La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 170)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 170)
Suite de l'épisode N°151 - L'île déserte - Histoire écrite par esclaveEmelineMDE et esclave6934MDE
- 31e jour (26e jour sur l'île)...
- Journal de bord de philippe (extrait) :
Notre survie sur l'île est de mieux en mieux organisée. Notre Maître est un parfait organisateur qui sait obtenir le meilleur de nous même (...) pendant des heures, aujourd'hui, j'ai oeuvré à rassembler des branchages et des troncs d'arbres morts, afin d'ériger un bûcher qui pourra être utilisé pour signaler notre présence au cas où un navire passerait à proximité. Chaque soir, avant le coucher, Le Marquis définit les tâches du lendemain. Il désigne émeline ou moi pour avoir l’honneur d’être dans Sa couche et Lui tenir compagnie durant la nuit et satisfaire toutes Ses Envies les plus perverses. Pour l'autre, une nuit de repos prépare la longue journée de travaux divers dont Il a établi le programme. La vie est si simple ainsi ! Quelques jours ont suffi pour en établir les règles.
Ainsi, au cours de cette journée, j'ai d’abord ramassé du bois et érigé le bûcher. Pendant ce temps, Le Marquis et émeline sont demeurés tardivement dans l'abri que nous avons construit pour notre Maître. A chacun de mes passages, j'entendais émeline gémir. Je me souvenais de la si longue nuit durant laquelle Le Maître m'a initié à Le satisfaire et je savais qu'Il est fort endurant, aussi pensais-je que j'avais du temps encore devant moi. En effet, j'en avais terminé avec le bûcher lorsque émeline est sortie à quatre pattes de l'abri, suivie de peu par Le Maître. Elle s'est ainsi déplacée jusqu'au rivage, où elle a entrepris de se laver dans l'eau. Le Maître se tenait sur le bord et Il la regardait tandis qu'elle s'appliquait à exécuter pour Lui une sorte de danse lascive tout en se livrant au mouvement des vagues. Le ressac la ramenait régulièrement jusqu'aux Pieds Du Marquis. Là, elle se lovait à Ses Pieds, se contorsionnait afin de Lui offrir la meilleure vision de son intimité, qu'elle caressait parfois brièvement, puis elle retournait dans l'eau à quatre pattes, ondulant de la croupe, afin d'aller danser à nouveau, saisissant de l'eau dans le creux de ses mains, pour la faire ensuite couler sur son corps, tout en caressant son opulente poitrine nue aux tétons érigés par la fraîcheur et l'excitation. J'étais fasciné par ce spectacle, par cette fille offrant la plus impudique et excitante des parades sexuelles...
Le Marquis demeurait impassible. Il restait droit, reculant simplement de quelques pas... sans doute émeline a-t-elle alors ressenti comme un ordre inexprimé, car elle s'est laissée tomber dans l'eau, disparaissant un instant sous la surface, pour reparaître en rampant hors de l'eau... avançant par un mouvement de reptation servile, elle rampait dans le sable en direction Du Maître, laissant derrière elle la trace de sa progression jusqu'à atteindre l'ombre projetée Du Maître qui la contemplait en silence. Alors, du bout du pied, il lui fit comprendre qu'elle devait se mettre sur le dos, ce qu'elle fit bien sur immédiatement. Du bout de la baguette de bois qu'il tenait, Le Marquis fit positionner émeline face au soleil, cuisses largement ouvertes, livrant au vent du large son intimité exposée. Elle mit ensuite les bras en croix, et c'est ainsi, comme écartelée par La Seule Volonté de son Maître qu'elle resta pour un fort long moment (...). Le Maître vint alors vers moi et tandis que je me jetai à Ses Pieds afin de me prosterner dans l'attente de Son jugement, il éprouva la solidité du bûcher que j'avais érigé. Sans doute fût-il satisfait, car s'il ne dit mot, il s'éloigna sans me faire de reproches et sans m'infliger de punition ...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oulala, je suis lessivée, même une journée complète de montagne ne m’aurait pas autant courbaturée que la séance avec le Maître. Mais comme tout le temps quand je sens les muscles me tirer, je me sens bien et en paix. Comme apaisée. En fait c’est ça, je suis apaisée, heureuse d’être à Son service, heureuse d’avoir trouvé un nouveau frère. Je sais que cette situation ne pourra pas durer éternellement. Le Maître est quelqu’un d’important et il y a sûrement beaucoup de personne à Sa recherche. Mais je profite du moment présent, je remercie le Maître, pour le bonheur, l’équilibre qu’Il m’accordé par Sa présence, pas ma soumission. Grâce à Lui, je me sens enfin moi-même et j’ai plus besoin de me cacher. Mais ce n’est pas en philosophant que le travail va avancer. Je n’ai pas fini les devoirs donnés par le Maître et je me permettrais jamais de Lui servir un repas qui ne serait pas parfait. Heureusement e6934 (philippe) m’a donné un coup de main. Il m’a déjà préparé l’eau, j’ai plus qu’à apprêter la viande et les fruits… je file avant d’être en retard.
