La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 31)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 31)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
(suite de la Saga... de l'épisode 29)
Elle se retourna vers moi et me regarda en me faisant un tout petit sourire.
- que vont ils nous faire ?
- je ne sais pas, mais l'ami de Monsieur le Marquis me terrifie ! Si j'avais pu je l'aurai tué tout à l'heure ! J'ai cru que j'allais mourir, c'est un sadique !
- Ne dit pas ça Marie, on pourrait nous entendre !
- m'en fiche, je le pense !
Puis nous nous plongeâmes toutes deux dans un silence plein d'angoisse, restant là à genoux, ne sachant pas ce que l'on allait faire de nous. Soudain des pas firent crisser les graviers de l'allée. Nous étions tendues de savoir qui apparaîtrait. Ce fût le Marquis qui entra le premier dans la pièce, mais il était suivi du comte, de Walter et de la cuisinière aux yeux sadiques.
Ils se sont tous mis devant nous contre le mur, nous regardant. Je n'osais pas lever les yeux.
- la quelle d'entre vous à incité l'autre aux caresses ce matin ? demanda le Marquis.
Je ne dis rien et baissa encore plus la tête.
- qui a commencé ? ! hurla-t-il en faisant un pas vers nous.
- c'est … c’est moi Monsieur le Marquis, souffla Lalielou, c'est moi qui ai commencé, Marie ne voulait pas.
- bien Walter, menez là au pilori. Elle y restera tant que Monsieur le Comte et moi-même seront absents, nous avons à faire avec l'autre femelle !
Je jetais un regard perdu vers le Marquis.
- non pas lui ! Monsieur le Marquis, punissez moi vous, j'accepterai tout, je ferai tout ce que vous désirerez, mais pas lui, s'il vous plait !
Je m'étais jetée à ces pieds lui entourant les jambes de mes bras, je pleurai, le suppliais .... mais il ne voulut rien entendre.
- je fais de toi ce que ce veux, et pour le moment ce que je veux et de te prêter à Monsieur le Comte. De plus il m'a apporté tout un harnachement de jument que je compte bien essayer tout de suite avec son aide !
Le comte souriait avec perversité de toutes ses dents, il allait pouvoir faire de moi ce qu'il voulait pendant que Monsieur allait sortir en promenade avec sa jument. Il ne serait pas là s'il m'arrivait quelque chose de grave. Il m'abandonnait à ce sadique qui en jubilait d'avance. Je m'attendais à le voir baver tant on voyait la luxure luire dans ses yeux.
Je me retournais vers le Marquis, mais déjà il faisait signe à Walter de l'emmener. Le piloris, j'en frémis. Quelle était donc cette nouvelle torture ?
- Marquis avant d'aller aux écuries, ne pourrions-nous pas assister à l'installation de la chienne sur son pilori, j'apprécie beaucoup ce genre de spectacle ! Que je vois comment vous savez calmer les chaleurs de cette chienne lubrique ! dit le comte- Mais bien sûr, suivons les, lui répondit-il en m’attachant les mains dans le dos avec un lien de cuir qu'il sortit de sa poche. Il en prit un autre et le tendit vers Walter lui demandant de faire pareil avec Lalielou, ce qu'il fit dans un empressant et une maîtrise des nœuds qui n'augurait rien de bon pour elle.
Walter pris ensuite sa laisse qui pendait à son cou et l'obligea à le suivre. Le Marquis se saisit de la mienne et je me levais, la tête basse mais la rage dans le corps. Nous sortîmes par la porte par la quelle ils étaient tous entrées. L'allée de graviers me meurtrissait la plante des pieds et je ralentis le pas.
Le Marquis se retourna et me regarda avec colère en tirant sur la laisse si fort qu'il me fit trébucher et je tombais de tout mon long et de tout mon poids sur les graviers qui me meurtrirent tout le coté. Les mains liées, je n'avais pas pu amortir ma chute et ma tête heurta, elle aussi, les graviers. J'en vis trente six chandelles. Le Marquis s'approcha de moi et m'aida à me relever en passant une main sous mon bras :
- fait donc un peu attention femelle, ou tu reprendras du fouet.
Je le regardais, fis non de la tête et essaya de me tenir juste derrière lui. Nous arrivâmes sur le perron de l'entrée que nous avions franchi avec tant d'espoir ...
Walter, qui était devant avec Lalielou, en ouvrit la porte et pénétra dans la grande entrée. Le Marquis s'effaça devant le Comte pour le laisser entrer en premier. Il tira sur ma laisse, me tirant à lui, se pencha vers moi et me dit à l'oreille :
- quoi qu'il se passe je ne veux pas entendre un seul mot, pas un seul son sortir de ta bouche, as-tu bien compris ? Me demanda t'il froidement en plongeant son regard dans mes yeux.
- oui Monsieur le Marquis j'ai compris.
- bien, que je n'ai pas à te le redire, entre !
Il me tira et je pénétrais dans le château derrière lui. Une nouvelle fois je fus émerveillée du faste de la demeure. Tout y était beau, sans ostentation, mais pourtant avec beaucoup de raffinement. Je n’eus guère le temps d'admirer plus avant les toiles, les dorures des tableaux, la finesse des sculptures, la beauté des meubles ou l'épaisseur des tapis. Nous ne fîmes que traverser cette salle. Walter nous reconduisait vers l'escalier en colimaçon que je reconnu tout de suite et mon coeur et mon corps frémirent au souvenir du fouet qui avait dansé sur moi.
Nous arrivâmes quand Walter se dirigeait vers une espèce de tréteaux étranges avec deux planches placées en accent circonflexe. Lalielou eu un geste de recule en voyant que c'était vers cela que Walter l'emmenait.
Le Marquis me fit mettre à genoux à ses pieds après s'être assis près du Comte dans un des fauteuils du petit salon de la salle rouge et demanda à sa cuisinière :
- Marie ! s'il vous plait, servez-nous un cognac et apportez-nous la boite de cigares.
Walter se tourna vers le Marquis comme pour demander un accord muet. Le Marquis baissa la tête, me caressa nonchalamment les cheveux comme on caresse un chien qui vient se coucher à nos pieds.
Walter empoigna Lalielou la releva, il lui détacha les bras, lui fit passer les mains au travers de drôles de menottes. Elle pouvait serrer une petite poignée qu'il lui referma fermement autour des poignets. Il voulu lui mettre un bâillon dans la bouche mais Lalielou tourna la tête dans tous les sens essayant d'y échapper. Il l'a gifla à toute volée. Je vis à ses yeux qu'elle en en était étourdie. Il en profita pour lui faire ouvrir la bouche et y glisser une énorme boule caoutchoutée et traversée d'un lien qu'il attacha derrière sa tête.
Walter actionna ensuite une commande. Une poulie descendit lentement du plafond avec un cliquetis de chaînes. Lalielou leva les yeux et la regarda venir se placer au dessus d'elle. Walter lui pris les mains et attacha l'anneau des menottes au crochet de la poulie. Il appuya sur un autre bouton et la poulie remonta. Les bras de Lalielou se levèrent. Elle fut bientôt sur la pointe des pieds. Encore une pression et elle fut suspendue en l'air par les mains, ses pieds ne touchant plus le sol elle tourna doucement sur elle même.
