La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 177)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 177)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Les esclaves de L'Entreprise - Un lundi matin au bureau - (suite de l'épisode N°174) -
La lumière s'était éteinte pour la deuxième fois dans la niche de philippe... seule la fin et le retour de la lumière lui permettaient de définir le temps dans cet espace aseptisé et coupé du monde. Toujours enchaîné à cet anneau rivé au sol, l'esclave avait vécu selon le rythme qui lui était ainsi imposé : lever, toilette, lecture, gamelle, lecture, gamelle, sommeil... Il était au fond tellement facile de se plier à ce temps imposé. Il n'avait pas à réfléchir, à se demander quoi faire, qui voir... tout est si simple lorsqu'on est esclave ! Déjà réveillé, philippe pensait à cela, entortillé dans sa couverture lorsque revint la lumière. Il s'avançait déjà à quatre pattes vers la porte tandis que la poignée bougeait, afin de se tenir en position servile au moment où le chargé des gamelles poserait la sienne, garnie du brouet des esclaves, sans guère de saveur, mais fort revigorant. L'esclave savoura donc rapidement sa pitance matinale, puis fut mené à la toilette...
Cette fois, il dut se savonner intensément, le garde qui maniait la lance à eau lui intimant plusieurs fois l'ordre de bien nettoyer, avec savon et un gant de crin qui lui avait été octroyé ce matin là. C'est donc récuré dans le moindre recoin de son corps rougi par endroits qu'il regagna sa niche où l'attendait un costume d'excellente coupe, une chemise et une cravate, ainsi que chaussettes et chaussures. Une tenue élégante, parfaite pour un Golden Boy, comme en portait naturellement philippe si peu de temps auparavant. Aujourd'hui pourtant, cela lui semblait presque incongru, déplacé...
- "Tu t'habilles le chien ! Et vite !" lança la voix du garde dans son dos.
Sans réfléchir philippe enfila donc la tenue qui lui avait été préparée. Il se sentait tout bizarre avec ces vêtements de prix sur le dos, seul le collier de chien dissimulé par le col de la chemise le gênait un peu. Mais une claque sur la nuque le ramena bien vite au réel. Il emboîta donc le pas du garde qui le mena jusqu'à l'ascenseur et descendit jusqu'au parking par lequel il était arrivé, deux jours auparavant... Mais cette fois, ils empruntèrent un autre escalier qui menait directement dans une petite rue, à l'arrière d'un bel immeuble bourgeois... Le garde lui montra la porte anonyme...
- "Tu vas visualiser le chemin à partir d'ici et jusqu'à L'Entreprise. Car les soirs où tu ne seras pas de permanence aux bureaux, tu devras rentrer seul jusqu'à ta niche. Tu auras un temps limité pour faire le trajet… Tout dépassement te vaudra une punition qui t'enlèvera le goût de la flânerie. Compris ?"
- "Oui Monsieur" dit philippe en fixant le bitume du sol
- "Bien. Tu me suis, à un mètre. Et ne traîne pas !" ordonna le garde en se mettant en route…
Le trajet avait duré environ quinze minutes pour rejoindre le bâtiment de verre et d'acier de L'Entreprise. Tout comme pour l'immeuble où ils étaient logés, les esclaves n'étaient pas admis par l'entrée principale. Ils devaient passer par une ruelle adjacente et rejoindre une petite porte en fer équipée d'un code. Le garde tapota sur les touches et la porte s'ouvrit
- "Tu n'auras pas droit au code, tu dois arriver à l'heure prévue pour toi et sonner, puis donner ton nom précédé par ton méprisable statut : esclave... Si tu es en retard, tu devras attendre ici que l'on vienne te chercher et là, bien sur, la correction sera sévère. Compris ?"
- "Oui Monsieur"
- "Bien" dit le garde qui venait de pénétrer dans le bâtiment, suivi par philippe.
Ils étaient dans une sorte de sas aux murs et au sol de béton brut... Il n'y avait qu'une porte d'ascenseur dont le garde ouvrit la porte.
- "Entre et quand tu seras arrivé, tu iras te présenter à l'assistance De Monsieur le Marquis, l'esclave émeline te dira ce que tu as à faire"
Le garde poussa l'esclave à l'intérieur de la cabine et ferma la porte sans y entrer. L'ascenseur se mit en branle. La cabine était nue, pas de miroir, pas de boutons non plus, seulement un compteur d'étages qui lui indiqua qu'il arrivait au sommet de la bâtisse juste au moment où retentissait la clochette d'arrivée. L'esclave se glissa entre les portes coulissantes, arrivant tout au bout du couloir qui menait directement à la porte d'accès aux bureaux Du Maître des Lieux. Ce couloir dont il avait plusieurs jours de suite, lessivé la moquette, nu, frottant à l'aide d'une brosse. Cette fois, il foulait la moquette toujours aussi impeccable avec une paire de "Taylor's" noires de Paul-Smith... Il ne se sentait cependant pas plus à l'aise pour cela. Et c'est avec une boule au ventre qu'il toqua à la porte de l'assistance de son Maître et Patron... L'esclave émeline vint lui ouvrir et s'effaça pour le laisser entrer. philippe avait une envie folle de demander à la jeune femme comment s'était terminé le week-end au Château, avec O-de et Sir Stephen. Mais leur statut ne permettait pas les échanges impromptus. Ils ne devaient se parler que pour le service De Monsieur le Marquis et avec juste les mots nécessaires...