- 38e jour (31e jour sur l'île)...
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Cela fait un mois complet que nous sommes sur l'île... Pour fêter cet événement, Le Maître nous a permis hier de nous détendre avec émeline. Il s'est installé sur Son Siège avec un jus de fruits pressés et nous a permis de nous rapprocher l'un de l'autre... Nous ne savions pas trop comment nous y prendre, surtout sous Le Regard Du Marquis. Il est déjà arrivé qu'il possède l'un de nous deux devant l'autre, bien sûr, mais là c'était différent... Nous étions intimidés je crois... Finalement nous nous sommes rapprochés et observés, j'ai passé ma main sur le visage d’émeline, dans ses cheveux... Et elle a fait de même, et j'avoue que dès que sa main m'a effleuré, j'ai ressenti une érection... j'ai eu honte, j'avais le sentiment d'une réaction presque animale ! Mais émeline a souri et a caressé mes épaules... nous nous sommes serrés... caressés...
- "Suffit !"
La voix Du Maître nous a interrompus dans nos ébats. Nous nous sommes immédiatement prosternés face à Lui, le visage enfoui dans le sable. Il s'est levé et s'est approché...
- "J'ai parlé de détente, mais n'en abusez pas ! Et puisque vous me semblez en chaleur tous les deux, je consens à vous combler de Ma semence"...
Un bref coup de pied m'a fait comprendre que j'étais désigné. Je me suis redressé à genoux et j'ai humblement ouvert mes lèvres, offrant ma bouche docile Au Sexe tendu de notre Maître... Il s'est enfoncé jusqu'au fond de ma gorge, faisant aller et venir Sa Tige vénérée en frottant contre le palais, s'enfonçant aussi profond qu'il était possible, puis se rétractant brièvement pour m'emplir à nouveau... je sentais Son Sexe gonfler encore de plaisir et de Sève et j'espérais recevoir Le Flot de Sa Jouissance, mais c'est alors qu'il se retira et que je me prosternais à nouveau tandis que le tour d'émeline était venu d'offrir avec reconnaissance le réceptacle de sa bouche à La Virilité Du Marquis. Le visage enfoui dans le sable, je ne pouvais que deviner qu'elle avait le bonheur de sentir Son Sexe posséder sa bouche... jusqu'au gémissement que je perçus, comprenant que Le Maître venait de se répandre en elle...
- "Gardes tout en bouche, lui ordonna-t-Il. "A genoux tous les deux", poursuivit-il.
Il nous contempla ainsi un instant, nus et à genoux, le visage souillé de sable humide collé aussi par la transpiration...
- "Maintenant embrassez-vous et partagez Ma Semence" dit Le Maître.
Ainsi, toujours à genoux, face à face, nous échangeâmes un long baiser par lequel La Semence dont nous avions si faim se mêlait à nos salives qui se mélangeaient...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oh j’ai passé un magnifique moment aujourd’hui, merci Maître vénéré. Depuis quelques jours e6934 m’intriguait, au plus haut point. J’avais envie de le toucher, de voir ses réactions, je ne sais pas comment dire ça, mais il m’intriguait, alors l’imaginer me caresser, le caresser… Je ne sais pas comment le Maître là deviné mais aujourd’hui, Il nous a permis de nous rapprocher un peu. Oh, on était tous les deux intimidés, heureusement il a osé faire le premier pas, sa main douce et chaude avec quelques câlins qui commencent à apparaître, il m’a doucement caressé au visage. J’ai eu l’impression de rentrer à la maison après un long voyage, de trouver un frère. Enfin je ne pourrais dire comment ça s’est passé mais on s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre. Jusqu’à ce que le Maître, nous fasses nous arrêter. Il ne voulait pas que nous abusions de la situation. Même si j’aurais voulu que ce tendre moment dure plus longtemps je Lui suis reconnaissante de nous éduquer. Oui, Maître, merci pour le sentiment que Vous savez créer entre nous. Aucune jalousie, aucune compétition, juste le plaisir, l’honneur de Vous servir et une grande complicité. Et cela c’est prouvé encore aujourd’hui. Lorsque e6934 a eu l’honneur de commencer à Vous honorer, j’aurais pu être jalouse, mais non. J’étais contente pour lui, puis Vous avez daignez jouir dans ma bouche. Humm, Maître Vénéré, sentir Votre semence se rependre en moi, gicler au fond de ma gorge, rebondir sur le palet. Votre goût, emplissait ma bouche, puis pouvoir Vous partager avec e6934 (philippe). Ce baiser un acte de partage qui prouve bien que tous deux nous Vous acceptons comme notre seul Maître à qui nous nous devons de Vous servir au mieux. Et à qui nous savons que ce service se passe par notre complicité.
