La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 317)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 317)
Suite de l'épisode précédent N°316 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –
Pendant que l'infirmière Mûriana et le garde, chauffeur de service, emmène dans la voiture l'esclave blessé, Walter s'approche à nouveau du pilier où est attaché solidement essai76. Il se retourne vers Félix qui est resté là autour droit, planté comme un piquet, presque encore sous le choc de cet incident, si peu habituel dans l'enceinte du Domaine. Il arrive parfois qu'un chien-esclave, mâle ou femelle, rechigne à effectuer certaines tâches, mais ce sont de simples mouvements d'humeur, vite maîtrisés d'une simple phrase ou d'un petit coup de cravache, car chacun ici sait que la désobéissance volontaire est lourdement punie et tous craignent le courroux légitime du Maître des lieux qui a horreur qu'on lui désobéisse et que l'on ne se plie pas de bonne grâce à ce qu'IL exige de chacun. Il est donc quasi-impossible de craindre une rébellion un peu plus formalisée, les esclaves du Cheptel étant tous heureux de pouvoir rester aux pieds et aux ordres de leur Maître Vénéré. Ce n'est pas tant la menace de quelques coups de cravache bien plus appuyées que de coutume que le risque de se voir renvoyer du Château sans possibilité d'y revenir même en rampant aux pieds du Noble Maître qui maintient un ordre suffisant pour assurer une sereine entente entre les différents frères et sœurs de soumission qui sont réunis ici, ainsi qu'avec le personnel domestique trié sur le volet et au service du Marquis d'Evans de longue date pour la plupart. Un incident comme celui d'aujourd'hui est donc plus que rarissime et Félix, le garde-chasse, en est encore tout remué.
Walter fait signe pour que les domestiques présents dans cette remise détachent essai76 et qu'on l'amène à ses pieds pour l'y mettre à genoux. Il tend deux paires de menottes pour qu'on lui attache par la même occasion les pieds et les mains dans le dos. C'est donc dans cette position d'humiliation que l'esclave va maintenant devoir s'expliquer, bien qu'il a du mal à se comprendre lui-même et à savoir pourquoi une telle rage l'a pris, regrettant déjà amèrement son geste, non parce qu'il sait qu'il va maintenant subir un châtiment mérité, mais parce qu'il se rend compte que le coup qu'il a porté était insensé, dangereux, simplement brutal et déraisonné. Il se laisse faire, devenu plus docile qu'un agneau, mettant ses mains dans le dos, tout en gardant la tête baissée pour entendre le clic des menottes se fermer sur ses mains croisées lui empêchant le moindre mouvement. Les domestiques qui avaient eu quelque mal à le maîtriser au départ le jette sans ménagement sur le sol aux pieds du Majordome, risquant même de le faire tomber et pas seulement de l'agenouiller, mais à cette heure, ils n'en ont vraiment cure car lui-même n'a pas eu grand pitié de celui à qui il a adressé un grand coup de poing sur la figure, et guère peu de ceux qui cherchaient à le maitriser dans sa folie passagère, gesticulant dans tous les sens. D'un ton très dur et terriblement glacial, avec une voix si lourde que essai76 en tremble presque à l'idée de ce qui va lui arriver, Walter vocifère presque :
- Maintenant vas-tu enfin me dire ce qui a pu se passer et t'expliquer, espèce de sale cabot enragé !
Baissant la tête encore plus pour pouvoir se prosterner carrément, l'esclave à la forte carrure et aux bras musclés (ce qui explique la force de son uppercut) ne sait quoi dire, car il a conscience que le moindre mot ne pourrait qu'aggraver son misérable cas.
- Monsieur Walter, je n'ai malheureusement rien à dire pour ma défense. Je regrette mon geste insensé. Je souhaite sincèrement que les blessures que j'ai causées ne soient pas trop graves. Je m'en remets à la sagesse de mon Maître absolu pour qu'IL me châtie comme IL le jugera bon, et j'accepte Votre punition en attendant son verdict. Je vous en supplie à genoux, permettez-moi d'essayer de commencer à me racheter de ce geste, d'ici le retour de mon Maître, pour éviter une sanction trop dure à supporter qui serait fatale si je devais être chassé du domaine. Je ferai tout ce que vous voudrez d'ici là, et je subirai tout ce que vous m'imposerez, mêmes les outrages les plus durs si cela peut vous faire plaisir.