-Attendez un peu Walter ! Demanda le Marquis en se levant et se saisissant de sa cravache se dirigea vers Lalielou. On vit la peur s'installer dans ses yeux.
- Je dois te punir pour ce que tu as fais ce matin. Il commença par lui donner des petits coups de cravache. Il gardait la main souple et les coups ne semblaient pas puissants mais rapides. Walter la faisait tourner lentement pour que chaque partie de son corps ainsi offert en ait sa part. Progressivement, on voyait sa peau changer de couleur et prendre une teinte rose, puis rouge. Lalielou prenait une correction à laquelle elle ne pouvait rien faire pour s'en soustraire. Elle continuait de tourner.
Elle secouait la tête en un non impuissant et muet. On l'entendait juste geindre. Elle suait. Elle pleurait. Les coups continuaient de tomber sur son dos, sur ses fesses, sur ses seins, sur son ventre, sur ses cuisses et parfois même sur son sexe, selon l'envie du Marquis et pour le plaisir sadique du comte qui ne perdait rien du spectacle et le savourait avec délices.
Le comte demanda à Walter de tenir une des jambes de Lalielou pendant qu'il se saisissait de l'autre et les lui écartèrent; Le Marquis visa tout de suite le sexe ainsi exposé et la frappa à plusieurs reprises. Lalielou se tordit entre ses liens et les mains de Walter et du Comte. Mais il continua un long moment à la frapper juste à cet endroit là sans relâche, avec méthode. Le Marquis s'arrêta un instant et glissa une main dans l'entre jambes de Lalielou.
- elle est trempée, s'esclaffa-t-il ! Il mis un doigt, puis deux, puis trois dans son vagin. Il s'ouvrit tout seul sous la caresse. Le Marquis revint et pinça le clitoris tout gonflé. Lalielou sursauta. Le comte voulu voir aussi et mis ses quatre doigts dans le sexe de Lalielou. Elle se figea mais la moitié de la main du Conte était déjà rentrée et la remplissait vicieusement. Il la ressorti entièrement et l'a rentra de nouveau. Il fit ainsi plusieurs allés et retours, poussant toujours plus loin sa main.
Les plaintes de Lalielou se transformèrent peu à peu en gémissements.
- c'est bien, dit le Marquis, elle est prête, montez-la Walter et installez-la confortablement, lui demanda t'il en souriant.
Walter repris la commande et pressa sur le bouton, fit monter Lalielou. Lorsqu'elle fut suffisamment haute, il la poussa légèrement et la poulie pivota, l’emmenant pile au dessus de l'étrange chevalet. Il pressa un autre bouton et elle commença à redescendre. Elle serra les jambes et posa les pieds sur le chevalet pour essayer d'éviter l’inévitable. Le Marquis et le Comte se placèrent de part et d'autre d'elle, lui saisirent chacun une jambe. Walter la fit descendre lentement pendant que les deux hommes lui maintenaient les jambes ouvertes au dessus du chevalet. Elle descendait ainsi jusqu'à ce que son sexe repose sur les planches en biais. Juste avant qu'elle ne soit posée, le Comte et le Marquis lui écartèrent le sexe. Walter fini de la descendre.
Elle reposait maintenant entièrement sur son sexe ouvert, écrasé par son propre poids.
Lalielou se maintint aux poignets en tirant dessus pour se soulager. Elle appuya ses pieds de part et d'autre pour se soulever un peu, mais Walter faisait le tour du chevalet, lui saisi une jambe, lui mis un bracelet de cuir muni d'un mousqueton, il fit de même avec l'autre pied. Ensuite, il prit une barre métallique sur un râtelier et en passant sous le chevalet il la fixa aux mousquetons. Lalielou se retrouva ainsi les jambes écartées au maximum. Le sexe entièrement posé sur l'angle que formaient les planches et même si l'arrête en avait été arrondie elle lui meurtrissait les lèvres et le clitoris. Elle se retenait aux poignées qu'elle avait dans les mains, mais elle savait bien que si elle restait là un long moment, elle n'aurait pas la force de se retenir comme ça longtemps.
Le Marquis, satisfait retourna s'asseoir. Le comte en fit autant et ils finirent leur Cognac en regardant la pauvre Lalielou se tortillant sur le chevalet. Au bout d'un moment se lassant le Comte demanda :
- et si nous la laissions là et que nous allions essayer le matériel que je vous ai apporté ce matin cher voisin ?
- excellente idée, allons-nous dégourdirent les jambes en faisant une agréable promenade, Marie, je vous demanderai de rester ici jusqu'à notre retour. (et me regardant) Walter emmenez cette femelle là aux écuries, installez-là dans une stalle, nous arrivons tout de suite, répondit le Marquis en tendant ma laisse à Walter.
- bien Monsieur le Marquis, aller vient par là toi, me dit-il en prenant la laisse. Je le suivis, inquiète.
Nous redescendîmes et retraversâmes la grande salle. Walter me fit tourner sur la gauche et me guida vers les écuries que l'on apercevait sitôt le château contourné.
L'allée de graviers avait fait place à une piste de terre battue plus souple sous mes pieds.
L'odeur me parvint bien avant que nous ayons franchit la porte des écuries. Lorsque nous y entrâmes la pénombre me surprit. Walter se dirigea vers une stalle vide. Il attacha ma laisse à un anneau fixé à une mangeoire, il ne me détacha pas les mains :
- repose toi, me conseilla-t-il, tu en aura besoin ! Ah ! ah ! Et il sortit, me laissant là, seule dans une stalle pour cheveux, dans les écuries du Marquis. Mes yeux s’habituaient à la faible lumière. Je pus enfin regarder ce qu'il y avait autour de moi.
Il y avait là plusieurs chevaux. Ils étaient magnifiques, racés et devaient faire des envieux parmi les plus grands éleveurs. Ils dormaient, debout. Mon arrivée avait dut en déranger quelques uns car ils avaient tourné la tête vers moi et semblaient me demander ce que je faisais là. J'aurai été bien en peine de leur répondre, ne le sachant pas moi-même.
Le cheval le plus proche de moi était un superbe étalon tant sa fière allure en imposait. Il était vraiment magnifique et il le savait. Ce devait être un pur-sang arabe. Il avait des gestes vifs, sa robe alezane de toute beauté, ses poils brillaient. Il était vraiment en bonne santé et avait dû gagner bon nombre de grandes courses hippiques.
Plus loin, il avait une autre stalle occupée. Je vis tout de suite que ce cheval avait une robe louvet, mélange de noir et d'alezan, incroyablement belle, elle brillait comme si on l'avait lustré. Ils me regardaient tous les deux avec des yeux vifs, leurs oreilles bougeaient dans tous les sens, comme aux aguets.
Je ne perçu le bruit des pas que biens après les chevaux. Des hommes s'approchaient et discutaient. Quand ils entrèrent dans l’écurie, leur présence me coupa la lumière venant de dehors et dans le contre-jour je ne pus les discerner. Je reconnu, toutefois, la voix du Marquis et le rire sarcastique du Comte.
- Marquis et si nous sortions le sulky pour atteler votre nouvelle jument ?
- mais oui Cher Comte, j'ai hâte de voir ce qu'elle vaut ! J'ai bien peur qu'elle ne soit rétive au début, mais nous saurons la dompter n'est ce pas ?