- 41e jour (34e jour sur l'île)
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Je n'aurai pas dû ! Je n'aurai pas dû avoir un mouvement d'hésitation lorsque Le Maître m'a ordonné ce matin de tester le magnifique olisbos qu'il avait taillé dans un morceau de bois dur. Il lui avait donné une jolie forme et, le jugeant terminé, Il me l'a tendu et j'ai eu un mouvement de recul devant la taille de... l'engin. Mal m'en a pris, bien sûr ! A peine avais-je esquissé ce geste que je compris mon erreur et je m'attendais à la colère de mon Maître. Mais bien sûr il n'en fut rien. Je sais qu'Un Autre serait sans doute entré en rage, m'aurait battu... Mais une telle réaction n'est pas Du Marquis. Il s'est levé, calmement, s'est approché... Il s'est saisi de mes cheveux et m'a forcé à me tenir à quatre pattes. Puis, sans un mot, il a écarté mes fesses et y a poussé son instrument d'un coup sec. J’ai crié, ce qui m'a valu une claque sur la croupe et je me suis tu. Et j'ai dû rester ainsi toute la journée, profondément empli, immobile, jusqu'à la fin du jour... Puis, toujours sans un mot, Le Maître a retiré l'olisbos de mon cul et me l'a fait lécher, jusqu'à ce qu'il luise parfaitement. Ce n'est qu'alors qu'Il m'a permis de venir rédiger cette note. Ensuite, j'irai dormir et demain, Il m'a dit que ce serait à moi de l'enfoncer et que lorsque l'énorme instrument serait en moi, je pourrai Lui exprimer ma reconnaissance...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Encore une journée chargée, déjà que normalement on ne chôme pas, mais là avec philippe punis, mon travail a doublé. En temps normal ça ne m’aurait pas dérangé, j’adore m’activer et utiliser mon énergie débordante. Mais aujourd’hui mon corps me trahit. En effet, la nature reprend ses droits, comme je suis ni enceinte ni ménopausée, il fallait s’y attendre. Je n’avais jamais remarqué à quel point les protections sont pratiques. Ici sur cette île déserte, je n’ai rien et avec mes règles importantes, je coule tout simplement. Franchement au début je trouvais ça dégoûtant puis on s’y habitue. De plus, le Maître a trouvé des feuilles très résistantes mais assez douces que je peux utiliser comme protection. Mais en plus de ma fatigue, je me sentais nulle et inutilisable. Comme si j’avais trahi le Maître, le Marquis d’Evans. Je n’étais pas disponible pour Lui. Il a dû sentir mon désarroi car Il est venu alors que je ramassais du bois pour le feu. Il m’a fait mettre à 4 pattes, la tête par terre, le cul relevé. Et doucement sans se presser, Il est entré en moi par mon anus qui celui-ci était totalement disponible et à Sa disposition. Il m’a enculé avec douceur mais fermeté faisant des vas et viens de plus en plus rapides. Mon plaisir montait aussi, différent de celui vaginal, mais tellement bon. Il m’autorisa à jouir alors que dans ses derniers coups de reins, Il éjaculait à grandes giclées dans mon fondement. Il resta en coït anal un long moment puis Il se retira, me fit le nettoyer, et partit non sans m’avoir caressé une dernière fois la tête comme pour me montrer que même si je ne me sens pas utilisée Il sait toujours ou je peux et comment nous pouvons le servir au mieux, selon Ses envies.