- Parce que tu crois que cela peut se passer juste ainsi. Une faute très grave suivie d'une simple punition et tout serait effacé ou oublié par enchantement ou par le miracle de quelques fornications expiatoires. Je ne suis pas un curé prêt à te donner l'absolution sous prétexte que tu serais prêt à faire pénitence en promettant de ne plus pêcher. Tu t'es trompé d'endroit, sale cabot, nous ne sommes pas à l'Eglise où il te suffit de baisser la tête pour être marqué d'un signe de la croix purificateur qui te permet de recommencer tes méfaits une fois dehors, et ce jusqu'à ta prochaine confession. Je ne suis pas non plus quelqu'un que tu vas pouvoir amadouer si facilement. Faire tout ce que je voudrais t'imposer fait partie de tes obligations quotidiennes dans le cadre de ton dressage et cela était une règle de base qu'il te fallait suivre avant, pas simplement maintenant avec l'espoir de racheter ainsi ta lourde faute.
Félix, le garde-chasse, ayant enfin retrouvé un peu de sérénité, s'approche à cet instant, pour donner sa version des faits.
- Monsieur Walter, si je puis me permettre. Je tiens à vous signaler que ce mécréant n'a même pas eu le courage d'avouer son méfait dans son intégralité. Je l'avais sélectionné parmi plusieurs autres esclaves pour aller déposer comme chaque jour des graines et fourrage dans les mangeoires du domaine. Ce matin, une couche de neige a recouvert le sol et nous devions songer à vérifier que les points d'eau ne soient pas gelés et aussi que les gibiers du parc trouvent de quoi se nourrir en cette saison moins propice. Il a refusé prétextant qu'il avait déjà fait cela la veille et qu'il avait eu très froid dehors, ajoutant que certains avaient la chance d'être exonéré des tâches les plus dures et les plus difficiles à supporter, qu'il n'avait pas encore récupéré depuis la veille et qu'il allait finir par tomber malade s'il sortait un jour de plus, surtout avec la neige. Il s'est retourné vers e6938 MDE, en l'interpellant : "pourquoi est-ce que toi tu n'es jamais de corvée extérieure ? Tu restes toujours à l'abri dans la remise pour charger nos besaces de graines. Je suis sûr qu'il y a du favoritisme anormal là-dedans et que tu dois être de connivence avec Félix, le garde-chasse, lui accordant quelques privilèges personnels pour bénéficier de faveurs particulières. Tu es son amant favori, avoue !"… C'est lorsque e6938 MDE lui a répondu "Mais non, bien sûr, qu'est-ce que tu vas imaginer là. Je ne fais que ce que mon Maître exige de moi, et en ses lieux et place ce qui m'est imposé par ceux qui sont à Son service ". essai76 était devenu tout rouge, presque comme enragé. Il a donné deux violentes gifles à soumise Nat MDE qui tentait de s'interposer entre les deux hommes pour l'obliger à s'écarter et dans une force extrême, il a assené un coup de poing magistral. Mais je peux vous assurer, Monsieur Walter, que tout ceci n'est que calomnie et pur mensonge. e6938 MDE est plus chétif que les autres, c'est pourquoi je choisi toujours des hommes plus robustes pour transporter les lourdes besaces, car nous devons parfois marcher pendant de longues heures pour aller jusqu'aux confins des terres du domaine. Je pense que le plus simple serait lorsqu'il sera remis de l'affecter à d'autres tâches dans d'autres parties du Château, car je ne souhaite pas que ce genre de fausses rumeurs me porte préjudice. Vous savez que ma fidélité est sans faille. Quand à ce jeune chien à l'essai, je ne tiens pas plus que cela à le revoir traîner par ici, mais j'espère bien qu'il sera chassé du domaine avec perte et fracas dès le retour de Monsieur le Marquis.
D'une voix encore plus lourde et directive, Walter reprend :
- Alors, c'est le froid qui a fait peur à une grande nature bien charpentée comme la tienne. Surtout que les esclaves sortent toujours couverts de manteaux et de chaussures en peau de bêtes par temps de neige et/ou de gel. Je vais voir à te réchauffer la peau d'une manière plus vigoureuse.