Ils rirent tous les deux bon cœur. Ils venaient vers moi, se dirigeaient vers la stalle où Walter m'avait attachée et s'y arrêtèrent en me regardant. Mais que faisaient ils donc ? Je ne suis pas une jument ! Pourquoi me fixaient-ils ainsi ?
Le Marquis s'approcha de moi, me fit me lever. Il passa une main sur mon dos, palpa mes fesses.
- huuummm ! ferme et charnu, elle a été bien nourrie. Il me fit ouvrir la bouche, voyons les dents ont l'air en bon état ! il palpa mes épaules, mes bras, ma taille, mon ventre, parfaite pour le harnais !
- mais je ne ..... voulus-je dire, un coup de cravache au travers du dos me fit taire aussitôt.
- je t'ai dit de te taire femelle, à partir de maintenant je ne veux plus t'entendre parler ! Il se dirigea vers un établi où plusieurs harnais étaient pendus. Il en prit un de petite taille et, sourire aux lèvres, le tendit au comte :
- puisque c'est votre matériel mon cher ami, faites moi donc une démonstration. Je dois dire que je n'ai jamais eu de jument de cette race là et je suis curieux de voir comment on les harnaches !
Le comte pris tout ce que le Marquis lui tendait et se plaça à coté de moi. Il commença par me passer des lanières reliées à un mors au dessus de la tête. Je me reculais et lui crachais au visage …
- jamais, espèce de sadique, je ne suis pas un chev... une violente paire de gifles vola et m'empêchait de finir ma phrase.
- vous aviez raison Marquis, pas facile la bête ! ria-t-il en se tournant vers le Marquis.
- Oui c'est ce que j'avais pressentit !
Le Comte réessaya, je ne lui en laissais pas le temps. Je voulu lui donner un coup de pied bien placé mais, les mains liées dans le dos, je fus déséquilibrée et recula. Mon pied ne frappa que le vide. Le Marquis riait aux larmes de voir que le Comte avait fort à faire avec moi. Il s'amusait de plus belle quand, le Comte, voulant m'attraper par les cheveux faillit tomber lorsque je me penchais en avant et lui donna un coup de tête dans l'estomac en rugissant.
- désirez-vous un coup de main ? demanda le Marquis entre deux éclats de rire, je crois qu'elle n'a pas été débourrée. Nous ne seront pas trop de deux pour la maîtriser.
N'attendant pas la réponse, il le rejoignit et passant derrière moi, me saisi la tête et me la tint fermement pendant que le Comte parvenait enfin à me passer les sangles.
Quand il approcha les mains de ma bouche pour me forcer à l'ouvrir pour y mettre une espèce de mors, je mordis aussi fort que je le pu ce qui passa à ma portée. Le comte poussa un cri de surprise et j'espérais de douleur aussi. Il voulu ôter sa main mais je ne lâchais pas prise et accentua la pression. Il grogna. Je senti un goût ferreux sur ma langue. Je savais qu'il saignait. Le Marquis tira sur mes bras si fort que je cru qu'il allait me les déboîter. Je lâchais la main du Comte pour crier. Il la secoua et rit en voyant les marques de sang que j'y avais fait :
- quelle bête féroce que vous avez là Marquis ! Je vous félicite et vous envie, ce sera un plaisir que de la dompter. Ce sont souvent les plus rétives qui deviennent les plus douces une fois qu'elles ont compris qui est leur Maître.
Ils parvinrent à me poser le harnais de tête auquel était fixé le mors, qui venait se loger entre mes dents. J'étais folle de rage de me sentir si impuissante face aux deux hommes qui me transformaient pour leur plaisir en animal de trait. Je m'agitais dans tous les sens, leur rendant la tâche difficile. Je savais que le mors leur permettrait de me guider et de plus il m'interdisait physiquement la parole.
- Un seul mot prononcé constituera une faute grave. Me rappela le Marquis.
Le mors me faisait abondamment saliver, je ressentait une humiliation particulièrement intense de baver comme ça devant eux.
Le comte me présenta une drôle de paire de bottes. J'avais l'impression qu'elles avaient des fers. Il me les enfila et les laça lui même. Il ne voulait pas prendre le risque de me détacher les mains pour le moment. Les bottes montaient jusque sous mes genoux. Il fit passer entre mon dos et mes bras un corset agrémenté de sangles. Il serra très fort le corset autour de ma taille et avec les sangles et prit soin d’encercler mes seins, mes fesses et mon pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Il n'y avait pas de selle :
- car on ne monte que rarement une ponygirl, expliqua-t-il au Marquis, elle vous servira surtout comme animal de trait.
Il prit ensuite un plug anal terminé par une longue crinière. Je ne pus pas me soustraire à l'infamante pénétration qu'il m'imposa, m'emplissant l'anus sans préparation, je gémis malgré le mors qui me faisait comme un bâillon. Quand tout fut en place, le Marquis me lâcha les bras et joua avec la queue. Je sentais les longs crins me frôler les jambes. Le comte me pris les mains et les attacha grâce à des liens fixés sur mon corset au niveau de ma taille. Je ne pouvais plus les écarter de mon corps. Il fit un clin d’œil au Marquis, il saisit une espèce de plumeau rouge vif et le fixa à l'endroit prévu sur le harnais au milieu de mon front.
- je l'ai choisi spécialement pour qu'il s'accorde avec votre donjon !
- Je vous remercie et vous félicite de votre bon goût !
Hormis le harnais, mon corps était nu et offert. Enfin le Comte se saisit d'un petite boite et l'ouvrant dit au Marquis :
- à vous le plaisir Monsieur le Marquis !
Le Marquis pris la boite. Son sourire s'élargit quand il vit ce qu'il y avait à l'intérieur. Il en sortit un clochette au bout d'une pince. Il me caressa les seins me pinça les mamelons pour les faire saillir. Quand il fut satisfait, il ouvrit la pince et la posa sur mon mamelon. Je serrais les dents sur le mors le temps de m’habituer à la douleur. Il me fixa la deuxième sur l'autre mamelon :
- Je trouve cette touche finale des plus ..."raffinée"
Il pris les rênes et me fit tourner, faisant tinter les clochettes attachées à mes seins.
- c'est vraiment une belle bête ! Voyons maintenant ce qu'elle vaut ?
Ils sortirent de l'écurie. Le Marquis me pris par une sangle et me traîna à sa suite.
Je ne savais plus que penser, je me demandais quel tableau j’offrais harnachée tel un animal. Le Marquis et le Comte semblaient, quant à eux, ravis du spectacle.
Ils faisaient le tour de la ponygirl qu'ils avaient fait de moi. Ils me flattaient les flans, me palpaient les fesses, tiraient sur ma queue, faisaient tinter les clochettes, commentaient telle ou telle autre partie de mon anatomie comme s'ils l'auraient fait avec n'importe quel cheval. J'étais humiliée, rabaissée. Je ne pouvais que subir. Walter arriva au moment ou ils finissaient leur inspection.
Il tirait d'une main, derrière lui un petit sulky avec deux grandes roues et un siège suffisamment large pour que deux personnes puissent s'y asseoir dans l'autre il avait un fouet. Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris à quoi serviraient ces deux objets.