(à suivre …)
- 31e jour (26e jour sur l'île)...
- Journal de bord de philippe (extrait) :
Notre survie sur l'île est de mieux en mieux organisée. Notre Maître est un parfait organisateur qui sait obtenir le meilleur de nous même (...) pendant des heures, aujourd'hui, j'ai oeuvré à rassembler des branchages et des troncs d'arbres morts, afin d'ériger un bûcher qui pourra être utilisé pour signaler notre présence au cas où un navire passerait à proximité. Chaque soir, avant le coucher, Le Marquis définit les tâches du lendemain. Il désigne émeline ou moi pour avoir l’honneur d’être dans Sa couche et Lui tenir compagnie durant la nuit et satisfaire toutes Ses Envies les plus perverses. Pour l'autre, une nuit de repos prépare la longue journée de travaux divers dont Il a établi le programme. La vie est si simple ainsi ! Quelques jours ont suffi pour en établir les règles.
Ainsi, au cours de cette journée, j'ai d’abord ramassé du bois et érigé le bûcher. Pendant ce temps, Le Marquis et émeline sont demeurés tardivement dans l'abri que nous avons construit pour notre Maître. A chacun de mes passages, j'entendais émeline gémir. Je me souvenais de la si longue nuit durant laquelle Le Maître m'a initié à Le satisfaire et je savais qu'Il est fort endurant, aussi pensais-je que j'avais du temps encore devant moi. En effet, j'en avais terminé avec le bûcher lorsque émeline est sortie à quatre pattes de l'abri, suivie de peu par Le Maître. Elle s'est ainsi déplacée jusqu'au rivage, où elle a entrepris de se laver dans l'eau. Le Maître se tenait sur le bord et Il la regardait tandis qu'elle s'appliquait à exécuter pour Lui une sorte de danse lascive tout en se livrant au mouvement des vagues. Le ressac la ramenait régulièrement jusqu'aux Pieds Du Marquis. Là, elle se lovait à Ses Pieds, se contorsionnait afin de Lui offrir la meilleure vision de son intimité, qu'elle caressait parfois brièvement, puis elle retournait dans l'eau à quatre pattes, ondulant de la croupe, afin d'aller danser à nouveau, saisissant de l'eau dans le creux de ses mains, pour la faire ensuite couler sur son corps, tout en caressant son opulente poitrine nue aux tétons érigés par la fraîcheur et l'excitation. J'étais fasciné par ce spectacle, par cette fille offrant la plus impudique et excitante des parades sexuelles...
Le Marquis demeurait impassible. Il restait droit, reculant simplement de quelques pas... sans doute émeline a-t-elle alors ressenti comme un ordre inexprimé, car elle s'est laissée tomber dans l'eau, disparaissant un instant sous la surface, pour reparaître en rampant hors de l'eau... avançant par un mouvement de reptation servile, elle rampait dans le sable en direction Du Maître, laissant derrière elle la trace de sa progression jusqu'à atteindre l'ombre projetée Du Maître qui la contemplait en silence. Alors, du bout du pied, il lui fit comprendre qu'elle devait se mettre sur le dos, ce qu'elle fit bien sur immédiatement. Du bout de la baguette de bois qu'il tenait, Le Marquis fit positionner émeline face au soleil, cuisses largement ouvertes, livrant au vent du large son intimité exposée. Elle mit ensuite les bras en croix, et c'est ainsi, comme écartelée par La Seule Volonté de son Maître qu'elle resta pour un fort long moment (...). Le Maître vint alors vers moi et tandis que je me jetai à Ses Pieds afin de me prosterner dans l'attente de Son jugement, il éprouva la solidité du bûcher que j'avais érigé. Sans doute fût-il satisfait, car s'il ne dit mot, il s'éloigna sans me faire de reproches et sans m'infliger de punition ...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oulala, je suis lessivée, même une journée complète de montagne ne m’aurait pas autant courbaturée que la séance avec le Maître. Mais comme tout le temps quand je sens les muscles me tirer, je me sens bien et en paix. Comme apaisée. En fait c’est ça, je suis apaisée, heureuse d’être à Son service, heureuse d’avoir trouvé un nouveau frère. Je sais que cette situation ne pourra pas durer éternellement. Le Maître est quelqu’un d’important et il y a sûrement beaucoup de personne à Sa recherche. Mais je profite du moment présent, je remercie le Maître, pour le bonheur, l’équilibre qu’Il m’accordé par Sa présence, pas ma soumission. Grâce à Lui, je me sens enfin moi-même et j’ai plus besoin de me cacher. Mais ce n’est pas en philosophant que le travail va avancer. Je n’ai pas fini les devoirs donnés par le Maître et je me permettrais jamais de Lui servir un repas qui ne serait pas parfait. Heureusement e6934 (philippe) m’a donné un coup de main. Il m’a déjà préparé l’eau, j’ai plus qu’à apprêter la viande et les fruits… je file avant d’être en retard.