Puis ayant repris son téléphone en mains pour appeler la salle des gardes, le Majordome annonce :
- Bonjour, ici Walter, rassemblez tous les esclaves du cheptel qui ne sont pas occupés à une tâche impérative ne pouvant être différée. Faîtes les venir sans tarder dans la petite cour intérieure devant la remise et demandez à e6942 MDE qu'il m'amène aussi mon long fouet single-tail, celui qui est accroché au mur dans la petite pièce à côté de mon bureau. (il y a peu d'esclaves qui ont le privilège de pouvoir pénétrer, seul qui plus est, dans les appartements particuliers de Walter, mais e6942 MDE fait partie des plus anciens du cheptel et Walter a toute confiance en lui depuis des années, lui confiant même souvent l'entretien ménager de cette pièce et aussi de veiller à la propreté de ses ustensiles D/s, et les cravaches dont il prend grand soin.
Walter fait signe aux domestiques pour qu'ils empoignent l'esclave prosterné et suivent le Majordome qui se dirige vers la sortie en tirant fortement sur la laisse de l'esclave essai76 qui sent bien que le pire reste à venir et que c'est de la manière dont il se pliera à accepter sa punition jusqu'au retour du Maître que dépend aussi son sort et la possibilité de rester au Château qui semble bien mince à cette heure-là. C'est donc sans un mot, la tête basse, qu'il se laisse entraîner dehors, nu et marchant pieds nus dans la neige qui a recouvert la cour pavée qui borde les dépendances du Château. Walter s'arrête :
- Mettez- le à terre dans la neige et maintenez-le bras et jambes écartées.
essai76 tremble de tout son corps mais il ne dit rien. La neige le glace et le brûle tout en même temps. Il regrette amèrement d'avoir craint de sortir ce matin pour aller distribuer les graines dans les différentes mangeoires, car quelque ardue ait pu être cette tâche journalière, jamais il n'aurait eu aussi froid qu'à l'instant allongé dans dix centimètres de neige fraîche sur un sol pavé encore plus glacé. Pendant ce temps-là, peu à peu les esclaves du cheptel se sont rassemblés dans la cour. Walter les fait s'installer tous à genoux sur le côté sous le auvent de la remise, là où le sol dallé est encore sec et sans neige. Et regardant tous les esclaves du cheptel, presque tous rassemblés sous ce porche, ainsi que le personnel domestique qui les a accompagnés, d'un ton très autoritaire, pour que cette leçon serve d'exemple à tous et marquent les esprits fortement, il explique :
- Regardez-tous ce qui va suivre. Ce chien à l'essai a ce matin commis une faute très grave en s'en prenant physiquement à l'un de ses frères de soumission, en le frappant mais aussi en giflant une de ses sœurs, ce qui est également inadmissible de frapper une femelle ainsi. C'est Votre Maître à tous qui décidera en temps voulu de son sort, mais en attendant le retour de Monsieur le Marquis d'Evans, il va déjà être sévèrement puni. N'oubliez pas que vous êtes tous là pour obéir et accepter sans rechigner toutes les tâches que l'on exigera de vous et subir tous les plaisirs que l'on vous imposera. La porte de ce Château n'est jamais fermée de l'intérieur. Misérables chiens et chiennes que vous êtes tous, si l'un ou l'une d'entre vous refuse d'obéir et souhaite renoncer à son statut d'esclave, il le peut, quiconque d’entre vous peut, à tout moment, quitter les lieux, Monsieur le Marquis n'a et ne veut garder sous son joug que des esclaves librement asservis qui sont prêts à ramper pour le satisfaire… Ce sont vos deux seules libertés, celle d’avoir choisi par vous-même d’être esclave et celle de partir quand bon vous semble mais sachant qu’un retour au Château sera impossible. En cas d’absence de Monsieur le Marquis, comme en ce moment, il faudra juste que le candidat au départ attende le retour du Maître pour pouvoir partir après lui avoir fait part de sa décision et lui avoir rendu son collier, c’est tout ! Chacun est donc libre de partir, et chacun est, aussi, libre de ne plus être libre, c’est à dire d’être esclave ! Il vous suffit de vous lever à cet instant, si tel est votre désir, si vous trouvez que les tâches que l'on vous impose sont trop dures, ce qui semblait être le cas de ce sale cabot enragé…