- "Le Maître t'attend" dit simplement émeline et se dirigeant vers le téléphone de son bureau et saisit le combiné
- "Maître, je vous prie de daigner à votre petite chienne l’autorisation de vous adresser la parole … Merci Maître… l'esclave philippe est arrivé ... Bien Maître" …
Et elle raccrocha pour, sans un mot de plus, aller ouvrir la porte d'accès Au Bureau De Monsieur le Marquis et y introduire philippe. Le Maître était installé derrière son si vaste bureau. Une fois entré et la porte refermée dans son dos par émeline, philippe se prosterna jusqu'à poser son front contre le sol et attendit... Attendit... Le Maître devait être occupé, car aucun bruit ne laissait deviner ce qu'Il était en train de faire... demeurant prosterné, l'esclave attendait humblement, conscient qu'il pourrait demeurer ainsi fort longtemps si telle était la volonté de son Maître, par ailleurs occupé à des tâches bien plus importantes... Un frôlement attira cependant son attention... philippe comprit que Le Marquis d'Evans, son Patron et son Maître, venait de quitter son confortable fauteuil directorial... Les pas feutrés approchaient et soudain, un épais dossier chuta tout près de son visage.
- "Lis ça ! Tu as un quart d'heure, j'en veux une analyse de ta part... Précise. Et des propositions..."
- "Bien Maître" répondit l'esclave en tendant les bras
- "Vas t'installer à la table basse. A genoux... et sois attentif" dit Le Maître en regagnant Son bureau.
Un quart d'heure plus tard, philippe avait étudié le dossier et s'avançait à quatre pattes vers le bureau Du Marquis...
- "Relève toi !" ordonna Ce Dernier "et dégrafe ton pantalon !"
L'esclave obéit tout de suite, se relevant, puis défaisant son pantalon et le laissant tomber sur ses chevilles, révélant sa nudité et un sexe quelque peu tendu par la situation
- "Nous reparlerons plus tard de cette érection mal venue" dit Le Marquis, "mais pour l'heure je veux connaître tes conclusions sur le dossier et tes propositions, esclave"…
Toujours debout, les cuisses ouvertes afin de livrer sa nudité, mains jointes dans le dos, c’est dans cette position tant humiliante mais si excitante que philippe fit donc le compte rendu de ce qu'il avait lu et proposa quelques pistes concernant les accords et contrats envisagés... Un silence lui répondit. Les yeux baissés, il n'osait plus bouger... Le silence dura, jusqu'à ce que Le Marquis ne se lève de Son siège et s'approche, le faisant sans un mot basculer en avant et l'obligeant à prendre appuis avec ses mains sur le bureau. Puis, armé d'une règle plate prise sur le bureau, Le Maître commença, sans un mot à claquer les fesses nues... Souple et flexible, la réglette résonnait sèchement sur la peau de la croupe que Le Marquis voyait rougir avec plaisir...
Le Maître cinglait le cul offert avec une régularité de métronome, prenant tout son temps entre deux coups... Il savait qu'ainsi, l'esclave avait le temps de penser, Le Maître imaginait sans mal le bref, si bref instant où l'espoir suscité par une fraction de seconde de retenue, l'espoir que la fin de la correction soit venue, ne soit anéanti par le coup suivant. Il fallait une parfaite maîtrise pour susciter si parfaitement ce doute dans l'esprit de l'esclave puni... juste assez d'attente pour laisser naître l'espoir, mais un nouveau coup assez prompt pour en empêcher tout soulagement. Les coups tombaient donc faisant rougir le cul de l'esclave... les fesses meurtries tressaillaient... La règle s'abattait à nouveau et le corps crispé de l'esclave se crispait, avant de se relâcher encore et de bomber le cul, car philippe sait qu'il ne doit en aucun cas tenter de se soustraire à la punition, mais au contraire l'accepter et la subir avec reconnaissance, et faciliter par son attitude docile l'application la plus rigoureuse du châtiment infligé. Ainsi fût-il... et lorsque Monsieur Le Marquis rejeta la règle sur Son bureau, le cul de l’esclave était rouge carmin !
- "Bien !" commenta Le Maître, légèrement essoufflé "tu t'es bien comporté. Mais saches que j'ai puni l'incongruité de cette nouille dressée que j'ai découverte lorsque tu t'es déculotté. Tu manques manifestement de self-contrôle et cela est inadmissible. Aussi, tu seras désormais encagé, jusqu'à ce que tu sois suffisamment formaté pour ne bander que sur Mon Ordre... Maintenant, remercie ton Maître..."
Et Le Marquis tendit sa main alors que l'esclave mettant les genoux au sol, baisait le dos de la vénérée main tendue vers lui.
- "Rhabilles toi maintenant ! Nous allons recevoir une personne importante. Ne Me déçois pas en sa présence"...