- 38e jour (31e jour sur l'île)...
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Cela fait un mois complet que nous sommes sur l'île... Pour fêter cet événement, Le Maître nous a permis hier de nous détendre avec émeline. Il s'est installé sur Son Siège avec un jus de fruits pressés et nous a permis de nous rapprocher l'un de l'autre... Nous ne savions pas trop comment nous y prendre, surtout sous Le Regard Du Marquis. Il est déjà arrivé qu'il possède l'un de nous deux devant l'autre, bien sûr, mais là c'était différent... Nous étions intimidés je crois... Finalement nous nous sommes rapprochés et observés, j'ai passé ma main sur le visage d’émeline, dans ses cheveux... Et elle a fait de même, et j'avoue que dès que sa main m'a effleuré, j'ai ressenti une érection... j'ai eu honte, j'avais le sentiment d'une réaction presque animale ! Mais émeline a souri et a caressé mes épaules... nous nous sommes serrés... caressés...
- "Suffit !"
La voix Du Maître nous a interrompus dans nos ébats. Nous nous sommes immédiatement prosternés face à Lui, le visage enfoui dans le sable. Il s'est levé et s'est approché...
- "J'ai parlé de détente, mais n'en abusez pas ! Et puisque vous me semblez en chaleur tous les deux, je consens à vous combler de Ma semence"...
Un bref coup de pied m'a fait comprendre que j'étais désigné. Je me suis redressé à genoux et j'ai humblement ouvert mes lèvres, offrant ma bouche docile Au Sexe tendu de notre Maître... Il s'est enfoncé jusqu'au fond de ma gorge, faisant aller et venir Sa Tige vénérée en frottant contre le palais, s'enfonçant aussi profond qu'il était possible, puis se rétractant brièvement pour m'emplir à nouveau... je sentais Son Sexe gonfler encore de plaisir et de Sève et j'espérais recevoir Le Flot de Sa Jouissance, mais c'est alors qu'il se retira et que je me prosternais à nouveau tandis que le tour d'émeline était venu d'offrir avec reconnaissance le réceptacle de sa bouche à La Virilité Du Marquis. Le visage enfoui dans le sable, je ne pouvais que deviner qu'elle avait le bonheur de sentir Son Sexe posséder sa bouche... jusqu'au gémissement que je perçus, comprenant que Le Maître venait de se répandre en elle...
- "Gardes tout en bouche, lui ordonna-t-Il. "A genoux tous les deux", poursuivit-il.
Il nous contempla ainsi un instant, nus et à genoux, le visage souillé de sable humide collé aussi par la transpiration...
- "Maintenant embrassez-vous et partagez Ma Semence" dit Le Maître.
Ainsi, toujours à genoux, face à face, nous échangeâmes un long baiser par lequel La Semence dont nous avions si faim se mêlait à nos salives qui se mélangeaient...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oh j’ai passé un magnifique moment aujourd’hui, merci Maître vénéré. Depuis quelques jours e6934 m’intriguait, au plus haut point. J’avais envie de le toucher, de voir ses réactions, je ne sais pas comment dire ça, mais il m’intriguait, alors l’imaginer me caresser, le caresser… Je ne sais pas comment le Maître là deviné mais aujourd’hui, Il nous a permis de nous rapprocher un peu. Oh, on était tous les deux intimidés, heureusement il a osé faire le premier pas, sa main douce et chaude avec quelques câlins qui commencent à apparaître, il m’a doucement caressé au visage. J’ai eu l’impression de rentrer à la maison après un long voyage, de trouver un frère. Enfin je ne pourrais dire comment ça s’est passé mais on s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre. Jusqu’à ce que le Maître, nous fasses nous arrêter. Il ne voulait pas que nous abusions de la situation. Même si j’aurais voulu que ce tendre moment dure plus longtemps je Lui suis reconnaissante de nous éduquer. Oui, Maître, merci pour le sentiment que Vous savez créer entre nous. Aucune jalousie, aucune compétition, juste le plaisir, l’honneur de Vous servir et une grande complicité. Et cela c’est prouvé encore aujourd’hui. Lorsque e6934 a eu l’honneur de commencer à Vous honorer, j’aurais pu être jalouse, mais non. J’étais contente pour lui, puis Vous avez daignez jouir dans ma bouche. Humm, Maître Vénéré, sentir Votre semence se rependre en moi, gicler au fond de ma gorge, rebondir sur le palet. Votre goût, emplissait ma bouche, puis pouvoir Vous partager avec e6934 (philippe). Ce baiser un acte de partage qui prouve bien que tous deux nous Vous acceptons comme notre seul Maître à qui nous nous devons de Vous servir au mieux. Et à qui nous savons que ce service se passe par notre complicité.