Aucun des esclaves ne bronchent. Tous sont atterrés et transis de froid, mais aussi d'émotions, particulièrement excités par cette scène, bien qu'aucun n'envient vraiment le sort d'essai76. Mais le sermon honnête de Walter qui a simplement rappelé à chacune et à chacun, ces quelques principes de base, a eu le pouvoir de renforcer en chacun le fort sentiment de soumission et d'abnégation qui anime l'entier cheptel du Marquis d'Evans. Walter fait signe aux serviteurs qui gardaient essai76, plaqué au sol, écartelé bras et jambes en croix dans la neige, de se retirer, et d'une voix glaciale, il ajoute :
- Je parlais aussi pour toi, misérable vermine. Si tu veux te lever à l'instant avec le désir de mettre fin à ta période d'essai, tu n'as qu'à te redresser à l'instant. Tu resteras juste enfermé dans un cachot jusqu'au retour de Monsieur le Marquis d'Evans car tu as été violent contre deux de ses esclaves et il est normal que tu puisses malgré tout le supplier à genoux d'excuser ton geste avant que lui-même ne te chasse, à coups de pieds, s'il le désire, car il n'a que faire des sales cabots enragés, violents de surcroît, qui ne respectent ni le Maître, ni Ses possessions humaines…. Si tu ne bouges pas, j'en déduirai que tu acceptes de subir la punition que je vais t'imposer. Personne ne te tiendra, ni les mains, ni les pieds, et il t'appartiendra de résister jusqu'au bout sans bouger, en méditant à chaque coup sur les conséquences de ton geste, que j'espère tu regrettes, mais que tu auras tout le loisir de regretter plus amèrement dans les minutes, heures et jours qui vont venir… Tu as 3 minutes pour prendre ta décision… Te lever, je ne te punis pas et tu sais que dès le retour de ton Maître, tu pourras partir en toute liberté ou ne pas bouger et subir les conséquences de ta faute via ma punition qui s’ensuivra et continuer à être esclave à l’essai avec l’espérance pour toi de l’éventuelle clémence de ton Maître qu’il te garde après qu’il ait statué sur ton sort…
Walter enclenche le chrono à sa montre et attend que les 3 minutes passent dans un silence total… Trois minutes qui ont l’air de durer une éternité pour tous ceux qui sont présents. Oui trois minutes, c’est le temps décidé par le Majordome pour bien laisser à l'esclave le temps de prendre la mesure de la gravité de sa faute et de la justesse du châtiment qu'il va subir, s’il ne bouge pas…
(A suivre …)
Pendant que l'infirmière Mûriana et le garde, chauffeur de service, emmène dans la voiture l'esclave blessé, Walter s'approche à nouveau du pilier où est attaché solidement essai76. Il se retourne vers Félix qui est resté là autour droit, planté comme un piquet, presque encore sous le choc de cet incident, si peu habituel dans l'enceinte du Domaine. Il arrive parfois qu'un chien-esclave, mâle ou femelle, rechigne à effectuer certaines tâches, mais ce sont de simples mouvements d'humeur, vite maîtrisés d'une simple phrase ou d'un petit coup de cravache, car chacun ici sait que la désobéissance volontaire est lourdement punie et tous craignent le courroux légitime du Maître des lieux qui a horreur qu'on lui désobéisse et que l'on ne se plie pas de bonne grâce à ce qu'IL exige de chacun. Il est donc quasi-impossible de craindre une rébellion un peu plus formalisée, les esclaves du Cheptel étant tous heureux de pouvoir rester aux pieds et aux ordres de leur Maître Vénéré. Ce n'est pas tant la menace de quelques coups de cravache bien plus appuyées que de coutume que le risque de se voir renvoyer du Château sans possibilité d'y revenir même en rampant aux pieds du Noble Maître qui maintient un ordre suffisant pour assurer une sereine entente entre les différents frères et sœurs de soumission qui sont réunis ici, ainsi qu'avec le personnel domestique trié sur le volet et au service du Marquis d'Evans de longue date pour la plupart. Un incident comme celui d'aujourd'hui est donc plus que rarissime et Félix, le garde-chasse, en est encore tout remué.