Le Marquis-PDG reprit Sa place au bureau et philippe vint se tenir droit, à Sa Gauche, bien droit, tête baissée... Le Maître signait des documents, lorsque émeline l'informa de l'arrivée de la personne attendue... La Femme devait avoir la quarantaine... blonde cendrée, ses cheveux laissés en liberté, d'une froide élégance… vêtue d'un tailleur dans un beau camaïeu de gris, d'un chemisier de soie noire, de hauts escarpins de cuir noir, dont à chaque pas, une étincelle rouge laissait deviner la griffe de Louboutin... Elle avait une démarche féline et assurée. Sensuelle, belle, elle incarnait toute la beauté féminine mais dans une froideur du regard qui ne laissait pas indifférent. Dominant émeline de toute la hauteur de ses talons, elle entra sans un regard pour l'humble assistante et se dirigea d'un pas décidé vers le bureau De Monsieur le Marquis qui s'était levée.
- "Soyez la bienvenue, très chère amie"
- "Ravie de Vous revoir, Monsieur le Marquis", répondit-elle d'une voix surprenante, grave et profonde et cependant envoûtante.
De part et d'autre du bureau, ils se serrèrent la main et s'installèrent. S'ensuivit une longue discussion à propos des rapports et contrats que philippe avait lus, analysés et commentés. La discussion, quoique courtoise, était tendue. Des enjeux énormes étaient dans la balance, comme l'avait deviné l'esclave en lisant les dossiers. Et devant lui se jouait une partie importante, vitale peut-être. Il sentait que la femme était cependant sur la défensive... Le Marquis, peu à peu, semblait imposer Sa Volonté. Alternant avec subtilité, diplomatie commerciale, séduction et autorité dans le propos. Mais elle ne cédait pas facilement. Le "bras de fer" des deux négociateurs était impressionnant... Alors que la tension était à son comble, la blonde laissa échapper un soupir...
- "Pfiouuh ! Je suis fatiguée cher Marquis ! Je savais que vous étiez intraitable en affaires et je viens encore une fois d’en subir les conséquences …Que diriez vous d'une pause ? Nous pourrions déjeuner..."
- "Je ne saurai rien Vous refuser, chère Amie. A l'exception de conclure cet accord à vos conditions que je ne peux accepter" répondit Le Marquis en souriant...
Le Maître des Lieux appuya sur un bouton et émeline jaillit de son bureau comme un diable d'une boîte...
- "Emeline, (dit Le Marquis) nous déjeunerons dans la petite salle à manger, c'est toi et philippe qui servirez ! Prépares le !" ordonna-t-il.
Et d'un geste Il congédia philippe qui après un bref salut de la tête, allait rejoindre l'esclave-assistante... Au passage, la Femme lui saisit le bras avec fermeté, sa main se refermant sur le poignet de l'esclave comme une serre. Elle l'attira vers elle et, sans commentaire, lui mit la main entre les cuisses
- "Un esclave, bien sûr" lança-t-elle Au Marquis
- "Naturellement chère Amie. Je connais Vos goûts... Celui-ci manque encore d'expérience, mais il fait preuve d'une belle motivation et d'une réelle compétence professionnelle. Il a encore beaucoup à apprendre, cependant..."
- "Mais cela peut-être fort divertissant !" dit-elle en lâchant l'esclave et en lui faisant négligemment signe de la main de s'éloigner…
émeline mena le garçon dans le dressing où étaient pendues les différentes tenues destinées à répondre aux diverses volontés Du Maître.
- "Déshabilles toi ... " lui dit-elle et lorsqu'il fut entièrement nu, avec seulement son collier au cou, elle lui tendit un petit tablier de coton blanc orné de dentelles à fleurs, s'attachant par un petit lien fermé par un noeud dans les reins. émeline s'était également déshabillée et avait "revêtu" le même tablier.
- "Voilà, on peut y aller. Tu me suis et tu fais comme moi. Bien sûr, tu ne parles pas, sauf si on t'interroges"
- "D'accord... tu la connais la femme ?..."
- "Chut ! (émeline eut un petit sourire) oui... je la connais. Allez, on y va"...
philippe suivit la jeune femme dans les couloirs, vers une pièce qu'il ne connaissait pas. Elle frappa et une voix lui intima l'ordre d'entrer. Elle poussa donc la porte et entra, suivie de philippe. C'était une salle à manger, avec au centre une table ronde de belle dimension, couverte d'une nappe blanche immaculée, et des couverts d'argent, assiettes de porcelaine, carafes en cristal... le tout mis pour deux personnes. Contre un mur, des chariots devaient contenir les plates, maintenus au chaud par des cloches d'argent. Le Marquis et Son Invitée avaient pris place, délimitant deux espaces parfaitement distincts à la table. Monsieur Le Marquis et La Femme poursuivaient leur discussion de façon plus détendue qu'auparavant, tandis que émeline et philippe commençaient le service. Tandis qu'il servait le vin à Madame, l'esclave sentit la main de celle-ci qui lui flattait la croupe, l'ongle parfaitement manucuré laissant un sillon douloureux le long de la raie. émeline avait quant à elle servi à Chacun une assiette d'huîtres.