Il passèrent dans mes mains liées au corset les bras du sulky et l’attachèrent à d'autres sangles encore libres.
- Ah mon cher Comte, c'est vraiment un beau cadeau que vous me faites là, c'est tout simplement incroyablement beau ! Je vous remercie vraiment sincèrement de cette attention. Elle me va droit au coeur.
- La bête est belle aussi Marquis, tout va ensemble ! Si nous lui faisions faire quelques pas d'abord pour qu'elle s’habitue au sulky.
- oui oui, faisons cela.
Il prit le fouet des mains de Walter et le faisant claquer juste au dessus de ma tête cria.
- Aller hue femelle.
Je ne bougeais pas d'un pouce, les regardant droits dans les yeux. Ils m'avaient transformé en animal. Mais je voulais leur faire comprendre que ce n'était pas le cas.
Le Marquis me regarda lui aussi, leva le bras et l’abattit sur mes fesses. La douleur violente, réveilla en moi de très mauvais souvenirs et me força à avancer. M'agrippant aux bras du sulky je le tirais en faisant quelques pas mal assurés. Les clochettes mordaient toujours mes mamelons et elles tintèrent dans mon mouvement. Le Marquis fit de nouveau claquer son fouet. Je fis plusieurs pas, entraînant le sulky. Ils me menèrent jusqu'à une piste. Ils me firent m'arrêter. Je les sentis monter et s'installer dans le sulky. Je ressentais leur mouvement mais paradoxalement le poids ne me parut pas si lourd. Il devait être réparti sur les grandes roues. Le fouet claqua de nouveau.
- Aller hue femelle !
Je bandais mes muscles et tira de toutes mes forces. Je fus sûrement la plus surprise de sentir que le sulky se mettrait en route sous mon impulsion et me suive. Je n'en revenais pas. Une femme pouvait tirer deux hommes. Je pouvais tirer deux hommes. Un drôle de sentiment m'assaillit, je crois bien que c'était de la fierté. Oui de la fierté. Le fouet claqua et me ramena à la réalité.
Je m'engageais sur la piste assez facilement. Je marchais lentement tirant le sulky où le Marquis et le Comte étaient assis. Je frissonnais sous le vent frais et la légère brume qu'il y avait en cette fin d'après midi. J'étais plus que nue et j’exhalais un petit nuage à chacune de mes expirations.
- Faites la courir, qu'elle se réchauffe un peu proposa le Comte !
Le Marquis fit claquer son fouet très près de mon dos, tant que j'en sentis le souffle. Je pressais le pas. Mais ils voulaient me voir et m'entendre courir. Ils me firent accélérer le pas. Je tenais fermement le sulky, le mors me faisait baver, les clochettes teintèrent quand je fini par courir. Je ressentais les mouvements que faisait le sulky dans mon dos. Je fis un tour de piste complet. Je n'avais plus froid et commençais même à suer.
Constatant que je me laissais guider assez facilement, ils imprimèrent une pression sur les rênes, me faisant tourner la tête vers la droite. Je compris ce qu'ils voulaient et pris la direction qu'ils m'imposaient. Ils me firent les promener à travers tout le parc. Au début j'avais eu du mal à trouver mon souffle, le corset m’empêchant une respiration aisée. Puis, petit à petit, je fis plus corps avec l'attelage et je me pris au jeu. Répondant à leur sollicitations.
Le Marquis discutait tranquillement avec son Invité le remerciant une nouvelle fois de son magnifique cadeau qu'il appréciait énormément, puis lui décrivit au fur et à mesure que nous le traversions son grand parc.
Comme il m'avait remis au pas pour continuer la promenade et pour que je ne me fatigue pas trop vite, ils discutèrent ainsi de tout et de rien. Je perdis le fil de leur conversation et entrais dans un monde étrange. J'étais vraiment devenue un animal de trait, je n'avais plus le besoin de parler, je secouais la tête pour faire bouger le plumeau. Je sentais la queue plantée dans mon anus et dont les longs crins caressaient mes cuisses. C'était très doux, très sensuel.
Le Marquis finissait la visite du parc et proposa au Comte de me ramener aux écuries.
Le temps passant vite, il serait bientôt l'heure de dîner. Walter attendait à la porte de l'écurie. Il sourit en nous voyant approcher. Il aida le Marquis et le Comte à descendre du sulky. Le Comte vint près de moi et me flatta les flancs comme s'il s'agissait d'une jument :
- et bien , te voila calmée et domptée. Je te remercie j'ai fait une agréable promenade, mais, dit-il se frottant la main et me regardant d'un air mauvais, je n'ai pas oublié !
- Moi non plus cher Comte ! Croyez moi, il lui en cuira de cette rebuffade, répliqua le Marquis ! Walter, veuillez je vous prie, vous occuper de dételer cette jument et de la bouchonner comme il faut. Elle a beaucoup sué, n'oubliez aucun endroit. Ensuite menez-là dans la salle rouge et mettez-là en cage après l'avoir nourrit.
Le Marquis et le Comte partirent d'un même pas vers le château discutant encore de la nouvelle jument.
Je me retournais vers Walter. Il me fit pénétrer dans l'écurie et enleva le sulky.
M'enleva tout le Harnachement et le corset mais je gardais les bottes. Il pris ensuite une poignée de foin et se mit à me frotter tout le corps. Je gesticulais, mais fatiguée par la longue promenade, je n'avais pas la force de me rebeller et je dus subir le "bouchonnage" jusqu'au bout. Walter s’attardant dans mes parties les plus intimes, frottant mon clitoris avec la paille, avec une régularité perverse. Puis estimant que j'étais suffisamment sèche, au bout d'un moment il jeta la poignée de foin. Il fixa ma laisse à mon cou et m’entraîna vers le château. Il me fit remonter vers la salle rouge. Mes bottes ferrées claquaient sur les pavés.
Lalielou était toujours sur le chevalet et de grosses larmes roulaient sur ses joues.
Ses bras semblaient tétanisés et elle n'arrivait plus à se soulever pour soulager son sexe meurtri.
Walter me poussa à coté des fauteuils. Il me donna un grand verre d'eau que j'aurai bu d'un seul trait s'il ne m'en avait pas empêcher, me conseillant de boire plus doucement. Il me proposa un plateau ou il y avait plusieurs volumineux sandwichs et des fruits en grand nombre. Jusqu'à ce que je vois les victuailles en abondance, je ne m'étais pas rendue compte à quel point j'avais faim. J'en engloutis plusieurs et croqua pour finir dans une belle pomme juteuse. Il n’emmena ensuite dans une petite pièce que je n'avais pas remarquée la première fois. C'était un petit cabinet de toilette :
- Fait ce que tu as à faire et dépêche toi ! Ce que je fis, je ressortis et il me conduisit vers la cage où il m'enferma tout comme Lalielou y avait était elle aussi.
Je m'assis par terre, les muscles de mes jambes me faisaient mal et mes bras étaient contractés eux aussi. Je regardais un peu Lalielou. Il y avait des marques sur son dos et j'en déduis que la cuisinière avait dut encore se défouler sur elle.
Je finis par me coucher sur le coté et je m'endormis avant même d'avoir toucher les coussins qui étaient là ...