Walter fait signe pour que les domestiques présents dans cette remise détachent essai76 et qu'on l'amène à ses pieds pour l'y mettre à genoux. Il tend deux paires de menottes pour qu'on lui attache par la même occasion les pieds et les mains dans le dos. C'est donc dans cette position d'humiliation que l'esclave va maintenant devoir s'expliquer, bien qu'il a du mal à se comprendre lui-même et à savoir pourquoi une telle rage l'a pris, regrettant déjà amèrement son geste, non parce qu'il sait qu'il va maintenant subir un châtiment mérité, mais parce qu'il se rend compte que le coup qu'il a porté était insensé, dangereux, simplement brutal et déraisonné. Il se laisse faire, devenu plus docile qu'un agneau, mettant ses mains dans le dos, tout en gardant la tête baissée pour entendre le clic des menottes se fermer sur ses mains croisées lui empêchant le moindre mouvement. Les domestiques qui avaient eu quelque mal à le maîtriser au départ le jette sans ménagement sur le sol aux pieds du Majordome, risquant même de le faire tomber et pas seulement de l'agenouiller, mais à cette heure, ils n'en ont vraiment cure car lui-même n'a pas eu grand pitié de celui à qui il a adressé un grand coup de poing sur la figure, et guère peu de ceux qui cherchaient à le maitriser dans sa folie passagère, gesticulant dans tous les sens. D'un ton très dur et terriblement glacial, avec une voix si lourde que essai76 en tremble presque à l'idée de ce qui va lui arriver, Walter vocifère presque :
- Maintenant vas-tu enfin me dire ce qui a pu se passer et t'expliquer, espèce de sale cabot enragé !
Baissant la tête encore plus pour pouvoir se prosterner carrément, l'esclave à la forte carrure et aux bras musclés (ce qui explique la force de son uppercut) ne sait quoi dire, car il a conscience que le moindre mot ne pourrait qu'aggraver son misérable cas.
- Monsieur Walter, je n'ai malheureusement rien à dire pour ma défense. Je regrette mon geste insensé. Je souhaite sincèrement que les blessures que j'ai causées ne soient pas trop graves. Je m'en remets à la sagesse de mon Maître absolu pour qu'IL me châtie comme IL le jugera bon, et j'accepte Votre punition en attendant son verdict. Je vous en supplie à genoux, permettez-moi d'essayer de commencer à me racheter de ce geste, d'ici le retour de mon Maître, pour éviter une sanction trop dure à supporter qui serait fatale si je devais être chassé du domaine. Je ferai tout ce que vous voudrez d'ici là, et je subirai tout ce que vous m'imposerez, mêmes les outrages les plus durs si cela peut vous faire plaisir.
- Parce que tu crois que cela peut se passer juste ainsi. Une faute très grave suivie d'une simple punition et tout serait effacé ou oublié par enchantement ou par le miracle de quelques fornications expiatoires. Je ne suis pas un curé prêt à te donner l'absolution sous prétexte que tu serais prêt à faire pénitence en promettant de ne plus pêcher. Tu t'es trompé d'endroit, sale cabot, nous ne sommes pas à l'Eglise où il te suffit de baisser la tête pour être marqué d'un signe de la croix purificateur qui te permet de recommencer tes méfaits une fois dehors, et ce jusqu'à ta prochaine confession. Je ne suis pas non plus quelqu'un que tu vas pouvoir amadouer si facilement. Faire tout ce que je voudrais t'imposer fait partie de tes obligations quotidiennes dans le cadre de ton dressage et cela était une règle de base qu'il te fallait suivre avant, pas simplement maintenant avec l'espoir de racheter ainsi ta lourde faute.
Félix, le garde-chasse, ayant enfin retrouvé un peu de sérénité, s'approche à cet instant, pour donner sa version des faits.
