se laisse
faire. Elle sursaute malgré elle, lorsque les doigts vont et viennent dans sa bouche,
simulant l’acte sexuel, dans sa signification la plus crue. Puis il tire sur
l’extrémité du collier, entraînant la chienne au milieu de la foule forçant Astride à
se cambrer, puis le Maître sort son sexe en l’exhibant déjà long et énorme gonflé d’un
réel désir. Il ne tarde pas à l’enfoncer dans la bouche de l’esclave. Elle est
entièrement obéissante et se met à sucer avec application. Il ne tarde pas à éjaculer
de longs jets de sperme dans sa gorge et lui impose de tout avaler Les Maîtresses et
Maîtres tout autour qui baisent déjà les autres esclaves par tous les orifices palpent
vicieusement Astride. Un gode lui est enfilé dans le cul et un pénis en latex dans la
chatte par une vicieuse Maîtresse. Un autre Maître passe ses doigts prés du sein
droit, descend de plus en plus bas, glissant bientôt le long du ventre à la base
duquel elle ressent des attouchements vicieux de mains baladantes, contournant le
pénis en latex. Impatiente de désirs qui la font mouiller, l’esclave Astride se cambre
au maximum et se tend au devant des mains qui la tâtent. Du coup la main d’un Maître
touche brutalement le gode et elle en tressaillit de surprise, étonnée de trouver ce
contact aussi doux qu’agréable. Elle se met à haleter, bouche ouverte, ce qui facilite
la tâche d’une Maîtresse lesbienne qui l’embrasse plus fougueusement.
La Maîtresse gouine se saisit alors du mâle bourgeon en latex qui se darde devant
elle, et refermant ses doigts sur la hampe artificielle qui semble étrangement
s’allonger davantage. Elle l’enveloppe de caresses perverses, puis d’un rythme égal,
la parcourant sur toute sa longueur en accélérant peu à peu le mouvement du poignet
dans la chatte de l’esclaveAstrideMDE. La respiration de celle-ci s’accélère au rythme
de cette cadence imposée, par ce sexe qui vibre et dont les chaudes pulsations se
répercutent délicieusement jusqu’au plus profond de son vagin, dans sa chair,
l’emplissant peu à peu d’un bien-être insidieux et persistant qui la rend encore plus
chienne. Etre possédée par un vrai sexe ne lui aurait pas fait plus d’effet, elle
s’imagine des choses, une situation qu’elle n’a que rarement connue et dont
l’expérience est divinement excitante. La main de la Maîtresse échappe à son contrôle,
audacieuse et adroite, esquissant un va et vient accéléré, se pressant ardemment sur
le faux pénis. Pour l’exciter davantage, la Domina lesbienne se met alors à agiter les
reins pour se frotter contre elle, suivant le rythme de la main qui va et vient en
serrant si fort le gode qu’elle en est presque crispée. Elle se met en même temps à
l’embrasser encore mais avec plus de fougue. Leurs bouches se dévorent sauvagement,
comme dans une passion si brutale que la chienne semble prendre beaucoup de plaisir,
s’offrant encore plus à sa dominatrice, comme pour se soumettre plus encore à son
emprise.
C’est dans cette excitation intense qu’elle distingue la Domina reculer. Celle-ci ne
tarde pas à se ceinturer d’un énorme gode ceinture et s’étend à même le sol, allongée
sur le dos, avec donc cet impressionnant phallus gonflé et bien raide qui pointe droit
vers le plafond. Devant cette vision indécente la lesbienne Maîtresse l’appelle d’une
voix ferme :
-" Allez, chienne, je t’autorise à enlever ton gode dans le cul et le pénis en latex
de ta chatte et viens… Monte sur moi, je vais te baiser ainsi."
Astride avance sans qu’elle le veuille, comme si ses jambes ne lui obéissaient plus.