(A suivre …)
(suite de la Saga... de l'épisode 29)
Elle se retourna vers moi et me regarda en me faisant un tout petit sourire.
- que vont ils nous faire ?
- je ne sais pas, mais l'ami de Monsieur le Marquis me terrifie ! Si j'avais pu je l'aurai tué tout à l'heure ! J'ai cru que j'allais mourir, c'est un sadique !
- Ne dit pas ça Marie, on pourrait nous entendre !
- m'en fiche, je le pense !
Puis nous nous plongeâmes toutes deux dans un silence plein d'angoisse, restant là à genoux, ne sachant pas ce que l'on allait faire de nous. Soudain des pas firent crisser les graviers de l'allée. Nous étions tendues de savoir qui apparaîtrait. Ce fût le Marquis qui entra le premier dans la pièce, mais il était suivi du comte, de Walter et de la cuisinière aux yeux sadiques.
Ils se sont tous mis devant nous contre le mur, nous regardant. Je n'osais pas lever les yeux.
- la quelle d'entre vous à incité l'autre aux caresses ce matin ? demanda le Marquis.
Je ne dis rien et baissa encore plus la tête.
- qui a commencé ? ! hurla-t-il en faisant un pas vers nous.
- c'est … c’est moi Monsieur le Marquis, souffla Lalielou, c'est moi qui ai commencé, Marie ne voulait pas.
- bien Walter, menez là au pilori. Elle y restera tant que Monsieur le Comte et moi-même seront absents, nous avons à faire avec l'autre femelle !
Je jetais un regard perdu vers le Marquis.
- non pas lui ! Monsieur le Marquis, punissez moi vous, j'accepterai tout, je ferai tout ce que vous désirerez, mais pas lui, s'il vous plait !
Je m'étais jetée à ces pieds lui entourant les jambes de mes bras, je pleurai, le suppliais .... mais il ne voulut rien entendre.
- je fais de toi ce que ce veux, et pour le moment ce que je veux et de te prêter à Monsieur le Comte. De plus il m'a apporté tout un harnachement de jument que je compte bien essayer tout de suite avec son aide !
Le comte souriait avec perversité de toutes ses dents, il allait pouvoir faire de moi ce qu'il voulait pendant que Monsieur allait sortir en promenade avec sa jument. Il ne serait pas là s'il m'arrivait quelque chose de grave. Il m'abandonnait à ce sadique qui en jubilait d'avance. Je m'attendais à le voir baver tant on voyait la luxure luire dans ses yeux.
Je me retournais vers le Marquis, mais déjà il faisait signe à Walter de l'emmener. Le piloris, j'en frémis. Quelle était donc cette nouvelle torture ?
- Marquis avant d'aller aux écuries, ne pourrions-nous pas assister à l'installation de la chienne sur son pilori, j'apprécie beaucoup ce genre de spectacle ! Que je vois comment vous savez calmer les chaleurs de cette chienne lubrique ! dit le comte- Mais bien sûr, suivons les, lui répondit-il en m’attachant les mains dans le dos avec un lien de cuir qu'il sortit de sa poche. Il en prit un autre et le tendit vers Walter lui demandant de faire pareil avec Lalielou, ce qu'il fit dans un empressant et une maîtrise des nœuds qui n'augurait rien de bon pour elle.
Walter pris ensuite sa laisse qui pendait à son cou et l'obligea à le suivre. Le Marquis se saisit de la mienne et je me levais, la tête basse mais la rage dans le corps. Nous sortîmes par la porte par la quelle ils étaient tous entrées. L'allée de graviers me meurtrissait la plante des pieds et je ralentis le pas.
Le Marquis se retourna et me regarda avec colère en tirant sur la laisse si fort qu'il me fit trébucher et je tombais de tout mon long et de tout mon poids sur les graviers qui me meurtrirent tout le coté. Les mains liées, je n'avais pas pu amortir ma chute et ma tête heurta, elle aussi, les graviers. J'en vis trente six chandelles. Le Marquis s'approcha de moi et m'aida à me relever en passant une main sous mon bras :
- fait donc un peu attention femelle, ou tu reprendras du fouet.
Je le regardais, fis non de la tête et essaya de me tenir juste derrière lui. Nous arrivâmes sur le perron de l'entrée que nous avions franchi avec tant d'espoir ...
Walter, qui était devant avec Lalielou, en ouvrit la porte et pénétra dans la grande entrée. Le Marquis s'effaça devant le Comte pour le laisser entrer en premier. Il tira sur ma laisse, me tirant à lui, se pencha vers moi et me dit à l'oreille :
- quoi qu'il se passe je ne veux pas entendre un seul mot, pas un seul son sortir de ta bouche, as-tu bien compris ? Me demanda t'il froidement en plongeant son regard dans mes yeux.
- oui Monsieur le Marquis j'ai compris.
- bien, que je n'ai pas à te le redire, entre !
Il me tira et je pénétrais dans le château derrière lui. Une nouvelle fois je fus émerveillée du faste de la demeure. Tout y était beau, sans ostentation, mais pourtant avec beaucoup de raffinement. Je n’eus guère le temps d'admirer plus avant les toiles, les dorures des tableaux, la finesse des sculptures, la beauté des meubles ou l'épaisseur des tapis. Nous ne fîmes que traverser cette salle. Walter nous reconduisait vers l'escalier en colimaçon que je reconnu tout de suite et mon coeur et mon corps frémirent au souvenir du fouet qui avait dansé sur moi.
Nous arrivâmes quand Walter se dirigeait vers une espèce de tréteaux étranges avec deux planches placées en accent circonflexe. Lalielou eu un geste de recule en voyant que c'était vers cela que Walter l'emmenait.
Le Marquis me fit mettre à genoux à ses pieds après s'être assis près du Comte dans un des fauteuils du petit salon de la salle rouge et demanda à sa cuisinière :
- Marie ! s'il vous plait, servez-nous un cognac et apportez-nous la boite de cigares.
Walter se tourna vers le Marquis comme pour demander un accord muet. Le Marquis baissa la tête, me caressa nonchalamment les cheveux comme on caresse un chien qui vient se coucher à nos pieds.
Walter empoigna Lalielou la releva, il lui détacha les bras, lui fit passer les mains au travers de drôles de menottes. Elle pouvait serrer une petite poignée qu'il lui referma fermement autour des poignets. Il voulu lui mettre un bâillon dans la bouche mais Lalielou tourna la tête dans tous les sens essayant d'y échapper. Il l'a gifla à toute volée. Je vis à ses yeux qu'elle en en était étourdie. Il en profita pour lui faire ouvrir la bouche et y glisser une énorme boule caoutchoutée et traversée d'un lien qu'il attacha derrière sa tête.
Walter actionna ensuite une commande. Une poulie descendit lentement du plafond avec un cliquetis de chaînes. Lalielou leva les yeux et la regarda venir se placer au dessus d'elle. Walter lui pris les mains et attacha l'anneau des menottes au crochet de la poulie. Il appuya sur un autre bouton et la poulie remonta. Les bras de Lalielou se levèrent. Elle fut bientôt sur la pointe des pieds. Encore une pression et elle fut suspendue en l'air par les mains, ses pieds ne touchant plus le sol elle tourna doucement sur elle même.