- Monsieur Walter, si je puis me permettre. Je tiens à vous signaler que ce mécréant n'a même pas eu le courage d'avouer son méfait dans son intégralité. Je l'avais sélectionné parmi plusieurs autres esclaves pour aller déposer comme chaque jour des graines et fourrage dans les mangeoires du domaine. Ce matin, une couche de neige a recouvert le sol et nous devions songer à vérifier que les points d'eau ne soient pas gelés et aussi que les gibiers du parc trouvent de quoi se nourrir en cette saison moins propice. Il a refusé prétextant qu'il avait déjà fait cela la veille et qu'il avait eu très froid dehors, ajoutant que certains avaient la chance d'être exonéré des tâches les plus dures et les plus difficiles à supporter, qu'il n'avait pas encore récupéré depuis la veille et qu'il allait finir par tomber malade s'il sortait un jour de plus, surtout avec la neige. Il s'est retourné vers e6938 MDE, en l'interpellant : "pourquoi est-ce que toi tu n'es jamais de corvée extérieure ? Tu restes toujours à l'abri dans la remise pour charger nos besaces de graines. Je suis sûr qu'il y a du favoritisme anormal là-dedans et que tu dois être de connivence avec Félix, le garde-chasse, lui accordant quelques privilèges personnels pour bénéficier de faveurs particulières. Tu es son amant favori, avoue !"… C'est lorsque e6938 MDE lui a répondu "Mais non, bien sûr, qu'est-ce que tu vas imaginer là. Je ne fais que ce que mon Maître exige de moi, et en ses lieux et place ce qui m'est imposé par ceux qui sont à Son service ". essai76 était devenu tout rouge, presque comme enragé. Il a donné deux violentes gifles à soumise Nat MDE qui tentait de s'interposer entre les deux hommes pour l'obliger à s'écarter et dans une force extrême, il a assené un coup de poing magistral. Mais je peux vous assurer, Monsieur Walter, que tout ceci n'est que calomnie et pur mensonge. e6938 MDE est plus chétif que les autres, c'est pourquoi je choisi toujours des hommes plus robustes pour transporter les lourdes besaces, car nous devons parfois marcher pendant de longues heures pour aller jusqu'aux confins des terres du domaine. Je pense que le plus simple serait lorsqu'il sera remis de l'affecter à d'autres tâches dans d'autres parties du Château, car je ne souhaite pas que ce genre de fausses rumeurs me porte préjudice. Vous savez que ma fidélité est sans faille. Quand à ce jeune chien à l'essai, je ne tiens pas plus que cela à le revoir traîner par ici, mais j'espère bien qu'il sera chassé du domaine avec perte et fracas dès le retour de Monsieur le Marquis.
D'une voix encore plus lourde et directive, Walter reprend :
- Alors, c'est le froid qui a fait peur à une grande nature bien charpentée comme la tienne. Surtout que les esclaves sortent toujours couverts de manteaux et de chaussures en peau de bêtes par temps de neige et/ou de gel. Je vais voir à te réchauffer la peau d'une manière plus vigoureuse.
Puis ayant repris son téléphone en mains pour appeler la salle des gardes, le Majordome annonce :
- Bonjour, ici Walter, rassemblez tous les esclaves du cheptel qui ne sont pas occupés à une tâche impérative ne pouvant être différée. Faîtes les venir sans tarder dans la petite cour intérieure devant la remise et demandez à e6942 MDE qu'il m'amène aussi mon long fouet single-tail, celui qui est accroché au mur dans la petite pièce à côté de mon bureau. (il y a peu d'esclaves qui ont le privilège de pouvoir pénétrer, seul qui plus est, dans les appartements particuliers de Walter, mais e6942 MDE fait partie des plus anciens du cheptel et Walter a toute confiance en lui depuis des années, lui confiant même souvent l'entretien ménager de cette pièce et aussi de veiller à la propreté de ses ustensiles D/s, et les cravaches dont il prend grand soin.
Walter fait signe aux domestiques pour qu'ils empoignent l'esclave prosterné et suivent le Majordome qui se dirige vers la sortie en tirant fortement sur la laisse de l'esclave essai76 qui sent bien que le pire reste à venir et que c'est de la manière dont il se pliera à accepter sa punition jusqu'au retour du Maître que dépend aussi son sort et la possibilité de rester au Château qui semble bien mince à cette heure-là. C'est donc sans un mot, la tête basse, qu'il se laisse entraîner dehors, nu et marchant pieds nus dans la neige qui a recouvert la cour pavée qui borde les dépendances du Château. Walter s'arrête :
- Mettez- le à terre dans la neige et maintenez-le bras et jambes écartées.