Pendant que Le Marquis dégustait Ses coquillages, émeline s'était agenouillée à Ses Pieds... La Femme, que Le Marquis avait désignée aux deux esclaves comme Madame Solange, fit signe à l'esclave mâle de s'agenouiller, elle avait remonté sa jupe droite de son ensemble et ne portait pas de culotte, juste un superbe porte-jarretelle en dentelle, tenant des bas de soie... elle glissait une huître entre ses cuisses et philippe devait venir la gober en elle... Par moments, elle appuyait sur la nuque de l'esclave afin de pousser son visage tout contre son intimité afin qu'il lèche en elle le jus du coquillage mêlé aux sucs du plaisir qui coulait en elle. Madame Solange laissait de longs gémissements s’exprimer, ses yeux de Domina grands ouverts, autant que sa bouche aux dents blanches démontraient tout le plaisir de son orgasme subite.
La dégustation terminée, elle congédia l'esclave d'un coup de pied et les deux esclaves purent débarrasser les restes de l'entrée pendant que la conversation reprenait. La suite du repas se poursuivit de façon plus conventionnelle, sans que Madame Solange ne sollicite d'autre service de philippe que ceux d'un domestique servant à la table de Ses Maîtres. Il dut cependant assurer seul le service du dessert, car émeline était venue prendre place sous la table, où Le Marquis l'avait faite installer, afin qu'elle savoure entre ses lèvres Le Plaisir Viril de son Maître. Elle y resta également pour le café, le Vit de son Maître en bouche, tandis que philippe, à genoux auprès de La Dame, s'appliquait à faire le beau lorsqu'Elle lui tendait un sucre qu'il venait happer du bout des lèvres… Au bout d’un moment le Maître des lieux explosa en de longs râles de plaisirs dans la suave bouche de sa chienne qui, avalant tout le sperme de son Vénéré Maître, s’attarda à nettoyer la Divine Verge qui diminuait doucement de volume ….
- "émeline !" lança alors Le Marquis "prépare vos gamelles"...
émeline, manifestement habituée, alla alors chercher deux gamelles métalliques et les garnit des reliefs délaissés par Les Deux Supérieurs. Elle en tendit une à philippe et d'un regard lui fit comprendre d'agir comme elle. Elle alla devant son Maître et s'agenouilla, lui tendant la gamelle
- "Maître, daignez permettre à Votre esclave de se nourrir de Vos Restes..." dit-elle avec un temps de retard, philippe vint s'agenouiller de même façon auprès de Madame Solange
- "Madame, daignez permettre à l'esclave qui Vous sert de se nourrir de Vos Restes", prononça-t-il
Monsieur Le Marquis avait saisi la gamelle et l'avait posée au sol
- "Mange, esclave, tu m'as bien servi" dit Le Marquis
Et émeline s'accroupit afin de manger comme une chienne. Madame Solange avait également saisi la gamelle de l'esclave mâle qui attendait agenouillé, tête baissée...
- "Vos esclaves sont toujours aussi bien dressés cher Marquis. Celui-ci semble encore un peu maladroit, mais il est prometteur... Me le céderiez Vous ?"
- "N'y voyez nulle mauvaise volonté, mais il détient des informations qui ne sauraient être divulguées. Pour l'instant, il est donc attaché à Mon Service pour un certain temps. Cependant... il serait possible que je Vous le prête parfois, s'il peut Vous être de quelque utilité... Dès lors que ses services n'auront aucun lien avec les dossiers sur lesquels nous travaillons"
- "C'est juste, Monsieur le Marquis. Vous ne perdez décidément jamais les priorités de vue ! C'est cela qui Vous rend si implacable. Je crois que je ne pourrai trouver de meilleur associé. Je pense que notre affaire est en bonne voie. Nous pourrions régler tout cela cet après-midi et Nous scellerons cet accord fructueux dans les conditions financières que vous me proposez au final et en usant de ces deux esclaves, si cela Vous convient"
- "Je ne saurai imaginer meilleure perspective chère Amie. Allons déguster un excellent Cognac dans mon bureau pendant qu'ils rangent. Ensuite, ils nous rejoindront pour la signature et nous fêterons cela... Pour l'occasion, ce petit mâle sera à Votre disposition, il est temps qu'il découvre cet autre aspect de sa fonction."
- "Excellent !" se réjouit Madame Solange de Sa Voix gutturale. Elle saisit un bout de gras qui trempait dans la gamelle et le tendit vers l'esclave entre deux doigts... philippe du bout des lèvres saisit le morceau et l'avala..
- "Bien, cela suffit. Il a une petite tendance à l'embonpoint, mieux vaut qu'il fasse un petit régime.
Et elle posa la gamelle sur la table. Tapotant le crâne de l'esclave à Ses Pieds
- "Et n'en profite pas pour manger en notre absence... (son ongle aiguisé traçait un sillon dans la peau de l'épaule de l'esclave) sinon, je saurai comment te le faire regretter" dit-elle d'une voix froide et menaçante.
Puis en compagnie Du Marquis, ils quittèrent la salle que les deux esclaves commençaient déjà à ranger.
...