-Attendez un peu Walter ! Demanda le Marquis en se levant et se saisissant de sa cravache se dirigea vers Lalielou. On vit la peur s'installer dans ses yeux.
- Je dois te punir pour ce que tu as fais ce matin. Il commença par lui donner des petits coups de cravache. Il gardait la main souple et les coups ne semblaient pas puissants mais rapides. Walter la faisait tourner lentement pour que chaque partie de son corps ainsi offert en ait sa part. Progressivement, on voyait sa peau changer de couleur et prendre une teinte rose, puis rouge. Lalielou prenait une correction à laquelle elle ne pouvait rien faire pour s'en soustraire. Elle continuait de tourner.
Elle secouait la tête en un non impuissant et muet. On l'entendait juste geindre. Elle suait. Elle pleurait. Les coups continuaient de tomber sur son dos, sur ses fesses, sur ses seins, sur son ventre, sur ses cuisses et parfois même sur son sexe, selon l'envie du Marquis et pour le plaisir sadique du comte qui ne perdait rien du spectacle et le savourait avec délices.
Le comte demanda à Walter de tenir une des jambes de Lalielou pendant qu'il se saisissait de l'autre et les lui écartèrent; Le Marquis visa tout de suite le sexe ainsi exposé et la frappa à plusieurs reprises. Lalielou se tordit entre ses liens et les mains de Walter et du Comte. Mais il continua un long moment à la frapper juste à cet endroit là sans relâche, avec méthode. Le Marquis s'arrêta un instant et glissa une main dans l'entre jambes de Lalielou.
- elle est trempée, s'esclaffa-t-il ! Il mis un doigt, puis deux, puis trois dans son vagin. Il s'ouvrit tout seul sous la caresse. Le Marquis revint et pinça le clitoris tout gonflé. Lalielou sursauta. Le comte voulu voir aussi et mis ses quatre doigts dans le sexe de Lalielou. Elle se figea mais la moitié de la main du Conte était déjà rentrée et la remplissait vicieusement. Il la ressorti entièrement et l'a rentra de nouveau. Il fit ainsi plusieurs allés et retours, poussant toujours plus loin sa main.
Les plaintes de Lalielou se transformèrent peu à peu en gémissements.
- c'est bien, dit le Marquis, elle est prête, montez-la Walter et installez-la confortablement, lui demanda t'il en souriant.
Walter repris la commande et pressa sur le bouton, fit monter Lalielou. Lorsqu'elle fut suffisamment haute, il la poussa légèrement et la poulie pivota, l’emmenant pile au dessus de l'étrange chevalet. Il pressa un autre bouton et elle commença à redescendre. Elle serra les jambes et posa les pieds sur le chevalet pour essayer d'éviter l’inévitable. Le Marquis et le Comte se placèrent de part et d'autre d'elle, lui saisirent chacun une jambe. Walter la fit descendre lentement pendant que les deux hommes lui maintenaient les jambes ouvertes au dessus du chevalet. Elle descendait ainsi jusqu'à ce que son sexe repose sur les planches en biais. Juste avant qu'elle ne soit posée, le Comte et le Marquis lui écartèrent le sexe. Walter fini de la descendre.
Elle reposait maintenant entièrement sur son sexe ouvert, écrasé par son propre poids.
Lalielou se maintint aux poignets en tirant dessus pour se soulager. Elle appuya ses pieds de part et d'autre pour se soulever un peu, mais Walter faisait le tour du chevalet, lui saisi une jambe, lui mis un bracelet de cuir muni d'un mousqueton, il fit de même avec l'autre pied. Ensuite, il prit une barre métallique sur un râtelier et en passant sous le chevalet il la fixa aux mousquetons. Lalielou se retrouva ainsi les jambes écartées au maximum. Le sexe entièrement posé sur l'angle que formaient les planches et même si l'arrête en avait été arrondie elle lui meurtrissait les lèvres et le clitoris. Elle se retenait aux poignées qu'elle avait dans les mains, mais elle savait bien que si elle restait là un long moment, elle n'aurait pas la force de se retenir comme ça longtemps.
Le Marquis, satisfait retourna s'asseoir. Le comte en fit autant et ils finirent leur Cognac en regardant la pauvre Lalielou se tortillant sur le chevalet. Au bout d'un moment se lassant le Comte demanda :
- et si nous la laissions là et que nous allions essayer le matériel que je vous ai apporté ce matin cher voisin ?
- excellente idée, allons-nous dégourdirent les jambes en faisant une agréable promenade, Marie, je vous demanderai de rester ici jusqu'à notre retour. (et me regardant) Walter emmenez cette femelle là aux écuries, installez-là dans une stalle, nous arrivons tout de suite, répondit le Marquis en tendant ma laisse à Walter.
- bien Monsieur le Marquis, aller vient par là toi, me dit-il en prenant la laisse. Je le suivis, inquiète.
Nous redescendîmes et retraversâmes la grande salle. Walter me fit tourner sur la gauche et me guida vers les écuries que l'on apercevait sitôt le château contourné.
L'allée de graviers avait fait place à une piste de terre battue plus souple sous mes pieds.
L'odeur me parvint bien avant que nous ayons franchit la porte des écuries. Lorsque nous y entrâmes la pénombre me surprit. Walter se dirigea vers une stalle vide. Il attacha ma laisse à un anneau fixé à une mangeoire, il ne me détacha pas les mains :
- repose toi, me conseilla-t-il, tu en aura besoin ! Ah ! ah ! Et il sortit, me laissant là, seule dans une stalle pour cheveux, dans les écuries du Marquis. Mes yeux s’habituaient à la faible lumière. Je pus enfin regarder ce qu'il y avait autour de moi.
Il y avait là plusieurs chevaux. Ils étaient magnifiques, racés et devaient faire des envieux parmi les plus grands éleveurs. Ils dormaient, debout. Mon arrivée avait dut en déranger quelques uns car ils avaient tourné la tête vers moi et semblaient me demander ce que je faisais là. J'aurai été bien en peine de leur répondre, ne le sachant pas moi-même.
Le cheval le plus proche de moi était un superbe étalon tant sa fière allure en imposait. Il était vraiment magnifique et il le savait. Ce devait être un pur-sang arabe. Il avait des gestes vifs, sa robe alezane de toute beauté, ses poils brillaient. Il était vraiment en bonne santé et avait dû gagner bon nombre de grandes courses hippiques.
Plus loin, il avait une autre stalle occupée. Je vis tout de suite que ce cheval avait une robe louvet, mélange de noir et d'alezan, incroyablement belle, elle brillait comme si on l'avait lustré. Ils me regardaient tous les deux avec des yeux vifs, leurs oreilles bougeaient dans tous les sens, comme aux aguets.
Je ne perçu le bruit des pas que biens après les chevaux. Des hommes s'approchaient et discutaient. Quand ils entrèrent dans l’écurie, leur présence me coupa la lumière venant de dehors et dans le contre-jour je ne pus les discerner. Je reconnu, toutefois, la voix du Marquis et le rire sarcastique du Comte.
- Marquis et si nous sortions le sulky pour atteler votre nouvelle jument ?
- mais oui Cher Comte, j'ai hâte de voir ce qu'elle vaut ! J'ai bien peur qu'elle ne soit rétive au début, mais nous saurons la dompter n'est ce pas ?