essai76 tremble de tout son corps mais il ne dit rien. La neige le glace et le brûle tout en même temps. Il regrette amèrement d'avoir craint de sortir ce matin pour aller distribuer les graines dans les différentes mangeoires, car quelque ardue ait pu être cette tâche journalière, jamais il n'aurait eu aussi froid qu'à l'instant allongé dans dix centimètres de neige fraîche sur un sol pavé encore plus glacé. Pendant ce temps-là, peu à peu les esclaves du cheptel se sont rassemblés dans la cour. Walter les fait s'installer tous à genoux sur le côté sous le auvent de la remise, là où le sol dallé est encore sec et sans neige. Et regardant tous les esclaves du cheptel, presque tous rassemblés sous ce porche, ainsi que le personnel domestique qui les a accompagnés, d'un ton très autoritaire, pour que cette leçon serve d'exemple à tous et marquent les esprits fortement, il explique :
- Regardez-tous ce qui va suivre. Ce chien à l'essai a ce matin commis une faute très grave en s'en prenant physiquement à l'un de ses frères de soumission, en le frappant mais aussi en giflant une de ses sœurs, ce qui est également inadmissible de frapper une femelle ainsi. C'est Votre Maître à tous qui décidera en temps voulu de son sort, mais en attendant le retour de Monsieur le Marquis d'Evans, il va déjà être sévèrement puni. N'oubliez pas que vous êtes tous là pour obéir et accepter sans rechigner toutes les tâches que l'on exigera de vous et subir tous les plaisirs que l'on vous imposera. La porte de ce Château n'est jamais fermée de l'intérieur. Misérables chiens et chiennes que vous êtes tous, si l'un ou l'une d'entre vous refuse d'obéir et souhaite renoncer à son statut d'esclave, il le peut, quiconque d’entre vous peut, à tout moment, quitter les lieux, Monsieur le Marquis n'a et ne veut garder sous son joug que des esclaves librement asservis qui sont prêts à ramper pour le satisfaire… Ce sont vos deux seules libertés, celle d’avoir choisi par vous-même d’être esclave et celle de partir quand bon vous semble mais sachant qu’un retour au Château sera impossible. En cas d’absence de Monsieur le Marquis, comme en ce moment, il faudra juste que le candidat au départ attende le retour du Maître pour pouvoir partir après lui avoir fait part de sa décision et lui avoir rendu son collier, c’est tout ! Chacun est donc libre de partir, et chacun est, aussi, libre de ne plus être libre, c’est à dire d’être esclave ! Il vous suffit de vous lever à cet instant, si tel est votre désir, si vous trouvez que les tâches que l'on vous impose sont trop dures, ce qui semblait être le cas de ce sale cabot enragé…
Aucun des esclaves ne bronchent. Tous sont atterrés et transis de froid, mais aussi d'émotions, particulièrement excités par cette scène, bien qu'aucun n'envient vraiment le sort d'essai76. Mais le sermon honnête de Walter qui a simplement rappelé à chacune et à chacun, ces quelques principes de base, a eu le pouvoir de renforcer en chacun le fort sentiment de soumission et d'abnégation qui anime l'entier cheptel du Marquis d'Evans. Walter fait signe aux serviteurs qui gardaient essai76, plaqué au sol, écartelé bras et jambes en croix dans la neige, de se retirer, et d'une voix glaciale, il ajoute :
- Je parlais aussi pour toi, misérable vermine. Si tu veux te lever à l'instant avec le désir de mettre fin à ta période d'essai, tu n'as qu'à te redresser à l'instant. Tu resteras juste enfermé dans un cachot jusqu'au retour de Monsieur le Marquis d'Evans car tu as été violent contre deux de ses esclaves et il est normal que tu puisses malgré tout le supplier à genoux d'excuser ton geste avant que lui-même ne te chasse, à coups de pieds, s'il le désire, car il n'a que faire des sales cabots enragés, violents de surcroît, qui ne respectent ni le Maître, ni Ses possessions humaines…. Si tu ne bouges pas, j'en déduirai que tu acceptes de subir la punition que je vais t'imposer. Personne ne te tiendra, ni les mains, ni les pieds, et il t'appartiendra de résister jusqu'au bout sans bouger, en méditant à chaque coup sur les conséquences de ton geste, que j'espère tu regrettes, mais que tu auras tout le loisir de regretter plus amèrement dans les minutes, heures et jours qui vont venir… Tu as 3 minutes pour prendre ta décision… Te lever, je ne te punis pas et tu sais que dès le retour de ton Maître, tu pourras partir en toute liberté ou ne pas bouger et subir les conséquences de ta faute via ma punition qui s’ensuivra et continuer à être esclave à l’essai avec l’espérance pour toi de l’éventuelle clémence de ton Maître qu’il te garde après qu’il ait statué sur ton sort…
Walter enclenche le chrono à sa montre et attend que les 3 minutes passent dans un silence total… Trois minutes qui ont l’air de durer une éternité pour tous ceux qui sont présents. Oui trois minutes, c’est le temps décidé par le Majordome pour bien laisser à l'esclave le temps de prendre la mesure de la gravité de sa faute et de la justesse du châtiment qu'il va subir, s’il ne bouge pas…
(A suivre …)
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