(à suivre)
- Les esclaves de L'Entreprise - Un lundi matin au bureau - (suite de l'épisode N°174) -
La lumière s'était éteinte pour la deuxième fois dans la niche de philippe... seule la fin et le retour de la lumière lui permettaient de définir le temps dans cet espace aseptisé et coupé du monde. Toujours enchaîné à cet anneau rivé au sol, l'esclave avait vécu selon le rythme qui lui était ainsi imposé : lever, toilette, lecture, gamelle, lecture, gamelle, sommeil... Il était au fond tellement facile de se plier à ce temps imposé. Il n'avait pas à réfléchir, à se demander quoi faire, qui voir... tout est si simple lorsqu'on est esclave ! Déjà réveillé, philippe pensait à cela, entortillé dans sa couverture lorsque revint la lumière. Il s'avançait déjà à quatre pattes vers la porte tandis que la poignée bougeait, afin de se tenir en position servile au moment où le chargé des gamelles poserait la sienne, garnie du brouet des esclaves, sans guère de saveur, mais fort revigorant. L'esclave savoura donc rapidement sa pitance matinale, puis fut mené à la toilette...
Cette fois, il dut se savonner intensément, le garde qui maniait la lance à eau lui intimant plusieurs fois l'ordre de bien nettoyer, avec savon et un gant de crin qui lui avait été octroyé ce matin là. C'est donc récuré dans le moindre recoin de son corps rougi par endroits qu'il regagna sa niche où l'attendait un costume d'excellente coupe, une chemise et une cravate, ainsi que chaussettes et chaussures. Une tenue élégante, parfaite pour un Golden Boy, comme en portait naturellement philippe si peu de temps auparavant. Aujourd'hui pourtant, cela lui semblait presque incongru, déplacé...
- "Tu t'habilles le chien ! Et vite !" lança la voix du garde dans son dos.
Sans réfléchir philippe enfila donc la tenue qui lui avait été préparée. Il se sentait tout bizarre avec ces vêtements de prix sur le dos, seul le collier de chien dissimulé par le col de la chemise le gênait un peu. Mais une claque sur la nuque le ramena bien vite au réel. Il emboîta donc le pas du garde qui le mena jusqu'à l'ascenseur et descendit jusqu'au parking par lequel il était arrivé, deux jours auparavant... Mais cette fois, ils empruntèrent un autre escalier qui menait directement dans une petite rue, à l'arrière d'un bel immeuble bourgeois... Le garde lui montra la porte anonyme...
- "Tu vas visualiser le chemin à partir d'ici et jusqu'à L'Entreprise. Car les soirs où tu ne seras pas de permanence aux bureaux, tu devras rentrer seul jusqu'à ta niche. Tu auras un temps limité pour faire le trajet… Tout dépassement te vaudra une punition qui t'enlèvera le goût de la flânerie. Compris ?"
- "Oui Monsieur" dit philippe en fixant le bitume du sol
- "Bien. Tu me suis, à un mètre. Et ne traîne pas !" ordonna le garde en se mettant en route…
Le trajet avait duré environ quinze minutes pour rejoindre le bâtiment de verre et d'acier de L'Entreprise. Tout comme pour l'immeuble où ils étaient logés, les esclaves n'étaient pas admis par l'entrée principale. Ils devaient passer par une ruelle adjacente et rejoindre une petite porte en fer équipée d'un code. Le garde tapota sur les touches et la porte s'ouvrit
- "Tu n'auras pas droit au code, tu dois arriver à l'heure prévue pour toi et sonner, puis donner ton nom précédé par ton méprisable statut : esclave... Si tu es en retard, tu devras attendre ici que l'on vienne te chercher et là, bien sur, la correction sera sévère. Compris ?"
- "Oui Monsieur"
- "Bien" dit le garde qui venait de pénétrer dans le bâtiment, suivi par philippe.
Ils étaient dans une sorte de sas aux murs et au sol de béton brut... Il n'y avait qu'une porte d'ascenseur dont le garde ouvrit la porte.
- "Entre et quand tu seras arrivé, tu iras te présenter à l'assistance De Monsieur le Marquis, l'esclave émeline te dira ce que tu as à faire"
Le garde poussa l'esclave à l'intérieur de la cabine et ferma la porte sans y entrer. L'ascenseur se mit en branle. La cabine était nue, pas de miroir, pas de boutons non plus, seulement un compteur d'étages qui lui indiqua qu'il arrivait au sommet de la bâtisse juste au moment où retentissait la clochette d'arrivée. L'esclave se glissa entre les portes coulissantes, arrivant tout au bout du couloir qui menait directement à la porte d'accès aux bureaux Du Maître des Lieux. Ce couloir dont il avait plusieurs jours de suite, lessivé la moquette, nu, frottant à l'aide d'une brosse. Cette fois, il foulait la moquette toujours aussi impeccable avec une paire de "Taylor's" noires de Paul-Smith... Il ne se sentait cependant pas plus à l'aise pour cela. Et c'est avec une boule au ventre qu'il toqua à la porte de l'assistance de son Maître et Patron... L'esclave émeline vint lui ouvrir et s'effaça pour le laisser entrer. philippe avait une envie folle de demander à la jeune femme comment s'était terminé le week-end au Château, avec O-de et Sir Stephen. Mais leur statut ne permettait pas les échanges impromptus. Ils ne devaient se parler que pour le service De Monsieur le Marquis et avec juste les mots nécessaires...