Ils rirent tous les deux bon cœur. Ils venaient vers moi, se dirigeaient vers la stalle où Walter m'avait attachée et s'y arrêtèrent en me regardant. Mais que faisaient ils donc ? Je ne suis pas une jument ! Pourquoi me fixaient-ils ainsi ?
Le Marquis s'approcha de moi, me fit me lever. Il passa une main sur mon dos, palpa mes fesses.
- huuummm ! ferme et charnu, elle a été bien nourrie. Il me fit ouvrir la bouche, voyons les dents ont l'air en bon état ! il palpa mes épaules, mes bras, ma taille, mon ventre, parfaite pour le harnais !
- mais je ne ..... voulus-je dire, un coup de cravache au travers du dos me fit taire aussitôt.
- je t'ai dit de te taire femelle, à partir de maintenant je ne veux plus t'entendre parler ! Il se dirigea vers un établi où plusieurs harnais étaient pendus. Il en prit un de petite taille et, sourire aux lèvres, le tendit au comte :
- puisque c'est votre matériel mon cher ami, faites moi donc une démonstration. Je dois dire que je n'ai jamais eu de jument de cette race là et je suis curieux de voir comment on les harnaches !
Le comte pris tout ce que le Marquis lui tendait et se plaça à coté de moi. Il commença par me passer des lanières reliées à un mors au dessus de la tête. Je me reculais et lui crachais au visage …
- jamais, espèce de sadique, je ne suis pas un chev... une violente paire de gifles vola et m'empêchait de finir ma phrase.
- vous aviez raison Marquis, pas facile la bête ! ria-t-il en se tournant vers le Marquis.
- Oui c'est ce que j'avais pressentit !
Le Comte réessaya, je ne lui en laissais pas le temps. Je voulu lui donner un coup de pied bien placé mais, les mains liées dans le dos, je fus déséquilibrée et recula. Mon pied ne frappa que le vide. Le Marquis riait aux larmes de voir que le Comte avait fort à faire avec moi. Il s'amusait de plus belle quand, le Comte, voulant m'attraper par les cheveux faillit tomber lorsque je me penchais en avant et lui donna un coup de tête dans l'estomac en rugissant.
- désirez-vous un coup de main ? demanda le Marquis entre deux éclats de rire, je crois qu'elle n'a pas été débourrée. Nous ne seront pas trop de deux pour la maîtriser.
N'attendant pas la réponse, il le rejoignit et passant derrière moi, me saisi la tête et me la tint fermement pendant que le Comte parvenait enfin à me passer les sangles.
Quand il approcha les mains de ma bouche pour me forcer à l'ouvrir pour y mettre une espèce de mors, je mordis aussi fort que je le pu ce qui passa à ma portée. Le comte poussa un cri de surprise et j'espérais de douleur aussi. Il voulu ôter sa main mais je ne lâchais pas prise et accentua la pression. Il grogna. Je senti un goût ferreux sur ma langue. Je savais qu'il saignait. Le Marquis tira sur mes bras si fort que je cru qu'il allait me les déboîter. Je lâchais la main du Comte pour crier. Il la secoua et rit en voyant les marques de sang que j'y avais fait :
- quelle bête féroce que vous avez là Marquis ! Je vous félicite et vous envie, ce sera un plaisir que de la dompter. Ce sont souvent les plus rétives qui deviennent les plus douces une fois qu'elles ont compris qui est leur Maître.
Ils parvinrent à me poser le harnais de tête auquel était fixé le mors, qui venait se loger entre mes dents. J'étais folle de rage de me sentir si impuissante face aux deux hommes qui me transformaient pour leur plaisir en animal de trait. Je m'agitais dans tous les sens, leur rendant la tâche difficile. Je savais que le mors leur permettrait de me guider et de plus il m'interdisait physiquement la parole.
- Un seul mot prononcé constituera une faute grave. Me rappela le Marquis.
Le mors me faisait abondamment saliver, je ressentait une humiliation particulièrement intense de baver comme ça devant eux.
Le comte me présenta une drôle de paire de bottes. J'avais l'impression qu'elles avaient des fers. Il me les enfila et les laça lui même. Il ne voulait pas prendre le risque de me détacher les mains pour le moment. Les bottes montaient jusque sous mes genoux. Il fit passer entre mon dos et mes bras un corset agrémenté de sangles. Il serra très fort le corset autour de ma taille et avec les sangles et prit soin d’encercler mes seins, mes fesses et mon pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Il n'y avait pas de selle :
- car on ne monte que rarement une ponygirl, expliqua-t-il au Marquis, elle vous servira surtout comme animal de trait.
Il prit ensuite un plug anal terminé par une longue crinière. Je ne pus pas me soustraire à l'infamante pénétration qu'il m'imposa, m'emplissant l'anus sans préparation, je gémis malgré le mors qui me faisait comme un bâillon. Quand tout fut en place, le Marquis me lâcha les bras et joua avec la queue. Je sentais les longs crins me frôler les jambes. Le comte me pris les mains et les attacha grâce à des liens fixés sur mon corset au niveau de ma taille. Je ne pouvais plus les écarter de mon corps. Il fit un clin d’œil au Marquis, il saisit une espèce de plumeau rouge vif et le fixa à l'endroit prévu sur le harnais au milieu de mon front.
- je l'ai choisi spécialement pour qu'il s'accorde avec votre donjon !
- Je vous remercie et vous félicite de votre bon goût !
Hormis le harnais, mon corps était nu et offert. Enfin le Comte se saisit d'un petite boite et l'ouvrant dit au Marquis :
- à vous le plaisir Monsieur le Marquis !
Le Marquis pris la boite. Son sourire s'élargit quand il vit ce qu'il y avait à l'intérieur. Il en sortit un clochette au bout d'une pince. Il me caressa les seins me pinça les mamelons pour les faire saillir. Quand il fut satisfait, il ouvrit la pince et la posa sur mon mamelon. Je serrais les dents sur le mors le temps de m’habituer à la douleur. Il me fixa la deuxième sur l'autre mamelon :
- Je trouve cette touche finale des plus ..."raffinée"
Il pris les rênes et me fit tourner, faisant tinter les clochettes attachées à mes seins.
- c'est vraiment une belle bête ! Voyons maintenant ce qu'elle vaut ?
Ils sortirent de l'écurie. Le Marquis me pris par une sangle et me traîna à sa suite.
Je ne savais plus que penser, je me demandais quel tableau j’offrais harnachée tel un animal. Le Marquis et le Comte semblaient, quant à eux, ravis du spectacle.
Ils faisaient le tour de la ponygirl qu'ils avaient fait de moi. Ils me flattaient les flans, me palpaient les fesses, tiraient sur ma queue, faisaient tinter les clochettes, commentaient telle ou telle autre partie de mon anatomie comme s'ils l'auraient fait avec n'importe quel cheval. J'étais humiliée, rabaissée. Je ne pouvais que subir. Walter arriva au moment ou ils finissaient leur inspection.
Il tirait d'une main, derrière lui un petit sulky avec deux grandes roues et un siège suffisamment large pour que deux personnes puissent s'y asseoir dans l'autre il avait un fouet. Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris à quoi serviraient ces deux objets.