- 41e jour (34e jour sur l'île)
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Je n'aurai pas dû ! Je n'aurai pas dû avoir un mouvement d'hésitation lorsque Le Maître m'a ordonné ce matin de tester le magnifique olisbos qu'il avait taillé dans un morceau de bois dur. Il lui avait donné une jolie forme et, le jugeant terminé, Il me l'a tendu et j'ai eu un mouvement de recul devant la taille de... l'engin. Mal m'en a pris, bien sûr ! A peine avais-je esquissé ce geste que je compris mon erreur et je m'attendais à la colère de mon Maître. Mais bien sûr il n'en fut rien. Je sais qu'Un Autre serait sans doute entré en rage, m'aurait battu... Mais une telle réaction n'est pas Du Marquis. Il s'est levé, calmement, s'est approché... Il s'est saisi de mes cheveux et m'a forcé à me tenir à quatre pattes. Puis, sans un mot, il a écarté mes fesses et y a poussé son instrument d'un coup sec. J’ai crié, ce qui m'a valu une claque sur la croupe et je me suis tu. Et j'ai dû rester ainsi toute la journée, profondément empli, immobile, jusqu'à la fin du jour... Puis, toujours sans un mot, Le Maître a retiré l'olisbos de mon cul et me l'a fait lécher, jusqu'à ce qu'il luise parfaitement. Ce n'est qu'alors qu'Il m'a permis de venir rédiger cette note. Ensuite, j'irai dormir et demain, Il m'a dit que ce serait à moi de l'enfoncer et que lorsque l'énorme instrument serait en moi, je pourrai Lui exprimer ma reconnaissance...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Encore une journée chargée, déjà que normalement on ne chôme pas, mais là avec philippe punis, mon travail a doublé. En temps normal ça ne m’aurait pas dérangé, j’adore m’activer et utiliser mon énergie débordante. Mais aujourd’hui mon corps me trahit. En effet, la nature reprend ses droits, comme je suis ni enceinte ni ménopausée, il fallait s’y attendre. Je n’avais jamais remarqué à quel point les protections sont pratiques. Ici sur cette île déserte, je n’ai rien et avec mes règles importantes, je coule tout simplement. Franchement au début je trouvais ça dégoûtant puis on s’y habitue. De plus, le Maître a trouvé des feuilles très résistantes mais assez douces que je peux utiliser comme protection. Mais en plus de ma fatigue, je me sentais nulle et inutilisable. Comme si j’avais trahi le Maître, le Marquis d’Evans. Je n’étais pas disponible pour Lui. Il a dû sentir mon désarroi car Il est venu alors que je ramassais du bois pour le feu. Il m’a fait mettre à 4 pattes, la tête par terre, le cul relevé. Et doucement sans se presser, Il est entré en moi par mon anus qui celui-ci était totalement disponible et à Sa disposition. Il m’a enculé avec douceur mais fermeté faisant des vas et viens de plus en plus rapides. Mon plaisir montait aussi, différent de celui vaginal, mais tellement bon. Il m’autorisa à jouir alors que dans ses derniers coups de reins, Il éjaculait à grandes giclées dans mon fondement. Il resta en coït anal un long moment puis Il se retira, me fit le nettoyer, et partit non sans m’avoir caressé une dernière fois la tête comme pour me montrer que même si je ne me sens pas utilisée Il sait toujours ou je peux et comment nous pouvons le servir au mieux, selon Ses envies.
(à suivre …)
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