- "Le Maître t'attend" dit simplement émeline et se dirigeant vers le téléphone de son bureau et saisit le combiné
- "Maître, je vous prie de daigner à votre petite chienne l’autorisation de vous adresser la parole … Merci Maître… l'esclave philippe est arrivé ... Bien Maître" …
Et elle raccrocha pour, sans un mot de plus, aller ouvrir la porte d'accès Au Bureau De Monsieur le Marquis et y introduire philippe. Le Maître était installé derrière son si vaste bureau. Une fois entré et la porte refermée dans son dos par émeline, philippe se prosterna jusqu'à poser son front contre le sol et attendit... Attendit... Le Maître devait être occupé, car aucun bruit ne laissait deviner ce qu'Il était en train de faire... demeurant prosterné, l'esclave attendait humblement, conscient qu'il pourrait demeurer ainsi fort longtemps si telle était la volonté de son Maître, par ailleurs occupé à des tâches bien plus importantes... Un frôlement attira cependant son attention... philippe comprit que Le Marquis d'Evans, son Patron et son Maître, venait de quitter son confortable fauteuil directorial... Les pas feutrés approchaient et soudain, un épais dossier chuta tout près de son visage.
- "Lis ça ! Tu as un quart d'heure, j'en veux une analyse de ta part... Précise. Et des propositions..."
- "Bien Maître" répondit l'esclave en tendant les bras
- "Vas t'installer à la table basse. A genoux... et sois attentif" dit Le Maître en regagnant Son bureau.
Un quart d'heure plus tard, philippe avait étudié le dossier et s'avançait à quatre pattes vers le bureau Du Marquis...
- "Relève toi !" ordonna Ce Dernier "et dégrafe ton pantalon !"
L'esclave obéit tout de suite, se relevant, puis défaisant son pantalon et le laissant tomber sur ses chevilles, révélant sa nudité et un sexe quelque peu tendu par la situation
- "Nous reparlerons plus tard de cette érection mal venue" dit Le Marquis, "mais pour l'heure je veux connaître tes conclusions sur le dossier et tes propositions, esclave"…
Toujours debout, les cuisses ouvertes afin de livrer sa nudité, mains jointes dans le dos, c’est dans cette position tant humiliante mais si excitante que philippe fit donc le compte rendu de ce qu'il avait lu et proposa quelques pistes concernant les accords et contrats envisagés... Un silence lui répondit. Les yeux baissés, il n'osait plus bouger... Le silence dura, jusqu'à ce que Le Marquis ne se lève de Son siège et s'approche, le faisant sans un mot basculer en avant et l'obligeant à prendre appuis avec ses mains sur le bureau. Puis, armé d'une règle plate prise sur le bureau, Le Maître commença, sans un mot à claquer les fesses nues... Souple et flexible, la réglette résonnait sèchement sur la peau de la croupe que Le Marquis voyait rougir avec plaisir...
Le Maître cinglait le cul offert avec une régularité de métronome, prenant tout son temps entre deux coups... Il savait qu'ainsi, l'esclave avait le temps de penser, Le Maître imaginait sans mal le bref, si bref instant où l'espoir suscité par une fraction de seconde de retenue, l'espoir que la fin de la correction soit venue, ne soit anéanti par le coup suivant. Il fallait une parfaite maîtrise pour susciter si parfaitement ce doute dans l'esprit de l'esclave puni... juste assez d'attente pour laisser naître l'espoir, mais un nouveau coup assez prompt pour en empêcher tout soulagement. Les coups tombaient donc faisant rougir le cul de l'esclave... les fesses meurtries tressaillaient... La règle s'abattait à nouveau et le corps crispé de l'esclave se crispait, avant de se relâcher encore et de bomber le cul, car philippe sait qu'il ne doit en aucun cas tenter de se soustraire à la punition, mais au contraire l'accepter et la subir avec reconnaissance, et faciliter par son attitude docile l'application la plus rigoureuse du châtiment infligé. Ainsi fût-il... et lorsque Monsieur Le Marquis rejeta la règle sur Son bureau, le cul de l’esclave était rouge carmin !
- "Bien !" commenta Le Maître, légèrement essoufflé "tu t'es bien comporté. Mais saches que j'ai puni l'incongruité de cette nouille dressée que j'ai découverte lorsque tu t'es déculotté. Tu manques manifestement de self-contrôle et cela est inadmissible. Aussi, tu seras désormais encagé, jusqu'à ce que tu sois suffisamment formaté pour ne bander que sur Mon Ordre... Maintenant, remercie ton Maître..."
Et Le Marquis tendit sa main alors que l'esclave mettant les genoux au sol, baisait le dos de la vénérée main tendue vers lui.
- "Rhabilles toi maintenant ! Nous allons recevoir une personne importante. Ne Me déçois pas en sa présence"...