Il passèrent dans mes mains liées au corset les bras du sulky et l’attachèrent à d'autres sangles encore libres.
- Ah mon cher Comte, c'est vraiment un beau cadeau que vous me faites là, c'est tout simplement incroyablement beau ! Je vous remercie vraiment sincèrement de cette attention. Elle me va droit au coeur.
- La bête est belle aussi Marquis, tout va ensemble ! Si nous lui faisions faire quelques pas d'abord pour qu'elle s’habitue au sulky.
- oui oui, faisons cela.
Il prit le fouet des mains de Walter et le faisant claquer juste au dessus de ma tête cria.
- Aller hue femelle.
Je ne bougeais pas d'un pouce, les regardant droits dans les yeux. Ils m'avaient transformé en animal. Mais je voulais leur faire comprendre que ce n'était pas le cas.
Le Marquis me regarda lui aussi, leva le bras et l’abattit sur mes fesses. La douleur violente, réveilla en moi de très mauvais souvenirs et me força à avancer. M'agrippant aux bras du sulky je le tirais en faisant quelques pas mal assurés. Les clochettes mordaient toujours mes mamelons et elles tintèrent dans mon mouvement. Le Marquis fit de nouveau claquer son fouet. Je fis plusieurs pas, entraînant le sulky. Ils me menèrent jusqu'à une piste. Ils me firent m'arrêter. Je les sentis monter et s'installer dans le sulky. Je ressentais leur mouvement mais paradoxalement le poids ne me parut pas si lourd. Il devait être réparti sur les grandes roues. Le fouet claqua de nouveau.
- Aller hue femelle !
Je bandais mes muscles et tira de toutes mes forces. Je fus sûrement la plus surprise de sentir que le sulky se mettrait en route sous mon impulsion et me suive. Je n'en revenais pas. Une femme pouvait tirer deux hommes. Je pouvais tirer deux hommes. Un drôle de sentiment m'assaillit, je crois bien que c'était de la fierté. Oui de la fierté. Le fouet claqua et me ramena à la réalité.
Je m'engageais sur la piste assez facilement. Je marchais lentement tirant le sulky où le Marquis et le Comte étaient assis. Je frissonnais sous le vent frais et la légère brume qu'il y avait en cette fin d'après midi. J'étais plus que nue et j’exhalais un petit nuage à chacune de mes expirations.
- Faites la courir, qu'elle se réchauffe un peu proposa le Comte !
Le Marquis fit claquer son fouet très près de mon dos, tant que j'en sentis le souffle. Je pressais le pas. Mais ils voulaient me voir et m'entendre courir. Ils me firent accélérer le pas. Je tenais fermement le sulky, le mors me faisait baver, les clochettes teintèrent quand je fini par courir. Je ressentais les mouvements que faisait le sulky dans mon dos. Je fis un tour de piste complet. Je n'avais plus froid et commençais même à suer.
Constatant que je me laissais guider assez facilement, ils imprimèrent une pression sur les rênes, me faisant tourner la tête vers la droite. Je compris ce qu'ils voulaient et pris la direction qu'ils m'imposaient. Ils me firent les promener à travers tout le parc. Au début j'avais eu du mal à trouver mon souffle, le corset m’empêchant une respiration aisée. Puis, petit à petit, je fis plus corps avec l'attelage et je me pris au jeu. Répondant à leur sollicitations.
Le Marquis discutait tranquillement avec son Invité le remerciant une nouvelle fois de son magnifique cadeau qu'il appréciait énormément, puis lui décrivit au fur et à mesure que nous le traversions son grand parc.
Comme il m'avait remis au pas pour continuer la promenade et pour que je ne me fatigue pas trop vite, ils discutèrent ainsi de tout et de rien. Je perdis le fil de leur conversation et entrais dans un monde étrange. J'étais vraiment devenue un animal de trait, je n'avais plus le besoin de parler, je secouais la tête pour faire bouger le plumeau. Je sentais la queue plantée dans mon anus et dont les longs crins caressaient mes cuisses. C'était très doux, très sensuel.
Le Marquis finissait la visite du parc et proposa au Comte de me ramener aux écuries.
Le temps passant vite, il serait bientôt l'heure de dîner. Walter attendait à la porte de l'écurie. Il sourit en nous voyant approcher. Il aida le Marquis et le Comte à descendre du sulky. Le Comte vint près de moi et me flatta les flancs comme s'il s'agissait d'une jument :
- et bien , te voila calmée et domptée. Je te remercie j'ai fait une agréable promenade, mais, dit-il se frottant la main et me regardant d'un air mauvais, je n'ai pas oublié !
- Moi non plus cher Comte ! Croyez moi, il lui en cuira de cette rebuffade, répliqua le Marquis ! Walter, veuillez je vous prie, vous occuper de dételer cette jument et de la bouchonner comme il faut. Elle a beaucoup sué, n'oubliez aucun endroit. Ensuite menez-là dans la salle rouge et mettez-là en cage après l'avoir nourrit.
Le Marquis et le Comte partirent d'un même pas vers le château discutant encore de la nouvelle jument.
Je me retournais vers Walter. Il me fit pénétrer dans l'écurie et enleva le sulky.
M'enleva tout le Harnachement et le corset mais je gardais les bottes. Il pris ensuite une poignée de foin et se mit à me frotter tout le corps. Je gesticulais, mais fatiguée par la longue promenade, je n'avais pas la force de me rebeller et je dus subir le "bouchonnage" jusqu'au bout. Walter s’attardant dans mes parties les plus intimes, frottant mon clitoris avec la paille, avec une régularité perverse. Puis estimant que j'étais suffisamment sèche, au bout d'un moment il jeta la poignée de foin. Il fixa ma laisse à mon cou et m’entraîna vers le château. Il me fit remonter vers la salle rouge. Mes bottes ferrées claquaient sur les pavés.
Lalielou était toujours sur le chevalet et de grosses larmes roulaient sur ses joues.
Ses bras semblaient tétanisés et elle n'arrivait plus à se soulever pour soulager son sexe meurtri.
Walter me poussa à coté des fauteuils. Il me donna un grand verre d'eau que j'aurai bu d'un seul trait s'il ne m'en avait pas empêcher, me conseillant de boire plus doucement. Il me proposa un plateau ou il y avait plusieurs volumineux sandwichs et des fruits en grand nombre. Jusqu'à ce que je vois les victuailles en abondance, je ne m'étais pas rendue compte à quel point j'avais faim. J'en engloutis plusieurs et croqua pour finir dans une belle pomme juteuse. Il n’emmena ensuite dans une petite pièce que je n'avais pas remarquée la première fois. C'était un petit cabinet de toilette :
- Fait ce que tu as à faire et dépêche toi ! Ce que je fis, je ressortis et il me conduisit vers la cage où il m'enferma tout comme Lalielou y avait était elle aussi.
Je m'assis par terre, les muscles de mes jambes me faisaient mal et mes bras étaient contractés eux aussi. Je regardais un peu Lalielou. Il y avait des marques sur son dos et j'en déduis que la cuisinière avait dut encore se défouler sur elle.
Je finis par me coucher sur le coté et je m'endormis avant même d'avoir toucher les coussins qui étaient là ...
(A suivre …)
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