Elle s’immobilise à l’aplomb du gode tendu que la Domina maintient bien droit, dressé
vers le haut. Puis, enfin, elle enjambe le faux pénis, cuisses écartées, intimités
ouvertes. Lentement, le buste bien droit, elle fléchit les genoux et, millimètre par
millimètre, s’abaisse sur le gode. Comme une chose vivante, celui-ci trouve sa voie,
atteint le bulbe fendu, pénètre un peu. L’énorme phallus en latex écarte les chairs,
distend les lèvres intimes, s’enfonçant davantage. Puis, d’un coup, glisse dans la
longue fente charnelle aux muqueuses déjà mouillées, gonflées d’un désir impétueux. Le
gode semble happé, pressé, absorbé par un puits humide et chaud dans lequel il glisse
jusqu’au fond, cognant jusqu’à sa source. N’y tenant plus, d’un seul coup de reins,
l’esclave s’enfonce encore plus loin. Astride lâche un cri rauque, se mord les lèvres
jusqu’au sang, se retenant de ne pas gémir de façon discontinue. La lesbienne Domina
la saisit aux hanches, se mouvant en elle d’un long et imposant va et vient, de plus
en plus vite. La chienne est en extase dans cette extraordinaire intrusion dans ce
qu’elle a de plus intime, une lascive pénétration qui la brûle et la submerge de
sensations fabuleuses, uniques, si fortes, si grandissantes…
Une vague qui grossit et déferle, s’arrêtant nette lorsque la Maîtresse cesse
soudainement de bouger, avec un sadisme inhumain. Astride pousse un cri de frustration
tout aussi inhumain, comme brisée en plein élan. Et, d’un coup, c’est elle qui se met
alors à bouger sur sa ‘partenaire dominante’, d’abord lentement, comme pour faire
durer le plaisir alors qu’il la submerge de nouveau. Elle se redresse un instant,
laissant réapparaître le gode luisant, puis elle se laisse redescendre, remonte,
redescend encore vers la hampe qui la pénètre à chaque fois plus facilement, plus
profondément. Elle s’empale doucement, avec précaution et délectation, pour que le
gode aille vraiment au fond d’elle, et qu’elle puisse l’aspirer et l’avaler le plus
méthodiquement possible. Elle s’immobilise un instant, quand la Domina lui exclame :
-" Jouis chienne, jouis je le veux de ma grosse bite bien raide ! "
Alors esclaveAstrideMDE prise d’un tremblement nerveux alors qu’un premier orgasme la
saisit vivement, lui arrachant un cri voluptueux. Puis, comme pour en accentuer la
sensation fabuleuse, elle remonte tout doucement en frissonnant toujours de tout son
être, dévoilant le gode couvert de sécrétions intimes avant de s’empaler dessus avec
plus de lenteur, comme pour en savourer chaque instant, prolongeant divinement
l’orgasme qui ne semble jamais s’arrêter. C’est une sensation indescriptible, une
impression de plénitude aiguë et de vagues ardentes qui déferlent dans tout son corps.
Vite, elle sent monter un plaisir encore plus incandescent, et du coup se met à
accélérer le mouvement, yeux grands ouverts et le regard étrangement flou, articulant
de brefs sons étranglés comme si elle délirait.
Elle s’empale avec plus de force, et la Domina suit son rythme, la labourant
impitoyablement, le visage crispé et en sueur, l’attrapant par le collier pour la
tirer vers elle et chercher son cou qu’elle se met à lécher et mordre sauvagement
alors que la cadence de leurs deux corps trempés devient de plus en plus désordonnée.
Maintenant, alors que sa partenaire est secouée par une sorte de spasme, elle lâche le
collier pour s’accrocher avec furie aux deux seins ronds qui tressautent au-dessus
d’elle, au rythme de leurs soubresauts et contorsions frénétiques. Devinant un
deuxième orgasme encore plus violent, la Maîtresse gouine continue de lancer
impétueusement son bassin en avant, dans des coups de boutoir toujours plus vigoureux.
Ses efforts effrénés portent leurs fruits. La chienne Astride se soulève du sol comme
si elle voulait prendre son essor, agitée de violents spasmes tandis qu’elle se libère
d’une explosion aussi longue qu’intense, si insoutenable qu’elle en pousse un
rugissement de lionne blessée. Elle gémit sans discontinuer alors qu’elle retombe sur
le gode, le laissant enfoncé en elle tandis que son bassin est encore agité de
secousses langoureuses. Elle ferme les yeux, à la fois honteuse et repue. Mais le
vertige qui la saisit alors que la Domina la bascule sur le côté pour adopter une
autre position lui fait comprendre que la nuit ne fait que commencer, et que son corps
n’est pas aussi assouvi qu’elle le voudrait. Déjà, elle vibre toute entière quand la
Maîtresse l’attrape par le collier, l’obligeant à se contorsionner dans une posture
qu’elle ne comprend pas. Docile, elle se laisse guider quand elle sent le gode
ceinture pénétrer son anus et entend la Domina lui dire :
-" Et maintenant chienne, je vais t enculer et t’offrir à tous, tu vas être le vide
couilles de tous les Maîtres présents ce soir, tu lécheras toutes les chattes des
Maîtresses. Nous allons tous jouir de toi, user et abuser de ton corps qui est Notre"…
(A suivre …)
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