Le Marquis-PDG reprit Sa place au bureau et philippe vint se tenir droit, à Sa Gauche, bien droit, tête baissée... Le Maître signait des documents, lorsque émeline l'informa de l'arrivée de la personne attendue... La Femme devait avoir la quarantaine... blonde cendrée, ses cheveux laissés en liberté, d'une froide élégance… vêtue d'un tailleur dans un beau camaïeu de gris, d'un chemisier de soie noire, de hauts escarpins de cuir noir, dont à chaque pas, une étincelle rouge laissait deviner la griffe de Louboutin... Elle avait une démarche féline et assurée. Sensuelle, belle, elle incarnait toute la beauté féminine mais dans une froideur du regard qui ne laissait pas indifférent. Dominant émeline de toute la hauteur de ses talons, elle entra sans un regard pour l'humble assistante et se dirigea d'un pas décidé vers le bureau De Monsieur le Marquis qui s'était levée.
- "Soyez la bienvenue, très chère amie"
- "Ravie de Vous revoir, Monsieur le Marquis", répondit-elle d'une voix surprenante, grave et profonde et cependant envoûtante.
De part et d'autre du bureau, ils se serrèrent la main et s'installèrent. S'ensuivit une longue discussion à propos des rapports et contrats que philippe avait lus, analysés et commentés. La discussion, quoique courtoise, était tendue. Des enjeux énormes étaient dans la balance, comme l'avait deviné l'esclave en lisant les dossiers. Et devant lui se jouait une partie importante, vitale peut-être. Il sentait que la femme était cependant sur la défensive... Le Marquis, peu à peu, semblait imposer Sa Volonté. Alternant avec subtilité, diplomatie commerciale, séduction et autorité dans le propos. Mais elle ne cédait pas facilement. Le "bras de fer" des deux négociateurs était impressionnant... Alors que la tension était à son comble, la blonde laissa échapper un soupir...
- "Pfiouuh ! Je suis fatiguée cher Marquis ! Je savais que vous étiez intraitable en affaires et je viens encore une fois d’en subir les conséquences …Que diriez vous d'une pause ? Nous pourrions déjeuner..."
- "Je ne saurai rien Vous refuser, chère Amie. A l'exception de conclure cet accord à vos conditions que je ne peux accepter" répondit Le Marquis en souriant...
Le Maître des Lieux appuya sur un bouton et émeline jaillit de son bureau comme un diable d'une boîte...
- "Emeline, (dit Le Marquis) nous déjeunerons dans la petite salle à manger, c'est toi et philippe qui servirez ! Prépares le !" ordonna-t-il.
Et d'un geste Il congédia philippe qui après un bref salut de la tête, allait rejoindre l'esclave-assistante... Au passage, la Femme lui saisit le bras avec fermeté, sa main se refermant sur le poignet de l'esclave comme une serre. Elle l'attira vers elle et, sans commentaire, lui mit la main entre les cuisses
- "Un esclave, bien sûr" lança-t-elle Au Marquis
- "Naturellement chère Amie. Je connais Vos goûts... Celui-ci manque encore d'expérience, mais il fait preuve d'une belle motivation et d'une réelle compétence professionnelle. Il a encore beaucoup à apprendre, cependant..."
- "Mais cela peut-être fort divertissant !" dit-elle en lâchant l'esclave et en lui faisant négligemment signe de la main de s'éloigner…
émeline mena le garçon dans le dressing où étaient pendues les différentes tenues destinées à répondre aux diverses volontés Du Maître.
- "Déshabilles toi ... " lui dit-elle et lorsqu'il fut entièrement nu, avec seulement son collier au cou, elle lui tendit un petit tablier de coton blanc orné de dentelles à fleurs, s'attachant par un petit lien fermé par un noeud dans les reins. émeline s'était également déshabillée et avait "revêtu" le même tablier.
- "Voilà, on peut y aller. Tu me suis et tu fais comme moi. Bien sûr, tu ne parles pas, sauf si on t'interroges"
- "D'accord... tu la connais la femme ?..."
- "Chut ! (émeline eut un petit sourire) oui... je la connais. Allez, on y va"...
philippe suivit la jeune femme dans les couloirs, vers une pièce qu'il ne connaissait pas. Elle frappa et une voix lui intima l'ordre d'entrer. Elle poussa donc la porte et entra, suivie de philippe. C'était une salle à manger, avec au centre une table ronde de belle dimension, couverte d'une nappe blanche immaculée, et des couverts d'argent, assiettes de porcelaine, carafes en cristal... le tout mis pour deux personnes. Contre un mur, des chariots devaient contenir les plates, maintenus au chaud par des cloches d'argent. Le Marquis et Son Invitée avaient pris place, délimitant deux espaces parfaitement distincts à la table. Monsieur Le Marquis et La Femme poursuivaient leur discussion de façon plus détendue qu'auparavant, tandis que émeline et philippe commençaient le service. Tandis qu'il servait le vin à Madame, l'esclave sentit la main de celle-ci qui lui flattait la croupe, l'ongle parfaitement manucuré laissant un sillon douloureux le long de la raie. émeline avait quant à elle servi à Chacun une assiette d'huîtres.
Pendant que Le Marquis dégustait Ses coquillages, émeline s'était agenouillée à Ses Pieds... La Femme, que Le Marquis avait désignée aux deux esclaves comme Madame Solange, fit signe à l'esclave mâle de s'agenouiller, elle avait remonté sa jupe droite de son ensemble et ne portait pas de culotte, juste un superbe porte-jarretelle en dentelle, tenant des bas de soie... elle glissait une huître entre ses cuisses et philippe devait venir la gober en elle... Par moments, elle appuyait sur la nuque de l'esclave afin de pousser son visage tout contre son intimité afin qu'il lèche en elle le jus du coquillage mêlé aux sucs du plaisir qui coulait en elle. Madame Solange laissait de longs gémissements s’exprimer, ses yeux de Domina grands ouverts, autant que sa bouche aux dents blanches démontraient tout le plaisir de son orgasme subite.
La dégustation terminée, elle congédia l'esclave d'un coup de pied et les deux esclaves purent débarrasser les restes de l'entrée pendant que la conversation reprenait. La suite du repas se poursuivit de façon plus conventionnelle, sans que Madame Solange ne sollicite d'autre service de philippe que ceux d'un domestique servant à la table de Ses Maîtres. Il dut cependant assurer seul le service du dessert, car émeline était venue prendre place sous la table, où Le Marquis l'avait faite installer, afin qu'elle savoure entre ses lèvres Le Plaisir Viril de son Maître. Elle y resta également pour le café, le Vit de son Maître en bouche, tandis que philippe, à genoux auprès de La Dame, s'appliquait à faire le beau lorsqu'Elle lui tendait un sucre qu'il venait happer du bout des lèvres… Au bout d’un moment le Maître des lieux explosa en de longs râles de plaisirs dans la suave bouche de sa chienne qui, avalant tout le sperme de son Vénéré Maître, s’attarda à nettoyer la Divine Verge qui diminuait doucement de volume ….
- "émeline !" lança alors Le Marquis "prépare vos gamelles"...
émeline, manifestement habituée, alla alors chercher deux gamelles métalliques et les garnit des reliefs délaissés par Les Deux Supérieurs. Elle en tendit une à philippe et d'un regard lui fit comprendre d'agir comme elle. Elle alla devant son Maître et s'agenouilla, lui tendant la gamelle
- "Maître, daignez permettre à Votre esclave de se nourrir de Vos Restes..." dit-elle avec un temps de retard, philippe vint s'agenouiller de même façon auprès de Madame Solange
- "Madame, daignez permettre à l'esclave qui Vous sert de se nourrir de Vos Restes", prononça-t-il
Monsieur Le Marquis avait saisi la gamelle et l'avait posée au sol
- "Mange, esclave, tu m'as bien servi" dit Le Marquis
Et émeline s'accroupit afin de manger comme une chienne. Madame Solange avait également saisi la gamelle de l'esclave mâle qui attendait agenouillé, tête baissée...
- "Vos esclaves sont toujours aussi bien dressés cher Marquis. Celui-ci semble encore un peu maladroit, mais il est prometteur... Me le céderiez Vous ?"
- "N'y voyez nulle mauvaise volonté, mais il détient des informations qui ne sauraient être divulguées. Pour l'instant, il est donc attaché à Mon Service pour un certain temps. Cependant... il serait possible que je Vous le prête parfois, s'il peut Vous être de quelque utilité... Dès lors que ses services n'auront aucun lien avec les dossiers sur lesquels nous travaillons"
- "C'est juste, Monsieur le Marquis. Vous ne perdez décidément jamais les priorités de vue ! C'est cela qui Vous rend si implacable. Je crois que je ne pourrai trouver de meilleur associé. Je pense que notre affaire est en bonne voie. Nous pourrions régler tout cela cet après-midi et Nous scellerons cet accord fructueux dans les conditions financières que vous me proposez au final et en usant de ces deux esclaves, si cela Vous convient"
- "Je ne saurai imaginer meilleure perspective chère Amie. Allons déguster un excellent Cognac dans mon bureau pendant qu'ils rangent. Ensuite, ils nous rejoindront pour la signature et nous fêterons cela... Pour l'occasion, ce petit mâle sera à Votre disposition, il est temps qu'il découvre cet autre aspect de sa fonction."
- "Excellent !" se réjouit Madame Solange de Sa Voix gutturale. Elle saisit un bout de gras qui trempait dans la gamelle et le tendit vers l'esclave entre deux doigts... philippe du bout des lèvres saisit le morceau et l'avala..
- "Bien, cela suffit. Il a une petite tendance à l'embonpoint, mieux vaut qu'il fasse un petit régime.
Et elle posa la gamelle sur la table. Tapotant le crâne de l'esclave à Ses Pieds
- "Et n'en profite pas pour manger en notre absence... (son ongle aiguisé traçait un sillon dans la peau de l'épaule de l'esclave) sinon, je saurai comment te le faire regretter" dit-elle d'une voix froide et menaçante.
Puis en compagnie Du Marquis, ils quittèrent la salle que les deux esclaves commençaient déjà à ranger.
...
(à suivre)
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